Les articles de presse (commentaires autorisés)

TKP1 a écrit:Voilà ce qui manque au LS.........on espère ???

https://www.msn.com/fr-ch/actualite/other/chronique-de-david-lemos-l-inconnu-qui-se-cache-derri%C3%A8re-le-miracle-du-slo/ar-AA1ckTnl?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=5ac8821ca34e423fb9176b72768a07e9&ei=8

Excellent article. I
C'est un DS comme ça qu'il faut au LS

Voici un quiz gratuit 100% remboursable pour vous faire patienter pendant cette pause estivale. Connaissez-vous mieux l'équipe que Leen Heemskerk ? Il est temps de le savoir !

https://www.carton-rouge.ch/2023/06/11/ls-quiz-saison-2022-2023/

centvingt a écrit:Voici un quiz gratuit 100% remboursable pour vous faire patienter pendant cette pause estivale. Connaissez-vous mieux l'équipe que Leen Heemskerk ? Il est temps de le savoir !

https://www.carton-rouge.ch/2023/06/11/ls-quiz-saison-2022-2023/

Le premier quizz de ma vie où je fais tout juste mais pas tous les points

Superbe comme d’hab !

https://www.google.com/amp/s/amp.lematin.ch/story/fabio-celestini-pourrait-rebondir-a-sochaux-523706530888

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/lavis-dalexandre-comisetti-le-ls-est-la-seule-locomotive-dont-le-foot-vaudois-a-besoin-id18659016.html

Très bon article et réaliste. Ce que j'ai surtout retenu c'est que le LS possède actuellement 8/10 joueurs de SL. INEOS fera-t-il l'effort ???

Et yverdon 0 joueur. Meme si un fond de vérité il va dans la provocation

mic a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/lavis-dalexandre-comisetti-le-ls-est-la-seule-locomotive-dont-le-foot-vaudois-a-besoin-id18659016.html

On est tous d'accord : 3 clubs vaudois en SL est une parenthèse (sympathique pour ma part), mais ne va pas durer.
Faut juste s'assurer que si 1 ou des clubs vaudois tombe en CL, ça ne soit pas LS.

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/lavis-dalexandre-comisetti-le-ls-est-la-seule-locomotive-dont-le-foot-vaudois-a-besoin-id18659016.html

J'aime les gens qui disent ce qu'il pense vraiment. Merci Alexandre.

Mike21 a écrit:Et yverdon 0 joueur. Meme si un fond de vérité il va dans la provocation

Je dirais plutôt que Comisetti est dans la vérité avec un fond de provocation; YS a fini 1er en jouant toute la saison à 120% de ses capacités et en pouvant compter sur le parcours chaotique de pas mal d'autres équipes, chaque fois que je les ai vu jouer je me suis demandé comment ils pouvaient être en tête... à mon avis SLO aura davantage de moyens pour se renforcer, quant au LS, si on se contente de cinq nouveaux joueurs, la qualification dans le groupe des six premiers sera très difficile à obtenir.

Quelqu’un peut partager cet article ?
https://www.24heures.ch/les-seniors-du-lausanne-sport-la-gagne-au-talent-319133220541

LsLover a écrit:Quelqu’un peut partager cet article ?
https://www.24heures.ch/les-seniors-du-lausanne-sport-la-gagne-au-talent-319133220541

Les seniors du Lausanne-Sport, la gagne au talent

Vincent Steinmann en coach, Guillaume Katz en directeur sportif/capitaine, l’amour du jeu sans les contraintes et un paquet de titres: les seniors +30 du LS vivent une drôle de belle histoire.

***

Il n’en avait jamais marqué. À vrai dire, sa carrière professionnelle ne lui avait laissé que deux occasions. Un mythique soir d’août 2010 à Moscou, jour de la dernière qualification du Lausanne-Sport pour une phase de groupes de Coupe d’Europe. Ainsi qu’un plus anonyme deuxième tour de Coupe de Suisse en 2015, lorsqu’il portait les couleurs de Winterthour.

Voilà les deux seuls penalties tirés – et ratés – par Guillaume Katz. Alors dimanche, quand est arrivée l’heure du dernier tir de la séance au bout d’une finale haletante, l’homme aux 183 apparitions en bleu et blanc a déposé son fardeau quelque part, s’est avancé et a offert la Coupe de Suisse aux seniors +30 du LS. Ça n’a pas la même valeur chez les vétérans? À en juger par la course du défenseur pour aller célébrer le titre dans les bras de son fils et la mêlée vaudoise qui s’est formée sans attendre autour d’eux, si. Justement.

Tout dire et rien dire

Adepte des punchlines qui marquent, Vincent Steinmann en a une pour ça. «Le foot avec cette équipe, ça veut tout dire et rien dire.» Celui qui en est l’entraîneur («l’animateur!» corrige-t-il), en plus d’occuper la fonction de vice-président du club, tape dans le mille. Bien plus que des trophées, c’est cette dualité que soulèvent les seniors du Lausanne-Sport, composés d’anciens joueurs ayant presque tous un lien avec le club.

D’un côté donc, il y a le «tout dire». Ça saute aux yeux quand Damien Germanier célèbre un but de son coéquipier Carl Martinet comme une victoire en Coupe du monde. Quand Grégory Mathey aboie un bon coup depuis le banc en sentant que le match est en train d’échapper à ses partenaires. Quand une série de boules au fond du ventre gagne les joueurs à l’heure de se prendre par les épaules et d’attendre le dénouement des tirs au but. Puis quand les larmes du soulagement commencent à couler sur certains visages.

Et de l’autre, il y a le «rien dire». Ça, c’est quand Ken Nikravesh et Mathieu Maillard débarquent au stade à la mi-temps d’une finale de Coupe de Suisse, se changent et entrent en jeu vingt minutes plus tard. L’un parce qu’il travaille pour l’UEFA et qu’il revenait à peine de la finale de la Ligue des champions à Istanbul, l’autre parce qu’il avait un anniversaire.

Mais aussi quand le calendrier les fait enchaîner la finale de la Coupe vaudoise le samedi et celle de la Coupe de Suisse le lendemain. Ou encore quand le nombre de joueurs contingentés dans l’équipe est articulé: une petite cinquantaine d’éléments, pour toujours onze places sur le terrain (et des mi-temps de 40 minutes).

Le bâtisseur Guillaume Katz

Pour comprendre la popularité de cette équipe sans prétention, qui aime rappeler que «s’entraîner c’est tricher» et donc ne s’entraîne pas, il faut revenir à Guillaume Katz. En duo avec Vincent Steinmann, les deux hommes fondent en 2019 le groupe qui s’apprête à régner sur la catégorie.

Guillaume Katz, c’est le «directeur sportif», comme le nomme son binôme. Son caractère agréable et sa carrière à bourlinguer dans le canton (il a aussi joué à Nyon, Malley et Échallens) lui ont permis de rencontrer et de sympathiser avec un wagon de footballeurs vaudois talentueux. Qui feront, une fois la trentaine atteinte, d’excellentes recrues chez les vétérans. Quitte à ce que l’effectif déborde un peu.

Le gros coup du dernier mercato, c’est Migjen Basha. 51 matches de Serie A, 218 de Serie B, même quand on s’entraîne plus, ça pèse encore. «J’avais à peine eu le temps d’annoncer à Echallens mon départ l’été dernier que Guillaume avait déjà transféré ma licence au Lausanne-Sport», se marre le milieu de terrain aux 33 sélections avec l’Albanie, qui a retrouvé plusieurs anciens Challensois sous ses nouvelles couleurs.

Désormais entraîneur des M18 du Team Vaud, lui n’a manqué que deux petits matches parmi la trentaine disputée par les seniors vaudois cette saison. «C’est tellement important d’avoir ça. Pour garder la forme, quand on se retrouve soudain dans une vie nettement moins active. Et pour les rapports de travail entre nous. Parce que beaucoup des coéquipiers sont également employés du club.»

À sa naissance, le LS +30 avait un horizon: franchir tous les obstacles jusqu’au titre suprême de champion de Suisse. L’aventure a débuté tout en bas de l’échelle, par un succès 3-1 contre Racing puis… 24-0 face à Prilly. 85 matches, 78 victoires, 6 nuls, une défaite et quatre plus tard, le sommet est là.


****
En route pour le triplé

Disposer d’une cinquantaine d’éléments, dont le niveau est souvent au-dessus de la moyenne de la catégorie, c’est assez pratique lorsqu’il s’agit de partir à la conquête de trois titres en cinq jours. Comme la saison dernière, les seniors +30 du Lausanne-Sport ont déjà fait main basse sur la Coupe vaudoise. C’était samedi à Vallorbe et la jolie équipe de Lonay s’est retrouvée impuissante (5-1).

La moitié des titulaires étaient de retour sur le terrain le jour suivant à Genève, où l’Association des Portugais de Genève les a poussés jusque dans leurs derniers retranchements. Guillaume Katz a vaincu une malédiction très personnelle par rapport aux penalties et les Lausannois s’en sont sortis grâce à l’aide des tirs au but (1-1 après 80 minutes). L’aboutissement d’un projet.

Reste une dernière étape à franchir, après avoir déjà allégrement arrosé le doublé. La finale du groupe «champion» (le plus haut niveau) du championnat a lieu mercredi à Bottens (coup d’envoi à 19h30). Dernier contradicteur du Lausanne-Sport sur la route du triplé: Bursins-Rolle-Perroy. En saison régulière, BRP n’avait pas trouvé les armes pour régater, battu deux fois 5-0 par l’armada bleue et blanche. Peut-être en être autrement cette fois-ci?

Prolongations devant la justicePourquoi Constantin va attaquer la SFL au civil

Selon le patron du FC Sion, relégué, la licence n’aurait pas dû être accordée à Yverdon en première instance. Explications.

Avec infiniment de clarté, dire d’abord les choses: le FC Yverdon Sport a mérité sa promotion en Super League et le droit d’y évoluer, cela vient d’ailleurs d’être confirmé in fine par la commission des licences de la ligue. Avec la plus grande précaution ensuite, écouter les questions qui obsèdent Christian Constantin, toujours prêt à croiser le fer pour le FC Sion, même hors des terrains, en l’occurrence devant une justice civile: accorder une licence en première instance au club nord-vaudois était-il juste au regard du règlement, puisque c’est ce que conteste le président valaisan?

Le dossier est complexe. Un FC Sion exsangue, écrasé par Stade Lausanne Ouchy en barrage, est désormais relégué en Challenge League. Mais l’omnipotent président valaisan n’en restera pas là. Il va entamer une procédure devant la justice civile en attaquant la Swiss Football League.

Ici, Christian Constantin ne cherche pas à réintégrer Sion sur le tapis vert dans l’élite. Alexandre Zen-Ruffinen, son avocat chargé du dossier, l’explique: «L’objectif n’est pas de batailler pour réintégrer le FC Sion en Super League, c’est clair, dit-il. Le but, c’est de demander des dommages et intérêts.» L’action devrait être lancée dans deux ou trois mois.
Deux procédures

Constantin va même ouvrir deux feux devant la justice civile: il veut donc attaquer la SFL, mais il entend aussi lancer une procédure sur le thème de l’arbitrage, avec la version d’un complot dirigé contre Sion, faisant suite à une lettre rendue publique et envoyée aux responsables de l’arbitrage suisse.

On va laisser le dossier de l’arbitrage de côté: il est très difficile de démontrer un complot, ce que prétend Constantin. En revanche, sur le dossier de l’attribution de la licence en première instance à Yverdon Sport, existe-t-il des zones d’ombre?

Le «Règlement sur l’octroi des licences de la Swiss Football League» liste les critères d’obtention. Le FC Sion va attaquer en se basant sur l’article 8 ter, alinéa 2 et sur l’article 33 alinéa 5. Résumé en substance: quand un stade de remplacement doit être désigné, parce que le stade principal n’est pas aux normes pour le début de la saison à venir (c’est le cas du Stade municipal d’Yverdon avec notamment des problèmes d’éclairage à régler), il faut fournir une batterie de documents.

Yverdon a d’abord indiqué Sion comme stade de remplacement dans sa demande. Les Nord-Vaudois ont reçu l’aval du club résident pour jouer à Tourbillon, donc l’accord de Christian Constantin, ainsi que le feu vert de Philippe Varone, président de la Ville de Sion. Il leur fallait aussi un accord des autorités policières. C’est sur ce point, lié à la sécurité, que Constantin sort les griffes.
Un WhatsApp audio

Selon nos informations, Yverdon, dans sa demande de première instance, a accompagné son dossier d’un WhatsApp audio du vice-commandant de la police valaisanne, qui attesterait que les autorités policières ont été contactées et qu’elles donnaient un accord de principe, avec des discussions à suivre pour fixer les modalités et les charges financières inhérentes. Ce qui a suffi à la commission des licences.

Cet accord de principe n’est pas suffisant selon Christian Constantin. D’ailleurs, il a reçu l’appui du conseiller d’État valaisan Frédéric Favre. Ce dernier, chef du département incluant la sécurité, a refusé la venue d’Yverdon à Tourbillon fin mai, pour raisons liées à la… sécurité et aux coûts engendrés. Cela a obligé les dirigeants nord-vaudois à trouver, dans l’urgence, un autre stade de remplacement, la Maladière, à Neuchâtel. La SFL a donné son aval définitif après ce changement.

C’est pour cela que Christian Constantin monte au créneau. Selon lui, Yverdon n’aurait pas dû recevoir la licence en première instance avec Tourbillon indiqué comme stade de remplacement. Cette lecture du dossier, Christian Constantin n’a pas été le seul à la faire.
La lettre du SLO

Nous avons appris que les dirigeants du Stade Lausanne Ouchy ont envoyé une longue lettre à la SFL, pour l’avertir qu’ils se réservaient le droit de revenir sur les conditions d’obtention de la licence d’Yverdon en première instance, s’ils devaient échouer en barrage. Le SLO étant promu, la menace est tombée d’elle-même. Ce n’est pas le cas pour Sion, bien sûr.

Que dit la SFL de tout cela, avec la perspective de devoir se défendre devant un tribunal civil? La réponse de l’institution: «La SFL ne peut se prononcer sans avoir reçu une action ou une plainte. Cependant, nous sommes sereins dans le sens où, selon nous, il n’y a rien à contester.»

Qu’en dit Yverdon Sport? Marco Degennaro, directeur général du club, coupe court: «L’affaire est terminée pour nous. Nous nous concentrons sur la prochaine saison, en Super League.» Logique.

Sportivement, l’affaire est en effet close. Yverdon est promu, Sion est relégué. Mais Christian Constantin veut jouer les prolongations devant la justice. À tort ou à raison.

https://www.score.fr/football/articles/ogc-nice-deux-tournants-majeurs-en-interne/

Extrait : "En effet, selon Romain Molina, le milliardaire serait prêt à vendre le club [l'OGC Nice] en cas d’issue positive dans le rachat : « Ratcliffe va devoir faire des emprunts pour assumer le rachat de Manchester United. C'est bien sûr sa priorité. Ce qui est assez savoureux, c'est qu'il se murmure de plus en plus que pour pouvoir financer ce rachat, il pourrait vendre certaines de ses possessions... Dont Nice » affirme-t-il. The Athletic Football rajoute que Ratcliffe pourrait vendre le Gym s'il peut récupérer les 100 millions qu’il avait investi pour acheter le club niçois.
Des affirmations rapidement démenties par Ineos : « En tant que propriétaires de l’#OGCNice, nous prenons notre responsabilité de continuer à développer le club très au sérieux. »"

Poker menteur ???

En gros, un pauvre milliardaire qui fait les fonds de tiroirs !

C’est le Casino…. INEOS joue à qui perd gagne…

Malheureusement PERSONNE pour reprendre ce club sérieusement !

L'OGC Nice remis en vente … à cause de Manchester United ?
La bataille opposant le cheikh Jassim bin Hamad al-Thani et le milliardaire britannique Sir Jim Ratcliffe pour le rachat de Manchester United est partie pour durer encore un peu. Si l'on en croit le Times, un délai de 8 à 12 semaines sera nécessaire afin de passer par tout le processus d'approbation et valider l'offre de rachat aux Glazer, qu'elle soit anglaise ou qatarie.

Du côté du Gym, on va prier secrètement pour que ce soit le cheikh qui gagne. En effet, selon Romain Molina, de nouvelles rumeurs circulent sur la Côte d'Azur et prévoient la cession de l'OGC Nice par le groupe Ineos en cas de rachat de MU. « Ratcliffe va devoir faire des emprunts pour assumer le rachat de Manchester United. C'est bien sûr sa priorité. Ce qui est assez savoureux, c'est qu'il se murmure de plus en plus que pour pouvoir financer ce rachat, il pourrait vendre certaines de ses possessions... dont Nice ».

Football et sécurité
Comment maintenir l’ordre avec une armada de clubs en Super League?
Lausanne et le Canton sont interpellés sur les questions de sûreté que suscite la montée de trois clubs vaudois dans l’élite et d’un autre en Challenge League.

Renaud Bournoud

Publié aujourd’hui à 06h42

Les ultras valaisans lancent des engins pyrotechniques, mardi 6 juin, sur des policiers vaudois dans le stade de la Pontaise, à Lausanne, à la fin du match retour de promotion-relégation entre le FC Stade Lausanne Ouchy et le FC Sion. La violence dans les stades inquiète des élus.
Les ultras valaisans lancent des engins pyrotechniques, mardi 6 juin, sur des policiers vaudois dans le stade de la Pontaise, à Lausanne, à la fin du match retour de promotion-relégation entre le FC Stade Lausanne Ouchy et le FC Sion. La violence dans les stades inquiète des élus.
KEYSTONE/Laurent Gilliéron
Lausanne a désormais deux clubs de football dans l’élite, comme Manchester. La Credit Suisse Super League n’étant pas la Premier League anglaise, la comparaison s’arrête là. Toutefois, cette performance sportive amène un défi sécuritaire. Avec la montée en première division du Lausanne-Sport (LS) et celle du Stade Lausanne Ouchy (SLO), la capitale vaudoise devrait accueillir un match de Super League presque tous les week-ends. Ainsi que les débordements qui accompagnent régulièrement ce genre de rencontres.

La nouvelle saison du championnat débutera dans cinq semaines, ce qui suscite l’inquiétude chez certains élus lausannois. Mardi, le chef du groupe PS au Conseil communal, Louis Dana, et sa camarade députée au Grand Conseil, Thanh-My Tran-Nhu, déposent simultanément la même interpellation dans leur Conseil respectif.

«Si cette situation paraît réjouissante d’un point de vue sportif, ça va tendre à créer de nombreux désagréments pour la population vaudoise, et singulièrement lausannoise», écrit le duo socialiste. Au début du mois, le député UDC José Durussel s’était déjà ému de cette situation. Il avait émis le «vœu» que «le Conseil d’État mette tout en œuvre afin d’endiguer la violence qui accompagne trop régulièrement les matches de Super League de football suisse».

Le défi de la D2

Les deux élus PS rappellent qu’au niveau cantonal, il va falloir également compter avec la promotion d’Yverdon-Sport dans l’élite et l’arrivée du Stade Nyonnais en Challenge League (deuxième division). Les supporters de Sion, de Neuchâtel Xamax, de Thoune ou encore d’Aarau débarqueront ainsi sur La Côte. Les week-ends des forces de l’ordre s’annoncent chargés.

«Quel dispositif est prévu pour encadrer ces rencontres d’un point de vue sécuritaire? se demande Thanh-My Tran-Nhu. La question des effectifs de police engagés pour ces matches se pose.» Louis Dana ajoute que «Zurich est la seule autre ville de Suisse qui abrite deux clubs de l’élite (ndlr: FC Zurich et Grasshopper). Mais la Ville et le Canton de Zurich possèdent aussi les plus grands corps de police du pays.» L’agglomération zurichoise compte plus 1,4 million d’habitants, contre 400’000 pour la lausannoise.

«La mesure qui nous semble la plus efficace est la mise en place de billets nominatifs, comme il en existe en Angleterre.»

Pierre-Antoine Hildbrand, municipal lausannois de la Sécurité
Si la députée admet préférer le hockey au foot, le conseiller communal est, lui, un habitué de la Tuilière: «Il y a entre 800 et 1000 places pour les visiteurs au stade, ça fait quand même du monde». À Lausanne, tous ces supporters doivent traverser la ville à pied pour monter, soit à la Pontaise, soit à la Tuilière, un bout plus loin. Ces cortèges, qui sont parfois le théâtre d’affrontements, bloquent la ville et entraînent des perturbations sur le réseau des transports publics.

Car saccagé

«C’est ubuesque. On demande aux gens de prendre les transports publics pour se rendre aux matches, mais il n’y a pas de transport organisé depuis la Tuilière», s’étonne Louis Dana. En 2021, la Ville et le LS avaient mis sur pied, avec CarPostal, des bus pour amener les supporters au stade depuis la gare de Lausanne. L’opération n’a pas été reconduite, notamment après le saccage d’un car. Aux dernières nouvelles, une solution avec un transporteur d’un autre canton serait sur le point d’être trouvée.

D’ailleurs, la Municipalité de Lausanne estime, elle aussi, que le déplacement des supporters en cortège depuis les gares n’est pas une solution acceptable. «Mais la mesure qui nous semble la plus efficace est la mise en place de billets nominatifs, comme il en existe en Angleterre, par exemple», indique Pierre-Antoine Hildbrand, municipal de la Police. Apparemment, les clubs ne sont pas très chauds. Ce qui fait dire au magistrat lausannois: «Il n’y a que les clubs de football suisses qui ne souhaitent pas connaître leurs clients.»

Ah ces politicards.... ils croient tous que le modèle anglais est le meilleur... ça a juste déplacé la violence des tribunes a la ville, forêt, etc... faut arrêter de croire que les Hools anglais ont disparu...
Le billet nominatif ne réglera rien et même pire, provoquera bcp plus d'attente à l'entrée du stade pour des gens qui, pour la majorité, n'ont rien ou paa grand chose à se reprocher

Louis Dana un grand habitué de la tribune C avec quelques "amis de parti" mais qui ne doit je suppose, ne doit pas se déplacer souvent hors de la Tuilière pour comprendre l'ensemble des enjeux.

Je trouve dingue que des politiques qui supportent le LS fassent des raccourcis aussi simples sur les supporters.

Le 99% des supporters de comportent très bien. Dans le lot, comme à Yverdon ou Aarau, il y a de nombreuses familles et enfants présents.

Alors on fait quoi ? On crée aussi les billets nominatifs pour les soirées en boîtes à Lausanne pour quelques uns qui débordent?

On se retrouve devant le fait accompli. 2 clubs de Lausanne en SL et on sur-reagit avec des propositions de mesures ridicules. Personne n'avait prévu ce scénario? Ni à la commune ? Ni au canton ? Bravo !!! Quelle vision politique . Quelle anticipation. Dans le privé, on se ferait incendier.  

Coller des bûches à côté du stade,  pendant le match pas de problèmes. C'est facile et puéril.
Anticiper la venue des supporters, ah ben c'est autre chose.

Alors il faut diaboliser ces méchants supporters. Les flicer au maximum. Les tracer... tout cela pour ne pas résoudre le problème.

Enlevez les trains spéciaux, les supporters se déplaceront dans les autres trains . Au passage, merci a eux  les supporters, de voyager dans ces trains spéciaux,
que l'on peut (expérience faites maintes fois) qualifier de bétaillères  sans aucun confort.

Regardons ce qui se passe ailleurs en Suisse dans les villes de foot (Bâle, Berne,  Saint Gall) et mettons en place des mesures proportionnés,  en collaboration avec les clubs et groupe de supporters avant de lancer l'armée et la flicaille sur l'immense majorité des personnes en déplacement qui ne souhaitent que de pouvoir assister à un match de foot.

Scoopex a écrit:

Le 99% des supporters de comportent très bien. Dans le lot, comme à Yverdon ou Aarau, il y a de nombreuses familles et enfants présents.

Peut-être bien, mais il y a aussi un bon pourcentage de matches où il y a des débordements plus ou moins graves, donc ce n’est pas illégitime de soulever la question de la sécurité autour des matches.

Pour le billet nominatif, j’ai autant de mal à comprendre ses partisans que ses détracteurs: je ne vois pas trop en quoi il est utile (s’il y a des débordements dans une tribune, on aura une liste de suspects composée des 1’000-2’000 personnes qui ont acheté un billet dans cette tribune? ça va pas être simple…). Mais s’il est efficace (pour une raison qui m’échappe), pourquoi s’y opposer (est-ce une liberté fondamentale que de de pouvoir f… le b… de manière anonyme? et de toute manière, aujourd’hui, à moins de renoncer au portable et ses applications et aux cartes de paiement, chacun est facilement traçable)?

Là on tombe dans la question "faut-il punir tout le monde pour quelques imbéciles" ?

Fait est qu'il y a des imbéciles parmi les supporters (on est d'accord, il y a surtout des familles, des enfants et des gars super-corrects que j'ai vu organiser le ramassage des déchets après un match amical sur un terrain du Canton).

Mais il est du devoir des pouvoirs publics de se soucier de la question, comme d'autres (et coller les voitures pendant les matchs est puéril, on est aussi d'accord).

Je suis comme fatpig : je ne comprends pas le problème des billets nominatifs (les abos sont nominatifs, comme plein d'autres trucs), ni trop l'intérêt.

Si les clubs de supporters (du LS et leurs contacts dans les autres clubs) on des propositions, qu'ils organisent des assises ou qqch du style, ils seront (peut-être) écoutés.

kok9 a écrit:Là on tombe dans la question "faut-il punir tout le monde pour quelques imbéciles" ?

Fait est qu'il y a des imbéciles parmi les supporters (on est d'accord, il y a surtout des familles, des enfants et des gars super-corrects que j'ai vu organiser le ramassage des déchets après un match amical sur un terrain du Canton).

Mais il est du devoir des pouvoirs publics de se soucier de la question, comme d'autres (et coller les voitures pendant les matchs est puéril, on est aussi d'accord).

Je suis comme fatpig : je ne comprends pas le problème des billets nominatifs (les abos sont nominatifs, comme plein d'autres trucs), ni trop l'intérêt.

Si les clubs de supporters (du LS et leurs contacts dans les autres clubs) on des propositions, qu'ils organisent des assises ou qqch du style, ils seront (peut-être) écoutés.

Le problème chez nous c est la dispo du secteur visiteur ,les cortèges de supporters doivent passé devant la tribune d ,
On aurait dû inverser les tribunes au départ