Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/lausanne-soffre-lineosico-contre-nice-837175811714
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Olivier Custodio: «Marquer trois buts, c'était important»
https://lematin.ch/story/olivier-custodio-marquer-trois-buts-c-etait-important-938906862198
https://lematin.ch/story/olivier-custodio-marquer-trois-buts-c-etait-important-938906862198
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Les gars vous avez remarqué que vous avez posté 3 fois même article ??
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Oups, l'enthousiasme !lausarme a écrit:Les gars vous avez remarqué que vous avez posté 3 fois même article ??
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
lausarme aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/coup-denvoi-ce-samedi-toutes-les-nouveautes-en-super-league-id18757005.html
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.bluewin.ch/fr/sport/super-league/nous-voulons-faire-de-la-tuiliere-une-forteresse-imprenable-1816338.html
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/zeki-amdouni-remplit-aussi-les-caisses-du-ls-317732474391
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
De quoi logiquement recruter 2-3 joueurs pour jouer plus haut que le maintien, mais vu qu'on est satisfait de l'équipe actuelle...
6 millions pour le championnat Suisse, c'est une belle somme pour recruter
6 millions pour le championnat Suisse, c'est une belle somme pour recruter
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
6 Mios, ça peut aussi servir à diminuer l'endettement.
La suite sera intéressante et permettra de juger de la stratégie du proprio.
La suite sera intéressante et permettra de juger de la stratégie du proprio.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Plusieurs millions avaient été encaissés lors des ventes de Zeqiri et Ndoye, sans que le club investisse cet argent dans des achats de joueurs
football fan- Date d'inscription : 30/05/2008
Qwertz, Matt et Cc1974 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.rts.ch/sport/football/14174099-super-league-les-neopromus-doivent-muscler-leur-recrutement-local.html
Les stats sont toujours discutables, mais intéressant (et pas si étonnant).
Les stats sont toujours discutables, mais intéressant (et pas si étonnant).
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Voilà une bonne question pour vendredi.kok9 a écrit:6 Mios, ça peut aussi servir à diminuer l'endettement.
La suite sera intéressante et permettra de juger de la stratégie du proprio.
neLSon- Date d'inscription : 21/03/2022
kok9 et TKP1 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
football fan a écrit:Plusieurs millions avaient été encaissés lors des ventes de Zeqiri et Ndoye, sans que le club investisse cet argent dans des achats de joueurs
Sans donner de chiffres, notre president a bien dit que l’année passée on a beaucoup perdu car maintenu salaires/budget SL mais en CHL pour remonter tout de suite. On peux imaginer qu’on a perdu ces 5 millions et que la avec ce transfert ca equilibre.
Toujours est-il que depuis la venue d’Ineos on a encaisse 10-15 mio sur les transferts alors qu’avant sauf erreur c’etait NKufo il y a 20 ans pour 2.5 mio et niet depuis.
Donc Ineos voit qu’il y a du pognon a se faire en faisant exploser des jeunes et en les revandant.
Si on regarde notre contingent, c’est pas follichons a ce niveau. D’ou la (les) question(s) a poser a votre discussion cette semaine:
1/ quelle est la strategie du transfert a court/moyen terme
2/ que recherche Ineos avec notre club:
- un budget équilibré avec transferts a faire des que la demande arrive, meme a des clubs suisses?
- investir plus pour passer un pallier et nous faire jouer l’Europe?
3/ Est ce que le fait que Jim veuille acquérir un gros club comme ManU, que se passera-t-il si le LS, comme potentiellement Servette cette année devait se qualifier pour la Champions League?
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
kok9 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football - Reprise en Super League
Pour Contini, Lausanne peut rêver de tour final
Le technicien zurichois, sans club depuis son départ de GC, décrypte une saison de Super League qui ne s’annonce pas comme les autres. Coup d’envoi du championnat ce samedi.
André Boschetti
Pour la première fois en quinze ans de carrière d’entraîneur, Giorgio Contini a observé depuis l’extérieur ces semaines d’effervescence qui précèdent les trois coups d’une saison. «Là, à quelques jours de la reprise, j’ai un petit manque, c’est certain, car le foot est ma passion, admet celui qui a enchaîné les exercices avec Vaduz, Saint-Gall, LS, puis Grasshopper jusqu’en juin dernier. Mais pour le moment, je vis d’autant mieux cette pause que quitter Grasshopper a été ma décision. L’avantage, c’est que je vais enfin pouvoir passer de vraies vacances d’été en famille, ce qui ne m’est encore jamais arrivé. Maintenant, j’espère quand même que cette situation ne va pas se prolonger trop longtemps.»
La nouvelle formule
«La Super League vient de battre son record d’affluence, commence Giorgio Contini, et je ne suis pas certain que cette nouvelle formule apportera plus de spectacle. Mais comme je suis ouvert aux nouveautés, attendons deux ou trois ans avant d’émettre un avis. Cela dit, cette barre qui séparera les six premiers des six derniers après trois tours va mettre davantage de pression sur les clubs, car, à mon avis, ils sont dix à nourrir l’ambition de disputer ce tour final. Pour vivre une fin de saison sans stress négatif, passionnante et avec un bel objectif à atteindre.»
L’importance du départ
«L’issue des premières sorties est toujours importante, au niveau psychologique surtout. Commencer par une série négative peut vite entraîner une équipe au fond du classement avec des conséquences très néfastes pour le moral des joueurs. Même si le fait de jouer 33 matches avant le premier verdict donne davantage de temps pour se reprendre, bien entamer sa saison sera un bel avantage. En ce sens, le calendrier du LS par exemple est intéressant. Avec GC, Yverdon et Winterthour à domicile lors des cinq premières journées, un bon départ est envisageable.»
Un grand favori
«Plus que jamais, Young Boys sera l’équipe à battre. Même s’il y aura très certainement des départs d’ici à septembre, le club a très bien bossé en amont et déjà trouvé de bons substituts. Notamment Ganvoula (Bochum), un attaquant que je connais bien pour avoir essayé de l’engager à GC. La seule chose que j’espère, c’est que le championnat soit plus serré et indécis que le précédent, même si l’issue ne fait guère de doutes.»
Les outsiders
«Pour moi, la stabilité des effectifs reste l’une des clés du succès. Notamment pour bien réussir son départ. Le FC Lucerne s’est très bien renforcé avec des joueurs comme Ademi, Spadanuda et Okou qui correspondent bien à la mentalité de cette région. Il pourrait être la bonne surprise et se profiler comme l’un des principaux contradicteurs d’YB. Sinon, Bâle, malgré des départs importants, se doit de réagir et de lutter pour le titre. Les Européens Servette et Lugano ne devraient, eux non plus, pas avoir trop de problèmes pour se qualifier pour le tour final.»
Confirmation pour Servette?
«Le défi est compliqué à relever, souffle Contini. Mes petits doutes sont liés au changement d’entraîneur, car, sur le terrain, Tsunemoto et surtout Guillemenot sont deux vrais renforts pour un groupe où la plupart des joueurs qui ont contribué au 2e rang sont restés. Il faudra donc voir comment René Weiler va réussir à gérer l’après-Geiger, un entraîneur qui a marqué de son empreinte ces cinq dernières années. Leurs personnalités, leurs façons de travailler et leurs approches sont différentes. Quoi qu’il en soit, il ne faut pas oublier que la place de dauphin d’YB s’est aussi jouée à peu de choses dans un championnat équilibré où le manque de régularité a été quasi général. Même nous (GC), malgré un exercice médiocre, nous avons longtemps pu espérer terminer parmi les premiers. L’autre question est de savoir comment Servette - comme les autres Européens - va parvenir à gérer, peut-être jusqu’à la fin de l’année, la répétition des matches.»
Et le dernier élu?
«Il y aura de nombreux déçus en avril! Zurich, GC, Saint-Gall et le LS ont tous les atouts nécessaires pour se qualifier pour le tour final mais, à moins d’une défaillance toujours possible de l’un des outsiders, un seul devrait atteindre cet objectif. Personnellement, je donne une bonne chance aux Lausannois, qui ont conservé le même effectif en y ajoutant deux vrais renforts de qualité avec Dussenne et Kaly Sène. Je connais bien cet attaquant pour l’avoir dirigé avec GC en 2021-2022. Il m’a d’ailleurs beaucoup manqué la saison passée. C’est un joueur qui fait la différence, habile devant le but et un super type. Avec Labeau, il devrait composer un très bon duo offensif. Et à ces deux hommes on peut ajouter Baldé qui possède lui aussi un bon potentiel dans un registre différent. Et puis, par expérience, je peux confirmer que la première saison après une promotion est, grâce à l’enthousiasme qu’elle génère, la moins compliquée.»
SLO et Yverdon en danger
«La présence de trois clubs vaudois en Super League est extraordinaire et démontre que du bon travail est effectué dans le canton depuis des années. Cela dit, SLO et YS lutteront pour le maintien. Avec un petit avantage aux Lausannois, dont le groupe est stable et qui travaillent bien et avec intelligence. Si les pensionnaires de la Pontaise parviennent à conserver leur façon de jouer spectaculaire et à l’adapter au rythme et aux exigences de la SL, ils poseront de gros problèmes à de nombreux adversaires. À Yverdon, il y a beaucoup de mouvements et il faudra un peu de temps à Marco Schällibaum pour intégrer tous ces nouveaux joueurs arrivés récemment. Mais ce qui a fait la force du champion de Challenge League, c’est son formidable état d’esprit. Pour s’en sortir, il devra le conserver. Leur «cible» pourrait être Winterthour, mais je sais qu’après un bon premier exercice les Zurichois rêvent sans le dire d’accrocher le tour final grâce à l’effort qu’ils ont fait pour se renforcer.»
Pour Contini, Lausanne peut rêver de tour final
Le technicien zurichois, sans club depuis son départ de GC, décrypte une saison de Super League qui ne s’annonce pas comme les autres. Coup d’envoi du championnat ce samedi.
André Boschetti
Pour la première fois en quinze ans de carrière d’entraîneur, Giorgio Contini a observé depuis l’extérieur ces semaines d’effervescence qui précèdent les trois coups d’une saison. «Là, à quelques jours de la reprise, j’ai un petit manque, c’est certain, car le foot est ma passion, admet celui qui a enchaîné les exercices avec Vaduz, Saint-Gall, LS, puis Grasshopper jusqu’en juin dernier. Mais pour le moment, je vis d’autant mieux cette pause que quitter Grasshopper a été ma décision. L’avantage, c’est que je vais enfin pouvoir passer de vraies vacances d’été en famille, ce qui ne m’est encore jamais arrivé. Maintenant, j’espère quand même que cette situation ne va pas se prolonger trop longtemps.»
La nouvelle formule
«La Super League vient de battre son record d’affluence, commence Giorgio Contini, et je ne suis pas certain que cette nouvelle formule apportera plus de spectacle. Mais comme je suis ouvert aux nouveautés, attendons deux ou trois ans avant d’émettre un avis. Cela dit, cette barre qui séparera les six premiers des six derniers après trois tours va mettre davantage de pression sur les clubs, car, à mon avis, ils sont dix à nourrir l’ambition de disputer ce tour final. Pour vivre une fin de saison sans stress négatif, passionnante et avec un bel objectif à atteindre.»
L’importance du départ
«L’issue des premières sorties est toujours importante, au niveau psychologique surtout. Commencer par une série négative peut vite entraîner une équipe au fond du classement avec des conséquences très néfastes pour le moral des joueurs. Même si le fait de jouer 33 matches avant le premier verdict donne davantage de temps pour se reprendre, bien entamer sa saison sera un bel avantage. En ce sens, le calendrier du LS par exemple est intéressant. Avec GC, Yverdon et Winterthour à domicile lors des cinq premières journées, un bon départ est envisageable.»
Un grand favori
«Plus que jamais, Young Boys sera l’équipe à battre. Même s’il y aura très certainement des départs d’ici à septembre, le club a très bien bossé en amont et déjà trouvé de bons substituts. Notamment Ganvoula (Bochum), un attaquant que je connais bien pour avoir essayé de l’engager à GC. La seule chose que j’espère, c’est que le championnat soit plus serré et indécis que le précédent, même si l’issue ne fait guère de doutes.»
Les outsiders
«Pour moi, la stabilité des effectifs reste l’une des clés du succès. Notamment pour bien réussir son départ. Le FC Lucerne s’est très bien renforcé avec des joueurs comme Ademi, Spadanuda et Okou qui correspondent bien à la mentalité de cette région. Il pourrait être la bonne surprise et se profiler comme l’un des principaux contradicteurs d’YB. Sinon, Bâle, malgré des départs importants, se doit de réagir et de lutter pour le titre. Les Européens Servette et Lugano ne devraient, eux non plus, pas avoir trop de problèmes pour se qualifier pour le tour final.»
Confirmation pour Servette?
«Le défi est compliqué à relever, souffle Contini. Mes petits doutes sont liés au changement d’entraîneur, car, sur le terrain, Tsunemoto et surtout Guillemenot sont deux vrais renforts pour un groupe où la plupart des joueurs qui ont contribué au 2e rang sont restés. Il faudra donc voir comment René Weiler va réussir à gérer l’après-Geiger, un entraîneur qui a marqué de son empreinte ces cinq dernières années. Leurs personnalités, leurs façons de travailler et leurs approches sont différentes. Quoi qu’il en soit, il ne faut pas oublier que la place de dauphin d’YB s’est aussi jouée à peu de choses dans un championnat équilibré où le manque de régularité a été quasi général. Même nous (GC), malgré un exercice médiocre, nous avons longtemps pu espérer terminer parmi les premiers. L’autre question est de savoir comment Servette - comme les autres Européens - va parvenir à gérer, peut-être jusqu’à la fin de l’année, la répétition des matches.»
Et le dernier élu?
«Il y aura de nombreux déçus en avril! Zurich, GC, Saint-Gall et le LS ont tous les atouts nécessaires pour se qualifier pour le tour final mais, à moins d’une défaillance toujours possible de l’un des outsiders, un seul devrait atteindre cet objectif. Personnellement, je donne une bonne chance aux Lausannois, qui ont conservé le même effectif en y ajoutant deux vrais renforts de qualité avec Dussenne et Kaly Sène. Je connais bien cet attaquant pour l’avoir dirigé avec GC en 2021-2022. Il m’a d’ailleurs beaucoup manqué la saison passée. C’est un joueur qui fait la différence, habile devant le but et un super type. Avec Labeau, il devrait composer un très bon duo offensif. Et à ces deux hommes on peut ajouter Baldé qui possède lui aussi un bon potentiel dans un registre différent. Et puis, par expérience, je peux confirmer que la première saison après une promotion est, grâce à l’enthousiasme qu’elle génère, la moins compliquée.»
SLO et Yverdon en danger
«La présence de trois clubs vaudois en Super League est extraordinaire et démontre que du bon travail est effectué dans le canton depuis des années. Cela dit, SLO et YS lutteront pour le maintien. Avec un petit avantage aux Lausannois, dont le groupe est stable et qui travaillent bien et avec intelligence. Si les pensionnaires de la Pontaise parviennent à conserver leur façon de jouer spectaculaire et à l’adapter au rythme et aux exigences de la SL, ils poseront de gros problèmes à de nombreux adversaires. À Yverdon, il y a beaucoup de mouvements et il faudra un peu de temps à Marco Schällibaum pour intégrer tous ces nouveaux joueurs arrivés récemment. Mais ce qui a fait la force du champion de Challenge League, c’est son formidable état d’esprit. Pour s’en sortir, il devra le conserver. Leur «cible» pourrait être Winterthour, mais je sais qu’après un bon premier exercice les Zurichois rêvent sans le dire d’accrocher le tour final grâce à l’effort qu’ils ont fait pour se renforcer.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Pourvu que Contini aie raison !
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
dudu et Cc1974 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
"Zurich, GC, Saint-Gall et le LS ont tous les atouts nécessaires pour se qualifier pour le tour final"
Il fait quand même du politiquement correct avec les clubs qu'il a entrainé :-)
Il fait quand même du politiquement correct avec les clubs qu'il a entrainé :-)
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Cc1974 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.msn.com/fr-ch/actualite/other/le-football-suisse-est-malade-servette-est-le-seul-romand-%C3%A0-bien-se-porter-financi%C3%A8rement/ar-AA1e9vRl?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=378289fe3c63413384c3a5518e4d6087&ei=11
TKP1- Date d'inscription : 16/06/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
L'article posté par TKP au complet ci-dessous.
Je mets deux bémols aux conclusions :
1. L'étude est faite en 2021, année touchée par le COVID
2. L'étude tient compte des clubs y étant cette année-là, donc Sion et ses extravagances, GC et les essais de son nouveau patron chinois. Bâle qui malgré des recettes marketing et aux caisses les plus importantes de la ligue est en déficit structurel chaque année si ça n'est pas compensé par de la vente de joueurs (et ceci parce qu'ils achètent aussi de manière très importante).
Sur dix équipes, ça fait vite des pourcentages importants
Néanmoins on sait qu'il est difficile d'équilibrer les budgets en Suisse. Il n'y a rien de nouveau à cela. Et pas besoin d'étude non plus pour le prouver. A peine je suis juste surpris que le club du bout du lac s'en sorte bien avec son maigre public et ses buvettes à chier. Je pense qu'il avaient réussi une bonne vente de joueurs cette année-là.
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-football-suisse-est-malade-servette-est-le-seul-romand-a-bien-se-porter-financierement-id18765405.html
Je mets deux bémols aux conclusions :
1. L'étude est faite en 2021, année touchée par le COVID
2. L'étude tient compte des clubs y étant cette année-là, donc Sion et ses extravagances, GC et les essais de son nouveau patron chinois. Bâle qui malgré des recettes marketing et aux caisses les plus importantes de la ligue est en déficit structurel chaque année si ça n'est pas compensé par de la vente de joueurs (et ceci parce qu'ils achètent aussi de manière très importante).
Sur dix équipes, ça fait vite des pourcentages importants
Néanmoins on sait qu'il est difficile d'équilibrer les budgets en Suisse. Il n'y a rien de nouveau à cela. Et pas besoin d'étude non plus pour le prouver. A peine je suis juste surpris que le club du bout du lac s'en sorte bien avec son maigre public et ses buvettes à chier. Je pense qu'il avaient réussi une bonne vente de joueurs cette année-là.
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-football-suisse-est-malade-servette-est-le-seul-romand-a-bien-se-porter-financierement-id18765405.html
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Ça serait intéressant de lire l'étude complète, même si les conclusions ne semblent pas inattendues !
Je n'ai pas réussi à mettre la main dessus.
Je n'ai pas réussi à mettre la main dessus.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football
Le LS est ambitieux mais ne le dit pas trop fort
Au moment d’entamer sa saison en Super League face à YB dimanche (16h30), Ludovic Magnin et Olivier Custodio font profil bas. Mais pas trop.
André Boschetti
La quatrième tentative sera-t-elle la bonne? Ce dimanche au Wankdorf, face à ces Young Boys qui trônent, à un petit faux pas près, au sommet de la hiérarchie nationale depuis près de sept ans, le Lausanne-Sport entamera son quatrième retour - en douze ans seulement - au sein d’une élite qu’il n’avait jamais quittée au cours de sa longue histoire avant la triste mise en faillite du club en 2003.
Une réalité qu’en bon Vaudois Ludovic Magnin n’oublie pas. «Il faut rester lucide, bien garder en mémoire d’où on vient et savoir que pour nous installer durablement cette fois en Super League, nous avons encore plusieurs paliers à franchir, commence le coach lausannois. Maintenant, je reconnais que, grâce à cette promotion, nous avons fait un grand pas dans la bonne direction. Dans un premier temps, j’aimerais donc que le LS ne soit plus une équipe qui fait l’ascenseur entre la Super et la Challenge League. Dans cette optique, l’avantage aujourd’hui, c’est que je connais beaucoup mieux qu’il y a un an ce club, mes joueurs et ce qu’il nous manquait pour faire bonne figure en Super League. Raison pour laquelle nous avons préféré la qualité à la quantité pour améliorer le groupe.»
Milieu de tableau
Avec Noë Dussenne, Rares Ilie et Kaly Sène, Ludovic Magnin est certain d’avoir renforcé son contingent comme il le fallait pour atteindre l’objectif fixé par son président, Leen Heemskerk. «Je suis entièrement d’accord avec lui lorsqu’il dit que la place du LS en fin de saison devra se situer au milieu du classement. Pour avoir davantage d’arguments pour y parvenir, j’espère accueillir encore deux ou trois bons éléments. Et le plus tôt sera le mieux. Il faut aussi être conscient que certaines équipes sont actuellement bien en avance sur nous. Ce qui ne signifie pas que nous partirons battus face aux cadors du pays. Au contraire, je suis convaincu que nous sommes déjà capables de battre n’importe quel adversaire sur un match. Young Boys compris! Dimanche, nous ne nous déplacerons pas au Wankdorf pour nous jauger contre la meilleure équipe du pays, mais bel et bien avec l’ambition d’en ramener quelque chose. Et pourquoi pas la victoire si l’occasion se présente.»
Olivier Custodio, promu capitaine cette semaine, partage la conviction que ce Lausanne-Sport peut réaliser de belles choses dès cette première saison. «Je suis certain qu’il sera difficile pour tout le monde de battre le LS! Et même si, comme l’année dernière, nous savons qu’il faudra souffrir pour gagner chaque match, je suis moi aussi persuadé que nous sommes suffisamment bien armés pour atteindre les objectifs fixés par notre président.»
Pour y parvenir, le LS aura un précieux atout en plus. «En Super League, souligne le technicien vaudois, nous n’aurons plus l’obligation de gagner chaque rencontre comme c’était le cas en Challenge League. Ce qui enlève un peu de pression négative. En fait, cette saison nous aurons deux types de pressions différentes à gérer. Car si nous ne partons pas favoris contre les meilleures équipes, il est évident que nous le serons contre d’autres adversaires. Par exemple lors des nombreux derbies vaudois. Où Yverdon et SLO auront à cœur de chercher à nous battre, ce qui est tout à fait compréhensible.»
Et une qualification pour ce tour final, qui regroupera les six premiers en avril, est-elle envisageable? Une question à laquelle Olivier Custodio évite de répondre. «Dans le vestiaire, on n’y pense pas encore, sourit le capitaine lausannois. Notre esprit est focalisé sur le présent et cette envie d’accumuler le plus vite possible ces points qui nous permettront d’assurer notre maintien. Si tout se passe comme on l’aimerait, il sera alors assez tôt pour y songer lors des dernières journées du 3e tour qui seront probablement décisives.» Ne dit-on pas que l’appétit vient en mangeant?
L’avant-match-
YB - LS, dimanche 16 h 30
L’absent Brighton Labeau (au repos). Le meilleur buteur de Challenge League la saison passée reprendra l’entraînement avec le LS ce lundi après deux semaines de vacances après sa participation à la Gold Cup avec la Martinique.
Série noire Le déplacement au Wankdorf ne sourit pas aux Lausannois. Depuis la faillite de 2003, le LS s’est déplacé à quatorze reprises à Berne. Bilan: une victoire, deux nuls et onze défaites. Cet unique succès (3-1) remonte déjà au 9 avril 2012. Moussilou, Roux et Kamber avaient été les buteurs vaudois. Ludovic Magnin «Lorsque j’étais moi-même encore joueur, je préférais affronter les meilleurs en début de saison. C’est un défi compliqué qui nous attend, mais cela fait longtemps que l’ordre du calendrier ne me préoccupe plus du tout.» ABO
André Boschetti
Trois Vaudois, deux attentes différentes, un même objectif
Cette saison historique pour le football vaudois s’annonce de façon un peu différente pour le Lausanne-Sport, Yverdon Sport et Stade Lausanne Ouchy. S’ils ont tous comme objectif logique le maintien, les attentes pour les trois néopromus en Super League ne sont pas tout à fait les mêmes.
Pour le LS, club historique de l’élite suisse en main d’un puissant propriétaire depuis près de six ans, l’ambition ne peut se résumer à arracher son maintien au terme d’un exercice laborieux. L’équipe de Ludovic Magnin doit y ajouter ce brin de panache qui a malheureusement souvent fait défaut la saison dernière. Pour donner du crédit et un vrai élan à ce projet qui consiste à ramener le club dans le premier tiers du tableau. Pour, aussi, fidéliser davantage encore un public qui attend certes des victoires mais aussi du spectacle et des émotions. Les exigences ne seront pas aussi hautes pour le SLO et YS, deux clubs, certes solides sur le plan financier, qui ont également pour mission de se structurer comme de vrais clubs professionnels dignes du rang qu’ils ont mérité sur le terrain. Tous deux s’apprêtent aussi à découvrir, ou redécouvrir pour les Nord-Vaudois, une réalité dont ils ignorent tout, ou presque. Candidats désignés au fond du classement par la très forte majorité des experts, les deux petits poucets de cette Super League à douze devront réaliser un exploit plus grand encore que celui du printemps passé pour rester au «paradis». Un énorme défi que tous deux se disent convaincus de réussir à relever mais auquel ils s’attaquent de façon opposée: en misant sur la stabilité côté lausannois et sur de profonds changements à Yverdon. Reste à découvrir qui aura raison à l’aube d’une saison qui s’annonce d’ores et déjà passionnante.
Le LS est ambitieux mais ne le dit pas trop fort
Au moment d’entamer sa saison en Super League face à YB dimanche (16h30), Ludovic Magnin et Olivier Custodio font profil bas. Mais pas trop.
André Boschetti
La quatrième tentative sera-t-elle la bonne? Ce dimanche au Wankdorf, face à ces Young Boys qui trônent, à un petit faux pas près, au sommet de la hiérarchie nationale depuis près de sept ans, le Lausanne-Sport entamera son quatrième retour - en douze ans seulement - au sein d’une élite qu’il n’avait jamais quittée au cours de sa longue histoire avant la triste mise en faillite du club en 2003.
Une réalité qu’en bon Vaudois Ludovic Magnin n’oublie pas. «Il faut rester lucide, bien garder en mémoire d’où on vient et savoir que pour nous installer durablement cette fois en Super League, nous avons encore plusieurs paliers à franchir, commence le coach lausannois. Maintenant, je reconnais que, grâce à cette promotion, nous avons fait un grand pas dans la bonne direction. Dans un premier temps, j’aimerais donc que le LS ne soit plus une équipe qui fait l’ascenseur entre la Super et la Challenge League. Dans cette optique, l’avantage aujourd’hui, c’est que je connais beaucoup mieux qu’il y a un an ce club, mes joueurs et ce qu’il nous manquait pour faire bonne figure en Super League. Raison pour laquelle nous avons préféré la qualité à la quantité pour améliorer le groupe.»
Milieu de tableau
Avec Noë Dussenne, Rares Ilie et Kaly Sène, Ludovic Magnin est certain d’avoir renforcé son contingent comme il le fallait pour atteindre l’objectif fixé par son président, Leen Heemskerk. «Je suis entièrement d’accord avec lui lorsqu’il dit que la place du LS en fin de saison devra se situer au milieu du classement. Pour avoir davantage d’arguments pour y parvenir, j’espère accueillir encore deux ou trois bons éléments. Et le plus tôt sera le mieux. Il faut aussi être conscient que certaines équipes sont actuellement bien en avance sur nous. Ce qui ne signifie pas que nous partirons battus face aux cadors du pays. Au contraire, je suis convaincu que nous sommes déjà capables de battre n’importe quel adversaire sur un match. Young Boys compris! Dimanche, nous ne nous déplacerons pas au Wankdorf pour nous jauger contre la meilleure équipe du pays, mais bel et bien avec l’ambition d’en ramener quelque chose. Et pourquoi pas la victoire si l’occasion se présente.»
Olivier Custodio, promu capitaine cette semaine, partage la conviction que ce Lausanne-Sport peut réaliser de belles choses dès cette première saison. «Je suis certain qu’il sera difficile pour tout le monde de battre le LS! Et même si, comme l’année dernière, nous savons qu’il faudra souffrir pour gagner chaque match, je suis moi aussi persuadé que nous sommes suffisamment bien armés pour atteindre les objectifs fixés par notre président.»
Pour y parvenir, le LS aura un précieux atout en plus. «En Super League, souligne le technicien vaudois, nous n’aurons plus l’obligation de gagner chaque rencontre comme c’était le cas en Challenge League. Ce qui enlève un peu de pression négative. En fait, cette saison nous aurons deux types de pressions différentes à gérer. Car si nous ne partons pas favoris contre les meilleures équipes, il est évident que nous le serons contre d’autres adversaires. Par exemple lors des nombreux derbies vaudois. Où Yverdon et SLO auront à cœur de chercher à nous battre, ce qui est tout à fait compréhensible.»
Et une qualification pour ce tour final, qui regroupera les six premiers en avril, est-elle envisageable? Une question à laquelle Olivier Custodio évite de répondre. «Dans le vestiaire, on n’y pense pas encore, sourit le capitaine lausannois. Notre esprit est focalisé sur le présent et cette envie d’accumuler le plus vite possible ces points qui nous permettront d’assurer notre maintien. Si tout se passe comme on l’aimerait, il sera alors assez tôt pour y songer lors des dernières journées du 3e tour qui seront probablement décisives.» Ne dit-on pas que l’appétit vient en mangeant?
L’avant-match-
YB - LS, dimanche 16 h 30
L’absent Brighton Labeau (au repos). Le meilleur buteur de Challenge League la saison passée reprendra l’entraînement avec le LS ce lundi après deux semaines de vacances après sa participation à la Gold Cup avec la Martinique.
Série noire Le déplacement au Wankdorf ne sourit pas aux Lausannois. Depuis la faillite de 2003, le LS s’est déplacé à quatorze reprises à Berne. Bilan: une victoire, deux nuls et onze défaites. Cet unique succès (3-1) remonte déjà au 9 avril 2012. Moussilou, Roux et Kamber avaient été les buteurs vaudois. Ludovic Magnin «Lorsque j’étais moi-même encore joueur, je préférais affronter les meilleurs en début de saison. C’est un défi compliqué qui nous attend, mais cela fait longtemps que l’ordre du calendrier ne me préoccupe plus du tout.» ABO
André Boschetti
Trois Vaudois, deux attentes différentes, un même objectif
Cette saison historique pour le football vaudois s’annonce de façon un peu différente pour le Lausanne-Sport, Yverdon Sport et Stade Lausanne Ouchy. S’ils ont tous comme objectif logique le maintien, les attentes pour les trois néopromus en Super League ne sont pas tout à fait les mêmes.
Pour le LS, club historique de l’élite suisse en main d’un puissant propriétaire depuis près de six ans, l’ambition ne peut se résumer à arracher son maintien au terme d’un exercice laborieux. L’équipe de Ludovic Magnin doit y ajouter ce brin de panache qui a malheureusement souvent fait défaut la saison dernière. Pour donner du crédit et un vrai élan à ce projet qui consiste à ramener le club dans le premier tiers du tableau. Pour, aussi, fidéliser davantage encore un public qui attend certes des victoires mais aussi du spectacle et des émotions. Les exigences ne seront pas aussi hautes pour le SLO et YS, deux clubs, certes solides sur le plan financier, qui ont également pour mission de se structurer comme de vrais clubs professionnels dignes du rang qu’ils ont mérité sur le terrain. Tous deux s’apprêtent aussi à découvrir, ou redécouvrir pour les Nord-Vaudois, une réalité dont ils ignorent tout, ou presque. Candidats désignés au fond du classement par la très forte majorité des experts, les deux petits poucets de cette Super League à douze devront réaliser un exploit plus grand encore que celui du printemps passé pour rester au «paradis». Un énorme défi que tous deux se disent convaincus de réussir à relever mais auquel ils s’attaquent de façon opposée: en misant sur la stabilité côté lausannois et sur de profonds changements à Yverdon. Reste à découvrir qui aura raison à l’aube d’une saison qui s’annonce d’ores et déjà passionnante.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Extrait d’un article parût aujourd’hui dans la NZZ qui thématise la montée de 3 clubs vaudois en Super League et dans lequel on apprend que Vincent Steinmann veut plus de bobos à la Tuilière…
« Ils sont plus réservés et moins français que les Genevois, moins bourguignons que les Neuchâtelois, moins allemands que les Fribourgeois et moins savoyards que les Valaisans ».
En 1837, le poète et historien Juste Olivier décrivait en ces termes ses compatriotes vaudois. Il définissait à partir de la démarcation. Par la négation.
Près de 200 ans plus tard, à la fin de la dernière saison de football, un sous-entendu similaire prévaut. Une fois de plus, on écrit sur les Vaudois. Plus précisément, sur trois clubs de football qui ont accédé à la Super League. Ils s'appellent Lausanne-Sport, Stade Lausanne-Ouchy et Yverdon-Sport.
La joie suscitée par l'arrivée de trois nouveaux clubs dans la plus haute ligue de football est limitée, surtout en Suisse alémanique.
L'"Aargauer Zeitung" a écrit que la promotion du Lausanne-Ouchy et d'Yverdon n'était pas un plus pour la ligue. Le "Tages-Anzeiger" a montré de la compassion pour les comptables des grands clubs de Suisse alémanique, qui devraient certainement s'attendre à une baisse de leur chiffre d'affaires avec des adversaires aussi peu attrayants. Et la NZZ a même parlé d'un "scénario d'horreur".
Une des raisons de ces réactions négatives : La saison dernière, les trois clubs ont attiré ensemble moins de spectateurs que le FC Winterthur seul.
La nouvelle saison débute ce week-end. Il est temps de réfléchir si l'on a fait du tort aux Vaudois. L'occasion de se demander qui ils sont vraiment. D'emblée, on peut dire qu'ils ne pourraient pas être plus différents les uns des autres.
Le Lausanne-Sport a raté le coche
On a fait une erreur décisive à Lausanne, dit le vice-président du Lausanne-Sport, Vincent Steinmann. "Nous sommes restés 20 ans de trop à la Pontaise".
Pour Steinmann, cette erreur est décisive, car de nombreux clubs de Suisse alémanique ont connu un développement fulgurant durant la même période. Il y a eu de nouveaux stades à Lucerne, Bâle, Berne, Saint-Gall. Ces clubs ont augmenté leur budget, génèrent de nouvelles recettes.
Le Lausanne-Sport a manqué cela. Il a été relégué, puis remonté. Des supporters adverses ont chanté : "C'est bleu, c'est blanc, ça monte et ça descend, c'est Lausanne".
Le Lausanne-Sport veut s'éloigner de son image d'équipe d'ascenseur
Pour s'établir aujourd'hui en Super League, dit Steinmann, il faut travailler avec un budget pouvant atteindre 20 millions de francs. Grâce au groupe chimique britannique Ineos, ces chiffres sont désormais réalistes, même à Lausanne. A long terme, le club doit s'autofinancer.
Steinmann a déjà un plan pour cela. Le principe est simple. Avec de l'argent, le club encourage le travail avec les jeunes et sa propre académie. Le nouveau stade apporte de l'argent supplémentaire et rend le club plus attractif pour les sponsors. Dans le meilleur des cas, il en résulte un succès qui attire à son tour un nouveau public.
Steinmann est né à Lausanne et est fan du Lausanne-Sport depuis son plus jeune âge. Il travaille au club depuis cinq ans. D'abord comme responsable du marketing, puis comme vice-président depuis 2021. Rien qu'au cours de ces cinq années, il a connu deux relégations et deux ascensions. Il en est convaincu : la montée de la saison dernière était la dernière pour le Lausanne-Sport.
Seulement, ce n'est pas si simple. On l'a vu en 2022 : à la fin de la saison, le club était en tête du classement pour la promotion des jeunes footballeurs suisses. Mais pas du classement. Le Lausanne a été relégué malgré les millions d'Ineos.
70% du public du Lausanne-Sport vient de l'extérieur de la ville
Dans les années 1980, le Lausanne-Sport jouait souvent ses matchs à domicile le samedi soir à 20 h 30. Cela permettait aux agriculteurs du canton de terminer leur travail dans les champs avant de se rendre au match. Et l'ancien président du club, Alain Joseph, disait encore en 2022 à son successeur Bob Ratcliffe que le club était une épicerie et non un supermarché.
Le club a conservé son fort enracinement dans la population rurale. Selon Steinmann, 70 pour cent des spectateurs viennent toujours de l'extérieur de la ville. Seulement, le Lausanne-Sport ne veut plus être une épicerie de quartier ou de village.
Vincent Steinmann est assis dans une loge de sponsors du Stade de la Tuilière. Le stade a coûté 80 millions de francs. La ville en a payé la majeure partie. Ineos, propriétaire du club depuis 2017, a embelli l'installation avec des écrans géants, un éclairage LED et un aménagement intérieur haut de gamme. Dans le ventre du stade, il ne manque que la musique, les sacs Freitag et le chai-latte pour en faire un café hipster.
Une boutique plutôt qu'une Pontaise
"La marque Lausanne-Sport doit être attractive pour les bobos, c'est-à-dire les quadragénaires aisés et bien éduqués, de sensibilité libérale de gauche. Un club qui fait penser à un hôtel-boutique", dit Steinmann. Ne craint-il pas, avec cette yuppisation, de faire fuir son public habituel ?
Non, répond Steinmann, un jeune d'Echallens ressemble plus à un jeune de Lausanne aujourd'hui qu'à un jeune du même âge qui a grandi dans sa commune il y a 30 ans. Et aujourd'hui, une épicerie a aussi du mal à s'implanter à Echallens.
Reste à savoir si le plan va fonctionner cette fois-ci. Le club a des ambitions depuis des années. Steinmann dit : "Si nous n'y arrivons pas avec ces conditions, nous devons nous remettre fondamentalement en question en tant que club".
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
« Ils sont plus réservés et moins français que les Genevois, moins bourguignons que les Neuchâtelois, moins allemands que les Fribourgeois et moins savoyards que les Valaisans ».
En 1837, le poète et historien Juste Olivier décrivait en ces termes ses compatriotes vaudois. Il définissait à partir de la démarcation. Par la négation.
Près de 200 ans plus tard, à la fin de la dernière saison de football, un sous-entendu similaire prévaut. Une fois de plus, on écrit sur les Vaudois. Plus précisément, sur trois clubs de football qui ont accédé à la Super League. Ils s'appellent Lausanne-Sport, Stade Lausanne-Ouchy et Yverdon-Sport.
La joie suscitée par l'arrivée de trois nouveaux clubs dans la plus haute ligue de football est limitée, surtout en Suisse alémanique.
L'"Aargauer Zeitung" a écrit que la promotion du Lausanne-Ouchy et d'Yverdon n'était pas un plus pour la ligue. Le "Tages-Anzeiger" a montré de la compassion pour les comptables des grands clubs de Suisse alémanique, qui devraient certainement s'attendre à une baisse de leur chiffre d'affaires avec des adversaires aussi peu attrayants. Et la NZZ a même parlé d'un "scénario d'horreur".
Une des raisons de ces réactions négatives : La saison dernière, les trois clubs ont attiré ensemble moins de spectateurs que le FC Winterthur seul.
La nouvelle saison débute ce week-end. Il est temps de réfléchir si l'on a fait du tort aux Vaudois. L'occasion de se demander qui ils sont vraiment. D'emblée, on peut dire qu'ils ne pourraient pas être plus différents les uns des autres.
Le Lausanne-Sport a raté le coche
On a fait une erreur décisive à Lausanne, dit le vice-président du Lausanne-Sport, Vincent Steinmann. "Nous sommes restés 20 ans de trop à la Pontaise".
Pour Steinmann, cette erreur est décisive, car de nombreux clubs de Suisse alémanique ont connu un développement fulgurant durant la même période. Il y a eu de nouveaux stades à Lucerne, Bâle, Berne, Saint-Gall. Ces clubs ont augmenté leur budget, génèrent de nouvelles recettes.
Le Lausanne-Sport a manqué cela. Il a été relégué, puis remonté. Des supporters adverses ont chanté : "C'est bleu, c'est blanc, ça monte et ça descend, c'est Lausanne".
Le Lausanne-Sport veut s'éloigner de son image d'équipe d'ascenseur
Pour s'établir aujourd'hui en Super League, dit Steinmann, il faut travailler avec un budget pouvant atteindre 20 millions de francs. Grâce au groupe chimique britannique Ineos, ces chiffres sont désormais réalistes, même à Lausanne. A long terme, le club doit s'autofinancer.
Steinmann a déjà un plan pour cela. Le principe est simple. Avec de l'argent, le club encourage le travail avec les jeunes et sa propre académie. Le nouveau stade apporte de l'argent supplémentaire et rend le club plus attractif pour les sponsors. Dans le meilleur des cas, il en résulte un succès qui attire à son tour un nouveau public.
Steinmann est né à Lausanne et est fan du Lausanne-Sport depuis son plus jeune âge. Il travaille au club depuis cinq ans. D'abord comme responsable du marketing, puis comme vice-président depuis 2021. Rien qu'au cours de ces cinq années, il a connu deux relégations et deux ascensions. Il en est convaincu : la montée de la saison dernière était la dernière pour le Lausanne-Sport.
Seulement, ce n'est pas si simple. On l'a vu en 2022 : à la fin de la saison, le club était en tête du classement pour la promotion des jeunes footballeurs suisses. Mais pas du classement. Le Lausanne a été relégué malgré les millions d'Ineos.
70% du public du Lausanne-Sport vient de l'extérieur de la ville
Dans les années 1980, le Lausanne-Sport jouait souvent ses matchs à domicile le samedi soir à 20 h 30. Cela permettait aux agriculteurs du canton de terminer leur travail dans les champs avant de se rendre au match. Et l'ancien président du club, Alain Joseph, disait encore en 2022 à son successeur Bob Ratcliffe que le club était une épicerie et non un supermarché.
Le club a conservé son fort enracinement dans la population rurale. Selon Steinmann, 70 pour cent des spectateurs viennent toujours de l'extérieur de la ville. Seulement, le Lausanne-Sport ne veut plus être une épicerie de quartier ou de village.
Vincent Steinmann est assis dans une loge de sponsors du Stade de la Tuilière. Le stade a coûté 80 millions de francs. La ville en a payé la majeure partie. Ineos, propriétaire du club depuis 2017, a embelli l'installation avec des écrans géants, un éclairage LED et un aménagement intérieur haut de gamme. Dans le ventre du stade, il ne manque que la musique, les sacs Freitag et le chai-latte pour en faire un café hipster.
Une boutique plutôt qu'une Pontaise
"La marque Lausanne-Sport doit être attractive pour les bobos, c'est-à-dire les quadragénaires aisés et bien éduqués, de sensibilité libérale de gauche. Un club qui fait penser à un hôtel-boutique", dit Steinmann. Ne craint-il pas, avec cette yuppisation, de faire fuir son public habituel ?
Non, répond Steinmann, un jeune d'Echallens ressemble plus à un jeune de Lausanne aujourd'hui qu'à un jeune du même âge qui a grandi dans sa commune il y a 30 ans. Et aujourd'hui, une épicerie a aussi du mal à s'implanter à Echallens.
Reste à savoir si le plan va fonctionner cette fois-ci. Le club a des ambitions depuis des années. Steinmann dit : "Si nous n'y arrivons pas avec ces conditions, nous devons nous remettre fondamentalement en question en tant que club".
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Clash- Date d'inscription : 11/09/2007
kok9 aime ce message
mic n'aime pas ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Clash a écrit:Extrait d’un article parût aujourd’hui dans la NZZ qui thématise la montée de 3 clubs vaudois en Super League et dans lequel on apprend que Vincent Steinmann veut plus de bobos à la Tuilière…
« Ils sont plus réservés et moins français que les Genevois, moins bourguignons que les Neuchâtelois, moins allemands que les Fribourgeois et moins savoyards que les Valaisans ».
En 1837, le poète et historien Juste Olivier décrivait en ces termes ses compatriotes vaudois. Il définissait à partir de la démarcation. Par la négation.
Près de 200 ans plus tard, à la fin de la dernière saison de football, un sous-entendu similaire prévaut. Une fois de plus, on écrit sur les Vaudois. Plus précisément, sur trois clubs de football qui ont accédé à la Super League. Ils s'appellent Lausanne-Sport, Stade Lausanne-Ouchy et Yverdon-Sport.
La joie suscitée par l'arrivée de trois nouveaux clubs dans la plus haute ligue de football est limitée, surtout en Suisse alémanique.
L'"Aargauer Zeitung" a écrit que la promotion du Lausanne-Ouchy et d'Yverdon n'était pas un plus pour la ligue. Le "Tages-Anzeiger" a montré de la compassion pour les comptables des grands clubs de Suisse alémanique, qui devraient certainement s'attendre à une baisse de leur chiffre d'affaires avec des adversaires aussi peu attrayants. Et la NZZ a même parlé d'un "scénario d'horreur".
Une des raisons de ces réactions négatives : La saison dernière, les trois clubs ont attiré ensemble moins de spectateurs que le FC Winterthur seul.
La nouvelle saison débute ce week-end. Il est temps de réfléchir si l'on a fait du tort aux Vaudois. L'occasion de se demander qui ils sont vraiment. D'emblée, on peut dire qu'ils ne pourraient pas être plus différents les uns des autres.
Le Lausanne-Sport a raté le coche
On a fait une erreur décisive à Lausanne, dit le vice-président du Lausanne-Sport, Vincent Steinmann. "Nous sommes restés 20 ans de trop à la Pontaise".
Pour Steinmann, cette erreur est décisive, car de nombreux clubs de Suisse alémanique ont connu un développement fulgurant durant la même période. Il y a eu de nouveaux stades à Lucerne, Bâle, Berne, Saint-Gall. Ces clubs ont augmenté leur budget, génèrent de nouvelles recettes.
Le Lausanne-Sport a manqué cela. Il a été relégué, puis remonté. Des supporters adverses ont chanté : "C'est bleu, c'est blanc, ça monte et ça descend, c'est Lausanne".
Le Lausanne-Sport veut s'éloigner de son image d'équipe d'ascenseur
Pour s'établir aujourd'hui en Super League, dit Steinmann, il faut travailler avec un budget pouvant atteindre 20 millions de francs. Grâce au groupe chimique britannique Ineos, ces chiffres sont désormais réalistes, même à Lausanne. A long terme, le club doit s'autofinancer.
Steinmann a déjà un plan pour cela. Le principe est simple. Avec de l'argent, le club encourage le travail avec les jeunes et sa propre académie. Le nouveau stade apporte de l'argent supplémentaire et rend le club plus attractif pour les sponsors. Dans le meilleur des cas, il en résulte un succès qui attire à son tour un nouveau public.
Steinmann est né à Lausanne et est fan du Lausanne-Sport depuis son plus jeune âge. Il travaille au club depuis cinq ans. D'abord comme responsable du marketing, puis comme vice-président depuis 2021. Rien qu'au cours de ces cinq années, il a connu deux relégations et deux ascensions. Il en est convaincu : la montée de la saison dernière était la dernière pour le Lausanne-Sport.
Seulement, ce n'est pas si simple. On l'a vu en 2022 : à la fin de la saison, le club était en tête du classement pour la promotion des jeunes footballeurs suisses. Mais pas du classement. Le Lausanne a été relégué malgré les millions d'Ineos.
70% du public du Lausanne-Sport vient de l'extérieur de la ville
Dans les années 1980, le Lausanne-Sport jouait souvent ses matchs à domicile le samedi soir à 20 h 30. Cela permettait aux agriculteurs du canton de terminer leur travail dans les champs avant de se rendre au match. Et l'ancien président du club, Alain Joseph, disait encore en 2022 à son successeur Bob Ratcliffe que le club était une épicerie et non un supermarché.
Le club a conservé son fort enracinement dans la population rurale. Selon Steinmann, 70 pour cent des spectateurs viennent toujours de l'extérieur de la ville. Seulement, le Lausanne-Sport ne veut plus être une épicerie de quartier ou de village.
Vincent Steinmann est assis dans une loge de sponsors du Stade de la Tuilière. Le stade a coûté 80 millions de francs. La ville en a payé la majeure partie. Ineos, propriétaire du club depuis 2017, a embelli l'installation avec des écrans géants, un éclairage LED et un aménagement intérieur haut de gamme. Dans le ventre du stade, il ne manque que la musique, les sacs Freitag et le chai-latte pour en faire un café hipster.
Une boutique plutôt qu'une Pontaise
"La marque Lausanne-Sport doit être attractive pour les bobos, c'est-à-dire les quadragénaires aisés et bien éduqués, de sensibilité libérale de gauche. Un club qui fait penser à un hôtel-boutique", dit Steinmann. Ne craint-il pas, avec cette yuppisation, de faire fuir son public habituel ?
Non, répond Steinmann, un jeune d'Echallens ressemble plus à un jeune de Lausanne aujourd'hui qu'à un jeune du même âge qui a grandi dans sa commune il y a 30 ans. Et aujourd'hui, une épicerie a aussi du mal à s'implanter à Echallens.
Reste à savoir si le plan va fonctionner cette fois-ci. Le club a des ambitions depuis des années. Steinmann dit : "Si nous n'y arrivons pas avec ces conditions, nous devons nous remettre fondamentalement en question en tant que club".
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Ce que j’ai remarqué aussi j’ai l’impression depuis quelque années que 50% du public c’est des Bobos
Rolls- Date d'inscription : 13/08/2020
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Je sais pas ce qu’il a pris Vincent mais il a trop bu d’aperol spritz en plein soleil sur la terrasse du great avant son interview
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
mic a écrit:Je sais pas ce qu’il a pris Vincent mais il a trop bu d’aperol spritz en plein soleil sur la terrasse du great avant son interview
Et il a fais un p’tit détour par le Paléo
Rolls- Date d'inscription : 13/08/2020
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/les-premieres-ne-sourient-que-rarement-au-ls-597682109096
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
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