Les articles de presse (commentaires autorisés)

Old School a écrit:

Mouss a écrit:je suis passer voir à la Pontaise aujourd'hui et ils avaient pratiquement fini de déblayer le terrain. Je crains que ce ne soit un match piège pour nous. comme il a été dit plus haut nous ne sommes pas bon dans ce genre de condition.

Sur ce type de terrain, la chance sourit souvent aux plus audacieux et aux plus combatifs.

Dans notre position, il n'y a plus de place pour les demi-mesures.

Il va falloir bouffer le gazon (la glace et la terre, s'il le faut) pour faire honneur à notre rang et à nos ambitions.

Aucune excuse !

C’est clair, aucune excuse. Quelques craintes, par contre…

fatpig a écrit:

Old School a écrit:

Mouss a écrit:je suis passer voir à la Pontaise aujourd'hui et ils avaient pratiquement fini de déblayer le terrain. Je crains que ce ne soit un match piège pour nous. comme il a été dit plus haut nous ne sommes pas bon dans ce genre de condition.

Sur ce type de terrain, la chance sourit souvent aux plus audacieux et aux plus combatifs.

Dans notre position, il n'y a plus de place pour les demi-mesures.

Il va falloir bouffer le gazon (la glace et la terre, s'il le faut) pour faire honneur à notre rang et à nos ambitions.

Aucune excuse !

C’est clair, aucune excuse. Quelques craintes, par contre…

Le supporter a le droit d'avoir des craintes. Surtout au LS où on a pris l'habitude d'encaisser des désillusions.

Maintenant, les joueurs ont ça entre leur "pattes".

A eux de se conduire en professionnel et d'assumer pleinement leur rôle.

Aucune excuse ! Gagner !

bon, ça a l’air de s’arranger (avec des conditions acceptables): https://www.lematin.ch/story/le-derby-slo-ls-pourra-se-disputer-normalement-484457074153

En Challenge League, une opportunité à ne pas manquer

Cinq ou six équipes de la deuxième division professionnelle, qui reprend vendredi après deux mois de pause, peuvent profiter de l’élargissement à 12 clubs de l’élite pour accéder à la Super League, qui était devenue une ligue semi-fermée
Julien Pralong

Avec deux clubs directement promus et un troisième qui pourra forcer son destin dans un barrage, la Challenge League 2022-2023 offre aux ambitieux une chance inédite de rejoindre la première division. «It’s now or never»? Pas vraiment, à écouter les cinq premiers du classement, qui, par excès de prudence, semblent de pas du tout être fans d’Elvis Presley.

Sauf peut-être Ludovic Magnin, âme de rocker et entraîneur d’un Lausanne-Sport (LS) qui demeure, nonobstant son actuelle quatrième place à six points du duo de tête Wil-Stade-Lausanne-Ouchy (SLO) et quatre d’Yverdon, un candidat naturel à la promotion. Alors, c’est maintenant ou jamais? «Oui et non. C’est bien sûr vrai pour des clubs stables depuis quelque temps, qui ont une belle opportunité de monter cette saison. Mais nous qui voulons redonner une base au LS et consolider le tout, nous savons que cela demande parfois du temps. Alors nous visons la montée cette année, tout en sachant que nous pourrions aussi avoir besoin d’une saison supplémentaire pour réussir.»

De loin le plus important budget de la Challenge League, le LS assume son statut et ses ambitions. Les propos sont beaucoup plus tièdes ailleurs. Chez le leader Wil, le président Maurice Weber assure que «la promotion n’est pas l’objectif annoncé», que les Saint-Gallois se contenteront «d’essayer de jouer le haut du classement le plus longtemps possible» et que si promotion il y a, «ce n’en serait que plus beau».

A Yverdon, le directeur général, Marco Degennaro, semble encore moins intéressé: «Nous avons commencé la saison en réduisant un peu le budget et l’objectif a toujours été le maintien. L’an dernier, nous avons été moins performants après Noël et nous voulons cette fois-ci ne pas répéter la chose. Etre troisièmes est une jolie surprise, peut-être que nous sommes deux ou trois places au-dessus de ce que nous pouvions imaginer.» Il confirme cependant qu’YS déposera une demande de licence pour la Super League, «par respect pour les joueurs et le public». Etonnant coleader, le Stade Lausanne Ouchy demandera lui aussi à la Swiss Football League une autorisation pour jouer en première division la saison prochaine.

Alignement des planètes
Ce sera même le cas du FC Aarau, cinquième à sept longueurs de la place de barragiste occupée par Yverdon. Ayant l’élite dans le sang, le triple champion de Suisse (son dernier titre remonte à 1993) n’écarte d’ailleurs pas l’hypothèse de se battre pour la promotion. «Le favori est Lausanne. Wil, le SLO et Yverdon sont actuellement en meilleure position. Mais nous donnerons tout pour atteindre le maximum cette saison», promet le directeur sportif, Sandro Burki.

Malgré les réticences à le reconnaître, cet exercice 2022-2023 offre bel et bien une chance inespérée d’accéder à une Super League qui était devenue une ligue semi-fermée depuis sa réduction à dix équipes (saison 2003-2004). Le mot de la fin à Elvis Presley, toujours dans It’s now or never: «Laisse tes bras m’inviter car qui sait quand nous nous rencontrerons à nouveau de cette manière?»

Lausanne abordera la deuxième partie de saison dans le rôle inattendu du chasseur. Que la plus grosse écurie de Challenge League ne soit pas à la place de leader qui semblait lui revenir fait quelque peu tache, Thomas Castella est le premier à en convenir. «On espérait mieux. Personne n’est satisfait de ce que l’on a fait jusque-là. Il y a des choses que l’on aurait dû mieux faire; 4e, cela fait un peu désordre par rapport à nos ambitions.»

Comment le favori naturel en est-il arrivé à ne pas assumer son statut? Le portier de la Tuilière esquisse une hypothèse parmi d’autres. «Quand on a commencé à faire nos points en début de saison, peut-être a-t-on pensé que tout allait être simple. Un relâchement inconscient s’est sans doute produit. Il existe un décalage entre l’étiquette de favori et le classement.»

C’est surtout à l’extérieur que le LS - qui reste sur cinq défaites et un nul - ne répond pas présent. «Durant la pause, reprend Castella, il y a eu une prise de conscience entre nous. On sait ce que l’on ne doit pas reproduire. Chacun doit progresser au niveau de l’état d’esprit, peu importent les circonstances, les conditions ou l’adversaire.» Notre interlocuteur réfute l’idée de tensions au sein du groupe. «Il n’y a pas eu de réunion de crise parce que l’on n’est pas en crise.»

Éloigné des pelouses depuis le 21 octobre (fracture du bras), le portier a totalement récupéré. Dimanche déjà, le derby des voisins contre SLO permettra de mieux situer le potentiel exact du favori No1 à la promotion. «On sait ce que l’on doit faire pour renforcer notre capital confiance. Quoi qu’il arrive, il restera encore 51 points en jeu»NJA

Bonjour à tous ! Es ce que quelqu’un pourrait mettre en ligne le dernier article où ils parlent du coach mental ? Merci beaucoup

Voilà

Un coach mental pour libérer les têtes au LSChristian Uhl a intégré le staff du club de la Tuilière. Ludovic Magnin attend toujours un attaquant providentiel.

Nicolas Jacquier

Publié: 28.01.2023, 13h58

Ludovic Magnin estime avoir identifié les failles de son équipe.

KEYSTONE

Géographiquement, quelques centaines de mètres seulement séparent la Tuilière de la Pontaise. Pour le LS, retrouver ce qui fut son ancien jardin s’apparente pourtant à un déplacement piégeux. Parce que, ce dimanche (16 h 30), le visiteur sera confronté à ce qu’il maîtrise le moins cette saison: les matches à l’extérieur, devenus sa hantise au fil du championnat. Car si le LS a fait le job à la maison, il voyage toujours aussi mal, lui qui n’a plus gagné en déplacement depuis le… 12 août (1-0 à Neuchâtel).

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Pire, il reste sur une série négative de six matches/un point à l’extérieur - avec cinq défaites contre un nul. Un bilan indigne d’un favori, tout comme l’est celui d’un deuxième tour bouclé avec neuf points (contre 19 au SLO). Pénalisé par les blessures de plusieurs cadres, Lausanne a aussi souffert d’un manque de concurrence, avec des places attribuées d’avance.

«Il y a un statut à gérer quand on porte le maillot du LS.»

Ludovic Magnin, coach du LS

Tout cela, Ludovic Magnin en est conscient à l’heure où son équipe est condamnée à refaire son retard. «On possède certes les meilleurs joueurs de Challenge League, mais on n’est pas encore la meilleure équipe. Ce groupe doit être capable de performer sous la pression.» Mieux exploiter son potentiel va supposer pour le LS d’assumer enfin son rôle de cador. Son entraîneur ne dit pas autre chose. «Il y a un statut à gérer quand on porte le maillot du LS.»

Paradoxalement, l’embellie constatée en fin d’année au niveau du jeu ne s’est pas traduite sur le plan des résultats. «On a fait des points quand on n’était pas flamboyants, confirme Magnin. Dès l’instant où l’on a mieux joué, les points se sont faits plus rares.»

Doublement cher

Afin de surmonter les blocages et de libérer des têtes dissipées, un coach mental a rejoint le staff. À la tête d’un institut pour des «performances extraordinaires» en Autriche, le Dr Christian Uhl a déjà collaboré avec le Vaudois à Altach. «Christian m’a réconcilié avec les psychologues du sport, dont je me méfiais terriblement. Avec lui, on n’a pas l’impression d’être couchés sur un divan chez un psy.»

Si Kablan (dans le couloir gauche) et Bernede (au milieu) sont arrivés, Magnin attend toujours l’attaquant qui boosterait un compartiment offensif pâlichon. Présentée comme la priorité du mercato, la quête d’un buteur n’a toujours pas abouti.

Les prétentions financières des candidats (ou des clubs) ont jusque-là fait capoter le transfert espéré. «Trouver un attaquant, c’est déjà cher. Mais quand tu t’appelles Lausanne, c’est doublement cher!» Ineos a jusqu’au 16 février pour dénicher l’oiseau rare. Et peut-être consentir à quelques efforts supplémentaires.

SLO –

Et l’article sur le SLO…

Football - Avant le derby SLO-LS

«Nos bons résultats peuvent déranger le LS»
Même s’il reste très prudent, Vartan Sirmakes, le président et propriétaire de Stade Lausanne Ouchy, commence à préparer une éventuelle ascension au sein de l’élite. Interview.

André Boschetti

Vartan Sirmakes, en janvier 2019, vous avez repris, et sauvé, Stade Lausanne Ouchy (SLO) - alors en Promotion League - de la faillite. Quels projets aviez-vous pour votre nouveau club?

Tout ce à quoi nous avions pensé il y a quatre ans s’est réalisé. L’ascension en Challenge League (CL), puis réussir à y faire bonne figure. C’est ce qu’on fait depuis plus de trois ans.

Mieux que cela même, puisque SLO est coleader à mi-parcours. N’êtes-vous pas quand même un peu étonné de ce succès?

Oui et non. Ces dernières années, avec le Covid et les autres problèmes que nous avons dû affronter, tout a été un peu chamboulé. Malgré cela, nous avons continué de travailler avec sérieux et rigueur à tous les niveaux. Mais il faut rester lucide et admettre que notre 1er rang actuel est aussi dû en partie à des circonstances favorables et à un brin de chance. Nous sommes conscients que pour conserver cette place jusqu’au bout, le chemin est encore long.

Le parcours de SLO a pourtant été parsemé d’embûches avec, notamment, ces soucis liés au stade et à l’absence de public.

Pour ce qui concerne le stade, je dois dire que nous avons œuvré en harmonie avec la Ville pour trouver la solution de la Pontaise. Le seul problème a été cette attente compliquée avant que le LS ne déménage à la Tuilière.

Et ces gradins souvent vides malgré un excellent parcours, ça ne vous agace pas?

Pour attirer davantage de public, je pense simplement que nous n’en faisons pas encore assez. Un vrai engouement autour de SLO viendra si nous parvenons à confirmer dans le temps nos bons résultats actuels. Si tel est le cas ce printemps, je suis sûr que nous aurons déjà quelques centaines de spectateurs en plus à chaque match ces prochains mois. Quoi qu’il en soit, nous n’en sommes qu’au début de l’aventure. Il faut simplement être patient.

Quelle est votre recette du succès?

Une bonne gestion et ne pas vouloir tout tout de suite. Je ne mets aucune pression d’objectif sur mon équipe. Je veux seulement que tout le monde s’investisse pleinement.

Reprendre les destinées d’un club de cette envergure comporte tout de même des risques, non?

C’est vrai, mais en Suisse, ils sont raisonnables et limités si je compare avec l’étranger.

Le propre d’un bon dirigeant est de bien savoir s’entourer. Comment choisissez-vous les personnes qui vous accompagnent?

Les compétences sont bien entendu le premier critère. Ensuite, je marche beaucoup au feeling, à la confiance. J’aime aussi les gens passionnés. Des qualités que j’ai par exemple trouvées chez Hiraç Yagan, mon jeune directeur sportif. J’aurais pu engager une personne confirmée mais elle m’aurait d’une part coûté plus cher et d’autre part, elle ne m’aurait peut-être pas laissé mettre mon nez dans les affaires. Or le football est une vraie passion pour moi. Même si je n’exige pas toujours d’avoir le dernier mot, j’aime être au courant de tout et donner mon avis.

N’avez-vous pas parfois l’impression que SLO dérange?

La vie est comme cela. Beaucoup de gens sont sceptiques, jalousent la réussite des autres. Surtout quand les outsiders connaissent du succès. Pour moi, ces surprises sont au contraire le piment du sport. Ces sentiments ne concernent donc pas que SLO, et personnellement ils ne m’intéressent pas. En CL, notre mission est aussi claire que simple: permettre à de jeunes joueurs de développer leur talent dans de bonnes conditions avant de partir plus haut. Et si les résultats sportifs suivent, tant mieux

Quels sont vos rapports avec votre grand voisin, le LS?

Nous avons sincèrement une très bonne relation. Avant Noël, Leen Heemskerk était ici même, à Genthod, pour partager un repas. Ineos a cette mission de ramener le LS en Super League. Sa première partie de saison n’a pas été à la hauteur des attentes mais, comme chacun le sait, tout peut très vite changer dès la reprise avec ce derby. Cela dit, je comprends que nos bons résultats peuvent déranger un peu le LS.

Après lui avoir vendu Amdouni puis Labeau, SLO n’a pas cédé pour Okou et Hajrulahu

C’est vrai mais la situation est différente. On ne pouvait quand même pas leur vendre nos meilleurs joueurs alors que nos deux clubs sont en compétition. Malgré cela, je comprends qu’ils regardent d’abord chez nous. D’un côté, c’est même d’autant plus flatteur que notre budget est bien inférieur au leur. Ce qui signifie que l’on travaille bien.

Peut-on imaginer SLO et le LS en Super League en juin?

Absolument. J’ajoute même que l’idée de retrouver nos deux clubs en SL me plaît beaucoup. Ce serait une magnifique et stimulante concurrence, non? Même si nous n’avons fait que la moitié du chemin et que le plus dur reste à faire, il est important que l’on commence à préparer cette éventualité.

Serez-vous à la Pontaise, dimanche?

Non. Parce que j’ai beaucoup de travail avec, entre autres, deux expositions dans l’horlogerie à préparer. Mais comme d’habitude, je suivrai le match à distance.

Une éventuelle promotion vous coûterait cher puisque vous assumez personnellement une bonne partie du budget.

Actuellement, SLO est capable de générer par lui-même les deux tiers de notre budget et il est évident que jouer en SL nous obligerait à sensiblement l’augmenter. Comme ma contribution, bien sûr. Mais je n’y vois aucun problème. Comme je l’ai déjà dit, j’assumerai la promotion si elle arrive. Mais une telle issue ne dépend que des joueurs et du staff, pas de moi.

Stade Nyonnais a changé de mains
En 2015, Vartan Sirmakes avait repris un Stade Nyonnais (SN) à la dérive. D’où, ces trois dernières années, le problème récurrent, en cas de promotion nyonnaise, d’une double propriété qui n’est pas autorisée par la Swiss Football League. Un souci au moment d’obtenir - dans un premier temps - cette licence de jeu pour la CL. Le problème n’existe plus depuis trois mois. «Je n’ai plus rien à voir avec SN, assure Vartan Sirmakes. C’est désormais l’un de mes fils et Vajuran Symonov qui en sont les seuls responsables. Mon fils, qui est lui aussi un passionné de foot, possède sa propre marque de montres et gère le club comme il l’entend.» En revanche, l’entrepreneur, qui «pèse» entre 700 et 800 millions de francs selon «Bilan», a encore des intérêts à Martigues. Un club qui se distingue positivement en National 1 (3e division française). «Nous ne sommes pas propriétaires du club, précise le patron de la marque Franck Muller. Nous en assurons seulement la gestion. Cela dit, les choses se passent effectivement très bien puisque Martigues est actuellement coleader du classement. Mais là aussi, l’équipe n’a pas la pression de devoir impérativement accéder à la Ligue 2 puisqu’elle a le statut de néopromu en National 1 cette saison. L’objectif est d’éviter la relégation qui concernera six clubs.» ABO

LKK a écrit:Et l’article sur le SLO…

Football - Avant le derby SLO-LS

«Nos bons résultats peuvent déranger le LS»
Même s’il reste très prudent, Vartan Sirmakes, le président et propriétaire de Stade Lausanne Ouchy, commence à préparer une éventuelle ascension au sein de l’élite. Interview.

André Boschetti

Vartan Sirmakes, en janvier 2019, vous avez repris, et sauvé, Stade Lausanne Ouchy (SLO) - alors en Promotion League - de la faillite. Quels projets aviez-vous pour votre nouveau club?

Tout ce à quoi nous avions pensé il y a quatre ans s’est réalisé. L’ascension en Challenge League (CL), puis réussir à y faire bonne figure. C’est ce qu’on fait depuis plus de trois ans.

Mieux que cela même, puisque SLO est coleader à mi-parcours. N’êtes-vous pas quand même un peu étonné de ce succès?

Oui et non. Ces dernières années, avec le Covid et les autres problèmes que nous avons dû affronter, tout a été un peu chamboulé. Malgré cela, nous avons continué de travailler avec sérieux et rigueur à tous les niveaux. Mais il faut rester lucide et admettre que notre 1er rang actuel est aussi dû en partie à des circonstances favorables et à un brin de chance. Nous sommes conscients que pour conserver cette place jusqu’au bout, le chemin est encore long.

Le parcours de SLO a pourtant été parsemé d’embûches avec, notamment, ces soucis liés au stade et à l’absence de public.

Pour ce qui concerne le stade, je dois dire que nous avons œuvré en harmonie avec la Ville pour trouver la solution de la Pontaise. Le seul problème a été cette attente compliquée avant que le LS ne déménage à la Tuilière.

Et ces gradins souvent vides malgré un excellent parcours, ça ne vous agace pas?

Pour attirer davantage de public, je pense simplement que nous n’en faisons pas encore assez. Un vrai engouement autour de SLO viendra si nous parvenons à confirmer dans le temps nos bons résultats actuels. Si tel est le cas ce printemps, je suis sûr que nous aurons déjà quelques centaines de spectateurs en plus à chaque match ces prochains mois. Quoi qu’il en soit, nous n’en sommes qu’au début de l’aventure. Il faut simplement être patient.

Quelle est votre recette du succès?

Une bonne gestion et ne pas vouloir tout tout de suite. Je ne mets aucune pression d’objectif sur mon équipe. Je veux seulement que tout le monde s’investisse pleinement.

Reprendre les destinées d’un club de cette envergure comporte tout de même des risques, non?

C’est vrai, mais en Suisse, ils sont raisonnables et limités si je compare avec l’étranger.

Le propre d’un bon dirigeant est de bien savoir s’entourer. Comment choisissez-vous les personnes qui vous accompagnent?

Les compétences sont bien entendu le premier critère. Ensuite, je marche beaucoup au feeling, à la confiance. J’aime aussi les gens passionnés. Des qualités que j’ai par exemple trouvées chez Hiraç Yagan, mon jeune directeur sportif. J’aurais pu engager une personne confirmée mais elle m’aurait d’une part coûté plus cher et d’autre part, elle ne m’aurait peut-être pas laissé mettre mon nez dans les affaires. Or le football est une vraie passion pour moi. Même si je n’exige pas toujours d’avoir le dernier mot, j’aime être au courant de tout et donner mon avis.

N’avez-vous pas parfois l’impression que SLO dérange?

La vie est comme cela. Beaucoup de gens sont sceptiques, jalousent la réussite des autres. Surtout quand les outsiders connaissent du succès. Pour moi, ces surprises sont au contraire le piment du sport. Ces sentiments ne concernent donc pas que SLO, et personnellement ils ne m’intéressent pas. En CL, notre mission est aussi claire que simple: permettre à de jeunes joueurs de développer leur talent dans de bonnes conditions avant de partir plus haut. Et si les résultats sportifs suivent, tant mieux

Quels sont vos rapports avec votre grand voisin, le LS?

Nous avons sincèrement une très bonne relation. Avant Noël, Leen Heemskerk était ici même, à Genthod, pour partager un repas. Ineos a cette mission de ramener le LS en Super League. Sa première partie de saison n’a pas été à la hauteur des attentes mais, comme chacun le sait, tout peut très vite changer dès la reprise avec ce derby. Cela dit, je comprends que nos bons résultats peuvent déranger un peu le LS.

Après lui avoir vendu Amdouni puis Labeau, SLO n’a pas cédé pour Okou et Hajrulahu

C’est vrai mais la situation est différente. On ne pouvait quand même pas leur vendre nos meilleurs joueurs alors que nos deux clubs sont en compétition. Malgré cela, je comprends qu’ils regardent d’abord chez nous. D’un côté, c’est même d’autant plus flatteur que notre budget est bien inférieur au leur. Ce qui signifie que l’on travaille bien.

Peut-on imaginer SLO et le LS en Super League en juin?

Absolument. J’ajoute même que l’idée de retrouver nos deux clubs en SL me plaît beaucoup. Ce serait une magnifique et stimulante concurrence, non? Même si nous n’avons fait que la moitié du chemin et que le plus dur reste à faire, il est important que l’on commence à préparer cette éventualité.

Serez-vous à la Pontaise, dimanche?

Non. Parce que j’ai beaucoup de travail avec, entre autres, deux expositions dans l’horlogerie à préparer. Mais comme d’habitude, je suivrai le match à distance.

Une éventuelle promotion vous coûterait cher puisque vous assumez personnellement une bonne partie du budget.

Actuellement, SLO est capable de générer par lui-même les deux tiers de notre budget et il est évident que jouer en SL nous obligerait à sensiblement l’augmenter. Comme ma contribution, bien sûr. Mais je n’y vois aucun problème. Comme je l’ai déjà dit, j’assumerai la promotion si elle arrive. Mais une telle issue ne dépend que des joueurs et du staff, pas de moi.

Stade Nyonnais a changé de mains
En 2015, Vartan Sirmakes avait repris un Stade Nyonnais (SN) à la dérive. D’où, ces trois dernières années, le problème récurrent, en cas de promotion nyonnaise, d’une double propriété qui n’est pas autorisée par la Swiss Football League. Un souci au moment d’obtenir - dans un premier temps - cette licence de jeu pour la CL. Le problème n’existe plus depuis trois mois. «Je n’ai plus rien à voir avec SN, assure Vartan Sirmakes. C’est désormais l’un de mes fils et Vajuran Symonov qui en sont les seuls responsables. Mon fils, qui est lui aussi un passionné de foot, possède sa propre marque de montres et gère le club comme il l’entend.» En revanche, l’entrepreneur, qui «pèse» entre 700 et 800 millions de francs selon «Bilan», a encore des intérêts à Martigues. Un club qui se distingue positivement en National 1 (3e division française). «Nous ne sommes pas propriétaires du club, précise le patron de la marque Franck Muller. Nous en assurons seulement la gestion. Cela dit, les choses se passent effectivement très bien puisque Martigues est actuellement coleader du classement. Mais là aussi, l’équipe n’a pas la pression de devoir impérativement accéder à la Ligue 2 puisqu’elle a le statut de néopromu en National 1 cette saison. L’objectif est d’éviter la relégation qui concernera six clubs.» ABO

J'ai hésité à le mettre aussi, mais comme ils me gonflent cette équipe... faut vraiment qu'on gagne !

https://www.rts.ch/sport/football/13741252-challenge-league-les-3-clubs-vaudois-ont-18-journees-pour-decrocher-la-montee-xamax-pour-sauver-sa-place-en-2e-division.html

https://www.lematin.ch/story/le-lausanne-sport-remet-de-lordre-dans-la-hierarchie-788607349798

https://www.24heures.ch/au-lausanne-sport-un-nouvel-elan-sur-une-voie-glissante-166260402692

Qui peux partager l article ,merci

Au Lausanne-Sport, un nouvel élan sur une voie glissante
En terminant à dix face à Stade Lausanne, le LS a failli remettre en question un succès (2-4) qui doit ouvrir des perspectives réjouissantes.

Florian Vaney
Publié aujourd’hui à 21h46

Nassim Zoukit allait quitter les entraves dans la Pontaise dimanche quand il a été rattrapé juste à temps par une phrase de son coach. «Nassim? Lâche pas, lâche surtout pas! On aura besoin de tout le monde jusqu’au bout.» Ou quand Ludovic Magnin mêle réconfort, motivation et aveu…

Oui, l’avenir à court terme au milieu du terrain semble bouché pour celui qui est arrivé d’Étoile Carouge il y a une année. Une place pour Olivier Custodio, le capitaine, l’homme autour duquel le Lausanne-Sport souhaitait entamer sa reconquête. Une autre pour la seule recrue de l’hiver jusqu’ici, le Français prêté par Salzbourg Antoine Bernede (globalement plutôt discret face à Stade Lausanne). Une dernière pour le plus sûr espoir de la formation vaudoise, Alvyn Sanches.

Jouer à dix, une habitude
Seulement, si l’automne ne nous l’avait pas encore suffisamment appris, le match de reprise emballé dans un derby à la Pontaise a tenu à rappeler que la saison du LS n’a pas grand-chose d’une science exacte. D’une partie que le club phare du canton donnait l’impression de maîtriser, Sanches a pris la porte, expulsé à la 56e. Ce qui n’a rien changé au dessin final (1-3 au moment de l’expulsion, 2-4 à la fin). Mais qui dit tout d’une équipe qui n’emprunte décidément pas la voie la plus aisée pour arriver à ses fins. Et qui, effectivement, pourrait bien encore avoir besoin de Nassim Zoukit avant le dénouement de la saison.

L’épisode malheureux d’Alvyn Sanches, c’est la part d’ombre (déjà vue) d’un Lausanne-Sport qui se porte plutôt bien à l’instant T. Même si cela ne se base encore que sur quelques indices et leurs miettes. En fait, le club de la Tuilière a surtout réalisé une très belle semaine dans toute la dualité coulisses/terrain. D’abord en prolongeant le contrat de Thomas Castella de cinq (!) saisons («Pour toujours», dit le communiqué). Lui, le gardien d’un seul club. Lui, la personne unanimement appréciée dans son environnement. Lui, l’homme prêt à enfiler les gants même lorsque la maladie le prend d’assaut, qu’importent les dégâts que cela pourrait engendrer à son image. Ensuite en rétablissant un semblant de hiérarchie au moment de surclasser le voisin stadiste (4-2), à une heure déjà capitale de la saison.

Le mérite de la remise en question lui revient de droit. Le plan de base, soit affronter cette saison postrelégation en faisant la part belle à un 3-5-2 moyennement conquérant, a montré ses failles. Aussi parce que le LS peut rarement s’appuyer sur trois défenseurs centraux de même valeur au même moment. Dimanche, comme en fin de premier tour d’ailleurs, un 4-5-1 qui ouvre d’autres perspectives. En découle peut-être le symbole qui restera de ce match de reprise face au SLO: celui du renouveau. Puisque Toichi Suzuki et Dominik Schwizer ont chacun inscrit un doublé… en évoluant à deux postes qui n’existaient pas dans le dispositif de l’automne lausannois. Voilà au moins une direction à explorer. Celle du succès?

Content Ludo, entraineur et chauffeur du bus aujourd’hui!
Allez il faut enchainer avec 6 points les 2 prochains matches. J’ai bien aime le 4-5-1 avec Schwizer enfin au niveau qu’on attendait de lui.

https://www.rts.ch/play/tv/sport-dimanche/video/football--challenge-league-lausanne-ouchy-lausanne-sport-2-4?urn=urn:rts:video:13742214

Mon dieu mon dieu...

https://www.20min.ch/fr/story/le-club-de-foot-lausannois-prend-lavion-un-elu-vert-voit-rouge-455571326419

mic a écrit:Mon dieu mon dieu...

https://www.20min.ch/fr/story/le-club-de-foot-lausannois-prend-lavion-un-elu-vert-voit-rouge-455571326419

On vérifie aussi l'empreinte carbonique des 40 millions empruntés à la FIFA ?

Allez, place au foot et au match de vendredi... Il y aurait de quoi écrire.

mic a écrit:Mon dieu mon dieu...

https://www.20min.ch/fr/story/le-club-de-foot-lausannois-prend-lavion-un-elu-vert-voit-rouge-455571326419

Un jeune vert "engagé" qui cherche à se mettre en lumière à tout prix
son nom est Ilias Panchard
Espérons pour lui qu'il ne soit jamais pris en photo dans un avion ... voire sur une piste de ski ?

Scoopex a écrit:

mic a écrit:Mon dieu mon dieu...

https://www.20min.ch/fr/story/le-club-de-foot-lausannois-prend-lavion-un-elu-vert-voit-rouge-455571326419

Un jeune vert "engagé" qui cherche à se mettre en lumière à tout prix
son nom est Ilias Panchard
Espérons pour lui qu'il ne soit jamais pris en photo dans un avion ... voire sur une piste de ski ?

Ou au stade !

Arrêtons de jouer le soir, éteignons les publicités, le micro du speaker (pourquoi pas ?), de laver les maillots, de servir de la nourriture et des boissons, le merchandising, etc... Bref, arrêtons le foot ! Arrêtons de vivre ! L'activité humaine pollue...

Pfff... Vivement vendredi !

On pourrait rester en Suisse mais on a pas le droit de trop utiliser le chauffage de la pelouse

Aliou Baldé, faiseur de goût dans de nombreux duels au FC Dordrecht, a quitté le Krommedijk. Photos Pro
Le FC Dordrecht perd Aliou Baldé, mais loue un autre Feyenoorder avec Tidjany Touré
Le mercenaire du Feyenoord Aliou Baldé ne fait plus partie de la sélection du FC Dordrecht. L'attaquant sénégalais, qui évoluait au Krommedijk depuis le début de cette saison et qui a marqué huit buts dans la compétition, fait face à un transfert au FC Suisse Lausanne-Sport.

Arco Bomgaars 31-01-23, 10:30
En revanche, le FC Dordrecht peut présenter une quatrième acquisition en période hivernale lors de la dernière journée du mercato. L'attaquant franco-ivoirien Tidjany Touré (20 ans) est loué à Feyenoord jusqu'à la fin de la saison. Touré est passé du Paris Saint-Germain au club de Rotterdam l'été dernier.


Avec Christian Conteh et Aliou Baldé nous avons eu d'excellentes expériences avec les mercenaires du Feyenoord ces dernières saisons

Léon Vlemmings, responsable de l'innovation FC Dordrecht
"En raison du possible transfert d'Aliou, nous avons commencé à chercher un attaquant", explique Leon Vlemmings, responsable de l'innovation du FC Dordrecht. ,,Tidjany est rapide et techniquement compétent et peut jouer de la droite et de la gauche devant. Un garçon avec un excellent mental qui, grâce à notre bonne relation avec Feyenoord, peut jouer au FC Dordrecht pour le reste de la saison. Avec Christian Conteh et Aliou Baldé, nous avons eu d'excellentes expériences ces dernières saisons avec des mercenaires de Feyenoord, qui peuvent franchir une nouvelle étape dans leur carrière après leur passage au FC Dordrecht.''

Quatuor de novices
Avec le recrutement de Tidjany Touré, le FC Dordrecht a accueilli un quatuor de nouveaux venus dans la période des transferts en cours. Auparavant, le milieu de terrain Sahverdi Cetin, le défenseur Abdallah Aberkane et le milieu de terrain Tim Receveur ont été recrutés

Old School a écrit:

Scoopex a écrit:

mic a écrit:Mon dieu mon dieu...

https://www.20min.ch/fr/story/le-club-de-foot-lausannois-prend-lavion-un-elu-vert-voit-rouge-455571326419

Un jeune vert "engagé" qui cherche à se mettre en lumière à tout prix
son nom est Ilias Panchard
Espérons pour lui qu'il ne soit jamais pris en photo dans un avion ... voire sur une piste de ski ?

Ou au stade !

Arrêtons de jouer le soir, éteignons les publicités, le micro du speaker (pourquoi pas ?), de laver les maillots, de servir de la nourriture et des boissons, le merchandising, etc... Bref, arrêtons le foot ! Arrêtons de vivre ! L'activité humaine pollue...

Pfff... Vivement vendredi !

Perso, éteindre le micro du speaker, je vote pour. Deux fois.

mic a écrit:Mon dieu mon dieu...

https://www.20min.ch/fr/story/le-club-de-foot-lausannois-prend-lavion-un-elu-vert-voit-rouge-455571326419

j’espère qu’il sera pas trop pris au sérieux, parce que si un jour on se qualifie pour une compétition européenne (on sait jamais, ça nous est déjà arrivé après tout…) et qu’on doit aller jouer en Moldavie, ça va être un peu compliqué d’organiser un déplacement en train

Nataniel a écrit:Aliou Baldé, faiseur de goût dans de nombreux duels au FC Dordrecht, a quitté le Krommedijk. Photos Pro
Le FC Dordrecht perd Aliou Baldé, mais loue un autre Feyenoorder avec Tidjany Touré
Le mercenaire du Feyenoord Aliou Baldé ne fait plus partie de la sélection du FC Dordrecht. L'attaquant sénégalais, qui évoluait au Krommedijk depuis le début de cette saison et qui a marqué huit buts dans la compétition, fait face à un transfert au FC Suisse Lausanne-Sport.

Arco Bomgaars 31-01-23, 10:30
En revanche, le FC Dordrecht peut présenter une quatrième acquisition en période hivernale lors de la dernière journée du mercato. L'attaquant franco-ivoirien Tidjany Touré (20 ans) est loué à Feyenoord jusqu'à la fin de la saison. Touré est passé du Paris Saint-Germain au club de Rotterdam l'été dernier.


Avec Christian Conteh et Aliou Baldé nous avons eu d'excellentes expériences avec les mercenaires du Feyenoord ces dernières saisons

Léon Vlemmings, responsable de l'innovation FC Dordrecht
"En raison du possible transfert d'Aliou, nous avons commencé à chercher un attaquant", explique Leon Vlemmings, responsable de l'innovation du FC Dordrecht. ,,Tidjany est rapide et techniquement compétent et peut jouer de la droite et de la gauche devant. Un garçon avec un excellent mental qui, grâce à notre bonne relation avec Feyenoord, peut jouer au FC Dordrecht pour le reste de la saison. Avec Christian Conteh et Aliou Baldé, nous avons eu d'excellentes expériences ces dernières saisons avec des mercenaires de Feyenoord, qui peuvent franchir une nouvelle étape dans leur carrière après leur passage au FC Dordrecht.''

Quatuor de novices
Avec le recrutement de Tidjany Touré, le FC Dordrecht a accueilli un quatuor de nouveaux venus dans la période des transferts en cours. Auparavant, le milieu de terrain Sahverdi Cetin, le défenseur Abdallah Aberkane et le milieu de terrain Tim Receveur ont été recrutés

Intéressant, c’est quand même assez rare qu’on qualifie nos nouvelles recrues d’  »excellente expérience » dans leur club de départ…

Blue Raph a écrit:

Old School a écrit:

Scoopex a écrit:

mic a écrit:Mon dieu mon dieu...

https://www.20min.ch/fr/story/le-club-de-foot-lausannois-prend-lavion-un-elu-vert-voit-rouge-455571326419

Un jeune vert "engagé" qui cherche à se mettre en lumière à tout prix
son nom est Ilias Panchard
Espérons pour lui qu'il ne soit jamais pris en photo dans un avion ... voire sur une piste de ski ?

Ou au stade !

Arrêtons de jouer le soir, éteignons les publicités, le micro du speaker (pourquoi pas ?), de laver les maillots, de servir de la nourriture et des boissons, le merchandising, etc... Bref, arrêtons le foot ! Arrêtons de vivre ! L'activité humaine pollue...

Pfff... Vivement vendredi !

Perso, éteindre le micro du speaker, je vote pour. Deux fois.

Totalement. Le speaker est le gros point négatif des matches à la Tuilière, sa voix est insupportable

Ce qui m irrite le plus avec ce speaker, c est qu il fais les match du ls et du slo,