Les articles de presse (commentaires autorisés)
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stefvs10- Date d'inscription : 17/12/2010
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le jeune vert "engagé" Ilias persiste et signe.
Il a trouvé une tribune qui s'intéresse (enfin) à lui.
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
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https://www.letemps.ch/suisse/lausanne-ilias-panchard-un-jeune-vert-engage
Dernière édition par pizzaiolo le Jeu 2 Fév 2023 - 5:23, édité 1 fois
pizzaiolo- Date d'inscription : 19/08/2007
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kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
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stefvs10- Date d'inscription : 17/12/2010
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bonzai- Date d'inscription : 03/11/2009
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fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
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Rolls- Date d'inscription : 13/08/2020
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neLSon- Date d'inscription : 21/03/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
stefvs10- Date d'inscription : 17/12/2010
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Allez, passons aux choses sérieuses ! Il y a match vendredi.
Vous tâcherez d'être plus exemplaires que moi. Parce qu'avec un déplacement en 4x4 diesel, une viande au LStadio et un petit verre (je n'ai pas écrit "vert") au Gbar ensuite, je ne suis pas certain que j'améliore l'image écologique de notre manifestation sportive...
Vive le foot ! Vive le LS ! Vive le sport ! Rien de tel pour faire le plein ... d'énergie ! Renouvelable, bien sûr, puisque l'on y reviendra.
Old School- Localisation : Echandens
Date d'inscription : 07/08/2007
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Vu le potentiel forfait fiscal négocié avec le canton pour Ineos, la contribution financière de la ville de Lausanne pour le stade, je comprends tout à fait que ces autorités demandent certaines garanties sur des sujets sociétaux (formation, environnement, ancrage local...). Si cette interpellation au conseil communal peut découler en une prise de conscience environnementale au LS dans certains processus de décision et quelques actions concrète, ben tant mieux. Ca ne veut pas dire qu'ils doivent s'entrainer dans la neige, se doucher à l'eau froide et se rendre à la Tuillière en vélo (pour ce dernier point, ça aurait pu faire du bien à notre ancien attaquant).
Topper- Date d'inscription : 19/08/2010
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Old School a écrit:Bon, au final, n'en déplaise à ce "pinailleur" (qui ne signifie par pour autant qu'il trompe sa femme... ), le camp en Tunisie s'est bien déroulé, a permis à des Lausannois de s'ouvrir au monde en participant à un voyage culturel et fraternel en ne laissant pas un avion voler à vide. Ce qui fait un petit bonus au niveau du bilan carbone, non ?
Allez, passons aux choses sérieuses ! Il y a match vendredi.
Vous tâcherez d'être plus exemplaires que moi. Parce qu'avec un déplacement en 4x4 diesel, une viande au LStadio et un petit verre (je n'ai pas écrit "vert") au Gbar ensuite, je ne suis pas certain que j'améliore l'image écologique de notre manifestation sportive...
Vive le foot ! Vive le LS ! Vive le sport ! Rien de tel pour faire le plein ... d'énergie ! Renouvelable, bien sûr, puisque l'on y reviendra.
Tu pisses pas dans le vert hein?
Dernière édition par Thierrible le Jeu 2 Fév 2023 - 20:59, édité 1 fois
Thierrible- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 27/07/2007
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.24heures.ch/comment-les-clubs-vaudois-selectionnent-leurs-renforts-535554002751
Rolls- Date d'inscription : 13/08/2020
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Rolls a écrit:Mercato hivernal - Comment les clubs vaudois sélectionnent leurs renforts
https://www.24heures.ch/comment-les-clubs-vaudois-selectionnent-leurs-renforts-535554002751
Mercato hivernal
Comment les clubs vaudois sélectionnent leurs renforts
Le LS, Yverdon et le SLO sont en course pour la promotion. Un objectif qui peut se rapprocher en recrutant judicieusement l’hiver venu.
Robin Carrel
Publié aujourd’hui à 20h02
Le milieu Antoine Bernede est l’une des recrues du LS durant le mercato hivernal.
Le football n’a pas échappé à l’apparition des réseaux sociaux et de l’info en continu. Et pour les suiveurs du ballon rond, ça peut vite devenir une addiction. Les rumeurs pullulent, quelques-unes se révèlent vraies et, à la fin, c’est souvent l’Angleterre qui rafle la mise à coups de centaines de millions. Cet hiver, Chelsea a plus investi que les championnats français, italien, allemand et espagnol réunis. Loin de ce faste, les clubs vaudois aussi doivent se renforcer durant le mercato. Et le travail est différent.
Avant-match Lausanne-Aarau
Le LS doit regarder devant, s’il escompte remonter directement en Super League en fin de saison. Mais ce match contre Aarau a un autre enjeu important: mettre un autre candidat à la promotion à six points au classement. «Pour moi, sur la longueur, Aarau est un de nos principaux concurrents», confirme Ludovic Magnin.
Manque
La recrue française Antoine Bernede aura certainement les clés du jeu vaudois, vendredi. Les Vaudois doivent faire sans Alvyn Sanches, suspendu après son expulsion face au SLO (2-4) le week-end dernier.
Progrès
«Ce match est un pas parmi les dix-huit qu’il reste à faire, philosophe le coach vaudois. Lors de la première rencontre de cette année, j’ai vu de l’amélioration dans beaucoup de compartiments. Cette Challenge League est difficile à déchiffrer. Il n’y a pas vraiment de logique.»
Le LS est le club du coin qui a le plus besoin de trouver du renfort, car il est encore loin de son objectif de retour direct dans l’élite. Lausanne a laissé filer 17 joueurs après la catastrophique saison dernière et a fait venir, pendant l’été, des éléments connus pour renouveler un groupe traumatisé. Le club de la Tuilière a d’abord fait appel à des recrues aguerries à la Challenge League ou qui avaient déjà évolué sous la houlette de Ludovic Magnin.
Cet hiver, en revanche, le Lausanne-Sport s’est internationalisé. Il a fait signer le Sénégalais Aliou Baldé, prêté par Feyenoord à Dordrecht (D2 néerlandaise), le Franco-Suisse Chris Kablan, de Beveren (D2 belge), et le Français Antoine Bernede, en provenance de Salzbourg (D1 autrichienne). Un regard vers l’extérieur voulu ou un hasard? «On n’a pas changé notre manière de procéder, assure le coach lausannois. C’est surtout dû au marché suisse qui est compliqué en hiver. Nos cibles n’étaient simplement pas faisables ou à des prix démesurés.»
Avant-match Yverdon-Stade Lausanne Ouchy
Yverdon et le SLO sont les meilleures équipes de Challenge League lors des dix derniers matches. Le club nord-vaudois a engrangé 21 unités, soit deux de plus que le lausannois. Seul Wil tient le rythme, avec 19 points également.
Revanche
Les Yverdonnois ont un compte à régler avec le Stade Lausanne. Le 19 novembre dernier, les Stadistes avaient marché sur YS à la Pontaise (5-0), devant quelque 1500 spectateurs. L’attaquant Florian Danho avait marqué les esprits avec un triplé de haut vol.
Menace
Le SLO devra se passer de Linus Obexer, suspendu. En parlant de suspension, les deux coaches vaudois devront tenir leur langue, vendredi. Tant Marco Schällibaum qu’Anthony Braizat sont sous la menace d’un match à passer en tribunes en cas d’avertissement.
«D’abord, Tony Chauvat, notre responsable du recrutement, a un immense réseau, indique l’ancien international. Nous avons une personne, à l’OGC Nice (ndlr: propriété d’Ineos, comme le club de la capitale olympique), qui travaille aussi pour nous sur le marché français et à l’étranger. Moi, je connais pas mal de monde en Suisse alémanique, en Autriche et en Allemagne. Généralement, on fait une liste de trois joueurs avec différents niveaux de priorité. Cet hiver, on a dû quelques fois descendre dans nos tabelles.»
«Nos scouts me connaissent désormais et savent le style de jeu qui me convient. On perd ainsi moins de temps.»
Ludovic Magnin, entraîneur du Lausanne-Sport.
Au Stade Lausanne Ouchy, le recrutement porte la patte de Hiraç Yagan. «On a une base de données, avec des noms que l’on suit, détaille le directeur sportif belgo-arménien de 34 ans. On en ajoute quand on trouve des profils intéressants et on les regarde sur trois, quatre ou cinq matches. Des fois, ce sont des agents qui nous présentent des profils ou des clubs qui veulent se séparer de certains éléments. Si on ne les connaît pas, on va se renseigner sur des plateformes spécialisées comme InStat ou Wyscout et on peut y voir beaucoup de choses: comment le joueur se comporte au pressing, son niveau de finition, s’il convient à la philosophie de jeu.»
La nouvelle recrue offensive stadiste, Charles Abi (22 ans/Saint-Étienne), est pile dans le profil. Un joueur bien formé, qui a encore une marge de progression et ne demande que du temps de jeu pour se révéler. «On cherche des éléments dynamiques, énergiques et avec une superbe mentalité, complète Yagan. On avait connu quelques soucis au début, mais on ne refait pas deux fois les mêmes erreurs et on se renseigne sur plein d’aspects avant d’engager quelqu’un.»
Le LS, lui, s’était penché sur le cas du virevoltant Teddy Okou, que le SLO n’a pas voulu lui céder. Alors il s’est tourné vers un profil similaire. «On voulait un joueur de ce style, c’est vrai, confirme Magnin. Nous souhaitions étoffer notre groupe avec un ailier capable d’attaquer la profondeur, qui sait dribbler et jouer de manière verticale. Nous avons donc pris Aliou Baldé, que notre responsable du recrutement a vu en direct. Nos scouts me connaissent désormais et savent le style de jeu qui me convient. On perd ainsi moins de temps.»
À Yverdon, en revanche, il n’y a pas eu de feuilleton hivernal à se mettre sous la dent pour les plus fervents supporters du Nord-Vaudois. Et pour cause, l’actuel leader de deuxième division est dans le flou en coulisses. Ça n’incite pas le futur ex-président Mario Di Pietrantonio à investir pour renforcer une équipe qui tourne. Comme pour son éventuel successeur, qui tarde à concrétiser son rachat et qui n’a pas encore les clés du camion. Le mercato des propriétaires de club est encore plus compliqué.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Et Robin lui met une jolie petite claque. Merci.
Place à vendredi soir !
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
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kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24h en ligne de ce jour.
«Le soutien du public, il faut le mériter»
Matthias Hüppi, l’ancien présentateur de SRF est président depuis cinq ans du FC Saint-Gall. Il porte un projet qui suscite l’adhésion, avec une affluence qui a explosé ces dernières années.
Valentin Schnorhk- Saint-Gall
C’est une reconversion professionnelle qui ferait rêver n’importe quel conseiller d’orientation. Matthias Hüppi l’a choisie à dessein. Le 15 janvier 2018, l’ancien présentateur vedette de SRF Sport quittait les plateaux pour prendre officiellement la charge du FC Saint-Gall. Cinq ans après, l’homme de 64 ans est le président d’un des clubs les plus séduisants du pays.
Sur le terrain, dans l’organigramme avec l’entraîneur Peter Zeidler et le directeur sportif Alain Sutter, mais aussi en tribunes, où le modèle des Brodeurs a pris. De 12’614 spectateurs par match, l’affluence moyenne du Kybunpark n’a cessé de grimper pour atteindre plus de 17’500 cette saison. Dans un des salons du stade, l’œil souvent attiré par les gradins vides, Matthias Hüppi dresse les contours de sa réussite.
Après cinq ans, vous pouvez le dire: président du FC Saint-Gall, c’est un poste confortable, non?
(Il rigole). Non. C’est un rôle fascinant, un métier que j’adore. Mais ce n’est pas facile, ça, c’est clair. Être président dans le milieu du foot, ça ne l’est jamais. Mais c’est très intéressant. C’est un défi et je vois cela comme un privilège.
Le fait d’avoir été journaliste vous aide-t-il dans cette fonction?
Au niveau de la communication interne et externe, oui. Je donne beaucoup de conférences dans des entreprises. Et puis, je sais très bien comment fonctionnent les médias. Ils ne me font pas peur. L’entraîneur peut y trouver un avantage également: je ne me laisse pas influencer par les commentaires. Mais cela suppose d’être clair à l’interne. Parce que nous avons aussi des problèmes, qui amènent des débats. Mais ils restent à l’interne. On ne réévalue pas tous les jours le chemin sur lequel on avance: la direction reste la même.
Quelle identité porte le FC Saint-Gall?
Le club est très présent dans la ville, dans la région. Nous sommes proches des gens. Je le suis aussi, personnellement. Je suis beaucoup en ville, je vais chez les gens parler avec eux. Ici, c’est comme ça, ce n’est pas possible de le faire autrement. Nous sommes comme nous sommes: nous avons les pieds sur terre.
Cela correspond à votre vision personnelle de ce que doit être un club de football, ou est-elle ainsi parce que c’est Saint-Gall?
Les deux. Même si, à Saint-Gall, tu dois essayer de procéder ainsi. Mais il y a aussi besoin d’une équipe première qui soit une locomotive, qui joue un football attractif, offensif et courageux. Qui aille sur le terrain non pas pour ne pas perdre, mais pour gagner. Le style doit être spectaculaire.
L’affluence moyenne ne cesse de grimper à Saint-Gall depuis votre arrivée. Comment l’expliquer?
Cela a toujours été un rêve pour nous d’amener du monde au Kybunpark. Mais ça ne se fait pas du jour au lendemain. Le soutien du public, il faut le mériter. Il faut travailler, afin d’obtenir de la confiance. Le premier pas était donc de la créer. Cela impose de communiquer, être transparent. Le public doit connaître nos idées. Il peut ne pas être d’accord, mais il doit au minimum en avoir connaissance.
Cela a fonctionné. La preuve la plus marquante, c’est l’augmentation de notre capital cet automne. Nous sommes passés de 8900 à 19’000 actionnaires. La plupart d’entre eux ne possèdent qu’une seule action. Mais c’est énorme, c’est plus que ce que le stade peut contenir. Nous n’avons pas lancé cette campagne parce que nous avions un problème financier, mais pour que le public marque sa position. Nous avons ainsi 19’000 personnes qui portent le FC Saint-Gall.
Votre modèle pourrait-il être reproduit ailleurs?
C’est toujours difficile. Toutes les régions sont différentes, et par conséquent, tous les modèles de club le sont aussi. Je ne veux pas dire que nous sommes meilleurs que les autres, et que les autres doivent faire comme nous, surtout pas. Je dis par contre que la voie que nous suivons est celle qui correspond à Saint-Gall, et que nous allons la poursuivre. Mais beaucoup de modèles de club peuvent fonctionner.
Votre public a montré son importance dans la fronde contre les play-off. Comment expliquez-vous ce revirement?
Nous sommes dans un pays libre. Tout le monde a le droit d’avoir son avis. Nous, nous avons d’ailleurs changé le nôtre. Nous avions initialement voté pour les play-off. Nous n’avons pas seulement changé à cause des fans, mais il est clair qu’ils nous ont présenté des arguments très pertinents. Ils nous ont montré les points faibles du projet. Et nous avons bien réfléchi ensuite. Le dialogue avec les supporters est très, très important. Il faut toujours le maintenir. Même quand il y a des moments difficiles, des déceptions, il faut toujours discuter.
Je suis désormais convaincu que la décision que nous avons prise est juste. Au départ, il fallait passer à tout prix à douze équipes, et nous n’avons pas réfléchi suffisamment au format. Je pense qu’il est absolument nécessaire d’avoir cette liberté de changer d’avis, quand il y a des arguments qui le soutiennent. C’est une question de transparence. Et au niveau économique, nous avons aussi considéré que c’était mieux ainsi.
Est-ce à dire que, à Saint-Gall, le public a du pouvoir?
Il ne nous dirige pas. Mais il faut le prendre au sérieux et être prêt à discuter avec lui, avec le respect nécessaire. Nous voulons que les fans viennent au stade. Mais cela ne veut pas dire que nous avons toujours la même opinion qu’eux. On doit aussi faire des choses qui ne leur plaisent pas, en étant suffisamment forts pour défendre les positions du club.
Mais sur les play-off, nous avons aussi commis des erreurs, en tant que dirigeants. Nous n’avons pas assez réfléchi, c’est honnête de le reconnaître. On dit toujours qu’on perd la face si on change notre décision. Moi, je suis contre cette posture. Tout dépend des arguments et de la façon dont cela a été fait. Je ne revois pas tous les jours mes opinions, mais dans ce cas-là, oui.
De votre point de vue, comment le football suisse doit-il se développer?
Il doit tout faire pour perfectionner cette niche dans laquelle nous nous trouvons. Elle est attractive. Mais nous devons faire notre travail et convaincre le public. Le foot suisse peut seulement fonctionner si le public vient au stade. Il faut tout faire pour instaurer cette confiance.
Saint-Gall a-t-il trouvé sa rentabilité économique?
Pour le moment, oui, ça se passe bien. Mais nous n’avons pas de garantie. Il reste important que l’on vende des billets de match. S’il y a 8000 personnes au stade ou 18’000, cela fait une grande différence. Et pour nous, c’est une question existentielle. Même si au niveau des sponsors, nous sommes bien. Toutes les loges sont vendues. Cela nous impose tout de même une discipline financière. Le directeur sportif a son budget et il doit travailler avec. Nous pouvons dépenser l’argent que l’on a, pas plus.
Votre projet peut-il exister sans Peter Zeidler?
Peter est un personnage clé. Son idée du football correspond à la nôtre. Il porte en lui notre dynamique. Il la vit. Nous avons besoin de ces gens qui travaillent avec passion. Mais Peter n’est pas le seul qui compte. Le triangle que nous formons, Alain Sutter, Peter Zeidler et moi, marche très bien. Nous sommes les trois privilégiés d’avoir cette constellation pour travailler ensemble.
Quelles ambitions avez-vous pour le club à moyen terme?
Nous devons garder cette stabilité, cette confiance qui existe entre le club et la région. Tout en continuant d’être ambitieux sportivement. Nous n’annoncerons jamais un objectif de classement. Les objectifs sont établis à l’interne. Nous avons cette ambition, mais nous devons nous tenir à notre réalité. Ici, nous ne vendons pas du rêve.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
TKP1 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
LsLover, Nataniel et neLSon aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Sur le long terme c'est certain qu'il faut un travail de fond pour fidéliser un public, surtout dans les moments où les résultats ne suivent pas. Le marketing "local et historique" est super mais insuffisant sur le long terme s'il n'est qu'une coquille vide. Les gens ont besoin de sentir que leur club sert son propre intérêt, pas qu'il est le jouet de forces invisibles et hors-sol qui changent de stratégie au gré du vent.
Gimli- Localisation : Entre Loom et le Montriond, team #SensibilitéLibéraleDeGauche
Date d'inscription : 31/07/2007
Matt, lamadechine, LsLover et El Kuzba aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
dudu et kok9 n'aiment pas ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Extrait:
En parlant de deal et d’accord à trouver, le Sédunois ne cache pas qu’il n’est pas passé de loin de quitter son club formateur cet hiver. «Les rumeurs d’un transfert au Lausanne-Sport était clairement fondées», explique-t-il. «Ils veulent absolument monter en Super League et ils cherchaient à renforcer leur secteur offensif. Des discussions ont eu lieu mais finalement, les deux clubs ne sont pas parvenus à s’entendre.» Résultat: Gaëtan Karlen a été privé d’une porte de sortie qui lui aurait certainement garanti plus de temps de jeu. «Je ne suis pas déçu pour autant. Je le répète mais ma préférence est de jouer à Sion et nulle part ailleurs. Je veux toujours m’imposer ici avant de devoir m’exiler comme j’ai pu le faire étant plus jeune.»
Qwertz- Date d'inscription : 29/07/2007
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
neLSon- Date d'inscription : 21/03/2022
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Collet: «Je ne vais pas jouer les pleureuses»
Ancien boss du LS, le Vaudois est propriétaire de Xamax depuis 2019. Au moment où ses deux clubs s’affrontent, il évoque la situation périlleuse des Neuchâtelois.
Nicolas Jacquier
On l’a connu boss du LS, qu’il a présidé entre juin 2007 et mai 2013, avant de vendre ses parts à Alain Joseph, son vice-président. Depuis novembre 2019 et le rachat des actions détenues par la famille Binggeli, Jean-François Collet est le nouveau propriétaire de Ne/Xamax. Or ce vendredi dès 19 h 30, le club de la Maladière, en urgent manque de points, accueille le LS, un visiteur vaudois ayant repris l’année et son championnat en mode victoire (2 matches, 6 points). En guise d’échauffement, on a joint le boss neuchâtelois.
Jean-François Collet, savez-vous à quand remonte la dernière victoire de Xamax contre Lausanne?
Non, mais j’imagine que cela doit faire un moment déjà. Peut-être étais-je même encore au LS, dans l’autre camp (ndlr: 3-1 le 17 mai 2016, alors que Collet était effectivement vice-président du club de la Pontaise).
Pourquoi Xamax ne parvient-il toujours pas à décoller de la 10e place?
On traîne toujours les conséquences de notre faux départ prolongé. Ces 9 matches/1 point représentent un lourd fardeau dont on peine à se débarrasser. En ne prenant en compte que le bilan de Saibene, on ne serait pas aussi mal classé. Mais je ne vais pas jouer les pleureuses. Je me considère comme le principal responsable de ce qui nous est arrivé. J’ai commis des erreurs. Les mauvaises décisions prises au niveau du staff ou des joueurs, c’est moi qui les ai validées. Aujourd’hui, l’embellie constatée depuis la reprise ne s’est pas encore traduite au niveau des points.
C’est si vrai que le risque d’être relégué est toujours là.
Bien sûr que ce risque-là existe. Je n’envisage pas pour autant la relégation même si je sais que cette hypothèse est possible. Si cela devait arriver, je prendrais les mesures qui s’imposent. Je préfère me persuader que les choses vont enfin finir par tourner dans le bon sens. En 2023, on a livré deux bons matches sans en être récompensés jusque-là. On pêche encore à la concrétisation pour qu’un vrai déclic s’opère.
Quel regard portez-vous sur le LS version Ineos?
Cela n’a plus rien à voir avec le LS que l’on avait mis en place avec Alain Joseph, le projet est complètement différent, avec des moyens et des ambitions aussi différents.
Entre le Collet de la Pontaise et celui de la Maladière, qu’est-ce qui a le plus changé?
Les années! (Rires) À Lausanne, on fonctionnait en binôme avec Alain. Il n’y avait ni directeur sportif ni directeur général, on était plus dans l’improvisation. À Neuchâtel, c’est autre chose. D’abord parce que je n’y vis pas. Je délègue aussi davantage en m’appuyant sur les personnes en place.
À considérer Christian Constantin, qui a exprimé son intention de se désengager du FC Sion, ou Marco Di Pietrantonio, cherchant désespérément à vendre Yverdon, il devient toujours plus difficile de «porter» un club?
Cela devient de plus ou plus compliqué, oui. Sans parler que les clubs coûtent de plus en plus cher à faire tourner Le modèle que l’on représente est en train de gentiment disparaître. Où en serait aujourd’hui Servette sans la Fondation Wilsdorf? Ce changement de paradigme se remarque jusqu’au sein du comité de la Swiss Football League. À une époque, on y retrouvait les propriétaires des clubs eux-mêmes; désormais, ce sont les CEO qui y siègent.
Devant le manque de résultats, n’avez-vous jamais l’envie de tout bâcher et d’en rester là?
Non, je reste stoïque! Je ne vais du reste pas me plaindre de ma place puisque je l’ai choisie. Même si le plaisir est rarement présent cette saison, j’ai besoin de ce stress et de cette adrénaline des jours de match. C’est aussi quelque chose qui me plaît. On y vit des sensations qui n’existent nulle part ailleurs dans la vie courante.
D’une manière globale, diriez-vous que l’on travaille mieux outre-Sarine qu’en Suisse romande?
Si l’on prend en compte les seuls résultats, cela ne semble faire aucun doute. On y travaille différemment et certainement aussi mieux que chez nous. Cela dit, quand on voit le FC Bâle depuis quelque temps, il y a lieu de se poser des questions. Son modèle a fonctionné tant que Bâle, condamné au succès, disputait la Ligue des champions. Il s’est désormais écroulé.
En attendant, il y a un derby romand à disputer
On a tout à gagner, rien à perdre face à une très belle équipe. À domicile, Xamax reste sur une série positive (ndlr: six matches sans défaite). Si Lausanne veut repartir avec trois points, ses joueurs devront cravacher.
L’avant-match-
Xamax - Lausanne, vendredi 19 h 30
Les absents Sanches (suspendu) et Grippo (blessé). Le Sénégalais Aliou Baldé est qualifié mais il n’est pas certain qu’il figure sur la feuille de match. Tristan Diaz a, comme Florian Hysenaj avant lui, été prêté à Bavois.
Le retour Pour la première fois de la saison, Kukuruzovic est à disposition de Ludovic Magnin. «Il sera sur le banc à Neuchâtel, mais il est déjà important que notre capitaine soit parmi nous», se réjouit le coach.
L’action Le LS et le LHC proposent aux amoureux du sport vaudois d’assister, avec un seul et même billet au prix de 30 fr., aux rencontres LHC-Zoug (4 mars) et LS-Vaduz (5 mars).
Ludovic Magnin «Jamais encore cette saison nous n’avons réussi à remporter trois victoires de suite en championnat. Une raison supplémentaire pour poursuivre notre bonne série. Mais attention à Xamax, une équipe qui me semble en gros progrès.» ABO
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
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