Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.rts.ch/sport/football/2024/article/alban-ajdini-pour-moi-c-est-toujours-special-d-affronter-servette-28643452.html
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/jamie-roche-milieu-du-ls-etre-titulaire-avec-une-telle-concurrence-renforce-ma-confiance-id20174285.html
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
centvingt a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/jamie-roche-milieu-du-ls-etre-titulaire-avec-une-telle-concurrence-renforce-ma-confiance-id20174285.html
Ça fait toujours plaisir ces interviews. Merci Blick
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Qui peux retranscrire merci d avance
https://www.24heures.ch/super-league-les-questions-chaudes-avant-le-derby-servette-ls-181354464910
https://www.24heures.ch/super-league-les-questions-chaudes-avant-le-derby-servette-ls-181354464910
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Difficile, quand même, de ne pas sentir un soupçon d’excitation. On peut se dire que, en Suisse, à force de les voir s’enchaîner, les derbies ont perdu un peu de leur essence, le premier porte toujours en lui un caractère particulier. Parce qu’il n’arrive ni trop tôt ni trop tard, le Servette-Lausanne de samedi (18 heures) à la Praille berce encore certaines illusions, et se détache du contexte. Il demeure ce match qui peut lancer – vraiment – une saison.
Qui est favori?
Il y a le classement: Servette est 4e, le LS 8e, avec six points de moins. Il y a les ambitions: les Genevois jouent le titre, les Vaudois ambitionnent surtout de faire mieux que leur 10e place de la saison dernière. Il y a aussi l’expérience: du côté de la Praille, Thomas Häberli peut compter sur une base solide, qui se connaît, alors que Ludovic Magnin s’adapte, surtout avec les absences pour blessures d’Olivier Custodio et Antoine Bernède.
«On sait qu’on joue contre une équipe qui est en avance sur nous, se décharge Magnin. Le cadre est posé et il est clair: il y a un favori, un outsider. Mais sur un match, l’outsider peut toujours battre le favori.» Habile.
Qui seront les attaquants?
Avant un derby, on cache un peu ses cartes. Elles ont été brouillées, aussi, de part et d’autre, par les choix que les deux techniciens ont effectués le week-end dernier, notamment à la pointe de l’attaque. Le Servettien Usman Simbakoli et le Lausannois Alban Ajdini ont été titularisés pour la première fois de la saison. À GC, le premier a marqué, contre Yverdon, le second a offert une passe décisive.
Seront-ils alignés à nouveau? Häberli a apprécié le match du Centrafricain, et il pourrait être tenté de réitérer son choix. Quant à Ajdini, il semble acquis que Magnin lui fera à nouveau confiance. Tant pis pour Guillemenot, tant pis pour Sène. À noter que Servette devra se passer d’Ondoua (suspendu), alors que le LS devrait voir Pafundi revenir dans le groupe.
Quelle sera l’ambiance?
C’est un derby. Alors cela sera chaud. Jeudi, plus de 10’500 billets avaient déjà trouvé preneur du côté servettien. Un train spécial partira de Lausanne.
Toutes les tribunes seront ouvertes, et c’est une bonne nouvelle. Aucune mesure coercitive n’entravera l’organisation de la partie. Mais il faut bien penser qu’elle sera scrutée de près par les autorités de police et de justice, qui avaient eu la main lourde après que des affrontements avec les forces de sécurité en dehors du stade avaient émaillé la rencontre disputée à la Tuilière en décembre dernier. Les tribunes des supporters de part et d’autre avaient été fermées pour un match.
Qui est favori?
Il y a le classement: Servette est 4e, le LS 8e, avec six points de moins. Il y a les ambitions: les Genevois jouent le titre, les Vaudois ambitionnent surtout de faire mieux que leur 10e place de la saison dernière. Il y a aussi l’expérience: du côté de la Praille, Thomas Häberli peut compter sur une base solide, qui se connaît, alors que Ludovic Magnin s’adapte, surtout avec les absences pour blessures d’Olivier Custodio et Antoine Bernède.
«On sait qu’on joue contre une équipe qui est en avance sur nous, se décharge Magnin. Le cadre est posé et il est clair: il y a un favori, un outsider. Mais sur un match, l’outsider peut toujours battre le favori.» Habile.
Qui seront les attaquants?
Avant un derby, on cache un peu ses cartes. Elles ont été brouillées, aussi, de part et d’autre, par les choix que les deux techniciens ont effectués le week-end dernier, notamment à la pointe de l’attaque. Le Servettien Usman Simbakoli et le Lausannois Alban Ajdini ont été titularisés pour la première fois de la saison. À GC, le premier a marqué, contre Yverdon, le second a offert une passe décisive.
Seront-ils alignés à nouveau? Häberli a apprécié le match du Centrafricain, et il pourrait être tenté de réitérer son choix. Quant à Ajdini, il semble acquis que Magnin lui fera à nouveau confiance. Tant pis pour Guillemenot, tant pis pour Sène. À noter que Servette devra se passer d’Ondoua (suspendu), alors que le LS devrait voir Pafundi revenir dans le groupe.
Quelle sera l’ambiance?
C’est un derby. Alors cela sera chaud. Jeudi, plus de 10’500 billets avaient déjà trouvé preneur du côté servettien. Un train spécial partira de Lausanne.
Toutes les tribunes seront ouvertes, et c’est une bonne nouvelle. Aucune mesure coercitive n’entravera l’organisation de la partie. Mais il faut bien penser qu’elle sera scrutée de près par les autorités de police et de justice, qui avaient eu la main lourde après que des affrontements avec les forces de sécurité en dehors du stade avaient émaillé la rencontre disputée à la Tuilière en décembre dernier. Les tribunes des supporters de part et d’autre avaient été fermées pour un match.
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Après le derby Servette-LS
Le Lausanne-Sport se confronte à ses limites
Battue 1-0 par Servette dans le derby samedi, la formation vaudoise a été confrontée à ses lacunes. Physiques, structurelles et tactiques, notamment.
Valentin Schnorhk
D’un derby à l’autre, d’Yverdon à Servette, il y a deux réalités que le Lausanne-Sport doit raconter. Comme si on le projetait face à son destin actuel. Comme si ces deux rencontres-là ne servaient qu’à lui dire une chose: Lausanne est fort face aux faibles, mais il est surtout faible face aux forts et cela situe un certain nombre de limites.
Samedi, à la Praille, les espoirs qu’avait suscités la victoire six jours plus tôt contre Yverdon se sont facilement dissipés. Un rappel, brutal, de ce qui est ce LS jusqu’ici. Qu’il n’est pas très éloigné de celui de la saison passée, qui avait terminé dixième de Super League. Le constat est incontestable: huit journées, deux victoires (à domicile), un match nul (à YB) et cinq défaites. L’instantané n’a rien de définitif: Lausanne peut progresser.
Mais la vérité du moment est celle-ci: le LS, qui s’est donc incliné 1-0 à la Praille, un strict minimum, est loin de Servette. Et pas seulement. Parce qu’il y a beaucoup de limites à combler.
Les limites physiques
Ce n’est pas que le sentiment d’un match, même si Lausanne sait généralement se mettre au niveau de l’intensité d’une partie. La formation de Ludovic Magnin a aussi dans son ADN l’idée d’en déployer. Le fait est qu’à Genève samedi, Lausanne n’a même pas fait illusion sur ce plan-là, et c’est ce qui préoccupe un peu. «Il nous a manqué de la force physique dans les duels, tous les petits ballons entre-deux, ils ont été à l’avantage de Servette, notait Magnin. Nous nous sommes fait bouger.»
C’est notamment au milieu de terrain que le LS a peiné à exister. Diogo Carraco a été un peu léger, et en l’absence conjuguée de Bernède et de Custodio, il y a forcément un déficit qui se fait, que peu peuvent combler dans le contingent lausannois. À la Praille, il y a une forme de leçon qui s’est jouée sur ce plan-là. Peut-être raison du terrain, mais cela ne fait pas tout (lire ci-dessous): Lausanne doit s’adapter, et se mettre au niveau.
Les limites «structurelles»
Le Lausanne-Sport n’est pas un petit club. Mais structurellement, de par l’expérience sur laquelle il peut s’appuyer, de par les joueurs qui le composent, de par leur valeur, le LS est une petite équipe à l’échelle de la Super League. La dixième place de l’an dernier le dit. Le fait qu’il n’y ait eu que peu d’améliorations sur le papier le soutient aussi. C’est une équipe qui grandit, sans doute, mais qui n’est sûrement pas encore mature.
En le disant plusieurs fois avant le derby, Ludovic Magnin a aussi alimenté la théorie, et il aurait été difficile de lui donner tort. L’entraîneur vaudois l’a rappelé après la défaite de samedi: «Nous sommes en construction, a-t-il répété. Je n’ai pas de honte à reconnaître que nous sommes actuellement derrière Servette. Il nous manque par exemple cette roublardise. Nous avons joué un club qui battait Chelsea il y a quelques semaines. C’est à nous de combler ce retard.»
La tâche incombe à Magnin. Au directeur sportif Stéphane Henchoz, aussi, qui a assisté à la partie du haut des tribunes, sans vraiment broncher. À considérer ce qu’il faut à cette équipe pour mûrir, devenir plus compétitive. Aussi plus constante. Même si un vécu commun, pour une équipe de la dimension du LS, cela n’a pas de prix.
Les limites tactiques
Il y a qu’un seul LS, mais plusieurs adversaires. C’est souvent cette adversité qui définit ce que peut produire ce LS. Parce qu’il faut bien constater que Ludovic Magnin change peu. Il a certes reconduit Alban Ajdini à la place de Kaly Sène à la pointe de l’attaque samedi, mais l’idée ne changeait pas fondamentalement. Le système, aussi, varie peu, et c’est généralement le positionnement d’Alvyn Sanches qui le rapproche plus d’un 4-4-2 ou d’un 4-3-3.
Autrement dit, Magnin agit essentiellement au travers de ses choix de joueurs, plus que dans la façon de les animer. Quand Lausanne est limité dans son idée d’approche rythmée, avec et sans ballon, il a beaucoup moins de réponses à apporter. Une limite qui, comme les autres, dit autant le retard que la marge de progression. Question de perception.
Le synthétique se retourne contre le LS
L’excuse est facile. Il ne s’agit pas de lui donner du crédit. Simplement de conférer une certaine légitimité à l’explication. La pelouse de la Praille, fragile depuis plusieurs semaines, abîmée par un match de Ligue des champions féminine (Servette-Roma jeudi) et rendue extrêmement lourde par la pluie tombée les jours précédant le match a transformé le derby en calvaire pour le LS.
«Sur un terrain comme celui-ci, aussi profond, avec des joueurs qui aiment les petits appuis, c’était difficile», reconnaissait Magnin. Le problème n’est pas nouveau: Lausanne n’a jamais gagné à l’extérieur cette année, il a perdu ses quatre matches disputés sur l’herbe et pris un point sur le synthétique du Wankdorf, qui lui rappelait forcément le sien.
Ce qu’il faut comprendre? L’avantage que le LS a chez lui, à la Tuilière, se retourne un peu contre lui à l’extérieur. Une question d’habitude.
Aussi parce que Magnin et Henchoz ont construit leur effectif pour être performant sur synthétique: «On a recruté des joueurs qui un profil plus conforme pour cette surface-là, sachant qu’on y joue 50% des matches, a souligné l’entraîneur du Lausanne-Sport. En Challenge League, on avait moins de problèmes, parce qu’il y avait plus d’équipes qui jouaient sur synthétique.»
Là aussi, c’est une limite du LS. Une autre. L’adaptabilité, cela fait partie du jeu. Et à considérer qu’il est autorisé de disposer d’une pelouse artificielle en Super League, cela concerne tout le monde. À Lausanne, maintenant, de moins subir cette donnée.VSC
Le Lausanne-Sport se confronte à ses limites
Battue 1-0 par Servette dans le derby samedi, la formation vaudoise a été confrontée à ses lacunes. Physiques, structurelles et tactiques, notamment.
Valentin Schnorhk
D’un derby à l’autre, d’Yverdon à Servette, il y a deux réalités que le Lausanne-Sport doit raconter. Comme si on le projetait face à son destin actuel. Comme si ces deux rencontres-là ne servaient qu’à lui dire une chose: Lausanne est fort face aux faibles, mais il est surtout faible face aux forts et cela situe un certain nombre de limites.
Samedi, à la Praille, les espoirs qu’avait suscités la victoire six jours plus tôt contre Yverdon se sont facilement dissipés. Un rappel, brutal, de ce qui est ce LS jusqu’ici. Qu’il n’est pas très éloigné de celui de la saison passée, qui avait terminé dixième de Super League. Le constat est incontestable: huit journées, deux victoires (à domicile), un match nul (à YB) et cinq défaites. L’instantané n’a rien de définitif: Lausanne peut progresser.
Mais la vérité du moment est celle-ci: le LS, qui s’est donc incliné 1-0 à la Praille, un strict minimum, est loin de Servette. Et pas seulement. Parce qu’il y a beaucoup de limites à combler.
Les limites physiques
Ce n’est pas que le sentiment d’un match, même si Lausanne sait généralement se mettre au niveau de l’intensité d’une partie. La formation de Ludovic Magnin a aussi dans son ADN l’idée d’en déployer. Le fait est qu’à Genève samedi, Lausanne n’a même pas fait illusion sur ce plan-là, et c’est ce qui préoccupe un peu. «Il nous a manqué de la force physique dans les duels, tous les petits ballons entre-deux, ils ont été à l’avantage de Servette, notait Magnin. Nous nous sommes fait bouger.»
C’est notamment au milieu de terrain que le LS a peiné à exister. Diogo Carraco a été un peu léger, et en l’absence conjuguée de Bernède et de Custodio, il y a forcément un déficit qui se fait, que peu peuvent combler dans le contingent lausannois. À la Praille, il y a une forme de leçon qui s’est jouée sur ce plan-là. Peut-être raison du terrain, mais cela ne fait pas tout (lire ci-dessous): Lausanne doit s’adapter, et se mettre au niveau.
Les limites «structurelles»
Le Lausanne-Sport n’est pas un petit club. Mais structurellement, de par l’expérience sur laquelle il peut s’appuyer, de par les joueurs qui le composent, de par leur valeur, le LS est une petite équipe à l’échelle de la Super League. La dixième place de l’an dernier le dit. Le fait qu’il n’y ait eu que peu d’améliorations sur le papier le soutient aussi. C’est une équipe qui grandit, sans doute, mais qui n’est sûrement pas encore mature.
En le disant plusieurs fois avant le derby, Ludovic Magnin a aussi alimenté la théorie, et il aurait été difficile de lui donner tort. L’entraîneur vaudois l’a rappelé après la défaite de samedi: «Nous sommes en construction, a-t-il répété. Je n’ai pas de honte à reconnaître que nous sommes actuellement derrière Servette. Il nous manque par exemple cette roublardise. Nous avons joué un club qui battait Chelsea il y a quelques semaines. C’est à nous de combler ce retard.»
La tâche incombe à Magnin. Au directeur sportif Stéphane Henchoz, aussi, qui a assisté à la partie du haut des tribunes, sans vraiment broncher. À considérer ce qu’il faut à cette équipe pour mûrir, devenir plus compétitive. Aussi plus constante. Même si un vécu commun, pour une équipe de la dimension du LS, cela n’a pas de prix.
Les limites tactiques
Il y a qu’un seul LS, mais plusieurs adversaires. C’est souvent cette adversité qui définit ce que peut produire ce LS. Parce qu’il faut bien constater que Ludovic Magnin change peu. Il a certes reconduit Alban Ajdini à la place de Kaly Sène à la pointe de l’attaque samedi, mais l’idée ne changeait pas fondamentalement. Le système, aussi, varie peu, et c’est généralement le positionnement d’Alvyn Sanches qui le rapproche plus d’un 4-4-2 ou d’un 4-3-3.
Autrement dit, Magnin agit essentiellement au travers de ses choix de joueurs, plus que dans la façon de les animer. Quand Lausanne est limité dans son idée d’approche rythmée, avec et sans ballon, il a beaucoup moins de réponses à apporter. Une limite qui, comme les autres, dit autant le retard que la marge de progression. Question de perception.
Le synthétique se retourne contre le LS
L’excuse est facile. Il ne s’agit pas de lui donner du crédit. Simplement de conférer une certaine légitimité à l’explication. La pelouse de la Praille, fragile depuis plusieurs semaines, abîmée par un match de Ligue des champions féminine (Servette-Roma jeudi) et rendue extrêmement lourde par la pluie tombée les jours précédant le match a transformé le derby en calvaire pour le LS.
«Sur un terrain comme celui-ci, aussi profond, avec des joueurs qui aiment les petits appuis, c’était difficile», reconnaissait Magnin. Le problème n’est pas nouveau: Lausanne n’a jamais gagné à l’extérieur cette année, il a perdu ses quatre matches disputés sur l’herbe et pris un point sur le synthétique du Wankdorf, qui lui rappelait forcément le sien.
Ce qu’il faut comprendre? L’avantage que le LS a chez lui, à la Tuilière, se retourne un peu contre lui à l’extérieur. Une question d’habitude.
Aussi parce que Magnin et Henchoz ont construit leur effectif pour être performant sur synthétique: «On a recruté des joueurs qui un profil plus conforme pour cette surface-là, sachant qu’on y joue 50% des matches, a souligné l’entraîneur du Lausanne-Sport. En Challenge League, on avait moins de problèmes, parce qu’il y avait plus d’équipes qui jouaient sur synthétique.»
Là aussi, c’est une limite du LS. Une autre. L’adaptabilité, cela fait partie du jeu. Et à considérer qu’il est autorisé de disposer d’une pelouse artificielle en Super League, cela concerne tout le monde. À Lausanne, maintenant, de moins subir cette donnée.VSC
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le FC Lausanne-Sport s’incline finalement sur la plus petite des marges. Les Vaudois auront à cœur de se racheter samedi prochain, lors de leur déplacement au Swissporarena pour y affronter le FC Lucerne.
Enfumage...........
Enfumage...........
TKP1- Date d'inscription : 16/06/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Vincent Steinmann à M le Media
https://youtu.be/AYkJP-WQ4hs?si=5z-383X_BG-7pZUJ
https://youtu.be/AYkJP-WQ4hs?si=5z-383X_BG-7pZUJ
LsLover- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 26/09/2017
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/football-lausanne-a-un-vrai-probleme-d-herbe-103194336
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
dudu a écrit:https://www.lematin.ch/story/football-lausanne-a-un-vrai-probleme-d-herbe-103194336
Mais comment on OSE nous communiquer un truc pareil comme "excuse" ?
C'est du BULLSHIT ! On paie un staff technique pourquoi ?C'est effrayant. Aucune remise en question. C'est jamais de leur faute.
Par contre : Servette est meilleur, on sait pas jouer sur l'herbe, on a pas de chances avec les blessés, notre président est aux abonnés absent...
Suis je seul à arriver à saturation ?
voxpopuli- Date d'inscription : 19/02/2017
mic, El Lutin, kok9, Nataniel, TKP1, Cc1974, Bufif et aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Complétement con, oui, même sur le fond : 50% des matchs sur synthé, ça veut dire 50% des matchs sur herbette.voxpopuli a écrit:dudu a écrit:https://www.lematin.ch/story/football-lausanne-a-un-vrai-probleme-d-herbe-103194336
Mais comment on OSE nous communiquer un truc pareil comme "excuse" ?
C'est du BULLSHIT ! On paie un staff technique pourquoi ?C'est effrayant. Aucune remise en question. C'est jamais de leur faute.
Par contre : Servette est meilleur, on sait pas jouer sur l'herbe, on a pas de chances avec les blessés, notre président est aux abonnés absent...
Suis je seul à arriver à saturation ?
Faut juste construire une équipe pour gagner.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
voxpopuli aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
voxpopuli a écrit:dudu a écrit:https://www.lematin.ch/story/football-lausanne-a-un-vrai-probleme-d-herbe-103194336
Mais comment on OSE nous communiquer un truc pareil comme "excuse" ?
C'est du BULLSHIT ! On paie un staff technique pourquoi ?C'est effrayant. Aucune remise en question. C'est jamais de leur faute.
Par contre : Servette est meilleur, on sait pas jouer sur l'herbe, on a pas de chances avec les blessés, notre président est aux abonnés absent...
Suis je seul à arriver à saturation ?
Et le : «On a déjà tout essayé. S'entraîner deux ou trois fois sur l'herbe avant les week-ends où on joue sur l'herbe, par exemple. On a déjà tout fait.» est juste intolérable...
Comment expliquer les lacunes actuels, si le staff a déjà TOUT FAIT-TOUT ESSAYÉ .... Et évidemment, ils ont tout fait et tout juste !
L'eau z'âne- Date d'inscription : 11/04/2024
Matt, voxpopuli, neLSon et Cc1974 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Succès virtuel
Lausanne-Sport et Servette rois des réseaux sociaux?
Un rapport controversé de la Swiss Football League montre que les deux clubs lémaniques sont d’excellents élèves sur les réseaux. Tendance positive, nuance nécessaire.
Florian Vaney
Le football suisse a de l’humour. La saison dernière, le tweet mettant en scène un club du championnat qui a généré le plus d’engagement est un exemple d’autodérision. «Pas de but en octobre, pas de but du mois», publiait en début d’exercice le FC Bâle. Le club rhénan se trouvait alors en pleine tourmente sportive et son concept de proposer à ses suiveurs d’élire la plus belle réussite du mois en prenait un coup. Sur X, le post était vu plus de 4 millions de fois, par des internautes tantôt résignés, tantôt morts de rire.
À en croire un rapport demandé par la Swiss Football League et réalisé par la société Nielsen, rien d’étonnant à voir le FC Bâle animer la Toile comme personne d’autre en Suisse. Le bilan démontre que les «Rotblau» génèrent à eux seuls 27% des publications sur les réseaux sociaux mentionnant un club de première division. Derrière le géant bâlois, deux clubs: le Lausanne-Sport et Servette.
Servette No 1 selon lui
Avant de se réjouir pour eux, il faut relever le biais sur lequel semble se reposer le rapport. Ne sont pris en compte uniquement les posts contenant certains hashtags, généralement le nom des clubs ou l’abréviation SFL. «Il y a deux ans, un duel entre notre joueur Enzo Crivelli et un défenseur de Zurich avait été vu plus de 55 millions de fois sur nos réseaux. Mais puisqu’il ne contenait pas les bons hashtags, il n’a pas été pris en compte dans le rapport de l’an dernier», détaille Loïc Luscher, responsable communication de Servette.
De cette précision peut naître une (grosse) différence avec la réalité. Selon les chiffres qu’ils utilisent, issus de la plateforme d’analyse de données Blinkfire, les Servettiens sont en tête du classement suisse en matière d’engagement créé sur les différents réseaux sociaux. Là où le Lausanne-Sport ne serait que 8e. Là encore, le panorama est incomplet, puisqu’il ne prend en compte que les publications misent en ligne par les clubs eux-mêmes. Et non, par exemple, celles de leurs fans.
Le LS rajeunit
Du flou émergent néanmoins certaines tendances. Servette, qui emploie trois à quatre personnes pour gérer son contenu, est un exemple. Souvent copié ces dernières années. Le FC Bâle est bel et bien un mastodonte, qui jouit d’une immense communauté virtuelle. Malgré son règne sportif et ses affiches européennes de rêve, Young Boys déçoit globalement sur la Toile. Quant au LS, il fait parler de lui bien plus que ce que pourrait suggérer son parcours sportif, dépourvu de Coupe d’Europe et de grands succès sportifs depuis bien longtemps.
Vice-président du club, Vincent Steinmann glisse avec plaisir une statistique. «Lorsqu’on a quitté la Pontaise, la moyenne d’âge de notre public était de 54 ans. Aujourd’hui, on est passé en dessous de 40 ans.» Parce que la Tuilière offre un confort plus à même de plaire aux non-initiés. Et parce que, comme Servette, Lausanne sait ce qu’il a à gagner sur les réseaux en matière d’adhésion des jeunes.
Un business avant tout
C’est Loïc Luscher qui le dit: «Générer de l’engagement, c’est bien. Mais ensuite, il faut réussir à en faire quelque chose, à le convertir.» Autrement dit, créer du profit. En poussant les internautes à non seulement partager et liker les publications, mais surtout à s’offrir le dernier maillot ou un billet pour le prochain match. Les réseaux sociaux représentent un business avant tout. Qui a notamment poussé Servette à délaisser la production de certains contenus divertissants de qualité jugés trop chronophages pour se concentrer sur des formats plus courts et ciblés.
«À travers nos réseaux, on peut viser certains groupes de personnes. Lausanne compte 30’000 universitaires. Le canton de Vaud, c’est 33’000 footballeuses et footballeurs licenciés. Ce sont des publics qui peuvent très vite remplir la Tuilière, si on sait comment les attirer au stade», pointe Vincent Steinmann. Trouver la publication qui fait mouche peut aider.
La saison passée, le Lausanne-Sport a tapé dans le mille lorsque, pour son premier match, le talentueux Simone Pafundi a réussi un soyeux petit pont à mi-terrain. Verdict des réseaux: près de 100’000 likes sur la publication Instagram de la scène. «Ce genre d’épisode, ce sont les paillettes. C’est bien les paillettes, mais si ce qui se trouve en dessous ne tient pas la route, ça ne sert à rien. Parce qu’au fond, un buzz sur internet a une durée de vie de quelques heures, un jour tout au plus. Ce n’est pas là-dessus qu’on peut baser une stratégie», estime le dirigeant vaudois.
Être un bon élève sur les réseaux sociaux vaut surtout comme un argument pour soigner son image de marque. Que celle-ci soit un «LS» bleu sur fond blanc ou un «S» blanc sur fond grenat. «Et une marque, ce n’est pas juste une première équipe, reprend Vincent Steinmann. C’est une identité, des valeurs, une culture. C’est à cet ensemble qu’un partenaire, par exemple, s’identifie quand il rejoint notre aventure.» Au bout du compte, la séduction est souvent plus facile lorsque la marque est cool auprès des jeunes. Au bord du Léman, on l’a bien compris.
L’avant-match-
Lucerne - Lausanne, samedi 18 h
Places à prendre Avec un peu plus de réussite, Karim Sow pourrait être le meilleur buteur du Lausanne-Sport. Ça, c’est dans un monde où les hors-jeux et les barres transversales ne mettent pas de bâton dans les roues du défenseur central. Même s’il n’est pas irréprochable, le jeune homme d’Estavayer est un exemple pour une chose depuis son entrée dans le onze du LS: Ludovic Magnin lui a offert sa chance, il la saisit. Avec les blessures de Custodio et de Bernède, en plus de la suspension samedi de Dussenne, il existe nombre de places à prendre dans l’effectif bleu et blanc en ce moment. Certains doivent en profiter, il en va de la santé sportive du club à court terme.
Dans le dur Lausanne n’a pas su construire sur la victoire obtenue face à Yverdon. Il y a eu depuis ce derby perdu et mal géré contre Servette, qui ajoute une couche: le LS traverse une phase difficile. Le déplacement du week-end, face au leader provisoire, s’annonce délicat.
Lausanne-Sport et Servette rois des réseaux sociaux?
Un rapport controversé de la Swiss Football League montre que les deux clubs lémaniques sont d’excellents élèves sur les réseaux. Tendance positive, nuance nécessaire.
Florian Vaney
Le football suisse a de l’humour. La saison dernière, le tweet mettant en scène un club du championnat qui a généré le plus d’engagement est un exemple d’autodérision. «Pas de but en octobre, pas de but du mois», publiait en début d’exercice le FC Bâle. Le club rhénan se trouvait alors en pleine tourmente sportive et son concept de proposer à ses suiveurs d’élire la plus belle réussite du mois en prenait un coup. Sur X, le post était vu plus de 4 millions de fois, par des internautes tantôt résignés, tantôt morts de rire.
À en croire un rapport demandé par la Swiss Football League et réalisé par la société Nielsen, rien d’étonnant à voir le FC Bâle animer la Toile comme personne d’autre en Suisse. Le bilan démontre que les «Rotblau» génèrent à eux seuls 27% des publications sur les réseaux sociaux mentionnant un club de première division. Derrière le géant bâlois, deux clubs: le Lausanne-Sport et Servette.
Servette No 1 selon lui
Avant de se réjouir pour eux, il faut relever le biais sur lequel semble se reposer le rapport. Ne sont pris en compte uniquement les posts contenant certains hashtags, généralement le nom des clubs ou l’abréviation SFL. «Il y a deux ans, un duel entre notre joueur Enzo Crivelli et un défenseur de Zurich avait été vu plus de 55 millions de fois sur nos réseaux. Mais puisqu’il ne contenait pas les bons hashtags, il n’a pas été pris en compte dans le rapport de l’an dernier», détaille Loïc Luscher, responsable communication de Servette.
De cette précision peut naître une (grosse) différence avec la réalité. Selon les chiffres qu’ils utilisent, issus de la plateforme d’analyse de données Blinkfire, les Servettiens sont en tête du classement suisse en matière d’engagement créé sur les différents réseaux sociaux. Là où le Lausanne-Sport ne serait que 8e. Là encore, le panorama est incomplet, puisqu’il ne prend en compte que les publications misent en ligne par les clubs eux-mêmes. Et non, par exemple, celles de leurs fans.
Le LS rajeunit
Du flou émergent néanmoins certaines tendances. Servette, qui emploie trois à quatre personnes pour gérer son contenu, est un exemple. Souvent copié ces dernières années. Le FC Bâle est bel et bien un mastodonte, qui jouit d’une immense communauté virtuelle. Malgré son règne sportif et ses affiches européennes de rêve, Young Boys déçoit globalement sur la Toile. Quant au LS, il fait parler de lui bien plus que ce que pourrait suggérer son parcours sportif, dépourvu de Coupe d’Europe et de grands succès sportifs depuis bien longtemps.
Vice-président du club, Vincent Steinmann glisse avec plaisir une statistique. «Lorsqu’on a quitté la Pontaise, la moyenne d’âge de notre public était de 54 ans. Aujourd’hui, on est passé en dessous de 40 ans.» Parce que la Tuilière offre un confort plus à même de plaire aux non-initiés. Et parce que, comme Servette, Lausanne sait ce qu’il a à gagner sur les réseaux en matière d’adhésion des jeunes.
Un business avant tout
C’est Loïc Luscher qui le dit: «Générer de l’engagement, c’est bien. Mais ensuite, il faut réussir à en faire quelque chose, à le convertir.» Autrement dit, créer du profit. En poussant les internautes à non seulement partager et liker les publications, mais surtout à s’offrir le dernier maillot ou un billet pour le prochain match. Les réseaux sociaux représentent un business avant tout. Qui a notamment poussé Servette à délaisser la production de certains contenus divertissants de qualité jugés trop chronophages pour se concentrer sur des formats plus courts et ciblés.
«À travers nos réseaux, on peut viser certains groupes de personnes. Lausanne compte 30’000 universitaires. Le canton de Vaud, c’est 33’000 footballeuses et footballeurs licenciés. Ce sont des publics qui peuvent très vite remplir la Tuilière, si on sait comment les attirer au stade», pointe Vincent Steinmann. Trouver la publication qui fait mouche peut aider.
La saison passée, le Lausanne-Sport a tapé dans le mille lorsque, pour son premier match, le talentueux Simone Pafundi a réussi un soyeux petit pont à mi-terrain. Verdict des réseaux: près de 100’000 likes sur la publication Instagram de la scène. «Ce genre d’épisode, ce sont les paillettes. C’est bien les paillettes, mais si ce qui se trouve en dessous ne tient pas la route, ça ne sert à rien. Parce qu’au fond, un buzz sur internet a une durée de vie de quelques heures, un jour tout au plus. Ce n’est pas là-dessus qu’on peut baser une stratégie», estime le dirigeant vaudois.
Être un bon élève sur les réseaux sociaux vaut surtout comme un argument pour soigner son image de marque. Que celle-ci soit un «LS» bleu sur fond blanc ou un «S» blanc sur fond grenat. «Et une marque, ce n’est pas juste une première équipe, reprend Vincent Steinmann. C’est une identité, des valeurs, une culture. C’est à cet ensemble qu’un partenaire, par exemple, s’identifie quand il rejoint notre aventure.» Au bout du compte, la séduction est souvent plus facile lorsque la marque est cool auprès des jeunes. Au bord du Léman, on l’a bien compris.
L’avant-match-
Lucerne - Lausanne, samedi 18 h
Places à prendre Avec un peu plus de réussite, Karim Sow pourrait être le meilleur buteur du Lausanne-Sport. Ça, c’est dans un monde où les hors-jeux et les barres transversales ne mettent pas de bâton dans les roues du défenseur central. Même s’il n’est pas irréprochable, le jeune homme d’Estavayer est un exemple pour une chose depuis son entrée dans le onze du LS: Ludovic Magnin lui a offert sa chance, il la saisit. Avec les blessures de Custodio et de Bernède, en plus de la suspension samedi de Dussenne, il existe nombre de places à prendre dans l’effectif bleu et blanc en ce moment. Certains doivent en profiter, il en va de la santé sportive du club à court terme.
Dans le dur Lausanne n’a pas su construire sur la victoire obtenue face à Yverdon. Il y a eu depuis ce derby perdu et mal géré contre Servette, qui ajoute une couche: le LS traverse une phase difficile. Le déplacement du week-end, face au leader provisoire, s’annonce délicat.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
J'aimerai mieux que le LS soit le Roi sur le terrain, on en est à des années lumières, hélas. Merci pour vos commentaires Vincent Steinmann, cela fait vraiment envie de se déplacer à la Tuilière !!! On va tourner en rond jusqu'à quand ???
TKP1- Date d'inscription : 16/06/2022
dudu, Matt et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Enfin rétabli, Simone Pafundi joue son avenir au Lausanne-Sport
https://lematin.ch/story/football-enfin-retabli-simone-pafundi-joue-son-avenir-au-lausanne-sport-103197202
https://lematin.ch/story/football-enfin-retabli-simone-pafundi-joue-son-avenir-au-lausanne-sport-103197202
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Après le match nul à Lucerne
Au Lausanne-Sport, tout le monde veut prendre sa place
Les blessures et les résultats décevants du LS ouvrent des portes aux viennent-ensuite de l’effectif vaudois. Qui saura en profiter?
Florian Vaney
Oui, Alvyn Sanches aurait dû être expulsé après une demi-heure samedi. Et ça aurait été doublement dommage. En premier lieu parce que le Lausannois a réalisé un match à la hauteur de son talent à Lucerne (2-2). Le LS peut se réjouir d’avoir enfin retrouvé celui qu’il espère vendre plusieurs millions, sportivement tourmenté par ces chiffres et la pression qui lui a été associée lors du dernier mercato. En second lieu parce qu’une suspension du numéro 80 signifierait que Lausanne devrait composer sans les trois titulaires de son trio médian, après les blessures d’Antoine Bernede et d’Olivier Custodio. Ce qui aurait tout d’une très mauvaise blague.
Plus qu’une épine dans le pied, il y a là un challenge pour le Lausanne-Sport. Surtout pour ses joueurs, en fait. Parce que son club doit le mettre en valeur, Alvyn Sanches n’a pas nécessairement besoin de briller pour jouer. De ses performances découlera en revanche la qualité de son futur transfert. Autour de lui par contre, il existe un wagon de places à prendre en cette période délicate. Et nombre de Lausannois jouent en ce moment même leur avenir dans l’équipe.
Le premier à s’être mis en valeur samedi s’appelle Alban Ajdini. La gestion faite par Ludovic Magnin du cas de l’attaquant de pointe de l’équipe nous paraît très cohérente. L’entraîneur vaudois a affirmé et réaffirmé sa confiance en Kaly Sène. Parce qu’un numéro 9 a besoin de se sentir considéré et de savoir qu’il a le droit à l’erreur. Et parce qu’en dépit de ses statistiques, le Sénégalais peut se montrer incroyablement précieux dans le jeu.
Logiquement, il partait avec une longueur d’avance dans la hiérarchie en début de saison. Logiquement, il l’a conservée malgré des prestations individuelles décevantes. Et toujours logiquement, Alban Ajdini a fini par avoir droit à sa chance à force de constater que Kaly Sène ne remontait pas la pente. Une vraie chance, pas une simple apparition dans le onze. Samedi, Ajdini fêtait sa troisième titularisation consécutive. Dont il a profité pour inscrire son premier but en bleu et blanc en Super League. Fruit d’une gestion idéale.
Karim Sow, défenseur central, atout offensif
À Lucerne, et cela restera comme un regret, Lausanne a mené 2-0, avant de se faire rejoindre. Aurait-il dû mieux couvrir ses arrières et descendre son bloc défensif pour tenter de conserver cet avantage? Sans doute. Le fait est que la ligne défensive lausannoise s’est très souvent fait prendre dans son dos. La charnière Kevin Mouanga - Karim Sow, chacun lutte pour une place de titulaire à côté de Noë Dussenne (suspendu samedi), n’a pas vécu le match le plus évident. Ce qui doit aussi beaucoup à la tactique choisie.
Le second a l’avantage pour le moment, et il convient d’ajouter une ligne à son crédit, en dépit d’une certaine lenteur qui peut lui jouer des tours: Karim Sow se procure une grosse occasion par match. C’est le tarif. Le jeune homme d’Estavayer disait lui-même après sa première titularisation fin août ne pas être un spécialiste du jeu de tête en situation offensive. Il se plaît à finalement se découvrir un certain talent dans le domaine.
Le problème des latéraux
C’est peut-être grâce à la concurrence et à l’émulation qu’elle génère que le Lausanne-Sport se tirera de sa mauvaise passe. Le fait est que, de concurrence, il n’y en a pas à chaque poste. Ou alors en quantité, mais beaucoup moins en qualité. Cela ne pose pas nécessairement problème sur les ailes lorsque Teddy Okou et Fousséni Diabaté jouent au niveau qu’ils ont présenté samedi. Le premier avait d’ailleurs visiblement un message à faire passer à son ancien club.
En revanche, le LS risque de traîner comme un boulet son manque d’options sur les côtés de sa défense. Où les places à prendre semblent attribuées par défaut plus que par mérite. Il est difficile d’excuser Raoul Giger, titularisé pour la sixième fois de la saison à droite, lorsqu’il tente un grand pont sur son vis-à-vis en qualité de dernier défenseur. Sans un retour salvateur d’Alvyn Sanches, la bévue aurait coûté son point au Lausanne-Sport. Vraiment: heureusement que M. Tschudi ne l’a pas expulsé en première mi-temps.
Au Lausanne-Sport, tout le monde veut prendre sa place
Les blessures et les résultats décevants du LS ouvrent des portes aux viennent-ensuite de l’effectif vaudois. Qui saura en profiter?
Florian Vaney
Oui, Alvyn Sanches aurait dû être expulsé après une demi-heure samedi. Et ça aurait été doublement dommage. En premier lieu parce que le Lausannois a réalisé un match à la hauteur de son talent à Lucerne (2-2). Le LS peut se réjouir d’avoir enfin retrouvé celui qu’il espère vendre plusieurs millions, sportivement tourmenté par ces chiffres et la pression qui lui a été associée lors du dernier mercato. En second lieu parce qu’une suspension du numéro 80 signifierait que Lausanne devrait composer sans les trois titulaires de son trio médian, après les blessures d’Antoine Bernede et d’Olivier Custodio. Ce qui aurait tout d’une très mauvaise blague.
Plus qu’une épine dans le pied, il y a là un challenge pour le Lausanne-Sport. Surtout pour ses joueurs, en fait. Parce que son club doit le mettre en valeur, Alvyn Sanches n’a pas nécessairement besoin de briller pour jouer. De ses performances découlera en revanche la qualité de son futur transfert. Autour de lui par contre, il existe un wagon de places à prendre en cette période délicate. Et nombre de Lausannois jouent en ce moment même leur avenir dans l’équipe.
Le premier à s’être mis en valeur samedi s’appelle Alban Ajdini. La gestion faite par Ludovic Magnin du cas de l’attaquant de pointe de l’équipe nous paraît très cohérente. L’entraîneur vaudois a affirmé et réaffirmé sa confiance en Kaly Sène. Parce qu’un numéro 9 a besoin de se sentir considéré et de savoir qu’il a le droit à l’erreur. Et parce qu’en dépit de ses statistiques, le Sénégalais peut se montrer incroyablement précieux dans le jeu.
Logiquement, il partait avec une longueur d’avance dans la hiérarchie en début de saison. Logiquement, il l’a conservée malgré des prestations individuelles décevantes. Et toujours logiquement, Alban Ajdini a fini par avoir droit à sa chance à force de constater que Kaly Sène ne remontait pas la pente. Une vraie chance, pas une simple apparition dans le onze. Samedi, Ajdini fêtait sa troisième titularisation consécutive. Dont il a profité pour inscrire son premier but en bleu et blanc en Super League. Fruit d’une gestion idéale.
Karim Sow, défenseur central, atout offensif
À Lucerne, et cela restera comme un regret, Lausanne a mené 2-0, avant de se faire rejoindre. Aurait-il dû mieux couvrir ses arrières et descendre son bloc défensif pour tenter de conserver cet avantage? Sans doute. Le fait est que la ligne défensive lausannoise s’est très souvent fait prendre dans son dos. La charnière Kevin Mouanga - Karim Sow, chacun lutte pour une place de titulaire à côté de Noë Dussenne (suspendu samedi), n’a pas vécu le match le plus évident. Ce qui doit aussi beaucoup à la tactique choisie.
Le second a l’avantage pour le moment, et il convient d’ajouter une ligne à son crédit, en dépit d’une certaine lenteur qui peut lui jouer des tours: Karim Sow se procure une grosse occasion par match. C’est le tarif. Le jeune homme d’Estavayer disait lui-même après sa première titularisation fin août ne pas être un spécialiste du jeu de tête en situation offensive. Il se plaît à finalement se découvrir un certain talent dans le domaine.
Le problème des latéraux
C’est peut-être grâce à la concurrence et à l’émulation qu’elle génère que le Lausanne-Sport se tirera de sa mauvaise passe. Le fait est que, de concurrence, il n’y en a pas à chaque poste. Ou alors en quantité, mais beaucoup moins en qualité. Cela ne pose pas nécessairement problème sur les ailes lorsque Teddy Okou et Fousséni Diabaté jouent au niveau qu’ils ont présenté samedi. Le premier avait d’ailleurs visiblement un message à faire passer à son ancien club.
En revanche, le LS risque de traîner comme un boulet son manque d’options sur les côtés de sa défense. Où les places à prendre semblent attribuées par défaut plus que par mérite. Il est difficile d’excuser Raoul Giger, titularisé pour la sixième fois de la saison à droite, lorsqu’il tente un grand pont sur son vis-à-vis en qualité de dernier défenseur. Sans un retour salvateur d’Alvyn Sanches, la bévue aurait coûté son point au Lausanne-Sport. Vraiment: heureusement que M. Tschudi ne l’a pas expulsé en première mi-temps.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/deux-buts-en-trois-matches-le-retour-en-forme-dalvyn-sanches-doit-profiter-a-deux-equipes-id20204391.html
Alvyn Sanches
Alvyn Sanches
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/il-faut-agir-maintenant-lasf-tire-la-sonnette-dalarme-quant-a-lavenir-du-football-suisse-id20203402.html
Intéressant. Toute ressemblance avec LS....
Intéressant. Toute ressemblance avec LS....
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
kok9 a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/il-faut-agir-maintenant-lasf-tire-la-sonnette-dalarme-quant-a-lavenir-du-football-suisse-id20203402.html
Intéressant. Toute ressemblance avec LS....
Assez intéressant en effet, mais quand on voit que même un des meilleurs jeune d'Europe (Pafundi) ne se fait pas une place chez nous c'est inquiétant pour tous les autres jeunes.
Est ce qu'il faudrait avoir l'obligation de faire jouer 2 M21 à chaque match?
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
lausarme a écrit:kok9 a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/il-faut-agir-maintenant-lasf-tire-la-sonnette-dalarme-quant-a-lavenir-du-football-suisse-id20203402.html
Intéressant. Toute ressemblance avec LS....
Assez intéressant en effet, mais quand on voit que même un des meilleurs jeune d'Europe (Pafundi) ne se fait pas une place chez nous c'est inquiétant pour tous les autres jeunes.
Est ce qu'il faudrait avoir l'obligation de faire jouer 2 M21 à chaque match?
La faute à Magnin qui ne fait pas assez de changement, si Pafundi avait pu jouer plus, je suis sur qu'il aurait pu rester 6 mois de plus en prêt.
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
dudu a écrit:lausarme a écrit:kok9 a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/il-faut-agir-maintenant-lasf-tire-la-sonnette-dalarme-quant-a-lavenir-du-football-suisse-id20203402.html
Intéressant. Toute ressemblance avec LS....
Assez intéressant en effet, mais quand on voit que même un des meilleurs jeune d'Europe (Pafundi) ne se fait pas une place chez nous c'est inquiétant pour tous les autres jeunes.
Est ce qu'il faudrait avoir l'obligation de faire jouer 2 M21 à chaque match?
La faute à Magnin qui ne fait pas assez de changement, si Pafundi avait pu jouer plus, je suis sur qu'il aurait pu rester 6 mois de plus en prêt.
Mais il s'est integré ,il a joué , il a fait l'Euro M21 et s'est blessé , il aurait pas où jouer plus
stefvs10- Date d'inscription : 17/12/2010
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Mais il était blessé , faut pas tout lui mettre dessus
stefvs10- Date d'inscription : 17/12/2010
fatpig et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Tout ça est magnifiquement moderne et semble issu d'un cours de management.
En poussant un peu, plus besoin de première équipe, terriblement dispendieuse, mais juste d'une académie (écurie / élevage) avec des journées de vente spéciales lorsqu'une génération arrive à maturité (d'ici là, le Mercato ça sera toute l'année), des soldes et des multipacks pour les invendus et la poubelle pour le reste.
LS n'en est pas encore là, mais :
Une partie des M21 est composées de joueurs qui ne proviennent déjà pas de la région étendue, mais sont clairement des placements. La première équipe a un budget qui doit d'équilibrer avec les transferts, donc ne rien coûter. Pas d'ambition sportive (à moins qu'être dans le groupe "du haut" en soit une).
Après, c'est bien sûr une voie suivie pas d'autresentreprises clubs, à commencer par YS.
Mais au niveau de la SL, pas sûr que ça soit une fatalité (cf St-Gall ou Lucerne) pour présenter du joli foot et viser de temps en temps un podium.
En poussant un peu, plus besoin de première équipe, terriblement dispendieuse, mais juste d'une académie (écurie / élevage) avec des journées de vente spéciales lorsqu'une génération arrive à maturité (d'ici là, le Mercato ça sera toute l'année), des soldes et des multipacks pour les invendus et la poubelle pour le reste.
LS n'en est pas encore là, mais :
Une partie des M21 est composées de joueurs qui ne proviennent déjà pas de la région étendue, mais sont clairement des placements. La première équipe a un budget qui doit d'équilibrer avec les transferts, donc ne rien coûter. Pas d'ambition sportive (à moins qu'être dans le groupe "du haut" en soit une).
Après, c'est bien sûr une voie suivie pas d'autres
Mais au niveau de la SL, pas sûr que ça soit une fatalité (cf St-Gall ou Lucerne) pour présenter du joli foot et viser de temps en temps un podium.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
fatpig et LSsport81 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/coup-de-tonnerre-a-old-trafford-ineos-et-manchester-united-virent-alex-ferguson-id20227716.html
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Il n'est pas devenu milliardaire pour rien.lausarme a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/coup-de-tonnerre-a-old-trafford-ineos-et-manchester-united-virent-alex-ferguson-id20227716.html
Définitivement rien à attendre de ce type.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
dudu aime ce message
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