Les articles de presse (pas de commentaire !)
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Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
L’article complet... avec si je comprends bien 8000 personnes a la tuillere qui serait autorisée? Et contre YB pour le match d’ouverture...
Quatre nouvelles recrues pour le Lausanne-Sport
Da Cunha, Guessand, Zohouri et Trazié arrivent tous en prêt de l’OGC Nice.
Le Lausanne-Sport continue ses emplettes. Toujours avec cette nouvelle philosophie axée sur le développement de jeunes talents que met en place Souleymane Cissé, le directeur sportif, avec l’aide de l’OGC Nice. Aucun renfort spectaculaire donc, mais des jeunes prometteurs que Giorgio Contini se devra de faire progresser pour, si possible, en faire des titulaires à plus ou moins court terme.
Zeqiri à Brighton: une question d’heures
À douze jours de la fin de la période des transferts, et après avoir déjà recruté Tsoungui (18 ans), Jenz (21), Zekhnini (22) et Brazao (17), le néo-promu en Super League a enregistré, ce mercredi, les arrivées de quatre nouveaux éléments. À savoir Thomas Trazié (milieu de terrain/21 ans) et Armel Zohouri (latéral droit/19), deux Ivoiriens qui évoluaient au RC Abidjan, ainsi que les Français Lucas Da Cunha (milieu offensif ou ailier/19) et Evann Guessand (attaquant/19). Ces deux derniers sont des internationaux français M19 qui comptent déjà quelques apparitions en Ligue 1 avec, respectivement, Rennes et Nice. Ces quatre joueurs arrivent tous en prêt pour une saison de l’OGC Nice. «À mon avis, précise Souleymane Cissé, tous ont d’ores et déjà le niveau de la Super League et sont des titulaires en puissance.»
«Le groupe a déjà bien été complété mais il n’est pas exclu qu’un ou deux autres jeunes nous rejoignent encore»
Souleymane Cissé, directeur sportif du LS
Avec désormais huit arrivées pour autant de départs – l’annonce du transfert d’Andi Zeqiri à Brighton n’est plus qu’une question d’heures – le marché du LS est-il terminé? «Peut-être pas, conclut le directeur sportif. Le groupe a déjà bien été complété, mais il n’est pas exclu qu’un ou deux autres jeunes nous rejoignent encore.»
Reste maintenant à savoir si ces quatre nouveaux venus seront déjà qualifiés, ce samedi, pour la réception du FC Zurich à la Pontaise. Une rencontre à laquelle 8500 spectateurs pourront assister. «Suite à l’inspection, par les autorités cantonales et municipales ainsi que par le service sanitaire, organisée vendredi dernier, nous avons eu la confirmation ce mercredi que 4500 personnes sont autorisées à prendre place dans la tribune Sud et 4000 dans la Nord, détaille Vincent Steinmann. Un nombre important qui est dû aux multiples accès dont sont dotées les deux tribunes.»
Une Pontaise qui n’accueillera plus que trois matches avant le grand déménagement du mois prochain à la Tuilière. «Il est aujourd’hui plus que probable, précise le responsable communication du LS, que notre nouvelle enceinte soit officiellement ouverte à l’occasion de la réception d’YB, le 29 novembre. Avec, là, un maximum autorisé de 8000 spectateurs.»
Quatre nouvelles recrues pour le Lausanne-Sport
Da Cunha, Guessand, Zohouri et Trazié arrivent tous en prêt de l’OGC Nice.
Le Lausanne-Sport continue ses emplettes. Toujours avec cette nouvelle philosophie axée sur le développement de jeunes talents que met en place Souleymane Cissé, le directeur sportif, avec l’aide de l’OGC Nice. Aucun renfort spectaculaire donc, mais des jeunes prometteurs que Giorgio Contini se devra de faire progresser pour, si possible, en faire des titulaires à plus ou moins court terme.
Zeqiri à Brighton: une question d’heures
À douze jours de la fin de la période des transferts, et après avoir déjà recruté Tsoungui (18 ans), Jenz (21), Zekhnini (22) et Brazao (17), le néo-promu en Super League a enregistré, ce mercredi, les arrivées de quatre nouveaux éléments. À savoir Thomas Trazié (milieu de terrain/21 ans) et Armel Zohouri (latéral droit/19), deux Ivoiriens qui évoluaient au RC Abidjan, ainsi que les Français Lucas Da Cunha (milieu offensif ou ailier/19) et Evann Guessand (attaquant/19). Ces deux derniers sont des internationaux français M19 qui comptent déjà quelques apparitions en Ligue 1 avec, respectivement, Rennes et Nice. Ces quatre joueurs arrivent tous en prêt pour une saison de l’OGC Nice. «À mon avis, précise Souleymane Cissé, tous ont d’ores et déjà le niveau de la Super League et sont des titulaires en puissance.»
«Le groupe a déjà bien été complété mais il n’est pas exclu qu’un ou deux autres jeunes nous rejoignent encore»
Souleymane Cissé, directeur sportif du LS
Avec désormais huit arrivées pour autant de départs – l’annonce du transfert d’Andi Zeqiri à Brighton n’est plus qu’une question d’heures – le marché du LS est-il terminé? «Peut-être pas, conclut le directeur sportif. Le groupe a déjà bien été complété, mais il n’est pas exclu qu’un ou deux autres jeunes nous rejoignent encore.»
Reste maintenant à savoir si ces quatre nouveaux venus seront déjà qualifiés, ce samedi, pour la réception du FC Zurich à la Pontaise. Une rencontre à laquelle 8500 spectateurs pourront assister. «Suite à l’inspection, par les autorités cantonales et municipales ainsi que par le service sanitaire, organisée vendredi dernier, nous avons eu la confirmation ce mercredi que 4500 personnes sont autorisées à prendre place dans la tribune Sud et 4000 dans la Nord, détaille Vincent Steinmann. Un nombre important qui est dû aux multiples accès dont sont dotées les deux tribunes.»
Une Pontaise qui n’accueillera plus que trois matches avant le grand déménagement du mois prochain à la Tuilière. «Il est aujourd’hui plus que probable, précise le responsable communication du LS, que notre nouvelle enceinte soit officiellement ouverte à l’occasion de la réception d’YB, le 29 novembre. Avec, là, un maximum autorisé de 8000 spectateurs.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
C'est fait :
Andi Zeqiri signe à Brighton un contrat longue durée
https://lematin.ch/story/andi-zeqiri-signe-a-brighton-un-contrat-longue-duree-461693951019
Andi Zeqiri signe à Brighton un contrat longue durée
https://lematin.ch/story/andi-zeqiri-signe-a-brighton-un-contrat-longue-duree-461693951019
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Personne n’a rapporté plus d’argent au LS qu’Andi Zeqiri
Les quelque 5,8 millions de francs que va verser Brighton pour l’attaquant constituent un montant record pour le club vaudois.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 19h45
Brighton et Parme ont lutté à coups de millions pour s’arracher les services d’Andi Zeqiri. Le club anglais a finalement gagné la partie.
Brighton et Parme ont lutté à coups de millions pour s’arracher les services d’Andi Zeqiri. Le club anglais a finalement gagné la partie.
OdileMeylan
Jeudi, sur le coup de 18 heures, l’annonce officielle tant attendue du transfert d’Andi Zeqiri du Lausanne-Sport à Brighton & Hove Albion tombait enfin. Pour le plus grand bonheur d’un joueur qui, à 21 ans, va découvrir la prestigieuse Premier League anglaise après n’avoir pourtant disputé que 614 petites minutes en Super League (2 buts).
Mais Andi Zeqiri n’est pas le seul à se réjouir d’un transfert qui semblait encore improbable il y a une quinzaine de jours. L’attaquant semblait alors tout proche de parapher la prolongation de contrat de trois ans que lui proposait son club formateur. Et si, sur le plan sportif, le LS regrette aujourd’hui de perdre son talent le plus prometteur, il peut en revanche se féliciter d’avoir réussi un coup de maître en réalisant la plus lucrative opération financière de son histoire grâce aux 5,4 millions d’euros (environ 5,8 millions de francs) apparemment promises par Brighton. Une vraie aubaine même, puisque Zeqiri aurait été en fin de contrat en juin prochain. Donc libre de s’engager ailleurs dès janvier et sans la moindre indemnité pour le LS.
Respect pour le LS
Une transaction qui restera donc dans les annales lausannoise. Et qui rend Avdi Zeqiri particulièrement fier. «C’est vrai, admet le papa comblé d’Andi. Après avoir accompli sa tâche au niveau sportif en contribuant au retour du club en Super League, il marque maintenant aussi son histoire d’une autre façon. Cela dit, je suis sincèrement content que le Lausanne-Sport y trouve également son compte. Nous avons évoqué cette situation de fin de contrat avec mon fils ces dernières semaines et nous étions tous les deux d’accord d’écarter l’hypothèse qu’Andi quitte le LS libre l’été prochain. Même si, le cas échéant, il aurait certainement pu alors gagner beaucoup plus d’argent. Simplement par respect pour un club qui lui a beaucoup donné et auquel il restera à jamais très attaché. Son émotion a d’ailleurs été très forte lorsqu’il est allé vider son casier à la Pontaise.»
Nous étions tous les deux d’accord d’écarter l’hypothèse qu’Andi quitte le LS libre l’été prochain»
Avdi Zeqiri, le père d’Andi
Un profond et sincère attachement au LS que confirme Alain Joseph. «Je le connais depuis longtemps, souligne l’ancien président lausannois, et j’ai rarement vu un joueur s’impliquer pareillement pour son club. Malgré les nombreuses sollicitations dont il a régulièrement été l’objet, Andi a toujours fait confiance au LS tout en se montrant patient. Il mérite ce qui lui arrive même si le montant du transfert peut étonner. Mais quand l’offre vient d’un club anglais, les lois du marché changent.»
L’insistance de Potter
Pour Avdi Zeqiri, si Brighton et Parme ont lutté à coups de millions pour convaincre son fils, c’est bien entendu beaucoup plus grâce à ses performances avec l’équipe de Suisse M21 qu’à celles livrées dans l’anonymat de la Challenge League. «Même si Andi sort d’une excellente saison avec le LS, les nombreux buts qu’il a inscrits lors des matches qualificatifs pour l’Euro M21 ont certainement pesé lourd dans la balance. Notamment son doublé contre la France.»
Alors que nombreux étaient ceux qui estimaient qu’un exercice complet en Super League aurait été pour lui le tremplin idéal avant de vivre une expérience à l’étranger, les circonstances ont voulu que Zeqiri franchisse d’un coup le gouffre qui sépare la Challenge League de la Premier League. «La différence est en effet énorme, admet Avdi, mais le fait que Brighton le veuille absolument nous a convaincus. Comme les deux téléphones qu’Andi a reçus de Graham Potter, le coach de Brighton, pour lui assurer qu’il comptait bien sur lui dès cette saison. Maintenant, il lui appartiendra de montrer durant la semaine, lors des entraînements, qu’il mérite d’avoir sa chance sur le terrain. Notre espoir, c’est qu’il dispute entre dix et quinze matches avec Brighton cette saison déjà.»
Propos mal interprétés
Une fois les habituelles formalités remplies avec son agent, Andi Zeqiri se retrouvera seul dans un pays dont il ignore tout. «Ce ne sera pas un problème pour lui, conclut son père. À 14 ans, il était déjà parti à Payerne dans le centre de préformation. Et ensuite il avait rejoint, à 17 ans seulement, la Juventus, avant de revenir au LS en 2017. Il est donc habitué à s’assumer.»
Père à la fois heureux et fier, Avdi Zeqiri revient aussi sur la polémique de ces derniers jours, née de ses propos concernant l’avenir international de son fils. «Mes paroles sur son intention présumée de défendre à l’avenir les couleurs du Kosovo ont été amplifiées et un peu déformées. Ce qui est certain, c’est qu’Andi a la ferme intention de vivre jusqu’à son terme cette aventure avec les M 21. Ensuite seulement il verra quels sont les choix de M. Petkovic. Et, croyez-moi, s’il est appelé en équipe de Suisse, il acceptera cette sélection avec bonheur et enthousiasme.»
Les quelque 5,8 millions de francs que va verser Brighton pour l’attaquant constituent un montant record pour le club vaudois.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 19h45
Brighton et Parme ont lutté à coups de millions pour s’arracher les services d’Andi Zeqiri. Le club anglais a finalement gagné la partie.
Brighton et Parme ont lutté à coups de millions pour s’arracher les services d’Andi Zeqiri. Le club anglais a finalement gagné la partie.
OdileMeylan
Jeudi, sur le coup de 18 heures, l’annonce officielle tant attendue du transfert d’Andi Zeqiri du Lausanne-Sport à Brighton & Hove Albion tombait enfin. Pour le plus grand bonheur d’un joueur qui, à 21 ans, va découvrir la prestigieuse Premier League anglaise après n’avoir pourtant disputé que 614 petites minutes en Super League (2 buts).
Mais Andi Zeqiri n’est pas le seul à se réjouir d’un transfert qui semblait encore improbable il y a une quinzaine de jours. L’attaquant semblait alors tout proche de parapher la prolongation de contrat de trois ans que lui proposait son club formateur. Et si, sur le plan sportif, le LS regrette aujourd’hui de perdre son talent le plus prometteur, il peut en revanche se féliciter d’avoir réussi un coup de maître en réalisant la plus lucrative opération financière de son histoire grâce aux 5,4 millions d’euros (environ 5,8 millions de francs) apparemment promises par Brighton. Une vraie aubaine même, puisque Zeqiri aurait été en fin de contrat en juin prochain. Donc libre de s’engager ailleurs dès janvier et sans la moindre indemnité pour le LS.
Respect pour le LS
Une transaction qui restera donc dans les annales lausannoise. Et qui rend Avdi Zeqiri particulièrement fier. «C’est vrai, admet le papa comblé d’Andi. Après avoir accompli sa tâche au niveau sportif en contribuant au retour du club en Super League, il marque maintenant aussi son histoire d’une autre façon. Cela dit, je suis sincèrement content que le Lausanne-Sport y trouve également son compte. Nous avons évoqué cette situation de fin de contrat avec mon fils ces dernières semaines et nous étions tous les deux d’accord d’écarter l’hypothèse qu’Andi quitte le LS libre l’été prochain. Même si, le cas échéant, il aurait certainement pu alors gagner beaucoup plus d’argent. Simplement par respect pour un club qui lui a beaucoup donné et auquel il restera à jamais très attaché. Son émotion a d’ailleurs été très forte lorsqu’il est allé vider son casier à la Pontaise.»
Nous étions tous les deux d’accord d’écarter l’hypothèse qu’Andi quitte le LS libre l’été prochain»
Avdi Zeqiri, le père d’Andi
Un profond et sincère attachement au LS que confirme Alain Joseph. «Je le connais depuis longtemps, souligne l’ancien président lausannois, et j’ai rarement vu un joueur s’impliquer pareillement pour son club. Malgré les nombreuses sollicitations dont il a régulièrement été l’objet, Andi a toujours fait confiance au LS tout en se montrant patient. Il mérite ce qui lui arrive même si le montant du transfert peut étonner. Mais quand l’offre vient d’un club anglais, les lois du marché changent.»
L’insistance de Potter
Pour Avdi Zeqiri, si Brighton et Parme ont lutté à coups de millions pour convaincre son fils, c’est bien entendu beaucoup plus grâce à ses performances avec l’équipe de Suisse M21 qu’à celles livrées dans l’anonymat de la Challenge League. «Même si Andi sort d’une excellente saison avec le LS, les nombreux buts qu’il a inscrits lors des matches qualificatifs pour l’Euro M21 ont certainement pesé lourd dans la balance. Notamment son doublé contre la France.»
Alors que nombreux étaient ceux qui estimaient qu’un exercice complet en Super League aurait été pour lui le tremplin idéal avant de vivre une expérience à l’étranger, les circonstances ont voulu que Zeqiri franchisse d’un coup le gouffre qui sépare la Challenge League de la Premier League. «La différence est en effet énorme, admet Avdi, mais le fait que Brighton le veuille absolument nous a convaincus. Comme les deux téléphones qu’Andi a reçus de Graham Potter, le coach de Brighton, pour lui assurer qu’il comptait bien sur lui dès cette saison. Maintenant, il lui appartiendra de montrer durant la semaine, lors des entraînements, qu’il mérite d’avoir sa chance sur le terrain. Notre espoir, c’est qu’il dispute entre dix et quinze matches avec Brighton cette saison déjà.»
Propos mal interprétés
Une fois les habituelles formalités remplies avec son agent, Andi Zeqiri se retrouvera seul dans un pays dont il ignore tout. «Ce ne sera pas un problème pour lui, conclut son père. À 14 ans, il était déjà parti à Payerne dans le centre de préformation. Et ensuite il avait rejoint, à 17 ans seulement, la Juventus, avant de revenir au LS en 2017. Il est donc habitué à s’assumer.»
Père à la fois heureux et fier, Avdi Zeqiri revient aussi sur la polémique de ces derniers jours, née de ses propos concernant l’avenir international de son fils. «Mes paroles sur son intention présumée de défendre à l’avenir les couleurs du Kosovo ont été amplifiées et un peu déformées. Ce qui est certain, c’est qu’Andi a la ferme intention de vivre jusqu’à son terme cette aventure avec les M 21. Ensuite seulement il verra quels sont les choix de M. Petkovic. Et, croyez-moi, s’il est appelé en équipe de Suisse, il acceptera cette sélection avec bonheur et enthousiasme.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Les cinq plus gros transferts du LS
Blaise Nkufo, en 1998 à Grasshopper
3 millions de francs. Blaise NKufo est resté durant 22ans le plus gros transfert de l’histoire du LS. Une excellente affaire réalisée sous la présidence de Jean-François Kurz. Arrivé libre d’Yverdon en 1997, l’international suisse part un an plus tard pour GC, un club où il n’a jamais réussi à convaincre.
Bryan Okoh, en 2019 au Red Bull Salzbourg
2,5 millions. Bryan Okoh est un parfait inconnu du grand public lorsqu’il rejoint Red Bull Salzbourg durant l’été 2019. Normal puisque ce défenseur complet et très prometteur évolue, à 16ans, avec les M18 du Team Vaud. Il y a deux mois, il a disputé avec le club autrichien le Final4 de la Youth League.
Tomas Danilevicius en 2000, à Arsenal
2 millions. Tomas Danilevicius a été au centre d’une transaction très étonnante en 2000. Alors président du LS, Waldemar Kita réussit à céder pour un prix considéré comme exorbitant son attaquant lituanien à Arsenal. D’autant plus qu’il n’est alors de loin pas un joueur dominant à la Pontaise.
Jordan Lotomba, en 2017 à Young Boys
1,5 million. La vente de Jordan Lotomba à YB a été la meilleure réalisée durant l’ère Alain Joseph. Aux quelque 800’000francs versés par le club bernois en 2017 sont venus s’ajouter plusieurs bonus, avant qu’un demi-million supplémentaire ne tombe encore dans les caisses du LS lors de son récent passage à Nice.
Stéphane Chapuisat, en 1990 au Bayer Uerdingen
1,2 million. Le départ de Stéphane Chapuisat en janvier 1990 provoque la fureur des supporters d’un LS alors en lutte pour le titre. D’autant plus que l’attaquant rejoint le modeste Bayer Uerdingen. Un choix logique avec le recul puisque six mois plus tard il est transféré au Borussia Dortmund.
Blaise Nkufo, en 1998 à Grasshopper
3 millions de francs. Blaise NKufo est resté durant 22ans le plus gros transfert de l’histoire du LS. Une excellente affaire réalisée sous la présidence de Jean-François Kurz. Arrivé libre d’Yverdon en 1997, l’international suisse part un an plus tard pour GC, un club où il n’a jamais réussi à convaincre.
Bryan Okoh, en 2019 au Red Bull Salzbourg
2,5 millions. Bryan Okoh est un parfait inconnu du grand public lorsqu’il rejoint Red Bull Salzbourg durant l’été 2019. Normal puisque ce défenseur complet et très prometteur évolue, à 16ans, avec les M18 du Team Vaud. Il y a deux mois, il a disputé avec le club autrichien le Final4 de la Youth League.
Tomas Danilevicius en 2000, à Arsenal
2 millions. Tomas Danilevicius a été au centre d’une transaction très étonnante en 2000. Alors président du LS, Waldemar Kita réussit à céder pour un prix considéré comme exorbitant son attaquant lituanien à Arsenal. D’autant plus qu’il n’est alors de loin pas un joueur dominant à la Pontaise.
Jordan Lotomba, en 2017 à Young Boys
1,5 million. La vente de Jordan Lotomba à YB a été la meilleure réalisée durant l’ère Alain Joseph. Aux quelque 800’000francs versés par le club bernois en 2017 sont venus s’ajouter plusieurs bonus, avant qu’un demi-million supplémentaire ne tombe encore dans les caisses du LS lors de son récent passage à Nice.
Stéphane Chapuisat, en 1990 au Bayer Uerdingen
1,2 million. Le départ de Stéphane Chapuisat en janvier 1990 provoque la fureur des supporters d’un LS alors en lutte pour le titre. D’autant plus que l’attaquant rejoint le modeste Bayer Uerdingen. Un choix logique avec le recul puisque six mois plus tard il est transféré au Borussia Dortmund.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
https://www.20min.ch/fr/story/enfant-ballotte-entre-lausanne-et-nice-apres-une-liaison-ephemere-497399203093
rv- Date d'inscription : 14/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Pour Turkes, le LS espère mieux que le maintien
Un néo-promu ambitieux
Les Vaudois comptent sur leur buteur pour prolonger leur bonne série contre Zurich, samedi à la Pontaise.
Les quatre bons points récoltés et les convaincantes prestations offertes par le Lausanne-Sport face à Servette puis Lucerne lors des deux premières journées de Super League ont «déçu en bien» l’exigeant public lausannois. Une agréable surprise que ne partage pas Aldin Turkes. «Je ne suis pas étonné par notre bon début de saison, assure le buteur du LS. Notre groupe est jeune, de qualité et surtout très motivé à montrer qu’il est à la hauteur de cette catégorie de jeu. Et puis, lors du dernier exercice, nous avions déjà prouvé notre valeur contre Xamax, Lugano et Bâle en Coupe de Suisse.»
État d’esprit remarquable
Le scepticisme qui a plané au-dessus de la Pontaise - et qui est encore loin de s’estomper pour certains - est dû à deux raisons majeures: une récente fin de saison de Challenge League plus que laborieuse suivie d’un recrutement que d’aucuns espéraient plus clinquant malgré les déclarations pourtant claires de Bob Ratcliffe puis Souleymane Cissé. «Cette idée de développer de jeunes joueurs me plaît, continue l’attaquant. D’autant plus que nous avons quelques anciens pour bien les encadrer. Sinon, il y a plusieurs explications à notre été compliqué. La principale est certainement d’ordre psychologique. Avec ces quinze points d’avance à treize matches du terme, nous nous sommes tous inconsciemment dit que rien ne pouvait nous arriver. Un léger relâchement que nous avons su corriger dans la dernière ligne droite.»
Porté par l’euphorie de la promotion, le LS donne actuellement un peu l’impression de jouer à 110%de ses possibilités. «Je ne crois pas, corrige Aldin Turkes, même s’il est clair que les départs de Dan (Ndoye) et Andi (Zeqiri) pèsent lourd. Des pertes qui ont heureusement été compensées cette semaine par les arrivées de nouveaux éléments offensifs. Mais ce qui me plaît le plus, c’est notre état d’esprit et cette nouvelle volonté de presser haut nos adversaires. S’il est clair que le LS ne va pas être champion, je suis persuadé qu’en continuant de la sorte nous aurons les moyens, cette saison, de décrocher une place au milieu du classement.»
Cette façon plus ambitieuse et spectaculaire d’aborder ses matches, appréciée contre Servette, n’a toutefois pas pu être pleinement confirmée, dimanche dernier à Lucerne. Vite contraint d’évoluer en infériorité numérique, le LS a dû plus que jamais compter avec la contribution défensive de chacun. À commencer par celle de Turkes qui a prouvé une fois encore qu’il était désormais un attaquant complet en livrant l’une des meilleures prestations de sa jeune carrière. De quoi susciter très bientôt, s’il devait les répéter, un nouvel intérêt de clubs étrangers. «J’ai eu des offres d’Allemagne, du Portugal et des Pays-Bas cet été, admet-il, mais, après réflexion, j’ai estimé qu’il était préférable pour moi de d’abord faire mes preuves en Super League avant de tenter ma chance ailleurs. Parce que mon objectif est de partir dans un bon club avec de grandes chances de beaucoup y jouer. Je comprends les choix de Dan et Andi et je leur souhaite d’avoir beaucoup de temps de jeu avec Nice et Brighton, mais, à 24 ans, on ne réfléchit peut-être plus comme à 20. Raison pour laquelle ma décision de prolonger au LS est vite devenue une évidence.»
Objectif: quinze buts
Avec deux buts marqués pour ses deux premières sorties, le meilleur buteur de Challenge League de ces deux dernières saisons a idéalement commencé une nouvelle moisson qu’il espère poursuivre contre Zurich, samedi. «Mon ambition est d’en inscrire une bonne quinzaine pour mon premier vrai exercice en Super League», sourit-il. Avant de préciser aussitôt que l’intérêt collectif primera toujours sur ses statistiques personnelles. Ce dont personne ne doute au LS. André Boschetti
Lausanne - Zurich, samedi 19 h
Les absents LS sans Nanizayamo (suspendu), Geissmann, Koura, Schmidt, Koura, Zekhnini (blessés), Brazao, Zohouri ni Trazié (pas qualifiés).
Amical Durant la trêve des équipes nationales, le LS disputera un match à Zurich contre Grasshopper le vendredi 9octobre (15h).
Souvenirs La dernière confrontation entre les deux équipes remonte au 17 décembre 2017. Le LS s’était imposé 5-1. Une victoire qui ne l’a pas empêché d’être relégué six mois plus tard.
Giorgio Contini «Pour l’emporter, il faudra que nous soyons aussi agressifs et courageux que nous l’avons été contre Servette, il y a quinze jours.»
Un néo-promu ambitieux
Les Vaudois comptent sur leur buteur pour prolonger leur bonne série contre Zurich, samedi à la Pontaise.
Les quatre bons points récoltés et les convaincantes prestations offertes par le Lausanne-Sport face à Servette puis Lucerne lors des deux premières journées de Super League ont «déçu en bien» l’exigeant public lausannois. Une agréable surprise que ne partage pas Aldin Turkes. «Je ne suis pas étonné par notre bon début de saison, assure le buteur du LS. Notre groupe est jeune, de qualité et surtout très motivé à montrer qu’il est à la hauteur de cette catégorie de jeu. Et puis, lors du dernier exercice, nous avions déjà prouvé notre valeur contre Xamax, Lugano et Bâle en Coupe de Suisse.»
État d’esprit remarquable
Le scepticisme qui a plané au-dessus de la Pontaise - et qui est encore loin de s’estomper pour certains - est dû à deux raisons majeures: une récente fin de saison de Challenge League plus que laborieuse suivie d’un recrutement que d’aucuns espéraient plus clinquant malgré les déclarations pourtant claires de Bob Ratcliffe puis Souleymane Cissé. «Cette idée de développer de jeunes joueurs me plaît, continue l’attaquant. D’autant plus que nous avons quelques anciens pour bien les encadrer. Sinon, il y a plusieurs explications à notre été compliqué. La principale est certainement d’ordre psychologique. Avec ces quinze points d’avance à treize matches du terme, nous nous sommes tous inconsciemment dit que rien ne pouvait nous arriver. Un léger relâchement que nous avons su corriger dans la dernière ligne droite.»
Porté par l’euphorie de la promotion, le LS donne actuellement un peu l’impression de jouer à 110%de ses possibilités. «Je ne crois pas, corrige Aldin Turkes, même s’il est clair que les départs de Dan (Ndoye) et Andi (Zeqiri) pèsent lourd. Des pertes qui ont heureusement été compensées cette semaine par les arrivées de nouveaux éléments offensifs. Mais ce qui me plaît le plus, c’est notre état d’esprit et cette nouvelle volonté de presser haut nos adversaires. S’il est clair que le LS ne va pas être champion, je suis persuadé qu’en continuant de la sorte nous aurons les moyens, cette saison, de décrocher une place au milieu du classement.»
Cette façon plus ambitieuse et spectaculaire d’aborder ses matches, appréciée contre Servette, n’a toutefois pas pu être pleinement confirmée, dimanche dernier à Lucerne. Vite contraint d’évoluer en infériorité numérique, le LS a dû plus que jamais compter avec la contribution défensive de chacun. À commencer par celle de Turkes qui a prouvé une fois encore qu’il était désormais un attaquant complet en livrant l’une des meilleures prestations de sa jeune carrière. De quoi susciter très bientôt, s’il devait les répéter, un nouvel intérêt de clubs étrangers. «J’ai eu des offres d’Allemagne, du Portugal et des Pays-Bas cet été, admet-il, mais, après réflexion, j’ai estimé qu’il était préférable pour moi de d’abord faire mes preuves en Super League avant de tenter ma chance ailleurs. Parce que mon objectif est de partir dans un bon club avec de grandes chances de beaucoup y jouer. Je comprends les choix de Dan et Andi et je leur souhaite d’avoir beaucoup de temps de jeu avec Nice et Brighton, mais, à 24 ans, on ne réfléchit peut-être plus comme à 20. Raison pour laquelle ma décision de prolonger au LS est vite devenue une évidence.»
Objectif: quinze buts
Avec deux buts marqués pour ses deux premières sorties, le meilleur buteur de Challenge League de ces deux dernières saisons a idéalement commencé une nouvelle moisson qu’il espère poursuivre contre Zurich, samedi. «Mon ambition est d’en inscrire une bonne quinzaine pour mon premier vrai exercice en Super League», sourit-il. Avant de préciser aussitôt que l’intérêt collectif primera toujours sur ses statistiques personnelles. Ce dont personne ne doute au LS. André Boschetti
Lausanne - Zurich, samedi 19 h
Les absents LS sans Nanizayamo (suspendu), Geissmann, Koura, Schmidt, Koura, Zekhnini (blessés), Brazao, Zohouri ni Trazié (pas qualifiés).
Amical Durant la trêve des équipes nationales, le LS disputera un match à Zurich contre Grasshopper le vendredi 9octobre (15h).
Souvenirs La dernière confrontation entre les deux équipes remonte au 17 décembre 2017. Le LS s’était imposé 5-1. Une victoire qui ne l’a pas empêché d’être relégué six mois plus tard.
Giorgio Contini «Pour l’emporter, il faudra que nous soyons aussi agressifs et courageux que nous l’avons été contre Servette, il y a quinze jours.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Koura blessé..........ce n'est hélas pas nouveau ! Bon joueur mais toujours à l'infirmerie !
TKP- Date d'inscription : 26/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
TKP a écrit:Koura blessé..........ce n'est hélas pas nouveau ! Bon joueur mais toujours à l'infirmerie !
Ben oui Il ne Koura pas ce soir
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
https://www.20min.ch/fr/story/lausanne-sport-quel-spectacle-122442977090
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Brillant, le Lausanne-Sport prend la tête de la Super League
Evann Guessand a inscrit le quatrième but
lausannois.Laurent Gillieron/Keystone
SUPER LEAGUE Le néopromu vaudois a infligé une retentissante correction (4-0) à un FC Zurich incapable de réagir.
La saison dernière, en Challenge League, le Lausanne-Sport avait fait la course en tête presque du début à la fin. Une excellente habitude que les Vaudois tiennent apparemment à conserver à l’étage supérieur.
Net et flamboyant vainqueur du FC Zurich samedi soir à la Pontaise, le néopromu trône en effet désormais au sommet de la Super League. Une première position peut-être très provisoire puisque, en cas de victoire contre Servette ce dimanche, Saint-Gall reprendrait la tête du classement, mais qui donne une primordiale confiance à cette jeune équipe lausannoise. Mais peu importe le rang qui sera le sien après cette troisième ronde, car l’essentiel est ailleurs pour Giorgio Contini et son impertinente escouade. Alors qu’on imaginait que le LS avait livré un authentique match référence contre Servette il y a quinze jours, il a réussi à faire mieux face à ce FC Zurich qui a longtemps dû se contenter d’un simple rôle de faire-valoir. Pour que Mory Diaw apporte sa contribution à la cause commune, il aura fallu patienter soixante-huit minutes et son duel remporté contre Ceesay.
Jusque-là, le gardien lausannois avait pu admirer d’une position privilégiée la prestation parfois enthousiasmante de ses co équipiers qui avaient vite pris l’avantage grâce à leur insatiable buteur, Aldin Turkes (12e), puis doublé la mise à la suite d’une superbe frappe lointaine de Cameron Puertas (41e). Un viatique qui aurait pu, et dû, être plus large encore au moment de cette petite alerte zurichoise, tant les Vaudois, emmenés par le brillant duo Kukuruzovic-Puertas, ont non seulement dominé leur sujet mais aussi multiplié les occasions de donner au score des allures de correction lors des quarante-cinq premières minutes presque parfaites. Cette légère frayeur passée, le Lausanne-Sport a eu la bonne idée de ne pas se contenter de gérer l’acquis. Et après que le nouveau venu Da Cunha a vu sa frappe péniblement stoppée par Brecher (73e), Boranijasevic, parfaitement servi par l’omniprésent Puertas, glaçait les derniers minuscules espoirs du FCZ. Une addition qui prenait des proportions de débâcle pour les visiteurs lorsque Guessand, l’autre jeune néophyte, de 19 ans lui aussi, concluait avec lucidité un contre amorcé par Puertas et magnifiquement relayé par Barès.
ANDRÉ BOSCHETTI
Evann Guessand a inscrit le quatrième but
lausannois.Laurent Gillieron/Keystone
SUPER LEAGUE Le néopromu vaudois a infligé une retentissante correction (4-0) à un FC Zurich incapable de réagir.
La saison dernière, en Challenge League, le Lausanne-Sport avait fait la course en tête presque du début à la fin. Une excellente habitude que les Vaudois tiennent apparemment à conserver à l’étage supérieur.
Net et flamboyant vainqueur du FC Zurich samedi soir à la Pontaise, le néopromu trône en effet désormais au sommet de la Super League. Une première position peut-être très provisoire puisque, en cas de victoire contre Servette ce dimanche, Saint-Gall reprendrait la tête du classement, mais qui donne une primordiale confiance à cette jeune équipe lausannoise. Mais peu importe le rang qui sera le sien après cette troisième ronde, car l’essentiel est ailleurs pour Giorgio Contini et son impertinente escouade. Alors qu’on imaginait que le LS avait livré un authentique match référence contre Servette il y a quinze jours, il a réussi à faire mieux face à ce FC Zurich qui a longtemps dû se contenter d’un simple rôle de faire-valoir. Pour que Mory Diaw apporte sa contribution à la cause commune, il aura fallu patienter soixante-huit minutes et son duel remporté contre Ceesay.
Jusque-là, le gardien lausannois avait pu admirer d’une position privilégiée la prestation parfois enthousiasmante de ses co équipiers qui avaient vite pris l’avantage grâce à leur insatiable buteur, Aldin Turkes (12e), puis doublé la mise à la suite d’une superbe frappe lointaine de Cameron Puertas (41e). Un viatique qui aurait pu, et dû, être plus large encore au moment de cette petite alerte zurichoise, tant les Vaudois, emmenés par le brillant duo Kukuruzovic-Puertas, ont non seulement dominé leur sujet mais aussi multiplié les occasions de donner au score des allures de correction lors des quarante-cinq premières minutes presque parfaites. Cette légère frayeur passée, le Lausanne-Sport a eu la bonne idée de ne pas se contenter de gérer l’acquis. Et après que le nouveau venu Da Cunha a vu sa frappe péniblement stoppée par Brecher (73e), Boranijasevic, parfaitement servi par l’omniprésent Puertas, glaçait les derniers minuscules espoirs du FCZ. Une addition qui prenait des proportions de débâcle pour les visiteurs lorsque Guessand, l’autre jeune néophyte, de 19 ans lui aussi, concluait avec lucidité un contre amorcé par Puertas et magnifiquement relayé par Barès.
ANDRÉ BOSCHETTI
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Interview interessante de Contini, en fin de séquence.
https://www.rts.ch/play/tv/redirect/detail/11650453
https://www.rts.ch/play/tv/redirect/detail/11650453
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
https://www.lematin.ch/story/le-ls-va-attaquer-la-deuxieme-phase-de-son-projet-211274376539
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Lausanne fait des étincelles
L’état de grâce du LS: parti pour durer?
Le défenseur Boranijasevic (à g.) s'apprête à inscrire le troisième but, malgré le
milieu de terrain zurichois Kololli.Keystone
Vainqueur de Zurich 4-0 samedi, LS est seul sur sa planète en ce moment. Jusqu’à quand?
Florian Vaney
Ce n’est pas faire injure au Lausanne-Sport ou ne pas croire en ses qualités et en son projet que de se pose une question centrale: jusqu’à quand l’état de grâce va-t-il durer? Bien sûr, on aimerait croire que Stjepan Kukuruzovic et ses camarades continueront d’asphyxier, de déjouer tous les adversaires qui se présenteront sur leur route cette saison. Entre les 10e et 65eminutes samedi, personne n’a vu le FC Zurich. Tout comme personne n’avait aperçu Servette avant la 80e il y a deux semaines.
À ce stade, on ne parle plus d’ascendant, mais d’une domination totale. Seulement, si les Lausannois continuent d’évoluer à cette hauteur, on n’est pas sûr que l’une des deux premières places puisse leur échapper. Et cette pensée, avouons-le, n’est pas franchement raisonnable.
L’euphorie, ce bien volatile
Se pencher sur le cas du LS, c’est replonger dans le passé, le comparer à sa version de 2016. Celle qui avait flambé au moment de retrouver les projecteurs de la Super League, pour mieux s’éteindre ensuite. La notion d’euphorie est à prendre en compte. Le Servette de la saison passée en sait quelque chose. Ludovic Magnin aussi, qui a souligné le gouffre entre son équipe et celle qui l’a prise de vitesse, qui a tout fait beaucoup mieux, beaucoup trop bien.
Sauf que le retour dans le rang du LS n’a rien d’une fatalité. Cela paraît peut-être fou à dire, mais ce groupe possède devant lui une vraie marge de progression. On peut parler de celle des déjà très costauds Cameron Puertas et Joël Monteiro. Leur apport sportif est indéniable. Leur valeur symbolique aussi, eux qui représentent la filiale Team Vaud et sa réputation. Mais à 22 et 21 ans, leur jeu peut être épuré. Le premier doit apprendre à catalyser sa fougue et améliorer certains choix. Le second doit se faire au monde des pros et engranger la sérénité qui vient avec les années. Surtout, il y a ce nouveau souffle potentiel qui vient de faire son apparition. Ils s’appellent Lucas Da Cunha, Evann Guessand, Thomas Trazié, Armel Zohouri ou Pedro Brazão, mais aussi Marc Fred Tsoungui, arrivé quelques semaines plus tôt. Ils sont là pour grandir et pour apporter de la concurrence. L’argument se veut à double tranchant. Qui peut affirmer qu’Evann Guessand deviendra le parfait complément d’Aldin Turkes en pointe? Ou qu’Armel Zohouri possède les qualités pour se faire une place aux dépens d’un Nikola Boranijasevic plus que convaincant depuis le début de l’exercice? Personne n’en sait rien. Le LS vient peut-être d’engager cinq éléments qui finiront par tomber dans l’oubli. Ou alors des cracks, qui le porteront un peu plus vers le sommet.
Bâti pour la Super League
Lausanne se trouve dans une position plutôt confortable. Il possède un onze de base qui prouve être bâti pour la Super League (merci Pablo Iglesias) et potentiellement bientôt des options viables pour l’améliorer (merci Souleymane Cissé?), lui donner du volume et le prémunir contre les aléas d’une longue saison. Tandis qu’avec les sept points déjà engrangés, il a fait un bon bout du chemin en direction du maintien. Parce qu’avant de viser les sommets, mieux vaut assurer la base. Et si le nouveau LS ne le faisait pas si mal que ça, finalement?
L’état de grâce du LS: parti pour durer?
Le défenseur Boranijasevic (à g.) s'apprête à inscrire le troisième but, malgré le
milieu de terrain zurichois Kololli.Keystone
Vainqueur de Zurich 4-0 samedi, LS est seul sur sa planète en ce moment. Jusqu’à quand?
Florian Vaney
Ce n’est pas faire injure au Lausanne-Sport ou ne pas croire en ses qualités et en son projet que de se pose une question centrale: jusqu’à quand l’état de grâce va-t-il durer? Bien sûr, on aimerait croire que Stjepan Kukuruzovic et ses camarades continueront d’asphyxier, de déjouer tous les adversaires qui se présenteront sur leur route cette saison. Entre les 10e et 65eminutes samedi, personne n’a vu le FC Zurich. Tout comme personne n’avait aperçu Servette avant la 80e il y a deux semaines.
À ce stade, on ne parle plus d’ascendant, mais d’une domination totale. Seulement, si les Lausannois continuent d’évoluer à cette hauteur, on n’est pas sûr que l’une des deux premières places puisse leur échapper. Et cette pensée, avouons-le, n’est pas franchement raisonnable.
L’euphorie, ce bien volatile
Se pencher sur le cas du LS, c’est replonger dans le passé, le comparer à sa version de 2016. Celle qui avait flambé au moment de retrouver les projecteurs de la Super League, pour mieux s’éteindre ensuite. La notion d’euphorie est à prendre en compte. Le Servette de la saison passée en sait quelque chose. Ludovic Magnin aussi, qui a souligné le gouffre entre son équipe et celle qui l’a prise de vitesse, qui a tout fait beaucoup mieux, beaucoup trop bien.
Sauf que le retour dans le rang du LS n’a rien d’une fatalité. Cela paraît peut-être fou à dire, mais ce groupe possède devant lui une vraie marge de progression. On peut parler de celle des déjà très costauds Cameron Puertas et Joël Monteiro. Leur apport sportif est indéniable. Leur valeur symbolique aussi, eux qui représentent la filiale Team Vaud et sa réputation. Mais à 22 et 21 ans, leur jeu peut être épuré. Le premier doit apprendre à catalyser sa fougue et améliorer certains choix. Le second doit se faire au monde des pros et engranger la sérénité qui vient avec les années. Surtout, il y a ce nouveau souffle potentiel qui vient de faire son apparition. Ils s’appellent Lucas Da Cunha, Evann Guessand, Thomas Trazié, Armel Zohouri ou Pedro Brazão, mais aussi Marc Fred Tsoungui, arrivé quelques semaines plus tôt. Ils sont là pour grandir et pour apporter de la concurrence. L’argument se veut à double tranchant. Qui peut affirmer qu’Evann Guessand deviendra le parfait complément d’Aldin Turkes en pointe? Ou qu’Armel Zohouri possède les qualités pour se faire une place aux dépens d’un Nikola Boranijasevic plus que convaincant depuis le début de l’exercice? Personne n’en sait rien. Le LS vient peut-être d’engager cinq éléments qui finiront par tomber dans l’oubli. Ou alors des cracks, qui le porteront un peu plus vers le sommet.
Bâti pour la Super League
Lausanne se trouve dans une position plutôt confortable. Il possède un onze de base qui prouve être bâti pour la Super League (merci Pablo Iglesias) et potentiellement bientôt des options viables pour l’améliorer (merci Souleymane Cissé?), lui donner du volume et le prémunir contre les aléas d’une longue saison. Tandis qu’avec les sept points déjà engrangés, il a fait un bon bout du chemin en direction du maintien. Parce qu’avant de viser les sommets, mieux vaut assurer la base. Et si le nouveau LS ne le faisait pas si mal que ça, finalement?
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
https://www.lematin.ch/story/lausanne-est-le-meilleur-promu-de-lhistoire-de-la-super-league-173116263926
Homer- Date d'inscription : 31/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
https://www.letemps.ch/sport/dismoi-oui-andi-zeqiri
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
kok9 n'aime pas ce message
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
https://www.lematin.ch/story/cameron-puertas-jetais-un-peu-choque-147479490386
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Cameron Puertas, l’homme qui incarne l’audace du LS
Le milieu de terrain de la Pontaise n’est pas étranger à l’excellent départ du néo-promu. Avant le derby face à Sion, il raconte son formidable but contre Zurich.
Nicolas Jacquier
Que raconte un but de son auteur? Que dit-il de son caractère? Dans le cas de Cameron Puertas, on peut y déceler l’amour du risque, l’audace frondeuse d’un homme de 22 ans. Le premier samedi d’octobre, à l’occasion de la démonstration contre Zurich (4-0), le milieu de terrain de la Pontaise a marqué les esprits autant que son territoire en signant ce qui pourrait s’inscrire comme le but du mois, à tout le moins. Dans la catégorie des frappes lointaines pleine lucarne, le prétendant sera difficile à déloger. Pour un premier but en Super League, il doit y avoir pire que cette «cacahuète» décochée de 25 m.
Lors de cette lumineuse 41e minute que l’on a revisitée en sa compagnie, à quoi a-t-il pensé au moment de s’avancer, d’éliminer un opposant pour mieux armer son shoot? «Lorsque j’ai hérité du ballon, je savais déjà que j’allais tirer. C’est allé assez vite Quand je lève la tête après ma frappe, la balle est déjà dans les filets.» Sur une échelle de 1 à 10, quelle note s’attribuerait-il? «Allez, un petit 11», répond Cameron sans fanfaronner, juste heureux d’avoir ouvert son compteur personnel de la plus belle des manières.
Une idole de jeunesse nommée Casillas
Du coup, le plus espagnol des Vaudois a même eu droit à l’accolade complice et aux félicitations de Giorgio Contini au coup de sifflet final. «Durant la semaine, le coach me répète souvent d’oser jouer plus simple, de dépouiller mon jeu afin d’être plus efficace. Je crois que j’ai eu raison de l’écouter.» Ce but, obtenu de surcroît devant sa famille et son amie Lisa, équivaut aussi, dit-il, à «une forme de libération».
L’avènement de Puertas raconte la trajectoire de celui qui, préadolescent, a usé ses fonds de culotte au bord du terrain de la Pontaise, dans un rôle de ramasseur de balle. «J’ai fait ça durant trois saisons, en suivant notamment toute l’aventure en Ligue Europa en 2010, avec Favre, Katz, Meoli, Roux, Moussilou. Gétaz et Pasche (ndlr: parti cet été à Xamax) étaient déjà là» Mais à l’époque, le jeune Cameron n’a d’yeux que pour les portiers, le poste qu’il occupe alors en juniors. «Quand j’ai quitté Lausanne à 13 ans, je jouais encore gardien. Casillas était mon idole de jeunesse.» Et le Real Madrid déjà son club de cœur à l’étranger.
Après avoir rendu ses gants lors de son passage à Renens, son destin bascule définitivement quand Christophe Ohrel, alors entraîneur de Forward Morges, voit en lui un futur crack, qu’il lance très tôt en 2e ligue avant d’alerter les recruteurs du LS, Marc Hottiger en tête. «Je lui dois beaucoup. Sans lui, je n’en serais peut-être pas là aujourd’hui.»
Dans sa carrière naissante, Puertas se définit lui-même comme un travailleur acharné, rarement satisfait. Chez lui domine en permanence la nécessité de fixer la barre toujours plus haut, quitte à se compliquer la tâche ou à en rajouter parfois. «Dans mon désir de bien faire les choses, j’en fais parfois trop, concède-t-il. Comme si être à 100% ne suffisait pas. Je dois toujours en faire plus pour être bien.» Apprendre à mieux canaliser son énergie, c’est aussi faire l’économie de quelques cartons.
En franchissant de nouvelles étapes, en enchaînant les différents paliers, a-t-il pu craindre de ne pas être à la hauteur? La question ne le hante pas le moins du monde. «Une conviction me guide. Je me dis que si j’en suis là, c’est que je mérite d’être à ma place.»
Issu de Team Vaud
Pur produit de la formation Team Vaud, l’homme du milieu incarne l’audace triomphante du LS. «Évoluer dans le club de ma ville demeure une fierté», lâche celui qui a grandi dans le quartier de Praz-Séchaud. Sur l’échiquier vaudois, Cameron Puertas distille son jeu, ses passes, orchestre aussi la manœuvre lorsqu’il ne joue pas les récupérateurs de service. «Sur un terrain, j’ai l’avantage d’être assez libre. Mon objectif initial, ce n’est pas forcément de marquer, c’est plutôt de mettre les autres en valeur.»
Mais ce 3 octobre 2020, une date qu’il retiendra certainement toute sa vie, notre interlocuteur a choisi de ne pas s’oublier, signe de la confiance qui l’habite. «Je serais content de marquer trois, quatre buts par saison», glisse-t-il au moment de nous quitter. Avant de prévenir, mi-sérieux mi-taquin: «Je crois que je devrais tenter plus souvent ma chance» La prochaine fois, ce sera dimanche, contre Sion à Tourbillon.
L’avant-match
Sion - LS, dimanche 16 h
Les absents Nanizayamo est suspendu et Schmidt incertain. Des cinq recrues niçoises, quatre seront à disposition. Trazié, blessé, devra attendre. La dynamique Avec sept points en trois duels, le début de championnat est quasi parfait. «La profondeur que nous offrent les recrues ne peut que nous aider», souligne Giorgio Contini.
L’adversaire Sion joue mieux depuis la reprise. Et surtout avec plus de caractère. Ses deux points au classement sont trompeurs.
Le milieu de terrain de la Pontaise n’est pas étranger à l’excellent départ du néo-promu. Avant le derby face à Sion, il raconte son formidable but contre Zurich.
Nicolas Jacquier
Que raconte un but de son auteur? Que dit-il de son caractère? Dans le cas de Cameron Puertas, on peut y déceler l’amour du risque, l’audace frondeuse d’un homme de 22 ans. Le premier samedi d’octobre, à l’occasion de la démonstration contre Zurich (4-0), le milieu de terrain de la Pontaise a marqué les esprits autant que son territoire en signant ce qui pourrait s’inscrire comme le but du mois, à tout le moins. Dans la catégorie des frappes lointaines pleine lucarne, le prétendant sera difficile à déloger. Pour un premier but en Super League, il doit y avoir pire que cette «cacahuète» décochée de 25 m.
Lors de cette lumineuse 41e minute que l’on a revisitée en sa compagnie, à quoi a-t-il pensé au moment de s’avancer, d’éliminer un opposant pour mieux armer son shoot? «Lorsque j’ai hérité du ballon, je savais déjà que j’allais tirer. C’est allé assez vite Quand je lève la tête après ma frappe, la balle est déjà dans les filets.» Sur une échelle de 1 à 10, quelle note s’attribuerait-il? «Allez, un petit 11», répond Cameron sans fanfaronner, juste heureux d’avoir ouvert son compteur personnel de la plus belle des manières.
Une idole de jeunesse nommée Casillas
Du coup, le plus espagnol des Vaudois a même eu droit à l’accolade complice et aux félicitations de Giorgio Contini au coup de sifflet final. «Durant la semaine, le coach me répète souvent d’oser jouer plus simple, de dépouiller mon jeu afin d’être plus efficace. Je crois que j’ai eu raison de l’écouter.» Ce but, obtenu de surcroît devant sa famille et son amie Lisa, équivaut aussi, dit-il, à «une forme de libération».
L’avènement de Puertas raconte la trajectoire de celui qui, préadolescent, a usé ses fonds de culotte au bord du terrain de la Pontaise, dans un rôle de ramasseur de balle. «J’ai fait ça durant trois saisons, en suivant notamment toute l’aventure en Ligue Europa en 2010, avec Favre, Katz, Meoli, Roux, Moussilou. Gétaz et Pasche (ndlr: parti cet été à Xamax) étaient déjà là» Mais à l’époque, le jeune Cameron n’a d’yeux que pour les portiers, le poste qu’il occupe alors en juniors. «Quand j’ai quitté Lausanne à 13 ans, je jouais encore gardien. Casillas était mon idole de jeunesse.» Et le Real Madrid déjà son club de cœur à l’étranger.
Après avoir rendu ses gants lors de son passage à Renens, son destin bascule définitivement quand Christophe Ohrel, alors entraîneur de Forward Morges, voit en lui un futur crack, qu’il lance très tôt en 2e ligue avant d’alerter les recruteurs du LS, Marc Hottiger en tête. «Je lui dois beaucoup. Sans lui, je n’en serais peut-être pas là aujourd’hui.»
Dans sa carrière naissante, Puertas se définit lui-même comme un travailleur acharné, rarement satisfait. Chez lui domine en permanence la nécessité de fixer la barre toujours plus haut, quitte à se compliquer la tâche ou à en rajouter parfois. «Dans mon désir de bien faire les choses, j’en fais parfois trop, concède-t-il. Comme si être à 100% ne suffisait pas. Je dois toujours en faire plus pour être bien.» Apprendre à mieux canaliser son énergie, c’est aussi faire l’économie de quelques cartons.
En franchissant de nouvelles étapes, en enchaînant les différents paliers, a-t-il pu craindre de ne pas être à la hauteur? La question ne le hante pas le moins du monde. «Une conviction me guide. Je me dis que si j’en suis là, c’est que je mérite d’être à ma place.»
Issu de Team Vaud
Pur produit de la formation Team Vaud, l’homme du milieu incarne l’audace triomphante du LS. «Évoluer dans le club de ma ville demeure une fierté», lâche celui qui a grandi dans le quartier de Praz-Séchaud. Sur l’échiquier vaudois, Cameron Puertas distille son jeu, ses passes, orchestre aussi la manœuvre lorsqu’il ne joue pas les récupérateurs de service. «Sur un terrain, j’ai l’avantage d’être assez libre. Mon objectif initial, ce n’est pas forcément de marquer, c’est plutôt de mettre les autres en valeur.»
Mais ce 3 octobre 2020, une date qu’il retiendra certainement toute sa vie, notre interlocuteur a choisi de ne pas s’oublier, signe de la confiance qui l’habite. «Je serais content de marquer trois, quatre buts par saison», glisse-t-il au moment de nous quitter. Avant de prévenir, mi-sérieux mi-taquin: «Je crois que je devrais tenter plus souvent ma chance» La prochaine fois, ce sera dimanche, contre Sion à Tourbillon.
L’avant-match
Sion - LS, dimanche 16 h
Les absents Nanizayamo est suspendu et Schmidt incertain. Des cinq recrues niçoises, quatre seront à disposition. Trazié, blessé, devra attendre. La dynamique Avec sept points en trois duels, le début de championnat est quasi parfait. «La profondeur que nous offrent les recrues ne peut que nous aider», souligne Giorgio Contini.
L’adversaire Sion joue mieux depuis la reprise. Et surtout avec plus de caractère. Ses deux points au classement sont trompeurs.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Un point et des regrets pour le LS
Même réduits à dix dès la 56e minute, les Vaudois ont globalement laissé une meilleure impression que le FC Sion (0-0).
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 20h30
0 commentaire
Le Lausannois Cameron Puertas, qui prend ici le dessus sur le Sédunois Musa Araz, a une nouvelle fois été le joueur le plus en vue de ce derby pauvre en émotions et en occasions.
Le Lausannois Cameron Puertas, qui prend ici le dessus sur le Sédunois Musa Araz, a une nouvelle fois été le joueur le plus en vue de ce derby pauvre en émotions et en occasions.
KEYSTONE
Après les quatre premières rondes, le Lausanne-Sport est toujours invaincu. Pour un néopromu en Super League, les huit points récoltés jusque-là constituent une excellente base comptable pour envisager la suite avec confiance et sérénité.
Un butin d’autant plus remarquable que les Vaudois n’ont absolument rien volé. Bien au contraire. Avec un peu plus de malice et de lucidité, ils auraient même pu en compter davantage encore. Et trôner en solitaire en tête du classement. Dimanche à Sion, comme d’ailleurs lors de son déplacement à Lucerne (2-2), le LS a payé au prix fort les erreurs de deux de ses joueurs.
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
Encore une expulsion
Il y a trois semaines, un tacle mal maîtrisé de Mickaël Nanizayamo avait déjà obligé ses coéquipiers à batailler en infériorité numérique durant une heure. À Tourbillon, ce fut au tour du capitaine, Stjepan Kukuruzovic, de devoir quitter prématurément le terrain après un deuxième avertissement aussi justifié qu’inutile à mi-terrain.
Un derby décevant
Une expulsion tombée à plus d’une demi-heure du terme d’un derby aussi pauvre sur le plan technique qu’en occasions, qui brisait net la légère supériorité lausannoise. Face à un adversaire extrêmement décevant et emprunté, ce LS pourtant plus prudent que lors de ses deux sorties devant son public, avait tout de même réussi à prendre un léger ascendant sur son adversaire. Pour se ménager quelques situations dangereuses qui auraient pu lui permettre de faire la course en tête. Notamment lorsque Aldin Turkes, dans un bien mauvais jour dimanche, préférait la solution individuelle à un décalage sur Cameron Puertas, seul à sa droite, qui aurait offert à son coéquipier un duel face à Fickentscher (8e). Puis quand un magnifique contre Flo-Schneuwly plaçait Joël Monteiro face au gardien sédunois qui détournait in extremis la frappe de l’attaquant. Ou, enfin, lorsque Turkes encore, bien servi par Monteiro, ratait une grosse occasion (46e), tout comme Elton Monteiro peu après.
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
«Compte tenu des circonstances, je crois qu’on peut être satisfait de ce point»
Christian Schneuwly, milieu de terrain du LS
«Ce manque de réalisme a été la grande différence avec nos précédentes sorties, résumait Christian Schneuwly. Même en fin de partie, lorsque nous étions à dix, nous avons encore eu quelques occasions de repartir avec la victoire. Mais, bon, Sion en a eu aussi dans la dernière demi-heure et, compte tenu des circonstances, je crois qu’on peut être satisfait de ce point. À dix, nous avons aussi su confirmer que nous sommes une équipe solide, difficile à bouger. Le fait d’être encore invaincu après quatre matches doit nous donner encore plus de confiance pour la suite.»
Au repos dimanche
Une suite dont on ignore encore la date. Le LS ne se déplacera en effet pas à Bâle le week-end prochain, puisque l’équipe rhénane a été placée, ce dimanche, en quarantaine pour dix jours.
Un championnat dont l’incertitude est jusque-là la principale caractéristique. Sur les 19 rencontres déjà disputées, une seule s’est en effet conclue par plus d’un but d’écart. La nette victoire du LS sur le FC Zurich il y a quinze jours fait donc office d’exception dans une compétition où les prétendus cadors ont encore du mal à affirmer leur supériorité. Pour le plus grand bonheur d’un néopromu qui a tout pour continuer de jouer son intéressant rôle de trouble-fête. En attendant mieux encore peut-être s’il parvient à mieux gérer sa fougue pour terminer tous ses matches à onze.
Même réduits à dix dès la 56e minute, les Vaudois ont globalement laissé une meilleure impression que le FC Sion (0-0).
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 20h30
0 commentaire
Le Lausannois Cameron Puertas, qui prend ici le dessus sur le Sédunois Musa Araz, a une nouvelle fois été le joueur le plus en vue de ce derby pauvre en émotions et en occasions.
Le Lausannois Cameron Puertas, qui prend ici le dessus sur le Sédunois Musa Araz, a une nouvelle fois été le joueur le plus en vue de ce derby pauvre en émotions et en occasions.
KEYSTONE
Après les quatre premières rondes, le Lausanne-Sport est toujours invaincu. Pour un néopromu en Super League, les huit points récoltés jusque-là constituent une excellente base comptable pour envisager la suite avec confiance et sérénité.
Un butin d’autant plus remarquable que les Vaudois n’ont absolument rien volé. Bien au contraire. Avec un peu plus de malice et de lucidité, ils auraient même pu en compter davantage encore. Et trôner en solitaire en tête du classement. Dimanche à Sion, comme d’ailleurs lors de son déplacement à Lucerne (2-2), le LS a payé au prix fort les erreurs de deux de ses joueurs.
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
Encore une expulsion
Il y a trois semaines, un tacle mal maîtrisé de Mickaël Nanizayamo avait déjà obligé ses coéquipiers à batailler en infériorité numérique durant une heure. À Tourbillon, ce fut au tour du capitaine, Stjepan Kukuruzovic, de devoir quitter prématurément le terrain après un deuxième avertissement aussi justifié qu’inutile à mi-terrain.
Un derby décevant
Une expulsion tombée à plus d’une demi-heure du terme d’un derby aussi pauvre sur le plan technique qu’en occasions, qui brisait net la légère supériorité lausannoise. Face à un adversaire extrêmement décevant et emprunté, ce LS pourtant plus prudent que lors de ses deux sorties devant son public, avait tout de même réussi à prendre un léger ascendant sur son adversaire. Pour se ménager quelques situations dangereuses qui auraient pu lui permettre de faire la course en tête. Notamment lorsque Aldin Turkes, dans un bien mauvais jour dimanche, préférait la solution individuelle à un décalage sur Cameron Puertas, seul à sa droite, qui aurait offert à son coéquipier un duel face à Fickentscher (8e). Puis quand un magnifique contre Flo-Schneuwly plaçait Joël Monteiro face au gardien sédunois qui détournait in extremis la frappe de l’attaquant. Ou, enfin, lorsque Turkes encore, bien servi par Monteiro, ratait une grosse occasion (46e), tout comme Elton Monteiro peu après.
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
«Compte tenu des circonstances, je crois qu’on peut être satisfait de ce point»
Christian Schneuwly, milieu de terrain du LS
«Ce manque de réalisme a été la grande différence avec nos précédentes sorties, résumait Christian Schneuwly. Même en fin de partie, lorsque nous étions à dix, nous avons encore eu quelques occasions de repartir avec la victoire. Mais, bon, Sion en a eu aussi dans la dernière demi-heure et, compte tenu des circonstances, je crois qu’on peut être satisfait de ce point. À dix, nous avons aussi su confirmer que nous sommes une équipe solide, difficile à bouger. Le fait d’être encore invaincu après quatre matches doit nous donner encore plus de confiance pour la suite.»
Au repos dimanche
Une suite dont on ignore encore la date. Le LS ne se déplacera en effet pas à Bâle le week-end prochain, puisque l’équipe rhénane a été placée, ce dimanche, en quarantaine pour dix jours.
Un championnat dont l’incertitude est jusque-là la principale caractéristique. Sur les 19 rencontres déjà disputées, une seule s’est en effet conclue par plus d’un but d’écart. La nette victoire du LS sur le FC Zurich il y a quinze jours fait donc office d’exception dans une compétition où les prétendus cadors ont encore du mal à affirmer leur supériorité. Pour le plus grand bonheur d’un néopromu qui a tout pour continuer de jouer son intéressant rôle de trouble-fête. En attendant mieux encore peut-être s’il parvient à mieux gérer sa fougue pour terminer tous ses matches à onze.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Petit résumé de ce Sion - LS :
http://www.carton-rouge.ch/2020/10/18/au-bal-masque-un-kuku-et-puis-sen-va/
http://www.carton-rouge.ch/2020/10/18/au-bal-masque-un-kuku-et-puis-sen-va/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Utilisateur aime ce message
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
https://www.lematin.ch/story/le-ls-nest-pas-passe-loin-dun-bon-petit-braquage-218039696117
lamadechine- Date d'inscription : 23/07/2013
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Des «pagodes à billets» ceignent désormais le stade de la Tuilière
Lausanne
En partie financée par le Pour-cent culturel, l’œuvre de l’artiste Florian Graf illustre la volonté de la Ville de favoriser l’accès à la culture.
C’est dans des containers particuliers que les fans de football viendront bientôt acheter leurs billets. Lundi, la Ville de Lausanne a présenté à la presse le projet «Ticket Pagoda», trois sculptures réalisées par l’artiste bâlois Florian Graf et exposées tout autour du nouveau stade du Lausanne-Sport.
«Jeter des ponts»
Il s’agit de l’œuvre la plus récente du Pour-cent culturel, le fonds communal dédié à l’art et la culture et intégré aux rénovations ou constructions d’infrastructures. «Nous essayons de jeter des ponts entre différentes disciplines, à savoir l’art et le bâtiment», explique Natacha Litzistorf, municipale en charge de l’Environnement et de l’Architecture. Avec le Pour-cent culturel, la Ville souhaite lutter contre les inégalités d’accès à la culture, d’où le choix d’un stade de football comme lieu d’exposition. «On cherche à créer un tiers-lieu pour que la culture s’exprime, afin de rendre l’œuvre accessible à tous et en tout temps», rajoute la municipale.
Pour rappel, le Pour-cent culturel perçoit 1% du coût de la construction d’un bâtiment pour financer une intervention artistique. Il a notamment servi à réaliser l’«Exercice de gravité», de Simon Deppierraz, au Collège de Chandieu en 2016, et profitera également à l’extension du Collège de Béthusy en 2021.
Lauréat du concours organisé par le Service d’architecture, Florian Graf a voulu habiller les containers plutôt que réaliser des ornements. «J’ai voulu travailler avec le thème, je me suis inspiré d’une tour d’ivoire dans un contexte de pop-culture», raconte le Bâlois de 40ans.
L’art dans le quotidien
Ses structures jouent avec les échelles et présentent plusieurs étages de guichets, de plus en plus petits, pour une hauteur de plus de 5mètres. «L’idée est de faire entrer l’art dans la vie quotidienne, poursuit l’artiste. D’abord on ne remarque pas que c’est une œuvre d’art, puis on s’interroge. Chacun se fera sa propre image de la sculpture.»
Cathédrale contemporaine
Florian Graf compte, dans ses inspirations, la tour de Babel. «Il y a cette notion de hauteur, avec une dernière pièce qui semble instable. On peut y voir une forme d’ascension, et cela se marie bien avec le football, car j’espère une ascension du Lausanne-Sport!» Une référence biblique qui n’est pas une coïncidence: «Je vois le stade comme une cathédrale: un lieu où se réunissent beaucoup de personnes, avec une certaine sacralité.»
Le projet aura mis deux ans à voir le jour, entre les premières idées qui ont fleuri chez l’artiste et la réalisation des billetteries, qui accueilleront leurs premiers clients dans moins d’un mois.
Gabriel Nista
Lausanne
En partie financée par le Pour-cent culturel, l’œuvre de l’artiste Florian Graf illustre la volonté de la Ville de favoriser l’accès à la culture.
C’est dans des containers particuliers que les fans de football viendront bientôt acheter leurs billets. Lundi, la Ville de Lausanne a présenté à la presse le projet «Ticket Pagoda», trois sculptures réalisées par l’artiste bâlois Florian Graf et exposées tout autour du nouveau stade du Lausanne-Sport.
«Jeter des ponts»
Il s’agit de l’œuvre la plus récente du Pour-cent culturel, le fonds communal dédié à l’art et la culture et intégré aux rénovations ou constructions d’infrastructures. «Nous essayons de jeter des ponts entre différentes disciplines, à savoir l’art et le bâtiment», explique Natacha Litzistorf, municipale en charge de l’Environnement et de l’Architecture. Avec le Pour-cent culturel, la Ville souhaite lutter contre les inégalités d’accès à la culture, d’où le choix d’un stade de football comme lieu d’exposition. «On cherche à créer un tiers-lieu pour que la culture s’exprime, afin de rendre l’œuvre accessible à tous et en tout temps», rajoute la municipale.
Pour rappel, le Pour-cent culturel perçoit 1% du coût de la construction d’un bâtiment pour financer une intervention artistique. Il a notamment servi à réaliser l’«Exercice de gravité», de Simon Deppierraz, au Collège de Chandieu en 2016, et profitera également à l’extension du Collège de Béthusy en 2021.
Lauréat du concours organisé par le Service d’architecture, Florian Graf a voulu habiller les containers plutôt que réaliser des ornements. «J’ai voulu travailler avec le thème, je me suis inspiré d’une tour d’ivoire dans un contexte de pop-culture», raconte le Bâlois de 40ans.
L’art dans le quotidien
Ses structures jouent avec les échelles et présentent plusieurs étages de guichets, de plus en plus petits, pour une hauteur de plus de 5mètres. «L’idée est de faire entrer l’art dans la vie quotidienne, poursuit l’artiste. D’abord on ne remarque pas que c’est une œuvre d’art, puis on s’interroge. Chacun se fera sa propre image de la sculpture.»
Cathédrale contemporaine
Florian Graf compte, dans ses inspirations, la tour de Babel. «Il y a cette notion de hauteur, avec une dernière pièce qui semble instable. On peut y voir une forme d’ascension, et cela se marie bien avec le football, car j’espère une ascension du Lausanne-Sport!» Une référence biblique qui n’est pas une coïncidence: «Je vois le stade comme une cathédrale: un lieu où se réunissent beaucoup de personnes, avec une certaine sacralité.»
Le projet aura mis deux ans à voir le jour, entre les premières idées qui ont fleuri chez l’artiste et la réalisation des billetteries, qui accueilleront leurs premiers clients dans moins d’un mois.
Gabriel Nista
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
LKK a écrit:Des «pagodes à billets» ceignent désormais le stade de la Tuilière
Lausanne
En partie financée par le Pour-cent culturel, l’œuvre de l’artiste Florian Graf illustre la volonté de la Ville de favoriser l’accès à la culture.
C’est dans des containers particuliers que les fans de football viendront bientôt acheter leurs billets. Lundi, la Ville de Lausanne a présenté à la presse le projet «Ticket Pagoda», trois sculptures réalisées par l’artiste bâlois Florian Graf et exposées tout autour du nouveau stade du Lausanne-Sport.
«Jeter des ponts»
Il s’agit de l’œuvre la plus récente du Pour-cent culturel, le fonds communal dédié à l’art et la culture et intégré aux rénovations ou constructions d’infrastructures. «Nous essayons de jeter des ponts entre différentes disciplines, à savoir l’art et le bâtiment», explique Natacha Litzistorf, municipale en charge de l’Environnement et de l’Architecture. Avec le Pour-cent culturel, la Ville souhaite lutter contre les inégalités d’accès à la culture, d’où le choix d’un stade de football comme lieu d’exposition. «On cherche à créer un tiers-lieu pour que la culture s’exprime, afin de rendre l’œuvre accessible à tous et en tout temps», rajoute la municipale.
Pour rappel, le Pour-cent culturel perçoit 1% du coût de la construction d’un bâtiment pour financer une intervention artistique. Il a notamment servi à réaliser l’«Exercice de gravité», de Simon Deppierraz, au Collège de Chandieu en 2016, et profitera également à l’extension du Collège de Béthusy en 2021.
Lauréat du concours organisé par le Service d’architecture, Florian Graf a voulu habiller les containers plutôt que réaliser des ornements. «J’ai voulu travailler avec le thème, je me suis inspiré d’une tour d’ivoire dans un contexte de pop-culture», raconte le Bâlois de 40ans.
L’art dans le quotidien
Ses structures jouent avec les échelles et présentent plusieurs étages de guichets, de plus en plus petits, pour une hauteur de plus de 5mètres. «L’idée est de faire entrer l’art dans la vie quotidienne, poursuit l’artiste. D’abord on ne remarque pas que c’est une œuvre d’art, puis on s’interroge. Chacun se fera sa propre image de la sculpture.»
Cathédrale contemporaine
Florian Graf compte, dans ses inspirations, la tour de Babel. «Il y a cette notion de hauteur, avec une dernière pièce qui semble instable. On peut y voir une forme d’ascension, et cela se marie bien avec le football, car j’espère une ascension du Lausanne-Sport!» Une référence biblique qui n’est pas une coïncidence: «Je vois le stade comme une cathédrale: un lieu où se réunissent beaucoup de personnes, avec une certaine sacralité.»
Le projet aura mis deux ans à voir le jour, entre les premières idées qui ont fleuri chez l’artiste et la réalisation des billetteries, qui accueilleront leurs premiers clients dans moins d’un mois.
Gabriel Nista
On dirait ces vilaines remorques à radar entassées.
Bon si c'est de l'art, je respecte.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Ça fait gadget. Mais comme dit Lausarme, si c'est de l'art...
Normal que les footeux comprennent pas !
J'espère juste que c'est chauffé/climatisé leurs containers
Normal que les footeux comprennent pas !
J'espère juste que c'est chauffé/climatisé leurs containers
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
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