Les articles de presse (commentaires autorisés)

Sur 24 joueurs, il y a forcément des joueurs de "3ème rang", qui font le nombre (malheureusement pour Kuki, qui ne se remettra probablement jamais complètement).

Donc si je comprends bien, notre nouvelle recrue est plus ou moins blessée…. Genial…





Football - Renfort à la Tuilière

Avant le LS, Rrudhani a fêté son bac et un titre
Pour arriver au Lausanne-Sport, l’ailier kosovar n’a pas choisi la voie classique. Voici comment un tournoi caritatif a changé sa carrière.

Florian Vaney

Et si le pied de Donat Rrudhani n’avait pas tenu? Ce que les fans du Lausanne-Sport ont vu le week-end dernier face à Stade Lausanne, c’est que la frappe du dernier arrivé à la Tuilière, idéalement croisée, a permis d’éviter une défaite qui aurait vraiment fait tache (1-1). Ce qu’ils savent moins, c’est que cet événement n’a tenu qu’à un fil.

Quelques jours plus tôt, l’ailier avait reçu un vilain coup sur la cheville. «On avait convenu avec le staff qu’on ferait le point toutes les cinq minutes pendant le match, pour savoir comment mon pied allait. J’ai ressenti une grosse douleur après un sprint, j’avais peur que ça lâche, que j’en aie pour des mois de rééducation. Mais on perdait 1-0, je ne pouvais pas sortir. Un changement en première mi-temps, en plus, ça affecte le moral de l’équipe» Donat Rrudhani a serré les dents, marqué un but qui pourrait changer beaucoup de choses pour le LS et, avec l’adrénaline, il a même pu tenir sa place jusqu’à la 82e minute.

Voilà pour le dernier épisode mouvementé d’une carrière qui ne l’est pas moins. «Je n’ai jamais cherché l’instabilité. Les circonstances de la vie m’ont mené sur ce chemin», sourit le jeune homme de 24 ans, né au Kosovo, arrivé en France au début d’une adolescence marquée par le souvenir peu convaincant des centres de formation français.

«Ce n’était pas tant le centre de formation en soi, le problème. Même si, effectivement, ce n’est pas simple de se lier d’amitié avec des jeunes qui sont également vos concurrents. J’avais des copains, même si je débutais avec le français. Ce qui m’affectait, c’était plutôt l’éloignement avec ma famille.» Il avait reçu sa chance à l’ESTAC, dans la célèbre académie de Troyes. Ses parents, eux, s’étaient installés à Mulhouse.

Un pied de chaque côté de la frontière

C’est cette proximité avec la frontière suisse qui a dessiné les contours du parcours de Donat Rrudhani. Loin de la voie traditionnelle. À 16 ans, il dit stop. Cap sur les études. «C’est bête, mais ça m’a permis de me demander ce que je voulais faire plus tard. Dans la bulle du football, on ne se pose jamais la question.» Sauf que le football n’en avait pas terminé avec lui.

«Mon père m’avait proposé de participer à un tournoi caritatif avec lui et quelques-uns de ses potes. J’étais le plus jeune. Il n’y avait aucun grand nom, c’était un petit tournoi amateur. J’avais reçu le prix du meilleur joueur.» Un vieil ami de son père sort alors de son carnet d’adresses celle d’un dirigeant d’un modeste club bâlois, l’AS Timau.

«On était deux ou trois gars de Mulhouse à effectuer la demi-heure de trajet ensemble. C’était bien. Super ambiance, pas de pression, les études à côté.» À cette époque, Donat Rrudhani se balade dans le ventre mou d’un classement de 2e ligue inter du haut de ses 18 ans. Il se balade tellement que Black Stars, club plus ambitieux de la ville, multiplie les appels du pied. Il en saisit un. Une année plus tard, voilà qu’il goûte à l’un des plus mythiques rendez-vous réservés au football régional: les finales de 1re ligue.

«Elles sont tombées exactement au moment où je passais mon bac. C’était super bizarre. Un jour, je jouais à Baden devant 2000 personnes. Le suivant, j’étais dans une salle de classe avec mes épreuves devant moi. Je crois que c’est là que j’ai ressenti de nouveau pour la première fois ce truc au fond de mon ventre, cette envie d’aller plus loin dans le football.» Ça tombe bien, Baden est partenaire du FC Aarau. Dans les tribunes ce jour-là, on trouve Sandro Bürki et Patrick Rahmen, alors directeur sportif et entraîneur du FCA.

C’est ainsi qu’on se fait repérer dans les ligues inférieures, où les caméras et les agents se font plus discrets. Au-dessus du lot, Donat Rrudhani a offert à Black Stars un ticket pour la Promotion League, et à lui-même un aller simple pour la Challenge League. Les deux jours de stage proposés par Aarau se transforment en trois riches saisons.

Pas de cadeau à YB

Entre ses péripéties argoviennes et son arrivée au Lausanne-Sport, il ne reste qu’un épisode. Mouvementé, comme les autres. Young Boys, où il débarque à l’été 2022. «C’est le seul endroit où je n’ai pas réussi à m’imposer. On a encore parlé avec le club au début de cette saison, et puis les choses ne se sont pas passées comme on avait convenu.» Il est question de temps de jeu. Dans la même veine que ce que semble avoir vécu Jean-Pierre Nsame, meilleur buteur des Bernois parti à Côme cet hiver.

«Je n’ai pas donné de préférences au club. J’ai simplement dit que je voulais partir.» Il a un temps été question d’un départ à l’étranger. De Servette aussi. Et d’autres clubs mieux classés que le Lausanne-Sport. «Beaucoup m’ont fait remarquer que Lausanne était avant-dernier. Mais sérieusement: quand tu regardes les joueurs qu’il y a, le fond de jeu, tu n’as pas l’impression d’avoir à faire à un avant-dernier.» Certainement qu’il y a là le résultat d’une confiance envolée, le besoin d’ondes positives. Ça tombe bien: Donat Rrudhani les accumule depuis l’époque de l’AS Timau.

L’avant-match-
Lausanne - Yverdon, samedi à 18 h

Le retour Celui d’Alvyn Sanches! Le créatif demi offensif du LS ne sera pas de la partie pour le derby, mais il s’entraîne de nouveau avec le groupe.

La sortie Les joueurs du Lausanne-Sport ont assisté, réunis dans une loge de la Vaudoise aréna, à la victoire du LHC contre Bienne mardi.

L’arrivée Il fallait s’en douter: le prêt d’Haithem Loucif d’Yverdon à Lausanne a ouvert une place dans le contingent nord-vaudois. Depuis vendredi, l’effectif est de nouveau bouclé: YS a annoncé l’engagement en prêt du défenseur serbe Dimitrije Kamenovic, en provenance de la Lazio. FVA

Article intéressant; on voit que Rrudhani est manifestement intelligent, qu'il a un parcours atypique, une grande volonté de s'imposer en SL et qu'il est venu au LS alors qu'il avait d'autres possibilités, tout ça me semble à priori très positif.

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-lateral-du-ls-sait-attaquer-morgan-poaty-le-bon-equilibre-id19443046.html

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/ys-est-confiant-et-prudent-yverdon-ne-veut-pas-de-letiquette-de-favori-a-lausanne-id19443017.html

Samedi en Super League, le Lausanne-Sport a battu Yverdon (3-1). À un tableau parfait sont venues s'ajouter quelques ombres. Comme d'habitude.

FLORIAN VANEY, LAUSANNE florian.vaney@lematindimanche.ch

Si le Lausanne-Sport doit consentir à un sacrifice à chaque fois qu’il marque un but, il n'est pas tiré d’affaire. Pour avoir trouvé la faille à Zurich il y a deux semaines, Trae Coyle a hérité d'une rupture des ligaments croisés. Quatre à six mois d’absence pour l’Anglais, dont le genou avait ramassé le poteau à pleine vitesse sur l’action en question. Samedi face à Yverdon, Rares Ilie n’a pas non plus bénéficié de la moindre seconde pour se réjouir du 3-0 qu’il venait d’inscrire. Niklas Gunnarsson, le défenseur norvégien d’Yverdon Sport, lui a collé ses crampons dans le bas de la jambe en essayant d’intervenir. Le Roumain a quitté la pelouse quelques instants plus tard, en boitant.

Première période magique

C’est un sentiment lancinant qui est proposé au Lausanne-Sport. Le club de la Tuilière n’est pas privé de bonheur. Mais quand il y a droit, c’est un bonheur au rabais qui s’offre à lui. Parfois parce que la poisse s’en mêle. Mais pas que.

Lors du derby de samedi, le LS a réussi une première période assez magique. De celle qui voulait dire «Croyez en nous!». Un puissant signal d’existence, après de longues semaines à courir après les résultats. Rares Ilie avait certes marqué un but plutôt maudit (3-0, 29e). Mais avant lui le décrié Kaly Sène en avait fait de même (2-0, 20e). Au même titre que Donat Rrudhani (1-0, 9e), le dernier arrivé au club habité d'une confiance qui déteint sur ses partenaires. À tel point que ce Lausanne-Sport dégoulinait d'espoir.

Il y avait là l’image parfaite du bonheur, fût-elle cantonnée à une soirée. Seulement, il est impossible de ne pas l’avoir vu. Lausanne, avec trois buts d’avance et un homme de plus sur le terrain, a tremblé. Pis: il a même semblé proche de l’état de panique quand un penalty a été offert à Varol Tasar à 3-1. La Tuilière bouillonnait d’incrédulité. Dans les esprits, le souvenir de la défaite à Lucerne à 11 contre 10 dès la 7e minute avait émergé.

Heureusement, le portier Karlo Letica a arrêté le penalty, et le Lausanne-Sport s’est imposé 3-1 au final. La place de barragiste est toujours sienne, mais paraît un peu moins lourde à porter. On est passé à un cheveu de l’opération parfaite. Mais pour ce qui est de (se) rassurer quant à sa stabilité émotionnelle, le LS devra repasser. Dimanche prochain face à Winterthour? Il se dit que ça pourrait coïncider avec le retour au jeu d’un certain Alvyn Sanches.

In 24h en ligne de ce jour. Florian Vaney.

Bon article, qui n'enlève rien à la pertinence des banderoles du KSL.

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Le LS a choisi d’aider Kaly Sène plutôt que de le remplacer
Le mercato du Lausanne-Sport a fait débat. Fallait-il trouver un nouveau buteur? La belle victoire face à Yverdon samedi (3-1) valide pour l’instant la décision du club.

Buteur contre Yverdon
Le LS a choisi d’aider Kaly Sène plutôt que de le remplacer
Le mercato du Lausanne-Sport a fait débat. Fallait-il trouver un nouveau buteur? La belle victoire face à Yverdon samedi (3-1) valide pour l’instant la décision du club.

Tout est question de timing. Les ultras du Lausanne-Sport ont sorti l’artillerie lourde en matière de banderoles samedi soir. Entre autres contestations, qu’on devinait à l’attention des autorités politiques, le kop sud a taclé son propre club. «Le seul dirigeant compétent, c’est le directeur sportif.» Un poste inoccupé au LS depuis… mai 2022 et le départ de Souleymane Cissé.

Le public lausannois ne cache plus son énervement après le mercato lausannois. Seulement, cette pique à l’intention des décideurs a été lancée au moment le plus inadéquat. À l’heure où les lettres se déployaient au cœur de la tribune D, le terrain donnait une tout autre lecture.

Un Lausanne-Sport de gala étouffait Yverdon avec une aisance spectaculaire. Il avait même déjà ouvert le score. Grâce à Donat Rrudhani… la dernière trouvaille des recruteurs lausannois. Après une première mi-temps de très haut niveau, le club a assuré un peu plus péniblement sa première victoire depuis fin novembre (3-1).

À la Tuilière, on attendait surtout de la dernière période de transferts qu’elle amène un attaquant de pointe. Le but du 2-0 inscrit par Kaly Sène, auteur jusque-là d’une prestation assez brouillonne, n’a pas suffi pour faire taire les critiques sur le Sénégalais.

Ludovic Magnin l’avait pourtant rappelé cette semaine: il n’a pas spécialement réclamé un buteur cet hiver. À vrai dire, au LS, on est convaincu d’une chose. Si les milieux de terrain, les ailiers et, de temps en temps, les défenseurs marquaient des goals, la pression serait moindre.

Un but, un sacrifice
On peut adhérer ou non à cette thèse. Ce derby vaudois a permis de lui apporter du crédit. Même si Lausanne peine toujours à faire l’unanimité après 24 journées de championnat, sa première mi-temps portait en elle tous les espoirs. La seconde a fait ressurgir les idées noires d’une équipe qui lutte avec ses démons. Les seuls à pouvoir l’empêcher de quitter la place de barragiste.

Il y a aussi une part de malédiction chez les Vaudois. À Zurich, lorsque Trae Coyle ouvre le score, le genou de l’Anglais heurte le poteau à pleine vitesse. Quatre à six mois d’absence. À la Tuilière, samedi, lorsque Rares Ilie se jette pour inscrire le 3-0, les crampons de Niklas Gunnarsson atterrissent sur le bas de sa jambe. Le Roumain, en net regain de forme depuis la reprise, doit quitter le terrain en boitant. Évidemment, si le LS perd un joueur à chaque but, sa fin de saison va devenir pénible.

Alvyn Sanches sur pied face à Winterthour?
Faut-il blâmer le LS, ou Ineos, de ne pas avoir consenti au sacrifice financier du recrutement d’un numéro 9? Seul l’avenir répondra précisément à cette question. Mais l’activité offensive créée samedi autour de Kaly Sène avait quelque chose de rassurant. Grâce à Simone Pafundi, qui doit néanmoins épurer son jeu. Grâce à Donat Rrudhani, dont le niveau de confiance détonne par rapport à celui de ses partenaires. Et bientôt, peut-être, grâce au revenant Alvyn Sanches. Le talentueux Lausannois, blessé depuis fin novembre, a repris tout récemment les entraînements de groupe. Il se murmure qu’il pourrait déjà retrouver sa place dans l’équipe pour la venue de Winterthour dimanche prochain.
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https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/il-nen-finit-pas-de-marquer-donat-rrudhani-fait-un-bien-fou-au-ls-id19445532.html

kok9 a écrit:In 24h en ligne de ce jour. Florian Vaney.

Bon article, qui n'enlève rien à la pertinence des banderoles du KSL.

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Le LS a choisi d’aider Kaly Sène plutôt que de le remplacer
Le mercato du Lausanne-Sport a fait débat. Fallait-il trouver un nouveau buteur? La belle victoire face à Yverdon samedi (3-1) valide pour l’instant la décision du club.

Buteur contre Yverdon
Le LS a choisi d’aider Kaly Sène plutôt que de le remplacer
Le mercato du Lausanne-Sport a fait débat. Fallait-il trouver un nouveau buteur? La belle victoire face à Yverdon samedi (3-1) valide pour l’instant la décision du club.

Tout est question de timing. Les ultras du Lausanne-Sport ont sorti l’artillerie lourde en matière de banderoles samedi soir. Entre autres contestations, qu’on devinait à l’attention des autorités politiques, le kop sud a taclé son propre club. «Le seul dirigeant compétent, c’est le directeur sportif.» Un poste inoccupé au LS depuis… mai 2022 et le départ de Souleymane Cissé.

Le public lausannois ne cache plus son énervement après le mercato lausannois. Seulement, cette pique à l’intention des décideurs a été lancée au moment le plus inadéquat. À l’heure où les lettres se déployaient au cœur de la tribune D, le terrain donnait une tout autre lecture.

Un Lausanne-Sport de gala étouffait Yverdon avec une aisance spectaculaire. Il avait même déjà ouvert le score. Grâce à Donat Rrudhani… la dernière trouvaille des recruteurs lausannois. Après une première mi-temps de très haut niveau, le club a assuré un peu plus péniblement sa première victoire depuis fin novembre (3-1).

À la Tuilière, on attendait surtout de la dernière période de transferts qu’elle amène un attaquant de pointe. Le but du 2-0 inscrit par Kaly Sène, auteur jusque-là d’une prestation assez brouillonne, n’a pas suffi pour faire taire les critiques sur le Sénégalais.

Ludovic Magnin l’avait pourtant rappelé cette semaine: il n’a pas spécialement réclamé un buteur cet hiver. À vrai dire, au LS, on est convaincu d’une chose. Si les milieux de terrain, les ailiers et, de temps en temps, les défenseurs marquaient des goals, la pression serait moindre.

Un but, un sacrifice
On peut adhérer ou non à cette thèse. Ce derby vaudois a permis de lui apporter du crédit. Même si Lausanne peine toujours à faire l’unanimité après 24 journées de championnat, sa première mi-temps portait en elle tous les espoirs. La seconde a fait ressurgir les idées noires d’une équipe qui lutte avec ses démons. Les seuls à pouvoir l’empêcher de quitter la place de barragiste.

Il y a aussi une part de malédiction chez les Vaudois. À Zurich, lorsque Trae Coyle ouvre le score, le genou de l’Anglais heurte le poteau à pleine vitesse. Quatre à six mois d’absence. À la Tuilière, samedi, lorsque Rares Ilie se jette pour inscrire le 3-0, les crampons de Niklas Gunnarsson atterrissent sur le bas de sa jambe. Le Roumain, en net regain de forme depuis la reprise, doit quitter le terrain en boitant. Évidemment, si le LS perd un joueur à chaque but, sa fin de saison va devenir pénible.

Alvyn Sanches sur pied face à Winterthour?
Faut-il blâmer le LS, ou Ineos, de ne pas avoir consenti au sacrifice financier du recrutement d’un numéro 9? Seul l’avenir répondra précisément à cette question. Mais l’activité offensive créée samedi autour de Kaly Sène avait quelque chose de rassurant. Grâce à Simone Pafundi, qui doit néanmoins épurer son jeu. Grâce à Donat Rrudhani, dont le niveau de confiance détonne par rapport à celui de ses partenaires. Et bientôt, peut-être, grâce au revenant Alvyn Sanches. Le talentueux Lausannois, blessé depuis fin novembre, a repris tout récemment les entraînements de groupe. Il se murmure qu’il pourrait déjà retrouver sa place dans l’équipe pour la venue de Winterthour dimanche prochain.
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Intéressant en effet sauf que se focaliser sur le timing du déploiement des banderoles autant que sur leur contenu est un peu dommage.
Je retiens surtout que Magnin "n'a pas spécialement réclamé un buteur cet hiver", c'est noté... et dans quelque temps on apprendra qu'il n'a pas vraiment insisté pour qu'un DS soit nommé?

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/la-priorite-sur-les-red-devils-le-rachat-de-manchester-united-par-ineos-un-risque-pour-le-ls-id19457592.html

zodov a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/la-priorite-sur-les-red-devils-le-rachat-de-manchester-united-par-ineos-un-risque-pour-le-ls-id19457592.html

Si INEOS continue d'injecter un minimum d'argent et se retire de la gestion du club, c'est ce qui pourrait nous arriver de mieux !

https://www.24heures.ch/football-le-servette-ls-du-10-mars-pourra-accueillir-du-public-495310850349

Finalement on aura été les seuls à avoir été punis dans cette affaire. Ou comment se faire entuber jusqu'au bout.

Lessing a écrit:Finalement on aura été les seuls à avoir été punis dans cette affaire. Ou comment se faire entuber jusqu'au bout.

Servette a aussi eu son match à huis clos

MoussiLoupo a écrit:

Lessing a écrit:Finalement on aura été les seuls à avoir été punis dans cette affaire. Ou comment se faire entuber jusqu'au bout.

Servette a aussi eu son match à huis clos

Huis clos ou pas à Genève on voit pas la différence

Premier point a l’ordre du jour:
- engager Zidane (junior), Rapp et Fransen


Ratcliffe est officiellement copropriétaire de ManU
Football

Le patron d’Ineos, déjà à la tête du LS et de l’OGC Nice, a satisfait à toutes les conditions pour l’acquisition de plus de 25% des parts des Red Devils.

Jim Ratcliffe, patron d’Ineos, est officiellement entré au capital de Manchester United. Déjà à la tête du LS et de l’OGC Nice, l’homme d’affaires de 71 ans a «satisfait à toutes les conditions, y compris les approbations de la fédération anglaise et de la Premier League», affirme un communiqué. L’entrepreneur de 71 ans possède 27,7% du capital selon les informations publiées mardi.

«Devenir copropriétaire de Manchester United est un grand honneur et s’accompagne d’une grande responsabilité», a commenté Ratcliffe, qui est également propriétaire de l’OGC Nice (Ligue 1) et du Lausanne-Sport (Super League). Il avait acquis le club suisse fin 2018, avant de débourser 100 millions d’euros pour le club de la Côte d’Azur en 2019.

Le dénouement de mardi «marque la finalisation de la transaction, mais ce n’est que le début de notre voyage pour ramener Manchester United au sommet du football anglais, européen et mondial, avec des installations de classe mondiale pour nos supporters. Le travail pour atteindre ces objectifs va s’accélérer à partir d’aujourd’hui», a-t-il ajouté.

Jim Ratcliffe a expliqué vouloir «apprendre» de la réussite récente de Manchester City et Liverpool, les deux clubs «ennemis» du nord-ouest de l’Angleterre. «Je n’aimerais rien de plus que de les faire tomber tous les deux de leur piédestal», a poursuivi le milliardaire britannique, empruntant des formules utilisées autrefois par Alex Ferguson, entraîneur emblématique de 1986 à 2013.

Dans le football, «les changements ne se font pas du jour au lendemain», a toutefois prévenu Ratcliffe en demandant de la «patience» aux supporters. «Ce n’est pas un plan sur dix ans», a-t-il néanmoins précisé. «Les supporters s’impatienteraient s’il s’agissait d’un plan sur dix ans. Mais c’est assurément un plan sur trois ans pour y arriver.»

Supporter des Red Devils depuis son enfance, Ratcliffe sera chargé des opérations sportives du club aux 20 titres de champion d’Angleterre.AFP

moi, si Ineos avait un plan sur 10 ans pour le LS, je ne me plaindrais pas

FF-LS a écrit:moi, si Ineos avait un plan sur 10 ans pour le LS, je ne me plaindrais pas

Franchement si chaque année le plan c'est viser le maintien (10 ou 11 ème) et de plus en ne réussissant pas à chaque saison, je suis assez ... dubitatif.
Si le LS d'INEOS ne doit servir qu'à faire un peu de plus-value sur quelques joueurs, plus value pour INEOS cela dit en passant, par pour le club, alors autant se la jouer local.
Des hauts et des bas sont peut-être plus "excitants" qu'un encéphalogramme plat.

PS : je me demande bien pourquoi je mets tours des majuscules à INEOS ? Promis, j'arrête et recommencerait pour les matchs européens.

HOP LS

L'Affaire Diabaté.

In 24h en ligne de ce jours. Florian Vaney.

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Loin de la gloire, le LS a aussi de quoi divertir
Le Lausanne-Sport a alterné le bon et le frustrant contre Winterthour (1-1), s’est passé de Fousseni Diabaté pour des raisons disciplinaires et va devoir faire cohabiter ses deux plus gros talents. Qui a dit que son printemps serait fade?

La manœuvre aurait pu passer pour un choix tactique. Et si le Lausanne-Sport relançait Brighton Labeau en lui offrant un nouveau poste? Le Martiniquais souffre en pointe, son rôle de prédilection, depuis le début de la saison. Dimanche face à Winterthour (1-1), la Tuilière l’a découvert en ailier gauche. Ludovic Magnin aurait tout à fait pu faire passer cela pour une intuition d’entraîneur. Sachant en plus que le coach du LS a parfois eu fin nez avec ce genre de rocade par le passé. Mais non, si Brighton Labeau s’est retrouvé propulsé sur l’aile, c’est parce que le titulaire présagé était puni. «Sanction disciplinaire», s’est contenté d’articuler Ludovic Magnin, sans plus de détails à l’égard du grand absent du jour: Fousseni Diabaté.

Un immense «ouf» apparaît peut-être à la bouche des suiveurs du club. Si Brighton Labeau ne s’était pas trouvé sur le terrain à la 33e, pour reprendre un ballon relâché par le gardien zurichois, Lausanne aurait-il trouvé un moyen de marquer? Peut-être, ou peut-être pas. Là où la situation devient vraiment intéressante, c’est lorsqu’on se penche sur ce qu’elle veut dire dans le contexte actuel.

Un luxe pas banal
La première chose, et ça n’a échappé à personne, c’est que le Lausanne-Sport vit une saison plus délicate qu’espéré. Lui qui se bat pour échapper à la place de barragiste qu’il détient toujours après le match nul du week-end. La seconde chose, c’est que trois des cinq ailiers du contingent ont rejoint l’infirmerie ces dernières semaines, comme pourchassés par une malédiction. Ne restent sur pied que Donat Rrudhani et, justement, Fousseni Diabaté. Se passer volontairement de l’un des deux revient à s’offrir un luxe. Que beaucoup n’oseraient pas s’offrir dans pareille situation sportive.

Il y a là un choix fort. Qui suggère que Diabaté a sans doute largement dépassé les bornes. Mais qui laisse aussi entrevoir une certaine tranquillité d’esprit au sein du club. S’il avait considéré son équipe au pied du mur, Ludovic Magnin n’aurait peut-être pas fait valoir son autorité de la sorte. En l’occurrence, le message qu’il envoie à son groupe ressemble à un signal de sérénité et de patience. Dans le style: on est sur la bonne voie, suivons-la et on s’en sortira.

Le discours est audible. Dimanche encore, le LS a dominé durant une mi-temps ce Winterthour si souvent félicité pour ses performances cette saison. Si Kaly Sène avait eu le corps positionné 15 centimètres plus bas sur le terrain à la dernière minute, son but n’aurait d’ailleurs pas été annulé et Lausanne aurait empoché trois points.

Le fait est que la positivité n’empêche pas de se poser des questions. À vrai dire, il existe tellement d’incertitudes entourant le printemps à venir du Lausanne-Sport que celui-ci, même loin de la gloire, a un sérieux potentiel de divertissement.

Sanches et Pafundi: une place pour deux?
Suivre le cheminement de Kaly Sène à travers les mois a quelque chose de passionnant. Ses gestes de classe qui n’ont de pareils en Super League d’un côté, son blocage une fois dans la surface de l’autre. Il est possible, aussi, de songer aux nombreux joueurs prêtés au LS avec une option d’achat. Il est permis de penser que les prochaines semaines pourraient faire avancer l’un ou l’autre dossier, en gardant à l’esprit que ceux-ci risquent de rester flous tant que Lausanne ne connaît pas sa catégorie de jeu pour l’an prochain. La question la plus chaude est peut-être ailleurs: comment le club compte-t-il s’y prendre pour faire cohabiter Simone Pafundi et Alvyn Sanches?

Le second s’est remis un mois plus rapidement que prévu de sa lourde blessure à un genou. Sa réhabilitation s’est déroulée si vite que le jeune homme formé au Team Vaud a même eu droit à ses premières minutes de jeu dimanche, en remplaçant… Simone Pafundi à la 72e. Les deux hommes occupent le même poste et peuvent tous deux faire valoir le même atout: leur talent doit prendre la lumière.

Pafundi aurait-il signé à Lausanne sans la blessure de Sanches? Possible. Reste que l’Italien semble bénéficier d’une close dans son contrat qui lui assure un temps de jeu minimum. Pour l’heure, pas de souci. Alvyn Sanches doit encore retrouver forme, rythme et repères. Mais cela paraît impensable que le plus sûr espoir actuel sorti de l’académie lausannoise prenne trop longtemps la poussière sur un banc. Le dénouement de l’histoire appartient à un second tour qui a tout pour rester croustillant.
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Du luxe , Labeau milieu gauche? Alors là à part son but il n’a pas touché la balle le pauvre .
On a joué à 10.

https://www.lematin.ch/story/football-pas-de-gamins-dici-au-ls-pas-une-premiere-grace-a-sion-306749392066

Et voilà un article 24 heures qui va faire jaser

Ratcliffe à Manchester United
Ineos et ses «conneries» heureuses au Lausanne-Sport
Jim Ratcliffe, patron d’Ineos, a investi un milliard de livres dans Manchester United. Le richissime Anglais assure que les erreurs commises au LS lui seront utiles.
Ugo Curty
Ugo Curty
Publié aujourd’hui à 17h27
Patron d’Ineos, et donc du Lausanne-Sport entre autres, Jim Ratcliffe est le nouvel homme fort de Manchester United.
Patron d’Ineos, et donc du Lausanne-Sport entre autres, Jim Ratcliffe est le nouvel homme fort de Manchester United.
AFP
Le concept, a priori schizophrénique, d’«impôt heureux» a été inventé par Pascal Broulis en 2011. Celui qui était alors le grand argentier vaudois avait publié un livre qui «raconte la fiscalité» en 150 anecdotes, pour celles et ceux qui «ne voient les impôts que comme un fardeau».

Jim Ratcliffe a inventé une autre notion surprenante, la «connerie heureuse». L’homme le plus riche d’Angleterre est le patron d’Ineos, multinationale basée à Rolle (VD) et spécialisée dans la pétrochimie. Ce grand amateur de sport est aussi très impliqué dans le milieu avec son entreprise, rachetant par exemple le LS en 2017.

Des «décisions vraiment stupides» à Lausanne
Suivront l’OGC Nice en France en 2019 et, depuis peu, le grand Manchester United. Jim Ratcliffe a investi un milliard de livres pour racheter une participation de 27,7% des Red Devils. Un deal validé par la puissante Premier League la semaine dernière.

Un feu vert qui a été l’occasion pour l’acheteur d’échanger avec les médias locaux. Les journalistes lui ont alors demandé si les récents déboires de Chelsea lui montraient la voie à ne pas suivre. Le club londonien est en grandes difficultés depuis sa vente par l’oligarque Roman Abramovitch à un consortium américain en mai dernier. Le boss d’Ineos avait lui-même été, un temps, sur les rangs.

Old Trafford rénové et agrandi
«Je ne vais pas critiquer Chelsea, mais en ayant racheté d’autres clubs à Lausanne et à Nice, nous avons fait beaucoup de conneries (sic). Nous avons pris des décisions vraiment stupides dans ces deux clubs.»


Pourtant, Jim Ratcliffe semble ravi d’avoir pu se faire la main sur ses brouillons azuréen et vaudois. «Je suis vraiment heureux que nous ayons commis ces erreurs, avant d’arriver ici à Manchester United, a-t-il poursuivi. Si nous ne les avions pas faites, la tâche serait beaucoup plus difficile encore. Parce que le chantier est énorme et très exposé.» Le nouveau patron a notamment annoncé un projet de rénovation du stade d’Old Trafford qui deviendra bientôt le «Wembley du Nord» avec 74’000 places.

Deux relégations et trois présidents en moins de sept ans
Les supporters du LS apprécieront cette idée novatrice de «connerie heureuse». Depuis leur arrivée à Lausanne, les Britanniques ont beaucoup investi, sans récolter les fruits de leur travail. Si ce n’est une double relégation (2018 et 2022). Leen Heemerserk, nommé en mai 2022, est déjà le 3e président de l’ère Ineos. Néo-promu, le LS occupe l’avant-dernière place de Super League (11e).

Rien de nouveau
C est sympa comme job journaliste. Écrire ce qui a déjà été dit et redit...

En anglais on dit Bullshit M*th** F*ch*r

https://www.lematin.ch/story/football-decryptage-comment-simone-pafundi-prend-les-commandes-au-ls-103051805