Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
dudu a écrit:Triste et pour les plus anciens, cela nous rappel Stéphane Savovic et aussi Olivier Baudry
https://www.blick.ch/fr/sport/football/il-laisse-quatre-enfants-a-34-ans-nicolas-schindelholz-a-perdu-son-combat-contre-le-cancer-id17895080.html
4 très jeunes enfants, en plus, c’est terrible…
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Il est mythique notre Ludo (lors du concours de cuisine des joueurs du LS
https://i.servimg.com/u/f32/17/93/69/04/fdl-mv10.jpg
https://i.servimg.com/u/f32/17/93/69/04/fdl-mv10.jpg
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Sympa, le petit jeune !
https://youtu.be/mYAStYzWLaY
https://youtu.be/mYAStYzWLaY
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Thierrible, dudu et LsLover aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
L’éditorial
Faire vivre les stades toute l’année
Même les plus acharnés des fans, du vieux de la vieille qui avait son abonnement à Montchoisi à l’ultra qui fait le tour de Suisse en bus le mardi, vont devoir s’y faire. Au XXIe siècle, un club de hockey ou de football ne peut plus être qu’un club de hockey ou de football. À notre époque, le Lausanne Hockey Club ou le Lausanne-Sport sont obligés de dépasser leur fonction d’équipes sportives.
Pour régater dans le sport de 2022, les deux principaux clubs vaudois doivent aller chercher des ressources dans d’autres domaines que la surface gelée ou le pré vert. Avec les nouveaux stade de la Tuilière et Vaudoise aréna, ils ont les outils pour dégoter des profits autres que les billets de matches, la bière et la saucisse habituels. Le LS et le LHC font comme tout le monde et essayent de dégager le maximum de revenus des «opérations jour de match». Ils veulent vous faire venir tôt au stade et vous garder un peu après la sirène finale ou les trois coups de sifflet de l’arbitre. Ça, tout le monde peut le faire.
Mais avec ces nouveaux équipements, les deux organisations peuvent accueillir (et faire des bénéfices) du 1er janvier au 31 décembre. Des restaurants, un bar, des capacités d’accueil pour toutes sortes d’événements: ces lieux de sport sont des lieux de vie. On peut y réunir son entreprise, aller y voir un concert, juste boire un verre ou manger une fondue Et dans quelques années, ils seront entourés de quartiers d’habitations et de nombreux clients potentiels supplémentaires.
Tout ça pour monter des équipes qui, fatalement, devront gagner des titres un jour. Ce sera peut-être ça, la vraie nouveauté.Page 3
Rentabilité des stades
Les recettes du LHC et du LS pour valoriser leur écrin
La Vaudoise aréna et le stade de la Tuilière doivent rapporter de l’argent 365 jours par an ou presque. Deux clubs, deux méthodes. Robin Carrel
Comment faire vivre le lieu toute l’année?
LHC
«Le LHC existe depuis 1922. On fête ses 100 ans. Le hockey reste son activité No 1 et le sera toujours. Le club s’est professionnalisé et il faut avouer qu’il a connu beaucoup de changements, avec trois patinoires en six ans, trois CEO, je ne sais pas combien d’entraîneurs. Nous sommes dans une période de stabilisation et notre priorité reste le sport et les émotions que nous partageons à la patinoire, les rencontres qu’on y fait, les amitiés et les bières à la pause.»
«Le LHC veut continuer à développer cet esprit de convivialité et de proximité avec la population, et nous devons travailler pour que toute la saison ressemble aux quatre derniers matches de la saison régulière 2021-2022, couronnés de succès. D’un point de vue économique, il est vrai qu’un club qui ne vit que des recettes générées par les entrées et le sponsoring, à terme, ne pourra pas survivre en National League. On a une société pour la restauration, une autre pour l’événementiel et les spectacles et, conjointement avec les équipes du Campus de la Vaudoise aréna, nous développons l’accueil de séminaires et de corporate events.»
«Le mouvement juniors reste une priorité et on a le devoir que ce sport soit accessible à tous, pour que les jeunes le pratiquent dans de bonnes conditions. C’est une fierté pour nous d’avoir des Marti, des Jelovac, des jeunes du cru, dans notre équipe. Mais pour s’occuper de notre Academy, il faut se développer économiquement. Et puis, au final, il faut gagner des matches Tout ce boulot ne sert à rien si tu es onzième!»
LS
«À la Tuilière, nous avons deux éléments de base avec le pub et le restaurant. Ce sont deux lieux ouverts toute l’année et qui doivent amener de la vie. Avec le centre d’entraînement, il y a déjà pas mal de passage. Et il y a aussi la perspective du nouvel écoquartier des Plaines-du-Loup (ndlr: environ 11’000 habitants d’ici à 2034), qui permettra de faire vivre l’endroit. Hors matches, l’année dernière, il y a eu quelque 150 événements dans le stade. Cela va de la rencontre de 20 cadres à une remise de prix dans l’immobilier avec 200 invités. Rien qu’au mois de juin dernier, nous avons accueilli 36 events dans notre stade.»
«Concrètement, cela veut dire que tous les jours, il se passe quelque chose à la Tuilière. Dans notre travail actuel, il y a l’activité dans les loges, dans les espaces hospitalités, et les ressources qui vont avec. Cela doit encore monter en puissance, de manière «organique» je dirais (ndlr: techniques et dispositifs destinés à favoriser le bouche-à-oreille et la recommandation client). Nous ne sommes pas de simples exploitants. Quand tu veux organiser un meeting de dix personnes ou une assemblée de 300 employés, tu dois parler directement avec le LS.»
«Nous avons fait le choix de ne pas nous occuper directement du catering (ndlr: l’activité de restauration réalisée dans le stade ou l’enceinte d’accueil de l’événement) et de déléguer les gérances du pub et du restaurant. On a des gérants très compétents qui s’occupent de cela. C’est notre modèle, et on grandira par la suite.»
Quelle est la part du «non-sportif»?
LHC
«Les revenus générés par les billets et les abonnements, c’est 55% de notre chiffre d’affaires. On fait deux tiers de nos revenus les jours de match et un tiers ailleurs. Mais du chiffre d’affaires, pas du bénéfice! La restauration a une marge assez faible, parce que la Vaudoise aréna est un lieu tout public. Le hockey doit rester populaire. Notre politique est de favoriser l’accessibilité et d’avoir une offre satisfaisant le plus grand nombre. Cela fait partie de la soirée: la bière avant le match, la fondue»
«Pour les spectacles et les concerts, des études avaient été réalisées et disaient que Lausanne avait un gros potentiel de par sa position géographique. On est au centre de la Romandie, à une heure de Berne, à côté d’une gare, avec des conditions qui permettent techniquement d’accueillir des événements allant de Metallica au Cirque du Soleil, en passant par l’e-sport. Le job, c’est de trouver un bon équilibre pour générer des recettes, afin que le hockey existe et se développe. On a encore une marge de progression, il y a encore plein de choses à faire.»
LS
«Dans une ville qui «se referme sur elle-même», le fait d’être à sa frontière est une carte à jouer. Le restaurant marche très bien et on se retrousse les manches. Un vendredi du début du mois, on a, par exemple, eu cinq entreprises qui ont fait des events chez nous. Sur une année, on en a plus de 150. On en fera rapidement 300. À Berne, au Wankdorf, ils en font près de 1000: du rendez-vous à cinq de la SFL à des dizaines de milliers pour un concert. On verra où cela nous mène!»
«Notre modèle est simple et il correspond à notre développement. On a une équipe qui gère l’infrastructure, la conciergerie, le maintien des installations, complétée par un responsable des hospitalités et de la restauration, qui est appuyé par des équipes en fonction de ce qui nous est demandé. Nous sommes flexibles. Au niveau des revenus hors matches, si on y ajoute la boutique et qu’on met tout bout à bout, cela fait quelques millions, tout juste avec un «s». Dire qu’il y a quelques années, on était deux et demi à bosser dans un vieux stade. C’était une sacrée organisation, assez mythique, en y repensant.»
Comment se passe la sortie de pandémie?
LHC
«On a pris possession de nos espaces à la Vaudoise en septembre 2019, et c’était comme un Airbus qui décollait avec un moteur sur quatre. Une pandémie et quelques problèmes de construction plus tard, le centre aquatique est enfin ouvert et il est magnifique. Le Spot Café va avoir une vraie fréquentation dans ses murs. Les spectacles reprennent, les séminaires ont recommencé et ce sont des activités importantes pour la Vaudoise aréna.»
«Tout cela cumulé, on peut compter sur une huitantaine de soirées au programme en 2023. Une trentaine de matches, une vingtaine de dates de concerts et de spectacles Le propriétaire de la Vaudoise aréna (ndlr: le CSM SA) a délégué l’exploitation de la restauration et du F&B (ndlr: raccourci utilisé pour désigner l’activité des bars, de la restauration et des banquets) à LHC Groupe. Ainsi, l’équipe de ce campus nous impliquera aussi dans les événements qu’elle organisera avec ses clients et partenaires, comme des événements corporatifs ou des assemblées générales. Les gens ont besoin de se voir, d’avoir une connexion physique, une poignée de main C’est l’essentiel de la relation. Que celui qui a vécu des émotions sur Zoom m’appelle tout de suite!»
«Là, on peut de nouveau tourner avec nos quatre moteurs et refaire notre métier. Être CEO du LHC, qui va du sport pro à la formation, c’est aussi travailler autour de la restauration et de l’événementiel. Tout cela est très complémentaire et s’imbrique comme les pièces d’un puzzle. C’est très varié et je peux m’appuyer sur des spécialistes dans chaque domaine.»
LS
«Je vais être très honnête, à la Vaudoise aréna, ce qu’ils ont fait pour ouvrir leur patinoire a été assez extraordinaire. Ils ont dû prendre une «dégelée» au départ et cela a dû être un sacré enfer à vivre. Avec le recul, nous avons eu une certaine chance à la Tuilière, parce que nous avons pu prendre possession des différents éléments autour du stade en douceur, pendant la pandémie. Mais avec le Covid, justement, les travaux et l’humeur générale du moment, tout a été ralenti et cela a été compliqué à maîtriser. Dès que des toilettes ou un écran ne marchaient pas, on nous disait que c’était la faute du Covid, de la Chine ou tout simplement de la nôtre Cela a été extrêmement fatigant sur la durée!»
«Mais là, le Lausanne-Sport est très content de son outil, même s’il reste encore beaucoup de choses à améliorer. Il y a tout de même eu le rendez-vous manqué de la saison dernière sur le plan sportif en Super League. L’ouverture du stade au public était splendide, avec du soleil et tout. Ensuite, tout s’est un peu dégradé avec les résultats sur le terrain. Au niveau organisationnel, nous avons connu quelques soubresauts. Des matches où le service était tip-top et d’autres où c’était un peu plus gênant. Ce sont des aléas que nous n’aimons pas avoir. Après, ce qui est clair, c’est que nous avons une base de fonctionnement que nous améliorons sans cesse. Les gens prennent gentiment leurs habitudes ici et cela se passe bien. Mais il y a encore tellement de choses qu’on peut faire Et nous voulons aller encore plus loin.»
Prêts à affronter la crise énergétique?
LHC
«Avec les treize autres clubs de National League, on a forcément des infos à propos des décisions gouvernementales. Celles prises au début du mois nous rassurent. Dans le même temps, avec les propriétaires de la Vaudoise aréna, nous préparons conjointement des scénarios «au cas où». Juste pour pouvoir réagir si besoin. Ces deux dernières années, avec le Covid, on a appris qu’il nous appartenait d’être prêts à tout s’il y avait une éventuelle menace et s’il fallait exécuter des décisions. Nous ferons face de la même façon que pendant la pandémie.»
LS
«La Swiss Football League et le gouvernement sont en contact. Début septembre, on a fait un point lors du meeting des présidents et cela a été une thématique. J’ai l’impression que le Conseil fédéral est rassurant quant à la capacité de la Suisse à supporter la charge énergétique. Ensuite, organiser un match dans un stade sans lumière, on peut le faire. Mais sans électricité, il n’y a plus de restaurant, plus de tireuses à bière, plus de contrôle des billets Le LS est sensible à tout cela et est prêt à s’engager sur des économies d’énergie.»
Faire vivre les stades toute l’année
Même les plus acharnés des fans, du vieux de la vieille qui avait son abonnement à Montchoisi à l’ultra qui fait le tour de Suisse en bus le mardi, vont devoir s’y faire. Au XXIe siècle, un club de hockey ou de football ne peut plus être qu’un club de hockey ou de football. À notre époque, le Lausanne Hockey Club ou le Lausanne-Sport sont obligés de dépasser leur fonction d’équipes sportives.
Pour régater dans le sport de 2022, les deux principaux clubs vaudois doivent aller chercher des ressources dans d’autres domaines que la surface gelée ou le pré vert. Avec les nouveaux stade de la Tuilière et Vaudoise aréna, ils ont les outils pour dégoter des profits autres que les billets de matches, la bière et la saucisse habituels. Le LS et le LHC font comme tout le monde et essayent de dégager le maximum de revenus des «opérations jour de match». Ils veulent vous faire venir tôt au stade et vous garder un peu après la sirène finale ou les trois coups de sifflet de l’arbitre. Ça, tout le monde peut le faire.
Mais avec ces nouveaux équipements, les deux organisations peuvent accueillir (et faire des bénéfices) du 1er janvier au 31 décembre. Des restaurants, un bar, des capacités d’accueil pour toutes sortes d’événements: ces lieux de sport sont des lieux de vie. On peut y réunir son entreprise, aller y voir un concert, juste boire un verre ou manger une fondue Et dans quelques années, ils seront entourés de quartiers d’habitations et de nombreux clients potentiels supplémentaires.
Tout ça pour monter des équipes qui, fatalement, devront gagner des titres un jour. Ce sera peut-être ça, la vraie nouveauté.Page 3
Rentabilité des stades
Les recettes du LHC et du LS pour valoriser leur écrin
La Vaudoise aréna et le stade de la Tuilière doivent rapporter de l’argent 365 jours par an ou presque. Deux clubs, deux méthodes. Robin Carrel
Comment faire vivre le lieu toute l’année?
LHC
«Le LHC existe depuis 1922. On fête ses 100 ans. Le hockey reste son activité No 1 et le sera toujours. Le club s’est professionnalisé et il faut avouer qu’il a connu beaucoup de changements, avec trois patinoires en six ans, trois CEO, je ne sais pas combien d’entraîneurs. Nous sommes dans une période de stabilisation et notre priorité reste le sport et les émotions que nous partageons à la patinoire, les rencontres qu’on y fait, les amitiés et les bières à la pause.»
«Le LHC veut continuer à développer cet esprit de convivialité et de proximité avec la population, et nous devons travailler pour que toute la saison ressemble aux quatre derniers matches de la saison régulière 2021-2022, couronnés de succès. D’un point de vue économique, il est vrai qu’un club qui ne vit que des recettes générées par les entrées et le sponsoring, à terme, ne pourra pas survivre en National League. On a une société pour la restauration, une autre pour l’événementiel et les spectacles et, conjointement avec les équipes du Campus de la Vaudoise aréna, nous développons l’accueil de séminaires et de corporate events.»
«Le mouvement juniors reste une priorité et on a le devoir que ce sport soit accessible à tous, pour que les jeunes le pratiquent dans de bonnes conditions. C’est une fierté pour nous d’avoir des Marti, des Jelovac, des jeunes du cru, dans notre équipe. Mais pour s’occuper de notre Academy, il faut se développer économiquement. Et puis, au final, il faut gagner des matches Tout ce boulot ne sert à rien si tu es onzième!»
LS
«À la Tuilière, nous avons deux éléments de base avec le pub et le restaurant. Ce sont deux lieux ouverts toute l’année et qui doivent amener de la vie. Avec le centre d’entraînement, il y a déjà pas mal de passage. Et il y a aussi la perspective du nouvel écoquartier des Plaines-du-Loup (ndlr: environ 11’000 habitants d’ici à 2034), qui permettra de faire vivre l’endroit. Hors matches, l’année dernière, il y a eu quelque 150 événements dans le stade. Cela va de la rencontre de 20 cadres à une remise de prix dans l’immobilier avec 200 invités. Rien qu’au mois de juin dernier, nous avons accueilli 36 events dans notre stade.»
«Concrètement, cela veut dire que tous les jours, il se passe quelque chose à la Tuilière. Dans notre travail actuel, il y a l’activité dans les loges, dans les espaces hospitalités, et les ressources qui vont avec. Cela doit encore monter en puissance, de manière «organique» je dirais (ndlr: techniques et dispositifs destinés à favoriser le bouche-à-oreille et la recommandation client). Nous ne sommes pas de simples exploitants. Quand tu veux organiser un meeting de dix personnes ou une assemblée de 300 employés, tu dois parler directement avec le LS.»
«Nous avons fait le choix de ne pas nous occuper directement du catering (ndlr: l’activité de restauration réalisée dans le stade ou l’enceinte d’accueil de l’événement) et de déléguer les gérances du pub et du restaurant. On a des gérants très compétents qui s’occupent de cela. C’est notre modèle, et on grandira par la suite.»
Quelle est la part du «non-sportif»?
LHC
«Les revenus générés par les billets et les abonnements, c’est 55% de notre chiffre d’affaires. On fait deux tiers de nos revenus les jours de match et un tiers ailleurs. Mais du chiffre d’affaires, pas du bénéfice! La restauration a une marge assez faible, parce que la Vaudoise aréna est un lieu tout public. Le hockey doit rester populaire. Notre politique est de favoriser l’accessibilité et d’avoir une offre satisfaisant le plus grand nombre. Cela fait partie de la soirée: la bière avant le match, la fondue»
«Pour les spectacles et les concerts, des études avaient été réalisées et disaient que Lausanne avait un gros potentiel de par sa position géographique. On est au centre de la Romandie, à une heure de Berne, à côté d’une gare, avec des conditions qui permettent techniquement d’accueillir des événements allant de Metallica au Cirque du Soleil, en passant par l’e-sport. Le job, c’est de trouver un bon équilibre pour générer des recettes, afin que le hockey existe et se développe. On a encore une marge de progression, il y a encore plein de choses à faire.»
LS
«Dans une ville qui «se referme sur elle-même», le fait d’être à sa frontière est une carte à jouer. Le restaurant marche très bien et on se retrousse les manches. Un vendredi du début du mois, on a, par exemple, eu cinq entreprises qui ont fait des events chez nous. Sur une année, on en a plus de 150. On en fera rapidement 300. À Berne, au Wankdorf, ils en font près de 1000: du rendez-vous à cinq de la SFL à des dizaines de milliers pour un concert. On verra où cela nous mène!»
«Notre modèle est simple et il correspond à notre développement. On a une équipe qui gère l’infrastructure, la conciergerie, le maintien des installations, complétée par un responsable des hospitalités et de la restauration, qui est appuyé par des équipes en fonction de ce qui nous est demandé. Nous sommes flexibles. Au niveau des revenus hors matches, si on y ajoute la boutique et qu’on met tout bout à bout, cela fait quelques millions, tout juste avec un «s». Dire qu’il y a quelques années, on était deux et demi à bosser dans un vieux stade. C’était une sacrée organisation, assez mythique, en y repensant.»
Comment se passe la sortie de pandémie?
LHC
«On a pris possession de nos espaces à la Vaudoise en septembre 2019, et c’était comme un Airbus qui décollait avec un moteur sur quatre. Une pandémie et quelques problèmes de construction plus tard, le centre aquatique est enfin ouvert et il est magnifique. Le Spot Café va avoir une vraie fréquentation dans ses murs. Les spectacles reprennent, les séminaires ont recommencé et ce sont des activités importantes pour la Vaudoise aréna.»
«Tout cela cumulé, on peut compter sur une huitantaine de soirées au programme en 2023. Une trentaine de matches, une vingtaine de dates de concerts et de spectacles Le propriétaire de la Vaudoise aréna (ndlr: le CSM SA) a délégué l’exploitation de la restauration et du F&B (ndlr: raccourci utilisé pour désigner l’activité des bars, de la restauration et des banquets) à LHC Groupe. Ainsi, l’équipe de ce campus nous impliquera aussi dans les événements qu’elle organisera avec ses clients et partenaires, comme des événements corporatifs ou des assemblées générales. Les gens ont besoin de se voir, d’avoir une connexion physique, une poignée de main C’est l’essentiel de la relation. Que celui qui a vécu des émotions sur Zoom m’appelle tout de suite!»
«Là, on peut de nouveau tourner avec nos quatre moteurs et refaire notre métier. Être CEO du LHC, qui va du sport pro à la formation, c’est aussi travailler autour de la restauration et de l’événementiel. Tout cela est très complémentaire et s’imbrique comme les pièces d’un puzzle. C’est très varié et je peux m’appuyer sur des spécialistes dans chaque domaine.»
LS
«Je vais être très honnête, à la Vaudoise aréna, ce qu’ils ont fait pour ouvrir leur patinoire a été assez extraordinaire. Ils ont dû prendre une «dégelée» au départ et cela a dû être un sacré enfer à vivre. Avec le recul, nous avons eu une certaine chance à la Tuilière, parce que nous avons pu prendre possession des différents éléments autour du stade en douceur, pendant la pandémie. Mais avec le Covid, justement, les travaux et l’humeur générale du moment, tout a été ralenti et cela a été compliqué à maîtriser. Dès que des toilettes ou un écran ne marchaient pas, on nous disait que c’était la faute du Covid, de la Chine ou tout simplement de la nôtre Cela a été extrêmement fatigant sur la durée!»
«Mais là, le Lausanne-Sport est très content de son outil, même s’il reste encore beaucoup de choses à améliorer. Il y a tout de même eu le rendez-vous manqué de la saison dernière sur le plan sportif en Super League. L’ouverture du stade au public était splendide, avec du soleil et tout. Ensuite, tout s’est un peu dégradé avec les résultats sur le terrain. Au niveau organisationnel, nous avons connu quelques soubresauts. Des matches où le service était tip-top et d’autres où c’était un peu plus gênant. Ce sont des aléas que nous n’aimons pas avoir. Après, ce qui est clair, c’est que nous avons une base de fonctionnement que nous améliorons sans cesse. Les gens prennent gentiment leurs habitudes ici et cela se passe bien. Mais il y a encore tellement de choses qu’on peut faire Et nous voulons aller encore plus loin.»
Prêts à affronter la crise énergétique?
LHC
«Avec les treize autres clubs de National League, on a forcément des infos à propos des décisions gouvernementales. Celles prises au début du mois nous rassurent. Dans le même temps, avec les propriétaires de la Vaudoise aréna, nous préparons conjointement des scénarios «au cas où». Juste pour pouvoir réagir si besoin. Ces deux dernières années, avec le Covid, on a appris qu’il nous appartenait d’être prêts à tout s’il y avait une éventuelle menace et s’il fallait exécuter des décisions. Nous ferons face de la même façon que pendant la pandémie.»
LS
«La Swiss Football League et le gouvernement sont en contact. Début septembre, on a fait un point lors du meeting des présidents et cela a été une thématique. J’ai l’impression que le Conseil fédéral est rassurant quant à la capacité de la Suisse à supporter la charge énergétique. Ensuite, organiser un match dans un stade sans lumière, on peut le faire. Mais sans électricité, il n’y a plus de restaurant, plus de tireuses à bière, plus de contrôle des billets Le LS est sensible à tout cela et est prêt à s’engager sur des économies d’énergie.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le moment de s’échapper est arrivé pour le Lausanne-Sport
Football
Choc au sommet à la Tuilière ce vendredi (20 h 15), où les Lausannois affrontent ce surprenant FC Wil qui partage la tête du classement avec eux.
La pluie qui s’abat presque sans interruption sur la Tuilière ne perturbe pas le moins du monde la sérénité qui accompagne le Lausanne-Sport depuis trois semaines. Pas plus que cette petite trêve internationale qui pourrait avoir grippé la belle dynamique lausannoise, fruit de ses deux probants succès lors du derby contre Yverdon puis, surtout, face au FC Zurich en Coupe de Suisse. «On ne choisit malheureusement pas le moment de ces pauses forcées, sourit Ludovic Magnin. Ces deux dernières semaines, mon principal objectif a donc été d’essayer de faire au mieux pour conserver cette dynamique positive. C’est pour cette raison que nous avons choisi d’affronter Stade Lausanne Ouchy en match amical, jeudi dernier (ndlr: le 22 septembre/1-1). Un adversaire qui, comme souvent, a mis beaucoup d’intensité, ce qui nous a permis de rester dans le rythme. Ensuite, on a alterné les jours de travail avec des congés. Même si j’ai un bon feeling, seul le terrain nous dira, vendredi, si nous sommes dans le juste.»
Cette pause a aussi permis au coach lausannois de récupérer son défenseur Simone Grippo, victime d’une blessure musculaire la semaine avant la reprise, en juillet. «Il est prêt, confirme Ludo Magnin. Il a pu jouer sans problème une heure avec les M21 et toute la rencontre contre SLO. En plus de Kukuruzovic bien sûr, seul Spielmann n’est pas encore tout à fait rétabli. Mais ce n’est plus qu’une question de jours, car il devrait pouvoir reprendre l’entraînement collectif dès lundi prochain.»
Avant cela, le LS a devant lui une nouvelle occasion de prendre en solitaire la tête du classement de Challenge League. Vendredi, il accueille cet étonnant FC Wil - où se distinguent les Lausannois Josias Lukembila et Stéphane Cueni - avec lequel il partage encore la tête du classement. «C’est une équipe que je connais bien, assure l’entraîneur du LS. Plusieurs de ces joueurs étaient d’ailleurs avec moi au FC Zurich. Wil est une très bonne équipe qui, grâce aussi à un brin de réussite, surfe sur une belle spirale positive depuis le début de la saison. Sur le papier, il est évident que le LS est supérieur, mais c’est tout le charme du foot que de voir certains outsiders se distinguer avec brio. Pour nous, rien ne sera simple face à un adversaire en pleine confiance, mais notre ambition sera bien entendu de gagner.»
Prudence avec Turkes
Pour y parvenir, le LS aura un atout supplémentaire. Logiquement aligné au compte-goutte depuis son retour à la compétition après ses vingt mois d’absence, Aldin Turkes a montré, lors des quelque 40 minutes disputées contre le FC Zurich en Coupe, qu’il est sur la bonne voie. «Comme je l’ai souvent répété, il s’agit de ne pas brûler les étapes avec Aldin, prévient Ludovic Magnin. Même si son processus de remise en forme va un peu plus vite que prévu, il faut rester prudent. Le doublé qu’il a réussi contre Zurich a l’avantage de doper sa confiance mais pour revoir notre buteur dès le coup d’envoi et en pleine possession de ses moyens, il y a encore du chemin à parcourir, des étapes à franchir. C’est pour cette raison que je ne prévois en principe pas de l’aligner d’entrée de jeu avant janvier.»
Nul doute, en revanche, que l’on verra Aldin Turkes entrer sur le terrain toujours un peu plus tôt. Et probablement dès vendredi pour ce choc au sommet qui pourrait servir de tremplin au LS pour s’envoler au classement.
André Boschetti
Football
Choc au sommet à la Tuilière ce vendredi (20 h 15), où les Lausannois affrontent ce surprenant FC Wil qui partage la tête du classement avec eux.
La pluie qui s’abat presque sans interruption sur la Tuilière ne perturbe pas le moins du monde la sérénité qui accompagne le Lausanne-Sport depuis trois semaines. Pas plus que cette petite trêve internationale qui pourrait avoir grippé la belle dynamique lausannoise, fruit de ses deux probants succès lors du derby contre Yverdon puis, surtout, face au FC Zurich en Coupe de Suisse. «On ne choisit malheureusement pas le moment de ces pauses forcées, sourit Ludovic Magnin. Ces deux dernières semaines, mon principal objectif a donc été d’essayer de faire au mieux pour conserver cette dynamique positive. C’est pour cette raison que nous avons choisi d’affronter Stade Lausanne Ouchy en match amical, jeudi dernier (ndlr: le 22 septembre/1-1). Un adversaire qui, comme souvent, a mis beaucoup d’intensité, ce qui nous a permis de rester dans le rythme. Ensuite, on a alterné les jours de travail avec des congés. Même si j’ai un bon feeling, seul le terrain nous dira, vendredi, si nous sommes dans le juste.»
Cette pause a aussi permis au coach lausannois de récupérer son défenseur Simone Grippo, victime d’une blessure musculaire la semaine avant la reprise, en juillet. «Il est prêt, confirme Ludo Magnin. Il a pu jouer sans problème une heure avec les M21 et toute la rencontre contre SLO. En plus de Kukuruzovic bien sûr, seul Spielmann n’est pas encore tout à fait rétabli. Mais ce n’est plus qu’une question de jours, car il devrait pouvoir reprendre l’entraînement collectif dès lundi prochain.»
Avant cela, le LS a devant lui une nouvelle occasion de prendre en solitaire la tête du classement de Challenge League. Vendredi, il accueille cet étonnant FC Wil - où se distinguent les Lausannois Josias Lukembila et Stéphane Cueni - avec lequel il partage encore la tête du classement. «C’est une équipe que je connais bien, assure l’entraîneur du LS. Plusieurs de ces joueurs étaient d’ailleurs avec moi au FC Zurich. Wil est une très bonne équipe qui, grâce aussi à un brin de réussite, surfe sur une belle spirale positive depuis le début de la saison. Sur le papier, il est évident que le LS est supérieur, mais c’est tout le charme du foot que de voir certains outsiders se distinguer avec brio. Pour nous, rien ne sera simple face à un adversaire en pleine confiance, mais notre ambition sera bien entendu de gagner.»
Prudence avec Turkes
Pour y parvenir, le LS aura un atout supplémentaire. Logiquement aligné au compte-goutte depuis son retour à la compétition après ses vingt mois d’absence, Aldin Turkes a montré, lors des quelque 40 minutes disputées contre le FC Zurich en Coupe, qu’il est sur la bonne voie. «Comme je l’ai souvent répété, il s’agit de ne pas brûler les étapes avec Aldin, prévient Ludovic Magnin. Même si son processus de remise en forme va un peu plus vite que prévu, il faut rester prudent. Le doublé qu’il a réussi contre Zurich a l’avantage de doper sa confiance mais pour revoir notre buteur dès le coup d’envoi et en pleine possession de ses moyens, il y a encore du chemin à parcourir, des étapes à franchir. C’est pour cette raison que je ne prévois en principe pas de l’aligner d’entrée de jeu avant janvier.»
Nul doute, en revanche, que l’on verra Aldin Turkes entrer sur le terrain toujours un peu plus tôt. Et probablement dès vendredi pour ce choc au sommet qui pourrait servir de tremplin au LS pour s’envoler au classement.
André Boschetti
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/excellent-face-a-wil-gianluca-gaudino-le-metronome-lausannois-id17925207.html
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
La Tuilière se régale
Au Lausanne-Sport, un avant-goût de tranquillité
Le LS est un leader de Challenge League qui joue mieux. Il retrouve des sensations qu’il ne connaissait plus depuis longtemps. Il va peut-être falloir apprendre à vivre avec.
Ludovic Magnin a donné trois jours de vacances à ses joueurs la semaine dernière. Récompense qui résulte autant de la réalité logistique (c’était la pause internationale, avant une succession de cinq matches en trois semaines) que des prestations sportives récentes. «Si je leur donne congé et qu’on se plante derrière contre Wil, ça ne va pas. Là, ils me l’ont bien rendu. Ils me prouvent que je peux leur faire confiance et leur accorder ce genre de libertés. On a beaucoup rigolé à l’entraînement cette semaine à leur retour, comme toujours, mais on a surtout bossé très dur.» L’option choisie a donc été validée par une victoire 4-0 contre Wil. C’est donc ça, la tranquillité?
Le Lausanne-Sport n’est pas (encore?) une machine intouchable qu’on imagine facilement se défendre en Super League. Mais il avance sur son chemin de croix de Challenge League en se délestant pas à pas de ses doutes. Ses trois dernières sorties sont réjouissantes, parfois enthousiasmantes, elles valent six points en championnat et une qualification de prestige en Coupe de Suisse. Mais elles présentent une autre vertu: elles donnent du crédit à certains choix importants effectués récemment.
Gianluca Gaudino, plus qu’un numéro 10
Il est notamment ici question de repositionnement. Dans «l’ancien LS», Archie Brown était un latéral dont il était difficile d’apercevoir le potentiel et qu’on avait fini par envoyer en 1re ligue avec le Team Vaud. Il est aujourd’hui un défenseur central très convaincant dont Lausanne ne se passe plus. «Dans une logique similaire, les gens ont collé à Gianluca Gaudino l’étiquette de numéro 10, qui doit jouer derrière l’attaquant. Il est tellement plus polyvalent que ça», lance Ludovic Magnin. Lui en a fait un huit, au cœur de son 3-5-2. La montée en puissance de l’Allemand va de pair avec le relief que les Vaudois sont en train de trouver dans leur jeu.
Domination à deux vitesses
Parce que le Lausanne-Sport a offert beaucoup de bonheur à ses spectateurs entre les réceptions d’Yverdon, Zurich et Wil, parce qu’il a conclu le premier des quatre tours sur un rythme de promu (19 points sur 27), le voilà dans la plus enviable des positions. Il ne fait pas tout juste, mais s’offre le temps de pouvoir corriger ses erreurs. Un luxe qu’il avait longtemps perdu. «Mon job, c’est de ne pas être content avec ce qu’on a déjà, glisse encore le technicien. Vendredi, notre première mi-temps n’a pas toujours été flamboyante.» Pourtant, Lausanne a rejoint les vestiaires avec cinq grosses occasions à son compte, parmi lesquelles deux buts.
Ce qu’il faut peut-être comprendre dans cette démonstration d’exigence, c’est que le pensionnaire de la Tuilière n’est pas un leader qui tourne autour de ses adversaires pendant nonante minutes. Par contre, il sait frapper vite vers l’avant. En résultent donc certains temps morts au cours d’un même match, qui ont tendance à s’étendre lors des soirées difficiles. Faudrait-il qu’Olivier Custodio se montre plus créatif et enclin à jouer vers l’avant dans son rôle de demi défensif? «Il a les capacités pour le faire, lance Ludovic Magnin. Mais j’ai besoin d’un gars comme lui, capable de poser le jeu et de nous équilibrer.» Une question d’équilibre, oui. Dans une tranquillité retrouvée, celui du LS progresse.
«Mon job, c’est de ne pas être content avec ce qu’on a déjà.
Au Lausanne-Sport, un avant-goût de tranquillité
Le LS est un leader de Challenge League qui joue mieux. Il retrouve des sensations qu’il ne connaissait plus depuis longtemps. Il va peut-être falloir apprendre à vivre avec.
Ludovic Magnin a donné trois jours de vacances à ses joueurs la semaine dernière. Récompense qui résulte autant de la réalité logistique (c’était la pause internationale, avant une succession de cinq matches en trois semaines) que des prestations sportives récentes. «Si je leur donne congé et qu’on se plante derrière contre Wil, ça ne va pas. Là, ils me l’ont bien rendu. Ils me prouvent que je peux leur faire confiance et leur accorder ce genre de libertés. On a beaucoup rigolé à l’entraînement cette semaine à leur retour, comme toujours, mais on a surtout bossé très dur.» L’option choisie a donc été validée par une victoire 4-0 contre Wil. C’est donc ça, la tranquillité?
Le Lausanne-Sport n’est pas (encore?) une machine intouchable qu’on imagine facilement se défendre en Super League. Mais il avance sur son chemin de croix de Challenge League en se délestant pas à pas de ses doutes. Ses trois dernières sorties sont réjouissantes, parfois enthousiasmantes, elles valent six points en championnat et une qualification de prestige en Coupe de Suisse. Mais elles présentent une autre vertu: elles donnent du crédit à certains choix importants effectués récemment.
Gianluca Gaudino, plus qu’un numéro 10
Il est notamment ici question de repositionnement. Dans «l’ancien LS», Archie Brown était un latéral dont il était difficile d’apercevoir le potentiel et qu’on avait fini par envoyer en 1re ligue avec le Team Vaud. Il est aujourd’hui un défenseur central très convaincant dont Lausanne ne se passe plus. «Dans une logique similaire, les gens ont collé à Gianluca Gaudino l’étiquette de numéro 10, qui doit jouer derrière l’attaquant. Il est tellement plus polyvalent que ça», lance Ludovic Magnin. Lui en a fait un huit, au cœur de son 3-5-2. La montée en puissance de l’Allemand va de pair avec le relief que les Vaudois sont en train de trouver dans leur jeu.
Domination à deux vitesses
Parce que le Lausanne-Sport a offert beaucoup de bonheur à ses spectateurs entre les réceptions d’Yverdon, Zurich et Wil, parce qu’il a conclu le premier des quatre tours sur un rythme de promu (19 points sur 27), le voilà dans la plus enviable des positions. Il ne fait pas tout juste, mais s’offre le temps de pouvoir corriger ses erreurs. Un luxe qu’il avait longtemps perdu. «Mon job, c’est de ne pas être content avec ce qu’on a déjà, glisse encore le technicien. Vendredi, notre première mi-temps n’a pas toujours été flamboyante.» Pourtant, Lausanne a rejoint les vestiaires avec cinq grosses occasions à son compte, parmi lesquelles deux buts.
Ce qu’il faut peut-être comprendre dans cette démonstration d’exigence, c’est que le pensionnaire de la Tuilière n’est pas un leader qui tourne autour de ses adversaires pendant nonante minutes. Par contre, il sait frapper vite vers l’avant. En résultent donc certains temps morts au cours d’un même match, qui ont tendance à s’étendre lors des soirées difficiles. Faudrait-il qu’Olivier Custodio se montre plus créatif et enclin à jouer vers l’avant dans son rôle de demi défensif? «Il a les capacités pour le faire, lance Ludovic Magnin. Mais j’ai besoin d’un gars comme lui, capable de poser le jeu et de nous équilibrer.» Une question d’équilibre, oui. Dans une tranquillité retrouvée, celui du LS progresse.
«Mon job, c’est de ne pas être content avec ce qu’on a déjà.
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
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lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
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4-4-2 avec Labeau
4-4-2 avec Labeau
dudu- Localisation : Cossonay
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football - Le point après le 1er tour
Les Vaudois dynamisent la Challenge League
Au quart de la saison, le LS, SLO et Yverdon figurent parmi les cinq premiers du classement. Un simple hasard ou une réjouissante nouvelle réalité? Trois experts se prononcent.
André Boschetti
Bien sûr, ce n’est que de la Challenge League et, comme trop souvent depuis une vingtaine d’années, aucun club vaudois ne fait partie, cette saison, de l’élite du football suisse. Cela dit, le bilan intermédiaire du Lausanne-Sport (1er), de Stade Lausanne Ouchy (4e) et d’Yverdon Sport (5e) au quart du championnat est plus que réjouissant. Si la place de leader qu’occupe le LS est logique au vu de ses moyens financiers et de ses légitimes ambitions - clairement affichées - de rejoindre au plus vite cette Super League dont il a été éjecté en mai dernier, les parcours de SLO et d’YS sont, jusque-là, tout simplement remarquables. Pour savoir si cette triple présence parmi les meilleurs est appelée à durer, nous avons interrogé les trois experts, tous Vaudois, que sont Gabet Chapuisat, Jérémy Manière et Andy Laugeois (ex-YS et SLO).
Niveau à la hausse?
«C’est difficile de comparer une saison avec l’autre, mais, même s’il existe encore une grande disparité entre les différentes rencontres, je trouve le niveau de cette Challenge League plutôt bon cette année», commence Jérémy Manière. «Il y a, et heureusement d’ailleurs pour notre football, encore une différence avec celui de la Super League, continue Gabet Chapuisat, mais, pour les toutes meilleures équipes au moins, elle a un peu tendance à se réduire, comme on a pu, par exemple, encore récemment le constater lors du match de Coupe entre SLO et YB où l’équipe lausannoise était clairement la meilleure.» «La différence, qui s’est réduite ces dernières années selon moi, se situe désormais surtout sur le plan technique», assure de son côté Andy Laugeois.»
Les Vaudois bien placés, un hasard ou pas?
«Le LS est à la place que l’on attendait de lui. L’effectif est de qualité et homogène. Nul doute qu’il remontera en Super League», clament de concert nos trois experts. «Stade Lausanne, en embuscade au pied du podium, est aussi devenu une réalité importante de Challenge League. Ce club travaille bien et dans la continuité depuis son ascension en Challenge League, il y a un peu plus de trois ans», explique Gabet. Un avis que partage Jérémy Manière. «Le retrouver si bien placé est tout sauf une surprise pour moi. Yagan Hiraç, le directeur sportif, sait chaque année très bien remplacer les joueurs qui quittent le club. Sur le banc, Anthony Braizat exploite au mieux le potentiel des éléments dont il dispose.»
Nos experts s’accordent aussi sur le fait qu’Yverdon est à une place où on ne l’attendait pas forcément. Surtout après une seconde partie de saison dernière totalement manquée. «Personnellement, leur recrutement estival ne m’avait pas convaincu du tout, dit Andy Laugeois. C’est pourquoi le mérite de cette entame réussie revient en bonne partie au coach, Marco Schällibaum. Il a su adapter sa philosophie de jeu au profil des joueurs qui composent son groupe.» «Avec Schällibaum, YS pratique un football plus ouvert et attractif qu’avec le plus calculateur Uli Forte, confirme Gabet Chapuisat. Ce qui correspond beaucoup mieux aux qualités de ses hommes.»
Peuvent-ils encore mieux faire?
Autrement dit, Stade Lausanne Ouchy et Yverdon sont-ils capables de se rapprocher encore du LS pour composer un podium 100% vaudois en mai prochain? Sans repousser totalement cette petite utopie, nos trois interlocuteurs en doutent quand même un peu. «Aarau et Thoune semblent aujourd’hui un peu mieux armés que SLO et Yverdon pour rejoindre le LS sur le podium, assurent-ils. Mais si une équipe a les moyens de jouer les trouble-fêtes, c’est bien le SLO!» «Même si on ne peut jamais être sûr de rien, sourit Gabet, Yverdon est à sa place en milieu de tableau. Comme il ne court aucun risque, il aura toutefois l’avantage de pouvoir évoluer sans la moindre pression.»
Pour Jérémy Manière aussi, il est difficile d’imaginer les Nord-Vaudois franchir un nouveau palier ces prochains mois. «Le principal défi consisterait à stabiliser une défense qui prend trop de buts. Mais cela se ferait peut-être alors au détriment du style offensif et joueur que prône avec succès Schällibaum.» Quant à Andy Laugeois, il voit aussi son ancienne équipe comme le principal outsider derrière les trois cadors cités plus haut. «Mais pour que les Lausannois de la Pontaise se mêlent jusqu’au bout à la lutte pour les toutes premières places, il faudrait que certaines conditions soient remplies. À savoir qu’ils soient épargnés par les blessures et qu’ils fassent preuve de plus de sang-froid en défense pour éviter ces fautes qui leur coûtent trop de penaltys. Et puis, conclut l’ancien capitaine, peut-être devraient-ils recruter cet hiver ce No 9 qui leur fait cruellement défaut depuis le départ de Labeau.» Montrer davantage de régularité dans leurs performances est un autre point à améliorer selon Gabet Chapuisat et Jérémy Manière. «Mais le potentiel de SLO pour créer la sensation est là!»
Quant au LS, il se dirige vers une promotion anticipée même si l’équipe de Ludovic Magnin «peut et doit encore progresser sur le plan du jeu, pour Gabet. Actuellement, elle ne domine pas (encore) son sujet comme le faisaient Zurich, Xamax, Servette ou même le LS de Giorgio Contini avant la pause Covid. Mais ce groupe a incontestablement les moyens techniques de faire encore mieux.»
Les Vaudois dynamisent la Challenge League
Au quart de la saison, le LS, SLO et Yverdon figurent parmi les cinq premiers du classement. Un simple hasard ou une réjouissante nouvelle réalité? Trois experts se prononcent.
André Boschetti
Bien sûr, ce n’est que de la Challenge League et, comme trop souvent depuis une vingtaine d’années, aucun club vaudois ne fait partie, cette saison, de l’élite du football suisse. Cela dit, le bilan intermédiaire du Lausanne-Sport (1er), de Stade Lausanne Ouchy (4e) et d’Yverdon Sport (5e) au quart du championnat est plus que réjouissant. Si la place de leader qu’occupe le LS est logique au vu de ses moyens financiers et de ses légitimes ambitions - clairement affichées - de rejoindre au plus vite cette Super League dont il a été éjecté en mai dernier, les parcours de SLO et d’YS sont, jusque-là, tout simplement remarquables. Pour savoir si cette triple présence parmi les meilleurs est appelée à durer, nous avons interrogé les trois experts, tous Vaudois, que sont Gabet Chapuisat, Jérémy Manière et Andy Laugeois (ex-YS et SLO).
Niveau à la hausse?
«C’est difficile de comparer une saison avec l’autre, mais, même s’il existe encore une grande disparité entre les différentes rencontres, je trouve le niveau de cette Challenge League plutôt bon cette année», commence Jérémy Manière. «Il y a, et heureusement d’ailleurs pour notre football, encore une différence avec celui de la Super League, continue Gabet Chapuisat, mais, pour les toutes meilleures équipes au moins, elle a un peu tendance à se réduire, comme on a pu, par exemple, encore récemment le constater lors du match de Coupe entre SLO et YB où l’équipe lausannoise était clairement la meilleure.» «La différence, qui s’est réduite ces dernières années selon moi, se situe désormais surtout sur le plan technique», assure de son côté Andy Laugeois.»
Les Vaudois bien placés, un hasard ou pas?
«Le LS est à la place que l’on attendait de lui. L’effectif est de qualité et homogène. Nul doute qu’il remontera en Super League», clament de concert nos trois experts. «Stade Lausanne, en embuscade au pied du podium, est aussi devenu une réalité importante de Challenge League. Ce club travaille bien et dans la continuité depuis son ascension en Challenge League, il y a un peu plus de trois ans», explique Gabet. Un avis que partage Jérémy Manière. «Le retrouver si bien placé est tout sauf une surprise pour moi. Yagan Hiraç, le directeur sportif, sait chaque année très bien remplacer les joueurs qui quittent le club. Sur le banc, Anthony Braizat exploite au mieux le potentiel des éléments dont il dispose.»
Nos experts s’accordent aussi sur le fait qu’Yverdon est à une place où on ne l’attendait pas forcément. Surtout après une seconde partie de saison dernière totalement manquée. «Personnellement, leur recrutement estival ne m’avait pas convaincu du tout, dit Andy Laugeois. C’est pourquoi le mérite de cette entame réussie revient en bonne partie au coach, Marco Schällibaum. Il a su adapter sa philosophie de jeu au profil des joueurs qui composent son groupe.» «Avec Schällibaum, YS pratique un football plus ouvert et attractif qu’avec le plus calculateur Uli Forte, confirme Gabet Chapuisat. Ce qui correspond beaucoup mieux aux qualités de ses hommes.»
Peuvent-ils encore mieux faire?
Autrement dit, Stade Lausanne Ouchy et Yverdon sont-ils capables de se rapprocher encore du LS pour composer un podium 100% vaudois en mai prochain? Sans repousser totalement cette petite utopie, nos trois interlocuteurs en doutent quand même un peu. «Aarau et Thoune semblent aujourd’hui un peu mieux armés que SLO et Yverdon pour rejoindre le LS sur le podium, assurent-ils. Mais si une équipe a les moyens de jouer les trouble-fêtes, c’est bien le SLO!» «Même si on ne peut jamais être sûr de rien, sourit Gabet, Yverdon est à sa place en milieu de tableau. Comme il ne court aucun risque, il aura toutefois l’avantage de pouvoir évoluer sans la moindre pression.»
Pour Jérémy Manière aussi, il est difficile d’imaginer les Nord-Vaudois franchir un nouveau palier ces prochains mois. «Le principal défi consisterait à stabiliser une défense qui prend trop de buts. Mais cela se ferait peut-être alors au détriment du style offensif et joueur que prône avec succès Schällibaum.» Quant à Andy Laugeois, il voit aussi son ancienne équipe comme le principal outsider derrière les trois cadors cités plus haut. «Mais pour que les Lausannois de la Pontaise se mêlent jusqu’au bout à la lutte pour les toutes premières places, il faudrait que certaines conditions soient remplies. À savoir qu’ils soient épargnés par les blessures et qu’ils fassent preuve de plus de sang-froid en défense pour éviter ces fautes qui leur coûtent trop de penaltys. Et puis, conclut l’ancien capitaine, peut-être devraient-ils recruter cet hiver ce No 9 qui leur fait cruellement défaut depuis le départ de Labeau.» Montrer davantage de régularité dans leurs performances est un autre point à améliorer selon Gabet Chapuisat et Jérémy Manière. «Mais le potentiel de SLO pour créer la sensation est là!»
Quant au LS, il se dirige vers une promotion anticipée même si l’équipe de Ludovic Magnin «peut et doit encore progresser sur le plan du jeu, pour Gabet. Actuellement, elle ne domine pas (encore) son sujet comme le faisaient Zurich, Xamax, Servette ou même le LS de Giorgio Contini avant la pause Covid. Mais ce groupe a incontestablement les moyens techniques de faire encore mieux.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
3 clubs vaudois en Super League l’année prochaine ça serait le pied
Mathias- Date d'inscription : 15/09/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Pour yverdon c est un probleme infrastucture. Leur terrain n est pas aux norme pour la super league est c est hors de question qui évolue à domicile à la pontaise ....Mathias a écrit:3 clubs vaudois en Super League l’année prochaine ça serait le pied
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football - Opération séduction
Quand le Lausanne-Sport régale les jeunes du canton
Les joueurs du LS sont allés s’entraîner avec des juniors vaudois mercredi. Une initiative réussie et appréciée de tous.
Robin Carrel
«Bien!» «Écarte!» «Encore» Nassim Zoukit prend son rôle à cœur. Le milieu du LS participe à l’entraînement de juniors D de l’ES Malley sur les terrains de la Tuilière et il est à fond dans son rôle. Il termine sa journée en se positionnant devant un des deux buts, lors du «petit match» réglementaire qui clôt la séance. L’ancien de Gérone, en Espagne, finit par s’emparer du ballon, traverser le terrain et aller marquer tout en finesse, non sans quelques tacles désespérés des juniors d’en face, qui n’avaient pas la même chasuble que le joueur pro.
«On est tous passés par là, sourit l’ancien Carougeois. C’est bien que les joueurs de la première équipe participent à ces moments. On voit que certains gamins ont des étoiles dans les yeux. Moi, j’aime cette relation, j’aime voir que les juniors ont l’espoir au fond d’eux de devenir, pourquoi pas, professionnels un jour. Je suis très content et les enfants montrent beaucoup de respect.»
«Un club, un joueur»
Le Lausanne-Sport a lancé l’opération «Un club, un joueur» et proposé aux équipes du canton d’envoyer, une fois par tour, un élément du groupe professionnel participer aux entraînements sur leur terrain. Ils sont une bonne septantaine à avoir répondu. Vingt-cinq heureux gagnants ont été tirés au sort et il y en a eu pour tous les goûts. Certains joueurs s’impliquent plus que d’autres, question de caractère aussi. Les enfants, eux, apprécient diversement le moment, selon leurs attentes autour du jeu de ballon.
À Malley, il y avait Alessio, 12 ans et déjà une technique assez affûtée: «J’ai bien aimé, dit-il. Nassim Zoukit m’a donné quelques conseils. Il est fort et il joue très bien! J’aimerais faire la même chose plus tard, mais un peu comme tout le monde, je crois.» Pas forcément. Parce que sur le terrain d’à côté, Noah est plus dubitatif. «C’est bien qu’ils viennent, dit timidement le joueur de 10 ans avec le maillot du Racing Club Lausanne sur le dos. Mais moi, je ne rêve pas de devenir pro. Si j’espère un jour évoluer dans le grand stade de la Tuilière? Non, pas moi»
Des vocations, ou pas
Mercredi, à la Tuilière, Zoukit était donc avec l’ES Malley, et un peu plus haut ce sont Berkay Dabanli et Tristan Diaz qui ont égayé les exercices des «D» de Concordia Lausanne. Dans la foulée, sur le terrain adjacent, Mickaël Nanizayamo et Alvyn Sanches se tapaient des barres de rire et se filmaient au milieu de la ribambelle de «E» du Racing. Le LS avait essaimé ses éléments à travers tout le canton. Goduine Koyalipou était par exemple à Épalinges, Anel Husic «chez lui» à Yverdon auprès du FC Bosna, Florian Hysenaj avait été dépêché auprès des jeunes du Stade Nyonnais, Gianluca Gaudino était à Échichens et Thomas Castella à La Sarraz.
«C’est important pour eux et c’est un vrai plaisir pour nous», sourit Nanizayamo, qui s’est fait le porte-parole de Sanches pour l’occasion. Car le jeune milieu du LS est plus à l’aise ballon au pied que devant un micro et il l’a prouvé en mettant un joli tir enroulé dans la lucarne du gardien du Racing, médusé. «Ces jeunes veulent devenir comme nous et on est là pour passer un moment avec eux, avec leur famille Ils sont là pour le LS, dans les tribunes lors des matches et c’est bien de leur rendre la pareille», apprécie le défenseur format géant.
Ludique et instructif
Cette démarche s’inscrit dans une volonté plus globale du club de la Tuilière de se montrer proche de son public. Une séance d’entraînement est ouverte de façon hebdomadaire et elle ne fait pas toujours recette - surtout cette semaine, car programmée à 15 h 30 lundi après-midi, où on devait être trois au plus fort de l’affluence. C’est bien dommage, car il est possible d’y apprendre pas mal de choses pour un joueur ou un entraîneur dit du «foot des talus».
Passer une heure ou plus à regarder Ludovic Magnin encourager, replacer, houspiller et vanner ses ouailles en plusieurs langues, ça n’a pas de prix. Ça tombe bien, c’est gratuit! Et ça, dans le football moderne, c’est rare.
Magnin: «Ils ont bien ri!»
«Je trouve important qu’on casse ces barrières, assure le coach Ludovic Magnin, par rapport à cette opération. On ne va pas ouvrir nos vestiaires, je vous rassure. Mais il est nécessaire que les gamins du canton puissent s’identifier à notre équipe. Mes gars ont eu beaucoup de plaisir avec les jeunes. À ce que j’ai entendu, ils ont bien ri! Nous ne pouvons pas les y envoyer toutes les semaines, parce qu’ils doivent aussi être prêts à jouer le week-end.
»Le LS s’est déplacé une fois dans un hôpital, a participé à ces entraînements à travers les terrains vaudois. Notre objectif avec ça, c’est de remplir le stade, d’avoir des gens qui sont contents d’y venir et que le public soit partie prenante de ce projet. On est tous conscients que, quand un club est relégué, c’est que des erreurs ont été faites. Mais on ne peut pas refaire le passé! Nous essayons donc de repartir du bon pied et de profiter de la phase positive que nous sommes en train de vivre. C’est plus facile de s’ouvrir au public et d’aller dans les petits clubs quand on est premiers.» RCA
Quand le Lausanne-Sport régale les jeunes du canton
Les joueurs du LS sont allés s’entraîner avec des juniors vaudois mercredi. Une initiative réussie et appréciée de tous.
Robin Carrel
«Bien!» «Écarte!» «Encore» Nassim Zoukit prend son rôle à cœur. Le milieu du LS participe à l’entraînement de juniors D de l’ES Malley sur les terrains de la Tuilière et il est à fond dans son rôle. Il termine sa journée en se positionnant devant un des deux buts, lors du «petit match» réglementaire qui clôt la séance. L’ancien de Gérone, en Espagne, finit par s’emparer du ballon, traverser le terrain et aller marquer tout en finesse, non sans quelques tacles désespérés des juniors d’en face, qui n’avaient pas la même chasuble que le joueur pro.
«On est tous passés par là, sourit l’ancien Carougeois. C’est bien que les joueurs de la première équipe participent à ces moments. On voit que certains gamins ont des étoiles dans les yeux. Moi, j’aime cette relation, j’aime voir que les juniors ont l’espoir au fond d’eux de devenir, pourquoi pas, professionnels un jour. Je suis très content et les enfants montrent beaucoup de respect.»
«Un club, un joueur»
Le Lausanne-Sport a lancé l’opération «Un club, un joueur» et proposé aux équipes du canton d’envoyer, une fois par tour, un élément du groupe professionnel participer aux entraînements sur leur terrain. Ils sont une bonne septantaine à avoir répondu. Vingt-cinq heureux gagnants ont été tirés au sort et il y en a eu pour tous les goûts. Certains joueurs s’impliquent plus que d’autres, question de caractère aussi. Les enfants, eux, apprécient diversement le moment, selon leurs attentes autour du jeu de ballon.
À Malley, il y avait Alessio, 12 ans et déjà une technique assez affûtée: «J’ai bien aimé, dit-il. Nassim Zoukit m’a donné quelques conseils. Il est fort et il joue très bien! J’aimerais faire la même chose plus tard, mais un peu comme tout le monde, je crois.» Pas forcément. Parce que sur le terrain d’à côté, Noah est plus dubitatif. «C’est bien qu’ils viennent, dit timidement le joueur de 10 ans avec le maillot du Racing Club Lausanne sur le dos. Mais moi, je ne rêve pas de devenir pro. Si j’espère un jour évoluer dans le grand stade de la Tuilière? Non, pas moi»
Des vocations, ou pas
Mercredi, à la Tuilière, Zoukit était donc avec l’ES Malley, et un peu plus haut ce sont Berkay Dabanli et Tristan Diaz qui ont égayé les exercices des «D» de Concordia Lausanne. Dans la foulée, sur le terrain adjacent, Mickaël Nanizayamo et Alvyn Sanches se tapaient des barres de rire et se filmaient au milieu de la ribambelle de «E» du Racing. Le LS avait essaimé ses éléments à travers tout le canton. Goduine Koyalipou était par exemple à Épalinges, Anel Husic «chez lui» à Yverdon auprès du FC Bosna, Florian Hysenaj avait été dépêché auprès des jeunes du Stade Nyonnais, Gianluca Gaudino était à Échichens et Thomas Castella à La Sarraz.
«C’est important pour eux et c’est un vrai plaisir pour nous», sourit Nanizayamo, qui s’est fait le porte-parole de Sanches pour l’occasion. Car le jeune milieu du LS est plus à l’aise ballon au pied que devant un micro et il l’a prouvé en mettant un joli tir enroulé dans la lucarne du gardien du Racing, médusé. «Ces jeunes veulent devenir comme nous et on est là pour passer un moment avec eux, avec leur famille Ils sont là pour le LS, dans les tribunes lors des matches et c’est bien de leur rendre la pareille», apprécie le défenseur format géant.
Ludique et instructif
Cette démarche s’inscrit dans une volonté plus globale du club de la Tuilière de se montrer proche de son public. Une séance d’entraînement est ouverte de façon hebdomadaire et elle ne fait pas toujours recette - surtout cette semaine, car programmée à 15 h 30 lundi après-midi, où on devait être trois au plus fort de l’affluence. C’est bien dommage, car il est possible d’y apprendre pas mal de choses pour un joueur ou un entraîneur dit du «foot des talus».
Passer une heure ou plus à regarder Ludovic Magnin encourager, replacer, houspiller et vanner ses ouailles en plusieurs langues, ça n’a pas de prix. Ça tombe bien, c’est gratuit! Et ça, dans le football moderne, c’est rare.
Magnin: «Ils ont bien ri!»
«Je trouve important qu’on casse ces barrières, assure le coach Ludovic Magnin, par rapport à cette opération. On ne va pas ouvrir nos vestiaires, je vous rassure. Mais il est nécessaire que les gamins du canton puissent s’identifier à notre équipe. Mes gars ont eu beaucoup de plaisir avec les jeunes. À ce que j’ai entendu, ils ont bien ri! Nous ne pouvons pas les y envoyer toutes les semaines, parce qu’ils doivent aussi être prêts à jouer le week-end.
»Le LS s’est déplacé une fois dans un hôpital, a participé à ces entraînements à travers les terrains vaudois. Notre objectif avec ça, c’est de remplir le stade, d’avoir des gens qui sont contents d’y venir et que le public soit partie prenante de ce projet. On est tous conscients que, quand un club est relégué, c’est que des erreurs ont été faites. Mais on ne peut pas refaire le passé! Nous essayons donc de repartir du bon pied et de profiter de la phase positive que nous sommes en train de vivre. C’est plus facile de s’ouvrir au public et d’aller dans les petits clubs quand on est premiers.» RCA
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Ludovic Magnin: «Bizarre de rentrer dans le Stade olympique»
https://lematin.ch/story/ludovic-magnin-bizarre-de-rentrer-dans-le-stade-olympique-501982791461
https://lematin.ch/story/ludovic-magnin-bizarre-de-rentrer-dans-le-stade-olympique-501982791461
Nataniel- Localisation : 1022
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football - Le LS attendu à la Pontaise
Ajdini et SLO sont prêts à bousculer la hiérarchie
Après avoir tenu en échec le LS à la Tuilière, les Stadistes et leur buteur ont pour légitime ambition de le faire tomber, ce samedi à la Pontaise (18 h).
André Boschetti
Pour la première fois de sa longue histoire, le Lausanne-Sport se rendra à la Pontaise, samedi, en tant que club visiteur. Avec une petite pointe de nostalgie - certainement davantage du côté de ses supporters que des joueurs actuels eux-mêmes - dont Stade Lausanne Ouchy, le désormais locataire des lieux depuis quinze mois, ne prêtera justement pas la moindre attention.
Au contraire. Deux mois après avoir été la première équipe - et jusque-là la seule - à ne pas quitter la Tuilière bredouille (0-0) cette saison, SLO a une forte envie de montrer les progrès qu’il a accomplis depuis à son plus prestigieux voisin. «Contre le LS, assure Anthony Braizat, nous serons toujours des outsiders. Mais nous avons clairement l’ambition de faire mieux qu’au match aller.»
Autrement dit, l’objectif avoué des Stadistes sera de remporter la seconde victoire de son histoire contre le LS après l’inoubliable démonstration (3-0) qu’avait offerte, en août 2019 en terre nyonnaise, l’alors néo-promu en Challenge League que dirigeait Andrea Binotto.
«Sur le terrain, j’attends de mes joueurs qu’ils fassent le maximum pour prouver que nous nous sommes rapprochés d’eux, précise le coach de la Pontaise. Il leur a fallu un peu de temps pour assimiler les changements de philosophie et de système que j’ai opérés en arrivant ici. Tout comme des charges de travail plus importantes lors des entraînements. Ces dernières semaines, nous avons réussi à bousculer YB et certains cadors de Challenge League, mais sans réussir à les battre. Parce que nous manquons encore d’un peu de confiance et de personnalité pour franchir ce nouveau palier. Pour y parvenir, mon équipe doit maintenant réussir à pleinement se lâcher sur le terrain.»
Invaincu depuis quatre matches, SLO compte aussi sur Alban Ajdini (23 ans) pour revenir à une seule unité du leader. Meilleur buteur stadiste avec Okou (cinq buts), l’ex-international M21 du Kosovo vient en effet d’inscrire deux doublés successifs contre le FC Thoune et Vaduz. Quatre réussites qui feront de lui un attaquant sous haute surveillance samedi. «Ces buts récompensent tout le travail que j’ai effectué ces derniers mois, sourit l’ancien Servettien. Mais je suis surtout très reconnaissant envers mes coéquipiers qui font tout pour me mettre dans les meilleures conditions possible sur le terrain. Cela dit, je pense avoir surtout progressé au niveau mental ces derniers temps. Je me sens beaucoup plus mature, dans mes prises de décision principalement.»
Un déclic qui arrive au meilleur moment et n’étonne pas Anthony Braizat. «Je connais Alban depuis l’époque où j’étais au Servette FC. Je sais donc ce dont il est capable. Sa compréhension et sa lecture du jeu sont supérieures à la moyenne et elles lui permettent de compenser son petit manque de vitesse. Comme la confiance qu’il acquiert en marquant des buts.»
Il vise la Super League
Sans que cela soit une obsession, Alban Ajdini connaît l’importance des buts pour n’importe quel attaquant. «Je le sais aussi parce que j’ai vécu une dernière saison un peu compliquée de ce point de vue (ndlr: 2 buts et 2 passes décisives en 32 matches). Pour exister, un attaquant a besoin de marquer. Et même si nous avons jusque-là peut-être un peu manqué d’efficacité offensive pour faire la différence face aux meilleures équipes, je suis certain que nous avons les moyens de régler ce problème avec les hommes qui sont déjà là. Après Okou en début de saison et moi ces derniers temps, qui dit que ce ne sera bientôt pas au tour de notre avant-centre, Zacharie Hadji, de connaître davantage de réussite?»
Pour venir à bout de ce LS qui baigne lui aussi en pleine confiance après ses superbes victoires contre Yverdon, Zurich en Coupe et Wil peut-être bien que SLO aura besoin des contributions sonnantes et trébuchantes de ses trois principaux atouts offensifs. «Pour gagner, nous devrons bien sûr marquer, conclut Alban Ajdini, et si c’est moi, ce sera bien entendu magnifique, mais, en ce qui me concerne, c’est d’abord la victoire d’une équipe qui m’importe aujourd’hui.»
Même s’il préfère justement se concentrer sur le moment présent, Alban Ajdini reconnaît avoir comme objectif d’évoluer prochainement en Super League. En suivant, peut-être, le même itinéraire que ses deux anciens coéquipiers, Zeki Amdouni et Brighton Labeau. À moins bien sûr que SLO y parvienne par ses propres moyens en mai prochain.
L’avant-match
SLO - LS, samedi 18 h
Les absents SLO sans Bayard, Gassama (suspendus), Asllani ni Maroufi (blessés). Au LS, Brown (suspendu) et Kukuruzovic (blessé) manquent à l’appel.
Affluence record? Pour ce premier derby lausannois de la saison à la Pontaise, le SLO compte bien battre son record de spectateurs (2500) réalisé en Coupe face à YB.
Ludovic Magnin Dire que, malgré trois probantes victoires consécutives, l’entraîneur du LS se méfie de son voisin est un euphémisme. «Nous connaissons bien tous les adversaires. Mais les qualités que le Stade a, ce sont des qualités qui vont faire que le match sera intense. Les Stadistes ont un super pressing, ils mettent beaucoup d’intensité.» ABO
Ajdini et SLO sont prêts à bousculer la hiérarchie
Après avoir tenu en échec le LS à la Tuilière, les Stadistes et leur buteur ont pour légitime ambition de le faire tomber, ce samedi à la Pontaise (18 h).
André Boschetti
Pour la première fois de sa longue histoire, le Lausanne-Sport se rendra à la Pontaise, samedi, en tant que club visiteur. Avec une petite pointe de nostalgie - certainement davantage du côté de ses supporters que des joueurs actuels eux-mêmes - dont Stade Lausanne Ouchy, le désormais locataire des lieux depuis quinze mois, ne prêtera justement pas la moindre attention.
Au contraire. Deux mois après avoir été la première équipe - et jusque-là la seule - à ne pas quitter la Tuilière bredouille (0-0) cette saison, SLO a une forte envie de montrer les progrès qu’il a accomplis depuis à son plus prestigieux voisin. «Contre le LS, assure Anthony Braizat, nous serons toujours des outsiders. Mais nous avons clairement l’ambition de faire mieux qu’au match aller.»
Autrement dit, l’objectif avoué des Stadistes sera de remporter la seconde victoire de son histoire contre le LS après l’inoubliable démonstration (3-0) qu’avait offerte, en août 2019 en terre nyonnaise, l’alors néo-promu en Challenge League que dirigeait Andrea Binotto.
«Sur le terrain, j’attends de mes joueurs qu’ils fassent le maximum pour prouver que nous nous sommes rapprochés d’eux, précise le coach de la Pontaise. Il leur a fallu un peu de temps pour assimiler les changements de philosophie et de système que j’ai opérés en arrivant ici. Tout comme des charges de travail plus importantes lors des entraînements. Ces dernières semaines, nous avons réussi à bousculer YB et certains cadors de Challenge League, mais sans réussir à les battre. Parce que nous manquons encore d’un peu de confiance et de personnalité pour franchir ce nouveau palier. Pour y parvenir, mon équipe doit maintenant réussir à pleinement se lâcher sur le terrain.»
Invaincu depuis quatre matches, SLO compte aussi sur Alban Ajdini (23 ans) pour revenir à une seule unité du leader. Meilleur buteur stadiste avec Okou (cinq buts), l’ex-international M21 du Kosovo vient en effet d’inscrire deux doublés successifs contre le FC Thoune et Vaduz. Quatre réussites qui feront de lui un attaquant sous haute surveillance samedi. «Ces buts récompensent tout le travail que j’ai effectué ces derniers mois, sourit l’ancien Servettien. Mais je suis surtout très reconnaissant envers mes coéquipiers qui font tout pour me mettre dans les meilleures conditions possible sur le terrain. Cela dit, je pense avoir surtout progressé au niveau mental ces derniers temps. Je me sens beaucoup plus mature, dans mes prises de décision principalement.»
Un déclic qui arrive au meilleur moment et n’étonne pas Anthony Braizat. «Je connais Alban depuis l’époque où j’étais au Servette FC. Je sais donc ce dont il est capable. Sa compréhension et sa lecture du jeu sont supérieures à la moyenne et elles lui permettent de compenser son petit manque de vitesse. Comme la confiance qu’il acquiert en marquant des buts.»
Il vise la Super League
Sans que cela soit une obsession, Alban Ajdini connaît l’importance des buts pour n’importe quel attaquant. «Je le sais aussi parce que j’ai vécu une dernière saison un peu compliquée de ce point de vue (ndlr: 2 buts et 2 passes décisives en 32 matches). Pour exister, un attaquant a besoin de marquer. Et même si nous avons jusque-là peut-être un peu manqué d’efficacité offensive pour faire la différence face aux meilleures équipes, je suis certain que nous avons les moyens de régler ce problème avec les hommes qui sont déjà là. Après Okou en début de saison et moi ces derniers temps, qui dit que ce ne sera bientôt pas au tour de notre avant-centre, Zacharie Hadji, de connaître davantage de réussite?»
Pour venir à bout de ce LS qui baigne lui aussi en pleine confiance après ses superbes victoires contre Yverdon, Zurich en Coupe et Wil peut-être bien que SLO aura besoin des contributions sonnantes et trébuchantes de ses trois principaux atouts offensifs. «Pour gagner, nous devrons bien sûr marquer, conclut Alban Ajdini, et si c’est moi, ce sera bien entendu magnifique, mais, en ce qui me concerne, c’est d’abord la victoire d’une équipe qui m’importe aujourd’hui.»
Même s’il préfère justement se concentrer sur le moment présent, Alban Ajdini reconnaît avoir comme objectif d’évoluer prochainement en Super League. En suivant, peut-être, le même itinéraire que ses deux anciens coéquipiers, Zeki Amdouni et Brighton Labeau. À moins bien sûr que SLO y parvienne par ses propres moyens en mai prochain.
L’avant-match
SLO - LS, samedi 18 h
Les absents SLO sans Bayard, Gassama (suspendus), Asllani ni Maroufi (blessés). Au LS, Brown (suspendu) et Kukuruzovic (blessé) manquent à l’appel.
Affluence record? Pour ce premier derby lausannois de la saison à la Pontaise, le SLO compte bien battre son record de spectateurs (2500) réalisé en Coupe face à YB.
Ludovic Magnin Dire que, malgré trois probantes victoires consécutives, l’entraîneur du LS se méfie de son voisin est un euphémisme. «Nous connaissons bien tous les adversaires. Mais les qualités que le Stade a, ce sont des qualités qui vont faire que le match sera intense. Les Stadistes ont un super pressing, ils mettent beaucoup d’intensité.» ABO
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Afin de s'échauffer avant la rencontre du jour, vous pouvez écouter notre podcast de la semaine
Bonne écoute et n'hésitez pas à réagir
Bonne écoute et n'hésitez pas à réagir
radio_global- Date d'inscription : 28/06/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
radio_global a écrit:Afin de s'échauffer avant la rencontre du jour, vous pouvez écouter notre podcast de la semaine
Bonne écoute et n'hésitez pas à réagir
Y'a pas de 5 et 6 ?
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le résumé du match sur Carton-Rouge :
https://www.carton-rouge.ch/2022/10/09/ouchy-hote-larbitre/
https://www.carton-rouge.ch/2022/10/09/ouchy-hote-larbitre/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
dudu aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Quelqu’un arrive à poster l’article du 24h SVP? Grand merci
NPLS- Date d'inscription : 04/09/2020
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Et voilà
SLO remet dans le dur un LS minimaliste
Les 4450 spectateurs présents samedi à la Pontaise ont vu l’outsider prendre le meilleur (2-1) sur un favori qui a, comme trop souvent, manqué d’ambition.
André Boschetti
Même si leur victoire a été très longue à se dessiner, Teddy Okou et SLO n’ont rien volé en arrachant les trois points contre un LS décevant dans les arrêts de jeu, samedi à la Pontaise.
Même si leur victoire a été très longue à se dessiner, Teddy Okou et SLO n’ont rien volé en arrachant les trois points contre un LS décevant dans les arrêts de jeu, samedi à la Pontaise.
En novembre 2020, le Lausanne-Sport quittait définitivement la Pontaise sur un faux pas contre Lugano (0-1). Samedi, pour son retour dans son stade historique en tant que club visiteur, il a fait encore pire en s’inclinant sans gloire face au Stade Lausanne Ouchy.
Une défaite de surcroît logique au vu du contenu proposé et des occasions échues aux deux équipes, même si la victoire aurait pu choisir le camp du LS si la frappe lointaine de Koyalipou n’avait pas touché la base du poteau droit du but de Da Silva (90e). Une affaire de centimètres dont profitait SLO ensuite pour empocher les trois points sur un superbe contre conclu par Garcia sur un service parfait de Danho (92e).
Un comble pour un leader tout sauf dominant qui avait très longtemps laissé, comme trop souvent cette saison, l’initiative à son adversaire. «Nous avons proposé trop peu de jeu pour espérer gagner, répétait avec lucidité à plusieurs reprises Simone Grippo au terme de ce derby très haché. Même si avec un brin de réussite nous aurions pu gagner en fin de partie, nous en avons fait trop peu pour le mériter.»
On veut bien que pour Ludovic Magnin, seul le résultat compte. Mais le problème lorsque l’on perd – pour la troisième fois déjà en cinq déplacements cette saison - sans avoir joué, ou trop peu, c’est qu’il ne reste ensuite pratiquement aucun aspect positif sur lequel rebondir.
Comme à Bellinzone et à Thoune, le LS a évolué, samedi, avec l’état d’esprit d’un néopromu qui cherche à grappiller un point précieux dans sa lutte pour le maintien. Un manque incompréhensible d’ambition qui contraste fortement avec les moyens et les légitimes objectifs élevés affichés par le club de la Tuilière et son entraîneur.
La blessure de Labeau inquiète
Si elle est très difficile à accepter pour ses supporters venus en nombre à la Pontaise, cette deuxième défaite de son histoire contre son voisin lausannois pourrait avoir de lourdes conséquences pour le LS. Sorti peu après la mi-temps, Brighton Labeau craignait le pire après la rencontre. «Au niveau de la hanche, j’ai senti un craquement», susurrait, non sans inquiétude, le meilleur buteur de CL. Un genre de blessure que l’attaquant français a déjà connu il y a quelques années et qui l’avait alors laissé près de six mois sur le flanc.
SLO à un point des leaders
L’ambiance était beaucoup plus joyeuse et même festive dans le camp opposé. Plus entreprenant et courageux, SLO a arraché un succès qui n’est pas simplement de prestige. À un petit point seulement des coleaders Wil et LS, les Stadistes ont fini par logiquement forcer le destin et se profiler comme un candidat très sérieux à la promotion.
Un enthousiasme qu’Anthony Braizat se chargeait très vite de modérer. «Même si tout n’a pas été parfait de notre côté, nous avons montré contre le LS les progrès que nous avons accomplis ces derniers mois. Pour décrocher une belle victoire que mes joueurs peuvent savourer ce week-end. Mais dès lundi, j’attends d’eux qu’ils se remettent au boulot avec le même enthousiasme et la même humilité montrés jusqu’à présent.»
SLO remet dans le dur un LS minimaliste
Les 4450 spectateurs présents samedi à la Pontaise ont vu l’outsider prendre le meilleur (2-1) sur un favori qui a, comme trop souvent, manqué d’ambition.
André Boschetti
Même si leur victoire a été très longue à se dessiner, Teddy Okou et SLO n’ont rien volé en arrachant les trois points contre un LS décevant dans les arrêts de jeu, samedi à la Pontaise.
Même si leur victoire a été très longue à se dessiner, Teddy Okou et SLO n’ont rien volé en arrachant les trois points contre un LS décevant dans les arrêts de jeu, samedi à la Pontaise.
En novembre 2020, le Lausanne-Sport quittait définitivement la Pontaise sur un faux pas contre Lugano (0-1). Samedi, pour son retour dans son stade historique en tant que club visiteur, il a fait encore pire en s’inclinant sans gloire face au Stade Lausanne Ouchy.
Une défaite de surcroît logique au vu du contenu proposé et des occasions échues aux deux équipes, même si la victoire aurait pu choisir le camp du LS si la frappe lointaine de Koyalipou n’avait pas touché la base du poteau droit du but de Da Silva (90e). Une affaire de centimètres dont profitait SLO ensuite pour empocher les trois points sur un superbe contre conclu par Garcia sur un service parfait de Danho (92e).
Un comble pour un leader tout sauf dominant qui avait très longtemps laissé, comme trop souvent cette saison, l’initiative à son adversaire. «Nous avons proposé trop peu de jeu pour espérer gagner, répétait avec lucidité à plusieurs reprises Simone Grippo au terme de ce derby très haché. Même si avec un brin de réussite nous aurions pu gagner en fin de partie, nous en avons fait trop peu pour le mériter.»
On veut bien que pour Ludovic Magnin, seul le résultat compte. Mais le problème lorsque l’on perd – pour la troisième fois déjà en cinq déplacements cette saison - sans avoir joué, ou trop peu, c’est qu’il ne reste ensuite pratiquement aucun aspect positif sur lequel rebondir.
Comme à Bellinzone et à Thoune, le LS a évolué, samedi, avec l’état d’esprit d’un néopromu qui cherche à grappiller un point précieux dans sa lutte pour le maintien. Un manque incompréhensible d’ambition qui contraste fortement avec les moyens et les légitimes objectifs élevés affichés par le club de la Tuilière et son entraîneur.
La blessure de Labeau inquiète
Si elle est très difficile à accepter pour ses supporters venus en nombre à la Pontaise, cette deuxième défaite de son histoire contre son voisin lausannois pourrait avoir de lourdes conséquences pour le LS. Sorti peu après la mi-temps, Brighton Labeau craignait le pire après la rencontre. «Au niveau de la hanche, j’ai senti un craquement», susurrait, non sans inquiétude, le meilleur buteur de CL. Un genre de blessure que l’attaquant français a déjà connu il y a quelques années et qui l’avait alors laissé près de six mois sur le flanc.
SLO à un point des leaders
L’ambiance était beaucoup plus joyeuse et même festive dans le camp opposé. Plus entreprenant et courageux, SLO a arraché un succès qui n’est pas simplement de prestige. À un petit point seulement des coleaders Wil et LS, les Stadistes ont fini par logiquement forcer le destin et se profiler comme un candidat très sérieux à la promotion.
Un enthousiasme qu’Anthony Braizat se chargeait très vite de modérer. «Même si tout n’a pas été parfait de notre côté, nous avons montré contre le LS les progrès que nous avons accomplis ces derniers mois. Pour décrocher une belle victoire que mes joueurs peuvent savourer ce week-end. Mais dès lundi, j’attends d’eux qu’ils se remettent au boulot avec le même enthousiasme et la même humilité montrés jusqu’à présent.»
El Lutin- Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Merci beaucoup!
NPLS- Date d'inscription : 04/09/2020
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lausanne-sport.ch/un-grand-supporter-du-ls-sen-est-alle/
triste nouvelle; l'ayant cotoyé à quelques reprises je me souviens d'un homme discret mais très abordable, extrêmement sympathique et généreux; véritable amoureux du club et très proche des supporters (avec même une sympathie indéniable pour les jeunes anarchés que nous étions alors)
reposez en paix Monsieur Rebeaud
triste nouvelle; l'ayant cotoyé à quelques reprises je me souviens d'un homme discret mais très abordable, extrêmement sympathique et généreux; véritable amoureux du club et très proche des supporters (avec même une sympathie indéniable pour les jeunes anarchés que nous étions alors)
reposez en paix Monsieur Rebeaud
FF-LS- Localisation : Montriond
Date d'inscription : 26/01/2021
Old School et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/le-xamaxien-retrouve-lausanne-brahima-ouattara-un-attaquant-prometteur-au-parcours-deja-extraordinaire-id17960957.html
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Au LS de montrer ce qu’il a dans le ventre
En huit jours et trois échéances, le favori du championnat se doit de réagir après sa défaite lors du derby lausannois. Première étape, Ne/Xamax, ce vendredi soir à la Tuilière.
André Boschetti
Ludovic Magnin n’a pas goûté la prestation de son équipe contre SLO, mais encore moins les critiques dont elle a été l’objet.
Même si Ludovic Magnin affirme que le revers concédé contre Stade Lausanne Ouchy le week-end passé ne l’inquiète pas plus que cela, les propos et le ton du coach de la Tuilière laissent penser le contraire.
«Je ne comprends pas la virulence des critiques qui ont suivi ce match, commence-t-il. Notre performance n’a pas été bonne et SLO a mérité sa victoire, mais tout n’a pas non plus été négatif, puisque nous sommes aussi passés très près de le gagner, ce derby. Et, sauf erreur, nous sommes toujours en tête du classement. Comme je le dis et le répète depuis trois mois, ceux qui imaginent que le LS est à même d’écraser la Challenge League doivent oublier ce rêve. La compétition va être serrée jusqu’au bout et nous allons en perdre encore, des matches. Personnellement, ce qui m’a surtout agacé samedi dernier, c’est de voir tous mes joueurs constamment à terre pour n’avoir pas choisi les bons crampons!»
Avec deux rencontres programmées à la Tuilière, entrecoupées d’un déplacement à Wil mardi, le changement de surface est un souci que les Lausannois n’auront pas lors de la seule semaine anglaise de cette première phase. «Le passage du synthétique au gazon naturel est un vrai problème», martèle une nouvelle fois un Ludovic Magnin qui attend une réaction de son équipe contre Ne/Xamax. «Tant au niveau de l’état d’esprit que du jeu, je veux voir autre chose sur le terrain. Pour être sincère, cette semaine je me suis d’ailleurs beaucoup plus préoccupé de nous-mêmes que de notre adversaire.
Pour cette triple échéance rapprochée, le LS devra très vraisemblablement composer sans son meilleur attaquant, Brighton Labeau. «Les examens passés en début de semaine ont été rassurants, confirme Magnin. La blessure dont il souffre est musculaire et n’a donc rien à voir avec celle, très lourde, qu’il avait subie il y a quelques années. Cela dit, je ne sais pas encore si je pourrai compter avec lui vendredi. Ni même pour les deux matches suivants, d’ailleurs.» Pour info, le meilleur buteur du championnat s’est entraîné en marge du groupe ces derniers jours.
Une absence qui ne trouble pas le sommeil du technicien vaudois. «Avec Koyalipou et Turkes, nous avons des solutions pour pallier cette absence. Marvin Spielmann, désormais remis de sa blessure, pourrait lui aussi entrer en ligne de compte même s’il n’est pas encore tout à fait prêt.»
Qui à la place de Labeau?
Contre Ne/Xamax, le LS devrait donc commencer la partie avec le duo Coyle-Koyalipou et un Aldin Turkes prêt à apporter sa contribution en seconde mi-temps. «Cet été, sourit Ludovic Magnin, je ne pensais pas aligner Turkes dès le coup d’envoi avant janvier prochain, mais les événements me font aujourd’hui penser que je pourrais changer d’avis. Je ne pense pas qu’il sera titulaire ce vendredi déjà.»
Après ses deux premières défaites de la saison à Bellinzone et à Thoune, le LS avait su immédiatement rectifier le tir en dominant à la Tuilière Schaffhouse (5-1) puis, surtout, Yverdon (3-2) pour ce qui reste sa prestation collective la plus aboutie. Avec l’orgueil qui caractérise les leaders lausannois et leur coach, il n’y a pas de raison de penser que les choses se passeront différemment cette fois, même si l’opposition sera plus relevée que pourrait laisser croire le classement.
Avant-match LS – Ne/Xamax, La Tuilière, ce vendredi (20h15)
Afficher moins
Les absents Husic (suspendu) et Kukuruzovic (blessé). Labeau est annoncé incertain.
L’adversaire Après n’avoir pris qu’un seul point lors de ses neuf premières sorties, Ne/Xamax a enfin pu fêter un premier succès, vendredi dernier. Une nette victoire contre Bellinzone (4-0) qui a requinqué le moral des Neuchâtelois avant le déplacement à Lausanne.
Forteresse L’un des objectifs de Ludovic Magnin est de faire de la Tuilière une forteresse inviolable. Ce qui est le cas jusqu’à présent, puisque son équipe a remporté cinq des six matches disputés devant son public. Dont un en Coupe contre le FC Zurich. Le seul demi-faux pas a été un nul concédé face à SLO (0-0).
En huit jours et trois échéances, le favori du championnat se doit de réagir après sa défaite lors du derby lausannois. Première étape, Ne/Xamax, ce vendredi soir à la Tuilière.
André Boschetti
Ludovic Magnin n’a pas goûté la prestation de son équipe contre SLO, mais encore moins les critiques dont elle a été l’objet.
Même si Ludovic Magnin affirme que le revers concédé contre Stade Lausanne Ouchy le week-end passé ne l’inquiète pas plus que cela, les propos et le ton du coach de la Tuilière laissent penser le contraire.
«Je ne comprends pas la virulence des critiques qui ont suivi ce match, commence-t-il. Notre performance n’a pas été bonne et SLO a mérité sa victoire, mais tout n’a pas non plus été négatif, puisque nous sommes aussi passés très près de le gagner, ce derby. Et, sauf erreur, nous sommes toujours en tête du classement. Comme je le dis et le répète depuis trois mois, ceux qui imaginent que le LS est à même d’écraser la Challenge League doivent oublier ce rêve. La compétition va être serrée jusqu’au bout et nous allons en perdre encore, des matches. Personnellement, ce qui m’a surtout agacé samedi dernier, c’est de voir tous mes joueurs constamment à terre pour n’avoir pas choisi les bons crampons!»
Avec deux rencontres programmées à la Tuilière, entrecoupées d’un déplacement à Wil mardi, le changement de surface est un souci que les Lausannois n’auront pas lors de la seule semaine anglaise de cette première phase. «Le passage du synthétique au gazon naturel est un vrai problème», martèle une nouvelle fois un Ludovic Magnin qui attend une réaction de son équipe contre Ne/Xamax. «Tant au niveau de l’état d’esprit que du jeu, je veux voir autre chose sur le terrain. Pour être sincère, cette semaine je me suis d’ailleurs beaucoup plus préoccupé de nous-mêmes que de notre adversaire.
Pour cette triple échéance rapprochée, le LS devra très vraisemblablement composer sans son meilleur attaquant, Brighton Labeau. «Les examens passés en début de semaine ont été rassurants, confirme Magnin. La blessure dont il souffre est musculaire et n’a donc rien à voir avec celle, très lourde, qu’il avait subie il y a quelques années. Cela dit, je ne sais pas encore si je pourrai compter avec lui vendredi. Ni même pour les deux matches suivants, d’ailleurs.» Pour info, le meilleur buteur du championnat s’est entraîné en marge du groupe ces derniers jours.
Une absence qui ne trouble pas le sommeil du technicien vaudois. «Avec Koyalipou et Turkes, nous avons des solutions pour pallier cette absence. Marvin Spielmann, désormais remis de sa blessure, pourrait lui aussi entrer en ligne de compte même s’il n’est pas encore tout à fait prêt.»
Qui à la place de Labeau?
Contre Ne/Xamax, le LS devrait donc commencer la partie avec le duo Coyle-Koyalipou et un Aldin Turkes prêt à apporter sa contribution en seconde mi-temps. «Cet été, sourit Ludovic Magnin, je ne pensais pas aligner Turkes dès le coup d’envoi avant janvier prochain, mais les événements me font aujourd’hui penser que je pourrais changer d’avis. Je ne pense pas qu’il sera titulaire ce vendredi déjà.»
Après ses deux premières défaites de la saison à Bellinzone et à Thoune, le LS avait su immédiatement rectifier le tir en dominant à la Tuilière Schaffhouse (5-1) puis, surtout, Yverdon (3-2) pour ce qui reste sa prestation collective la plus aboutie. Avec l’orgueil qui caractérise les leaders lausannois et leur coach, il n’y a pas de raison de penser que les choses se passeront différemment cette fois, même si l’opposition sera plus relevée que pourrait laisser croire le classement.
Avant-match LS – Ne/Xamax, La Tuilière, ce vendredi (20h15)
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Les absents Husic (suspendu) et Kukuruzovic (blessé). Labeau est annoncé incertain.
L’adversaire Après n’avoir pris qu’un seul point lors de ses neuf premières sorties, Ne/Xamax a enfin pu fêter un premier succès, vendredi dernier. Une nette victoire contre Bellinzone (4-0) qui a requinqué le moral des Neuchâtelois avant le déplacement à Lausanne.
Forteresse L’un des objectifs de Ludovic Magnin est de faire de la Tuilière une forteresse inviolable. Ce qui est le cas jusqu’à présent, puisque son équipe a remporté cinq des six matches disputés devant son public. Dont un en Coupe contre le FC Zurich. Le seul demi-faux pas a été un nul concédé face à SLO (0-0).
Qwertz- Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Cette histoire de mauvais crampons c'est quand même pas normal à ce niveau !
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
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