Les articles de presse (commentaires autorisés)

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-roi-du-coup-franc-samuel-kalu-comme-a-la-maison-des-le-premier-jour-id19125002.html

zodov a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-roi-du-coup-franc-samuel-kalu-comme-a-la-maison-des-le-premier-jour-id19125002.html

Décidément, on lui doit beaucoup à Noë cette saison

Qwertz a écrit:

zodov a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-roi-du-coup-franc-samuel-kalu-comme-a-la-maison-des-le-premier-jour-id19125002.html

Décidément, on lui doit beaucoup à Noë cette saison

C'est clair! Il va finir DS dans 3 ans s'ils nous en ramènent encore quelques Kalu.

A part ça excellent job de Tim Guillemin avec ses articles et interviews. Bravo.

lausarme a écrit:

Qwertz a écrit:

zodov a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-roi-du-coup-franc-samuel-kalu-comme-a-la-maison-des-le-premier-jour-id19125002.html

Décidément, on lui doit beaucoup à Noë cette saison

C'est clair! Il va finir DS dans 3 ans s'ils nous en ramènent encore quelques Kalu.

A part ça excellent job de Tim Guillemin avec ses articles et interviews. Bravo.

Effectivement super interview. En espérant qu'on arrive à le faire signer en fin de saison...

Podcast – Au café avec Vincent Steinmann
https://lematin.ch/story/football-139737140789

https://www.bluewin.ch/fr/sport/super-league/en-suisse-il-y-a-des-clubs-dans-lesquels-regne-toujours-le-chaos-1963284.html

https://www.bluewin.ch/fr/sport/super-league/derby-vaudois-l-honneur-1964218.html

Interview de et sur Jamie Roche

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-derby-vaudois-samedi-alessandro-mangiarratti-on-ne-peut-pas-etre-na-fs-id19133143.html

https://www.blick.ch/fr/sport/football/champions-league/lhomme-de-base-a-mi-terrain-jamie-roche-mes-modeles-frank-lampard-et-mon-pere-id19133150.html

Football - Super League

Yverdon et le LS veulent marquer leur territoire
Les deux clubs vaudois ont la même ambition: être le No 1 du canton. Le derby de ce samedi au Stade municipal (18 h) est une opportunité idéale pour le montrer.

André Boschetti

Les propriétaires d’Yverdon Sport et du Lausanne-Sport partagent les mêmes ambitions. D’abord d’installer leur club, dans la durée, en Super League puis d’en faire, le plus rapidement possible, l’un des meilleurs du pays. Si l’on en juge par leur première partie de saison, les deux néopromus sont bien partis pour éviter les frayeurs d’une lutte contre la relégation mais encore loin de pouvoir espérer figurer dans le premier tiers du classement.

Rien de plus logique au vu de leur chaotique passé récent. Un contexte qui n’enlève rien au vif intérêt que suscite leur deuxième affrontement de l’exercice. Ce samedi, dans un Stade municipal qui devrait afficher complet, les enjeux ne manqueront pas. Même s’ils ne permettront pas au vainqueur de flirter avec les toutes premières places, ces trois points supplémentaires auront non seulement le précieux avantage de l’éloigner (définitivement?) des deux dernières places mais surtout d’attiser ses envies de qualification pour le tour final.

Un point d’écart

Puisque désormais un seul petit point sépare YS et le LS, on pourrait aussi avoir un changement de leader cantonal, samedi soir. Une place que Jeffrey Saunders et Leen Heemskerk, les présidents yverdonnois et lausannois, revendiquent tous deux. À juste titre? «Non, prévient Jérémy Manière. Même si Yverdon mérite d’évoluer en Super League, de par son histoire, ses titres et son organisation, le LS reste le plus grand club du canton. YS, comme SLO, doit, à la longue, avoir un rôle et des ambitions différents. Quoi qu’il en soit, et même si la vérité de novembre n’est pas celle de juin, ce derby offrira la possibilité à chacune des deux équipes de montrer qu’elle est aujourd’hui supérieure à sa rivale.»

Dans cette optique, le LS semble bien placé pour enfin prendre ce leadership vaudois que son président et son entraîneur revendiquent haut et fort depuis juillet. «Sur ces quatre derniers matches, continue l’ancien défenseur du LS et de SLO, Lausanne a récupéré neuf de ses dix points de retard sur Yverdon. Il se doit donc de profiter de cette belle dynamique pour remporter ce derby et ainsi se rapprocher d’une place qualificative pour le tour final. Ce qui constituerait une magnifique performance collective car, à mon avis, les six équipes qui occupent aujourd’hui la première partie du tableau ont encore un petit quelque chose en plus que leurs six autres adversaires.»

Le cas échéant, une nouvelle défaite yverdonnoise samedi - la quatrième en cinq sorties -, ajoutée aux remous internes et externes provoqués par l’étonnante mise à l’écart de Marco Schällibaum, ne pourrait-elle pas être le prélude à une première vraie crise dans le Nord vaudois? Avec, comme regrettable conséquence, une descente progressive dans les profondeurs du classement? «Je n’imagine pas un tel scénario, assure Jérémy Manière. En premier lieu parce que l’effectif yverdonnois est de qualité. De plus, Alessandro Mangiarratti connaît non seulement très bien le football suisse, mais il peut aussi s’appuyer sur le groupe solide et homogène qu’a façonné son prédécesseur. Non, je pense plutôt qu’YS traverse une période compliquée comme en connaissent tous les clubs au cours d’une saison. D’autant plus lorsque l’on est un nouveau venu en Super League. À mon avis, cette série négative n’a, pour l’instant, rien de particulièrement alarmant. Comme on peut le vérifier chaque année, tout change très vite dans un championnat aussi serré et indécis que le nôtre.»

Peut-être, mais ce qui est plus certain, c’est que le vainqueur de ce derby vaudois verra son moral boosté et pourra aborder la dernière ligne droite avant la trêve de Noël l’esprit beaucoup plus léger que le vaincu. Et quand on connaît l’importance du mental pour un joueur, l’enjeu de ce derby dépasse largement celui d’un simple duel comme tant d’autres.

Avant-match-
Les absents À YS, Sörensen, Kury, Silva et Cotter sont blessés. Beyer est malade, alors que Liziero est annoncé incertain. Au LS, Grippo (blessé), Kablan et Giger (suspendus) manquent à l’appel.

Avec Lungoyi? YS a fait recours contre les quatre matches de suspension infligés à Lungoyi. Avec l’espoir d’au moins obtenir un effet suspensif pour que l’attaquant puisse disputer le derby.

LS à la peine En une bonne dizaine de déplacements dans le Nord vaudois, le LS n’est parvenu à s’y imposer qu’une seule et unique fois. Une victoire qui remonte au siècle passé, en LNA.

Boris Cespedes: «Contre le LS, on veut montrer une très belle version d’Yverdon Sport.»

A propos de l’itw de Roche, j’aurais bien aimé savoir si il avait déjà entendu parler de Stefan Rehn, un autre Suédois, qui a quand même marqué notre LS
Et merci à Blick pour tous les articles sur le LS

Un derby et des étincelles
Atmosphère crispée dans les rues, désinhibée sur le terrain. Yverdon et Lausanne se sont rendu coup pour coup samedi soir en Super League (2-2).

Florian Vaney, Yverdon florian.vaney@lematindimanche.ch

Feux d’artifice, fumigènes et crispation. Le cortège de supporters lausannois était attendu une heure avant le coup d’envoi du deuxième derby de la saison entre YS et le LS. Et s’il n’avait à parcourir que les quelques centaines de mètres séparant la gare d’Yverdon du Stade municipal, son passage a rendu les forces de l’ordre particulièrement attentives. Il était demandé aux curieux observateurs de cette procession de ne surtout pas tenter de filmer ou de prendre des photos. Certains, émettant plus ou moins de résistance, étaient même invités à rejoindre l’entrée au plus vite et à abandonner leur point de vue. Atmosphère tendue.

De la crispation, le coup de sifflet lançant les hostilités sur le terrain en a visiblement fait naître dans les pieds d’Anel Husic. Le défenseur central du Lausanne-Sport ne pensait sans doute pas qu’en manquant un contrôle tout simple après une trentaine de secondes de jeu, il ouvrirait la voie à un derby complètement débridé. 1-0 pour Yverdon Sport sur cette action, 2-2 à la pause, le 3-2 tantôt repoussé par Kevin Martin, tantôt écarté par Karlo Letica. Les deux buts qu’ils ont chacun concédés n’ont pas suffi à faire des deux gardiens des boucs émissaires, et cela dit beaucoup du spectacle offensif qu’ont su fabriquer les deux rivaux.

Cette idée-là n’a plus grand-chose d’étonnant avec le Lausanne-Sport. Cette équipe, à qui on a si longtemps reproché ses faux rythmes et son inconstance dans ses allants offensifs, semble se trouver pour de bon. L’articulation de la Super League, où le LS retrouve face à lui des blocs nettement moins bas que la saison dernière en Challenge League, n’y est probablement pas étrangère (même si YS n’a pas évolué bien haut samedi). Mais surtout, les élans donnés dans l’axe par l’excellent Jamie Roche, et sur le côté par l’intenable Samuel Kalu, changent tout. Sans parler des buts qu’enfile enfin Kaly Sène en pointe (six sur les cinq derniers matches). Cohérent depuis la reprise, Lausanne devient en plus consistant. Intéressant pour la suite de la saison.

À Yverdon Sport, ce qu’essaie de faire l’entraîneur Alessandro Mangiarratti de sa nouvelle équipe se distingue de plus en plus clairement. YS veut avoir le contrôle, repartir depuis derrière, en évitant visiblement de se perdre dans des phases de possession stériles à force d’être trop longues. Seulement, le derby lui a montré une autre réalité, comme un pied de nez: Yverdon s’est surtout montré dangereux sur des (longs) ballons mal gérés par la défense lausannoise. Voilà qui est assez embêtant pour se dire que tout est encore loin d’être parfait chez le «nouvel» Yverdon Sport. Mais suffisant pour rester la meilleure équipe vaudoise de Super League pendant encore au moins deux semaines. Un tableau auquel il faut ajouter un nouveau match au Stade municipal joué presque à guichets fermés (4000 spectateurs). Bel exploit, au regard du rejet populaire suscité par la décision de changer d’entraîneur il y a dix jours et d’un cinquième match de suite sans victoire.

Yverdon «place to be». In 24H de ce jour.

Au Stade municipal, le derby que personne n'a voulu manquer
L'enceinte d'Yverdon Sport s'est de nouveau transformée en point de convergence politique, fanatique et sportive samedi. Le derby face au LS lui a valu des étincelles (2-2).

Florian Vaney - Yverdon


Ce n'était pas écrit à l'avance, à une époque pas si lointaine où l'on se demandait si, vraiment, Yverdon Sport saurait attirer plus de 1500 personnes lorsque la Super League s'inviterait chez lui. Mais samedi, le Stade municipal faisait bien office de «place to be».

Les membres du PLR l'ont compris, eux qui ne laissaient personne rejoindre l'entrée principale sans l'avoir fermement invité à voter pour le parti en vue des élections fédérales. Tout en lui distribuant un peu moins fermement un petit chocolat de persuasion.

Ne surtout pas énerver le cortège
Les supporters du Lausanne-Sport aussi l'avaient compris, eux dont le cortège devant les mener de la gare au stade a méchamment crispé les forces de l'ordre locales. Passif d'une des dernières visites des fans lausannois dans la Cité thermale oblige. Les passants qui souhaitaient poser un œil curieux sur cette procession toute de noire vêtue recevaient la consigne de ne surtout pas filmer (il ne faudrait pas énerver la bête ultra), voire carrément de rejoindre prématurément leur place dans l'enceinte. Risque zéro, atmosphère tendue.

Le Lausanne-Sport, surtout, avait fait du derby un événement de premier plan. Parce que le LS se trouve en ce moment dans une phase de séduction qu'on ne lui avait pas connue depuis l'arrivée de Ludovic Magnin à sa tête. Le spectacle a parfois été au rendez-vous depuis l'été 2022, bien sûr, mais il ne s'est jamais établi sur la durée comme actuellement (défaite en Coupe face à Lugano mise à part, rendue spéciale par une expulsion vaudoise après 5 minutes).

L'invincibilité de Jamie Roche, le courage de Boris Cespedes
Les 4000 spectateurs qui, eux aussi, avaient compris qu'il se tramait un moment sympa ont bel et bien pu observer un Lausanne-Sport joueur et agressif. Toujours emmené par le remuant Samuel Kalu et Jamie Roche, l'homme qui ne perd pas depuis qu'il s'est installé dans le onze bleu et blanc. Le souci pour eux? Le nouvel Yverdon Sport, dirigé pour la première fois à domicile par Alessandro Mangiarratti, est en train de jouer une partie de sa crédibilité, après avoir indiqué la porte de sortie à un Marco Schällibaum qui surperformait. Alors oui, YS aussi jouait gros samedi.

Par bribes, les nouvelles idées yverdonnoises sont apparues. Elles sautaient même aux yeux lorsque Boris Cespedes tentait un dribble osé dans sa surface pour s'assurer de pouvoir relancer court. Reste qu'un mur se dresse encore entre les intentions et la réalité. Et que si YS a largement fait sa part pour assurer le spectacle, cela doit avant tout à quelques grosses actions obtenues tantôt grâce à des longs ballons, tantôt grâce à des égarements de la défense lausannoise.

C'est là le principal reproche à émettre à l'égard d'une rencontre partie dans tous les sens en première mi-temps. Aucun des deux camps n'a complètement réussi à faire aboutir ses idées. La volonté de jeu d'YS s'est trop souvent étouffée dans son propre camp. Les principes offensifs du LS ont tiré comme un boulet certaines approximations défensives. Ce qui devait mener à un 2-2 (acquis à la pause déjà) dont personne ne pouvait se plaindre.

L'hommage de Ludovic Magnin
Ce qui n'a pas fonctionné dans son Lausanne-Sport, Ludovic Magnin l'a vu. «Mais on a donné du plaisir aux gens venus nous regarder, encore une fois», appréciait l'entraîneur, le visage rayonnant. Il se fermait au moment de rendre un hommage capital pour lui.

Bien avant de devenir coach à Lausanne, le technicien avait remporté la Coupe de Suisse en 2018. Avec Zurich, et un certain Raphael Dwamena, décédé samedi à 28 ans en plein match du championnat albanais. «Un gars extraordinaire, toujours positif, toujours dans l'acceptation. Il ressemble à un joueur qu'on a chez nous: Brighton Labeau», complimentait Ludovic Magnin. Avant de se demander: «Pourquoi ce genre de chose n'arrive qu'aux gens fantastiques?»

Le LS va avoir un nouveau grand frère la semaine prochaine

https://lematin.ch/story/football-le-ls-va-avoir-un-nouveau-grand-frere-la-semaine-prochaine-149311426009

Enfin

https://www.lematin.ch/story/football-un-ancien-president-du-lausanne-sport-fait-face-a-de-serieux-ennuis-903986944233

Enfin un article sur demain...

https://www.blick.ch/fr/sport/football/linternational-m21-est-blesse-le-ls-decouvre-la-vie-sans-alvyn-sanches-id19179627.html

zodov a écrit:Enfin un article sur demain...

https://www.blick.ch/fr/sport/football/linternational-m21-est-blesse-le-ls-decouvre-la-vie-sans-alvyn-sanches-id19179627.html

Bravo au Blick, pour ces bons articles d avant matches. Et tout les autres articles des matches. Bravô à eux.

https://www.lematin.ch/story/football-au-ls-une-envie-de-spectacle-a-faire-vivre-sans-alvyn-sanches-715366078277

Sanches n'avait pas les béquilles sur le terrain après le match, espérons que ce soit un peu moins grave. Idéalement un retour après la pause.

https://www.24heures.ch/football-longue-absence-confirmee-pour-alvyn-sanches-365289849249

La poisse. Bon rétablissement à lui.

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-top-6-est-dans-le-viseur-comment-le-ls-a-inverse-la-tendance-id19188810.html

https://www.blick.ch/fr/sport/football/sur-le-banc-quelques-minutes-les-penalites-de-temps-vont-elles-revolutionner-le-football-id19199033.html

Je suis sûr qu'il y aura débat. Quant à moi je suis pour ces pénalités. Marre des joueurs qui sont blessés mais reviennent 30 secondes après! Je verrai d'un œil favorable que si tu es blessé, tu sors 2-3 minutes.
De même, les réclamations vers l'arbitre devraient être pénalisées de 5 minutes, sauf si c'est le capitaine et avec respect.

Je vote pour, ne serait-ce que parce qu'on jouerait nos matchs contre Lugano à 11 contre 8!

Plus sérieusement, les contestations des décisions arbitrales ne me dérangent pas spécialement (et elles font presque partie du foot). Par contre, j'en peux plus de ces fautes d'anti-jeu qui stoppent des contre-attaques. Déjà qu'on s'emmerde une bonne partie des matches à regarder des passes à 10, faut pas encore permettre aux joueurs d'arrêter le jeu quand ça s'anime enfin! Dans le même ordre d'idées, je pense qu'on aurait tout à gagner à compter le temps de jeu effectif (comme au hockey) ou a sanctionner quand un joueur prend trop de temps à remettre le ballon en jeu. Y en a un peu marre de passer 10% du match à regarder des joueurs aller tranquillement chercher le ballon et prendre leur temps pour faire une touche ou un corner (même si ça peut aussi permettre d'aller vite chercher des bières).

Dire que les réclamations font partie du foot montre aussi que c'est un réel problème de ce sport. Aucun autre sport ne le tolère. La société ne le tolère pas. Est-ce qu'un troupeau d'ouvrier se rue sur son chef pour contester une décision?
C'est aussi l'exemple que ce sport montre aux jeunes : Simuler, contester l'autorité,...
Enfin, il y a réclamer en discutant et en disant poiiment son désaccord...et se montrer vindicatif en allant se positionner à 5 centimètres du visage de l'arbitre, en lui hurlant, ou en étant min. 5 autour pour le mettre en position de faiblesse. Bref il y a des manières de faire.
A ce titre j'ai bcp aimé l'arbitre contre le SLO, qui un joueur arrivant vers lui comme une furie, l'a instantanément arrêté avec la voix et le bras en avant et lui a mis un carton jaune.

zodov a écrit:
Enfin, il y a réclamer en discutant et en disant poiiment son désaccord...et se montrer vindicatif en allant se positionner à 5 centimètres du visage de l'arbitre, en lui hurlant, ou en étant min. 5 autour pour le mettre en position de faiblesse. Bref il y a des manières de faire.

C'est bien sûr de ce premier type de réclamations que je parlais. Même si on ne sait pas tout ce qui se dit sur le terrain, certains de nos arbitres semblent quand même très susceptibles et avertissent plus facilement une contestation qu'un geste dangereux...

Lorsque les joueurs s'énervent vraiment contre l'arbitre ou tentent de le déstabiliser, le carton jaune me semble approprié. Il n'y a donc pas besoin de changer les règles selon moi. Il faut juste appliquer celles qui existent déjà (y compris quand 6 Bâlois viennent entourer l'arbitre : carton jaune pour tout le monde).