Les articles de presse (commentaires autorisés)

dudu a écrit:Certaines personnes critiquent le LS car Yverdon fait plus de super transfert que nous, donc voilà le résultat ....

La Super League ne forme presque plus de jeunes Suisses
Dans la ligue la plus élevée, il y a de moins en moins de place pour les jeunes joueurs locaux, à une grande exception près.


Florian Raz
Publié aujourd’hui à 10h42

Exception à la nouvelle règle: le FC Lucerne mise entièrement sur les jeunes joueurs suisses. Ici: Lars Villiger (FC Lucerne) et Lukas Mai (Lugano) lors d’un match de Super League.
KEYSTONE
L'analyse est faite rapidement et semble inquiétante. «Nous ne sommes plus une ligue de formation pour les jeunes Suisses», déclare Laurent Prince en regardant le temps de jeu des joueurs de la relève en Super League. Et d’ajouter: «Je m'inquiète pour l'avenir à long terme de l'équipe nationale.»

Laurent Prince sait de quoi il parle. Il a été directeur technique de l’Association suisse de football et chef de la relève du FC Lucerne. Aujourd'hui, il est membre du conseil d’administration du FC Lucerne. Il fait ainsi partie du seul club de Super League qui mise systématiquement sur de jeunes locaux.



Sans les Lucernois, la courbe du temps de jeu pour la relève locale serait encore plus dramatique. Et, même ainsi, elle est en baisse. La saison dernière, les talents suisses ont obtenu moins de minutes par club dans la plus haute ligue masculine suisse que jamais au cours des huit dernières années.


Ce qui ne veut pas dire que les jeunes joueurs n'ont plus été mobilisés. Le centre de recherche Cies recense l'âge moyen des joueurs mobilisés pour 31 ligues dans le monde. La Super League y est classée parmi les compétitions où les équipes figurent parmi les sept plus jeunes.

On forme donc toujours en Suisse. Or l'accent n'est plus clairement mis sur les locaux. «Nous sommes une ligue où les jeunes joueurs du monde entier peuvent faire leurs premiers pas en Europe», explique Laurent Prince. «Pendant des décennies, l'ADN de la Super League a été de valoriser les talents issus de ses propres centres de formation. Mais quelque chose a changé. Il manque manifestement l'attrait de miser sur les jeunes Suisses.»

Moins de minutes malgré une ligue plus grande
Cette évolution est remarquable. En effet, un argument de poids en faveur de l'élargissement de la Super League de dix à douze équipes était que les propres talents auraient ainsi plus de temps de jeu. Or désormais, Patrick Bruggmann doit constater: «Nous espérions autre chose de cette augmentation.»

Patrick Bruggmann est le directeur du développement du football de l’Association suisse de football. L'une de ses tâches consiste à s'assurer que la Suisse continue à former suffisamment de footballeurs talentueux pour participer régulièrement aux championnats du monde et d'Europe.

Ce sont ces phases finales qui rapportent beaucoup d'argent à la fédération, argent qu'elle peut investir dans la relève ou encore le football féminin: 15,25 millions d’euros rien que pour l'Euro 2024. Sans parler de l'effet d'attraction des tournois sur les enfants, les supporters et les sponsors.

Une bonne équipe nationale est fondamentale pour le développement du football en Suisse. Même s’il ne veut pas paraître alarmiste, Patrick Bruggmann déclare à propos de la baisse des minutes de jeu pour les jeunes joueurs: «La tendance est là. Et elle ne nous plaît pas.»


Le mode comme problème
Le nouveau mode de fonctionnement de la Super League est pour lui un sujet de préoccupation. Celui-ci maintient le stress à un niveau élevé avec la division en un tour de championnat et un tour de relégation. Ensuite, il s'agit de jouer pour les places de coupes d'Europe ou contre la relégation. Qui oserait alors prendre le risque d'aligner des joueurs inexpérimentés? «Ce mode a certainement ses avantages et est attrayant. Mais, comme le montrent les premières expériences, il ne favorise pas suffisamment le développement des jeunes joueurs», explique Patrick Bruggmann.

Son regard ne se porte pas uniquement sur la Super League, mais aussi sur la Challenge League de deuxième catégorie et la Promotion League de troisième catégorie. À tous ces niveaux, il manque, selon Patrick Bruggmann, des minutes de jeu pour les talents locaux âgés de 18 à 21 ans.

Pour lui, il est clair que «la transition du football junior au football actif est l'endroit où nous devons nous améliorer en Suisse. Nous devons soutenir beaucoup plus les joueurs dans leur développement individuel à cette étape importante de leur carrière».

Sachant que la fédération n'a que peu d'influence sur les clubs. En Super League notamment, la promotion de la relève et les objectifs sportifs ne sont pas toujours compatibles. Celui qui veut jouer la Coupe d'Europe ne mise pas forcément sur des adolescents.

C'est pourquoi l'accent est mis sur la Challenge League en matière de soutien financier. À partir de cette saison, la ligue y distribuera un million de francs selon un nouveau modèle. Les clubs qui utilisent des jeunes joueurs suisses pendant au moins 6000 minutes reçoivent 50'000 francs. Ceux qui dépassent les 8000 minutes reçoivent 100'000.

S’il reste de l'argent parce que les dix clubs n'ont pas tous dépassé les 8000 minutes, il va aux clubs qui ont le plus de minutes d'engagement. Il s'agit de montants qui peuvent être tout à fait décisifs dans le budget d'un club de Challenge League.

Du point de vue du responsable de la relève, Patrick Bruggmann souhaiterait qu'une réglementation similaire en matière de minutes soit également appliquée en Super League. Mais il comprend que les clubs doivent s'imposer sur un marché international très concurrentiel. Il n'y a donc pas de directives dans la ligue supérieure.

«Peut-être que les jeunes ne sont pas assez bons»
Au lieu de cela, Patrick Bruggmann remet également en question le travail de la relève suisse. Celui-ci a été considéré comme exemplaire pendant des décennies. Mais au vu de la baisse des minutes de jeu en Super League, il déclare: «Soit les directeurs sportifs adoptent une toute nouvelle ligne de conduite. Ou alors nos jeunes joueurs ne sont peut-être pas assez bons.»

Pour lui, il faudrait moins mettre l'accent sur le succès de l'équipe chez les juniors. En revanche, il faudrait mettre davantage l'accent sur la formation individuelle des talents: «Nous formons de très nombreux bons joueurs. Mais par rapport à d'autres nations, nous manquons de joueurs de haut niveau absolus.»

Il trouve la preuve de sa thèse au sein de sa propre fédération: «Pourquoi nos joueurs les plus remarquables sont-ils souvent des gardiens de but? Parce que chez eux, le développement individuel est une priorité depuis des années. C'est pourquoi nous avons désormais ancré le développement individuel comme une priorité dans notre stratégie du football d'élite et avons déjà défini les premières mesures.»

C'est le plan à long terme de Patrick Bruggmann. À court terme, il peut depuis peu voir sur le site internet de la ligue, pratiquement en temps réel, combien de minutes sont accordées aux joueurs suisses de la relève en Super League. Jusqu'à présent, la tendance par rapport à la saison précédente est légèrement à la hausse.


Un joueur peut faire la différence: Yverdon a recruté Christian Marques, un jeune binational qui joue jusqu’à présent à fond. D’où l’augmentation des minutes de jeu cette saison. Ironie du sort: Marques a joué dernièrement pour l’équipe nationale espoirs du Portugal.
Le FC Lucerne reste en première position. Chez lui, deux fois plus de minutes ont été accordées à des joueurs de la relève que dans n'importe quel autre club. La saison dernière, les Lucernois ont toutefois fait l'expérience des risques d'une promotion conséquente de la relève: ils ont dû passer par le tour de relégation.


Mais il y a aussi des points positifs. Cette année, l'équipe de Super League avec le plus de minutes accordées à la relève recevra 250'000 francs, celle avec le deuxième plus grand nombre de minutes 150'000, celle avec le troisième plus grand nombre de minutes 100'000. Le reste ne recevra rien. La première place ne devrait guère échapper au FC Lucerne. Et Laurent Prince d’ajouter: «De nombreux talents de toute la Suisse veulent venir chez nous parce qu'ils ne voient aucune chance de percer dans leur propre club.»

Et cette conviction de pouvoir vraiment devenir professionnel est décisive pour Patrick Bruggmann et Laurent Prince. Celui-ci le formule ainsi: «Si les joueurs identifient un objectif réaliste, ils sont prêts à en faire plus.»

A noter que cette saison on est 6eme en Suisse avec 69min/match.
7eme avec 45min/match la saison passée

In 24h en lign6de ce jour, Florian Raz

La Super League ne forme presque plus de jeunes Suisses
Dans la ligue la plus élevée, il y a de moins en moins de place pour les jeunes joueurs locaux, à une grande exception près.

L'analyse est faite rapidement et semble inquiétante. «Nous ne sommes plus une ligue de formation pour les jeunes Suisses», déclare Laurent Prince en regardant le temps de jeu des joueurs de la relève en Super League. Et d’ajouter: «Je m'inquiète pour l'avenir à long terme de l'équipe nationale.»

Laurent Prince sait de quoi il parle. Il a été directeur technique de l’Association suisse de football et chef de la relève du FC Lucerne. Aujourd'hui, il est membre du conseil d’administration du FC Lucerne. Il fait ainsi partie du seul club de Super League qui mise systématiquement sur de jeunes locaux.

Sans les Lucernois, la courbe du temps de jeu pour la relève locale serait encore plus dramatique. Et, même ainsi, elle est en baisse. La saison dernière, les talents suisses ont obtenu moins de minutes par club dans la plus haute ligue masculine suisse que jamais au cours des huit dernières années.

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Danger pour l'équipe nationale
La Super League ne forme presque plus de jeunes Suisses
Dans la ligue la plus élevée, il y a de moins en moins de place pour les jeunes joueurs locaux, à une grande exception près.

Florian Raz
Florian Raz
Publié aujourd’hui à 10h42
Exception à la nouvelle règle: le FC Lucerne mise entièrement sur les jeunes joueurs suisses. Ici: Lars Villiger (FC Lucerne) et Lukas Mai (Lugano) lors d’un match de Super League.
Exception à la nouvelle règle: le FC Lucerne mise entièrement sur les jeunes joueurs suisses. Ici: Lars Villiger (FC Lucerne) et Lukas Mai (Lugano) lors d’un match de Super League.
KEYSTONE
L'analyse est faite rapidement et semble inquiétante. «Nous ne sommes plus une ligue de formation pour les jeunes Suisses», déclare Laurent Prince en regardant le temps de jeu des joueurs de la relève en Super League. Et d’ajouter: «Je m'inquiète pour l'avenir à long terme de l'équipe nationale.»

Laurent Prince sait de quoi il parle. Il a été directeur technique de l’Association suisse de football et chef de la relève du FC Lucerne. Aujourd'hui, il est membre du conseil d’administration du FC Lucerne. Il fait ainsi partie du seul club de Super League qui mise systématiquement sur de jeunes locaux.

Sans les Lucernois, la courbe du temps de jeu pour la relève locale serait encore plus dramatique. Et, même ainsi, elle est en baisse. La saison dernière, les talents suisses ont obtenu moins de minutes par club dans la plus haute ligue masculine suisse que jamais au cours des huit dernières années.


Ce qui ne veut pas dire que les jeunes joueurs n'ont plus été mobilisés. Le centre de recherche Cies recense l'âge moyen des joueurs mobilisés pour 31 ligues dans le monde. La Super League y est classée parmi les compétitions où les équipes figurent parmi les sept plus jeunes.

On forme donc toujours en Suisse. Or l'accent n'est plus clairement mis sur les locaux. «Nous sommes une ligue où les jeunes joueurs du monde entier peuvent faire leurs premiers pas en Europe», explique Laurent Prince. «Pendant des décennies, l'ADN de la Super League a été de valoriser les talents issus de ses propres centres de formation. Mais quelque chose a changé. Il manque manifestement l'attrait de miser sur les jeunes Suisses.»

Moins de minutes malgré une ligue plus grande
Cette évolution est remarquable. En effet, un argument de poids en faveur de l'élargissement de la Super League de dix à douze équipes était que les propres talents auraient ainsi plus de temps de jeu. Or désormais, Patrick Bruggmann doit constater: «Nous espérions autre chose de cette augmentation.»

Patrick Bruggmann est le directeur du développement du football de l’Association suisse de football. L'une de ses tâches consiste à s'assurer que la Suisse continue à former suffisamment de footballeurs talentueux pour participer régulièrement aux championnats du monde et d'Europe.

Ce sont ces phases finales qui rapportent beaucoup d'argent à la fédération, argent qu'elle peut investir dans la relève ou encore le football féminin: 15,25 millions d’euros rien que pour l'Euro 2024. Sans parler de l'effet d'attraction des tournois sur les enfants, les supporters et les sponsors.

Une bonne équipe nationale est fondamentale pour le développement du football en Suisse. Même s’il ne veut pas paraître alarmiste, Patrick Bruggmann déclare à propos de la baisse des minutes de jeu pour les jeunes joueurs: «La tendance est là. Et elle ne nous plaît pas.»

Le mode comme problème
Le nouveau mode de fonctionnement de la Super League est pour lui un sujet de préoccupation. Celui-ci maintient le stress à un niveau élevé avec la division en un tour de championnat et un tour de relégation. Ensuite, il s'agit de jouer pour les places de coupes d'Europe ou contre la relégation. Qui oserait alors prendre le risque d'aligner des joueurs inexpérimentés? «Ce mode a certainement ses avantages et est attrayant. Mais, comme le montrent les premières expériences, il ne favorise pas suffisamment le développement des jeunes joueurs», explique Patrick Bruggmann.

Son regard ne se porte pas uniquement sur la Super League, mais aussi sur la Challenge League de deuxième catégorie et la Promotion League de troisième catégorie. À tous ces niveaux, il manque, selon Patrick Bruggmann, des minutes de jeu pour les talents locaux âgés de 18 à 21 ans.

Pour lui, il est clair que «la transition du football junior au football actif est l'endroit où nous devons nous améliorer en Suisse. Nous devons soutenir beaucoup plus les joueurs dans leur développement individuel à cette étape importante de leur carrière».

Sachant que la fédération n'a que peu d'influence sur les clubs. En Super League notamment, la promotion de la relève et les objectifs sportifs ne sont pas toujours compatibles. Celui qui veut jouer la Coupe d'Europe ne mise pas forcément sur des adolescents.

C'est pourquoi l'accent est mis sur la Challenge League en matière de soutien financier. À partir de cette saison, la ligue y distribuera un million de francs selon un nouveau modèle. Les clubs qui utilisent des jeunes joueurs suisses pendant au moins 6000 minutes reçoivent 50'000 francs. Ceux qui dépassent les 8000 minutes reçoivent 100'000.

S’il reste de l'argent parce que les dix clubs n'ont pas tous dépassé les 8000 minutes, il va aux clubs qui ont le plus de minutes d'engagement. Il s'agit de montants qui peuvent être tout à fait décisifs dans le budget d'un club de Challenge League.

Du point de vue du responsable de la relève, Patrick Bruggmann souhaiterait qu'une réglementation similaire en matière de minutes soit également appliquée en Super League. Mais il comprend que les clubs doivent s'imposer sur un marché international très concurrentiel. Il n'y a donc pas de directives dans la ligue supérieure.

«Peut-être que les jeunes ne sont pas assez bons»
Au lieu de cela, Patrick Bruggmann remet également en question le travail de la relève suisse. Celui-ci a été considéré comme exemplaire pendant des décennies. Mais au vu de la baisse des minutes de jeu en Super League, il déclare: «Soit les directeurs sportifs adoptent une toute nouvelle ligne de conduite. Ou alors nos jeunes joueurs ne sont peut-être pas assez bons.»

Pour lui, il faudrait moins mettre l'accent sur le succès de l'équipe chez les juniors. En revanche, il faudrait mettre davantage l'accent sur la formation individuelle des talents: «Nous formons de très nombreux bons joueurs. Mais par rapport à d'autres nations, nous manquons de joueurs de haut niveau absolus.»

Il trouve la preuve de sa thèse au sein de sa propre fédération: «Pourquoi nos joueurs les plus remarquables sont-ils souvent des gardiens de but? Parce que chez eux, le développement individuel est une priorité depuis des années. C'est pourquoi nous avons désormais ancré le développement individuel comme une priorité dans notre stratégie du football d'élite et avons déjà défini les premières mesures.»

C'est le plan à long terme de Patrick Bruggmann. À court terme, il peut depuis peu voir sur le site internet de la ligue, pratiquement en temps réel, combien de minutes sont accordées aux joueurs suisses de la relève en Super League. Jusqu'à présent, la tendance par rapport à la saison précédente est légèrement à la hausse.

Le FC Lucerne reste en première position. Chez lui, deux fois plus de minutes ont été accordées à des joueurs de la relève que dans n'importe quel autre club. La saison dernière, les Lucernois ont toutefois fait l'expérience des risques d'une promotion conséquente de la relève: ils ont dû passer par le tour de relégation.

Mais il y a aussi des points positifs. Cette année, l'équipe de Super League avec le plus de minutes accordées à la relève recevra 250'000 francs, celle avec le deuxième plus grand nombre de minutes 150'000, celle avec le troisième plus grand nombre de minutes 100'000. Le reste ne recevra rien. La première place ne devrait guère échapper au FC Lucerne. Et Laurent Prince d’ajouter: «De nombreux talents de toute la Suisse veulent venir chez nous parce qu'ils ne voient aucune chance de percer dans leur propre club.»

Et cette conviction de pouvoir vraiment devenir professionnel est décisive pour Patrick Bruggmann et Laurent Prince. Celui-ci le formule ainsi: «Si les joueurs identifient un objectif réaliste, ils sont prêts à en faire plus.»

https://www.blick.ch/fr/sport/football/coupe-suisse/le-pere-dun-joueur-a-craque-victime-dun-lancer-de-parapluie-en-plein-match-ricardo-moniz-songe-a-demissionner-id20052020.html?utm_campaign=share-button-app&utm_medium=social&utm_source=copy-to-clipboard

https://www.blick.ch/fr/sport/football/coupe-suisse/les-genevois-ont-ete-dignes-de-levenement-champel-ls-un-0-7-qui-a-fait-deux-vainqueurs-id20051378.html


https://www.blick.ch/fr/sport/football/coupe-suisse/le-ls-a-passe-un-bon-dimanche-ludovic-magnin-cest-ca-lesprit-de-la-coupe-id20051771.html

Nataniel a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/coupe-suisse/le-pere-dun-joueur-a-craque-victime-dun-lancer-de-parapluie-en-plein-match-ricardo-moniz-songe-a-demissionner-id20052020.html?utm_campaign=share-button-app&utm_medium=social&utm_source=copy-to-clipboard

Sacré ambiance . . .

https://www.rts.ch/sport/football/2024/article/sion-en-maitrise-servette-et-le-ls-au-ralenti-28598349.html

https://www.blick.ch/fr/sport/football/coupe-suisse/un-air-de-carlos-tevez-fabricio-oviedo-un-profil-different-pour-lattaque-du-ls-id20058599.html

Avec un troisième maillot, les clubs veulent envahir la rue

C’est devenu un passage obligé ou presque. Les équipes de tous les championnats sortent des paletots pour séduire une nouvelle clientèle. La Romandie ne fait pas exception.

Pendant de longues années, les maillots de foot, c’était le paletot porté à la maison de telle couleur et celui d’extérieur d’une autre, nécessaire quand votre hôte porte à peu près les mêmes tons que vous. Entre-temps, ce chandail est devenu un vrai outil marketing, capable de générer d’importants chiffres d’affaires.

«Ce sont des campagnes que nous apprécions de réaliser, explique Loïc Luscher, responsable médias et communication du Servette FC. Mais pour tous les maillots, pas que le troisième. Car tout commence aux mois d’octobre et de novembre de l’année d’avant. C’est là qu’il y a la première réflexion. Quand le coloris est choisi, il y a ensuite la deuxième phase, en collaboration avec le merchandising, le pôle marketing et celui des réseaux sociaux et des médias. Tout le monde apporte sa pierre à l’édifice. Ensuite, le tournage des clips de promotion, avant les vacances des joueurs. C’est un travail de sept ou huit mois et on s’éclate!»

Les grands clubs européens sortent désormais trois, quatre, voire cinq maillots par année pour jouer les Coupes d’Europe ou pour à peu près n’importe quelle occasion. Les clubs romands n’y coupent pas et s’expriment volontiers de manière plus libre quand il s’agit de sortir un nouveau modèle, à grand renfort de communication sur les réseaux sociaux.

Pendant de longues années, les maillots de foot, c’était le paletot porté à la maison de telle couleur et celui d’extérieur d’une autre, nécessaire quand votre hôte porte à peu près les mêmes tons que vous. Entre-temps, ce chandail est devenu un vrai outil marketing, capable de générer d’importants chiffres d’affaires.

«Ce sont des campagnes que nous apprécions de réaliser, explique Loïc Luscher, responsable médias et communication du Servette FC. Mais pour tous les maillots, pas que le troisième. Car tout commence aux mois d’octobre et de novembre de l’année d’avant. C’est là qu’il y a la première réflexion. Quand le coloris est choisi, il y a ensuite la deuxième phase, en collaboration avec le merchandising, le pôle marketing et celui des réseaux sociaux et des médias. Tout le monde apporte sa pierre à l’édifice. Ensuite, le tournage des clips de promotion, avant les vacances des joueurs. C’est un travail de sept ou huit mois et on s’éclate!»

Les grands clubs européens sortent désormais trois, quatre, voire cinq maillots par année pour jouer les Coupes d’Europe ou pour à peu près n’importe quelle occasion. Les clubs romands n’y coupent pas et s’expriment volontiers de manière plus libre quand il s’agit de sortir un nouveau modèle, à grand renfort de communication sur les réseaux sociaux.

«Depuis quelques années, c’est devenu quelque chose d’hyperimportant pour l’image du club, détaille Christophe Tufarolo, responsable marketing et communication de Neuchâtel Xamax. On profite des deuxième et troisième modèles pour montrer une image plus dynamique, c’est un point central de la stratégie. Xamax aimerait capter un public plus jeune et réussir à le fidéliser. Ce sont des spectateurs plus occasionnels, qui ne se déplacent que sur les gros matches. Nous travaillons à les fidéliser et essayer de les garder proches de notre équipe, en faisant ce genre d’actions. On a un gros boulot à ce niveau-là…»

Le premier t-shirt sera de toute façon aux couleurs du blason de la formation. On n’imagine pas Servette autrement qu’en grenat, Yverdon en vert et blanc, Lausanne en blanc et bleu ou Xamax en rouge et noir. Le paletot extérieur, généralement, va trancher avec ces couleurs, histoire d’être utile en déplacement. Mais comment décide-t-on de la couleur, du design, des contours de ce troisième maillot pour lequel la liberté est totale, alors? «On en avait sorti un bleu, qui avait pas mal fait jaser, il y a deux saisons. D’autant plus que les résultats ne suivaient pas, grince Christophe Tufarolo. Mais il s’était bien vendu! Cette variante doit plaire plus largement et être plus facile à porter «en ville» qu’un basique maillot de foot rouge et noir.»

De manière générale, ajoute le responsable média Loïc Luscher, nous partons du principe que nos trois créations doivent pouvoir être portées en dehors des enceintes sportives. Mais le troisième maillot est fait pour rendre la marque Servette bankable, cool, sympathique et que les jeunes puissent sortir avec, le porter partout, tout le temps. Cette troisième version offre l’opportunité d’explorer de nouvelles choses, notamment au niveau des couleurs. Il y a eu un noir, un orange, un noir et grenat ou encore un rose. Cette année, c’est bleu marine. C’est sympa de voir le logo du SFC dans une couleur inhabituelle. Nous essayons d’en faire quelque chose d’unique chaque saison. Mais Servette, ça reste le grenat et c’est celui qui se vend le mieux.»
Zéro limite au LS

«Nous avons lancé un troisième maillot l’année passée – qui a été entièrement écoulé –, à la demande des supporters, qui en voulaient enfin un bleu. Quelque chose qui n’est pas arrivé souvent au LS. C’est compliqué de faire un blanc «home» et un bleu «away» en Super League, vu les couleurs des autres formations, indique de son côté Vincent Steinmann. Je ne suis pas convaincu du potentiel d’un troisième choix sur le marché lausannois, aussi parce qu’on se permet d’être plus audacieux sur notre deuxième version. Nous avons zéro limite en termes de couleurs ou de créativité.»

Cette année toutefois, le club de la capitale olympique lancera tout de même une version différente des simples domiciles et extérieurs. «Plus qu’un maillot «casual» – parce que de nos jours, dans les faits, tous sont portables en ville –, nous voulons raconter une histoire avec le maillot que l’on sortira plus tard dans la saison», termine le vice-président du Lausanne-Sport. Rouge, rose, orange fluo, jaune pâle. Tout est possible en 2024 et presque plus rien ne choque.
Servette, c’est grenat!

Et tant pis pour les grincheux, qui s’énervent régulièrement du dévoiement de leur blason, sur l’autel du marchandisage. «Ça fait réagir, c’est vrai, termine Loïc Luscher. Pour les plus anciennes générations, Servette, c’est grenat, blanc et rien d’autre. Mais ce n’est pas forcément la cible, quand on commercialise un troisième maillot et je n’ai pas l’impression qu’on a fâché des gens. Parce que ce ne sont pas eux qui vont l’acheter. Le tricot rose avait assez bien marché chez les femmes. Et nous, ce qu’on veut, c’est toucher un public que l’on ne séduirait pas d’habitude.»

Teddy Okou dans match aprwe match sur Blue.

Je mets ça ici (le reste de l'article n'est pas indispensable) :

in 24h en ligne :

<<
Jean-Luc Rochat sera le nouveau président du LHC
Le vice-champion de Suisse tient le successeur de Patrick de Preux. Président et fondateur du club de soutien des «Lions 1922» depuis seize ans, l’économiste pulliéran est un vrai fan.
>>

LHC arrive à trouver des présidents locaux et impliqués, eux ...

https://latele.ch/emissions/retransmissions-sportives/emission-speciale-lausanne-sport-la-belle-aventure-partie-2?s=2

À un jour du déplacement sur la pelouse des BSC Young Boys, Noë Dussenne est revenu sur le début de la saison.

«Ce n’est pas normal de prendre autant de buts en 4 matches. On a pris des buts faciles. La défense en prend pour son grade. Il faut accepter les critiques et avancer. À Sion, je n’ai pas été bon, le coach me l’a fait comprendre et je l’ai accepté. Je sais reconnaître quand je fais des bons matches, à aider l’équipe à être meilleure et à être le leader que je dois être. Parfois, on peut se trouer. Défensivement on doit faire mieux, en équipe, en groupe.»

Sur son rôle dans cette situation



«Il faut que tout le monde soit prêt à 100% pour atteindre les objectifs. L’année dernière, on était très proche d’être dans les 6 premiers. Cette année, on a joué 4 matches, il reste 34 matches. Il ne faut pas tirer la sonnette d’alarme. Il faut rester positif. Il y aura encore des victoires, des défaites, des moments de doute également mais il faut rester solidaire.»

Sur l’était d’esprit à garder



«Certaines mises au point ont été faites. Nous avons eu plusieurs rendez-vous avec le coach. Il a parlé avec plusieurs joueurs. La ligne défensive, la ligne du milieu, les attaquants, tout le monde doit faire un petit plus. Le début de saison est insuffisant par rapport aux objectifs. On a très bien commencé contre Bâle, on a fait un très mauvais match contre Sion. C’était inacceptable. Les deux derniers matches n’étaient pas mauvais mais il y a eu des hauts et des bas. On doit être plus constant et prendre moins de buts. Nous avons travaillé, on arrive à deux jours du match des BSC Young Boys. C’est important d’être prêt et mentalement nous avons à cœur de montrer que nous valons plus que ça.»

Sur les performances défensives depuis le début de la saison



«Les BSC Young Boys représentent un gros défi. Ils ont mal commencé la saison mais ils se reprennent très bien. Nous avons forcément été attentifs sur les matches de Champions League. Nous aimons avoir des gros matches et ça va être le cas samedi. Il y a de l’euphorie dans leur club. Ils se sont qualifiés pour la Champions League et ça fait rêver. Samedi, c’est le championnat, ça sera à nous de venir les chercher dès le début du match.»

Sur l’adversaire du weekend

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-ls-doit-defendre-en-equipe-noe-dussenne-les-critiques-sont-justifiees-il-faut-faire-mieux-id20089538.html

Cameron Puertas a marqué son dernier goal avec le LS
Le transfert du milieu vaudois de la Belgique à l’Arabie saoudite rapportera environ 3 millions de francs au Lausanne-Sport, son ancien club. De quoi retenir Alvyn Sanches à la Tuilière encore un peu?


Florian Vaney
Publié aujourd’hui à 21h01

Cameron Puertas était adoré par les supporters lorsqu’il portait le maillot du Lausanne-Sport.
KEYSTONE
Non, le FC Forward-Morges ne vient pas de toucher le gros lot. Même si, vu la catastrophe naturelle qui s’est abattue sur ses terrains, inutilisables durant plusieurs mois à cause des inondations, cela lui aurait mis du baume au cœur. Un certain flou entoure toujours le jeu des indemnités de formation, ces sommes d’argent dues aux clubs formateurs d’un joueur lorsque celui-ci est transféré d’une équipe à une autre. Bien avant de signer pour 15 millions d’euros en Arabie saoudite il y a quelques jours, Cameron Puertas était un footballeur de Forward, en 2e ligue.


Cela aurait pu faire miroiter au club morgien un petit pourcentage du transfert en or massif de son ancien crack. Il n’en est rien, pour une raison simple: Cameron Puertas a 26 ans et, sauf exception, les indemnités de transfert tombent une fois la saison durant laquelle le joueur atteint l’âge de 23 ans terminée. Tant pis pour Morges. Qui se retrouve bien seul à ne pas s’en mettre plein les poches dans cette affaire.


Dans l’ordre de ceux qui s’en sortent le mieux, Cameron Puertas lui-même arrive en tête. D’une certaine façon, c’est logique. Al Qadsiah, l’ambitieux néopromu en première division saoudienne, lui aurait promis 6 millions de francs par année, sans compter les primes, avec un contrat de quatre ans. «Il y a des offres qu’on ne peut pas refuser», glissait son agent à «Blick» en milieu de semaine. L’Union Saint-Gilloise, le club vendeur dans lequel le Lausannois a explosé ces derniers mois, touchera, lui, environ 12 millions. Quant au reste de la somme de transfert, elle tombe directement dans les caisses du Lausanne-Sport.

Avec les salutations de Souleymane Cissé
À l’hiver 2022, les supporters du LS avaient pu s’offusquer de voir leur talentueux milieu de terrain s’en aller en Belgique contre à peine plus d’un million de francs. À l’époque, le directeur sportif de la Tuilière s’appelait encore Souleymane Cissé. S’il ne s’était pas fait que des amis à Lausanne, l’Ivoirien s’était assuré de glisser un futur pourcentage à la revente dans les transferts sortants qu’il paraphait. Une méthode qui a déjà profité au Lausanne-Sport l’été dernier, lorsque Zeki Amdouni a quitté Bâle pour Brighton et fait entrer 2 millions de francs sur les comptes du club, en plus des 4 millions déjà acquis lors de son passage à Bâle.


Cameron Puertas (à g.) et Zeki Amdouni ont fait du bien deux fois au Lausanne-Sport. Lors de leur passage, et lors de leur transfert lorsqu’ils n’étaient déjà plus Lausannois.
KEYSTONE
Le principe est le même avec Cameron Puertas. Cette fois, le pourcentage est de 20%. Sur la plus-value réalisée par l’Union Saint-Gilloise ou sur la totalité du transfert? Mystère. Quoi qu’il en soit, le LS récupérera entre 2,4 et 3 millions. Et ce n’est peut-être pas fini pour le jackpot vaudois. La rumeur d’un départ d’Isaac Schmidt de Saint-Gall vers Leeds, en Championship (D2 anglaise), enfle. À l’été 2021, quand Lausanne avait cédé le latéral en Suisse orientale, il s’était également assuré d’un pourcentage à la revente à notre connaissance.


S’il n’en a pas forcément l’air, le mercato lausannois pourrait s’avérer bénéficiaire, en y ajoutant notamment les quelques billets reçus liés à la vente de Brighton Labeau à Guimgamp. Pour quelles conséquences?

La Tuilière rapporte moins que prévu
On peut se questionner autour du cas Alvyn Sanches. Histoire d’équilibrer ses comptes, le Lausanne-Sport voyait d’un bon œil la possibilité d’un départ de son milieu de terrain à court terme. Maintenant que de l’argent frais est entré grâce au passage de Cameron Puertas en Saudi Pro League, le LS pourrait se sentir moins pressé dans ce dossier, et retenir son joueur encore quelques mois. Ce que cherchaient à confirmer les rumeurs de fin de semaine, qui évoquent la fin des négociations avec le Celtic, longtemps intéressé par Sanches. Le dénouement sera connu dimanche au plus tard, date de la fin des transferts internationaux.

Fort des millions empochés cet été, faut-il imaginer le club de la Tuilière réaliser de gros coups sur les prochains mercatos? On peut en douter. Déjà parce que le club semble chercher à grandir structurellement au moins autant que sur le terrain, en témoigne notamment l’arrivée de Stéphane Henchoz en qualité de directeur sportif. Ensuite parce que l’exploitation de la Tuilière coûte cher au Lausanne-Sport. Et surtout, qu’elle lui rapporte moins qu’espéré lors de son inauguration, il y a quatre ans. L’inattendu coup de main de Cameron Puertas pourrait donc surtout servir à couvrir un certain déficit structurel.

Ça confirme gentiment ma théorie : finalement, que les joueurs soient vendus plusieurs Mios ou pour des cacahuètes, on s'en tape, ça ne changera rien au budget du LS.

Surtout visiblement on ne peut pas grandir sportivement car on est plombé par notre stade. Et en même temps, avec les relégations et des queues de classements, on ne peut pas remplir le stade, ce qui plombe les résultats financiers. Un cercle vicieux ! Si on est obligé de vendre les joyaux chaque saison pour compenser les pertes du stade, on ne risque pas de jouer l'Europe avant longtemps.
En même temps Ineos a les moyens de faire don pour casser ce cercle et investir les millions gagnés sur les transferts dans le sportif, mais semble ne pas le vouloir.

zodov a écrit:Surtout visiblement on ne peut pas grandir sportivement car on est plombé par notre stade. Et en même temps, avec les relégations et des queues de classements, on ne peut pas remplir le stade, ce qui plombe les résultats financiers. Un cercle vicieux ! Si on est obligé de vendre les joyaux chaque saison pour compenser les pertes du stade, on ne risque pas de jouer l'Europe avant longtemps.
En même temps Ineos a les moyens de faire don pour casser ce cercle et investir les millions gagnés sur les transferts dans le sportif, mais semble ne pas le vouloir.

Et dire que tous nos problèmes venaient de la Pontaise, et que la 8ème merveille du monde de stade de la tuitui allait tout changer....

Ineos a les moyens de monter une équipe qui nous garantisse au minima la 6e place. Cela fait trop longtemps que le l'on végète. Si cela continue on sera ou relégué ou on fera un barrage contre... Stade Lausanne. J'aime trop ce club pour l'imaginer. Alors, dirigeants faites ce qu'il faut (engager encore un ou 2 très bons joueurs) et ne pas hésiter le cas échésnt pour remplacer le coach afin de redonner de
l'enthousiasme dans ce club. Allez LS!

kok9 a écrit:

zodov a écrit:Surtout visiblement on ne peut pas grandir sportivement car on est plombé par notre stade. Et en même temps, avec les relégations et des queues de classements, on ne peut pas remplir le stade, ce qui plombe les résultats financiers. Un cercle vicieux ! Si on est obligé de vendre les joyaux chaque saison pour compenser les pertes du stade, on ne risque pas de jouer l'Europe avant longtemps.
En même temps Ineos a les moyens de faire don pour casser ce cercle et investir les millions gagnés sur les transferts dans le sportif, mais semble ne pas le vouloir.

Et dire que tous nos problèmes venaient de la Pontaise, et que la 8ème merveille du monde de stade de la tuitui allait tout changer....

Personne n'a jamais dit que la Tuilière était la 8e merveille du monde ou qu'elle allait résoudre tous les problèmes et je te rappelle que ton idole, le bon président Joseph, était enthousiaste quant à la construction d'un nouveau stade.
Quant à ta chère Ponpon, c'est quasiment une ruine, condamnée à court terme (en tout cas dans sa forme actuelle), il va falloir t'y résoudre.
Ce qu'il faut maintenant, c'est sortir du cercle vicieux décrit par Zodov, si Ineos ne veut pas le vouloir ou le comprendre, ce serait mieux pour le club qu'ils cherchent un repreneur.

D'accord sur le constat Ineos, bien sûr.

Relis tous les messages qui affirmaient que grâce à un stade digne du XXIème siècle on allait enfin changer de niveau (discours aussi tenu psr Alain Joseph). Relis aussi tout les messages qualifiant la tuitui de stade magnifique.

Quant à la Pontaise, elle a en effet été volontairement laissée dans son jus, avec service minimum. Des architectes se battent pour la sauver, car il s'agit vraiment d'un stade magnifique et reconnu comme tel par les spécialistes.

Pour le 20eme siècle oui

quote="kok9"]D'accord sur le constat Ineos, bien sûr.

Relis tous les messages qui affirmaient que grâce à un stade digne du XXIème siècle on allait enfin changer de niveau (discours aussi tenu psr Alain Joseph). Relis aussi tout les messages qualifiant la tuitui de stade magnifique.

Quant à la Pontaise, elle a en effet été volontairement laissée dans son jus, avec service minimum. Des architectes se battent pour la sauver, car il s'agit vraiment d'un stade magnifique et reconnu comme tel par les spécialistes.[/quote]

kok9 a écrit:D'accord sur le constat Ineos, bien sûr.

Relis tous les messages qui affirmaient que grâce à un stade digne du XXIème siècle on allait enfin changer de niveau (discours aussi tenu psr Alain Joseph). Relis aussi tout les messages qualifiant la tuitui de stade magnifique.

Quant à la Pontaise, elle a en effet été volontairement laissée dans son jus, avec service minimum. Des architectes se battent pour la sauver, car il s'agit vraiment d'un stade magnifique et reconnu comme tel par les spécialistes.

Les autorité communales et le président de l'époque (Joseph puis,Thompson) s'étaient félicités de ce que le LS allait enfin disposer d'un stade conçu pour le football ce qui devait lui permettre de se développer et de générer davantage de revenus. On ne peut que regretter que tout ne se passe pas aussi bien qu'espéré mais je ne pense pas que ce soit inéluctable et, que tu le veuilles ou non, la Tuilière est en effet un stade du XXIe siècle... que tu es évidemment libre de ne pas aimer.
Quant aux spécialistes + ou - auto-proclamés qui essaient de nous faire croire que la Ponpon est la 8e merveille du monde et qu'il faut donc la conserver (sans nous dire qu'en faire ni comment financer son entretien), ils n'ont pas dû y aller souvent pour suivre un match de football... Cette enceinte n'est pas dénuée d'une certaine élégance architecturale mais à la fin du XXe siècle déjà le regretté Norbert Eschmann en avait pointé tous les défauts, il est pour le moins curieux d'en être encore à la défendre un quart de siècle plus tard.

Profs d'histoire de l'architecture à l'EPFL, pas vraiment "autoproclamé". Bref.

Cette justification budgétaire est comique, au vu de tout ça.
Manquerait plus qu'Ineos demande une baisse de loyer à la Ville, histoire que le contribuables lausannois subventionnement un peu Ineos.