Les articles de presse (pas de commentaire !)
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Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.24heures.ch/sports/ls/mickael-facchinetti-ls-zurich-gagner/story/29135267
Qwertz- Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Landry Chauvin a convoqué un groupe de dix-huit joueurs pour le déplacement à Nancy, samedi, lors de la 1re journée du Championnat de France de Ligue 1. Bernard Mendy, Geoffrey Dernis et Kamel Chafni, recrues estivales, devraient disputer leur premier match sous le maillot breton. Benoît Lesoimier, blessé, est en revanche forfait. (Photo Presse-Sports)
Le groupe brestois : Thébaux, Hartock - Mendy, Lorenzi, Makonda, Baysse, Kantari, Martial - Culma, Grougi, Licka, Soumah, Khaled, Dernis, Sissoko, Chafni - Ben Basat, Benschop.
Le groupe brestois : Thébaux, Hartock - Mendy, Lorenzi, Makonda, Baysse, Kantari, Martial - Culma, Grougi, Licka, Soumah, Khaled, Dernis, Sissoko, Chafni - Ben Basat, Benschop.
TKP- Date d'inscription : 26/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/sebastien-meoli--encore-blesse/story/24737722
http://www.lematin.ch/sports/football/regrets/story/15752293
http://www.lematin.ch/sports/football/regrets/story/15752293
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le Temps samedi11 août 2012
Quand Roussey retrouve Sion
Par Propos recueillis par Simon Meier
Trois mois après, le Français reçoit son ancienne équipe. Avec Lausanne, il aimerait aller loin, malgré le budget limité du club
Le Temps: Ce match contre Sion ne saurait être comme les autres…
Laurent Roussey: Il ne peut pas l’être parce que j’ai passé quatorze mois dans un club où j’ai eu beaucoup de satisfactions, un club particulier.
– Quel sentiment prédomine?
– Ce que j’ai vécu avec Christian [Constantin] et le FC Sion, je le garde profondément ancré. Maintenant, je suis l’entraîneur du Lausanne-Sport et, au-delà de cette rencontre contre Sion, on se doit une revanche à nous-mêmes après le 4-0 cinglant à Zurich. Entre notre performance contre Servette [victoire 5-1] et celle-ci, il y a eu un tel écart que ce n’est pas évident de trouver des explications, de savoir pourquoi on n’a pas combattu.
– Avec Sion, la fin a été douloureuse, non?
– Oui, mais comme en amour, c’est toujours moins douloureux quand on a choisi, quand on prend la décision soi-même d’annoncer la rupture.
– Etes-vous parti parce que vous saviez que vous alliez vous faire larguer?
– Pas du tout. Je suis parti parce que j’ai découvert l’attitude de Christian, celle dont on m’a parlé quand je suis arrivé et que je n’avais pas vue pendant plus d’un an. Pendant plus de 400 jours, je n’ai eu aucun souci avec lui. C’est ce que je lui ai dit quand on s’est quitté et qu’il a voulu savoir: «Ecoute, j’étais
en train de découvrir le
Christian que je ne voulais pas connaître.»
– Quel est-il?
– C’est certainement la demi-finale de Coupe perdue contre Lucerne qui a déclenché les choses, parce que la qualification européenne était un objectif important pour lui. Ensuite, quoi qu’on en dise, je pense qu’il avait peur de jouer ce barrage. J’ai senti qu’on n’était plus dans une logique de construction, qu’on était passé à une phase de destruction. Et je trouve que, par rapport à tout ce que nous avions vécu, les joueurs ne méritaient pas ça. Pour moi, il n’y avait aucun doute à avoir avant ce barrage. Or ce n’est pas la direction qu’on prenait. J’étais là pour construire et gagner, non pas pour avoir peur et perdre. Là, la peur entrait dans le club. Donc j’ai laissé la place, tout en sachant que je le faisais avec regret parce que le FC Sion, de par l’atmosphère qu’il y a autour, mérite d’être champion de Suisse.
– Vos regrets sont-ils accentués par le fait que les Valaisans, avec Gattuso, semblent armés pour atteindre l’objectif cette saison?
– Oui et non. Quand on fait un choix, il faut l’assumer, donc je l’assume. Maintenant, je vois la façon dont Christian a construit son équipe. Il a bien compris, au cours de nos discussions, qu’il fallait un leader important et une doublette d’attaquants qui te font gagner des matches.
– Donc si Sion est champion, ce sera grâce à vous?
– Non. Christian a son idée du football, mais je dois reconnaître qu’il est à l’écoute. De nos échanges sont sorties des choses et j’ai presque envie de dire que ce qui arrive maintenant était programmé. Pour nous.
– «Je veux rester un homme libre», avez-vous dit en partant…
– (Il interrompt) Tout à fait, libre de mes choix, avec les conséquences que cela peut avoir.
– Est-ce possible quand on entraîne Sion?
– Je crois que c’est très difficile de l’être dans le football.
– Et à la Pontaise?
– Je le suis aujourd’hui et, si je devais ne plus l’être demain, je prendrais la même décision.
– Lausanne, avec des moyens financiers limités et après une saison dernière compliquée, vise d’abord le maintien en Super League. Ça vous frustre, ça vous agace?
– Oui, ça me frustre et ça m’agace. Je peux l’accepter au départ. Mais le travail, l’investissement, l’exigence peuvent nous permettre de passer à davantage d’ambition. On est 11 contre 11, à nous de faire des progrès tactiquement, de nous montrer plus conquérants. C’est ce que je dis à mes joueurs: si on n’a pas la volonté de progresser, quel que soit l’âge que l’on a, on régresse. Il y a deux aspects. Le ponctuel, que vous venez de définir. Et puis il y a le passé du club, qui a gagné des titres. On m’a parlé d’une équipe qui a joué devant 30 000 personnes. C’est une ville, un canton riche en termes d’entreprises. Il faut rétablir des énergies, des synergies. J’ai signé un an, mais pour moi c’est dix ans. Le président Collet travaille, il peut se passer des choses. On doit fédérer pour faire en sorte que le LS rejoue le titre. Pour moi, la route s’inscrit dans cette idée-là.
– Vous êtes gentiment installé dans cette Super League.
Avez-vous peur de vous y
enterrer?
– Quand je fais, je fais à fond, avec des objectifs élevés. Tout entraîneur a envie de coacher Barcelone ou le Real Madrid. Je ne sais pas ce qui viendra après. Je peux retourner en France, aller dans un club suisse alémanique… Si je m’enterre? Mon histoire, je l’écris au quotidien. Aujourd’hui, c’est à Lausanne. Là aussi, c’est un choix, avec ses conséquences.
– En aviez-vous d’autres?
– J’en avais un autre, oui.
– Lequel?
– Brest, pour ne pas le nommer. Peut-être que si j’avais attendu, je serais là-bas. Mais on me demandait de patienter et, à un moment donné, je devais décider, aussi par respect envers Lausanne.
– Si vous deviez choisir entre vos convictions intimes et un contrat à Barcelone, mettriez-vous de l’eau dans votre vin?
– Non, je pense que je choisirais mes convictions. La manière dont je juge la réussite est trop importante pour moi. Dans le football et la société, on verra que les gens de conviction iront au bout de leurs idées.
– Quand on a foi en l’être humain, ce qui semble être votre cas, comment supporte-t-on le monde du football professionnel?
– Il n’y a pas de gymnastique à faire. Simplement, il faut croire que les choses vont changer.
– Y croyez-vous?
– Oui. Pour l’instant, je ne me décourage pas. Je sais qu’il y aura encore des changements et, dans le domaine du sport, ça va changer aussi. La crise fait qu’on s’aperçoit qu’on ne pourra plus continuer à faire n’importe quoi. On va revenir à d’autres valeurs.
– Pendant ce temps-là, les Qataris investissent des centaines de millions à Paris. Croyez-vous au fair-play financier prôné par votre ami Michel Platini?
– Les Qataris étaient aussi à Malaga et là, ils s’en vont, ils revendent. Le fair-play financier, je pense qu’on y arrivera. Pas forcément de manière volontaire, mais par nécessité.
Quand Roussey retrouve Sion
Par Propos recueillis par Simon Meier
Trois mois après, le Français reçoit son ancienne équipe. Avec Lausanne, il aimerait aller loin, malgré le budget limité du club
Le Temps: Ce match contre Sion ne saurait être comme les autres…
Laurent Roussey: Il ne peut pas l’être parce que j’ai passé quatorze mois dans un club où j’ai eu beaucoup de satisfactions, un club particulier.
– Quel sentiment prédomine?
– Ce que j’ai vécu avec Christian [Constantin] et le FC Sion, je le garde profondément ancré. Maintenant, je suis l’entraîneur du Lausanne-Sport et, au-delà de cette rencontre contre Sion, on se doit une revanche à nous-mêmes après le 4-0 cinglant à Zurich. Entre notre performance contre Servette [victoire 5-1] et celle-ci, il y a eu un tel écart que ce n’est pas évident de trouver des explications, de savoir pourquoi on n’a pas combattu.
– Avec Sion, la fin a été douloureuse, non?
– Oui, mais comme en amour, c’est toujours moins douloureux quand on a choisi, quand on prend la décision soi-même d’annoncer la rupture.
– Etes-vous parti parce que vous saviez que vous alliez vous faire larguer?
– Pas du tout. Je suis parti parce que j’ai découvert l’attitude de Christian, celle dont on m’a parlé quand je suis arrivé et que je n’avais pas vue pendant plus d’un an. Pendant plus de 400 jours, je n’ai eu aucun souci avec lui. C’est ce que je lui ai dit quand on s’est quitté et qu’il a voulu savoir: «Ecoute, j’étais
en train de découvrir le
Christian que je ne voulais pas connaître.»
– Quel est-il?
– C’est certainement la demi-finale de Coupe perdue contre Lucerne qui a déclenché les choses, parce que la qualification européenne était un objectif important pour lui. Ensuite, quoi qu’on en dise, je pense qu’il avait peur de jouer ce barrage. J’ai senti qu’on n’était plus dans une logique de construction, qu’on était passé à une phase de destruction. Et je trouve que, par rapport à tout ce que nous avions vécu, les joueurs ne méritaient pas ça. Pour moi, il n’y avait aucun doute à avoir avant ce barrage. Or ce n’est pas la direction qu’on prenait. J’étais là pour construire et gagner, non pas pour avoir peur et perdre. Là, la peur entrait dans le club. Donc j’ai laissé la place, tout en sachant que je le faisais avec regret parce que le FC Sion, de par l’atmosphère qu’il y a autour, mérite d’être champion de Suisse.
– Vos regrets sont-ils accentués par le fait que les Valaisans, avec Gattuso, semblent armés pour atteindre l’objectif cette saison?
– Oui et non. Quand on fait un choix, il faut l’assumer, donc je l’assume. Maintenant, je vois la façon dont Christian a construit son équipe. Il a bien compris, au cours de nos discussions, qu’il fallait un leader important et une doublette d’attaquants qui te font gagner des matches.
– Donc si Sion est champion, ce sera grâce à vous?
– Non. Christian a son idée du football, mais je dois reconnaître qu’il est à l’écoute. De nos échanges sont sorties des choses et j’ai presque envie de dire que ce qui arrive maintenant était programmé. Pour nous.
– «Je veux rester un homme libre», avez-vous dit en partant…
– (Il interrompt) Tout à fait, libre de mes choix, avec les conséquences que cela peut avoir.
– Est-ce possible quand on entraîne Sion?
– Je crois que c’est très difficile de l’être dans le football.
– Et à la Pontaise?
– Je le suis aujourd’hui et, si je devais ne plus l’être demain, je prendrais la même décision.
– Lausanne, avec des moyens financiers limités et après une saison dernière compliquée, vise d’abord le maintien en Super League. Ça vous frustre, ça vous agace?
– Oui, ça me frustre et ça m’agace. Je peux l’accepter au départ. Mais le travail, l’investissement, l’exigence peuvent nous permettre de passer à davantage d’ambition. On est 11 contre 11, à nous de faire des progrès tactiquement, de nous montrer plus conquérants. C’est ce que je dis à mes joueurs: si on n’a pas la volonté de progresser, quel que soit l’âge que l’on a, on régresse. Il y a deux aspects. Le ponctuel, que vous venez de définir. Et puis il y a le passé du club, qui a gagné des titres. On m’a parlé d’une équipe qui a joué devant 30 000 personnes. C’est une ville, un canton riche en termes d’entreprises. Il faut rétablir des énergies, des synergies. J’ai signé un an, mais pour moi c’est dix ans. Le président Collet travaille, il peut se passer des choses. On doit fédérer pour faire en sorte que le LS rejoue le titre. Pour moi, la route s’inscrit dans cette idée-là.
– Vous êtes gentiment installé dans cette Super League.
Avez-vous peur de vous y
enterrer?
– Quand je fais, je fais à fond, avec des objectifs élevés. Tout entraîneur a envie de coacher Barcelone ou le Real Madrid. Je ne sais pas ce qui viendra après. Je peux retourner en France, aller dans un club suisse alémanique… Si je m’enterre? Mon histoire, je l’écris au quotidien. Aujourd’hui, c’est à Lausanne. Là aussi, c’est un choix, avec ses conséquences.
– En aviez-vous d’autres?
– J’en avais un autre, oui.
– Lequel?
– Brest, pour ne pas le nommer. Peut-être que si j’avais attendu, je serais là-bas. Mais on me demandait de patienter et, à un moment donné, je devais décider, aussi par respect envers Lausanne.
– Si vous deviez choisir entre vos convictions intimes et un contrat à Barcelone, mettriez-vous de l’eau dans votre vin?
– Non, je pense que je choisirais mes convictions. La manière dont je juge la réussite est trop importante pour moi. Dans le football et la société, on verra que les gens de conviction iront au bout de leurs idées.
– Quand on a foi en l’être humain, ce qui semble être votre cas, comment supporte-t-on le monde du football professionnel?
– Il n’y a pas de gymnastique à faire. Simplement, il faut croire que les choses vont changer.
– Y croyez-vous?
– Oui. Pour l’instant, je ne me décourage pas. Je sais qu’il y aura encore des changements et, dans le domaine du sport, ça va changer aussi. La crise fait qu’on s’aperçoit qu’on ne pourra plus continuer à faire n’importe quoi. On va revenir à d’autres valeurs.
– Pendant ce temps-là, les Qataris investissent des centaines de millions à Paris. Croyez-vous au fair-play financier prôné par votre ami Michel Platini?
– Les Qataris étaient aussi à Malaga et là, ils s’en vont, ils revendent. Le fair-play financier, je pense qu’on y arrivera. Pas forcément de manière volontaire, mais par nécessité.
El Lutin- Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/sion-profite-desormais-arbitrage-leader/story/20888065
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Article 24 h papier complet
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Un pâle Sion place le LS face à ses responsabilités
A nouveau battus, les Vaudois se doivent de réagir. En recrutant aussi deux vrais renforts
Cette saison, les cadeaux ne tomberont plus du ciel. Aucun club ne fera faillite et aucun autre ne verra son capital amputé d’une trentaine de points. Si le LS veut prolonger son aventure en Super League, il ne devra compter que sur ses propres qualités.
La troisième défaite – en cinq matches seulement – concédée samedi contre Sion présente au moins l’avantage de placer le club et l’équipe face à leurs responsabilités. Avec quatre petites unités à son compteur, Lausanne a manqué son départ. Mais sans rien compromettre encore. A condition de réagir. A tous les niveaux. Le profil bas adopté par Sébastien Fournier, l’entraîneur sédunois, au terme du derby («On a eu la baraka du leader») ne doit pas fausser la réalité. S’il est clair que ce LS généreux et courageux ne méritait pas de s’incliner contre un FC Sion hyperréaliste (deux buts pour autant d’occasions), les lacunes lausannoises sont une nouvelle fois apparues de façon trop nette pour les ignorer. Malgré l’optimisme de Matt Moussilou: «Les opportunités étaient là mais nous avons manqué d’efficacité. En ce qui me concerne, je ne vois qu’une seule chose à faire, continuer de travailler.»
Deux renforts offensifs
Hormis «l’accident» servettien, le LS n’a en effet pas inscrit le moindre but cette saison. Un manque de réalisme récurrent. La saison passée déjà, Lausanne éprouvait toutes les peines du monde à trouver l’ouverture avec une certaine régularité. A cause, principalement, d’un cruel manque de talent. Or, à ce niveau rien n’a changé si l’on excepte l’apport intéressant de Chris Malonga. En attendant le rétablissement du jeune et prometteur Yannis Tafer - qui n’a toutefois pratiquement pas joué depuis un an –, personne n’est venu remplacer, même numériquement, les fiascos qu’ont été Lyng et Negrão. «Pour inverser la tendance il faut recruter, assure Laurent Roussey. L’effectif n’est pas complet, sur le plan offensif surtout. Seule la concurrence fait avancer, progresser et, depuis le début de la compétition, je ne dispose que de deux attaquants. En résumé, il faudrait encore deux gars au-dessus du lot à ces postes-clés.»
Un message clair qui est heureusement compris, et surtout partagé, par les décideurs de la Pontaise. «Nous savions que cette deuxième année allait être compliquée, reconnaît Alain Joseph, vice-président du LS. Raison pour laquelle nous avons choisi de faire confiance à un homme tel que Laurent Roussey. Nous allons donc essayer de le satisfaire, dans la mesure de nos moyens.» Lesquels, avec un budget global – formation comprise donc – inférieur à 7 millions, sont très éloignés de ceux de ses concurrents. «C’est pourquoi nous avons décidé qu’il était peut-être temps de prendre un petit risque financier, continue le dirigeant. Nous sommes donc prêts à nous mettre «dans le rouge» pour engager ces deux éléments offensifs nécessaires.» Soit un milieu de terrain et un attaquant. «Nous avons deux ou trois dossiers intéressants en cours, conclut-il, dont celui du Brestois Mario Licka (30 ans), même si l’affaire s’est un peu compliquée ces derniers jours.»
Manque de confiance
La volonté d’agir dans les bureaux existe mais rien ne dit que ces efforts trouveront les récompenses espérées d’ici au 31 août, date butoir pour enrôler des étrangers. Si le LS veut vivre un exercice moins agité que le précédent, il est d’abord primordial que le groupe actuel progresse. «Le manque de confiance est l’un de nos principaux soucis, souligne Roussey. On le voit d’abord dans nos entames de matches (ndlr: un but évitable concédé dans la première demi-heure de jeu lors des quatre dernières sorties) puis dans nos trop timides prises de risques.» Deux problèmes qui pourraient s’avérer rédhibitoires à Berne (YB) puis à Bâle. Le calendrier non plus ne semble pas vouloir faire le moindre cadeau au LS.
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Un pâle Sion place le LS face à ses responsabilités
A nouveau battus, les Vaudois se doivent de réagir. En recrutant aussi deux vrais renforts
Cette saison, les cadeaux ne tomberont plus du ciel. Aucun club ne fera faillite et aucun autre ne verra son capital amputé d’une trentaine de points. Si le LS veut prolonger son aventure en Super League, il ne devra compter que sur ses propres qualités.
La troisième défaite – en cinq matches seulement – concédée samedi contre Sion présente au moins l’avantage de placer le club et l’équipe face à leurs responsabilités. Avec quatre petites unités à son compteur, Lausanne a manqué son départ. Mais sans rien compromettre encore. A condition de réagir. A tous les niveaux. Le profil bas adopté par Sébastien Fournier, l’entraîneur sédunois, au terme du derby («On a eu la baraka du leader») ne doit pas fausser la réalité. S’il est clair que ce LS généreux et courageux ne méritait pas de s’incliner contre un FC Sion hyperréaliste (deux buts pour autant d’occasions), les lacunes lausannoises sont une nouvelle fois apparues de façon trop nette pour les ignorer. Malgré l’optimisme de Matt Moussilou: «Les opportunités étaient là mais nous avons manqué d’efficacité. En ce qui me concerne, je ne vois qu’une seule chose à faire, continuer de travailler.»
Deux renforts offensifs
Hormis «l’accident» servettien, le LS n’a en effet pas inscrit le moindre but cette saison. Un manque de réalisme récurrent. La saison passée déjà, Lausanne éprouvait toutes les peines du monde à trouver l’ouverture avec une certaine régularité. A cause, principalement, d’un cruel manque de talent. Or, à ce niveau rien n’a changé si l’on excepte l’apport intéressant de Chris Malonga. En attendant le rétablissement du jeune et prometteur Yannis Tafer - qui n’a toutefois pratiquement pas joué depuis un an –, personne n’est venu remplacer, même numériquement, les fiascos qu’ont été Lyng et Negrão. «Pour inverser la tendance il faut recruter, assure Laurent Roussey. L’effectif n’est pas complet, sur le plan offensif surtout. Seule la concurrence fait avancer, progresser et, depuis le début de la compétition, je ne dispose que de deux attaquants. En résumé, il faudrait encore deux gars au-dessus du lot à ces postes-clés.»
Un message clair qui est heureusement compris, et surtout partagé, par les décideurs de la Pontaise. «Nous savions que cette deuxième année allait être compliquée, reconnaît Alain Joseph, vice-président du LS. Raison pour laquelle nous avons choisi de faire confiance à un homme tel que Laurent Roussey. Nous allons donc essayer de le satisfaire, dans la mesure de nos moyens.» Lesquels, avec un budget global – formation comprise donc – inférieur à 7 millions, sont très éloignés de ceux de ses concurrents. «C’est pourquoi nous avons décidé qu’il était peut-être temps de prendre un petit risque financier, continue le dirigeant. Nous sommes donc prêts à nous mettre «dans le rouge» pour engager ces deux éléments offensifs nécessaires.» Soit un milieu de terrain et un attaquant. «Nous avons deux ou trois dossiers intéressants en cours, conclut-il, dont celui du Brestois Mario Licka (30 ans), même si l’affaire s’est un peu compliquée ces derniers jours.»
Manque de confiance
La volonté d’agir dans les bureaux existe mais rien ne dit que ces efforts trouveront les récompenses espérées d’ici au 31 août, date butoir pour enrôler des étrangers. Si le LS veut vivre un exercice moins agité que le précédent, il est d’abord primordial que le groupe actuel progresse. «Le manque de confiance est l’un de nos principaux soucis, souligne Roussey. On le voit d’abord dans nos entames de matches (ndlr: un but évitable concédé dans la première demi-heure de jeu lors des quatre dernières sorties) puis dans nos trop timides prises de risques.» Deux problèmes qui pourraient s’avérer rédhibitoires à Berne (YB) puis à Bâle. Le calendrier non plus ne semble pas vouloir faire le moindre cadeau au LS.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.24heures.ch/sports/ls/lausannesport-fan-club/story/27829135
a propos du BlueWhite
a propos du BlueWhite
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
4 commentaires....ça montre le grand intêret pour la nouvelle
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/manque-envie-mal/story/11127465
un article qui ne sert pas à grand chose....
un article qui ne sert pas à grand chose....
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2012/08/mathieu-debonnaire-quand-tas-81-minutes-de-jeu-sur-les-15-derniers-mois-ce-nest-pas-evident/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/lausanne-toujours-recherche-oiseau-rare/story/29965883
plik- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/la-ferveur-du-ls-sempare-des-rues-de-la-ville/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.bloodymonday.ch/2012/08/28/cest-une-periode-pas-evidente/
Nord's Fan- Date d'inscription : 04/05/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/Un-Ivoirien-s-engage-avec-le-Lausanne-Sport-14874329
Homer- Date d'inscription : 31/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sfl.ch/fr/Raiffeisen-Super-League/News-Super-League/Débonnaire-pourrait-aussi-marquer-en-4e-Ligue.aspx
Flee- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2012/08/guie-guie-solution-profondeur-lausanne-sport/
Leynz- Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2012/08/les-espoirs-francais-du-ls/
Leynz- Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
24 papier
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Le Lausanne-Sport reçoit «la plus belle équipe du championnat»
Séduit par le GC new-look, Laurent Roussey n’en espère pas moins une victoire du LS, ce soir à la Pontaise
Lausanne qui reçoit Grasshopper, c’est la confrontation de deux équipes qui ont surmonté une saison difficile pour se projeter dans l’exercice 2012-2013 avec de nouvelles envies, de nouveaux espoirs. Et à ce jour, il faut bien admettre que les Zurichois réussissent mieux que les Vaudois. Au bord du chaos au printemps passé, aussi bien sportif que financier, les Sauterelles restent en effet sur trois victoires consécutives pour occuper présentement le troisième rang du classement. Qui plus est en affichant d’intéressantes qualités collectives. «Sur ce que j’ai pu voir, c’est aujourd’hui la plus belle équipe du championnat», n’hésite d’ailleurs pas à dire Laurent Roussey. «GC possède des joueurs toniques, qui font beaucoup d’efforts dans les appels de balle et se projettent rapidement vers l’avant. Peu de formations possèdent une telle percussion offensive.»
Arrivé en mars à la direction du club zurichois, André Dosé – ancien patron de Swiss – a su remettre de l’ordre dans une maison alors proche de la faillite. Nouvelle direction, nouvel entraîneur (Uli Forte, 38 ans, ex-Wil puis Saint-Gall) et nouveaux patrons sur la pelouse, le travail effectué en quelques semaines a permis à l’équipe de trouver un bel élan. Sur le terrain, trois joueurs se sont imposés en patrons. Grichting (venu d’Auxerre à 33 ans, pour sa 17e saison professionnelle) et Vilotic (Etoile Rouge Belgrade) forment la charnière centrale, alors que Salatic (26 ans, revenu de Chypre et auquel le club a offert un contrat de cinq ans) assume son rôle de leader à mi-terrain. Autour d’eux, les jeunes talents suisses s’épanouissent, à l’image du bourlingueur vaudois Ben Khalifa (20 ans).
«Grasshopper a fait des transferts intelligents, souligne le milieu de terrain lausannois Nicolas Marazzi. En réglant leur problème défensif, ils ont pu laisser parler le talent offensif qu’on leur connaissait déjà. Avec cette nouvelle assise, certains joueurs se sont libérés. Cette équipe est vraiment intéressante.» Et avec elle cette affiche qui doit inciter le LS à confirmer sa bonne première mi-temps au Stade de Suisse, dimanche dernier (0-0 face à YB).
Avec Débonnaire
«Une victoire face à GC nous permettrait de passer la trêve internationale (ndlr: Lausanne jouera en Coupe de Suisse le 16 septembre à Hochdorf, mais ne jouera plus en championnat avant le 23 ) de façon sereine, souligne Roussey. Avec le retour de Tafer et de Gabri, l’arrivée des nouveaux, nous aurons alors un groupe plus complet qui nous permettra de travailler encore mieux et d’aviver la concurrence sur chaque secteur.»
Montrer son envie, imposer son jeu, et surtout marquer un ou plusieurs buts, ce qu’il n’est pas parvenu à faire très souvent jusque-là, le LS a un joli programme devant lui. «Marquer, c’est un geste, une perception, une anticipation. Les occasions sont là, mais la concrétisation fait encore défaut», constate le coach du LS, qui cherche évidemment les meilleures solutions pour y remédier. Arrivé cette semaine de Nice, Guié Guié doit y contribuer. L’Ivoirien ne jouera pas dès le coup d’envoi, mais entrera en cours de partie, c’est une certitude. Quant à la cage lausannoise, elle sera une fois de plus gardée par Débonnaire, auteur d’un excellent match à Berne.
Assana (Monaco, 19 ans) et Tapoko (Lyon, 18 ans, 194 cm, une agilité technique et «un gros moteur») viendront étoffer le groupe, le premier en ligne médiane et le second en pointe. Comme deux paris sur l’avenir. Vendredi prochain, une opposition interne permettra d’y voir un peu plus clair. En attendant, le véritable test s’appelle GC. En grandeur nature et avec pas mal d’arguments.
François Ruffieux
FOOTBALL, SUPER LEAGUE
Le Lausanne-Sport reçoit «la plus belle équipe du championnat»
Séduit par le GC new-look, Laurent Roussey n’en espère pas moins une victoire du LS, ce soir à la Pontaise
Lausanne qui reçoit Grasshopper, c’est la confrontation de deux équipes qui ont surmonté une saison difficile pour se projeter dans l’exercice 2012-2013 avec de nouvelles envies, de nouveaux espoirs. Et à ce jour, il faut bien admettre que les Zurichois réussissent mieux que les Vaudois. Au bord du chaos au printemps passé, aussi bien sportif que financier, les Sauterelles restent en effet sur trois victoires consécutives pour occuper présentement le troisième rang du classement. Qui plus est en affichant d’intéressantes qualités collectives. «Sur ce que j’ai pu voir, c’est aujourd’hui la plus belle équipe du championnat», n’hésite d’ailleurs pas à dire Laurent Roussey. «GC possède des joueurs toniques, qui font beaucoup d’efforts dans les appels de balle et se projettent rapidement vers l’avant. Peu de formations possèdent une telle percussion offensive.»
Arrivé en mars à la direction du club zurichois, André Dosé – ancien patron de Swiss – a su remettre de l’ordre dans une maison alors proche de la faillite. Nouvelle direction, nouvel entraîneur (Uli Forte, 38 ans, ex-Wil puis Saint-Gall) et nouveaux patrons sur la pelouse, le travail effectué en quelques semaines a permis à l’équipe de trouver un bel élan. Sur le terrain, trois joueurs se sont imposés en patrons. Grichting (venu d’Auxerre à 33 ans, pour sa 17e saison professionnelle) et Vilotic (Etoile Rouge Belgrade) forment la charnière centrale, alors que Salatic (26 ans, revenu de Chypre et auquel le club a offert un contrat de cinq ans) assume son rôle de leader à mi-terrain. Autour d’eux, les jeunes talents suisses s’épanouissent, à l’image du bourlingueur vaudois Ben Khalifa (20 ans).
«Grasshopper a fait des transferts intelligents, souligne le milieu de terrain lausannois Nicolas Marazzi. En réglant leur problème défensif, ils ont pu laisser parler le talent offensif qu’on leur connaissait déjà. Avec cette nouvelle assise, certains joueurs se sont libérés. Cette équipe est vraiment intéressante.» Et avec elle cette affiche qui doit inciter le LS à confirmer sa bonne première mi-temps au Stade de Suisse, dimanche dernier (0-0 face à YB).
Avec Débonnaire
«Une victoire face à GC nous permettrait de passer la trêve internationale (ndlr: Lausanne jouera en Coupe de Suisse le 16 septembre à Hochdorf, mais ne jouera plus en championnat avant le 23 ) de façon sereine, souligne Roussey. Avec le retour de Tafer et de Gabri, l’arrivée des nouveaux, nous aurons alors un groupe plus complet qui nous permettra de travailler encore mieux et d’aviver la concurrence sur chaque secteur.»
Montrer son envie, imposer son jeu, et surtout marquer un ou plusieurs buts, ce qu’il n’est pas parvenu à faire très souvent jusque-là, le LS a un joli programme devant lui. «Marquer, c’est un geste, une perception, une anticipation. Les occasions sont là, mais la concrétisation fait encore défaut», constate le coach du LS, qui cherche évidemment les meilleures solutions pour y remédier. Arrivé cette semaine de Nice, Guié Guié doit y contribuer. L’Ivoirien ne jouera pas dès le coup d’envoi, mais entrera en cours de partie, c’est une certitude. Quant à la cage lausannoise, elle sera une fois de plus gardée par Débonnaire, auteur d’un excellent match à Berne.
Assana (Monaco, 19 ans) et Tapoko (Lyon, 18 ans, 194 cm, une agilité technique et «un gros moteur») viendront étoffer le groupe, le premier en ligne médiane et le second en pointe. Comme deux paris sur l’avenir. Vendredi prochain, une opposition interne permettra d’y voir un peu plus clair. En attendant, le véritable test s’appelle GC. En grandeur nature et avec pas mal d’arguments.
François Ruffieux
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Jean-François Collet à l'interview, et il joue bien le jeu.
bloodymonday.ch /2012/09/05/il-ny-a-jamais-de-bon-divorce/
bloodymonday.ch /2012/09/05/il-ny-a-jamais-de-bon-divorce/
bloodymonday- Date d'inscription : 05/09/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le Temps
Le foot romand dans tous ses états
Cette semaine, Sion et Servette ont viré leur coach. Lausanne, quant à lui, illustre bien les difficultés du secteur.
Deux moribonds en fond de cave, à lutter pour la survie – Servette et Lausanne. Et puis le FC Sion qui vise les cimes avec ses 13 étoiles au drapeau, mais qui tremble sur ses bases à la première perturbation. Sur la carte du crampon dit d’élite, la Suisse romande ne va pas très fort. Les têtes de Sébastien Fournier et João Alves, qui ont roulé dans la sciure en Valais et à Genève durant la semaine écoulée, sont là pour en témoigner. Quand les entraîneurs sautent, c’est que le navire ne va pas droit. Budgets limités, tissus économiques renfrognés, coups de sang et noirceur ambiante… Le foot romand pourrait-il espérer mieux que ce qu’il a, ce qu’il est?
Pas forcément. «Il n’y avait pas besoin d’être devin pour savoir que Servette et Lausanne allaient avoir des difficultés, au même titre qu’un Thoune», nous dit Bernard Challandes, entraîneur dans l’Oberland bernois. «Quand on a entre 5 et 8 millions par saison alors que les autres ont au minimum le double, il n’y a pas de miracle… Si ça suffisait pour se qualifier chaque année en Europa League, les autres seraient un peu cons de mettre plus.»
Premier constat: les clubs romands, qui adoreraient mettre plus, n’ont pas les reins. «L’attachement du tissu économique est, par tradition, sans doute beaucoup plus fort en Suisse alémanique», corrobore Bernard Challandes, qui officia tour à tour à La Chaux-de-Fonds, au Locle, à Yverdon, Servette, Sion et Xamax. «Il est plus épais, surtout. Là où ils ont 100 sponsors, on en a 10 ou 12. Les autres, on ne les trouve pas parce que l’image est tellement négative que personne ne veut s’y lier.»
A Genève, où on cherche depuis mardi un entraîneur moderne, bon marché et prêt à s’engager sur le long terme, le président Quennec et son équipe ont besoin de temps pour essayer de bâtir un modèle sportivo-financier rentable; d’attiser le soutien populaire qui, sauf exception, ne décolle pas. «C’est un peu frustrant», admet le milieu servettien Lionel Pizzinat. «Les joueurs qui ne sont pas là depuis longtemps, qui ne connaissent pas Genève, se posent la question: pourquoi finir une saison en apothéose avec quasiment 20 000 personnes au stade et reprendre la saison d’après, toujours contre Bâle, avec 8000?»
Le navire grenat, encore allègre le printemps dernier, après avoir évité la banqueroute in extremis, est aujourd’hui menacé de faillite sportive. Et dans l’air, au-delà des circonstances qui défilent au gré des têtes, toujours un sentiment de gâchis. «Je continue à penser que notre équipe a les qualités pour réaliser une bonne saison», assurait Hugh Quennec juste après avoir licencié son coach. «Monsieur Alves est quelqu’un de très gentil, très respecté de tous, mais au vu de ce qui s’est passé ces dernières semaines [ndlr: huit matches, deux points et un vestiaire en crise], c’était le bon moment pour changer. Je suis triste, mais je ne voyais pas d’autre solution.» E la nave va, en espérant qu’il déniche le bon timonier.
Incompréhension, impuissance, désamour. «C’est comme dans la vie, il n’y a pas de bon divorce», glisse Jean-François Collet, président du Lausanne-Sport. Désespoir sur le foot lémanique? «La situation est un peu morose dans le sens où on se rend compte qu’en termes de ressources locales, on est quasi à notre maximum», témoigne Collet, dont l’équipe s’est sauvée la saison dernière grâce à la faillite de Xamax et aux ennuis extra-sportifs du FC Sion, et qui cette année encore devra souquer ferme afin de se maintenir en Super League – seul Servette est plus mal loti au classement. «Forcément, on s’ouvre à certains questionnements», reprend le patron du LS. «Doit-on collaborer avec d’autres? Doit-on s’ouvrir à des investisseurs étrangers, sachant qu’il faut éviter les farfelus?»
Le problème de Lausanne, outre qu’il ne marque pas de buts, c’est la Pontaise. «C’est dur d’offrir un spectacle du XXIe siècle dans un stade du XXe», dit Collet, qui estime à 4 millions par année le manque à gagner, faute d’arène adaptée aux joutes actuelles. «C’est le combat que je mène auprès des autorités. Il faut une solution pour nous donner de l’espoir, il faut qu’on nous aide à vivre. Nous n’avons pas besoin d’un symbole architectural cinq étoiles, nous avons juste besoin d’un vrai stade de foot. Maintenant, on nous parle de 2020, on verra…»
Aux antipodes du «on verra» lausannois, on trouve le «tout et tout de suite» valaisan. Le FC Sion, club de tradition porté à bout de bras par Christian Constantin, a entamé la saison tambour battant, avec son Gattuso de champion du monde. Et puis le beau chantier a volé en éclats. Une virée nocturne commise par trois andouilles avant une première défaite à Zurich, un dérapage verbal de l’entraîneur après une deuxième défaite contre Saint-Gall, et le président, coutumier du fait, qui enclenche sa tronçonneuse et engage son vieil ami Michel Decastel. «Je suis bien avec ma conscience, je vais nickel», nous a rassurés Sébastien Fournier, le coach éconduit pour avoir parlé trop haut, et qui aimerait beaucoup rebondir à Servette: «Il faudrait être fou pour ne pas être intéressé par ce poste.» Notez qu’il faut aussi être un peu cinglé pour l’accepter.
Parce que, on l’aura compris, la situation n’est pas rose. «Ce n’est pas un cliché, c’est la réalité: il faut quelques mois pour détruire ce qu’on mettra des années à reconstruire», rappelle Bernard Challandes. «Mais il faut être conscient de qui on est, ne pas avoir des attentes improbables. Comme il n’y a pas d’argent, on nous dit qu’il faut travailler avec les jeunes et en même temps, on veut des résultats tout de suite. Le public, les sponsors veulent du spectacle, des résultats… Mais il y a une réalité derrière, dont il faut tenir compte.»
Donc, sauf miracle ou sauf accès de fièvre payant de monsieur Constantin, le football romand est condamné à végéter? «Il faut se battre, réapprendre à vivre en équipe, avoir un esprit constructif et rester calme quand ça va moins bien, ce qui n’est malheureusement pas dans l’air du temps», contre-attaque Challandes. «Il faut s’accrocher, faire le gros dos, prendre quelques baffes et survivre.» Le foot romand, quoi.
Simon Meier
Le foot romand dans tous ses états
Cette semaine, Sion et Servette ont viré leur coach. Lausanne, quant à lui, illustre bien les difficultés du secteur.
Deux moribonds en fond de cave, à lutter pour la survie – Servette et Lausanne. Et puis le FC Sion qui vise les cimes avec ses 13 étoiles au drapeau, mais qui tremble sur ses bases à la première perturbation. Sur la carte du crampon dit d’élite, la Suisse romande ne va pas très fort. Les têtes de Sébastien Fournier et João Alves, qui ont roulé dans la sciure en Valais et à Genève durant la semaine écoulée, sont là pour en témoigner. Quand les entraîneurs sautent, c’est que le navire ne va pas droit. Budgets limités, tissus économiques renfrognés, coups de sang et noirceur ambiante… Le foot romand pourrait-il espérer mieux que ce qu’il a, ce qu’il est?
Pas forcément. «Il n’y avait pas besoin d’être devin pour savoir que Servette et Lausanne allaient avoir des difficultés, au même titre qu’un Thoune», nous dit Bernard Challandes, entraîneur dans l’Oberland bernois. «Quand on a entre 5 et 8 millions par saison alors que les autres ont au minimum le double, il n’y a pas de miracle… Si ça suffisait pour se qualifier chaque année en Europa League, les autres seraient un peu cons de mettre plus.»
Premier constat: les clubs romands, qui adoreraient mettre plus, n’ont pas les reins. «L’attachement du tissu économique est, par tradition, sans doute beaucoup plus fort en Suisse alémanique», corrobore Bernard Challandes, qui officia tour à tour à La Chaux-de-Fonds, au Locle, à Yverdon, Servette, Sion et Xamax. «Il est plus épais, surtout. Là où ils ont 100 sponsors, on en a 10 ou 12. Les autres, on ne les trouve pas parce que l’image est tellement négative que personne ne veut s’y lier.»
A Genève, où on cherche depuis mardi un entraîneur moderne, bon marché et prêt à s’engager sur le long terme, le président Quennec et son équipe ont besoin de temps pour essayer de bâtir un modèle sportivo-financier rentable; d’attiser le soutien populaire qui, sauf exception, ne décolle pas. «C’est un peu frustrant», admet le milieu servettien Lionel Pizzinat. «Les joueurs qui ne sont pas là depuis longtemps, qui ne connaissent pas Genève, se posent la question: pourquoi finir une saison en apothéose avec quasiment 20 000 personnes au stade et reprendre la saison d’après, toujours contre Bâle, avec 8000?»
Le navire grenat, encore allègre le printemps dernier, après avoir évité la banqueroute in extremis, est aujourd’hui menacé de faillite sportive. Et dans l’air, au-delà des circonstances qui défilent au gré des têtes, toujours un sentiment de gâchis. «Je continue à penser que notre équipe a les qualités pour réaliser une bonne saison», assurait Hugh Quennec juste après avoir licencié son coach. «Monsieur Alves est quelqu’un de très gentil, très respecté de tous, mais au vu de ce qui s’est passé ces dernières semaines [ndlr: huit matches, deux points et un vestiaire en crise], c’était le bon moment pour changer. Je suis triste, mais je ne voyais pas d’autre solution.» E la nave va, en espérant qu’il déniche le bon timonier.
Incompréhension, impuissance, désamour. «C’est comme dans la vie, il n’y a pas de bon divorce», glisse Jean-François Collet, président du Lausanne-Sport. Désespoir sur le foot lémanique? «La situation est un peu morose dans le sens où on se rend compte qu’en termes de ressources locales, on est quasi à notre maximum», témoigne Collet, dont l’équipe s’est sauvée la saison dernière grâce à la faillite de Xamax et aux ennuis extra-sportifs du FC Sion, et qui cette année encore devra souquer ferme afin de se maintenir en Super League – seul Servette est plus mal loti au classement. «Forcément, on s’ouvre à certains questionnements», reprend le patron du LS. «Doit-on collaborer avec d’autres? Doit-on s’ouvrir à des investisseurs étrangers, sachant qu’il faut éviter les farfelus?»
Le problème de Lausanne, outre qu’il ne marque pas de buts, c’est la Pontaise. «C’est dur d’offrir un spectacle du XXIe siècle dans un stade du XXe», dit Collet, qui estime à 4 millions par année le manque à gagner, faute d’arène adaptée aux joutes actuelles. «C’est le combat que je mène auprès des autorités. Il faut une solution pour nous donner de l’espoir, il faut qu’on nous aide à vivre. Nous n’avons pas besoin d’un symbole architectural cinq étoiles, nous avons juste besoin d’un vrai stade de foot. Maintenant, on nous parle de 2020, on verra…»
Aux antipodes du «on verra» lausannois, on trouve le «tout et tout de suite» valaisan. Le FC Sion, club de tradition porté à bout de bras par Christian Constantin, a entamé la saison tambour battant, avec son Gattuso de champion du monde. Et puis le beau chantier a volé en éclats. Une virée nocturne commise par trois andouilles avant une première défaite à Zurich, un dérapage verbal de l’entraîneur après une deuxième défaite contre Saint-Gall, et le président, coutumier du fait, qui enclenche sa tronçonneuse et engage son vieil ami Michel Decastel. «Je suis bien avec ma conscience, je vais nickel», nous a rassurés Sébastien Fournier, le coach éconduit pour avoir parlé trop haut, et qui aimerait beaucoup rebondir à Servette: «Il faudrait être fou pour ne pas être intéressé par ce poste.» Notez qu’il faut aussi être un peu cinglé pour l’accepter.
Parce que, on l’aura compris, la situation n’est pas rose. «Ce n’est pas un cliché, c’est la réalité: il faut quelques mois pour détruire ce qu’on mettra des années à reconstruire», rappelle Bernard Challandes. «Mais il faut être conscient de qui on est, ne pas avoir des attentes improbables. Comme il n’y a pas d’argent, on nous dit qu’il faut travailler avec les jeunes et en même temps, on veut des résultats tout de suite. Le public, les sponsors veulent du spectacle, des résultats… Mais il y a une réalité derrière, dont il faut tenir compte.»
Donc, sauf miracle ou sauf accès de fièvre payant de monsieur Constantin, le football romand est condamné à végéter? «Il faut se battre, réapprendre à vivre en équipe, avoir un esprit constructif et rester calme quand ça va moins bien, ce qui n’est malheureusement pas dans l’air du temps», contre-attaque Challandes. «Il faut s’accrocher, faire le gros dos, prendre quelques baffes et survivre.» Le foot romand, quoi.
Simon Meier
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2012/09/mickael-facchinetti-force-travail-chance-tourner/
Leynz- Date d'inscription : 31/01/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/red-shoes-a-frappe/
http://www.lematin.ch/sports/football/ciel-ls-s-eclaircit/story/24292607
http://www.lematin.ch/sports/football/ciel-ls-s-eclaircit/story/24292607
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
24h papier. Go Roussey!
FOOTBALL
«Le LS a sa place en Super League, même un peu plus»
Laurent Roussey revient sur le premier tour de son équipe avant le match contre Servette demain à la Praille
«C’était le premier match depuis la fin du mercato (ndlr: période de transferts ). Le groupe s’est étoffé, la concurrence s’est accrue. Une prise de conscience s’est faite. Le groupe s’investit davantage à l’entraînement. Je pense qu’on a remis beaucoup de joueurs au travail». Hier matin, alors qu’une pluie soutenue accompagnait l’équipe au décrassage, Laurent Roussey ne cachait pas une satisfaction légitime. Certes, tout n’avait pas été parfait contre Lucerne. On pense notamment à une entame de match hésitante, puis à une incroyable série d’occasions nettes non transformées en buts. Mais il y avait la victoire (1-0), très importante, assortie de la bonne impression laissée sur le plan collectif, dans une organisation sensiblement différente.
Par rapport au match de championnat précédent (défaite 2-0 face à Grasshopper), l’entraîneur du LS avait en effet opéré pas moins de cinq changements dans le onze de départ, titularisant Favre dans les buts, Chakhsi au poste de latéral droit, Gabri et Khelifi à mi-terrain, ainsi que l’Ivoirien Guié Guié en pointe. Dans cette nouvelle configuration, avec le trio Marazzi-Rodrigo-Gabri au coeur du dispositif, le jeu privilégiait la qualité et non la vitesse. «C’est effectivement un choix technique plutôt qu’une solution de combat ou de rupture, confirmait Roussey. Il revenait à Khelifi, Malonga et Guié Guié d’amener vitesse et percussion».
Ce qui a été fait, avec un résultat final qui aurait pu être plus large. Sorti à la mi-temps par précaution, en raison d’un souci musculaire, Guié Guié a été l’une des satisfactions de l’après-midi. «Il nous amène de la puissance, de la vitesse, il se démarque bien et peut aussi jouer en remise. Sa présence va nous apporter beaucoup».
Tall forfait
Quant à Khelifi – qui a disputé l’intégralité de la rencontre –, il a également plu au coach. «Il doit avoir confiance en lui. Le bon match qu’il a livré aurait pu devenir exceptionnel s’il avait marqué. Les statistiques, c’est important, surtout pour un joueur offensif. Il va devoir aussi muscler son jeu».
Sans faire l’inventaire du contingent, on signalera encore que Tall, déjà forfait dimanche, sera encore absent pour environ trois semaines. Le défenseur central franco-sénégalais a passé une IRM qui a révélé une déchirure aux adducteurs. Meoli, qui revient de blessure et a disputé plusieurs matches avec les M21, pourrait entrer en ligne de compte cette semaine, avec le double rendez-vous de Servette (demain soir à Genève, 19h45) puis Bâle (samedi à la Pontaise, 19h45).
Drôle de statistique
Au terme du premier des quatre tours de cette saison 2012/13, le bilan du LS paraît un peu paradoxal, avec un 8e rang tout à fait honorable, mais sept matches sur neuf durant lesquels l’équipe n’a pas inscrit le moindre but. Drôle de statistique en vérité!
«C’est vrai, admet Laurent Roussey. Mais au-delà des chiffres, ce que je remarque surtout, c’est qu’aucune équipe ne nous a été vraiment supérieure. Le LS a sa place en Super League, et même un peu plus que ça. Mais je sens que le passé pèse encore sur le groupe. A cet égard, plus nous laisserons la dernière place loin derrière et mieux l’équipe pourra travailler. Nous avons du potentiel. Ce premier tour, je le résumerais donc ainsi: Lausanne peut mieux faire».
François Ruffieux
FOOTBALL
«Le LS a sa place en Super League, même un peu plus»
Laurent Roussey revient sur le premier tour de son équipe avant le match contre Servette demain à la Praille
«C’était le premier match depuis la fin du mercato (ndlr: période de transferts ). Le groupe s’est étoffé, la concurrence s’est accrue. Une prise de conscience s’est faite. Le groupe s’investit davantage à l’entraînement. Je pense qu’on a remis beaucoup de joueurs au travail». Hier matin, alors qu’une pluie soutenue accompagnait l’équipe au décrassage, Laurent Roussey ne cachait pas une satisfaction légitime. Certes, tout n’avait pas été parfait contre Lucerne. On pense notamment à une entame de match hésitante, puis à une incroyable série d’occasions nettes non transformées en buts. Mais il y avait la victoire (1-0), très importante, assortie de la bonne impression laissée sur le plan collectif, dans une organisation sensiblement différente.
Par rapport au match de championnat précédent (défaite 2-0 face à Grasshopper), l’entraîneur du LS avait en effet opéré pas moins de cinq changements dans le onze de départ, titularisant Favre dans les buts, Chakhsi au poste de latéral droit, Gabri et Khelifi à mi-terrain, ainsi que l’Ivoirien Guié Guié en pointe. Dans cette nouvelle configuration, avec le trio Marazzi-Rodrigo-Gabri au coeur du dispositif, le jeu privilégiait la qualité et non la vitesse. «C’est effectivement un choix technique plutôt qu’une solution de combat ou de rupture, confirmait Roussey. Il revenait à Khelifi, Malonga et Guié Guié d’amener vitesse et percussion».
Ce qui a été fait, avec un résultat final qui aurait pu être plus large. Sorti à la mi-temps par précaution, en raison d’un souci musculaire, Guié Guié a été l’une des satisfactions de l’après-midi. «Il nous amène de la puissance, de la vitesse, il se démarque bien et peut aussi jouer en remise. Sa présence va nous apporter beaucoup».
Tall forfait
Quant à Khelifi – qui a disputé l’intégralité de la rencontre –, il a également plu au coach. «Il doit avoir confiance en lui. Le bon match qu’il a livré aurait pu devenir exceptionnel s’il avait marqué. Les statistiques, c’est important, surtout pour un joueur offensif. Il va devoir aussi muscler son jeu».
Sans faire l’inventaire du contingent, on signalera encore que Tall, déjà forfait dimanche, sera encore absent pour environ trois semaines. Le défenseur central franco-sénégalais a passé une IRM qui a révélé une déchirure aux adducteurs. Meoli, qui revient de blessure et a disputé plusieurs matches avec les M21, pourrait entrer en ligne de compte cette semaine, avec le double rendez-vous de Servette (demain soir à Genève, 19h45) puis Bâle (samedi à la Pontaise, 19h45).
Drôle de statistique
Au terme du premier des quatre tours de cette saison 2012/13, le bilan du LS paraît un peu paradoxal, avec un 8e rang tout à fait honorable, mais sept matches sur neuf durant lesquels l’équipe n’a pas inscrit le moindre but. Drôle de statistique en vérité!
«C’est vrai, admet Laurent Roussey. Mais au-delà des chiffres, ce que je remarque surtout, c’est qu’aucune équipe ne nous a été vraiment supérieure. Le LS a sa place en Super League, et même un peu plus que ça. Mais je sens que le passé pèse encore sur le groupe. A cet égard, plus nous laisserons la dernière place loin derrière et mieux l’équipe pourra travailler. Nous avons du potentiel. Ce premier tour, je le résumerais donc ainsi: Lausanne peut mieux faire».
François Ruffieux
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
TDG du jour a lire sur le site des EDS
http://enfantsduservette.ch/2012/09/25/a-la-veille-du-derby-lemanique-personne-nenterre-servette-tdg-25-septembre-2012/
http://enfantsduservette.ch/2012/09/25/a-la-veille-du-derby-lemanique-personne-nenterre-servette-tdg-25-septembre-2012/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Pour ceux qui sont sur FB : https://www.facebook.com/#!/sharkfootmag
Juste superbe ! :-)
Juste superbe ! :-)
Nord's Fan- Date d'inscription : 04/05/2012
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