Les articles de presse (pas de commentaire !)

https://www.blick.ch/sport/fussball/superleague/er-wurde-von-seinen-trainern-schikaniert-und-maltraetiert-lausanne-sportchef-rettete-mbappes-karriere-id16773129.html

https://www.watson.ch/sport/interview/142840779-gc-trainer-contini-spricht-ueber-wolverhampton-lausanne-und-joreg-mendes

Un périlleux duel des mal classés pour Lausanne
Football

Derniers avec un seul point, Lucerne et le LS s’affrontent ce dimanche avec l’envie d’enfin gagner pour provoquer ce fameux déclic.

Un simple petit coup d’œil au classement suffit à mesurer l’importance de ce Lucerne-LS de dimanche (14 h 15). Même si l’on n’a disputé que quatre des 36 rencontres au programme, ce duel de fond de cave aura certainement un effet régénérateur pour son vainqueur. Et quelques nuits tourmentées de plus pour l’autre.

«Après notre très bon nul contre Bâle, souligne Ilija Borenovic, je sens un regain de confiance au sein de mon groupe. L’atmosphère était plus détendue à l’entraînement, cette semaine. Parce que cette belle performance collective nous conforte dans l’idée que nous avons toutes les qualités pour jouer un rôle intéressant dans ce championnat. À condition que nous soyons capables d’y ajouter à chaque sortie la même concentration et la même agressivité que face aux Rhénans.»

Un déplacement auquel ne prendront pas part Turkes, Geissmann, Koyalipou, Coyle et Jenz, tous annoncés blessés. D’après Ilija Borenovic, c’est une petite lésion musculaire, contractée au lendemain de la débâcle lausannoise face au FC Zurich, qui contraint le défenseur allemand au repos depuis près de trois semaines. Un problème qui n’empêche pas son agent de lui chercher un nouveau club. Car, comme l’aurait annoncé Jenz à la direction sportive de la Tuilière il y a quelques semaines, celui qui s’était imposé, la saison passée, comme le patron de l’arrière-garde vaudoise veut quitter le LS. Une requête qui ne sera toutefois acceptée que si une offre concrète et à la hauteur des exigences lausannoises parvient sur le bureau de Souleymane Cissé. Ce qui n’est apparemment pas encore le cas, même si Lorient (Ligue 1), qui n’est pas le seul candidat, se montre de plus en plus pressant. Réponse mercredi prochain au plus tard.

Un point plus précieux pour le moral que pour le classement

Devant grâce à Monteiro à la pause, les Vaudois, qui enregistrent l’arrivée de Simone Grippo, se sont ensuite logiquement fait rejoindre par Lucerne.

André Boschetti

Publié aujourd’hui à 21h25

Elton Monteiro anticipe Schulz et ouvre la marque sur un corner de Kukuruzovic. Un avantage que les Vaudois ne réussiront pas à conserver mais qui leur permet de marquer leur premier point à l’extérieur face à Lucerne.

KEYSTONE

Comme dimanche dernier contre le FC Bâle à la Tuilière, le Lausanne-Sport a quitté la swissporarena lucernoise avec un point et un sentiment mitigé. «Sur l’ensemble de la partie, analyse, à chaud, Cameron Puertas, je crois que nous pouvons être satisfaits de ce nul. Car si nous avons bien maîtrisé la situation pendant près d’une heure, il faut reconnaître que Lucerne nous a été supérieur après avoir égalisé. Cela dit, on peut quand même regretter de ne pas avoir su exploiter quelques belles occasions de creuser l’écart en fin de première mi-temps et au début de la seconde.»

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Monteiro trouve l’ouverture

Comment donner tort au milieu de terrain lausannois? Ce duel de fond de cave entre deux équipes sevrées de succès depuis le début de la saison a, dans un premier temps, eu de peine à vraiment démarrer. Légèrement dominateur dans le jeu, le FC Lucerne de Fabio Celestini ne parvenait toutefois jamais à inquiéter Mory Diaw. Et alors que le LS peinait à s’approcher des buts lucernois, il avait la chance de trouver la faille après sa première véritable offensive, certes mal exploitée par Mahou mais qui se terminait tout de même par un corner lausannois. Une première situation intéressante qui débouchait sur l’ouverture du score puisque Monteiro déviait au bon endroit la frappe précise de Kukuruzovic (27e).

Deux occasions de faire le break

Paradoxalement, c’est à partir de ce moment que commencent les (petits) regrets lausannois. Dans le quart d’heure suivant, le LS ratait en effet à deux reprises un break qui aurait pu avoir des conséquences rédhibitoires sur le moral déjà fragile des Lucernois. Mais la frappe de George échouait sur le poteau droit de Vasic (31e) avant que Mahou ne perde son duel face au gardien lucernois (39e).

«Je pense que nous avons ensuite très bien commencé la deuxième mi-temps, continue Ilija Borenovic. Mis en confiance par cette ouverture du score, mes joueurs ont évolué plus haut dans le terrain et pris le jeu à leur compte. Sans malheureusement bien jouer certains bons coups, comme cette situation à cinq contre deux dont nous n’avons pas su profiter peu avant l’égalisation lucernoise.»

«Même si je ne cache pas que beaucoup de choses doivent encore être améliorées, nous sommes sur le bon chemin. Comme pour Lucerne, il ne nous manque qu’une victoire pour provoquer le déclic définitif.»

Stjepan Kukuruzovic, capitaine du LS

Une incapacité à concrétiser leurs moments favorables que les Vaudois auraient pu payer au prix fort. Car après la réussite de Sidler d’une frappe lointaine (62e), Lucerne aurait pu, et dû, prendre l’avantage. Mais, en quatre minutes seulement, Campo ne trouvait que le poteau droit des buts de Diaw (65e et 69e). Sans oublier que, peu auparavant, le gardien lausannois avait déjà sauvé les meubles face à Ndiaye. «Pour qui que ce soit, il est très compliqué de résister à Lucerne lorsque l’équipe est boostée par un but et portée par son public, soupire Kukuruzovic. Durant ce quart d’heure pénible, nous avons eu un peu de chance, c’est vrai. Comme aussi à la fin quand Tasar touche encore une fois le poteau (94e), mais mis à part ce laps de temps, nous avons montré que nous sommes en progression. Tant au niveau de l’état d’esprit que de l’agressivité. Même si je ne cache pas que beaucoup de choses doivent encore être améliorées, nous sommes sur le bon chemin. Comme pour Lucerne, il ne nous manque qu’une victoire pour provoquer le déclic définitif.»

Ilija Borenovic a maintenant quinze jours pour préparer un derby contre le FC Sion que le LS devra, cette fois, impérativement gagner pour se donner un peu d’air. Un duel que les Vaudois aborderont avec plusieurs nouveaux joueurs. À commencer par l’Italo-Suisse Simone Grippo. Formé au FC Bâle, l’expérimenté défenseur central (32 ans) rejoint le LS après avoir fait l’essentiel de sa carrière en Italie et en Espagne. Malgré cela, il compte quand même 95 matches de Super League et sept buts à son actif, partagés entre Lugano, Servette et Vaduz. Avant cette parenthèse helvétique, il avait joué en Serie B italienne. Puis, après son passage à Vaduz, Grippo a filé à la Real Saragosse en 2017. Depuis janvier 2020, il défendait enfin les couleurs d’Oviedo (LaLiga2).

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«Si Dan Ndoye en manifeste l’envie, nous l’accueillerons bien entendu avec plaisir au LS. Mais nous ne le solliciterons pas, le bon signal ne peut venir que de lui.»

Souleymane Cissé, directeur sportif du LS

Simone Grippo (188 cm) ne sera pas le seul renfort à rallier la Tuilière ces prochains jours. Selon nos informations, Moritz Jenz est sur le point de s’engager avec Lorient et l’Allemand sera remplacé par un autre défenseur central. L’arrivée d’un latéral droit n’est pas non plus à exclure. Quant à Dan Ndoye, qui a été mis sur la liste des partants de l’OGC Nice par Christophe Galtier samedi soir, il n’est pour l’instant pas question qu’il revienne à ses premières amours lausannoises. «Mais s’il en manifestait l’envie, nous l’accueillerions bien entendu avec plaisir au LS, conclut Souleymane Cissé. Mais nous n’allons pas le solliciter, le bon signal ne peut venir que de lui.»

https://www.blick.ch/fr/sport/football/le-ls-resiste-a-lucerne-deux-gamins-tiennent-la-baraque-a-lausanne-id16789283.html

Le LS a deux problèmes à résoudre https://lematin.ch/story/le-ls-a-deux-problemes-a-resoudre-916298600914

Comme le 24heures est muet ces temps on va lire des articles ailleurs. Celui ci est pas mal. Avec notre nouveau renfort qui avait l'air d'être très apprécié et un magnifique "Servète de Genève" lol

https://www.francebleu.fr/infos/culture-loisirs/olivier-delcourt-cinq-ou-six-brebis-galeuses-ca-suffit-a-mettre-un-groupe-en-l-air-1619504475

Merci, article intéressant et franc (sans blabla, quoi)

L’éditorial

L’heure de prendre possession de «votre» stade
Robin Carrel

Rubrique Sports

Je m’en souviens comme si c’était hier. À la fin du siècle dernier, pour éviter les traditionnels bouchons de la Blécherette, ma maman venait nous chercher, mon père et moi, à la sortie de la Pontaise, que nous quittions alors qu’il restait encore quelques minutes à jouer. L’intense frustration que je vivais alors de manquer la joie (ou la peine) de vivre sur place les trois coups de sifflet finals est désormais partagée par les hommes du marketing, qui ne veulent surtout pas voir les gens débarrasser trop tôt les lieux.

Pour (sur)vivre à haut niveau, le Lausanne-Sport, comme toute entreprise sportive qui se veut professionnelle, doit maximiser ses revenus en vous faisant venir le plus tôt possible au stade et en vous y gardant le plus longtemps qu’il le peut. C’est pour ça que les infrastructures modernes ne sont plus des enceintes froides et austères de type soviétique comme pouvait l’être le vénérable Stade Olympique, mais bien des lieux de vie capables de vous attirer 365 jours par an, plutôt qu’une fois toutes les deux semaines quand il y a de la lumière.

Mais pour donner envie aux gens de rester, encore faut-il qu’ils viennent. Cette deuxième inauguration du stade de la Tuilière, déjà fêtée une première fois - en petit comité, pandémie oblige - en novembre dernier, doit permettre au LS de remplir son stade en championnat pour la deuxième fois au XXIe siècle. La première? Contre Sion (0-2), sur la route de la relégation en 2018, et alors que la Pontaise avait été amputée de ses virages et ainsi réduite à 8500 places. Avant? Ça doit remonter à un funeste jour de 1999 que tout bon Lausannois a effacé de sa mémoire, à l’instar de la bataille d’Alésia pour les Gaulois, dans les albums d’Astérix.

Il faut donc impérativement reléguer ces «records» aux oubliettes ce dimanche, et que le public local prenne possession de son écrin en masse. Fin juillet, pour le premier match avec jauge illimitée, le FC Saint-Gall n’a attiré que 4632 personnes. L’affiche contre Bâle, il y a trois semaines, n’a appâté que 5635 chalands.

Ainsi, le Vaudois est plus connu pour faire des théories sur le LS depuis les bistrots qu’en tribunes? Ça tombe bien, il y en a aussi, des zincs, dans les débits de boissons de la Tuilière!

Davantage de monde, davantage de revenus
Moins d’un demi-million, mais plusieurs centaines de milliers de francs tout de même: c’est ce que devrait percevoir le Lausanne-Sport si son stade est plein. Les revenus du jour de match sont primordiaux pour un club, puisqu’ils comptent pour le tiers du budget. «En général, il faut compter 30 à 35% des revenus sur les matches», explique Vincent Steinmann. Le cabinet de consulting Deloitte confirme cette proportion dans une étude parue durant la pandémie. Les situations varient d’un club à l’autre. Lugano n’a pratiquement pas compté dessus, tandis que Lucerne a largement profité des visiteurs dans son stade en 2020. «On sait qu’on risque davantage d’avoir 8000 spectateurs contre Bâle et 4500 contre Lugano que l’inverse», lâche encore le vice-président.

Lausanne axe sa communication sur l’aspect historique de ce stade qui s’ouvre au public pour la première fois: «J’y étais» est le maître-mot. Surtout, remplir le stade de la Tuilière signifie vendre 12’544 places, en partie occupées par des détenteurs d’abonnements. Les billets les moins chers coûtent 5 francs, les plus onéreux - hors VIP - 49 francs. À terme, le club vise une moyenne de 6000 spectateurs par match en Super League.

Un stade plein de spectateurs contient autant de personnes présentes que des potentiellement désireuses de consommer sur place. D’autant plus qu’il est fait pour. Le stade de la Pontaise se faisait vieux. «La bière était sans gaz, la saucisse à moitié cuite», image encore Steinmann. Pour lui, les installations modernes de la Tuilière sont indispensables en Super League. «On peut y générer des chiffres qu’il était impossible d’envisager à la Pontaise», insiste-t-il. Dans l’ordre, la billetterie représente la plus grande partie des revenus du jour de match, suivie par les espaces hospitalité et partenaires, puis les buvettes.

À titre de comparaison, le Lausanne Hockey Club écoule 19’000 boissons en moyenne par rencontre. Son CEO Chris Wolf témoigne de l’importance de ce qui entoure le match. «Pour nous, le repas fait partie intégrante de la soirée», note-t-il. Les efforts payent, puisque les chiffres vont en augmentant. Le LHC vend presque une tonne de frites par match, en plus de tous les autres mets proposés.

Lausanne-Sport s’est préparé pour accueillir les spectateurs quelques heures avant le choc face à Sion. Comme le reste de l’année, un espace famille avec animations et jeux gonflables invite à venir tôt et repartir le plus tard possible. De quoi faire grimper les recettes d’un club qui veut s’inscrire dans l’élite. Rebecca Garcia

La Tuilière en liesse dimanche

Le LS va enfin inaugurer son stade avec son public
La venue du FC Sion à la Tuilière dimanche a été choisie pour introniser officiellement le stade lausannois. Avec les 12’500 spectateurs attendus, la fête s’annonce belle.

André Boschetti

Plus de neuf mois après avoir ouvert - à huis clos - son stade, le Lausanne-Sport s’apprête à célébrer, ce dimanche (16 h 30) contre le club valaisan, son inauguration officielle. En grande pompe et, cette fois, devant ces 12’500 spectateurs que le nouvel écrin lausannois peut accueillir.

Un retard, dû au Covid, qui a changé les plans initiaux de Vincent Steinmann et de son équipe. «Dans un premier temps, rappelle le vice-président du LS, on avait pensé organiser une grande fête qui, le jour du retour du club en Super League, nous aurait permis de saluer comme il se doit la Pontaise pour ensuite rallier en cortège la Tuilière.»

Pour marquer les esprits

Un beau projet auquel la pandémie a mis un terme avant qu’il ne soit vraiment élaboré. Comme celui d’inviter un prestigieux club étranger, pour offrir au public vaudois un match de gala. «Nous nous sommes vite rendu compte que cette hypothèse devait aussi être écartée à cause de notre pelouse synthétique. Une fois le retour du public dans les stades acté, notre choix s’est porté sur cette date du 12septembre et la réception du FC Sion. Un derby qui reste l’une des affiches les plus alléchantes.»

Pour que cette journée reste ancrée dans les mémoires, diverses animations - musicales et autres - sont prévues sur l’esplanade, devant la tribune Sud, dès 14 h 30. «Les DJ du MAD auront ensuite pour mission de faire monter l’ambiance à l’intérieur du stade, précise Vincent Steinmann. Quant à la partie officielle, elle débutera à 16 h en présence de la Municipalité, de membres du Conseil communal, de l’ASF et de la SFL ainsi que de celle de Philippe Leuba.» À l’entrée des équipes sur le terrain, le public pourra admirer un tifo spécial avec 12’000 drapeaux aux couleurs du LS.

Quelques invités de marque viendront s’ajouter à ces politiciens de tous bords, dont le carré des anciens du LS, un club de 130 membres créé il y a deux ans. «Près de la moitié de ces joueurs qui ont marqué notre histoire m’a déjà assuré de leur présence, à commencer par Eric Burgener et Marcel Parietti», se réjouit l’organisateur. Qui a aussi eu l’excellente idée d’impliquer les juniors vaudois, en leur proposant une offre spéciale.

Une foule d’amoureux du club qui ne suffira pas à remplir la Tuilière. «À ce jour, plus de 7000 billets ont été vendus et, sachant que les Vaudois se décident souvent à la dernière minute, je pense que la Tuilière devrait afficher complet, anticipe le dirigeant. Et si tel n’était pas le cas, j’avoue que je serais très déçu. Le seul bémol concerne aujourd’hui les ultras sédunois. Comme ils sont, en Suisse, le dernier groupe de fans à boycotter les matches, je crains que leur secteur reste bien vide. Ensuite, au-delà des résultats mitigés de notre équipe, j’espère que les gens comprendront qu’une telle inauguration ne se passe qu’une fois dans une vie!»

Des tests Covid possibles à la Riponne

Avec le sourire, Vincent Steinmann ne manque pas de lancer une petite pique à tous ceux qui prétendent aimer ce club, mais passent plus de temps à le critiquer qu’à se déplacer pour l’encourager. «Si tous les Vaudois qui suivent et commentent résultats et prestations du LS se décidaient à venir au stade, ce n’est pas la Tuilière qu’on pourrait remplir, mais le Camp Nou!»

Même si 90’000 Vaudois ne vont pas se précipiter sur les hauts de Lausanne dimanche, l’affluence sera conséquente. Et avec les indispensables mesures liées au Covid, des désagréments pourraient gâcher la journée de ceux qui arriveraient au dernier moment. «Tout le monde sera bien sûr contrôlé à l’entrée, précise Vincent Steinmann. Pour éviter les longues files, nous proposerons des points de passage supplémentaires, mais j’encourage nos supporters à arriver très tôt au match. Quant à ceux qui ne disposent pas du certificat Covid et qui désirent faire un test, le centre de la Riponne sera ouvert à leur intention.»

Pour que la fête soit non seulement belle mais surtout réussie, une convaincante victoire lausannoise sera indispensable. À Stjepan Kukuruzovic et Cie de régler ce dernier «détail».

MYTHIQUE :

«Si tous les Vaudois qui suivent et commentent résultats et prestations du LS se décidaient à venir au stade, ce n’est pas la Tuilière qu’on pourrait remplir, mais le Camp Nou!»

Dans sa série de rencontres de Valaisans qui ne supportent pas le FC Sion, Rhône FM est parti à la rencontre d’un Valaisan fan du LS. Preuve qu’on peut tout de même avoir du goût même en étant du Valais

https://www.rhonefm.ch/actualites/ces-valaisans-qui-ne-supportent-pas-le-fc-sion-45-tatom-et-le-ls

Le Matin se bouge (sans trop parler du LS ..)

Les Plaines-du-Loup, terre valaisanne depuis 2013 en Super League
https://lematin.ch/story/les-plaines-du-loup-terre-valaisanne-depuis-2013-en-super-league-834803570198

Le meilleur et le pire des inaugurations de stades
https://lematin.ch/story/le-meilleur-et-le-pire-des-inaugurations-de-stades-174432002519

https://www.watson.ch/fr/sport/football/734205553-super-league-servette-et-lausanne-ont-peu-de-fans-dans-leur-stade

Je suis d accord avec le point 1 il n y a que dans la performance du ls en championnat  qu on pourra faire de bonne affluence

Football

«C’est le moment de fêter enfin un succès»
Dimanche contre le FC Sion, le Lausanne-Sport inaugurera un stade de la Tuilière qui devrait afficher complet. Une belle occasion de briller, selon Stjepan Kukuruzovic.

André Boschetti

Stjepan Kukuruzovic, vous sortez à l’instant d’une séance de yoga. Est-ce une bonne façon de rester zen dans la situation dans laquelle se trouve le Lausanne-Sport?

(Il sourit.) Non, le yoga n’est pas nouveau pour nous. La saison dernière déjà, nous en faisions parfois. Personnellement, ça me plaît assez. Les séances sont variées, et cela change aussi un peu notre routine.

Vous souvenez-vous à quand remonte la dernière victoire du LS à la Tuilière?

(Il réfléchit longtemps.) Bonne question. Non, je ne m’en souviens pas.

C’était le 18 avril dernier, contre Vaduz. Depuis, LS n’a même remporté qu’une seule des douze rencontres suivantes.

C’est peu, oui, mais cette série se déroule sur deux saisons qu’il ne faut pas comparer. Lors de la dernière, nous avions mal terminé un bon exercice. Puis, dans un contexte très différent, nous n’avons pas commencé celle-ci comme on le voulait. Et cette entame ratée nous pèse.

Moralement?

Non, le moral et surtout l’envie de bien faire sont là, intacts. C’est plutôt au niveau de la confiance que ça joue un rôle. On se pose des questions, et ce n’est pas bon du tout de trop gamberger. Lorsque tu es en confiance, tu joues différemment, plus en sécurité et de façon instinctive. Et quand tu ne l’es pas, le moindre problème sur le terrain te perturbe, brouille tes maigres certitudes. Comme à Lucerne où nous avons été plutôt bons jusqu’au but encaissé.

Même si le championnat ne fait que de commencer, il devient urgent d’inverser cette tendance, non?

Absolument. Le moment est venu de tourner la page, de débuter un nouveau chapitre. Je suis confiant sur le fait qu’on y parviendra dimanche, dans un stade plein, acquis à notre cause et à l’occasion d’un derby. Le contexte et le moment sont idéaux. Mais pour y parvenir, l’équipe devra montrer beaucoup de volonté et de solidarité, deux qualités qu’elle possède.

Durant cette période compliquée, les cadres n’ont pas toujours été à la hauteur des attentes. Vous confirmez?

Bien sûr que je me sens en partie responsable de ces mauvais résultats. Comme chacun d’entre nous d’ailleurs. Croyez-moi, je ne suis content ni de nos résultats ni de mes prestations. Je sais que le club et mes jeunes coéquipiers comptent sur moi. En tant que capitaine et joueur le plus expérimenté, je me dois d’être un exemple pour eux. Au même titre que les autres anciens, je me dois d’en faire plus, d’aider davantage les jeunes à se développer, à prendre confiance en leurs moyens.

Pourquoi n’y êtes-vous pas parvenus jusque-là?

En douze ans de carrière pro, j’ai déjà traversé ce genre de périodes difficiles. Pour en sortir, le plus important est de rester calme et positif, car je sais qu’un petit truc peut tout changer. Et en ce qui nous concerne, je suis persuadé qu’une victoire va provoquer ce déclic tant attendu.

Ce derby peut-il être considéré comme un premier tournant pour le LS?

Oui, bien sûr. Et l’équipe est prête à lutter pour aller la chercher. Depuis trois matches, nous jouons mieux, nous montrons la bonne attitude même si nous n’avons pris que deux points. L’atmosphère au sein du groupe est toujours restée bonne, ce qui est primordial.

Jouer dans un stade plein, ou presque, n’est pas une chose habituelle en Suisse.

C’est vrai, à part parfois à Berne et à Bâle, c’est même plutôt rare. Pour le LS, je crois que ça fait même longtemps que cela n’est plus arrivé. Le contexte sera donc extraordinaire pour nous, et nous voulons pleinement en profiter. Mais pour cela, nous devrons gagner.

Dans ce contexte, la pression risque d’être forte, non?

Plus on perd, plus elle augmente. Mais on se doit de la supporter et de ne pas perdre la tête. Pour cela, il faudra jouer de façon simple et bien appliquer notre plan de jeu. Et pour que le public soit l’énorme soutien espéré, nous devrons le conquérir en lui montrant que l’équipe joue avec son cœur et en mettant beaucoup d’intensité.

Avec le recul, ne pensez-vous pas que le groupe a un peu trop subi de changements durant l’été?

Je ne sais pas. Dans un premier temps, cela a peut-être joué un rôle mais plus maintenant. Je suis certain que ce groupe a toutes les qualités aujourd’hui pour réaliser une aussi bonne saison que la dernière. À nous de le montrer sur le terrain. Dès dimanche.

L’avant-match
LS - Sion, la Tuilière, dimanche 16 h 30

Les absents Geissmann, Turkes, Koyalipou, Brown, Grippo (blessés). Arrivé il y a deux semaines, le défenseur marocain Fouad Chafik est prêt à effectuer ses grands débuts, contrairement à Simone Grippo, touché aux adducteurs.

Huit C’est le chiffre qui fait mal pour le LS. Cela fait déjà huit ans que les Vaudois n’ont plus battu le FC Sion à Lausanne. Leur dernière victoire remonte au 14 décembre 2013. Ils ont aussi perdu leurs huit dernières confrontations - sept en championnat et une en Coupe - dont les deux dernières à la Tuilière la saison passée (0-1 et 1-3).

FC Sion Les Valaisans restent sur une bonne série de deux victoires et un nul mais, après cinq journées, ils ne comptent qu’un point seulement de plus que la saison passée. «Sion est une équipe mieux équilibrée et plus solidaire que l’an dernier. De plus, elle est en confiance», souligne Ilija Borenovic.

Ilija Borenovic «Mes joueurs sont chauds bouillants pour ce derby! Dans un stade plein, nous allons tout faire pour décrocher notre première victoire de la saison.»

Et un papier sur ... Sion :
Sion veut refaire le(s) coup(s)
https://lematin.ch/story/sion-veut-refaire-le-s-coup-s-362303367907

https://www.20min.ch/fr/video/gagner-un-derby-devant-du-monde-a-la-tuiliere-ce-serait-beau-718658990342

Commentaire: Bertschy à Fribourg, un désaveu pour Svoboda et le LHC
https://lematin.ch/story/commentaire-bertschy-a-fribourg-un-desaveu-pour-svoboda-et-le-lhc-439695609392

Rien à voir avec le LS...

Lausanne ne sait toujours pas gagner un match
Dans une Tuilière pleine pour l’occasion, le LS laisse passer sa chance après l’avoir saisie (1-1). Le souci d’efficacité collective est toujours présent.

Daniel Visentini
Publié aujourd’hui à 19h32

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Des duels et pas de vainqueur entre le LS et le FC Sion. Les Vaudois attendent toujours une première victoire…

KEYSTONE
Enflée d’un espoir qui a grossi dans les tribunes de la Tuilière dès le milieu de l’après-midi, la promesse disait le moment spécial. Un derby, bien sûr, contre Sion, mais un match dans un stade enfin plein, pour sa «vraie» inauguration.

Avec le public, sans restriction de nombre, sans mesures particulières, mis à part un pass sanitaire. Le temps d’avant, l’idée d’un nouveau départ pour ce LS qui en avait bien besoin après son début de saison en catimini et qui visait les trois points, pour une première victoire cette saison. Autant dire que ce nul contre Sion n’arrange pas ses affaires, Lausanne reste en queue de classement.

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Lanterne rouge au coup d’envoi (c’est désormais Lucerne, à la différence de buts), le Lausanne-Sport se savait au pied du mur devant ses 12’150 supporters. On pouvait croiser du beau monde dans les tribunes, des politiciens, bien sûr. Des techniciens du foot aussi. Et tous ces supporters venus pour porter le LS vers quelque chose de mieux.

Des frayeurs d’abord

Rien de simple sur le terrain pourtant. Ce Sion qui a su reprendre des couleurs est un animal curieux, volontairement prêt à exploiter les fébrilités adverses en rupture. Dans son architecture, un 4-1-4-1, il y a le souci de la solidité. Dans son catéchisme, la volonté de vite faire mal. Rien de folichon en réalité. Mais du danger en filigrane, parfois.

Les Lausannois l’ont mesuré dès la troisième minute. Une tête trop facile de Tosetti, un placement aléatoire de Monteiro, pris dans son dos, et Stojilkovic filait seul affronter Diaw. Gros sauvetage du portier.

Ce LS un brin fébrile, se laissait encore prendre à la 12e minute, Zuffi trouvant Araz, dans un intervalle (tir croisé qui ne fait pas mouche). Dans les tribunes de la Tuilière, des frissons.

Des manques dans le jeu

Il fallait un peu de temps, un peu de confiance aux Vaudois pour mettre le pied sur le ballon. Pour se donner des idées. Petit à petit, une forme d’assurance est apparue. Elle doit autant à ce Sion minimaliste qu’aux essais, souvent désordonnés, des Lausannois.

C’est sur son côté gauche que Lausanne cherchait le plus fréquemment des solutions. Là où Tosetti laissait de l’espace à Suzuki. Mais dans les schémas, il manquait toujours quelque chose: de la précision, dans les gestes ou les mouvements.

Il manquait aussi la patte de Cameron Puertas. Le No 10, trop discret dans l’entonnoir du milieu voulu par Sion, ne touchait pas les ballons souhaités. C’est sur son premier éclat que tout a changé. Une inspiration, une prise de balle après s’être décalé sur la gauche, et ce coup d’œil en direction de Chafik, seul sur la droite. Un centre et la tête parfaite de Mahou: c’était la première occasion du LS, elle faisait aussitôt chavirer le stade tout entier.

Soucis d’efficacité

C’est après la pause que Lausanne aurait pu enfoncer le clou. C’est là que ses soucis en zone 3 ont miné l’exercice. Sur corner (tête de Monteiro), sur une volée de Kukuruzovic (centre de Puertas), sur ces moments où la dernière passe a fait défaut, le LS a laissé passé sa chance.

Imperceptiblement, grandis par le manque de précision des Vaudois, les Valaisans reprenaient du volume. Au temps fort du LS, celui du FC Sion répondait.

Une forme de pression, l’entrée en jeu à la pause déjà de Hoarau: une menace lors des balles aériennes bien sûr. C’est justement sur un centre de Wesley que le buteur valaisan faisait taire tout un stade, sur une déviation de la tête, forcément.

Il restait un gros quart d’heure. Il fut sans surprise, avec un Lausanne qui retrouvait des élans, avec un Sion plus calculateur après l’égalisation, mais pas assez pour ne pas terminer à dix: tous les changements avaient été faits quand Araz s’est blessé à la 87e minute.

Un derby, encore

Le rush final du LS n’a pas débouché sur des solutions limpides, la preuve qu’il y a encore beaucoup de travail sur le chemin de l’efficacité. Replié dans ses trente derniers mètres, Sion a fait obstacle sans trop de problème pour s’accrocher à ce point du nul.

Les mouvements sans réels schémas des Vaudois ne faisaient pas la différence. Il y a comme un souci d’animation dans l’entre-jeu, avec des équilibres à trouver. Trois nuls, trois défaites, aucune victoire: il y a évidemment quelque chose qui cloche. Et c’est à Ilija Borenovic de rapidement débloquer la situation qui s’installe comme une fatalité.

Le Lausanne-Sport va maintenant se concentrer sur la Coupe, avec son déplacement à Bulle, vendredi soir. Après, ce sera un nouveau derby en championnat, à Genève, contre un Servette qui a écrasé 5-1 un Saint-Gall réduit à dix dès les premières minutes.

La Tuilière inaugurée
Cette fois, les Vaudois ont vraiment leur stade de foot
Avec un stade plein et 12’150 spectateurs présents pour l’inauguration officielle de la Tuilière, le Lausanne-Sport a définitivement tourné la page de la Pontaise. Il lui a manqué la victoire, mais l’ambiance était là.

Cela peut surprendre. «Quand vous appelez vos défenseurs et qu’ils ne vous entendent pas, vous comprenez que quelque chose a changé.» Mory Diaw a sa manière de raconter la belle journée de la Tuilière. Il y avait du monde, 12’150 personnes (à guichets fermés, si l’on excepte le secteur réservé aux fans du FC Sion, lequel n’était pas plein), et c’était une douce façon de mettre à l’honneur – enfin – officiellement la nouvelle arène du Lausanne-Sport. Un an après sa mise en fonction, les Vaudois ont désormais pris possession de leur stade de football, et ils peuvent en être fiers. La répétition est porteuse de sens: cet écrin-là dégage quelque chose qui profite au jeu et à ses joueurs.

La transition avec la Pontaise est dorénavant totalement actée. Même les anciens qui ont aimé grandir et vieillir aux Plaines-du-Loup trouveront leur plaisir un peu plus haut sur le plateau de la Blécherette. Vincent Steinmann en avait d’une certaine façon fait son credo: «A la Pontaise, on venait au match et rien que pour le match, affirme le vice-président du LS. Là, les gens ont pu s’apercevoir qu’il y avait une véritable expérience, pour les 7 à 77 ans. C’est vachement cool. Tu viens avec tes potes, tu as un espace famille, il y a le kop. Les anciens sont aussi là. Tout cela est bien différent de ce qu’on avait avant.» Dimanche soir, la rencontre s’était achevée depuis une bonne heure que le bar intégré au stade demeurait bien rempli. À la Tuilière, les fidèles savent déjà qu’ils y viendront tôt pour en repartir tard.

«Nous y sommes enfin»
Et cette journée quelque peu spéciale permettra d’en garder un certain souvenir. Les gosses avaient beau être rappelés à l’ordre par le speaker lorsqu’ils ont piétiné la pelouse synthétique à la fin du match, ils se rappelleront avoir couru après Mory Diaw et Cameron Puertas ou alors serré la main d’un Christian Constantin beau joueur. Il fallait sans doute cette façon de commencer l’histoire, même avec près d’un an de retard sur le calendrier.

«Nous y sommes enfin», clamait même dans le micro du stade un speaker qui avait déjà fait le chemin depuis une bonne année. Contre Young Boys, le 29 novembre 2020, le Conseiller d’État Philippe Leuba était déjà là, comme le président du club Bob Ratcliffe, pour couper le ruban. Cette fois, ils ont donné le coup d’envoi fictif en compagnie d’Émilie Moeschler, Municipale en charge des sports. Il y a un an, c’était son prédécesseur Oscar Tosato qui était à sa place.

Symbole d’une transition qui s’est étalée. Mais il y avait dimanche le sentiment d’un vrai départ. Celui qui devra avoir des suites, pour confirmer. Comment capitaliser là-dessus? «Sans le souffle du sportif, ce sera difficile de remplir, accepte Steinmann. Mais si les résultats suivent, les gens auront un vrai plaisir de venir voir du foot ici. Il faut surtout qu’ils apprécient se rendre au stade, pour le moment qu’il y a à y passer. Au hockey, par exemple, ce n’est pas les résultats qui font venir les gens, avec près de 60 matches par saison. Et pourtant, ils sont là.»

Dimanche, le LS aurait adoré remercier son public. «C’était un sentiment incroyable, et nous avons une certaine tristesse de ne pas avoir pu lui offrir une victoire», a même soupiré l’entraîneur Ilija Borenovic. Peut-être son équipe a-t-elle été un temps décontenancée par une ambiance nouvelle. Gageons que si elle devait se reproduire toutes les deux semaines, elle s’en accommodera rapidement.

Le cercle vicieux du LS
https://lematin.ch/story/le-cercle-vicieux-du-ls-633836773413

Le LS se tire d’un sacré traquenard à Bulle
Football

Les Lausannois ont eu besoin des prolongations pour rejoindre les 8es de finale de la Coupe de Suisse. Bulle les a fait suer (2-3).

Il est celui qui a tout rendu un peu plus facile au premier tour de la compétition, un après-midi de derby à Échichens. Une bicyclette venue d’ailleurs et le LS évitait de devenir la risée du canton.

Une fois de plus, les Lausannois peuvent dire merci à Cameron Puertas. L’homme qui suscite l’intérêt des grands. Mais l’homme, surtout, qui va faire le job contre les petits. En se regardant dans les yeux ou dans le miroir vendredi soir en rejoignant le vestiaire de Bouleyres, chaque Vaudois ne pouvait pas en dire autant. Le fait est que Lausanne a été pris de panique, rattrapé par sa jeunesse contre Bulle, solide mais forcément modeste formation de 1re ligue. Pris d’assaut par sa fragilité, alors même que son numéro 10 l’avait placé sur une voie royale. Alors même que le pensionnaire de Super League menait 0-2 après 11 minutes de jeu.

Aucun autre dénouement qu’une victoire ne pouvait dès lors se dessiner. Et pourtant Deux buts inventés plus tard, la troupe d’Ilija Borenovic avait vu les Fribourgeois arracher les prolongations. Il a fallu jouer la montre, inventer des crampes et s’en remettre à Cameron Puertas pour éviter le camouflet. 94e, un corner, un troisième assist pour le Lausannois, qui permettait à Zeki Amdouni d’enlever une immense épine du pied de son équipe.

Cinq jours après avoir vu l’inauguration de sa Tuilière gâchée par Sion, le LS finissait ainsi par gâcher à son tour la fête en Gruyère. Avec 1400 supporters et un suspense retrouvé de manière inespérée, celle-ci aura été plus belle qu’attendue. Même si Lausanne se serait bien passé de tant d’émotions.Sport-Center

Joli commentaire dans 24h de ce jour (oss117):

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Ineos réussira-t-il à réaliser la performance inouïe de cumuler en cinq ans les deux seules relégations sportives du LS dans l’histoire ? Pour parvenir à ce bilan transcendantal notre club possède en effet trois atouts maîtres: Bob « I don’t care » Ratcliffe, Souleyman « ligue 2 et classe-biberon » Cissé et Ilija « petit scarabée » Borenovic. Si avec ça on arrive pas à assurer une quadruple confrontation avec Kriens et le SLO en 2022-2023 c’est que véritablement l’équité sportive serait bafouée. Et si, de là haut, les « seigneurs de la nuit » nous regardent implorons leur pardon…

Dans un autre registre le seul vaudois du navire Vincent Steinmann mérite lui le titre et la Ligue des Champions. Au moins on assurera haut la main le titre officieux de champion de Suisse du marketing !
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kok9 a écrit:Joli commentaire dans 24h de ce jour (oss117):

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Ineos réussira-t-il à réaliser la performance inouïe de cumuler en cinq ans les deux seules relégations sportives du LS dans l’histoire ? Pour parvenir à ce bilan transcendantal notre club possède en effet trois atouts maîtres: Bob « I don’t care » Ratcliffe, Souleyman « ligue 2 et classe-biberon » Cissé et Ilija « petit scarabée » Borenovic. Si avec ça on arrive pas à assurer une quadruple confrontation avec Kriens et le SLO en 2022-2023 c’est que véritablement l’équité sportive serait bafouée. Et si, de là haut, les « seigneurs de la nuit » nous regardent implorons leur pardon…

Dans un autre registre le seul vaudois du navire Vincent Steinmann mérite lui le titre et la Ligue des Champions. Au moins on assurera haut la main le titre officieux de champion de Suisse du marketing !
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Précision : Cest un post d'un lecteur de 24 heures et non pas d'un journaliste.