Les articles de presse (pas de commentaire !)
+66
ADC
El Nino
Heaphy
LsLover
AxeLS
michel222
monavis
fatpig
lausarme
hluna
Mouais
alpha_1426
Reckless One
Midjigigi
tito1023
Matt
j-l
Nord's Fan
Gimli
Le Vaudois
football fan
jb
RES
Lousonna
Julien F.
Bernard
TKP
Morello
lsboy
schtroumpf
Victorious
lamadechine
Verlaat
cailloux
roestigraben
Minime
Topper
stefvs10
kok9
Shogun
bonzai
elchattardo
RRafa9
Tondu
Badeafan
Homer
f-alex1997
Clash
clarensindep
@LS88
micky
XxoD
TimG
plik
El Lutin
Scoopex
PatoCojo
pizzaiolo
mic
Blue Raph
rv
maxi
dudu
Lessing
centvingt
LKK
70 participants
Page 1 sur 40
Page 1 sur 40 • 1, 2, 3 ... 20 ... 40
Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le LS version Marco Simone passe un test grandeur nature
Ce soir au Stade de Suisse, face à YB, l’Italien dirigera pour la première fois l’équipe en championnat. Y verra-t-on déjà sa «patte»?
Voilà maintenant 17 jours que Marco Simone et le nouveau staff technique ont pris les commandes du Lausanne-Sport. Le temps de se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe de Suisse (succès 3-0 à Brühl), de disputer un match amical (1-0 face à la CFA de Sochaux) et, surtout, de préparer le match de ce soir, à Berne, face aux Young Boys. Un premier test grandeur nature – autrement dit à l’aune de la Super League – qui fournira de bonnes indications sur la capacité de cette équipe à rebondir. Cela même s’il faudra sans doute un peu plus de temps à l’Italien pour donner véritablement forme à la mission sauvetage qui s’engage.
Un déficit physique «Pendant les quelques jours à disposition, nous nous sommes concentrés sur les domaines les plus essentiels, explique Marco Simone. L’aspect psychologique d’abord, avec des joueurs bien sûr touchés par la série de résultats négatifs qu’ils ont connus. Le travail physique, en constatant qu’il existait malheureusement des déficits assez importants. On a essayé de le faire le plus souvent avec le ballon, de façon à faire passer la pilule en douceur. Et enfin l’aspect tactique, naturellement très important. »
Une nouvelle organisation A Brühl, en Coupe, le LS se présentait en 3-5-2, avec l’envie manifeste de mettre un maximum de forces et d’envie dans le jeu vers l’avant. La formule sera-t-elle reconduite en championnat? «Nous sommes effectivement partis sur ce système. Mais les joueurs doivent être capables de s’exprimer dans différentes organisations, parfois en s’adaptant aux événements au cours d’un même match. Pour moi, ce qui compte le plus, au-delà de la question du système, c’est l’interprétation de ce qui est demandé, ainsi que l’attitude des joueurs. Le fait d’avoir une mentalité offensive concerne ainsi tous les secteurs de jeu. A Brühl, Ming et Ekeng – deux milieux de terrain – ont marqué. On défend à onze et on attaque à onze. »
Même s’ils traversent une période difficile, les Young Boys représentent un défi plutôt relevé. «Il s’agira d’un autre impact physique et d’une qualité supérieure, c’est vrai. Mais ce que nous avons entrepris demande de la continuité. Je n’en dirai pas plus sur les modalités du match qui nous attend. Sur le fond, il nous reste beaucoup de choses à régler. Mais les joueurs m’ont montré, à Brühl et dans le travail au quotidien, qu’ils étaient réceptifs. L’équipe ne peut donc que s’améliorer. Et sa marge est importante. »
Grignoter jusqu’à Noël Il reste quatre matches de championnat avant la pause d’hiver. «Nous misons beaucoup sur la préparation qui sera faite en janvier. Mais, avant, il faut profiter de ce qui reste à jouer pour grignoter quelques points et améliorer notre position pour la seconde partie du championnat», assure Simone. L’équipe aura-t-elle surmonté certains traumatismes du début de saison? «On ne peut exclure le risque d’être rattrapés par quelques vieux démons. Mais je suis plutôt optimiste. Les joueurs travaillent bien, et je crois qu’une certaine confiance est présente. »
Pour le déplacement à Berne, le LS enregistre le retour de Gabri. Feindouno a repris l’entraînement hier, mais il devra encore patienter avant de songer à la compétition. Meoli, De Pierro et Pimenta sont indisponibles.
Margairaz ne viendra pas Le LS dispose encore de trois licences possibles pour cette saison. Autrement dit, il ne faudra plus se tromper. Xavier Margairaz, qui s’entraînait avec l’équipe ces dernières semaines, ne viendra pas. En ne voulant pas disputer le match face à Sochaux, samedi dernier, pour des raisons personnelles, il s’est en quelque sorte exclu de lui-même. Comme nous l’a confirmé Marco Simone. Le cas du Franco-Congolais Blanstel Koussalouka (un milieu de terrain de 22 ans) est en suspens. «C’est un joueur que je connais de Monaco. Je souhaitais voir comment il pouvait agir et interagir dans ce groupe. Aucune décision n’est encore prise. Sinon, j’ai bien sûr quelques idées concernant des renforts. »
Et s’il pouvait là, instantanément, sans limites financières, prendre le joueur de son choix?(Sourire. )«Je ne suis pas très original en répondant Messi. Il vaut 60 buts par saison. L’équipe qui possède un tel joueur part automatiquement avec un goal d’avance. »
Janvier au chaud Parmi les particularismes helvétiques, le climat figure en bonne place. On pense à celui de janvier et février en particulier: neige, froid vif, bise parfois soutenue, terrains qui ressemblent à des parkings, vraiment rien pour se préparer dans de bonnes conditions lorsqu’on joue au football. Ainsi, Marco Simone a obtenu des dirigeants lausannois l’assurance d’un stage de deux semaines au soleil.
Le LS reprendra donc l’entraînement le 5 janvier. Dès le 6, l’équipe mettra le cap au sud, soit en Espagne, soit en Afrique du Nord, la destination n’étant pas encore arrêtée.
www.24heures.ch/
Ce soir au Stade de Suisse, face à YB, l’Italien dirigera pour la première fois l’équipe en championnat. Y verra-t-on déjà sa «patte»?
Voilà maintenant 17 jours que Marco Simone et le nouveau staff technique ont pris les commandes du Lausanne-Sport. Le temps de se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe de Suisse (succès 3-0 à Brühl), de disputer un match amical (1-0 face à la CFA de Sochaux) et, surtout, de préparer le match de ce soir, à Berne, face aux Young Boys. Un premier test grandeur nature – autrement dit à l’aune de la Super League – qui fournira de bonnes indications sur la capacité de cette équipe à rebondir. Cela même s’il faudra sans doute un peu plus de temps à l’Italien pour donner véritablement forme à la mission sauvetage qui s’engage.
Un déficit physique «Pendant les quelques jours à disposition, nous nous sommes concentrés sur les domaines les plus essentiels, explique Marco Simone. L’aspect psychologique d’abord, avec des joueurs bien sûr touchés par la série de résultats négatifs qu’ils ont connus. Le travail physique, en constatant qu’il existait malheureusement des déficits assez importants. On a essayé de le faire le plus souvent avec le ballon, de façon à faire passer la pilule en douceur. Et enfin l’aspect tactique, naturellement très important. »
Une nouvelle organisation A Brühl, en Coupe, le LS se présentait en 3-5-2, avec l’envie manifeste de mettre un maximum de forces et d’envie dans le jeu vers l’avant. La formule sera-t-elle reconduite en championnat? «Nous sommes effectivement partis sur ce système. Mais les joueurs doivent être capables de s’exprimer dans différentes organisations, parfois en s’adaptant aux événements au cours d’un même match. Pour moi, ce qui compte le plus, au-delà de la question du système, c’est l’interprétation de ce qui est demandé, ainsi que l’attitude des joueurs. Le fait d’avoir une mentalité offensive concerne ainsi tous les secteurs de jeu. A Brühl, Ming et Ekeng – deux milieux de terrain – ont marqué. On défend à onze et on attaque à onze. »
Même s’ils traversent une période difficile, les Young Boys représentent un défi plutôt relevé. «Il s’agira d’un autre impact physique et d’une qualité supérieure, c’est vrai. Mais ce que nous avons entrepris demande de la continuité. Je n’en dirai pas plus sur les modalités du match qui nous attend. Sur le fond, il nous reste beaucoup de choses à régler. Mais les joueurs m’ont montré, à Brühl et dans le travail au quotidien, qu’ils étaient réceptifs. L’équipe ne peut donc que s’améliorer. Et sa marge est importante. »
Grignoter jusqu’à Noël Il reste quatre matches de championnat avant la pause d’hiver. «Nous misons beaucoup sur la préparation qui sera faite en janvier. Mais, avant, il faut profiter de ce qui reste à jouer pour grignoter quelques points et améliorer notre position pour la seconde partie du championnat», assure Simone. L’équipe aura-t-elle surmonté certains traumatismes du début de saison? «On ne peut exclure le risque d’être rattrapés par quelques vieux démons. Mais je suis plutôt optimiste. Les joueurs travaillent bien, et je crois qu’une certaine confiance est présente. »
Pour le déplacement à Berne, le LS enregistre le retour de Gabri. Feindouno a repris l’entraînement hier, mais il devra encore patienter avant de songer à la compétition. Meoli, De Pierro et Pimenta sont indisponibles.
Margairaz ne viendra pas Le LS dispose encore de trois licences possibles pour cette saison. Autrement dit, il ne faudra plus se tromper. Xavier Margairaz, qui s’entraînait avec l’équipe ces dernières semaines, ne viendra pas. En ne voulant pas disputer le match face à Sochaux, samedi dernier, pour des raisons personnelles, il s’est en quelque sorte exclu de lui-même. Comme nous l’a confirmé Marco Simone. Le cas du Franco-Congolais Blanstel Koussalouka (un milieu de terrain de 22 ans) est en suspens. «C’est un joueur que je connais de Monaco. Je souhaitais voir comment il pouvait agir et interagir dans ce groupe. Aucune décision n’est encore prise. Sinon, j’ai bien sûr quelques idées concernant des renforts. »
Et s’il pouvait là, instantanément, sans limites financières, prendre le joueur de son choix?(Sourire. )«Je ne suis pas très original en répondant Messi. Il vaut 60 buts par saison. L’équipe qui possède un tel joueur part automatiquement avec un goal d’avance. »
Janvier au chaud Parmi les particularismes helvétiques, le climat figure en bonne place. On pense à celui de janvier et février en particulier: neige, froid vif, bise parfois soutenue, terrains qui ressemblent à des parkings, vraiment rien pour se préparer dans de bonnes conditions lorsqu’on joue au football. Ainsi, Marco Simone a obtenu des dirigeants lausannois l’assurance d’un stage de deux semaines au soleil.
Le LS reprendra donc l’entraînement le 5 janvier. Dès le 6, l’équipe mettra le cap au sud, soit en Espagne, soit en Afrique du Nord, la destination n’étant pas encore arrêtée.
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/lausanne-defie-yb-stade-suisse/story/25194643
http://www.lematin.ch/sports/football/ekeng-clairement-premier/story/13308546
http://www.lematin.ch/sports/football/ekeng-clairement-premier/story/13308546
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Pas vilain du tout, ce LS concède sa défaite la moins désespérante
La patte de Marco Simone est bien réelle. Nouvelle organisation, nouvel esprit et nouvelle envie. Intéressant!
«J’ai vu l’équipe s’exprimer comme je le voulais. Pour moi, ce match représente beaucoup de satisfactions. Il s’agit d’une belle défaite.» Au Stade de Suisse, où le LS venait de concéder son 13e revers de l’exercice, les propos de Marco Simone pouvaient surprendre. Comment un nouveau coach, Italien de surcroît, parvenait-il à s’accommoder ainsi d’une défaite? «J’ai vu des choses qui peuvent nous aider pour la suite», lâchait-il en guise de complément. Et c’est vrai que, dans leur nouvelle organisation, avec un goût beaucoup plus prononcé pour le jeu vers l’avant, les Lausannois ont livré un match avec pas mal de contenu. Et donc de promesses.
A nouveau disposé en 3-5-2, qui plus est avec deux hommes de couloir à vocation essentiellement offensive (Khelifi et Tafer), le visiteur a d’emblée montré qu’il n’était pas venu à Berne pour se cacher ou pour – comme c’était souvent le cas avec Laurent Roussey – tenter de neutraliser l’adversaire avant de porter son effort. Un bloc plus haut et l’utilisation du pressing ont d’ailleurs très vite montré que les Young Boys (éliminés par Le Mont en Coupe de Suisse, quinze jours plus tôt) n’affichaient pas la sérénité d’une formation appartenant au trio de tête du championnat.
Le jeune Ming posté devant la défense, Zambrella et Ekeng en relayeurs, Ravet positionné près de Coly en pointe, ce LS faisait preuve d’un certain allant. On en était donc à disserter sur le nouveau visage proposé lorsque, suite à un ballon perdu près du poteau de corner, Frey parvint à adresser un centre qui permit à Zarate de dominer Sonnerat pour inscrire le 1-0. Première alerte et premier but concédé, autrement dit un air de déjà-vu. Idem pour le 2-0, avec des espaces dont profitèrent Frey d’abord (arrêt de Fickentscher), puis Nuzzolo.
La question de l’équilibre se posait soudainement avec acuité. Comment attaquer tous ensemble sans trop s’exposer? Un thème que le «directeur technique» du LS balayait pourtant: «Pour moi, l’équilibre était parfait. Il correspondait en tout cas à ce que j’avais demandé. Les buts que nous avons pris sont le fait de situations individuelles (Ekeng qui ne dégage pas et se fait prendre la balle, par exemple) ou d’erreurs techniques (mauvaise passe de Zambrella sur le troisième but).»
Tafer très en vue
En admettant que ses nouvelles dispositions donnent au LS, dans un délai plus ou moins rapproché, une autre allure et de meilleures perspectives, il sera à notre sens plus difficile de gommer le déficit qui tient aux limites mêmes de bon nombre de ses individualités. C’est vrai, jamais les Lausannois ne s’étaient ménagé autant d’occasions nettes cette saison (six, sans compter les buts, pour quatre joueurs différents; contre quatre au total pour les Bernois). Mais le constat final reste pour l’instant identique: trop de perméabilité derrière et pas suffisamment d’efficacité devant.
Après la pause, Coly – qui a par ailleurs galvaudé deux grosses opportunités – à inscrit le premier but lausannois, Tafer (superbe frappe de 25 mètres) le second. Par son abattage et la qualité de ses initiatives, le gaucher a d’ailleurs constitué l’une des belles satisfactions de cette soirée pluvieuse et froide. «Ce match était à notre portée, relevait pour sa part Patrick Ekeng. Ce nouveau système demande un temps d’adaptation. Il faut donc prendre toutes les bonnes choses vues au Stade de Suisse pour continuer à grandir.»
Dimanche, le visiteur de la Pontaise aura pour nom le FC Thoune. L’occasion de confirmer la viabilité du projet lausannois, tout en l’assortissant de quelque(s) point(s). Cette équipe a su raviver un certain intérêt. La balle est plus que jamais dans son camp.
Young Boys - LS 3-2 (2-0) Stade de Suisse . 13 858 spect. Arbitre: M. Erlachner. Buts: 11e Zarate 1-0, 20e Nuzzolo 2-0, 47e Coly 2-1, 67e Nuzzolo 3-1, 73e Tafer 3-2. Young Boys: Wölfli; Sutter, Von Bergen (83e Affolter), Rochat, Spycher; Costanzo, Gajic; Zarate, Frey (72e Kubo), Nuzzolo (72e Afum); Gerndt. Lausanne: Fickentscher; Chakhsi (63e Banana), Katz, Sonnerat; Tafer, Ekeng (72e Kadusi), Ming, Zambrella (78e Kadusi), Khelifi; Coly, Ravet. Notes: YB sans Bürki, Doubaï, Simpson (blessés) et Veskovac (suspendu). Lausanne sans Avanzini, Castella, De Pierro, Feindouno, Meoli et Pimenta (blessés). Avertissements: 7e Zambrella, 60e Chakhsi, 75e Gabri, 81e Costanzo, 84e Ming.
François Ruffieux Berne
Pas vilain du tout, ce LS concède sa défaite la moins désespérante
La patte de Marco Simone est bien réelle. Nouvelle organisation, nouvel esprit et nouvelle envie. Intéressant!
«J’ai vu l’équipe s’exprimer comme je le voulais. Pour moi, ce match représente beaucoup de satisfactions. Il s’agit d’une belle défaite.» Au Stade de Suisse, où le LS venait de concéder son 13e revers de l’exercice, les propos de Marco Simone pouvaient surprendre. Comment un nouveau coach, Italien de surcroît, parvenait-il à s’accommoder ainsi d’une défaite? «J’ai vu des choses qui peuvent nous aider pour la suite», lâchait-il en guise de complément. Et c’est vrai que, dans leur nouvelle organisation, avec un goût beaucoup plus prononcé pour le jeu vers l’avant, les Lausannois ont livré un match avec pas mal de contenu. Et donc de promesses.
A nouveau disposé en 3-5-2, qui plus est avec deux hommes de couloir à vocation essentiellement offensive (Khelifi et Tafer), le visiteur a d’emblée montré qu’il n’était pas venu à Berne pour se cacher ou pour – comme c’était souvent le cas avec Laurent Roussey – tenter de neutraliser l’adversaire avant de porter son effort. Un bloc plus haut et l’utilisation du pressing ont d’ailleurs très vite montré que les Young Boys (éliminés par Le Mont en Coupe de Suisse, quinze jours plus tôt) n’affichaient pas la sérénité d’une formation appartenant au trio de tête du championnat.
Le jeune Ming posté devant la défense, Zambrella et Ekeng en relayeurs, Ravet positionné près de Coly en pointe, ce LS faisait preuve d’un certain allant. On en était donc à disserter sur le nouveau visage proposé lorsque, suite à un ballon perdu près du poteau de corner, Frey parvint à adresser un centre qui permit à Zarate de dominer Sonnerat pour inscrire le 1-0. Première alerte et premier but concédé, autrement dit un air de déjà-vu. Idem pour le 2-0, avec des espaces dont profitèrent Frey d’abord (arrêt de Fickentscher), puis Nuzzolo.
La question de l’équilibre se posait soudainement avec acuité. Comment attaquer tous ensemble sans trop s’exposer? Un thème que le «directeur technique» du LS balayait pourtant: «Pour moi, l’équilibre était parfait. Il correspondait en tout cas à ce que j’avais demandé. Les buts que nous avons pris sont le fait de situations individuelles (Ekeng qui ne dégage pas et se fait prendre la balle, par exemple) ou d’erreurs techniques (mauvaise passe de Zambrella sur le troisième but).»
Tafer très en vue
En admettant que ses nouvelles dispositions donnent au LS, dans un délai plus ou moins rapproché, une autre allure et de meilleures perspectives, il sera à notre sens plus difficile de gommer le déficit qui tient aux limites mêmes de bon nombre de ses individualités. C’est vrai, jamais les Lausannois ne s’étaient ménagé autant d’occasions nettes cette saison (six, sans compter les buts, pour quatre joueurs différents; contre quatre au total pour les Bernois). Mais le constat final reste pour l’instant identique: trop de perméabilité derrière et pas suffisamment d’efficacité devant.
Après la pause, Coly – qui a par ailleurs galvaudé deux grosses opportunités – à inscrit le premier but lausannois, Tafer (superbe frappe de 25 mètres) le second. Par son abattage et la qualité de ses initiatives, le gaucher a d’ailleurs constitué l’une des belles satisfactions de cette soirée pluvieuse et froide. «Ce match était à notre portée, relevait pour sa part Patrick Ekeng. Ce nouveau système demande un temps d’adaptation. Il faut donc prendre toutes les bonnes choses vues au Stade de Suisse pour continuer à grandir.»
Dimanche, le visiteur de la Pontaise aura pour nom le FC Thoune. L’occasion de confirmer la viabilité du projet lausannois, tout en l’assortissant de quelque(s) point(s). Cette équipe a su raviver un certain intérêt. La balle est plus que jamais dans son camp.
Young Boys - LS 3-2 (2-0) Stade de Suisse . 13 858 spect. Arbitre: M. Erlachner. Buts: 11e Zarate 1-0, 20e Nuzzolo 2-0, 47e Coly 2-1, 67e Nuzzolo 3-1, 73e Tafer 3-2. Young Boys: Wölfli; Sutter, Von Bergen (83e Affolter), Rochat, Spycher; Costanzo, Gajic; Zarate, Frey (72e Kubo), Nuzzolo (72e Afum); Gerndt. Lausanne: Fickentscher; Chakhsi (63e Banana), Katz, Sonnerat; Tafer, Ekeng (72e Kadusi), Ming, Zambrella (78e Kadusi), Khelifi; Coly, Ravet. Notes: YB sans Bürki, Doubaï, Simpson (blessés) et Veskovac (suspendu). Lausanne sans Avanzini, Castella, De Pierro, Feindouno, Meoli et Pimenta (blessés). Avertissements: 7e Zambrella, 60e Chakhsi, 75e Gabri, 81e Costanzo, 84e Ming.
François Ruffieux Berne
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Et si la saison du LS ne faisait que commencer…
Photo d’équipe, nouveau système et ambition toute fraîche. Le point avant la visite de Thoune, dimanche à la Pontaise
Un timide soleil de novembre fait mine de réchauffer le stade de la Pontaise. Il est 14 heures, ce vendredi, lorsque les joueurs, le staff et les dirigeants du Lausanne-Sport prennent la pose pour la photo d’équipe officielle. Comme si cette saison 2013/14, entamée en juillet, démarrait véritablement avec l’arrivée de Marco Simone.
«Son discours me plaît. Depuis trois ans, on a eu droit à un football relativement frileux. A Berne, samedi dernier, malgré la défaite (ndlr: 3-2 face à YB), on a vraiment vu quelque chose de nouveau. Le système choisi n’est pas encore tout à fait assimilé mais je suis convaincu qu’il va enfin nous apporter des résultats. » Président du Onze d’Or, Christian Michoud figurera sur la photo, au même titre que son homologue de la Confrérie, les deux principaux clubs de soutien. Comme s’il fallait resserrer les liens autour de cette équipe en difficulté.
Au Stade de Suisse, Marco Simone a donc confirmé ce qu’il avait laissé entrevoir lors du succès en Coupe de Suisse, à Brühl (3-0), à savoir une équipe organisée en 3-5-2, dans un esprit foncièrement tourné vers l’avant. Un remodelage qui a pour objectif de doper l’appétit offensif, mais qui a aussi ses exigences: une stabilité derrière, de grandes distances à parcourir pour les deux joueurs extérieurs, ainsi que bon nombre d’ajustements à faire dans la mécanique collective.
«Très peu d’équipes ont l’habitude d’affronter des adversaires ainsi organisés, souligne Guillaume Katz, qui joue au centre de cette défense à trois. Ce système offre davantage de solutions à la relance et propose souvent des un contre un sur les quatre positions offensives (ndlr: les deux pointes et les deux joueurs de couloir). Au final, c’est vraiment intéressant pour tout le monde. »
Changement bienvenu De fait, peu de formations évoluent dans cette disposition tactique. Qu’on trouve parfois en Italie, qu’on a vue par exemple avec le Barcelone de Cruyff ou encore sous la férule d’un certain Petkovic avec les Young Boys. «L’équipe est contente de ce changement, souligne le capitaine Katz. Le coach a des certitudes sur ce système. Et les joueurs apprennent quelque chose de nouveau. Voilà trois semaines qu’on bosse sur cette base. Il nous reste bien sûr des corrections à faire. »
Mais tant que de grossières erreurs individuelles viendront polluer le rendement de l’équipe, il sera difficile de concrétiser au tableau d’affichage les efforts consentis. Et cela quel que soit le système de jeu choisi.
Feindouno s’entraîne Il reste trois matches de Super League avant la pause d’hiver, demain face à Thoune, samedi prochain à Zurich (FCZ), puis le samedi 14 contre le FC Sion d’un certain Laurent Roussey. Autrement dit trois équipes bien loin de briller. «Il y a une sorte d’urgence, c’est vrai, admet Guillaume Katz. Nous voulons gratter le plus de points possibles avant Noël. Six ou sept, ce serait bien. Quitte à passer pour un fou, moi j’y crois!»
Engagé jeudi soir à Vienne, le FC Thoune a perdu ses dernières illusions européennes. Pas sûr que les jambes et les têtes bernoises soient au mieux pour le voyage en terre vaudoise. Raison de plus pour inciter le LS à profiter de la situation. Une équipe lausannoise qui devra se passer de Gabri (touché à une cheville à l’entraînement en début de semaine) et de Chakhsi (suspendu). En revanche, Feindouno s’entraîne à nouveau, affichant même un sourire entendu. De là à y voir un signe…
www.24heures.ch/
Photo d’équipe, nouveau système et ambition toute fraîche. Le point avant la visite de Thoune, dimanche à la Pontaise
Un timide soleil de novembre fait mine de réchauffer le stade de la Pontaise. Il est 14 heures, ce vendredi, lorsque les joueurs, le staff et les dirigeants du Lausanne-Sport prennent la pose pour la photo d’équipe officielle. Comme si cette saison 2013/14, entamée en juillet, démarrait véritablement avec l’arrivée de Marco Simone.
«Son discours me plaît. Depuis trois ans, on a eu droit à un football relativement frileux. A Berne, samedi dernier, malgré la défaite (ndlr: 3-2 face à YB), on a vraiment vu quelque chose de nouveau. Le système choisi n’est pas encore tout à fait assimilé mais je suis convaincu qu’il va enfin nous apporter des résultats. » Président du Onze d’Or, Christian Michoud figurera sur la photo, au même titre que son homologue de la Confrérie, les deux principaux clubs de soutien. Comme s’il fallait resserrer les liens autour de cette équipe en difficulté.
Au Stade de Suisse, Marco Simone a donc confirmé ce qu’il avait laissé entrevoir lors du succès en Coupe de Suisse, à Brühl (3-0), à savoir une équipe organisée en 3-5-2, dans un esprit foncièrement tourné vers l’avant. Un remodelage qui a pour objectif de doper l’appétit offensif, mais qui a aussi ses exigences: une stabilité derrière, de grandes distances à parcourir pour les deux joueurs extérieurs, ainsi que bon nombre d’ajustements à faire dans la mécanique collective.
«Très peu d’équipes ont l’habitude d’affronter des adversaires ainsi organisés, souligne Guillaume Katz, qui joue au centre de cette défense à trois. Ce système offre davantage de solutions à la relance et propose souvent des un contre un sur les quatre positions offensives (ndlr: les deux pointes et les deux joueurs de couloir). Au final, c’est vraiment intéressant pour tout le monde. »
Changement bienvenu De fait, peu de formations évoluent dans cette disposition tactique. Qu’on trouve parfois en Italie, qu’on a vue par exemple avec le Barcelone de Cruyff ou encore sous la férule d’un certain Petkovic avec les Young Boys. «L’équipe est contente de ce changement, souligne le capitaine Katz. Le coach a des certitudes sur ce système. Et les joueurs apprennent quelque chose de nouveau. Voilà trois semaines qu’on bosse sur cette base. Il nous reste bien sûr des corrections à faire. »
Mais tant que de grossières erreurs individuelles viendront polluer le rendement de l’équipe, il sera difficile de concrétiser au tableau d’affichage les efforts consentis. Et cela quel que soit le système de jeu choisi.
Feindouno s’entraîne Il reste trois matches de Super League avant la pause d’hiver, demain face à Thoune, samedi prochain à Zurich (FCZ), puis le samedi 14 contre le FC Sion d’un certain Laurent Roussey. Autrement dit trois équipes bien loin de briller. «Il y a une sorte d’urgence, c’est vrai, admet Guillaume Katz. Nous voulons gratter le plus de points possibles avant Noël. Six ou sept, ce serait bien. Quitte à passer pour un fou, moi j’y crois!»
Engagé jeudi soir à Vienne, le FC Thoune a perdu ses dernières illusions européennes. Pas sûr que les jambes et les têtes bernoises soient au mieux pour le voyage en terre vaudoise. Raison de plus pour inciter le LS à profiter de la situation. Une équipe lausannoise qui devra se passer de Gabri (touché à une cheville à l’entraînement en début de semaine) et de Chakhsi (suspendu). En revanche, Feindouno s’entraîne à nouveau, affichant même un sourire entendu. De là à y voir un signe…
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/j-chance-vivre-lage-dor-milan-ac/story/17010882
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
A Lucerne, le LS doit «faire preuve d’amour-propre»
«Les joueurs étaient très affectés. Dans leur propre analyse d’après-match, ils ont souligné qu’il n’y avait pas eu assez de fierté et d’orgueil de leur part après l’ouverture du score par Thoune. Ils le reconnaissent donc, sans vraiment pouvoir l’expliquer. » Entraîneur du LS, Henri Atamaniuk joue un rôle d’observateur, de lien social aussi avec ce groupe aussi large qu’hétérogène. Après des premiers signes encourageants(ndlr: à Brühl en Coupe, puis à Berne face à YB, malgré la défaite), Lausanne a donc ravivé une crainte qui dépasse le simple cadre technico-tactique et concerne sa fragilité mentale. «Abandonner aussi rapidement, c’est pour moi, et pour Marco Simone bien sûr, quelque chose de tout à fait incompréhensible. En Italie, on n’admet pas la défaite, même à l’entraînement. »
Dans ce contexte, le rendez-vous de ce soir, à Lucerne, peut représenter une chance pour les joueurs lausannois. Lorsqu’on n’est pas du tout favori, il ne peut vous arriver que de bonnes choses. «Absolument! Nous étions relativement confiants avant Thoune. Et le premier grain de sable a grippé l’équipe, rappelle Atamaniuk. Nous, ce qu’on voudrait surtout, c’est que, sans perdre l’idée de notre organisation, les joueurs réagissent et fassent preuve d’amour-propre. On ne leur parle pas de résultat, mais de la continuité de ce qui est réalisé à l’entraînement. En espérant aussi une pelouse en meilleur état. Trois ou quatre joueurs s’étaient montrés très bons à Berne et ils ont été presque inexistants dimanche, sur cette surface catastrophique. »Laquelle a eu d’autres conséquences avec les blessures de Banana, de Zambrella et d’Ekeng, probablement forfaits pour ce rendez-vous en Suisse centrale.
Il y aura donc du changement. Et donc la possibilité pour d’autres éléments de se mettre en valeur. Disputer un quart de finale de la Coupe de Suisse représente une aubaine pour le Lausanne-Sport. Un honneur aussi. Aux joueurs d’en être convaincus. En se rappelant peut-être qu’à Berne, le 13 décembre 2009, au même stade de la compétition, le LS – alors en Challenge League – s’était imposé 4-1. Le football offre toujours cette capacité de rêver. Alors pourquoi s’en priver?
www.24heures.ch/
«Les joueurs étaient très affectés. Dans leur propre analyse d’après-match, ils ont souligné qu’il n’y avait pas eu assez de fierté et d’orgueil de leur part après l’ouverture du score par Thoune. Ils le reconnaissent donc, sans vraiment pouvoir l’expliquer. » Entraîneur du LS, Henri Atamaniuk joue un rôle d’observateur, de lien social aussi avec ce groupe aussi large qu’hétérogène. Après des premiers signes encourageants(ndlr: à Brühl en Coupe, puis à Berne face à YB, malgré la défaite), Lausanne a donc ravivé une crainte qui dépasse le simple cadre technico-tactique et concerne sa fragilité mentale. «Abandonner aussi rapidement, c’est pour moi, et pour Marco Simone bien sûr, quelque chose de tout à fait incompréhensible. En Italie, on n’admet pas la défaite, même à l’entraînement. »
Dans ce contexte, le rendez-vous de ce soir, à Lucerne, peut représenter une chance pour les joueurs lausannois. Lorsqu’on n’est pas du tout favori, il ne peut vous arriver que de bonnes choses. «Absolument! Nous étions relativement confiants avant Thoune. Et le premier grain de sable a grippé l’équipe, rappelle Atamaniuk. Nous, ce qu’on voudrait surtout, c’est que, sans perdre l’idée de notre organisation, les joueurs réagissent et fassent preuve d’amour-propre. On ne leur parle pas de résultat, mais de la continuité de ce qui est réalisé à l’entraînement. En espérant aussi une pelouse en meilleur état. Trois ou quatre joueurs s’étaient montrés très bons à Berne et ils ont été presque inexistants dimanche, sur cette surface catastrophique. »Laquelle a eu d’autres conséquences avec les blessures de Banana, de Zambrella et d’Ekeng, probablement forfaits pour ce rendez-vous en Suisse centrale.
Il y aura donc du changement. Et donc la possibilité pour d’autres éléments de se mettre en valeur. Disputer un quart de finale de la Coupe de Suisse représente une aubaine pour le Lausanne-Sport. Un honneur aussi. Aux joueurs d’en être convaincus. En se rappelant peut-être qu’à Berne, le 13 décembre 2009, au même stade de la compétition, le LS – alors en Challenge League – s’était imposé 4-1. Le football offre toujours cette capacité de rêver. Alors pourquoi s’en priver?
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le LS sombre en seconde période face à un Lucerne bien vivant
En quart de finale, les Lausannois n’ont pas fait le poids après la pause, confirmant une fragilité inquiétante
Le LS a quitté la Coupe de Suisse sans le moindre regret. Logiquement distancés au cours d’une seconde période pendant laquelle ils n’ont tout simplement pas existé, les joueurs de Marco Simone n’ont donné aucun signe encourageant sur le chemin de la guérison espérée. Cette équipe-là apparaît aujourd’hui en panne de tout, dans chacune de ses lignes et à chaque fois que le match se durcit ou que le rythme s’élève quelque peu. C’est ce qui est arrivé hier soir. Après 45 minutes initiales d’une molle domination lucernoise, les joueurs de Suisse centrale ont élevé la cadence et presque instantanément trouvé la faille. Un centre de Sarr pour une superbe tête piquée de Rangelov, puis un enchaînement contrôle et volée croisée signé Lezcano, soit deux gestes de cette classe dont le LS est si cruellement dépourvu.
Fragile dans la qualité de ses initiatives individuelles, fragile aussi dans son expression collective, le LS l’est plus encore - et c’est assez compréhensible - sur le plan psychologique. Autrement dit, l’équipe à la fâcheuse tendance à s’écraser lorsque les éléments lui sont contraires, ce qui finit presque toujours par arriver, que ce soit à Berne, contre Thoune ou à Lucerne. Le tableau est donc loin d’être idyllique, alors que la nouvelle direction technique s’efforce de trouver les meilleures solutions pour interpréter le système qu’elle a choisi (organisation en 3-5-2), avec le dessein avoué d’augmenter le volume offensif de l’équipe. Une frappe contrée signée Chakhsi (16e), un coup de tête de Facchinetti sans danger pour Zibung (33e), et puis la seule vraie occasion de ces 93 minutes, avec cette volée ratée d’un Khelifi pourtant très bien placé (44e), c’est évidemment bien peu.
La question physique «Je suis un peu frustré pour les joueurs, soulignait Marco Simone. Ils ont disputé une première mi-temps très positive et ont bénéficié de deux situations où il fallait faire mieux. Ensuite, avec le manque physique constaté, l’intensité a diminué. Et Lucerne avait sur le banc des joueurs déterminants. » S’agissant de la condition physique, de deux choses l’une: ou le travail effectué par Laurent Roussey et l’ancien staff était à ce point lacunaire qu’il devrait permettre au LS d’être bien supérieur dès la reprise, en février prochain, soit il s’agit là d’une façon de masquer le fond du problème, les limites tout simplement qualitatives de trop de joueurs dans ce groupe. Il faudra donc patienter pour connaître la réponse.
Simone et Atamaniuk avaient opéré pas moins de quatre changements dans leur onze de départ par rapport au match perdu dimanche contre Thoune. Une surprise en défense, avec la présence de Mevlja (une première pour lui) au milieu de Banana et Sonnerat (Katz remplaçant). Un trio médian remanié, avec Tafer et Khelifi autour de Ming. Et deux pointes plutôt inattendues, avec Ravet et surtout Lavanchy (Coly et Kadusi sur le banc). Même idée de jeu, donc, mais avec des modifications sur plusieurs positions. Et une première période plutôt convenable, avec un danger lucernois réduit à la seule vitesse du remuant Hyka. La suite, autrement dit le «vrai» match, on la connaît donc…
Lucerne a mis de la vie sur les côtés. Rangelov (6e but personnel en quatre matches de Coupe) et Lezcano, qui respire le foot, ont fait la différence, devant la plus faible assistance (6110 spectateurs) en 47 matches officiels depuis l’inauguration du nouveau stade. A chacun ses soucis…
Lucerne - Lausanne 2-0 (0-0)Swissporarena. 6110 spectateurs.Arbitre:M. Amhof.Buts:61e Rangelov 1-0. 71e Lezcano 2-0.Lucerne:Zibung; Sarr, Stahel, Puljic, Lustenberger; Renggli (56e Lezcano); Winter, Wiss, Thiesson, Hyka (56e Mikari); Rangelov (82e Sava Bento).LS:Fickentscher; Chakhsi, Banana, Mevlja, Sonnerat, Facchinetti (76e Custodio); Tafer, Yang Yang (82e Özcan), Khelifi; Ravet, Lavanchy (69e Coly).Notes:Lucerne sans Bozanic, Hochstrasser et Wüthrich (blessés). Lausanne-Sport sans Zambrella, Avanzini, Meoli, Castella, De Pierro, Feindouno, Gabri et Luis Pimenta (blessés).Avertissements:5e Hyka. 63e Yang Yang. 79e Chakhsi. 86e Khelifi.
www.24heures.ch/
En quart de finale, les Lausannois n’ont pas fait le poids après la pause, confirmant une fragilité inquiétante
Le LS a quitté la Coupe de Suisse sans le moindre regret. Logiquement distancés au cours d’une seconde période pendant laquelle ils n’ont tout simplement pas existé, les joueurs de Marco Simone n’ont donné aucun signe encourageant sur le chemin de la guérison espérée. Cette équipe-là apparaît aujourd’hui en panne de tout, dans chacune de ses lignes et à chaque fois que le match se durcit ou que le rythme s’élève quelque peu. C’est ce qui est arrivé hier soir. Après 45 minutes initiales d’une molle domination lucernoise, les joueurs de Suisse centrale ont élevé la cadence et presque instantanément trouvé la faille. Un centre de Sarr pour une superbe tête piquée de Rangelov, puis un enchaînement contrôle et volée croisée signé Lezcano, soit deux gestes de cette classe dont le LS est si cruellement dépourvu.
Fragile dans la qualité de ses initiatives individuelles, fragile aussi dans son expression collective, le LS l’est plus encore - et c’est assez compréhensible - sur le plan psychologique. Autrement dit, l’équipe à la fâcheuse tendance à s’écraser lorsque les éléments lui sont contraires, ce qui finit presque toujours par arriver, que ce soit à Berne, contre Thoune ou à Lucerne. Le tableau est donc loin d’être idyllique, alors que la nouvelle direction technique s’efforce de trouver les meilleures solutions pour interpréter le système qu’elle a choisi (organisation en 3-5-2), avec le dessein avoué d’augmenter le volume offensif de l’équipe. Une frappe contrée signée Chakhsi (16e), un coup de tête de Facchinetti sans danger pour Zibung (33e), et puis la seule vraie occasion de ces 93 minutes, avec cette volée ratée d’un Khelifi pourtant très bien placé (44e), c’est évidemment bien peu.
La question physique «Je suis un peu frustré pour les joueurs, soulignait Marco Simone. Ils ont disputé une première mi-temps très positive et ont bénéficié de deux situations où il fallait faire mieux. Ensuite, avec le manque physique constaté, l’intensité a diminué. Et Lucerne avait sur le banc des joueurs déterminants. » S’agissant de la condition physique, de deux choses l’une: ou le travail effectué par Laurent Roussey et l’ancien staff était à ce point lacunaire qu’il devrait permettre au LS d’être bien supérieur dès la reprise, en février prochain, soit il s’agit là d’une façon de masquer le fond du problème, les limites tout simplement qualitatives de trop de joueurs dans ce groupe. Il faudra donc patienter pour connaître la réponse.
Simone et Atamaniuk avaient opéré pas moins de quatre changements dans leur onze de départ par rapport au match perdu dimanche contre Thoune. Une surprise en défense, avec la présence de Mevlja (une première pour lui) au milieu de Banana et Sonnerat (Katz remplaçant). Un trio médian remanié, avec Tafer et Khelifi autour de Ming. Et deux pointes plutôt inattendues, avec Ravet et surtout Lavanchy (Coly et Kadusi sur le banc). Même idée de jeu, donc, mais avec des modifications sur plusieurs positions. Et une première période plutôt convenable, avec un danger lucernois réduit à la seule vitesse du remuant Hyka. La suite, autrement dit le «vrai» match, on la connaît donc…
Lucerne a mis de la vie sur les côtés. Rangelov (6e but personnel en quatre matches de Coupe) et Lezcano, qui respire le foot, ont fait la différence, devant la plus faible assistance (6110 spectateurs) en 47 matches officiels depuis l’inauguration du nouveau stade. A chacun ses soucis…
Lucerne - Lausanne 2-0 (0-0)Swissporarena. 6110 spectateurs.Arbitre:M. Amhof.Buts:61e Rangelov 1-0. 71e Lezcano 2-0.Lucerne:Zibung; Sarr, Stahel, Puljic, Lustenberger; Renggli (56e Lezcano); Winter, Wiss, Thiesson, Hyka (56e Mikari); Rangelov (82e Sava Bento).LS:Fickentscher; Chakhsi, Banana, Mevlja, Sonnerat, Facchinetti (76e Custodio); Tafer, Yang Yang (82e Özcan), Khelifi; Ravet, Lavanchy (69e Coly).Notes:Lucerne sans Bozanic, Hochstrasser et Wüthrich (blessés). Lausanne-Sport sans Zambrella, Avanzini, Meoli, Castella, De Pierro, Feindouno, Gabri et Luis Pimenta (blessés).Avertissements:5e Hyka. 63e Yang Yang. 79e Chakhsi. 86e Khelifi.
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
LS, la morosité pour adversaire
Nouvelles guère encourageantes du côté de Lausanne, qui affronte Zurich ce soir (19 h 45)
Il reste deux rencontres au Lausanne-Sport – à Zurich ce soir, puis face au FC Sion samedi prochain – pour tenter de boucler le mieux possible une année 2013 à classer d’ores et déjà parmi les plus avares en résultats positifs de toute la longue histoire du club. Entre un printemps poussif et un automne de toutes les déconvenues, le public n’a pas eu beaucoup d’occasions de se réjouir. Eliminés de la Coupe de Suisse, mercredi à Lucerne (défaite 2-0), les Lausannois accusent le coup.
«L’état d’esprit général est plutôt bon, constate Henri Atamaniuk, l’entraîneur principal. Mais on a senti la morosité dans le bus du retour. Quand on a l’occasion idéale pour mener 1-0 (ndlr: allusion à l’énorme raté de Khelifi juste avant la mi-temps) et qu’on ne la transforme pas, on s’expose alors à la moindre erreur. Et puis, bien sûr, on ne voit pas les choses de la même manière si on mène ou si on se retrouve mené. Il nous manque hélas un véritable buteur. »
Le nouveau staff technique du LS découvre donc, semaine après semaine, les nombreuses difficultés qui caractérisent la vie de cette équipe. Avec toutes sortes de carences qu’il convient d’essayer de gommer d’ici à la pause d’hiver, pour entreprendre ensuite un travail plus en profondeur durant les sept semaines à disposition. Notamment sur le plan physique, où des lacunes importantes ont été constatées, soulignées. Le club vient d’ailleurs de réaliser des… tests génétiques sur ses joueurs. Avec des résultats qui seront communiqués à l’occasion d’un point presse prévu vendredi prochain. Ils doivent aider le staff à personnaliser l’entraînement de chaque joueur.
Stage annulé La pause d’hiver devrait donc permettre au groupe d’effectuer de notables progrès. A une nuance près toutefois, mais de taille, avec l’annulation du camp d’entraînement normalement agendé début janvier, sur deux semaines, du côté de l’Espagne. Un rendez-vous qui avait été expressément demandé par Marco Simone, les conditions de travail en Suisse, en janvier et février, étant bien connues. Selon Alain Joseph, président du club, le coût d’un camp sérieusement préparé se monte à quelque 70 000 francs, une somme que l’état actuel des finances du club n’autorise plus.
«Une bonne préparation passe à notre sens par une vie en groupe, estime Atamaniuk. Voir vivre les joueurs également hors du terrain est très important. Même si nous n’approuvons pas la décision qui vient d’être prise, nous ne pouvons que nous incliner. Cela dit, l’obtention d’un ou deux résultats positifs avant la trêve nous permettra peut-être d’inverser la tendance. »
C’est donc dans ce contexte général plutôt morose, du côté de la Pontaise, que le LS prend la route de Zurich, où l’attend un FCZ fraîchement qualifié pour les demi-finales de la Coupe. Katz est suspendu, Ekeng incertain, Gabri et Feindouno absents. Quant au gardien Fickentscher, il souffre d’une contracture qui rend sa participation incertaine. Rien ne sera tout à fait simple, ce soir au Letzigrund.
www.24heures.ch/
Nouvelles guère encourageantes du côté de Lausanne, qui affronte Zurich ce soir (19 h 45)
Il reste deux rencontres au Lausanne-Sport – à Zurich ce soir, puis face au FC Sion samedi prochain – pour tenter de boucler le mieux possible une année 2013 à classer d’ores et déjà parmi les plus avares en résultats positifs de toute la longue histoire du club. Entre un printemps poussif et un automne de toutes les déconvenues, le public n’a pas eu beaucoup d’occasions de se réjouir. Eliminés de la Coupe de Suisse, mercredi à Lucerne (défaite 2-0), les Lausannois accusent le coup.
«L’état d’esprit général est plutôt bon, constate Henri Atamaniuk, l’entraîneur principal. Mais on a senti la morosité dans le bus du retour. Quand on a l’occasion idéale pour mener 1-0 (ndlr: allusion à l’énorme raté de Khelifi juste avant la mi-temps) et qu’on ne la transforme pas, on s’expose alors à la moindre erreur. Et puis, bien sûr, on ne voit pas les choses de la même manière si on mène ou si on se retrouve mené. Il nous manque hélas un véritable buteur. »
Le nouveau staff technique du LS découvre donc, semaine après semaine, les nombreuses difficultés qui caractérisent la vie de cette équipe. Avec toutes sortes de carences qu’il convient d’essayer de gommer d’ici à la pause d’hiver, pour entreprendre ensuite un travail plus en profondeur durant les sept semaines à disposition. Notamment sur le plan physique, où des lacunes importantes ont été constatées, soulignées. Le club vient d’ailleurs de réaliser des… tests génétiques sur ses joueurs. Avec des résultats qui seront communiqués à l’occasion d’un point presse prévu vendredi prochain. Ils doivent aider le staff à personnaliser l’entraînement de chaque joueur.
Stage annulé La pause d’hiver devrait donc permettre au groupe d’effectuer de notables progrès. A une nuance près toutefois, mais de taille, avec l’annulation du camp d’entraînement normalement agendé début janvier, sur deux semaines, du côté de l’Espagne. Un rendez-vous qui avait été expressément demandé par Marco Simone, les conditions de travail en Suisse, en janvier et février, étant bien connues. Selon Alain Joseph, président du club, le coût d’un camp sérieusement préparé se monte à quelque 70 000 francs, une somme que l’état actuel des finances du club n’autorise plus.
«Une bonne préparation passe à notre sens par une vie en groupe, estime Atamaniuk. Voir vivre les joueurs également hors du terrain est très important. Même si nous n’approuvons pas la décision qui vient d’être prise, nous ne pouvons que nous incliner. Cela dit, l’obtention d’un ou deux résultats positifs avant la trêve nous permettra peut-être d’inverser la tendance. »
C’est donc dans ce contexte général plutôt morose, du côté de la Pontaise, que le LS prend la route de Zurich, où l’attend un FCZ fraîchement qualifié pour les demi-finales de la Coupe. Katz est suspendu, Ekeng incertain, Gabri et Feindouno absents. Quant au gardien Fickentscher, il souffre d’une contracture qui rend sa participation incertaine. Rien ne sera tout à fait simple, ce soir au Letzigrund.
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/plan-secret-christian-constantin/story/11131310
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.foot01.com/foot-europeen/platini-veut-s-inspirer-du-rugby-pour-les-cartons,130213
maxi- Date d'inscription : 07/10/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Tout va de mal en pis, mais le LS ne veut pas se résigner
Fessés à Zurich,les Lausannoiset leur président entendent «s’accrocher». Mais à quoi?
Battu pour la septième fois de rang, le Lausanne-Sport se rapproche chaque week-end un peu plus de la relégation en Challenge League. Sans même être à la moitié du championnat, l’idée de la culbute représente désormais davantage qu’une simple hypothèse. Fessés par le FC Zurich, les Lausannois se sont enfoncés un peu plus. Perceptible sur les premiers matches – à Berne en particulier, le 23 novembre –, l’effet Marco Simone s’est déjà largement estompé. Si bien qu’il est difficile aujourd’hui d’imaginer que le travail de fond promis durant la pause de janvier puisse suffire à faire renaître un réel espoir au printemps.
La pire entame Les chiffres ne disent pas toujours tout. Là, pourtant, ils sonnent comme une condamnation: 17 matches disputés pour 4 petits points récoltés, avec la plus mauvaise attaque et la pire défense du championnat. Jamais, depuis la création de la Super League, en 2003, un club n’avait connu pareille entame. Dans les travées du «Letzi», un observateur alémanique résumait ainsi l’impression laissée par les Lausannois: «Ils pourraient jouer pendant trois jours sans rien avoir à espérer. » Comment le contredire?
Même privé de Gavranovic, Chermiti ou encore de Chikhaoui, le FC Zurich n’a pas eu trop de peine à trouver les ouvertures nécessaires dans le dispositif lausannois. Le scénario s’est ainsi répété, avec un LS plutôt solide jusqu’à l’ouverture du score, mais très vite fragilisé une fois mené. Et surtout incapable de trouver quelques ressources pour que le match en soit vraiment un jusqu’à la fin.
Zurich a donc pris l’ascendant au fil des minutes. Et c’est logiquement qu’il a trouvé une première fois l’ouverture sur une frappe au ras du sol de Schönbächler, après une intelligente remise de Kajevic. Le LS a alors perdu le peu d’assurance qu’il pouvait avoir, les deux occasions manquées (volée de Sonnerat à la 45e, puis tête de Facchinetti à la 54e, à chaque fois sur balle arrêtée) finissant de lui miner le moral.
Les Zurichois ont encore inscrit trois jolis buts, avec notamment cette astucieuse passe de Koch derrière la défense, que Mariani (contrôle élégant et frappe croisée impeccable) a convertie pour le 3-0. Le genre d’actions limpides qu’on a vainement attendu dans le camp lausannois, où tout se faisait à l’arraché, sans envergure ni efficacité.
A court d’arguments Dans le tunnel qui ramenait les joueurs vers leur vestiaire, Jérôme Sonnerat marquait un temps d’arrêt. «Il est difficile de trouver les mots, avouait-il. On n’a pas fait ce qu’il fallait. Notre jeu a manqué d’intensité. » Et de tant d’autres choses. En conférence de presse, Marco Simone avait cédé sa place à Henri Atamaniuk, l’homme au diplôme. «Nous sommes très abattus, autant par le score que par la manière, car on pensait tout de même pouvoir se hisser à un niveau supérieur à ce que nous avons montré ce soir. »
Et puis cette question à l’entraîneur français: comment garder la foi après une telle performance? «Un proverbe dit que l’espoir fait vivre. En seconde mi-temps, on attendait une réaction d’hommes et de fierté de la part de Lausanne. Elle n’est malheureusement pas venue. »
Il n’était donc plus vraiment question d’un débat d’ordre technico-tactique, mais simplement du comportement des joueurs, de leur capacité – ou non – à se transcender dans la morosité ambiante. Une sorte de dernière extrémité, déjà!
Le dépit du président Aucun dirigeant du LS n’était samedi dans les tribunes du Letzigrund. Alain Joseph avait souhaité prendre un peu de recul. Comment le téléspectateur d’un soir a-t-il vécu ce nouveau revers? «J’ai perçu un sentiment d’impuissance vraiment fort, admet le président, joint hier. Un immense vide dans les deux zones de vérité. Nous avons vraiment un gros travail devant nous pour redresser tout ça. » Le problème, c’est que la discussion ramène fatalement aux limites individuelles de beaucoup trop de joueurs. Autrement dit à une campagne de transferts ratée l’été passé.
«Je suis attaquable et je l’assume, précise Alain Joseph. Il nous manque par exemple un Gabri en forme et un Malonga que nous n’avons pas pu conserver, puis remplacer. A Malonga, j’ai d’ailleurs proposé le plus gros contrat depuis que Jean-François Collet et moi sommes à la tête de ce club. Sion lui aurait même offert le double, mais il a choisi d’aller au Portugal. Quant aux arrivées, sachez que notre pouvoir de séduction est très limité. Des joueurs comme Karanovic, Rodriguez ou encore Vitkieviez(ndlr: aujourd’hui tous à Saint-Gall)n’ont pas donné suite. Est-ce lié à l’histoire de notre club, à notre stade, à notre staff, je n’en sais rien. Mais c’est ainsi. »
Et maintenant? «J’ai eu Marco Simone au téléphone. «On va s’accrocher», m’a-t-il dit. » Concrètement, alors que trois licences sont encore disponibles, dans quelle idée Alain Joseph et le LS aborderont-ils la suite du championnat, dès la reprise de février? «Il reste une journée avant la pause. On verra dans une semaine combien de points de retard nous accusons sur Aarau. Cela pourrait être 8 ou 14, avec des perspectives alors différentes. On se mettra donc à table afin de préciser l’objectif pour la seconde phase de la compétition. »
La nouvelle de l’abandon du camp d’entraînement du mois de janvier sonne pourtant comme une résignation. «Ce camp, c’était le souhait du staff. Mais en réétudiant le budget, je me suis rendu compte qu’on ne pouvait s’offrir à la fois une préparation et de nouveaux joueurs. Alors on verra…»
Dans l’immédiat, c’est le FC Sion qui est attendu au stade de la Pontaise (samedi à 19 h 45). Une équipe valaisanne que le retour de Laurent Roussey – qui porte sa part de responsabilité dans la campagne de transferts ratée du Lausanne-Sport – n’a pas transformée. Drôle de point d’orgue pour une année 2013 décidément bien misérable d’un point de vue romand!
www.24heures.ch/
Fessés à Zurich,les Lausannoiset leur président entendent «s’accrocher». Mais à quoi?
Battu pour la septième fois de rang, le Lausanne-Sport se rapproche chaque week-end un peu plus de la relégation en Challenge League. Sans même être à la moitié du championnat, l’idée de la culbute représente désormais davantage qu’une simple hypothèse. Fessés par le FC Zurich, les Lausannois se sont enfoncés un peu plus. Perceptible sur les premiers matches – à Berne en particulier, le 23 novembre –, l’effet Marco Simone s’est déjà largement estompé. Si bien qu’il est difficile aujourd’hui d’imaginer que le travail de fond promis durant la pause de janvier puisse suffire à faire renaître un réel espoir au printemps.
La pire entame Les chiffres ne disent pas toujours tout. Là, pourtant, ils sonnent comme une condamnation: 17 matches disputés pour 4 petits points récoltés, avec la plus mauvaise attaque et la pire défense du championnat. Jamais, depuis la création de la Super League, en 2003, un club n’avait connu pareille entame. Dans les travées du «Letzi», un observateur alémanique résumait ainsi l’impression laissée par les Lausannois: «Ils pourraient jouer pendant trois jours sans rien avoir à espérer. » Comment le contredire?
Même privé de Gavranovic, Chermiti ou encore de Chikhaoui, le FC Zurich n’a pas eu trop de peine à trouver les ouvertures nécessaires dans le dispositif lausannois. Le scénario s’est ainsi répété, avec un LS plutôt solide jusqu’à l’ouverture du score, mais très vite fragilisé une fois mené. Et surtout incapable de trouver quelques ressources pour que le match en soit vraiment un jusqu’à la fin.
Zurich a donc pris l’ascendant au fil des minutes. Et c’est logiquement qu’il a trouvé une première fois l’ouverture sur une frappe au ras du sol de Schönbächler, après une intelligente remise de Kajevic. Le LS a alors perdu le peu d’assurance qu’il pouvait avoir, les deux occasions manquées (volée de Sonnerat à la 45e, puis tête de Facchinetti à la 54e, à chaque fois sur balle arrêtée) finissant de lui miner le moral.
Les Zurichois ont encore inscrit trois jolis buts, avec notamment cette astucieuse passe de Koch derrière la défense, que Mariani (contrôle élégant et frappe croisée impeccable) a convertie pour le 3-0. Le genre d’actions limpides qu’on a vainement attendu dans le camp lausannois, où tout se faisait à l’arraché, sans envergure ni efficacité.
A court d’arguments Dans le tunnel qui ramenait les joueurs vers leur vestiaire, Jérôme Sonnerat marquait un temps d’arrêt. «Il est difficile de trouver les mots, avouait-il. On n’a pas fait ce qu’il fallait. Notre jeu a manqué d’intensité. » Et de tant d’autres choses. En conférence de presse, Marco Simone avait cédé sa place à Henri Atamaniuk, l’homme au diplôme. «Nous sommes très abattus, autant par le score que par la manière, car on pensait tout de même pouvoir se hisser à un niveau supérieur à ce que nous avons montré ce soir. »
Et puis cette question à l’entraîneur français: comment garder la foi après une telle performance? «Un proverbe dit que l’espoir fait vivre. En seconde mi-temps, on attendait une réaction d’hommes et de fierté de la part de Lausanne. Elle n’est malheureusement pas venue. »
Il n’était donc plus vraiment question d’un débat d’ordre technico-tactique, mais simplement du comportement des joueurs, de leur capacité – ou non – à se transcender dans la morosité ambiante. Une sorte de dernière extrémité, déjà!
Le dépit du président Aucun dirigeant du LS n’était samedi dans les tribunes du Letzigrund. Alain Joseph avait souhaité prendre un peu de recul. Comment le téléspectateur d’un soir a-t-il vécu ce nouveau revers? «J’ai perçu un sentiment d’impuissance vraiment fort, admet le président, joint hier. Un immense vide dans les deux zones de vérité. Nous avons vraiment un gros travail devant nous pour redresser tout ça. » Le problème, c’est que la discussion ramène fatalement aux limites individuelles de beaucoup trop de joueurs. Autrement dit à une campagne de transferts ratée l’été passé.
«Je suis attaquable et je l’assume, précise Alain Joseph. Il nous manque par exemple un Gabri en forme et un Malonga que nous n’avons pas pu conserver, puis remplacer. A Malonga, j’ai d’ailleurs proposé le plus gros contrat depuis que Jean-François Collet et moi sommes à la tête de ce club. Sion lui aurait même offert le double, mais il a choisi d’aller au Portugal. Quant aux arrivées, sachez que notre pouvoir de séduction est très limité. Des joueurs comme Karanovic, Rodriguez ou encore Vitkieviez(ndlr: aujourd’hui tous à Saint-Gall)n’ont pas donné suite. Est-ce lié à l’histoire de notre club, à notre stade, à notre staff, je n’en sais rien. Mais c’est ainsi. »
Et maintenant? «J’ai eu Marco Simone au téléphone. «On va s’accrocher», m’a-t-il dit. » Concrètement, alors que trois licences sont encore disponibles, dans quelle idée Alain Joseph et le LS aborderont-ils la suite du championnat, dès la reprise de février? «Il reste une journée avant la pause. On verra dans une semaine combien de points de retard nous accusons sur Aarau. Cela pourrait être 8 ou 14, avec des perspectives alors différentes. On se mettra donc à table afin de préciser l’objectif pour la seconde phase de la compétition. »
La nouvelle de l’abandon du camp d’entraînement du mois de janvier sonne pourtant comme une résignation. «Ce camp, c’était le souhait du staff. Mais en réétudiant le budget, je me suis rendu compte qu’on ne pouvait s’offrir à la fois une préparation et de nouveaux joueurs. Alors on verra…»
Dans l’immédiat, c’est le FC Sion qui est attendu au stade de la Pontaise (samedi à 19 h 45). Une équipe valaisanne que le retour de Laurent Roussey – qui porte sa part de responsabilité dans la campagne de transferts ratée du Lausanne-Sport – n’a pas transformée. Drôle de point d’orgue pour une année 2013 décidément bien misérable d’un point de vue romand!
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/lausanne-mauvaise-equipe-histoire/story/19100960
rv- Date d'inscription : 14/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/mise-ladessus-sauver-ls/story/12290537
Blue Raph- Localisation : Montreux
Date d'inscription : 31/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lausanne-sport.ch/detailnews.php?id=661
Belle initiative du club !
Belle initiative du club !
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/-Avec-Guardiola-sur-le-banc-ce-serait-pareil--19110725
pizzaiolo- Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/toujours-senti-valaisan-vaudois/story/23889392
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/Le-LS-compte-sur-la-science-pour-se-sauver-22862442
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Pour connaître ses joueurs, - le LS fouille dans leurs gènes
Une analyse ADN a été faite. Faut-il en sourire ou alors s’inquiéter? Le gain potentiel est-il substantiel? Voyons cela de plus près!
A la veille du dernier match de l’année 2013, Jean-François Collet et le LS ont rendu publique une démarche «un peu particulière et originale» en termes d’amélioration de la performance sportive. Il s’agit de tests génétiques auxquels 24 joueurs de la première équipe se sont prêtés et qui doivent donner des indications précises sur le potentiel de chacun, permettant ainsi d’affiner la préparation physique. «Des tests qui arrivent à un moment intéressant, souligne le vice-président du club, alors qu’on se rend compte que nous n’avons pas travaillé de manière optimale dans ce domaine depuis quelques mois. »
Cette présentation peut bien sûr prêter à sourire si l’on considère les difficultés sportives qui sont celles du Lausanne-Sport depuis juillet. Lesquelles s’inscrivent bien au-delà de la problématique abordée et concernent tout autant la relation technico-tactique ou encore la qualité intrinsèque de l’effectif, qui renvoient à un classement de Super League très loin d’être flatteur. Cela dit, abstraction faite du contexte et de la thématique même, bien qu’elle prête à réfléchir, notamment pour des questions éthiques, voyons d’un peu plus près ce dont il s’agit!
En précisant encore deux choses. D’abord, l’initiative n’a pas de lien direct avec le nouveau staff technique du LS, autrement dit l’arrivée de Marco Simone et ses collaborateurs, voilà un peu plus d’un mois. Elle est le fait des relations d’affaires de Jean-François Collet avec les dirigeants de la société Genes-x, start-up suisse – avec un bureau à l’EPFL, un siège au Tessin, ainsi qu’un magasin qui doit s’ouvrir au public en janvier à Bâle – qui développe et commercialise différents tests génétiques. Ensuite, s’agissant de la question financière, Jeff Collet présente le partenariat Genes-x – LS comme «une solution attractive pour le club», autrement dit n’entraînant pas de dépenses exorbitantes.
Concrètement, quel genre d’apport peut-on attendre des informations ainsi récoltées? «Le but de ces tests (ndlr: analyse ADN sur la base de prélèvements desalive)est d’obtenir des précisions sur la capacité de chaque joueur en endurance, en puissance, pour ce qui est de la récupération ou encore des prédispositions aux risques de blessures», explique Davide Bogiani, responsable de la branche sportive de Genes-x. Sur cette base, il sera ensuite possible de personnaliser les entraînements. Quant à connaître le saut de qualité possible sur une préparation globale telle qu’envisagée en janvier prochain, c’est une autre histoire…
Constat étonnant «Ces résultats doivent me permettre de réfléchir différemment et de travailler de façon plus ciblée», note Patrick Legain, préparateur physique du LS. Avec, au nombre des indications fournies, ce constat plutôt étonnant: seuls quatre joueurs ont des prédispositions élevées pour l’endurance! S’agit-il d’une importante lacune ou alors d’une caractéristique chez le footballeur en général? Difficile de répondre à cette question dans la mesure où le LS serait apparemment le premier club européen à réaliser de tels tests.
Directeur technique du LS, Marco Simone tient visiblement à relativiser la portée de cette pratique. «On choisira toujours un joueur d’abord sur ses qualités de footballeur, rappelle à bon escient l’Italien. Et puis celui qui va moins vite peut compenser par une course plus intelligente ou par une lecture du jeu plus rapide. » Et, en guise de conclusion, sourire en coin: «S’il existait un test qui permette de sonder les qualités mentales des joueurs, je serais le premier intéressé. »
www.24heures.ch/
Un drôle de LS - Sion
C’est un drôle de match qui attend ce soir le public de la Pontaise. Deux équipes qui accumulent les revers pour un derby romand d’une certaine manière effrayant, si l’on songe à ce qu’il représentait encore il n’y a pas si longtemps.
C’est aussi le retour de Laurent Roussey à Lausanne. Un coach qui, après avoir traîné une forme de spleen sous les couleurs du LS, s’est trouvé de nouvelles raisons d’être en colère du côté de Tourbillon. «Le talent ne suffit pas. Il faut courir les uns pour les autres», soulignait-il avec véhémence le week-end passé, après la déconvenue valaisanne à Saint-Gall. De son côté, Marco Simone évoque «un match important». Evidemment si l’on songe aux derniers résultats enregistrés. «Heureusement, l’écart avec Aarau n’a pas augmenté, fait-il remarquer. On veut faire des points, afin de se donner les meilleures chances en février, au moment de la reprise. »
Aucun signe apparent de découragement chez Simone. «Au contraire. Les joueurs travaillent bien durant la semaine. Mais ils n’arrivent pas à concrétiser cela en match. Ce qui me rend fou et décuple ma motivation. » Au niveau de l’effectif, le LS récupère De Pierro et Feindouno. Mais Gabri, Zambrella, Meoli et Pimenta sont toujours indisponibles.
www.24heures.ch/
Une analyse ADN a été faite. Faut-il en sourire ou alors s’inquiéter? Le gain potentiel est-il substantiel? Voyons cela de plus près!
A la veille du dernier match de l’année 2013, Jean-François Collet et le LS ont rendu publique une démarche «un peu particulière et originale» en termes d’amélioration de la performance sportive. Il s’agit de tests génétiques auxquels 24 joueurs de la première équipe se sont prêtés et qui doivent donner des indications précises sur le potentiel de chacun, permettant ainsi d’affiner la préparation physique. «Des tests qui arrivent à un moment intéressant, souligne le vice-président du club, alors qu’on se rend compte que nous n’avons pas travaillé de manière optimale dans ce domaine depuis quelques mois. »
Cette présentation peut bien sûr prêter à sourire si l’on considère les difficultés sportives qui sont celles du Lausanne-Sport depuis juillet. Lesquelles s’inscrivent bien au-delà de la problématique abordée et concernent tout autant la relation technico-tactique ou encore la qualité intrinsèque de l’effectif, qui renvoient à un classement de Super League très loin d’être flatteur. Cela dit, abstraction faite du contexte et de la thématique même, bien qu’elle prête à réfléchir, notamment pour des questions éthiques, voyons d’un peu plus près ce dont il s’agit!
En précisant encore deux choses. D’abord, l’initiative n’a pas de lien direct avec le nouveau staff technique du LS, autrement dit l’arrivée de Marco Simone et ses collaborateurs, voilà un peu plus d’un mois. Elle est le fait des relations d’affaires de Jean-François Collet avec les dirigeants de la société Genes-x, start-up suisse – avec un bureau à l’EPFL, un siège au Tessin, ainsi qu’un magasin qui doit s’ouvrir au public en janvier à Bâle – qui développe et commercialise différents tests génétiques. Ensuite, s’agissant de la question financière, Jeff Collet présente le partenariat Genes-x – LS comme «une solution attractive pour le club», autrement dit n’entraînant pas de dépenses exorbitantes.
Concrètement, quel genre d’apport peut-on attendre des informations ainsi récoltées? «Le but de ces tests (ndlr: analyse ADN sur la base de prélèvements desalive)est d’obtenir des précisions sur la capacité de chaque joueur en endurance, en puissance, pour ce qui est de la récupération ou encore des prédispositions aux risques de blessures», explique Davide Bogiani, responsable de la branche sportive de Genes-x. Sur cette base, il sera ensuite possible de personnaliser les entraînements. Quant à connaître le saut de qualité possible sur une préparation globale telle qu’envisagée en janvier prochain, c’est une autre histoire…
Constat étonnant «Ces résultats doivent me permettre de réfléchir différemment et de travailler de façon plus ciblée», note Patrick Legain, préparateur physique du LS. Avec, au nombre des indications fournies, ce constat plutôt étonnant: seuls quatre joueurs ont des prédispositions élevées pour l’endurance! S’agit-il d’une importante lacune ou alors d’une caractéristique chez le footballeur en général? Difficile de répondre à cette question dans la mesure où le LS serait apparemment le premier club européen à réaliser de tels tests.
Directeur technique du LS, Marco Simone tient visiblement à relativiser la portée de cette pratique. «On choisira toujours un joueur d’abord sur ses qualités de footballeur, rappelle à bon escient l’Italien. Et puis celui qui va moins vite peut compenser par une course plus intelligente ou par une lecture du jeu plus rapide. » Et, en guise de conclusion, sourire en coin: «S’il existait un test qui permette de sonder les qualités mentales des joueurs, je serais le premier intéressé. »
www.24heures.ch/
Un drôle de LS - Sion
C’est un drôle de match qui attend ce soir le public de la Pontaise. Deux équipes qui accumulent les revers pour un derby romand d’une certaine manière effrayant, si l’on songe à ce qu’il représentait encore il n’y a pas si longtemps.
C’est aussi le retour de Laurent Roussey à Lausanne. Un coach qui, après avoir traîné une forme de spleen sous les couleurs du LS, s’est trouvé de nouvelles raisons d’être en colère du côté de Tourbillon. «Le talent ne suffit pas. Il faut courir les uns pour les autres», soulignait-il avec véhémence le week-end passé, après la déconvenue valaisanne à Saint-Gall. De son côté, Marco Simone évoque «un match important». Evidemment si l’on songe aux derniers résultats enregistrés. «Heureusement, l’écart avec Aarau n’a pas augmenté, fait-il remarquer. On veut faire des points, afin de se donner les meilleures chances en février, au moment de la reprise. »
Aucun signe apparent de découragement chez Simone. «Au contraire. Les joueurs travaillent bien durant la semaine. Mais ils n’arrivent pas à concrétiser cela en match. Ce qui me rend fou et décuple ma motivation. » Au niveau de l’effectif, le LS récupère De Pierro et Feindouno. Mais Gabri, Zambrella, Meoli et Pimenta sont toujours indisponibles.
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/equipe-doit-jouer-roussey/story/13003893
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/alain-joseph-reve-victoire-20/story/19266909
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/j-entendu-horrible-craquement/story/23678818
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/dit-qu-paye-declarations/story/18160219
MAIS JEFF SUPERSTAR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
MAIS JEFF SUPERSTAR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Lausanne s’offre un minifestival contre un apathique FC Sion
Les Vaudois renversent le score pour une victoire méritée. De quoi envisager 2014 avec une lueur d’espoir
«A la mi-temps, nous sommes rentrés au vestiaire sur un penalty qui n’aurait pas dû être sifflé (ndlr: intervention de Chakhsi sur Herea, durant le temps additionnel, et ouverture du score pour le visiteur)mais surtout en voyant bien que Sion était prenable. » Auteur de l’égalisation lausannoise à l’heure de jeu, Yanis Tafer savourait ce renversement et, bien sûr, cette victoire qui «fait du bien» et devrait permettre au LS de «repartir du bon pied en 2014». En inscrivant trois buts au cours d’une seconde période qu’ils ont entièrement dominée, les joueurs de Marco Simone ont aussi souligné l’incroyable apathie de ce FC Sion sans âme. En revanche, ce succès ne leur permet pas de réduire leur retard sur Aarau (11 points), vainqueur de Thoune hier après-midi.
Les 45 minutes initiales manquèrent singulièrement d’envergure, caractérisées par un important déchet technique de part et d’autre et, pour ainsi dire, sans occasions, si l’on excepte la grosse possibilité échue à Christofi après une poignée de secondes seulement (tir hors cadre). Le fait marquant fut ainsi la grave blessure du gardien Fickentscher, victime d’une rupture du tendon d’Achille dès la 3e minute et dont la saison s’est ainsi brutalement achevée. A noter encore, dans le onze de départ du LS, la présence d’Ozcan, joueur issu de la formation, préféré à Katz en défense. Beaucoup d’absents dans les deux camps et très peu de confiance dans la manœuvre, pour une rencontre qui s’est d’abord avérée assez pauvre, avant de prendre un peu de hauteur grâce à la bonne attitude des Lausannois.
C’est avec l’apparition de Feindouno (66e) que la partie a basculé. L’apport technique de l’artiste a donné à l’équipe le soupçon de classe et de tranquillité qui faisaient encore défaut. Fin septembre, à Aarau, lors de sa dernière apparition avant un pépin de santé, le Guinéen avait inscrit le but décisif pour le seul succès du LS. Samedi, tout tranquillement, mais avec tellement de justesse, il a mis en valeur ses partenaires, offrant notamment à Tafer la passe qui devait être synonyme d’égalisation. «Feindouno, on le connaît, c’est un phénomène, relevait Yoric Ravet. C’est vrai qu’il nous a rassurés. » Frappe croisée de Tafer au ras du sol, volée de Coly sur un centre de Facchinetti, tête de Banana sur coup de coin, le compte était bon, le LS joyeux et le FC Sion au fond d’un trou qui prenait tout à coup les allures d’un véritable cimetière des ambitions.
Sion navrant «Sion voulait-il gagner ce match? J’ai la même interrogation que vous. Et je n’ai pas la réponse», confessait Laurent Roussey au terme de la rencontre. Un coach valaisan pris à partie par le public de la Pontaise, ainsi que par le vice-président du LS Jeff Collet (altercation sur la pelouse, dès le coup de sifflet final), parce qu’il avait admis dans la presse qu’il s’était toujours senti «plus Valaisan que Vaudois». Petite phrase cueillie comme une maladresse, peut-être, ressentie en tout cas comme une trahison par le camp lausannois. Cela dit, pour revenir au jeu, Sion a enregistré sa 4e défaite de rang (Coupe à Lucerne, puis trois revers en championnat), qui plus est en affichant souvent un degré de jouerie proche de zéro, comme en 2e mi-temps samedi soir. «Une équipe s’est révoltée, l’autre s’est laissée aller, résumait le Français. Une telle attitude est navrante. » C’est bien le mot.
Lausanne-Sport - Sion 3-1 (0-1)La Pontaise.3150 spectateurs.Arbitre:Klossner. Buts:45e Herea, penalty 0-1. 68e Tafer 1-1. 82e Coly 2-1. 89e Banana 3-1.LS:Fickentscher (7e Signori); Banana, Mevlja, Ozcan; Chakhsi, Tafer, Yang Yang (70e Katz), Khelifi (66e Feindouno), Facchinetti; Ravet, Coly.Sion:Vanins; Kololli, Lacroix, Ferati, Bühler; Ndoye, Perrier; Yartey (85e Cissé), Herea (65e Léo), Vidosic; Christofi (59e Pa Modou).Avertissements:30e Herea. 36e Lacroix. 45e Chakhsi. 72e Léo.Notes:le LS sans Avanzini, Gabri, Meoli, Pimenta, Zambrella ni Sonnerat (blessés). Sion sans Rufli, Kouassi (suspendus), Vanczak ni Basha (blessés).
www.24heures.ch/
Avec Signori et Feindouno en février?
«Si le club me fait confiance, je suis prêt!» Signori Antonio – son nom de famille est Antonio, mais il porte Signori sur son maillot – adoptait samedi soir une attitude résolue. Apparu pour Fickentscher dès la 3e minute, «Signo» a fait son job proprement, même s’il n’a pas eu d’arrêt difficile à effectuer. La remarque porte donc sur la suite de la saison. Le LS prendra-t-il le pari d’un gardien de 19 ans pour une mission sauvetage qui s’annonce évidemment périlleuse?
«Il a fait une entrée très positive, soulignait Marco Simone, le boss technique du LS. Signori a de la personnalité et des arguments physiques. Je n’ai aucun souci sur ce poste. » Faut-il dès lors considérer sa titularisation, en février prochain, comme acquise? «Même si c’est oui sur le principe, nous devrons encore en discuter tous ensemble», assurait le vice-président Jeff Collet.
Dans le même ordre d’idée, l’accord avec Pascal Feindouno (32 ans) arrive à échéance à Noël. Sera-t-il reconduit? Même réponse de Collet, un «oui de principe» qu’il s’agira d’entériner ces prochains jours. Même s’il a très peu joué durant ces deux premiers tours, Feindouno se trouvait sur le terrain lors des deux seules victoires du LS. Un argument forcément intéressant.
www.24heures.ch/
Les Vaudois renversent le score pour une victoire méritée. De quoi envisager 2014 avec une lueur d’espoir
«A la mi-temps, nous sommes rentrés au vestiaire sur un penalty qui n’aurait pas dû être sifflé (ndlr: intervention de Chakhsi sur Herea, durant le temps additionnel, et ouverture du score pour le visiteur)mais surtout en voyant bien que Sion était prenable. » Auteur de l’égalisation lausannoise à l’heure de jeu, Yanis Tafer savourait ce renversement et, bien sûr, cette victoire qui «fait du bien» et devrait permettre au LS de «repartir du bon pied en 2014». En inscrivant trois buts au cours d’une seconde période qu’ils ont entièrement dominée, les joueurs de Marco Simone ont aussi souligné l’incroyable apathie de ce FC Sion sans âme. En revanche, ce succès ne leur permet pas de réduire leur retard sur Aarau (11 points), vainqueur de Thoune hier après-midi.
Les 45 minutes initiales manquèrent singulièrement d’envergure, caractérisées par un important déchet technique de part et d’autre et, pour ainsi dire, sans occasions, si l’on excepte la grosse possibilité échue à Christofi après une poignée de secondes seulement (tir hors cadre). Le fait marquant fut ainsi la grave blessure du gardien Fickentscher, victime d’une rupture du tendon d’Achille dès la 3e minute et dont la saison s’est ainsi brutalement achevée. A noter encore, dans le onze de départ du LS, la présence d’Ozcan, joueur issu de la formation, préféré à Katz en défense. Beaucoup d’absents dans les deux camps et très peu de confiance dans la manœuvre, pour une rencontre qui s’est d’abord avérée assez pauvre, avant de prendre un peu de hauteur grâce à la bonne attitude des Lausannois.
C’est avec l’apparition de Feindouno (66e) que la partie a basculé. L’apport technique de l’artiste a donné à l’équipe le soupçon de classe et de tranquillité qui faisaient encore défaut. Fin septembre, à Aarau, lors de sa dernière apparition avant un pépin de santé, le Guinéen avait inscrit le but décisif pour le seul succès du LS. Samedi, tout tranquillement, mais avec tellement de justesse, il a mis en valeur ses partenaires, offrant notamment à Tafer la passe qui devait être synonyme d’égalisation. «Feindouno, on le connaît, c’est un phénomène, relevait Yoric Ravet. C’est vrai qu’il nous a rassurés. » Frappe croisée de Tafer au ras du sol, volée de Coly sur un centre de Facchinetti, tête de Banana sur coup de coin, le compte était bon, le LS joyeux et le FC Sion au fond d’un trou qui prenait tout à coup les allures d’un véritable cimetière des ambitions.
Sion navrant «Sion voulait-il gagner ce match? J’ai la même interrogation que vous. Et je n’ai pas la réponse», confessait Laurent Roussey au terme de la rencontre. Un coach valaisan pris à partie par le public de la Pontaise, ainsi que par le vice-président du LS Jeff Collet (altercation sur la pelouse, dès le coup de sifflet final), parce qu’il avait admis dans la presse qu’il s’était toujours senti «plus Valaisan que Vaudois». Petite phrase cueillie comme une maladresse, peut-être, ressentie en tout cas comme une trahison par le camp lausannois. Cela dit, pour revenir au jeu, Sion a enregistré sa 4e défaite de rang (Coupe à Lucerne, puis trois revers en championnat), qui plus est en affichant souvent un degré de jouerie proche de zéro, comme en 2e mi-temps samedi soir. «Une équipe s’est révoltée, l’autre s’est laissée aller, résumait le Français. Une telle attitude est navrante. » C’est bien le mot.
Lausanne-Sport - Sion 3-1 (0-1)La Pontaise.3150 spectateurs.Arbitre:Klossner. Buts:45e Herea, penalty 0-1. 68e Tafer 1-1. 82e Coly 2-1. 89e Banana 3-1.LS:Fickentscher (7e Signori); Banana, Mevlja, Ozcan; Chakhsi, Tafer, Yang Yang (70e Katz), Khelifi (66e Feindouno), Facchinetti; Ravet, Coly.Sion:Vanins; Kololli, Lacroix, Ferati, Bühler; Ndoye, Perrier; Yartey (85e Cissé), Herea (65e Léo), Vidosic; Christofi (59e Pa Modou).Avertissements:30e Herea. 36e Lacroix. 45e Chakhsi. 72e Léo.Notes:le LS sans Avanzini, Gabri, Meoli, Pimenta, Zambrella ni Sonnerat (blessés). Sion sans Rufli, Kouassi (suspendus), Vanczak ni Basha (blessés).
www.24heures.ch/
Avec Signori et Feindouno en février?
«Si le club me fait confiance, je suis prêt!» Signori Antonio – son nom de famille est Antonio, mais il porte Signori sur son maillot – adoptait samedi soir une attitude résolue. Apparu pour Fickentscher dès la 3e minute, «Signo» a fait son job proprement, même s’il n’a pas eu d’arrêt difficile à effectuer. La remarque porte donc sur la suite de la saison. Le LS prendra-t-il le pari d’un gardien de 19 ans pour une mission sauvetage qui s’annonce évidemment périlleuse?
«Il a fait une entrée très positive, soulignait Marco Simone, le boss technique du LS. Signori a de la personnalité et des arguments physiques. Je n’ai aucun souci sur ce poste. » Faut-il dès lors considérer sa titularisation, en février prochain, comme acquise? «Même si c’est oui sur le principe, nous devrons encore en discuter tous ensemble», assurait le vice-président Jeff Collet.
Dans le même ordre d’idée, l’accord avec Pascal Feindouno (32 ans) arrive à échéance à Noël. Sera-t-il reconduit? Même réponse de Collet, un «oui de principe» qu’il s’agira d’entériner ces prochains jours. Même s’il a très peu joué durant ces deux premiers tours, Feindouno se trouvait sur le terrain lors des deux seules victoires du LS. Un argument forcément intéressant.
www.24heures.ch/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/dieu-que-la-victoire-est-jolie/
El Lutin- Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Fickentscher et Katz dans le "flop" 11 du Blick pour ce premier tour.
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Page 1 sur 40 • 1, 2, 3 ... 20 ... 40
Sujets similaires
» Les articles de presse (pas de commentaire !)
» Les articles de presse (pas de commentaire !)
» Vos commentaires sur les articles de presse
» AVANT LA REPRISE: Un commentaire
» Vos commentaires sur les articles de presse
» Les articles de presse (pas de commentaire !)
» Vos commentaires sur les articles de presse
» AVANT LA REPRISE: Un commentaire
» Vos commentaires sur les articles de presse
Page 1 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum