Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Parcontre on mange très bien au Lstadio
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
dudu, mic, Old School, Fabienne, lausarme et Le Vaudois aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Jamais eu de problème avec les nuggets ou les frites en C.
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
De même en C, service rapide. Et les hotdog, hamburger ou dernièrement pasta box au pesto étaient satisfaisants. En tout cas bien meilleur qu'au McDo pour le burger !
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Moi aussi satisfaisant en C. On arrive à avoir une bière très rapidement avec les stands supplémentaires.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Les buvettes sont pas mal (rien à dire contre les frites, p.ex.), mais c’est vrai que les saucisses, ça va pas, on a l’impression qu’elles sont bouillies plutôt que grillées (peut-être que le club se préoccupe de la santé des spectateurs..). Peut-être faudrait-il prévoir un tifo qui demande des saucisses grillées (et, accessoirement, des résultats)?
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Old School, Matt, kok9 et Cc1974 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
fatpig a écrit:Les buvettes sont pas mal (rien à dire contre les frites, p.ex.), mais c’est vrai que les saucisses, ça va pas, on a l’impression qu’elles sont bouillies plutôt que grillées (peut-être que le club se préoccupe de la santé des spectateurs..). Peut-être faudrait-il prévoir un tifo qui demande des saucisses grillées (et, accessoirement, des résultats)?
Mange-gazon IV- Date d'inscription : 01/01/2021
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.footnews.be/news/390590/une-aventure-qui-tourne-deja-petit-a-petit-au-vinaigre-pour-dussenne
Rolls- Date d'inscription : 13/08/2020
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Rolls a écrit:https://www.footnews.be/news/390590/une-aventure-qui-tourne-deja-petit-a-petit-au-vinaigre-pour-dussenne
Le titre putaclic à 2 balles, je pense que niveau personnel il doit pas être malheureux et ils sont même pas foutus de dire qu'il est le seul à surnager. Les types se basent juste sur le classement, du grand journalisme
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Scoopex aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24h de ce jour.
Pourquoi le LS ne cesse-t-il de décevoir ses supporters?
Cinq personnalités qui portent le Lausanne-Sport dans leur cœur évoquent leur déception de le voir à nouveau en souffrance alors qu'il a tout pour bien faire.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 11h09
Un éternel recommencement. Depuis 2003 et sa renaissance, le Lausanne-Sport ne parvient plus à retrouver le statut qui était le sien avant cette douloureuse faillite. Une succession de petits hauts et de profonds bas que ses supporters pouvaient comprendre lorsque Jeff Collet puis Alain Joseph s'escrimaient avec des moyens limités.
Mais ce même manque de constance que connaît le LS depuis novembre 2017 et l'arrivée d'Ineos, son nouveau et puissant propriétaire, est plus difficile à accepter. D'autant plus que le géant de la pétrochimie s'est montré plutôt généreux en injectant plusieurs dizaines de millions, dans le stade d'abord puis pour permettre à son club d'augmenter de façon conséquente son budget.
Après avoir vécu deux traumatisantes relégations en cinq ans, les fidèles de la Tuilière pouvaient espérer qu'Ineos avait su tirer les bonnes leçons des échecs passés. À voir le classement après neuf rondes, il n'en est apparemment rien puisque le LS occupe la dernière place du classement, à dix points d'Yverdon et à trois du SLO. Deux rivaux cantonaux dont les budgets et les ambitions sont bien plus modestes que ceux du LS.
Pour nous rendre compte de l'humeur de ceux qui aiment et soutiennent le club, nous avons demandé leur avis à cinq personnalités vaudoises qui partagent leur souffrance et leurs espoirs.
Alain Joseph, ancien propriétaire et président du LS
«Émotionnellement, ce début de saison est le pire scénario imaginable avec cette dernière place, loin d’Yverdon et même derrière le SLO. Et cela même si je reconnais avoir plus de plaisir à venir au stade que la saison passée et que presque toutes ces défaites n’ont été que d’un but.
Malgré ça, je ne peux m’empêcher de repenser à ce qui est arrivé à Xamax l’an dernier. Lui aussi perdait ses matches de justesse, mais il n’a ensuite jamais réussi à relever la tête.
Cela dit, sur le contenu, le LS n’est vraiment pas loin d’inverser la tendance. Peut-être lui manque-t-il un peu de réussite et de détermination, mais les deux choses ne sont-elles pas liées? Sinon je me demande toujours qui est, dans le club, ce vrai patron qui peut accompagner Magnin. Je n’en vois aucun capable de taper parfois du poing sur la table et d’inciter le coach à se remettre en question.
Je me rends aussi bien compte qu’il était impossible de retenir Brown et Baldé cet été. Mais je pense que le club aurait pu mieux anticiper des départs qui étaient envisageables.
Comme je ne comprends toujours pas quel est le projet d’Ineos. Le propriétaire est en place depuis six ans déjà et j’ai la désagréable impression que la sauce n’a toujours pas pris malgré ce superbe stade et des investissements conséquents. Selon moi, il manque encore une vraie ligne directrice, une philosophie reconnaissable pour que le club décolle.»
Gabet Chapuisat, ancien joueur du LS, entraîneur et consultant
«Sur le plan comptable, le parcours du LS est jusque-là très décevant même s’il est juste de reconnaître qu’avec un brin de réussite supplémentaire, il aurait très bien pu compter le double de points à l’heure actuelle.
Dommage car j’ai beaucoup aimé la façon de jouer haut sur le terrain et un peu plus agressive qu’a eue l’équipe lors de ses premières sorties, cette saison. Mais pour que ça fonctionne, il aurait fallu encaisser moins de buts et en marquer davantage. Et surtout avoir cette capacité de «tuer» les matches.
Dans cet ordre d’idées, le départ abrupt de Baldé a été une lourde perte. Malgré cette entame ratée, je ne suis pas vraiment en souci. À condition de réagir vite et bien pour repartir sur de nouvelles bases dès dimanche. Avec Ludovic Magnin à la barre. Envisager de changer de coach me semble prématuré.
Pour ce qui concerne ces nets fléchissements après la pause, je pense que le problème est plus mental que physique. Maintenant, pour obtenir ces victoires qui seules peuvent redonner confiance au groupe, serrer les boulons défensivement me semble être la solution la plus adéquate. Puis, offensivement, faire confiance à Sène et Labeau, qui sont des joueurs à l’aise en contre. Et puis il nous reste encore 27 matches pour terminer le championnat devant SLO et Yverdon, non?»
Daniel Guex, supporter et sponsor du LS
«En tant que supporter et partenaire du club, je suis bien entendu déçu de ce début de saison. D’autant plus que le LS a tout pour bien faire avec un propriétaire solide – qui a d’ailleurs déjà investi beaucoup d’argent – et un stade magnifique. Donc assez de moyens pour, en tout cas, mieux réussir en Super League qu’Yverdon et le SLO, un club au budget limité, qui jouait encore en 2e ligue inter il y a dix ans.
C’est pourquoi je me demande toujours quelle est la vraie place du LS dans l’esprit d’Ineos. Par la voix de son président, le propriétaire devrait, à mon avis, mieux communiquer sur son projet et ses intentions.
Sinon je m’étonne quand même qu’un club comme Yverdon – qui peut compter, sur le banc, sur un Marco Schällibaum qui doit être une sorte de David Copperfield du football – réussisse beaucoup mieux sa campagne de transferts que le LS où seuls Letica et Dussenne apparaissent comme de vrais renforts aujourd’hui. Et je me demande pourquoi des joueurs récemment arrivés, comme Roche ou Poaty, ne jouent jamais ou presque.
Maintenant, je reste quand même optimiste pour la suite, même s’il me semble urgent de dénicher enfin ce directeur sportif à même de challenger Ludovic Magnin. Afin de trouver avec lui les meilleures solutions pour redresser la barre.»
Eric Parisod, membre du Onze d'Or depuis 1990
«Je n’ai plus l’âge d’être en colère mais seulement d’être très déçu. Comme je l’étais d’ailleurs déjà la saison passée, où nous avons été promus à la raclette en proposant un spectacle médiocre.
Je ne critique pas Ineos – celui qui paie décide – mais je m’interroge quand même sur certains des choix opérés par le propriétaire. Sur celui de nommer Ludovic Magnin à la tête de cette équipe surtout. Je ne critique pas l’homme, que je ne connais d’ailleurs pas, mais le technicien, qui, à mon avis, n’est pas à la hauteur de la tâche qu’on lui a confiée.
Je suis un fidèle du LS, qui accompagne le club depuis 1967, et mon expérience me dit que ce coach n’a pas de plan de jeu. Sur le terrain, je ne sens aucune cohésion entre des joueurs qui ne donnent pas l'impression d'écouter leur coach. C'est d’autant plus étonnant et grave que M. Magnin a pu, chose très rare, choisir tous les joueurs qui travaillent avec lui.
À cela vient s'ajouter une condition physique déficiente. Même si, j’imagine, ce n’est pas lui qui prépare l’équipe à ce niveau, il en est responsable en tant qu’entraîneur. Le problème, c’est que j’ai l’impression que le président boit les paroles de son coach et lui a fait jusque-là beaucoup trop confiance. C’est d’autant plus regrettable qu’un extraordinaire boulot est accompli au niveau du marketing, mais qu'il n’est pas valorisé par les résultats.»
Marco Reymond, membre du comité de la Confrérie et fondateur du Club des 30
«Comme beaucoup de monde, je suis déçu des résultats. Il y a trois mois, jamais je n’aurais imaginé voir le LS en dernière position – avec de surcroît dix points de retard sur Yverdon – mais plutôt vers le milieu du classement, comme le club l’avait d'ailleurs annoncé en juillet.
Je me sens d’autant plus mal qu’en tant que patron de bistrot, je constate que les gens parlent beaucoup du LS, que ce club les intéresse bien davantage qu’il y a une dizaine d’années. En bonne partie grâce à ce superbe stade et à l’excellent travail effectué en amont des matches par l’équipe marketing. C’est vraiment dommage que ces efforts ne soient pas accompagnés par le succès sportif, l’élément le plus important.
Maintenant, je sens une inquiétude générale – que je ne partage pas totalement – due aux traumatismes causés par les deux récentes relégations. Quant à savoir ce qu’il faut faire pour redresser la barre, je ne me sens pas légitime pour donner des conseils. Cela dit, il manque peut-être un directeur sportif, capable d'épauler Ludovic Magnin. Ce ne serait à mon avis pas superflu.
Quoi qu’il en soit, je reste persuadé que cette équipe a du potentiel et qu’elle finira bien par réussir à le montrer. Et que le LS finira devant SLO et Yverdon. Notre honneur est en jeu!»
Pourquoi le LS ne cesse-t-il de décevoir ses supporters?
Cinq personnalités qui portent le Lausanne-Sport dans leur cœur évoquent leur déception de le voir à nouveau en souffrance alors qu'il a tout pour bien faire.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 11h09
Un éternel recommencement. Depuis 2003 et sa renaissance, le Lausanne-Sport ne parvient plus à retrouver le statut qui était le sien avant cette douloureuse faillite. Une succession de petits hauts et de profonds bas que ses supporters pouvaient comprendre lorsque Jeff Collet puis Alain Joseph s'escrimaient avec des moyens limités.
Mais ce même manque de constance que connaît le LS depuis novembre 2017 et l'arrivée d'Ineos, son nouveau et puissant propriétaire, est plus difficile à accepter. D'autant plus que le géant de la pétrochimie s'est montré plutôt généreux en injectant plusieurs dizaines de millions, dans le stade d'abord puis pour permettre à son club d'augmenter de façon conséquente son budget.
Après avoir vécu deux traumatisantes relégations en cinq ans, les fidèles de la Tuilière pouvaient espérer qu'Ineos avait su tirer les bonnes leçons des échecs passés. À voir le classement après neuf rondes, il n'en est apparemment rien puisque le LS occupe la dernière place du classement, à dix points d'Yverdon et à trois du SLO. Deux rivaux cantonaux dont les budgets et les ambitions sont bien plus modestes que ceux du LS.
Pour nous rendre compte de l'humeur de ceux qui aiment et soutiennent le club, nous avons demandé leur avis à cinq personnalités vaudoises qui partagent leur souffrance et leurs espoirs.
Alain Joseph, ancien propriétaire et président du LS
«Émotionnellement, ce début de saison est le pire scénario imaginable avec cette dernière place, loin d’Yverdon et même derrière le SLO. Et cela même si je reconnais avoir plus de plaisir à venir au stade que la saison passée et que presque toutes ces défaites n’ont été que d’un but.
Malgré ça, je ne peux m’empêcher de repenser à ce qui est arrivé à Xamax l’an dernier. Lui aussi perdait ses matches de justesse, mais il n’a ensuite jamais réussi à relever la tête.
Cela dit, sur le contenu, le LS n’est vraiment pas loin d’inverser la tendance. Peut-être lui manque-t-il un peu de réussite et de détermination, mais les deux choses ne sont-elles pas liées? Sinon je me demande toujours qui est, dans le club, ce vrai patron qui peut accompagner Magnin. Je n’en vois aucun capable de taper parfois du poing sur la table et d’inciter le coach à se remettre en question.
Je me rends aussi bien compte qu’il était impossible de retenir Brown et Baldé cet été. Mais je pense que le club aurait pu mieux anticiper des départs qui étaient envisageables.
Comme je ne comprends toujours pas quel est le projet d’Ineos. Le propriétaire est en place depuis six ans déjà et j’ai la désagréable impression que la sauce n’a toujours pas pris malgré ce superbe stade et des investissements conséquents. Selon moi, il manque encore une vraie ligne directrice, une philosophie reconnaissable pour que le club décolle.»
Gabet Chapuisat, ancien joueur du LS, entraîneur et consultant
«Sur le plan comptable, le parcours du LS est jusque-là très décevant même s’il est juste de reconnaître qu’avec un brin de réussite supplémentaire, il aurait très bien pu compter le double de points à l’heure actuelle.
Dommage car j’ai beaucoup aimé la façon de jouer haut sur le terrain et un peu plus agressive qu’a eue l’équipe lors de ses premières sorties, cette saison. Mais pour que ça fonctionne, il aurait fallu encaisser moins de buts et en marquer davantage. Et surtout avoir cette capacité de «tuer» les matches.
Dans cet ordre d’idées, le départ abrupt de Baldé a été une lourde perte. Malgré cette entame ratée, je ne suis pas vraiment en souci. À condition de réagir vite et bien pour repartir sur de nouvelles bases dès dimanche. Avec Ludovic Magnin à la barre. Envisager de changer de coach me semble prématuré.
Pour ce qui concerne ces nets fléchissements après la pause, je pense que le problème est plus mental que physique. Maintenant, pour obtenir ces victoires qui seules peuvent redonner confiance au groupe, serrer les boulons défensivement me semble être la solution la plus adéquate. Puis, offensivement, faire confiance à Sène et Labeau, qui sont des joueurs à l’aise en contre. Et puis il nous reste encore 27 matches pour terminer le championnat devant SLO et Yverdon, non?»
Daniel Guex, supporter et sponsor du LS
«En tant que supporter et partenaire du club, je suis bien entendu déçu de ce début de saison. D’autant plus que le LS a tout pour bien faire avec un propriétaire solide – qui a d’ailleurs déjà investi beaucoup d’argent – et un stade magnifique. Donc assez de moyens pour, en tout cas, mieux réussir en Super League qu’Yverdon et le SLO, un club au budget limité, qui jouait encore en 2e ligue inter il y a dix ans.
C’est pourquoi je me demande toujours quelle est la vraie place du LS dans l’esprit d’Ineos. Par la voix de son président, le propriétaire devrait, à mon avis, mieux communiquer sur son projet et ses intentions.
Sinon je m’étonne quand même qu’un club comme Yverdon – qui peut compter, sur le banc, sur un Marco Schällibaum qui doit être une sorte de David Copperfield du football – réussisse beaucoup mieux sa campagne de transferts que le LS où seuls Letica et Dussenne apparaissent comme de vrais renforts aujourd’hui. Et je me demande pourquoi des joueurs récemment arrivés, comme Roche ou Poaty, ne jouent jamais ou presque.
Maintenant, je reste quand même optimiste pour la suite, même s’il me semble urgent de dénicher enfin ce directeur sportif à même de challenger Ludovic Magnin. Afin de trouver avec lui les meilleures solutions pour redresser la barre.»
Eric Parisod, membre du Onze d'Or depuis 1990
«Je n’ai plus l’âge d’être en colère mais seulement d’être très déçu. Comme je l’étais d’ailleurs déjà la saison passée, où nous avons été promus à la raclette en proposant un spectacle médiocre.
Je ne critique pas Ineos – celui qui paie décide – mais je m’interroge quand même sur certains des choix opérés par le propriétaire. Sur celui de nommer Ludovic Magnin à la tête de cette équipe surtout. Je ne critique pas l’homme, que je ne connais d’ailleurs pas, mais le technicien, qui, à mon avis, n’est pas à la hauteur de la tâche qu’on lui a confiée.
Je suis un fidèle du LS, qui accompagne le club depuis 1967, et mon expérience me dit que ce coach n’a pas de plan de jeu. Sur le terrain, je ne sens aucune cohésion entre des joueurs qui ne donnent pas l'impression d'écouter leur coach. C'est d’autant plus étonnant et grave que M. Magnin a pu, chose très rare, choisir tous les joueurs qui travaillent avec lui.
À cela vient s'ajouter une condition physique déficiente. Même si, j’imagine, ce n’est pas lui qui prépare l’équipe à ce niveau, il en est responsable en tant qu’entraîneur. Le problème, c’est que j’ai l’impression que le président boit les paroles de son coach et lui a fait jusque-là beaucoup trop confiance. C’est d’autant plus regrettable qu’un extraordinaire boulot est accompli au niveau du marketing, mais qu'il n’est pas valorisé par les résultats.»
Marco Reymond, membre du comité de la Confrérie et fondateur du Club des 30
«Comme beaucoup de monde, je suis déçu des résultats. Il y a trois mois, jamais je n’aurais imaginé voir le LS en dernière position – avec de surcroît dix points de retard sur Yverdon – mais plutôt vers le milieu du classement, comme le club l’avait d'ailleurs annoncé en juillet.
Je me sens d’autant plus mal qu’en tant que patron de bistrot, je constate que les gens parlent beaucoup du LS, que ce club les intéresse bien davantage qu’il y a une dizaine d’années. En bonne partie grâce à ce superbe stade et à l’excellent travail effectué en amont des matches par l’équipe marketing. C’est vraiment dommage que ces efforts ne soient pas accompagnés par le succès sportif, l’élément le plus important.
Maintenant, je sens une inquiétude générale – que je ne partage pas totalement – due aux traumatismes causés par les deux récentes relégations. Quant à savoir ce qu’il faut faire pour redresser la barre, je ne me sens pas légitime pour donner des conseils. Cela dit, il manque peut-être un directeur sportif, capable d'épauler Ludovic Magnin. Ce ne serait à mon avis pas superflu.
Quoi qu’il en soit, je reste persuadé que cette équipe a du potentiel et qu’elle finira bien par réussir à le montrer. Et que le LS finira devant SLO et Yverdon. Notre honneur est en jeu!»
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Dans 24h de ce jour, à propos de Kevin Martin (mais ça vaut aussi pour Thomas Castella (et c'est un spécialiste qui parle)) :
«Parce que mettre en concurrence deux gardiens, c'est la pire des erreurs à commettre. Vous voulez les insécuriser? Les pousser à trop en faire lors de leur prochaine apparition? Faites naître de la concurrence», réagit Thierry Barnerat
«Parce que mettre en concurrence deux gardiens, c'est la pire des erreurs à commettre. Vous voulez les insécuriser? Les pousser à trop en faire lors de leur prochaine apparition? Faites naître de la concurrence», réagit Thierry Barnerat
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
L absence de concurrence c est pas bon non plus.
Bon ça concerne pas le LS, Letica est clairement au dessus.
Bon ça concerne pas le LS, Letica est clairement au dessus.
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Mais quelle blague ce Marco Raymond sérieux le type passe plus de temps dans son bar à picoler et à se droguer dans les toilettes que de venir au match...
Venir 2x par saison au stade et te bourrer la gueule avec Steinmann dans leur loge ne fait pas de toi un fidèle mon coco!
Venir 2x par saison au stade et te bourrer la gueule avec Steinmann dans leur loge ne fait pas de toi un fidèle mon coco!
Matt- Localisation : Loz
Date d'inscription : 10/12/2007
dudu, LsLover, Rolls et FF-LS aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Accueil et spectacle sportif
Pour remplir une enceinte, un match ne suffit plus
Comment attirer des milliers de spectateurs à un événement alors que les plus grands championnats sont accessibles à la TV et sur internet? Des managers du sport racontent.
Pierre-Alain Schlosser
Redonner envie au public de vivre un match ou une course en direct est de plus en plus compliqué. Grâce à internet ou à la télévision payante, tous les événements sportifs du monde sont à portée de zappette ou de souris. On peut voir Ronaldo, Messi en direct. Assister à un choc du championnat anglais de foot. À des play-off de NHL ou de NBA. L’accès est si simple que venir à la Praille ou à la Tuilière pour assister à un match de Servette ou du LS est devenu plus difficile. Et plus cher.
Les clubs d’ici ont intérêt à rivaliser d’ingéniosité pour créer l’événement. Vice-président du Lausanne-Sport, Vincent Steinmann ne ménage pas ses efforts pour faire revenir les gens au stade. Il est le premier à admettre que la mission est périlleuse, tant on part de loin. «La frustration s’est construite petit à petit, admet-il. Autrefois, c’était la croix et la bannière pour assister à un match à Lausanne. On montait à la Pontaise en prenant la ligne 1 qui mettait une demi-heure pour sortir du centre-ville. Quand on arrivait, il faisait 4 degrés de moins. On se prenait un coup de bise et on se retrouvait à 120 m du premier joueur. La bière était tiède et la file pour les saucisses n’en finissait pas. Avec un peu de bol, on se prenait la pluie et le LS perdait. Venir au match, c’était faire un sacrifice pour soutenir le club. Les soirs de défaite, les spectateurs repartaient sans rien, déçus d’avoir donné sans rien avoir reçu en retour.»
Fabriquer des souvenirs
On pourrait croire à un sketch de Thomas Wiesel. Malheureusement, la scène décrite par Vincent Steinmann s’avère tout à fait réaliste. En 2023, le public en demande plus. Il veut passer un moment convivial. Vivre une expérience qui va au-delà d’un simple match de foot ou de hockey. Pionnier de l’événementiel en Suisse romande, Daniel Perroud l’a compris très tôt. C’est lui qui a attiré 18’000 spectateurs en 1992 pour la Coupe Davis. C’est surtout lui qui a attiré des milliers de spectateurs à des événements tels que la boxe et le motocross. À Palexpo, le «petit carrossier nyonnais» et son acolyte Didier Genecand ont convaincu 30’000 personnes (sur deux soirs) à payer pour voir des motos bondir en l’air.
Pour y arriver, il s’est donné les moyens de ses ambitions. «Il devait y avoir entre 20 et 30 km de câbles à Palexpo pour la sono et le light show, se souvient-il. Pour la boxe, je consacrais 80’000 sur les 120’000 francs de budget à la promotion.» Donner pour mieux recevoir est une formule qui peut rapporter gros. En l’occurrence, tout le monde voulait voir le spectacle «à l’américaine» du Supercross.
«Un jour, un monsieur d’une banque privée m’a appelé pour réserver une table VIP, raconte Daniel Perroud. Il voulait venir avec des clients, mais je lui ai dit que ça pue, qu’il y a de la fumée et que ça fait du bruit. Il m’a répondu que j’étais un super vendeur et qu’une fois qu’on était allé trois fois à la table de Chevrier, huit fois à Crissier, il ne savait plus où les amener.» Une semaine plus tard, le banquier rappelle Daniel Perroud, lequel pense essuyer des reproches. Et c’est tout le contraire qui est arrivé. «Le banquier m’a dit: «Monsieur Perroud, c’est la première fois que j’emmène des clients à une manifestation et que j’en ressors avec des amis. Ils ont été complètement enchantés. Ils sont arrivés en costard et ils n’ont pas retrouvé leur cravate, après l’avoir lancée dans le public. On a fini au bar et je ne pouvais plus les faire rentrer.»
Fabriquer des souvenirs. Vivre une expérience unique. Voilà vers quoi les managers du sport essaient de tendre, aujourd’hui. Du côté du sport genevois, Adrien Vigne-Donati veut ouvrir le stade au public pour que celui-ci se l’approprie. «Il faut éduquer les plus jeunes à venir au stade pour que dans quelques années, on ait le retour de nos efforts», s’exclame le responsable de l’événementiel du groupe Grenat. Et tous les détails sont bons à prendre pour assurer une ambiance attrayante. De la mascotte au DJ, en passant par un choix de gastronomie et un accès rapide aux infrastructures et aux services. À Genève, on organise même des anniversaires. Dans le stade, avec des jeux, un passage par les vestiaires, la salle de presse, un détour sur la pelouse: les coulisses n’ont plus de secrets pour eux. «On essaie d’être interactif», assure l’organisateur.
S’inspirer de ce qui se fait ailleurs est toujours une bonne idée. «Quand tu viens voir le LS à la Tuilière, tu viens voir la ixième division du championnat européen, alors qu’à la télé, tu peux savourer un Liverpool-Chelsea, en même temps, rappelle Vincent Steinmann. C’est en améliorant l’accueil, en offrant un choix culinaire étoffé et de bonne qualité, en mettant en place des animations devant le stade que l’on a une chance de passer un moment agréable. C’est communautaire. On rencontre des amis avec qui on parle de sport et de la vie en général. L’événement, ce n’est pas juste un match. Ça va beaucoup plus loin. Il faut faire des trucs un peu fous. Peu importe ce qu’on dira. Il y aura toujours des critiques. Quand j’ai lancé la mascotte Loupo, j’ai tout entendu. On m’a dit: «Avec votre mascotte, vous vous prenez pour des Américains», eh bien justement, cela fait vingt ou trente ans que les Américains font ça. Et s’il y a une chose qu’ils savent bien faire, c’est d’arrêter quand quelque chose ne marche pas.»
Investir dans le sportif
Chris Wolf, CEO du LHC, estime à 15% la part de spectateurs qui ne viennent pas en priorité pour voir le match. Jeff Collet, lui, pense que pour un tournoi de tennis, 70% se déplacent pour l’événementiel et 30% uniquement pour le sport. «Dans certains cas extrêmes, on peut avoir 90% de gens pour lesquels ce qui se passe sur le terrain est secondaire, souligne le fondateur de Grand Chelem Event. Nous avions organisé un event de polo et j’ai l’impression qu’on aurait pu faire n’importe quoi sur le terrain. Les gens ne se seraient rendu compte de rien. Les spectateurs veulent vivre des choses que les autres n’ont pas eu la chance de connaître. C’est un peu l’effet «réseaux sociaux». Au tournoi de tennis de Gstaad, on ne peut pas rivaliser avec le spectacle d’un tournoi comme l’US Open. Mais le panorama exceptionnel fait la différence.»
Des joueurs servent des bières
Venu du rugby, Adrien Vigne-Donati espère un jour imiter ce qui se fait à Toulon. «Les joueurs se font déposer en bus à la salle de réunion qui se trouve en dehors du stade, raconte-t-il. Pour se rendre au stade depuis la salle de réunion, ils traversent le public.» Un bain de foule qui rapproche les sportifs de leurs supporters. Et Adrien Vigne-Donati de donner un autre exemple éloquent. «À Clermont-Ferrand, toujours en rugby, le club met pendant trente minutes des joueurs blessés à disposition des bars pour servir des bières.» Des joueurs au service des spectateurs: le message est fort.
Aujourd’hui, une partie du public vient au match comme il viendrait au spectacle, ou au cinéma. «La partie spectacle est importante, car elle met du liant dans la soirée, estime Chris Wolf. On vient au match car c’est ton père qui t’y a emmené la première fois. À ton tour, tu emmènes tes enfants. Il y a aussi des entreprises qui emmènent leurs clients, pour le fun, pour la gastronomie et qui ne sont pas des aficionados du sport.»
Mais pour attirer un public nombreux et fidèle, tous nos interlocuteurs s’accordent à dire qu’il faut investir avant tout dans le sportif. «Si je pouvais ressusciter Michael Jackson pour un show à la Tuilière durant un match, je remplirais le stade une fois, lance Vincent Steinmann. Mais au match suivant, sans Michael Jackson, le LS jouerait devant 4500 spectateurs. Aujourd’hui dans notre contexte, il n’y a que les résultats qui comptent, mais ça ne nous empêche pas de travailler sur tout le reste. Je suis persuadé que le jour où nous occuperons les trois premières places, il y aura 10’000 personnes à chaque match.» PAS
Pour remplir une enceinte, un match ne suffit plus
Comment attirer des milliers de spectateurs à un événement alors que les plus grands championnats sont accessibles à la TV et sur internet? Des managers du sport racontent.
Pierre-Alain Schlosser
Redonner envie au public de vivre un match ou une course en direct est de plus en plus compliqué. Grâce à internet ou à la télévision payante, tous les événements sportifs du monde sont à portée de zappette ou de souris. On peut voir Ronaldo, Messi en direct. Assister à un choc du championnat anglais de foot. À des play-off de NHL ou de NBA. L’accès est si simple que venir à la Praille ou à la Tuilière pour assister à un match de Servette ou du LS est devenu plus difficile. Et plus cher.
Les clubs d’ici ont intérêt à rivaliser d’ingéniosité pour créer l’événement. Vice-président du Lausanne-Sport, Vincent Steinmann ne ménage pas ses efforts pour faire revenir les gens au stade. Il est le premier à admettre que la mission est périlleuse, tant on part de loin. «La frustration s’est construite petit à petit, admet-il. Autrefois, c’était la croix et la bannière pour assister à un match à Lausanne. On montait à la Pontaise en prenant la ligne 1 qui mettait une demi-heure pour sortir du centre-ville. Quand on arrivait, il faisait 4 degrés de moins. On se prenait un coup de bise et on se retrouvait à 120 m du premier joueur. La bière était tiède et la file pour les saucisses n’en finissait pas. Avec un peu de bol, on se prenait la pluie et le LS perdait. Venir au match, c’était faire un sacrifice pour soutenir le club. Les soirs de défaite, les spectateurs repartaient sans rien, déçus d’avoir donné sans rien avoir reçu en retour.»
Fabriquer des souvenirs
On pourrait croire à un sketch de Thomas Wiesel. Malheureusement, la scène décrite par Vincent Steinmann s’avère tout à fait réaliste. En 2023, le public en demande plus. Il veut passer un moment convivial. Vivre une expérience qui va au-delà d’un simple match de foot ou de hockey. Pionnier de l’événementiel en Suisse romande, Daniel Perroud l’a compris très tôt. C’est lui qui a attiré 18’000 spectateurs en 1992 pour la Coupe Davis. C’est surtout lui qui a attiré des milliers de spectateurs à des événements tels que la boxe et le motocross. À Palexpo, le «petit carrossier nyonnais» et son acolyte Didier Genecand ont convaincu 30’000 personnes (sur deux soirs) à payer pour voir des motos bondir en l’air.
Pour y arriver, il s’est donné les moyens de ses ambitions. «Il devait y avoir entre 20 et 30 km de câbles à Palexpo pour la sono et le light show, se souvient-il. Pour la boxe, je consacrais 80’000 sur les 120’000 francs de budget à la promotion.» Donner pour mieux recevoir est une formule qui peut rapporter gros. En l’occurrence, tout le monde voulait voir le spectacle «à l’américaine» du Supercross.
«Un jour, un monsieur d’une banque privée m’a appelé pour réserver une table VIP, raconte Daniel Perroud. Il voulait venir avec des clients, mais je lui ai dit que ça pue, qu’il y a de la fumée et que ça fait du bruit. Il m’a répondu que j’étais un super vendeur et qu’une fois qu’on était allé trois fois à la table de Chevrier, huit fois à Crissier, il ne savait plus où les amener.» Une semaine plus tard, le banquier rappelle Daniel Perroud, lequel pense essuyer des reproches. Et c’est tout le contraire qui est arrivé. «Le banquier m’a dit: «Monsieur Perroud, c’est la première fois que j’emmène des clients à une manifestation et que j’en ressors avec des amis. Ils ont été complètement enchantés. Ils sont arrivés en costard et ils n’ont pas retrouvé leur cravate, après l’avoir lancée dans le public. On a fini au bar et je ne pouvais plus les faire rentrer.»
Fabriquer des souvenirs. Vivre une expérience unique. Voilà vers quoi les managers du sport essaient de tendre, aujourd’hui. Du côté du sport genevois, Adrien Vigne-Donati veut ouvrir le stade au public pour que celui-ci se l’approprie. «Il faut éduquer les plus jeunes à venir au stade pour que dans quelques années, on ait le retour de nos efforts», s’exclame le responsable de l’événementiel du groupe Grenat. Et tous les détails sont bons à prendre pour assurer une ambiance attrayante. De la mascotte au DJ, en passant par un choix de gastronomie et un accès rapide aux infrastructures et aux services. À Genève, on organise même des anniversaires. Dans le stade, avec des jeux, un passage par les vestiaires, la salle de presse, un détour sur la pelouse: les coulisses n’ont plus de secrets pour eux. «On essaie d’être interactif», assure l’organisateur.
S’inspirer de ce qui se fait ailleurs est toujours une bonne idée. «Quand tu viens voir le LS à la Tuilière, tu viens voir la ixième division du championnat européen, alors qu’à la télé, tu peux savourer un Liverpool-Chelsea, en même temps, rappelle Vincent Steinmann. C’est en améliorant l’accueil, en offrant un choix culinaire étoffé et de bonne qualité, en mettant en place des animations devant le stade que l’on a une chance de passer un moment agréable. C’est communautaire. On rencontre des amis avec qui on parle de sport et de la vie en général. L’événement, ce n’est pas juste un match. Ça va beaucoup plus loin. Il faut faire des trucs un peu fous. Peu importe ce qu’on dira. Il y aura toujours des critiques. Quand j’ai lancé la mascotte Loupo, j’ai tout entendu. On m’a dit: «Avec votre mascotte, vous vous prenez pour des Américains», eh bien justement, cela fait vingt ou trente ans que les Américains font ça. Et s’il y a une chose qu’ils savent bien faire, c’est d’arrêter quand quelque chose ne marche pas.»
Investir dans le sportif
Chris Wolf, CEO du LHC, estime à 15% la part de spectateurs qui ne viennent pas en priorité pour voir le match. Jeff Collet, lui, pense que pour un tournoi de tennis, 70% se déplacent pour l’événementiel et 30% uniquement pour le sport. «Dans certains cas extrêmes, on peut avoir 90% de gens pour lesquels ce qui se passe sur le terrain est secondaire, souligne le fondateur de Grand Chelem Event. Nous avions organisé un event de polo et j’ai l’impression qu’on aurait pu faire n’importe quoi sur le terrain. Les gens ne se seraient rendu compte de rien. Les spectateurs veulent vivre des choses que les autres n’ont pas eu la chance de connaître. C’est un peu l’effet «réseaux sociaux». Au tournoi de tennis de Gstaad, on ne peut pas rivaliser avec le spectacle d’un tournoi comme l’US Open. Mais le panorama exceptionnel fait la différence.»
Des joueurs servent des bières
Venu du rugby, Adrien Vigne-Donati espère un jour imiter ce qui se fait à Toulon. «Les joueurs se font déposer en bus à la salle de réunion qui se trouve en dehors du stade, raconte-t-il. Pour se rendre au stade depuis la salle de réunion, ils traversent le public.» Un bain de foule qui rapproche les sportifs de leurs supporters. Et Adrien Vigne-Donati de donner un autre exemple éloquent. «À Clermont-Ferrand, toujours en rugby, le club met pendant trente minutes des joueurs blessés à disposition des bars pour servir des bières.» Des joueurs au service des spectateurs: le message est fort.
Aujourd’hui, une partie du public vient au match comme il viendrait au spectacle, ou au cinéma. «La partie spectacle est importante, car elle met du liant dans la soirée, estime Chris Wolf. On vient au match car c’est ton père qui t’y a emmené la première fois. À ton tour, tu emmènes tes enfants. Il y a aussi des entreprises qui emmènent leurs clients, pour le fun, pour la gastronomie et qui ne sont pas des aficionados du sport.»
Mais pour attirer un public nombreux et fidèle, tous nos interlocuteurs s’accordent à dire qu’il faut investir avant tout dans le sportif. «Si je pouvais ressusciter Michael Jackson pour un show à la Tuilière durant un match, je remplirais le stade une fois, lance Vincent Steinmann. Mais au match suivant, sans Michael Jackson, le LS jouerait devant 4500 spectateurs. Aujourd’hui dans notre contexte, il n’y a que les résultats qui comptent, mais ça ne nous empêche pas de travailler sur tout le reste. Je suis persuadé que le jour où nous occuperons les trois premières places, il y aura 10’000 personnes à chaque match.» PAS
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Contradictoire : il faut des animations et des saucisses chaudes pour remplir le stade, mais si on est dans les 3 premiers, on aura 10'000 spectateurs.
Je suggère de commencer par ça.
Je suggère de commencer par ça.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
neLSon aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
kok9 a écrit:Contradictoire : il faut des animations et des saucisses chaudes pour remplir le stade, mais si on est dans les 3 premiers, on aura 10'000 spectateurs.
Je suggère de commencer par ça.
Oui yaka et faucon
Par contre pour la restauration ils pourraient au minimoum remplacer la saucisse de volaille par la bonne vieille de St Gall...
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Ls81 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
lausarme a écrit:kok9 a écrit:Contradictoire : il faut des animations et des saucisses chaudes pour remplir le stade, mais si on est dans les 3 premiers, on aura 10'000 spectateurs.
Je suggère de commencer par ça.
Oui yaka et faucon
Par contre pour la restauration ils pourraient au minimoum remplacer la saucisse de volaille par la bonne vieille de St Gall...
Les saucisses contenant du porc ne sont pas « inclusives »…
Et possiblement plus chères , ce qui donne certainement l’envie d’être très inclusif.
Mange-gazon IV- Date d'inscription : 01/01/2021
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/un-ls-toujours-offensif-on-doit-continuer-a-prendre-des-risques-id19019174.html
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
kok9 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
On montait à la Pontaise en prenant la ligne 1 qui mettait une demi-heure pour sortir du centre-ville. Quand on arrivait, il faisait 4 degrés de moins. On se prenait un coup de bise et on se retrouvait à 120 m du premier joueur. La bière était tiède et la file pour les saucisses n’en finissait pas. Avec un peu de bol, on se prenait la pluie et le LS perdait. Venir au match, c’était faire un sacrifice pour soutenir le club. Les soirs de défaite, les spectateurs repartaient sans rien, déçus d’avoir donné sans rien avoir reçu en retour.»
Ce qui a changé ?
On met plus d'une demi-heure, il fait toujours 4 degrés de moins, mais l'accueil est meilleur et le stade est top. C'est toujours un sacrifice pour soutenir le club car sur le terrain, les relégations sont légions, on enquille les defaites, et même quand on remonte le spectacle est pauvre.
Ce qui a changé ?
On met plus d'une demi-heure, il fait toujours 4 degrés de moins, mais l'accueil est meilleur et le stade est top. C'est toujours un sacrifice pour soutenir le club car sur le terrain, les relégations sont légions, on enquille les defaites, et même quand on remonte le spectacle est pauvre.
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Matt, kok9, Mange-gazon IV, neLSon, Cc1974 et JimTonic aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Première victoire à la Tuilière
Au bord du gouffre, le LS relève enfin la tête
Menés par Lucerne après une première mi-temps très décevante, les Lausannois ont eu le mérite de réagir après la pause (3-1). Ils abandonnent la lanterne rouge au FC Bâle.
André Boschetti
Publié: 08.10.2023, 21h15
Le penalty transformé par Noé Dussenne a donné l'avantage au LS contre Lucerne.
(KEYSTONE/Laurent Gillieron)
Enfin! Après avoir concédé deux défaites et autant de nuls, le Lausanne-Sport a su arracher, dimanche contre le FC Lucerne, sa première victoire à la Tuilière depuis cinq mois et son retour en Super League. Trois points qui le libèrent d'un poids énorme et lui permettent aussi de quitter la dernière place d'un classement où il figure désormais au 10e rang, juste devant Stade Lausanne-Ouchy. Un voisin auquel la troupe de Ludovic Magnin s'en ira rendre justement visite lors de la prochaine journée.
D'ici là, le coach challensois aura deux petites semaines, et une pause internationale qui le privera de trois ou quatre joueurs, pour préparer au mieux un derby citadin où son équipe devra vraisemblablement faire mieux encore pour espérer ajouter une deuxième victoire consécutive qui pourrait alors lancer véritablement sa saison.
«Le coach nous a dit qu'on devait se sortir les doigts d'où je pense pour espérer l'emporter.»
Noé Dussenne, capitaine du LS
Pour cela, le LS devra impérativement éviter de répéter 45 premières minutes comparables aux deuxièmes mi-temps récemment proposées contre Zurich, Lugano et Servette. «Nous avons été catastrophiques jusqu'à la pause, admettait Noé Dussenne, promu capitaine en l'absence d'Olivier Custodio, blessé. La gueulante du coach nous a ensuite fait du bien. Il nous a dit qu'en jouant comme ça, on allait nulle part et qu'on devait se sortir les doigts d'où je pense pour espérer l'emporter. Et c'est ce qu'on a fait ensuite, et plutôt bien je crois, en jouant beaucoup plus haut sur le terrain et en cherchant à presser la défense adverse. Et cela a plutôt bien fonctionné.»
Logiquement mené à la marque sur une réussite de Jashari, avec la complicité de Villiger, à la demi-heure, le LS avait tout de même galvaudé deux belles opportunités de ne pas rejoindre une première fois les vestiaires avec une longueur de retard. Deux occasions manquées par Diabaté (24e) et Sène dans le temps additionnel qui résumaient bien l'habituel manque de détermination des Vaudois face au but adverse.
20 minutes de domination stérile
Malgré le coup de gueule de Ludovic Magnin «mon premier cette saison» disait-il avec le sourire, il a fallu ensuite patienter plus d'une vingtaine de minutes pour que la stérile domination lausannoise débouche sur du concret. Longtemps maîtres du jeu mais incapables d'inquiéter Loretz, Dussenne et consorts ont trouvé leur salut grâce à trois balles arrêtées. D'abord en égalisant sur un coup franc de Bernede, dévié par Dussenne sur le pied de Kablan, puis grâce à deux penalties consécutifs à deux fautes évitables de Pius Dorn sur Sanches puis Suzuki. En moins de dix minutes, le LS inscrivait trois buts qui lui offrent un succès longtemps improbable synonyme d'immense bouffée d'oxygène.
«C'est le match dans lequel nous avons montré le plus de niaque, de détermination et de combativité.»
Ludovic Magnin
«Nous n'avons probablement pas fait contre Lucerne notre meilleur match de la saison, soulignait justement Ludovic Magnin, mais certainement celui où nous avons montré le plus de niaque, de détermination et de combativité. Alors que nous perdions systématiquement les duels avant la pause, nous les avons presque tous gagnés après. Ce changement d'attitude a peut-être été le résultat du gros travail physique que nous avons effectué durant une dernière semaine qui a été particulièrement difficile sur le plan mental (ndlr: un seul point pris lors des trois matches disputés la semaine précédente). Ce qui me réjouit, c'est que mes joueurs ont montré aujourd'hui (dimanche) qu'ils sont capables de les remporter ces duels. Et que les joueurs venus du banc ont eux aussi largement contribué à cette victoire. Une attitude générale qu'il faudra maintenant confirmer lors du derby lausannois.»
Un amical contre Xamax
D'ici là, le LS aura quelques jours pour savourer ce succès avant de se remettre au travail et de disputer un match amical contre Neuchâtel Xamax, ce jeudi au stade du Bois Gentil (12 h). «Mais nous allons surtout profiter de cette pause pour continuer de bien travailler physiquement», insistait Ludovic Magnin avant de rejoindre un vestiaire pour une fois joyeux. Un détail qui n'en est pas un, mais sur lequel le coach lausannois aurait peut-être dû insister un peu plus tôt.
Pour la première fois de la saison, le LS a donc montré qu'il est lui aussi capable d'inverser un score déficitaire. Mais pour cela, il a aussi bénéficié de la nette et subite baisse de régime d'une équipe lucernoise complètement déstabilisée par la sortie prématurée du pilier de sa défense, Ismaji Beka. «Après cette grave blessure – probable déchirure des ligaments –, mon équipe a perdu pied», lâchait un Mario Frick dépité.
Au bord du gouffre, le LS relève enfin la tête
Menés par Lucerne après une première mi-temps très décevante, les Lausannois ont eu le mérite de réagir après la pause (3-1). Ils abandonnent la lanterne rouge au FC Bâle.
André Boschetti
Publié: 08.10.2023, 21h15
Le penalty transformé par Noé Dussenne a donné l'avantage au LS contre Lucerne.
(KEYSTONE/Laurent Gillieron)
Enfin! Après avoir concédé deux défaites et autant de nuls, le Lausanne-Sport a su arracher, dimanche contre le FC Lucerne, sa première victoire à la Tuilière depuis cinq mois et son retour en Super League. Trois points qui le libèrent d'un poids énorme et lui permettent aussi de quitter la dernière place d'un classement où il figure désormais au 10e rang, juste devant Stade Lausanne-Ouchy. Un voisin auquel la troupe de Ludovic Magnin s'en ira rendre justement visite lors de la prochaine journée.
D'ici là, le coach challensois aura deux petites semaines, et une pause internationale qui le privera de trois ou quatre joueurs, pour préparer au mieux un derby citadin où son équipe devra vraisemblablement faire mieux encore pour espérer ajouter une deuxième victoire consécutive qui pourrait alors lancer véritablement sa saison.
«Le coach nous a dit qu'on devait se sortir les doigts d'où je pense pour espérer l'emporter.»
Noé Dussenne, capitaine du LS
Pour cela, le LS devra impérativement éviter de répéter 45 premières minutes comparables aux deuxièmes mi-temps récemment proposées contre Zurich, Lugano et Servette. «Nous avons été catastrophiques jusqu'à la pause, admettait Noé Dussenne, promu capitaine en l'absence d'Olivier Custodio, blessé. La gueulante du coach nous a ensuite fait du bien. Il nous a dit qu'en jouant comme ça, on allait nulle part et qu'on devait se sortir les doigts d'où je pense pour espérer l'emporter. Et c'est ce qu'on a fait ensuite, et plutôt bien je crois, en jouant beaucoup plus haut sur le terrain et en cherchant à presser la défense adverse. Et cela a plutôt bien fonctionné.»
Logiquement mené à la marque sur une réussite de Jashari, avec la complicité de Villiger, à la demi-heure, le LS avait tout de même galvaudé deux belles opportunités de ne pas rejoindre une première fois les vestiaires avec une longueur de retard. Deux occasions manquées par Diabaté (24e) et Sène dans le temps additionnel qui résumaient bien l'habituel manque de détermination des Vaudois face au but adverse.
20 minutes de domination stérile
Malgré le coup de gueule de Ludovic Magnin «mon premier cette saison» disait-il avec le sourire, il a fallu ensuite patienter plus d'une vingtaine de minutes pour que la stérile domination lausannoise débouche sur du concret. Longtemps maîtres du jeu mais incapables d'inquiéter Loretz, Dussenne et consorts ont trouvé leur salut grâce à trois balles arrêtées. D'abord en égalisant sur un coup franc de Bernede, dévié par Dussenne sur le pied de Kablan, puis grâce à deux penalties consécutifs à deux fautes évitables de Pius Dorn sur Sanches puis Suzuki. En moins de dix minutes, le LS inscrivait trois buts qui lui offrent un succès longtemps improbable synonyme d'immense bouffée d'oxygène.
«C'est le match dans lequel nous avons montré le plus de niaque, de détermination et de combativité.»
Ludovic Magnin
«Nous n'avons probablement pas fait contre Lucerne notre meilleur match de la saison, soulignait justement Ludovic Magnin, mais certainement celui où nous avons montré le plus de niaque, de détermination et de combativité. Alors que nous perdions systématiquement les duels avant la pause, nous les avons presque tous gagnés après. Ce changement d'attitude a peut-être été le résultat du gros travail physique que nous avons effectué durant une dernière semaine qui a été particulièrement difficile sur le plan mental (ndlr: un seul point pris lors des trois matches disputés la semaine précédente). Ce qui me réjouit, c'est que mes joueurs ont montré aujourd'hui (dimanche) qu'ils sont capables de les remporter ces duels. Et que les joueurs venus du banc ont eux aussi largement contribué à cette victoire. Une attitude générale qu'il faudra maintenant confirmer lors du derby lausannois.»
Un amical contre Xamax
D'ici là, le LS aura quelques jours pour savourer ce succès avant de se remettre au travail et de disputer un match amical contre Neuchâtel Xamax, ce jeudi au stade du Bois Gentil (12 h). «Mais nous allons surtout profiter de cette pause pour continuer de bien travailler physiquement», insistait Ludovic Magnin avant de rejoindre un vestiaire pour une fois joyeux. Un détail qui n'en est pas un, mais sur lequel le coach lausannois aurait peut-être dû insister un peu plus tôt.
Pour la première fois de la saison, le LS a donc montré qu'il est lui aussi capable d'inverser un score déficitaire. Mais pour cela, il a aussi bénéficié de la nette et subite baisse de régime d'une équipe lucernoise complètement déstabilisée par la sortie prématurée du pilier de sa défense, Ismaji Beka. «Après cette grave blessure – probable déchirure des ligaments –, mon équipe a perdu pied», lâchait un Mario Frick dépité.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Bon, ben c’est bien (reste à voir si c’est pour cette saison ou à plus long terme):
https://www.lematin.ch/story/football-alvyn-sanches-veut-simposer-dans-lelite-avec-le-ls-625240245597
https://www.lematin.ch/story/football-alvyn-sanches-veut-simposer-dans-lelite-avec-le-ls-625240245597
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
kok9 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
fatpig a écrit:Bon, ben c’est bien (reste à voir si c’est pour cette saison ou à plus long terme):
https://www.lematin.ch/story/football-alvyn-sanches-veut-simposer-dans-lelite-avec-le-ls-625240245597
Par contre je ne savais pas qu'avant chaque match du LS ils dormaient tous à l'hôtel
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
kok9 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Pour en rester à Alvin Sanches :
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/alvyn-sanches-se-defend-ce-n-etait-pas-du-tout-une-provocation-id19028514.html
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/alvyn-sanches-se-defend-ce-n-etait-pas-du-tout-une-provocation-id19028514.html
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
dudu aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Sympa
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/operation-un-club-un-joueur-olivier-custodio-a-leur-age-je-ne-savais-pas-ce-quetait-le-ls-id19041396.html
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/operation-un-club-un-joueur-olivier-custodio-a-leur-age-je-ne-savais-pas-ce-quetait-le-ls-id19041396.html
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
kok9, LsLover et Georgie aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24h, 19.10
<<
La corruption pourrait emporter le Lausanne-Sport de Yaoundé
Un scandale de matches truqués couve au Cameroun. Dans le camp des accusés: Samuel Eto'o, président de la fédération. Dans celui des perdants: le «cousin» africain du LS.
>>
Décidément...
<<
La corruption pourrait emporter le Lausanne-Sport de Yaoundé
Un scandale de matches truqués couve au Cameroun. Dans le camp des accusés: Samuel Eto'o, président de la fédération. Dans celui des perdants: le «cousin» africain du LS.
>>
Décidément...
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-ls-peut-lancer-sa-saison-une-victoire-et-tout-est-pardonne-id19062931.html
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Old School, Le Vaudois, kok9, TKP1 et SabL aiment ce message
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