Les articles de presse (pas de commentaire !)
+88
dadniny
JoNy
football fan
titi-ls
RES
Morello
dad1664
leglandu
xav_75
stefvs10
f-alex1997
Badeafan
Chaps
MonsterTx12
Shogun
bloodymonday
Ohrel
abhak
Junior
Camilo
djaudjo
Nord's Fan
clarensindep
Mike21
godzilla
RRafa9
Rudy77
PatoCojo
PCP
Jooles
Victorious
stephane1988
jb
Blue Raph
Verlaat
Mouais
poldijer
NF
Homer
monavis
lausarme
LuisEnrique
Capitaine
De Zante
gianni rivera
sportch
zodov
TKP
rv
Tranquillité
Caml
stats
Petit-pont
Leynz
plik
Bernard
Tondu
Flee
Tous_à_la_Pontaise
El Lutin
Qwertz
Julien F.
Gnome
S_Gerrard
enfants du servette
Bubu
fredo
Rom_83
centvingt
Thierrible
Heaphy
FF
lsboy
roestigraben
Scoopex
admin
mic
RomandieWin
Lessing
Matt
pizzaiolo
Martin
dudu
LKK
Bleu-Blanc
Clash
El Nino
Gimli
92 participants
Page 25 sur 40
Page 25 sur 40 • 1 ... 14 ... 24, 25, 26 ... 32 ... 40
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/Nouvelle-defaite-pour-Servette--vaincu-par-le-LS-11504545
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/malonga-coup-messi/story/31992754
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
24h papier
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Le LS a valeureusement défendu le but superbe offert par Malonga
Les Lausannois ont souffert devant un Servette entreprenant, et signé le succès du courage et d’une certaine intelligence
Avec deux victoires en quatre jours, le LS n’avait jamais fait aussi bien depuis son retour en Super League. Surtout, ces deux résultats positifs permettent à l’équipe de Laurent Roussey de laisser deux adversaires en difficulté derrière elle, et ainsi d’aborder la suite avec davantage de tranquillité. Cela dit, si les Lausannois n’avaient transformé qu’un minimum de leurs nombreuses occasions dimanche, contre Lucerne, ils ont concrétisé hier soir leur unique chance pour un but il est vrai splendide, signé du même Malonga. Pour l’essentiel, Lausanne – réduit à dix dès la 50e minute – s’est en effet défendu devant une formation servettienne plus dangereuse que ne l’indique son classement. Et pour qui, objectivement parlant, cette défaite a vraiment un goût amer.
Pourtant fermée, la porte des vestiaires lausannois laissait percevoir des chants et pas mal de bonheur. Unis comme jamais, les joueurs du LS venaient de livrer un match assez énorme sur le plan défensif, avec au final une récompense qui ne l’était pas moins. «C’est le genre de victoire qui consolide un groupe», se félicitait le coach. Qui ne manquait pas – avec raison – de louer l’intelligence manœuvrière de ses gars. Notamment à mi-terrain, sous la tranquille assurance de Rodrigo et de Gabri, qui semblaient avoir retrouvé leurs jambes de 20 ans. «Evoluer à dix pendant près d’une mi-temps, c’est long, soulignait Jocelyn Roux. L’équipe a fait tous les efforts possibles pour colmater les brèches. Elle y a mis tout son cœur. Et elle a tenu.»
Marazzi expulsé
Sous une pluie battante et sur une pelouse qui s’est assez rapidement dégradée, l’initiative du jeu a d’emblée et le plus souvent été servettienne. De là à créer un véritable danger devant le gardien Favre, il y avait encore un pas que les «grenat» ne sont arrivés à franchir que sur balles arrêtées, plus précisément sur deux coups de coin synonymes de deux bons coups de tête, le premier signé Routis (juste à côté, 11e) et le second Kusunga (arrêt difficile de Favre, 13e). Mais l’éclair offensif est venu des pieds de Malonga, au milieu de la première période. Déjà buteur dimanche contre Lucerne, le Franco-Congolais a récupéré la balle côté gauche, à l’angle de la surface servettienne. Eliminant deux adversaires, le gaucher a enchaîné d’une frappe pied droit enroulée. Superbe!
A l’exception de Guié Guié, blessé et remplacé par Roux, Roussey alignait la même équipe que face à Lucerne. Une manière de voir si ce onze-là était capable de confirmer ses progrès. Malgré son avance à la marque, et malgré la qualité de son comportement défensif, le LS est toutefois resté bien timide sur le plan offensif. Inutile de dire que dès l’expulsion de Marazzi (deuxième carton jaune), la surface servettienne est devenue territoire inconnu, loin, très loin des préoccupations lausannoises. Dans ce contexte, le mérite des visiteurs aura été d’éteindre progressivement l’incendie pour terminer la rencontre sans trop de soucis. A la 26e minute, apparemment pour une faute de main de Sonnerat, l’arbitre avait donné un penalty en faveur des Servettiens, qu‘Eudis n’a pas su transformer (poteau). Pour le reste, quelques situations confuses et quelques tirs non cadrés. Mais finalement rien de tout à fait tranchant.
Le LS s’apprête maintenant à accueillir le champion de Suisse en titre. D’ici à samedi et cette rencontre intéressante (19 h 45), il va s’agir d’effacer au mieux les traces physiques de cette incroyable débauche d’énergie. Avec derrière la tête, pourquoi pas, l’idée de bousculer le FC Bâle. Il n’existe pas de plus joli défi pour boucler une semaine anglaise!
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Le LS a valeureusement défendu le but superbe offert par Malonga
Les Lausannois ont souffert devant un Servette entreprenant, et signé le succès du courage et d’une certaine intelligence
Avec deux victoires en quatre jours, le LS n’avait jamais fait aussi bien depuis son retour en Super League. Surtout, ces deux résultats positifs permettent à l’équipe de Laurent Roussey de laisser deux adversaires en difficulté derrière elle, et ainsi d’aborder la suite avec davantage de tranquillité. Cela dit, si les Lausannois n’avaient transformé qu’un minimum de leurs nombreuses occasions dimanche, contre Lucerne, ils ont concrétisé hier soir leur unique chance pour un but il est vrai splendide, signé du même Malonga. Pour l’essentiel, Lausanne – réduit à dix dès la 50e minute – s’est en effet défendu devant une formation servettienne plus dangereuse que ne l’indique son classement. Et pour qui, objectivement parlant, cette défaite a vraiment un goût amer.
Pourtant fermée, la porte des vestiaires lausannois laissait percevoir des chants et pas mal de bonheur. Unis comme jamais, les joueurs du LS venaient de livrer un match assez énorme sur le plan défensif, avec au final une récompense qui ne l’était pas moins. «C’est le genre de victoire qui consolide un groupe», se félicitait le coach. Qui ne manquait pas – avec raison – de louer l’intelligence manœuvrière de ses gars. Notamment à mi-terrain, sous la tranquille assurance de Rodrigo et de Gabri, qui semblaient avoir retrouvé leurs jambes de 20 ans. «Evoluer à dix pendant près d’une mi-temps, c’est long, soulignait Jocelyn Roux. L’équipe a fait tous les efforts possibles pour colmater les brèches. Elle y a mis tout son cœur. Et elle a tenu.»
Marazzi expulsé
Sous une pluie battante et sur une pelouse qui s’est assez rapidement dégradée, l’initiative du jeu a d’emblée et le plus souvent été servettienne. De là à créer un véritable danger devant le gardien Favre, il y avait encore un pas que les «grenat» ne sont arrivés à franchir que sur balles arrêtées, plus précisément sur deux coups de coin synonymes de deux bons coups de tête, le premier signé Routis (juste à côté, 11e) et le second Kusunga (arrêt difficile de Favre, 13e). Mais l’éclair offensif est venu des pieds de Malonga, au milieu de la première période. Déjà buteur dimanche contre Lucerne, le Franco-Congolais a récupéré la balle côté gauche, à l’angle de la surface servettienne. Eliminant deux adversaires, le gaucher a enchaîné d’une frappe pied droit enroulée. Superbe!
A l’exception de Guié Guié, blessé et remplacé par Roux, Roussey alignait la même équipe que face à Lucerne. Une manière de voir si ce onze-là était capable de confirmer ses progrès. Malgré son avance à la marque, et malgré la qualité de son comportement défensif, le LS est toutefois resté bien timide sur le plan offensif. Inutile de dire que dès l’expulsion de Marazzi (deuxième carton jaune), la surface servettienne est devenue territoire inconnu, loin, très loin des préoccupations lausannoises. Dans ce contexte, le mérite des visiteurs aura été d’éteindre progressivement l’incendie pour terminer la rencontre sans trop de soucis. A la 26e minute, apparemment pour une faute de main de Sonnerat, l’arbitre avait donné un penalty en faveur des Servettiens, qu‘Eudis n’a pas su transformer (poteau). Pour le reste, quelques situations confuses et quelques tirs non cadrés. Mais finalement rien de tout à fait tranchant.
Le LS s’apprête maintenant à accueillir le champion de Suisse en titre. D’ici à samedi et cette rencontre intéressante (19 h 45), il va s’agir d’effacer au mieux les traces physiques de cette incroyable débauche d’énergie. Avec derrière la tête, pourquoi pas, l’idée de bousculer le FC Bâle. Il n’existe pas de plus joli défi pour boucler une semaine anglaise!
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/faits-divers/fan-lausanne-jette-bouteille-the-police/story/24774244
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2012/09/chris-malonga-je-voulais-juste-jouer-au-football/
Leynz- Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Interview de Khelifi :
http://www.bloodymonday.ch/2012/10/02/je-me-suis-forge-dans-la-rue/
http://www.bloodymonday.ch/2012/10/02/je-me-suis-forge-dans-la-rue/
Shogun- Date d'inscription : 21/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2012/10/laurent-roussey-moussilou-devrait-etre-le-meilleur-buteur-du-championnat/
Leynz- Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.football.ch/fr/ASF/Equipes-Nationales/M19/News-et-communiques-M19.aspx
Salim a marqué !
Salim a marqué !
Invité- Invité
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Je sais pas si ça a déjà été dit, mais c'est une jolie initiative qui a de bons effets au niveau de l'image, à mon avis:
http://www.rts.ch/video/info/couleurs-locales/4337013-la-premiere-equipe-du-lausanne-sport-etait-ce-mardi-apres-midi-sur-la-cote-vaudoise-pour-les-vendanges.html
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/25035497
Roussey, juste excellent sur les deux vidéos, notamment avec Sanogo! (Mieux que les journalistes et leurs jeux de mots foireux ;-)
Et une belle pique sur la Pontaise dans 120" sur Couleur3, vers 1'50":
http://www.rts.ch/couleur3/programmes/120-secondes/4317008-le-match-islande-suisse.html
http://www.rts.ch/video/info/couleurs-locales/4337013-la-premiere-equipe-du-lausanne-sport-etait-ce-mardi-apres-midi-sur-la-cote-vaudoise-pour-les-vendanges.html
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/25035497
Roussey, juste excellent sur les deux vidéos, notamment avec Sanogo! (Mieux que les journalistes et leurs jeux de mots foireux ;-)
Et une belle pique sur la Pontaise dans 120" sur Couleur3, vers 1'50":
http://www.rts.ch/couleur3/programmes/120-secondes/4317008-le-match-islande-suisse.html
Caml- Date d'inscription : 13/12/2010
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lausannecites.ch/lactualite/lausanne/metamorphose-aura-t-il-la-peau-du-ls
Victorious- Date d'inscription : 07/07/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Jean-François t'es trop fort, reste président du Lausanne Sport. Tu fais plus n'importe quoi, on voit que t'aimes sa
MonsterTx12- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 23/09/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/lausanne-veut-voir-haut/story/10308361
Invité- Invité
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Article papier 24h sur le match
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Sans idées et sans venin, le LS a connu une grosse défaillance
Rencontre sans envergure entre un pâle FC Zurich et une équipe lausannoise bien décevante
D’abord l’impatience, celle de voir le LS se porter plus résolument et surtout avec davantage d’idées vers l’avant. Puis une irritation, clairement perceptible, devant l’inanité des maigres efforts lausannois. Et enfin la déception, pour la manière au moins autant que pour le résultat défavorable de cette médiocre après-midi de football.
Hier, sous un agréable soleil automnal, le public de la Pontaise n’est jamais sorti de sa torpeur. La faute à un onze lausannois qui n’a pas du tout confirmé les bonnes performances de ces dernières semaines. Alors qu’on le croyait capable d’élever encore le niveau de son jeu, de lui donner davantage d’étoffe collective, après le très bon match livré à Saint-Gall, le voilà qui a ressuscité d’un seul coup tous ses travers, laissant un pourtant bien pâle Zurich prendre la totalité des points en jeu, grâce à une balle arrêtée – décidément! – puis une action de rupture en fin de match.
«Nous n’avons jamais su entrer dans la partie. Il s’agit d’une défaillance totale de notre part. Nous avons été pauvres dans le jeu et pas plus heureux devant le but. L’équipe n’a apparemment pas la capacité, actuellement, de vivre dans le confort». Laurent Roussey ne cherchait pas à masquer quoi que ce soit des lacunes de son équipe. Ce n’est pas dans ses habitudes. La venue du FCZ représentait l’occasion idéale de franchir un palier, de lever la tête et de se projeter vers le milieu du classement, dans une zone qui offre le luxe de travailler plus sereinement. En parlant de «confort», le coach du LS faisait allusion à un comportement global plus qu’à des données techniques particulières. «Cette défaite fait d’autant plus mal que les joueurs ne sont pas allés chercher au fond d’eux-mêmes les qualités mentales nécessaires. Considérer ce qui a été proposé à Saint-Gall et la pauvreté du jeu d’aujourd’hui laisse songeur.»
Comment expliquer cet écart, cet abîme même? Faut-il y percevoir un manque de caractère? L’avenir – à commencer par le déplacement de Tourbillon, samedi prochain – dira bien sûr si les joueurs du LS ont véritablement les moyens d’envisager autre chose que la lutte contre la relégation.
Un très jeune FCZ
Hier, en tout cas, les deux formations faisaient leur classement. Prudence, rythme modeste, manque d’idées et de venin, les seize mètres sont longtemps restés des zones oubliées. Cela dit, on notera tout de même que Lausanne a pris un léger ascendant en fin de première période, avec quelques amorces intéressantes. Mais sur deux bons centres de Moussilou, ni Marazzi ni Gabri ne se sont montrés très adroits. Côté zurichois, à part quelques tirs de loin, pas grand-chose à signaler jusqu’à un insidieux coup de tête de Djimsiti sur coup franc (bon arrêt de Favre, 39e minute).
On est hélas repartis sur les mêmes bases après la pause, jusqu’à l’ouverture du score, un lointain coup franc de Schönbächler que personne n’a touché et qui est allé mourir dans les filets du gardien vaudois. Par la suite, un bon travail de Malonga n’a pas permis à Moussilou d’égaliser (l’attaquant écrase sa reprise, 70e). Puis Kukeli a offert à Drmic une situation idéale que le buteur de la Suisse M21 n’a pas laissé filer. Zurich, qui avait perdu Gavranovic sur blessure dès la 34e minute, retrouve ainsi le goût du succès pour la première fois depuis le 26 août (Zurich - Sion 1-0). «Nous sommes heureux, soulignait l’entraîneur Rolf Fringer. Et je me demande même si le FCZ a déjà aligné dans son histoire une équipe aussi jeune, avec 21 ans de moyenne d’âge.» Voilà peut-être bien le seul élément remarquable de cette journée à oublier.
Lausanne - Zurich 0-2 (0-0)
La Pontaise. 5250 spectateurs.
Arbitre: Wermelinger.
Buts: 67e Schönbächler 0-1.
83e Drmic 0-2.
Lausanne-Sport: Favre; Chakhsi, Tall (22e Katz), Sonnerat, Facchinetti; Rodrigo (71e Guie Guie); Tafer (61e Sanogo), Gabri, Marazzi, Malonga; Moussilou.
Zurich: Da Costa; Philippe Koch, Djimsiti, Raphael Koch, Benito; Pedro Henrique (61e Jahovic), Buff, Kukeli, Schönbächler (77e Kajevic); Gavranovic (34e Kukuruzovic), Drmic.
Avertissement: 55e Buff.
Notes: Zurich sans Béda, Chikhaoui, Chiumiento, Gonçalves (blessés) et Teixeira (suspendu).
François Ruffieux
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Sans idées et sans venin, le LS a connu une grosse défaillance
Rencontre sans envergure entre un pâle FC Zurich et une équipe lausannoise bien décevante
D’abord l’impatience, celle de voir le LS se porter plus résolument et surtout avec davantage d’idées vers l’avant. Puis une irritation, clairement perceptible, devant l’inanité des maigres efforts lausannois. Et enfin la déception, pour la manière au moins autant que pour le résultat défavorable de cette médiocre après-midi de football.
Hier, sous un agréable soleil automnal, le public de la Pontaise n’est jamais sorti de sa torpeur. La faute à un onze lausannois qui n’a pas du tout confirmé les bonnes performances de ces dernières semaines. Alors qu’on le croyait capable d’élever encore le niveau de son jeu, de lui donner davantage d’étoffe collective, après le très bon match livré à Saint-Gall, le voilà qui a ressuscité d’un seul coup tous ses travers, laissant un pourtant bien pâle Zurich prendre la totalité des points en jeu, grâce à une balle arrêtée – décidément! – puis une action de rupture en fin de match.
«Nous n’avons jamais su entrer dans la partie. Il s’agit d’une défaillance totale de notre part. Nous avons été pauvres dans le jeu et pas plus heureux devant le but. L’équipe n’a apparemment pas la capacité, actuellement, de vivre dans le confort». Laurent Roussey ne cherchait pas à masquer quoi que ce soit des lacunes de son équipe. Ce n’est pas dans ses habitudes. La venue du FCZ représentait l’occasion idéale de franchir un palier, de lever la tête et de se projeter vers le milieu du classement, dans une zone qui offre le luxe de travailler plus sereinement. En parlant de «confort», le coach du LS faisait allusion à un comportement global plus qu’à des données techniques particulières. «Cette défaite fait d’autant plus mal que les joueurs ne sont pas allés chercher au fond d’eux-mêmes les qualités mentales nécessaires. Considérer ce qui a été proposé à Saint-Gall et la pauvreté du jeu d’aujourd’hui laisse songeur.»
Comment expliquer cet écart, cet abîme même? Faut-il y percevoir un manque de caractère? L’avenir – à commencer par le déplacement de Tourbillon, samedi prochain – dira bien sûr si les joueurs du LS ont véritablement les moyens d’envisager autre chose que la lutte contre la relégation.
Un très jeune FCZ
Hier, en tout cas, les deux formations faisaient leur classement. Prudence, rythme modeste, manque d’idées et de venin, les seize mètres sont longtemps restés des zones oubliées. Cela dit, on notera tout de même que Lausanne a pris un léger ascendant en fin de première période, avec quelques amorces intéressantes. Mais sur deux bons centres de Moussilou, ni Marazzi ni Gabri ne se sont montrés très adroits. Côté zurichois, à part quelques tirs de loin, pas grand-chose à signaler jusqu’à un insidieux coup de tête de Djimsiti sur coup franc (bon arrêt de Favre, 39e minute).
On est hélas repartis sur les mêmes bases après la pause, jusqu’à l’ouverture du score, un lointain coup franc de Schönbächler que personne n’a touché et qui est allé mourir dans les filets du gardien vaudois. Par la suite, un bon travail de Malonga n’a pas permis à Moussilou d’égaliser (l’attaquant écrase sa reprise, 70e). Puis Kukeli a offert à Drmic une situation idéale que le buteur de la Suisse M21 n’a pas laissé filer. Zurich, qui avait perdu Gavranovic sur blessure dès la 34e minute, retrouve ainsi le goût du succès pour la première fois depuis le 26 août (Zurich - Sion 1-0). «Nous sommes heureux, soulignait l’entraîneur Rolf Fringer. Et je me demande même si le FCZ a déjà aligné dans son histoire une équipe aussi jeune, avec 21 ans de moyenne d’âge.» Voilà peut-être bien le seul élément remarquable de cette journée à oublier.
Lausanne - Zurich 0-2 (0-0)
La Pontaise. 5250 spectateurs.
Arbitre: Wermelinger.
Buts: 67e Schönbächler 0-1.
83e Drmic 0-2.
Lausanne-Sport: Favre; Chakhsi, Tall (22e Katz), Sonnerat, Facchinetti; Rodrigo (71e Guie Guie); Tafer (61e Sanogo), Gabri, Marazzi, Malonga; Moussilou.
Zurich: Da Costa; Philippe Koch, Djimsiti, Raphael Koch, Benito; Pedro Henrique (61e Jahovic), Buff, Kukeli, Schönbächler (77e Kajevic); Gavranovic (34e Kukuruzovic), Drmic.
Avertissement: 55e Buff.
Notes: Zurich sans Béda, Chikhaoui, Chiumiento, Gonçalves (blessés) et Teixeira (suspendu).
François Ruffieux
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/Le-pojet-de-nouveau-stade-de-foot-devoile-29370833
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/roussey-assurer-visons/story/20936554
Homer- Date d'inscription : 31/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Interview de Debonnaire :
http://www.bloodymonday.ch/2012/11/05/qui-ne-fait-pas-de-rouleaux/
http://www.bloodymonday.ch/2012/11/05/qui-ne-fait-pas-de-rouleaux/
Shogun- Date d'inscription : 21/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/roussey-hesite-favreet-debonnaire/story/18468592
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Football, Super League
Laurent Roussey et Lausanne rêvent de «remettre l’étincelle»
En progrès, le LS reçoit dimanche
les Young Boys.
Le coach parle
de l’équipe, de
son ambition et
du soutien populaire
François Ruffieux
La progression d’une équipe est rarement linéaire. Bien réelle de- puis quelques semaines, celle du Lausanne-Sport s’est concrétisée une première fois fin septembre, avec 7 points pris en trois matches (succès contre Lucerne puis à Ge- nève, nul face à Bâle). Ont suivi deux revers, l’un immérité (à Saint-Gall) et l’autre au terme d’une prestation très décevante (contre Zurich). Derrière, une nouvelle série positive a démarré, avec deux nuls (à Sion et à Zurich face à GC), la qualification en Coupe de Suisse à Delémont, puis la victoire contre Thoune. Les sta- tistiques ne disent pas tout, mais elles reflètent tout de même une tendance, celle, en l’occurrence, d’une équipe qui s’affirme.
Après neuf journées, soit à la fin du premier des quatre tours du championnat de Super League, le LS comptabilisait 8 points (6 buts marqués – dont 5 face au seul Ser- vette – pour 12 reçus); au- jourd’hui, après sept journées dans le deuxième tour, il en compte déjà 9 (8 buts marqués, 7 reçus). Alors que les Young Boys – qui seront dimanche à la Pontaise, coup d’envoi à 13 h 45 – rassem- blent leurs forces pour tenter l’ex- ploit, ce soir en Europa League, sur la pelouse de Liverpool, les Lausannois préparent avec soin leur dernier match à domicile de l’année 2012. L’occasion de faire le point avec l’entraîneur, Laurent Roussey.
«Dans le bon sens»
Quelle importance Roussey accor- de-t-il aux chiffres? «Ils marquent une évolution et je m’en sers par- fois pour dialoguer avec le groupe. Mais au-delà de l’aspect chiffré, je constate surtout que le LS, ces der- niers temps, a su transformer des défaites en nuls et des nuls en vic- toires. On sent ainsi que l’équipe
Coach du LS, Laurent Roussey constate avec plaisir le saut de qualité effectué ces dernières semaines par son équipe. A confirmer bien sûr dès dimanche, face aux Young Boys de Martin Rueda. KEYSTONE
est mieux, plus concentrée, plus structurée, qu’elle connaît moins de sautes d’humeur dans un même match. Beaucoup de détails mon- trent qu’elle est en progrès.» Néces- saire lorsqu’un nouveau coach ar- rive, le temps fait donc gentiment son œuvre. «Le staff technique et le groupe ont dû apprendre à se con- naître. Il y avait une demande de notre part; et il y a eu acceptation de la part des joueurs. On va donc dans le bon sens.»
Concrètement? «Aujourd’hui, par exemple, on pourrait se dire que la venue des Young Boys a pour nous une importance toute relative. Moi je dis non, elle nous concerne directement, avec des places à gagner au classe- ment. Notre ambition immédiate, c’est de battre YB dans notre jar- din.»
«Pas de limites»
Un coach perçoit-il très précisé- ment le potentiel de son équipe? «Non, je crois qu’il n’existe pas de limites, estime Roussey. Les joueurs eux-mêmes ne savent pas ce qu’ils sont réellement capables de donner, qu’il s’agisse de tech- nique, de physique ou de mental. Il est clair que le LS ne sera pas champion de Suisse. Mais lors- qu’on voit comment la compéti- tion se découpe (ndlr: quatre for- mations qui se détachent en tête), on se dit qu’on peut terminer pre- miers du deuxième groupe (autre- ment dit viser la 5e place). Ce chal- lenge doit nous motiver. Et on doit se donner les moyens néces- saires pour l’atteindre.»
Lesquels passent par... «Par le travail de tous les jours, avec
d’abord une exigence élevée vis-à- vis de soi-même. Par un investisse- ment au quotidien, aussi hors en- traînements, dans toute la partie invisible, la récupération notam- ment.»
«Ce qui les fait vibrer»
Si le LS suscite toujours un réel intérêt à travers le canton, voire au-delà, la Pontaise vit avec un noyau d’environ 5000 fidèles. Le match de dimanche fera-t-il gon- fler ce chiffre? «Dans le foot d’au- jourd’hui, soit vous avez des gens qui suivent massivement l’équipe quelles que soient les circonstan- ces (à Bâle, à Saint-Gall ou à Sion), soit vous avez un public qui at- tend du spectacle et qui veut avoir du plaisir au stade, es- time Laurent Roussey. Ici, où le public est plus feutré, susciter
l’intérêt passe par des résultats. Le LS a un passé, un palmarès, une histoire. Pourquoi ne serait-il pas possible de remettre l’étin- celle?»
Et s’il devait y avoir 8000 spec- tateurs? «Cela signifierait que des gens se sont dit: allons voir au stade ce que donne ce LS! Et puis, en termes de soutien, ce serait ap- préciable, car ce qui fait vibrer les joueurs, c’est quand même tou- jours l’enceinte. Lorsqu’on sent de la vie dans les tribunes, l’équipe en retire une force sup- plémentaire.»
Qu’en sera-t-il dimanche?
Retrouvez notre dossier spécial sur www.LS.24heures.ch
Laurent Roussey et Lausanne rêvent de «remettre l’étincelle»
En progrès, le LS reçoit dimanche
les Young Boys.
Le coach parle
de l’équipe, de
son ambition et
du soutien populaire
François Ruffieux
La progression d’une équipe est rarement linéaire. Bien réelle de- puis quelques semaines, celle du Lausanne-Sport s’est concrétisée une première fois fin septembre, avec 7 points pris en trois matches (succès contre Lucerne puis à Ge- nève, nul face à Bâle). Ont suivi deux revers, l’un immérité (à Saint-Gall) et l’autre au terme d’une prestation très décevante (contre Zurich). Derrière, une nouvelle série positive a démarré, avec deux nuls (à Sion et à Zurich face à GC), la qualification en Coupe de Suisse à Delémont, puis la victoire contre Thoune. Les sta- tistiques ne disent pas tout, mais elles reflètent tout de même une tendance, celle, en l’occurrence, d’une équipe qui s’affirme.
Après neuf journées, soit à la fin du premier des quatre tours du championnat de Super League, le LS comptabilisait 8 points (6 buts marqués – dont 5 face au seul Ser- vette – pour 12 reçus); au- jourd’hui, après sept journées dans le deuxième tour, il en compte déjà 9 (8 buts marqués, 7 reçus). Alors que les Young Boys – qui seront dimanche à la Pontaise, coup d’envoi à 13 h 45 – rassem- blent leurs forces pour tenter l’ex- ploit, ce soir en Europa League, sur la pelouse de Liverpool, les Lausannois préparent avec soin leur dernier match à domicile de l’année 2012. L’occasion de faire le point avec l’entraîneur, Laurent Roussey.
«Dans le bon sens»
Quelle importance Roussey accor- de-t-il aux chiffres? «Ils marquent une évolution et je m’en sers par- fois pour dialoguer avec le groupe. Mais au-delà de l’aspect chiffré, je constate surtout que le LS, ces der- niers temps, a su transformer des défaites en nuls et des nuls en vic- toires. On sent ainsi que l’équipe
Coach du LS, Laurent Roussey constate avec plaisir le saut de qualité effectué ces dernières semaines par son équipe. A confirmer bien sûr dès dimanche, face aux Young Boys de Martin Rueda. KEYSTONE
est mieux, plus concentrée, plus structurée, qu’elle connaît moins de sautes d’humeur dans un même match. Beaucoup de détails mon- trent qu’elle est en progrès.» Néces- saire lorsqu’un nouveau coach ar- rive, le temps fait donc gentiment son œuvre. «Le staff technique et le groupe ont dû apprendre à se con- naître. Il y avait une demande de notre part; et il y a eu acceptation de la part des joueurs. On va donc dans le bon sens.»
Concrètement? «Aujourd’hui, par exemple, on pourrait se dire que la venue des Young Boys a pour nous une importance toute relative. Moi je dis non, elle nous concerne directement, avec des places à gagner au classe- ment. Notre ambition immédiate, c’est de battre YB dans notre jar- din.»
«Pas de limites»
Un coach perçoit-il très précisé- ment le potentiel de son équipe? «Non, je crois qu’il n’existe pas de limites, estime Roussey. Les joueurs eux-mêmes ne savent pas ce qu’ils sont réellement capables de donner, qu’il s’agisse de tech- nique, de physique ou de mental. Il est clair que le LS ne sera pas champion de Suisse. Mais lors- qu’on voit comment la compéti- tion se découpe (ndlr: quatre for- mations qui se détachent en tête), on se dit qu’on peut terminer pre- miers du deuxième groupe (autre- ment dit viser la 5e place). Ce chal- lenge doit nous motiver. Et on doit se donner les moyens néces- saires pour l’atteindre.»
Lesquels passent par... «Par le travail de tous les jours, avec
d’abord une exigence élevée vis-à- vis de soi-même. Par un investisse- ment au quotidien, aussi hors en- traînements, dans toute la partie invisible, la récupération notam- ment.»
«Ce qui les fait vibrer»
Si le LS suscite toujours un réel intérêt à travers le canton, voire au-delà, la Pontaise vit avec un noyau d’environ 5000 fidèles. Le match de dimanche fera-t-il gon- fler ce chiffre? «Dans le foot d’au- jourd’hui, soit vous avez des gens qui suivent massivement l’équipe quelles que soient les circonstan- ces (à Bâle, à Saint-Gall ou à Sion), soit vous avez un public qui at- tend du spectacle et qui veut avoir du plaisir au stade, es- time Laurent Roussey. Ici, où le public est plus feutré, susciter
l’intérêt passe par des résultats. Le LS a un passé, un palmarès, une histoire. Pourquoi ne serait-il pas possible de remettre l’étin- celle?»
Et s’il devait y avoir 8000 spec- tateurs? «Cela signifierait que des gens se sont dit: allons voir au stade ce que donne ce LS! Et puis, en termes de soutien, ce serait ap- préciable, car ce qui fait vibrer les joueurs, c’est quand même tou- jours l’enceinte. Lorsqu’on sent de la vie dans les tribunes, l’équipe en retire une force sup- plémentaire.»
Qu’en sera-t-il dimanche?
Retrouvez notre dossier spécial sur www.LS.24heures.ch
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Au LHC et au LS, la tolérance zéro en matière d’alcool interpelle
L’interdiction proposée par les autorités politiques est loin de faire l’unanimité
Hockey/Football
L’image de certains clubs, et du sport en général, serait embellie si la mesure permet de réduire les méfaits des hooligans ou de quelques fans éméchés. Pourtant, l’interdiction d’alcool dans les stades et patinoires pour les matches à haut risque, dès juin 2013 pour les équipes suisses de première division, ne satisfait pas les dirigeants sportifs; dont ceux du LHC et du LS. Décidée mardi par les directeurs cantonaux de Justice et Police, elle fait même sourire des politiciens. Au Parti libéral-radical fribourgeois, on la juge inutile, tracassière et antisociale.
«Tout d’abord, il faut préciser qu’il ne s’agit que de suggestions faites aux cantons, souligne Sacha Weibel, directeur général du LHC. En pratique, nous travaillons déjà en très étroite collaboration avec la police cantonale et avec sa cellule hooliganisme pour nos matches à la patinoire de Malley. Nous avons besoin d’elle, elle a besoin de nous. Ce travail en commun ne peut donc que s’intensifier.»
Aux yeux de Sacha Weibel, la mesure proposée ne s’impose en aucun cas pour le LHC, qui milite en LNB et ne rencontre aucun problème lié à l’alcool. «Nous n’avons pas de matches à haut risque. Et je pense même qu’en LNA toutes les mesures sont prises pour encadrer les fans. La sécurité est primordiale pour nous, mais une interdiction d’alcool ne changera rien. Nous voulons punir l’individu, avec du personnel présent pour observer qui a fait quoi, plutôt que de sanctionner pour rien 3000 à 5000 spectateurs.»
Alain Joseph, vice-président du LS, va dans le même sens: «Il est malheureux d’en arriver là, car 98% des spectateurs – qui viennent au stade pour voir un spectacle et vivre un moment convivial – sont pénalisés pour les 2% qui aiment foutre le bordel. Et qui trouveront toujours une solution, comme ils le font d’ailleurs aussi pour les engins pyrotechniques.» Et d’ajouter que les mesures prises «ne traitent pas le mal à la racine».
«Tout ce qui permet d’identifier les problèmes est bienvenu, poursuit-il. Mais ces mesures ne vont pas résoudre grand-chose a priori. Et on ne peut pas toujours demander aux clubs sportifs de résoudre les maux de la société. Ceux qui mettent le trouble devraient être laissés dehors ou sortis du stade. Il faudrait pour cela que les forces de police aient suffisamment de moyens et que la justice fasse véritablement son travail.»
F.R./P.W.
L’interdiction proposée par les autorités politiques est loin de faire l’unanimité
Hockey/Football
L’image de certains clubs, et du sport en général, serait embellie si la mesure permet de réduire les méfaits des hooligans ou de quelques fans éméchés. Pourtant, l’interdiction d’alcool dans les stades et patinoires pour les matches à haut risque, dès juin 2013 pour les équipes suisses de première division, ne satisfait pas les dirigeants sportifs; dont ceux du LHC et du LS. Décidée mardi par les directeurs cantonaux de Justice et Police, elle fait même sourire des politiciens. Au Parti libéral-radical fribourgeois, on la juge inutile, tracassière et antisociale.
«Tout d’abord, il faut préciser qu’il ne s’agit que de suggestions faites aux cantons, souligne Sacha Weibel, directeur général du LHC. En pratique, nous travaillons déjà en très étroite collaboration avec la police cantonale et avec sa cellule hooliganisme pour nos matches à la patinoire de Malley. Nous avons besoin d’elle, elle a besoin de nous. Ce travail en commun ne peut donc que s’intensifier.»
Aux yeux de Sacha Weibel, la mesure proposée ne s’impose en aucun cas pour le LHC, qui milite en LNB et ne rencontre aucun problème lié à l’alcool. «Nous n’avons pas de matches à haut risque. Et je pense même qu’en LNA toutes les mesures sont prises pour encadrer les fans. La sécurité est primordiale pour nous, mais une interdiction d’alcool ne changera rien. Nous voulons punir l’individu, avec du personnel présent pour observer qui a fait quoi, plutôt que de sanctionner pour rien 3000 à 5000 spectateurs.»
Alain Joseph, vice-président du LS, va dans le même sens: «Il est malheureux d’en arriver là, car 98% des spectateurs – qui viennent au stade pour voir un spectacle et vivre un moment convivial – sont pénalisés pour les 2% qui aiment foutre le bordel. Et qui trouveront toujours une solution, comme ils le font d’ailleurs aussi pour les engins pyrotechniques.» Et d’ajouter que les mesures prises «ne traitent pas le mal à la racine».
«Tout ce qui permet d’identifier les problèmes est bienvenu, poursuit-il. Mais ces mesures ne vont pas résoudre grand-chose a priori. Et on ne peut pas toujours demander aux clubs sportifs de résoudre les maux de la société. Ceux qui mettent le trouble devraient être laissés dehors ou sortis du stade. Il faudrait pour cela que les forces de police aient suffisamment de moyens et que la justice fasse véritablement son travail.»
F.R./P.W.
Chaps- Localisation : Pied du Jura
Date d'inscription : 05/08/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/khelifi-joyau-ls-dort-pontaise/story/16358737
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Gaucher de talent, Yannis Tafer ne demande qu’à s’exprimer
Formé à Lyon, l’attaquant du LS a dû ronger son frein en raison d’une blessure. Rencontre avant la venue de YB
«Je me sens de mieux en mieux, heureux d’être là, dans cette équipe, avec l’envie de me battre, de me sentir important, concerné.» L’aveu n’est pas sans valeur, car Yannis Tafer revient de loin dans un parcours de footballeur entamé de façon prometteuse, puis contrarié par une blessure assortie d’une période compliquée. Très vite catalogué comme un nouveau Benzema, l’attaquant assure aujourd’hui qu’il a «pris du recul», compris aussi qu’il fallait «montrer davantage» et que les difficultés rencontrées allaient l’aider à lancer véritablement sa carrière. Cet été, libre de tout engagement, Tafer (21 ans) a signé un contrat de trois ans avec le LS. Il s’agit d’un pari intéressant, pour lui et pour son nouveau club. Mais voyons d’un peu plus près comment on en est arrivé là.
Né à Grenoble, Yannis Tafer a rapidement rejoint l’Olympique Lyonnais. En 2008, il a signé son premier contrat pro avec le champion de France. Pour une dizaine d’apparitions en première équipe, entrecoupées d’un prêt d’une saison à Toulouse (16 matches en Ligue 1). En parallèle, sous le maillot des Bleus, il a disputé la finale de l’Euro M17 (défaite face à l’Espagne), puis celle de l’Euro M19 (victoire face à… l’Espagne). C’est en 2011 que les choses se sont gâtées. Lors de la préparation pour le Mondial M20, Tafer s’est blessé (à un pied). «Les médecins m’ont dit qu’il n’y avait rien de grave. J’ai donc fait le voyage en Colombie, explique-t-il. Je comptais beaucoup sur cette compétition pour me faire remarquer. J’ai serré les dents.»
Mais c’était une erreur. La fracture de fatigue diagnostiquée – plus précisément une fracture de l’os naviculaire – lui a alors valu plusieurs mois sans compétition. Une situation loin d’être idéale lorsqu’on arrive en fin de contrat.
Le joli bruit des filets
«J’étais surtout frustré de ne pouvoir être sur le terrain; ça me manquait. Cela dit, cette période creuse m’a permis de grandir. A Lyon, j’ai côtoyé des joueurs confirmés. Et je sais comment les choses se passent dans le milieu pro. Mais il a fallu faire face à une nouvelle situation.» La proposition du Lausanne-Sport est alors arrivée. «C’était du concret, dans un contexte qui me semblait favorable, avec un coach qui était lui-même un ancien attaquant. Je me suis rapidement décidé.»
Buteur en Coupe de Suisse (à Hochdorf puis à Delémont), Tafer a également inscrit le 2-0 face à Thoune, à la conclusion d’un centre de Chakhsi. «Cela fait du bien d’entendre le bruit des filets», assure-t-il en souriant. Le jeune homme possède une magnifique patte gauche que notre championnat devrait bientôt découvrir avec davantage de constance. Mais sur quelle position précisément? «J’ai été formé en numéro 9 et je préfère jouer dans l’axe. Mais j’aime participer au jeu et je suis également capable de prendre la profondeur.»
Yannis Tafer n’est sûrement pas un monstre de puissance. S’il s’est étoffé sur le plan athlétique, il privilégie toujours l’esprit de finesse. On a d’ailleurs le sentiment que cette question l’agace un peu. «Je connais quelques gars plutôt frêles qui, en Espagne, forment la meilleure équipe du monde, fait-il remarquer. Il n’est pas nécessaire d’être une boule de muscles ou un top-modèle. L’essentiel, c’est d’être un bon joueur de foot. Après, ça se passe dans la tête, dans l’envie qu’on a de faire les efforts nécessaires.»
On l’a déjà dit dans ces colonnes, le LS de cette fin 2012 est en progrès. «C’est vrai, dans le contenu, on n’est pas mal. Plus costauds sur le plan défensif, il faut qu’on se montre à l’avenir plus efficaces devant.» Un chantier que l’entraîneur Laurent Roussey a mis en route avec plus d’insistance depuis quelques semaines. Et qui devrait permettre à l’équipe de revoir ses objectifs à la hausse. «Si on parvenait à atteindre la trêve hivernale avec une 5e place, remarque Tafer, tout en ayant un quart de finale de la Coupe agendé au printemps, ça nous donnerait beaucoup de force pour 2013.»
François Ruffieux
Gaucher de talent, Yannis Tafer ne demande qu’à s’exprimer
Formé à Lyon, l’attaquant du LS a dû ronger son frein en raison d’une blessure. Rencontre avant la venue de YB
«Je me sens de mieux en mieux, heureux d’être là, dans cette équipe, avec l’envie de me battre, de me sentir important, concerné.» L’aveu n’est pas sans valeur, car Yannis Tafer revient de loin dans un parcours de footballeur entamé de façon prometteuse, puis contrarié par une blessure assortie d’une période compliquée. Très vite catalogué comme un nouveau Benzema, l’attaquant assure aujourd’hui qu’il a «pris du recul», compris aussi qu’il fallait «montrer davantage» et que les difficultés rencontrées allaient l’aider à lancer véritablement sa carrière. Cet été, libre de tout engagement, Tafer (21 ans) a signé un contrat de trois ans avec le LS. Il s’agit d’un pari intéressant, pour lui et pour son nouveau club. Mais voyons d’un peu plus près comment on en est arrivé là.
Né à Grenoble, Yannis Tafer a rapidement rejoint l’Olympique Lyonnais. En 2008, il a signé son premier contrat pro avec le champion de France. Pour une dizaine d’apparitions en première équipe, entrecoupées d’un prêt d’une saison à Toulouse (16 matches en Ligue 1). En parallèle, sous le maillot des Bleus, il a disputé la finale de l’Euro M17 (défaite face à l’Espagne), puis celle de l’Euro M19 (victoire face à… l’Espagne). C’est en 2011 que les choses se sont gâtées. Lors de la préparation pour le Mondial M20, Tafer s’est blessé (à un pied). «Les médecins m’ont dit qu’il n’y avait rien de grave. J’ai donc fait le voyage en Colombie, explique-t-il. Je comptais beaucoup sur cette compétition pour me faire remarquer. J’ai serré les dents.»
Mais c’était une erreur. La fracture de fatigue diagnostiquée – plus précisément une fracture de l’os naviculaire – lui a alors valu plusieurs mois sans compétition. Une situation loin d’être idéale lorsqu’on arrive en fin de contrat.
Le joli bruit des filets
«J’étais surtout frustré de ne pouvoir être sur le terrain; ça me manquait. Cela dit, cette période creuse m’a permis de grandir. A Lyon, j’ai côtoyé des joueurs confirmés. Et je sais comment les choses se passent dans le milieu pro. Mais il a fallu faire face à une nouvelle situation.» La proposition du Lausanne-Sport est alors arrivée. «C’était du concret, dans un contexte qui me semblait favorable, avec un coach qui était lui-même un ancien attaquant. Je me suis rapidement décidé.»
Buteur en Coupe de Suisse (à Hochdorf puis à Delémont), Tafer a également inscrit le 2-0 face à Thoune, à la conclusion d’un centre de Chakhsi. «Cela fait du bien d’entendre le bruit des filets», assure-t-il en souriant. Le jeune homme possède une magnifique patte gauche que notre championnat devrait bientôt découvrir avec davantage de constance. Mais sur quelle position précisément? «J’ai été formé en numéro 9 et je préfère jouer dans l’axe. Mais j’aime participer au jeu et je suis également capable de prendre la profondeur.»
Yannis Tafer n’est sûrement pas un monstre de puissance. S’il s’est étoffé sur le plan athlétique, il privilégie toujours l’esprit de finesse. On a d’ailleurs le sentiment que cette question l’agace un peu. «Je connais quelques gars plutôt frêles qui, en Espagne, forment la meilleure équipe du monde, fait-il remarquer. Il n’est pas nécessaire d’être une boule de muscles ou un top-modèle. L’essentiel, c’est d’être un bon joueur de foot. Après, ça se passe dans la tête, dans l’envie qu’on a de faire les efforts nécessaires.»
On l’a déjà dit dans ces colonnes, le LS de cette fin 2012 est en progrès. «C’est vrai, dans le contenu, on n’est pas mal. Plus costauds sur le plan défensif, il faut qu’on se montre à l’avenir plus efficaces devant.» Un chantier que l’entraîneur Laurent Roussey a mis en route avec plus d’insistance depuis quelques semaines. Et qui devrait permettre à l’équipe de revoir ses objectifs à la hausse. «Si on parvenait à atteindre la trêve hivernale avec une 5e place, remarque Tafer, tout en ayant un quart de finale de la Coupe agendé au printemps, ça nous donnerait beaucoup de force pour 2013.»
François Ruffieux
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/martin-rueda-monsieur-kever-s-montre-irrespectueux/story/22469462?comments=1
auf wiedersehen looser !
auf wiedersehen looser !
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://blog.tagesanzeiger.ch/steilpass/index.php/6137/uberholt-von-den-kirchenmausen/
Traduction du titre: dépassé par des rats d'église... (les rats c'est nous :-))
Critique des grands budgets (YB, FCZ) qui sont derrière les petits budgets (GC,SG,LS) au classement.
Traduction du titre: dépassé par des rats d'église... (les rats c'est nous :-))
Critique des grands budgets (YB, FCZ) qui sont derrière les petits budgets (GC,SG,LS) au classement.
Clash- Date d'inscription : 11/09/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Vu que une nouvelle fois les reflets montres aux Sports étaient des plus maigres, a voir le condense de 5 min sur SF.TV
http://www.sport.sf.tv/Nachrichten/Archiv/2012/11/25/Fussball/YB-zeigt-bei-Lausanne-wieder-sein-Super-League-Gesicht#video
http://www.sport.sf.tv/Nachrichten/Archiv/2012/11/25/Fussball/YB-zeigt-bei-Lausanne-wieder-sein-Super-League-Gesicht#video
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/la-pontaise-nest-pas-anfield/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Page 25 sur 40 • 1 ... 14 ... 24, 25, 26 ... 32 ... 40
Sujets similaires
» Les articles de presse (pas de commentaire !)
» Les articles de presse (pas de commentaire !)
» Les articles de presse (commentaires autorisés)
» Vos commentaires sur les articles de presse
» Vos commentaires sur les articles de presse
» Les articles de presse (pas de commentaire !)
» Les articles de presse (commentaires autorisés)
» Vos commentaires sur les articles de presse
» Vos commentaires sur les articles de presse
Page 25 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum