Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.manchestereveningnews.co.uk/sport/football/football-news/worked-sir-jim-ratcliffe-ineos-28416764
Article de plusieurs pages sur l’histoire du LS version Ineos dans le tabloid de Manchester…
Article de plusieurs pages sur l’histoire du LS version Ineos dans le tabloid de Manchester…
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Intéressant, merci.Nataniel a écrit:
Les nouveaux investisseurs de Manchester United, Ineos, visent à offrir un avenir radieux aux Diables Rouges, et il y a une raison supplémentaire d’être encouragé.
L’investissement dans les jeunes talents a été la clé du succès de Manchester United et peut également générer des revenus supplémentaires.
7 plus grands ailiers de gauche depuis 2000
En 2019 et 2020, United s'est lancé dans une campagne de recrutement des meilleurs talents de toute l'Europe, en signant Alejandro Garnacho, Alvaro Fernandez, Hannibal Mejbri, Marc Jurado, Willy Kambwala et bien d'autres.
Garnacho est devenu une star de la première équipe et un international argentin valant des millions, faisant à lui seul le succès de cette stratégie. Alvaro et Hannibal viennent d'être prêtés et pourraient rapporter des frais élevés, tandis que Kambwala a récemment fait ses débuts en équipe première.
LIRE LA SUITE : Historique des transferts de Manchester United de 2013 à nos jours
Les règles du Brexit ont bloqué la campagne étrangère de United
Le 1er janvier 2021, de nouvelles règles sont entrées en vigueur en raison du Brexit, ce qui signifie que les clubs anglais ne peuvent pas recruter de joueurs non britanniques de moins de 18 ans.
Cela aurait signifié que les accords à un âge précoce pour des joueurs comme Garnacho auraient été impossibles. Le club a bien chronométré celui-là, mais combien d’autres depuis avons-nous manqué ?
Un exemple est Lucas Bergvall, qui a été jugé à Carrington et qui est désormais fortement lié à Barcelone, selon Fabrizio Romano.
United utilisait cette stratégie depuis des années, c'est ainsi que Gerard Pique, Giuseppe Rossi et Federico Macheda sont tous arrivés au club.
Ineos possède deux clubs étrangers
Tout cela prépare le terrain pour la nouvelle opportunité que l’investissement d’Ineos a apporté à Manchester United.
Ineos possède le club français de Nice et le club suisse de Lausanne, qui sont tous deux autorisés à recruter des joueurs non britanniques de moins de 18 ans.
Ils peuvent les recruter, les développer, puis les vendre à Manchester United à une date ultérieure, après avoir déjà acquis le football en équipe première.
C'est un modèle que Chelsea a adopté avec Strasbourg, et Manchester City avec Gérone et d'autres clubs partenaires.
Comme on pouvait s’y attendre, United est en retard sur ce point, même s’il avait autrefois un club nourricier au Royal Anvers au milieu des années 2000.
Aujourd’hui, Ineos modernise le club depuis longtemps, et le premier accord de ce type vient peut-être d’avoir lieu.
Lausanne signe le prodige italien Simone Pafundi
Selon Gianluca Di Marzio, l'équipe suisse de Lausanne a conclu un accord pour recruter le talent de l'Udinese Simone Pafundi.
Pafundi a signé un prêt avec Lausanne, avec surtout un droit d'achat à la fin de la saison en cours pour environ 8 millions de livres sterling.
Il s’agit d’une somme qui constituerait une signature record pour Lausanne, au moment où Ineos vient de prendre une participation dans Manchester United. Très intrigant.
Pafundi, 17 ans, est remarquablement déjà un international senior italien, appelé pour participer à un match amical contre l'Albanie, lorsqu'il est devenu le plus jeune débutant du pays en 100 ans.
été sélectionné pour les moins de 19 ans, où il a marqué quatre buts en six matchs et chez les moins de 20 ans et a également fait ses débuts en équipe première pour l'Udinese. Il compte 11 apparitions en équipe première pour son club dont 10 en Serie A.
Pafundi est un talent sérieux, capable de jouer n'importe où en attaque, il peut opérer derrière l'attaquant ou comme ailier.
Son déménagement à Lausanne est curieux, et il semble certainement qu'il pourrait simplement s'y arrêter avant de passer ultérieurement à Old Trafford.
Expliquant pourquoi il a déménagé en Suisse, Di Marzio écrit : "Simone Pafundi rejoint ainsi un club qui peut lui donner de larges opportunités et une visibilité au niveau international."
Ce genre de démarche avant-gardiste pourrait ouvrir la voie à un avenir radieux à Manchester United.
À une époque où United peut également être limité sur le marché par la conformité FFP, Lausanne ou Nice recrutant de jeunes talents peut au moins garder les Diables Rouges dans le mix, en ce qui concerne leur avenir, et constitue une évolution fascinante.
Les nouveaux investisseurs de Manchester United, Ineos, visent à offrir un avenir radieux aux Diables Rouges, et il y a une raison supplémentaire d’être encouragé.
L’investissement dans les jeunes talents a été la clé du succès de Manchester United et peut également générer des revenus supplémentaires.
Que Pafundi finisse à United ou non, attendez-vous à voir cette stratégie mise en œuvre sous Ineos dans les années à venir, et tout comme le club a décroché l’or avec Garnacho, un autre futur diamant ne sera pas loin
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Intéressant, merci aussi !LKK a écrit:https://www.manchestereveningnews.co.uk/sport/football/football-news/worked-sir-jim-ratcliffe-ineos-28416764
Article de plusieurs pages sur l’histoire du LS version Ineos dans le tabloid de Manchester…
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24h en ligne, ce jour. Florian Vaney
À la Tuilière, la reprise du LS avait un goût de pandémie
Par-delà la frustration de la défaite (1-0 face à Saint-Gall), le Lausanne-Sport s’est produit samedi devant 2100 personnes. Le genre d’épisode qui doit mener à une prise de conscience générale.
Les deux épisodes se sont produits à quelques minutes d’intervalle. À la Tuilière, le Lausanne-Sport quittait le terrain, frustré de n’avoir su ajouter un but à sa prestation de très bon niveau (défaite 1-0 contre Saint-Gall). À Korhogo, ville ivoirienne d’un demi-million d’habitants, Fousseni Diabaté entrait sur l’une des pelouses de la Coupe d’Afrique des nations. L’ailier du LS a vécu un samedi soir bien plus doux. «Son» équipe du Mali a accroché la Tunisie et se retrouve toute proche d’une qualification en huitièmes de finale de la compétition.
Entre le tableau suisse et ivoirien, il n’y avait pas qu’une quarantaine de degrés (et plusieurs milliers de spectateurs) de différence. L’attaquant malien a surtout entendu des critiques à son égard depuis son arrivée à Lausanne en septembre. Rien de très gratiné, si ce n’est que la comparaison avec Samuel Kalu, son pendant sur l’aile gauche, parle plutôt en faveur du Nigérian.
Samedi contre Saint-Gall, lorsque Lausanne passait sur la gauche, l’équipe créait, dérangeait, s’enflammait même parfois. Lorsqu’il tentait le coup par la droite occupée par Raoul Giger et Rares Ilie, il hésitait, tricotait, et souvent finissait par se perdre. De quoi regretter un absent qui s’éclate à 6000 km de là.
Si tout n’est pas dépeuplé lorsqu’un être vous manque, c’est le cas lorsque des milliers de supporters manquent à l’appel. Comme ce fut le cas samedi à la Tuilière. Par dépit, à cause d’une billetterie gelée ou d’une tribune fermée, ceux-ci ont laissé le Lausanne-Sport orphelin de son public. Une affluence de 2100 personnes a fini par être annoncée. Cela aurait pu être quatre fois moins que l’impression générale n’aurait pas bougé. Le temps d’une soirée, la Tuilière s’est rappelée au temps du Covid. Et cela ne nous avait pas manqué.
Retour au temps du Covid
Le LS payait dans ce match de reprise le prix des débordements survenus lors du dernier derby face à Servette, et des sanctions qui en ont découlé. Pendant un instant, il y avait quelque chose de savoureux à entendre distinctement les remontrances de l’arbitre, Luca Cibelli, aux joueurs, ou certains échanges entre coéquipiers. En cherchant à créer de la chaleur par leur jeu, les Lausannois ont tout tenté pour faire oublier le vide qui les entourait. Un contexte glacial qui a rapidement transformé cette rencontre en un match plus fade.
Au micro de la RTS à la pause, Vincent Steinmann admettait qu’il sortait à peine d’une discussion avec les ultras du club. Ces derniers avaient annoncé leur intention de monter à Berne samedi pour une manifestation des principaux groupes de supporters du pays à Berne. Avant de faire savoir que cette opération n’était en fait qu’un coup de bluff visant à piquer les autorités. Sans jugement ni stigmatisation, le vice-président du LS a rappelé l’évidence: «S’il n’y a pas de problèmes, il n’y a pas de sanctions.»
Si la problématique était aussi simple, le dirigeant vaudois n’aurait pas eu à prendre la parole au milieu de quatre tribunes au mieux clairsemées, au pire vides. «On doit travailler tous ensemble. Pour ramener de la pacification dans ces tribunes, pour garder une atmosphère de stade de foot. Parce qu’on le veut, on l’affirme: on a besoin d’un stade qui vibre. Si certains abonnés ne sont pas venus samedi, c’est aussi parce qu’il savait qu’il n’y aurait pas d’atmosphère autour du match. Maintenant, on doit trouver les bons réglages», a-t-il conclu. Une phrase de conclusion que ne lui aurait pas reniée son entraîneur Ludovic Magnin.
À la Tuilière, la reprise du LS avait un goût de pandémie
Par-delà la frustration de la défaite (1-0 face à Saint-Gall), le Lausanne-Sport s’est produit samedi devant 2100 personnes. Le genre d’épisode qui doit mener à une prise de conscience générale.
Les deux épisodes se sont produits à quelques minutes d’intervalle. À la Tuilière, le Lausanne-Sport quittait le terrain, frustré de n’avoir su ajouter un but à sa prestation de très bon niveau (défaite 1-0 contre Saint-Gall). À Korhogo, ville ivoirienne d’un demi-million d’habitants, Fousseni Diabaté entrait sur l’une des pelouses de la Coupe d’Afrique des nations. L’ailier du LS a vécu un samedi soir bien plus doux. «Son» équipe du Mali a accroché la Tunisie et se retrouve toute proche d’une qualification en huitièmes de finale de la compétition.
Entre le tableau suisse et ivoirien, il n’y avait pas qu’une quarantaine de degrés (et plusieurs milliers de spectateurs) de différence. L’attaquant malien a surtout entendu des critiques à son égard depuis son arrivée à Lausanne en septembre. Rien de très gratiné, si ce n’est que la comparaison avec Samuel Kalu, son pendant sur l’aile gauche, parle plutôt en faveur du Nigérian.
Samedi contre Saint-Gall, lorsque Lausanne passait sur la gauche, l’équipe créait, dérangeait, s’enflammait même parfois. Lorsqu’il tentait le coup par la droite occupée par Raoul Giger et Rares Ilie, il hésitait, tricotait, et souvent finissait par se perdre. De quoi regretter un absent qui s’éclate à 6000 km de là.
Si tout n’est pas dépeuplé lorsqu’un être vous manque, c’est le cas lorsque des milliers de supporters manquent à l’appel. Comme ce fut le cas samedi à la Tuilière. Par dépit, à cause d’une billetterie gelée ou d’une tribune fermée, ceux-ci ont laissé le Lausanne-Sport orphelin de son public. Une affluence de 2100 personnes a fini par être annoncée. Cela aurait pu être quatre fois moins que l’impression générale n’aurait pas bougé. Le temps d’une soirée, la Tuilière s’est rappelée au temps du Covid. Et cela ne nous avait pas manqué.
Retour au temps du Covid
Le LS payait dans ce match de reprise le prix des débordements survenus lors du dernier derby face à Servette, et des sanctions qui en ont découlé. Pendant un instant, il y avait quelque chose de savoureux à entendre distinctement les remontrances de l’arbitre, Luca Cibelli, aux joueurs, ou certains échanges entre coéquipiers. En cherchant à créer de la chaleur par leur jeu, les Lausannois ont tout tenté pour faire oublier le vide qui les entourait. Un contexte glacial qui a rapidement transformé cette rencontre en un match plus fade.
Au micro de la RTS à la pause, Vincent Steinmann admettait qu’il sortait à peine d’une discussion avec les ultras du club. Ces derniers avaient annoncé leur intention de monter à Berne samedi pour une manifestation des principaux groupes de supporters du pays à Berne. Avant de faire savoir que cette opération n’était en fait qu’un coup de bluff visant à piquer les autorités. Sans jugement ni stigmatisation, le vice-président du LS a rappelé l’évidence: «S’il n’y a pas de problèmes, il n’y a pas de sanctions.»
Si la problématique était aussi simple, le dirigeant vaudois n’aurait pas eu à prendre la parole au milieu de quatre tribunes au mieux clairsemées, au pire vides. «On doit travailler tous ensemble. Pour ramener de la pacification dans ces tribunes, pour garder une atmosphère de stade de foot. Parce qu’on le veut, on l’affirme: on a besoin d’un stade qui vibre. Si certains abonnés ne sont pas venus samedi, c’est aussi parce qu’il savait qu’il n’y aurait pas d’atmosphère autour du match. Maintenant, on doit trouver les bons réglages», a-t-il conclu. Une phrase de conclusion que ne lui aurait pas reniée son entraîneur Ludovic Magnin.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24h en ligne, du même Vaney
Après Lausanne – Saint-Gall
Le Lausanne-Sport doit «s’inspirer de Cyprien Sarrazin»
Très bon dans le jeu, en panne de confiance devant le but. Et si, pour résoudre son problème, le LS s’inspirait du skieur français? La piste est lancée par Ludovic Magnin.
Trois coups francs bien placés. Deux se sont envolés haut dans les airs, le dernier a heurté la base du poteau. Un face-à-face, dans lequel un Kaly Sène lancé à pleine vitesse avait l’avantage, mais qui a fait dans les bras du gardien du FC Saint-Gall. Un centre bombé au second poteau qui a ouvert grand la cage adverse à Trae Coyle, duquel l’Anglais n’a pas su profiter. Une reprise de volée assez géniale de Brighton Labeau téléguidée contre le poteau. Il faut se demander comment le Lausanne-Sport a réussi à repartir de son match de reprise samedi sans le moindre but, battu 1-0. Tout comme il faut, surtout, se réjouir d’avoir pu observer un LS aussi actif, offensif et capable d’aller vite vers le but saint-gallois.
De la voix de Ludovic Magnin jaillit un évident sentiment de fierté au moment de repenser à la verticalité dont ont su faire preuve ses protégés, à leur aisance technique pour se sortir du pressing (plus hésitant que d’habitude) des Brodeurs, aux schémas utilisés pour créer le danger. «Tellement d’aspects qu’on a travaillés à l’entraînement et qui se sont vus sur le terrain», apprécie l’entraîneur vaudois.
Mario Gomez, Miroslav Klose et… Cyprien Sarrazin
Voilà pour la fierté. À laquelle s’opposait samedi la frustration. «C’est pour ça que je déteste les statistiques: on doit être la meilleure équipe dans quasi tous les domaines sur ce match. Mais à fin, c’est Saint-Gall qui gagne.» Parce que Chadrac Akolo a su se faufiler entre Noë Dussenne et la nouvelle recrue lausannoise Gabor Szalai pour taper un coup de tête gagnant. Et parce que Lausanne n’a jamais trouvé le moyen de répondre.
«La confiance devant le but, ce n’est pas le genre de chose sur lequel l’entraînement a de l’impact. Dans ma carrière de joueur, j’ai vu ça avec Mario Gomez, avec Miroslav Klose. C’est psychologique. Ça t’échappe et, d’un coup, c’est là, devant toi.»
Ludovic Magnin a conclu son argumentation avec un parallèle tout actuel. «Prenez Cyprien Sarrazin (ndlr: le vainqueur des deux descentes de Kitzbühel). Il sort de nulle part et, un beau jour, il n’a plus qu’à pousser un coup sur ses bâtons pour mettre deux secondes à tout le monde.» De quoi songer à organiser une sortie d’équipe à skis avant le prochain match, dimanche à Lucerne?
Après Lausanne – Saint-Gall
Le Lausanne-Sport doit «s’inspirer de Cyprien Sarrazin»
Très bon dans le jeu, en panne de confiance devant le but. Et si, pour résoudre son problème, le LS s’inspirait du skieur français? La piste est lancée par Ludovic Magnin.
Trois coups francs bien placés. Deux se sont envolés haut dans les airs, le dernier a heurté la base du poteau. Un face-à-face, dans lequel un Kaly Sène lancé à pleine vitesse avait l’avantage, mais qui a fait dans les bras du gardien du FC Saint-Gall. Un centre bombé au second poteau qui a ouvert grand la cage adverse à Trae Coyle, duquel l’Anglais n’a pas su profiter. Une reprise de volée assez géniale de Brighton Labeau téléguidée contre le poteau. Il faut se demander comment le Lausanne-Sport a réussi à repartir de son match de reprise samedi sans le moindre but, battu 1-0. Tout comme il faut, surtout, se réjouir d’avoir pu observer un LS aussi actif, offensif et capable d’aller vite vers le but saint-gallois.
De la voix de Ludovic Magnin jaillit un évident sentiment de fierté au moment de repenser à la verticalité dont ont su faire preuve ses protégés, à leur aisance technique pour se sortir du pressing (plus hésitant que d’habitude) des Brodeurs, aux schémas utilisés pour créer le danger. «Tellement d’aspects qu’on a travaillés à l’entraînement et qui se sont vus sur le terrain», apprécie l’entraîneur vaudois.
Mario Gomez, Miroslav Klose et… Cyprien Sarrazin
Voilà pour la fierté. À laquelle s’opposait samedi la frustration. «C’est pour ça que je déteste les statistiques: on doit être la meilleure équipe dans quasi tous les domaines sur ce match. Mais à fin, c’est Saint-Gall qui gagne.» Parce que Chadrac Akolo a su se faufiler entre Noë Dussenne et la nouvelle recrue lausannoise Gabor Szalai pour taper un coup de tête gagnant. Et parce que Lausanne n’a jamais trouvé le moyen de répondre.
«La confiance devant le but, ce n’est pas le genre de chose sur lequel l’entraînement a de l’impact. Dans ma carrière de joueur, j’ai vu ça avec Mario Gomez, avec Miroslav Klose. C’est psychologique. Ça t’échappe et, d’un coup, c’est là, devant toi.»
Ludovic Magnin a conclu son argumentation avec un parallèle tout actuel. «Prenez Cyprien Sarrazin (ndlr: le vainqueur des deux descentes de Kitzbühel). Il sort de nulle part et, un beau jour, il n’a plus qu’à pousser un coup sur ses bâtons pour mettre deux secondes à tout le monde.» De quoi songer à organiser une sortie d’équipe à skis avant le prochain match, dimanche à Lucerne?
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Peu aidé par Nice, le LS ne rapatriera pas Baldé
Des discussions ont existé pour récupérer le Sénégalais, peu considéré à Nice. En vain. Qu’est-ce que cela dit des rapports entre Lausanne et le «Gym»? Et de sa place dans la galaxie Ineos?
Florian Vaney
Publié: 20.01.2024, 14h28
Sauf improbable retournement de situation, Aliou Baldé ne fera pas son retour à Lausanne.
Quelle nouvelle réaliste en provenance du marché des transferts pourrait faire l’unanimité auprès des supporters du Lausanne-Sport? L’annonce d’un défenseur central confirmé pour épauler le patron Noë Dussenne, sans doute. Celle d’un remplaçant à Alvyn Sanches capable de faire frissonner le public de la Tuilière, bien sûr. Mais s’il fallait articuler un nom: quelqu’un pourrait-il régater contre Aliou Baldé?
Le Sénégalais a tout pour lui. Son arrivée au LS dans l’ombre, son explosion, ses buts, ses inspirations spectaculaires jusqu’à son départ au sommet après avoir aidé le club à retrouver la Super League. L’attaquant de 21 ans coche également la case «transfert réaliste». Depuis son départ à l’OGC Nice début septembre, il n’est apparu qu’à trois reprises avec le «Gym». À chaque fois une dizaine de minutes.
Lausanne-Nice, ce n’est plus ce que c’était
Le fait est que le Lausanne-Sport a tenté de rapatrier son ancien poulain cet hiver. Nice a-t-il opposé son veto d’office? Lausanne n’a-t-il pas su se montrer assez convaincant? Le joueur lui-même ne souhaitait-il simplement pas revenir sur ses pas? Dans tous les cas, le transfert ne se fera pas. Sauf improbable retournement de situation.
La piste Baldé a chauffé, elle est désormais froide. Mais elle mène à des questions. Notamment celles entourant les rapports entre Lausannois et Niçois, tous deux sous pavillon Ineos. Il faut se souvenir d’une époque pas si lointaine durant laquelle il était parfois reproché au Lausanne-Sport d’être gouverné depuis la Côte d’Azur, mais où une collaboration existait. Et fonctionnait dans les deux sens. Des franches réussites en ont découlé (Evann Guessand), pas mal d’échecs aussi (Armel Zohouri, Brahima Ouattara). Était-ce mieux ou moins bien? Cela dépend sans doute sous quel angle on observe le problème.
La réciprocité n’existe pas
Le lien entre les deux clubs paraît plus ténu aujourd’hui. Et le dernier mouvement, celui d’Aliou Baldé, a eu le mérite de rappeler que l’OGC Nice possède une position privilégiée dans cette relation. Vu d’en haut, soit des bureaux d’Ineos, un footballeur de la galaxie qui transite de la Super League à la Ligue 1 voit «automatiquement» sa valeur quintupler. Tandis que la réciproque est moins encline à faire ses affaires, si ce n’est dans une optique de (re)lancer une carrière.
Le temps dira si l’arrivée de Manchester United dans le giron du géant de la pétrochimie, fin 2023, bouleversera le quotidien des Vaudois. Au sud de la France, les affaires ont l’air d’aller. Le dauphin du PSG vient de dépenser 12 millions d’euros pour s’attacher les services du prometteur attaquant tricolore Mohamed-Ali Cho. En plus d’obtenir le prêt du latéral du Besiktas Valentin Rosier, qu’il pourrait acquérir pour 4 millions l’été prochain et qui vient concurrencer Jordan Lotomba à son poste.
Le LS dépense aussi. Discrètement
Les sceptiques rétorqueront que ce n’est pas à Lausanne qu’Ineos dépenserait de la sorte pour renforcer une équipe 10e à la trêve, mais loin d’être larguée. Au classement et dans le jeu. Il y a sans doute une part de vérité dans la critique. Mais de la nuance à apporter.
Parce que le Lausanne-Sport se montre plutôt discret lorsqu’il communique sur ses renforts, cela ne signifie pas que le club ne dépense rien pour les enrôler. À son arrivée il y a douze mois, Aliou Baldé avait coûté une coquette somme. Sans doute qu’il en a été de même pour l’excellent Jamie Roche durant l’été, puis pour Gabor Szalai, unique recrue hivernale vaudoise jusqu’ici, il y a deux semaines. Jamais 12 millions, évidemment. Mais il faut garder à l’esprit le sens des proportions entre la Super League et la Ligue 1.
Baldé avait 20 ans à son arrivée à la Tuilière, Roche 22, Szalai 23. Cela situe la place du LS dans la galaxie Ineos, et fait comprendre à quel genre d’investissement il peut aspirer de la part de son propriétaire. Le club devrait à ce titre annoncer tout prochainement le prêt avec option d’achat du milieu de terrain Simone Pafundi, 17 ans, en provenance de l’Udinese.
C’est le genre de coup de pouce de son patron dont Lausanne aura besoin avant la clôture du mercato pour vivre un printemps agréable et tenter d’accrocher le top 6. Les perles sont rares sur le marché hivernal, ce qui n’empêche pas les bonnes surprises d’exister. En 2023, Aliou Baldé l’avait prouvé.
Des discussions ont existé pour récupérer le Sénégalais, peu considéré à Nice. En vain. Qu’est-ce que cela dit des rapports entre Lausanne et le «Gym»? Et de sa place dans la galaxie Ineos?
Florian Vaney
Publié: 20.01.2024, 14h28
Sauf improbable retournement de situation, Aliou Baldé ne fera pas son retour à Lausanne.
Quelle nouvelle réaliste en provenance du marché des transferts pourrait faire l’unanimité auprès des supporters du Lausanne-Sport? L’annonce d’un défenseur central confirmé pour épauler le patron Noë Dussenne, sans doute. Celle d’un remplaçant à Alvyn Sanches capable de faire frissonner le public de la Tuilière, bien sûr. Mais s’il fallait articuler un nom: quelqu’un pourrait-il régater contre Aliou Baldé?
Le Sénégalais a tout pour lui. Son arrivée au LS dans l’ombre, son explosion, ses buts, ses inspirations spectaculaires jusqu’à son départ au sommet après avoir aidé le club à retrouver la Super League. L’attaquant de 21 ans coche également la case «transfert réaliste». Depuis son départ à l’OGC Nice début septembre, il n’est apparu qu’à trois reprises avec le «Gym». À chaque fois une dizaine de minutes.
Lausanne-Nice, ce n’est plus ce que c’était
Le fait est que le Lausanne-Sport a tenté de rapatrier son ancien poulain cet hiver. Nice a-t-il opposé son veto d’office? Lausanne n’a-t-il pas su se montrer assez convaincant? Le joueur lui-même ne souhaitait-il simplement pas revenir sur ses pas? Dans tous les cas, le transfert ne se fera pas. Sauf improbable retournement de situation.
La piste Baldé a chauffé, elle est désormais froide. Mais elle mène à des questions. Notamment celles entourant les rapports entre Lausannois et Niçois, tous deux sous pavillon Ineos. Il faut se souvenir d’une époque pas si lointaine durant laquelle il était parfois reproché au Lausanne-Sport d’être gouverné depuis la Côte d’Azur, mais où une collaboration existait. Et fonctionnait dans les deux sens. Des franches réussites en ont découlé (Evann Guessand), pas mal d’échecs aussi (Armel Zohouri, Brahima Ouattara). Était-ce mieux ou moins bien? Cela dépend sans doute sous quel angle on observe le problème.
La réciprocité n’existe pas
Le lien entre les deux clubs paraît plus ténu aujourd’hui. Et le dernier mouvement, celui d’Aliou Baldé, a eu le mérite de rappeler que l’OGC Nice possède une position privilégiée dans cette relation. Vu d’en haut, soit des bureaux d’Ineos, un footballeur de la galaxie qui transite de la Super League à la Ligue 1 voit «automatiquement» sa valeur quintupler. Tandis que la réciproque est moins encline à faire ses affaires, si ce n’est dans une optique de (re)lancer une carrière.
Le temps dira si l’arrivée de Manchester United dans le giron du géant de la pétrochimie, fin 2023, bouleversera le quotidien des Vaudois. Au sud de la France, les affaires ont l’air d’aller. Le dauphin du PSG vient de dépenser 12 millions d’euros pour s’attacher les services du prometteur attaquant tricolore Mohamed-Ali Cho. En plus d’obtenir le prêt du latéral du Besiktas Valentin Rosier, qu’il pourrait acquérir pour 4 millions l’été prochain et qui vient concurrencer Jordan Lotomba à son poste.
Le LS dépense aussi. Discrètement
Les sceptiques rétorqueront que ce n’est pas à Lausanne qu’Ineos dépenserait de la sorte pour renforcer une équipe 10e à la trêve, mais loin d’être larguée. Au classement et dans le jeu. Il y a sans doute une part de vérité dans la critique. Mais de la nuance à apporter.
Parce que le Lausanne-Sport se montre plutôt discret lorsqu’il communique sur ses renforts, cela ne signifie pas que le club ne dépense rien pour les enrôler. À son arrivée il y a douze mois, Aliou Baldé avait coûté une coquette somme. Sans doute qu’il en a été de même pour l’excellent Jamie Roche durant l’été, puis pour Gabor Szalai, unique recrue hivernale vaudoise jusqu’ici, il y a deux semaines. Jamais 12 millions, évidemment. Mais il faut garder à l’esprit le sens des proportions entre la Super League et la Ligue 1.
Baldé avait 20 ans à son arrivée à la Tuilière, Roche 22, Szalai 23. Cela situe la place du LS dans la galaxie Ineos, et fait comprendre à quel genre d’investissement il peut aspirer de la part de son propriétaire. Le club devrait à ce titre annoncer tout prochainement le prêt avec option d’achat du milieu de terrain Simone Pafundi, 17 ans, en provenance de l’Udinese.
C’est le genre de coup de pouce de son patron dont Lausanne aura besoin avant la clôture du mercato pour vivre un printemps agréable et tenter d’accrocher le top 6. Les perles sont rares sur le marché hivernal, ce qui n’empêche pas les bonnes surprises d’exister. En 2023, Aliou Baldé l’avait prouvé.
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.unitedinfocus.com/news/ineos-strike-deal-for-wonderkid-simone-pafundi-it-could-pave-bright-future-for-manchester-united/
Interessante perspective tout a fait plausible… on va signer des joueurs etrangers de gros calibres en dessous de 18 ans (impossible de le faire pour les clubs anglais apparement du au Brexit). Puis si ils eclosent ils seront envoyés plus haut dans la pyramide.
A quelques part, c’est ce qui s’est passe avec Baldé et la ou ca coince c’est si le joueur n’est meme pas utilisé à sa nouvelle destination. Bref, tout n’est pas très bien huilé.
Ceci étant dit, je suis assez enthousiatste à l’idée d’avoir 1-2 ans de jeunes cracks chez nous si cette strategie se confirme.
Interessante perspective tout a fait plausible… on va signer des joueurs etrangers de gros calibres en dessous de 18 ans (impossible de le faire pour les clubs anglais apparement du au Brexit). Puis si ils eclosent ils seront envoyés plus haut dans la pyramide.
A quelques part, c’est ce qui s’est passe avec Baldé et la ou ca coince c’est si le joueur n’est meme pas utilisé à sa nouvelle destination. Bref, tout n’est pas très bien huilé.
Ceci étant dit, je suis assez enthousiatste à l’idée d’avoir 1-2 ans de jeunes cracks chez nous si cette strategie se confirme.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
lausarme et fatpig aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
C'est le scénario qui se dessine.
Tout va dépendre : 1-2 (très) jeunes sans passe-droit, pourquoi pas, si l'équipe fonctionne.
Si les objectifs propres du LS (par exemple un titre....) passent à l'as pour des questions de stratégie de groupe, ça risque d'être sans moi.
Tout va dépendre : 1-2 (très) jeunes sans passe-droit, pourquoi pas, si l'équipe fonctionne.
Si les objectifs propres du LS (par exemple un titre....) passent à l'as pour des questions de stratégie de groupe, ça risque d'être sans moi.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
kok9 a écrit:C'est le scénario qui se dessine.
Tout va dépendre : 1-2 (très) jeunes sans passe-droit, pourquoi pas, si l'équipe fonctionne.
Si les objectifs propres du LS (par exemple un titre....) passent à l'as pour des questions de stratégie de groupe, ça risque d'être sans moi.
Si on laisse le jeune se confirmer et exploser chez nous suffisamment de temps afin de faire le grand saut, ca pourrait jouer.
Il y a pas mal d’exemple de Bale et YB qui ont fait ca dans le passé, Mo Salah etant l’exemple le plus spectaculaire.
Dans l’histoire recente du LS ca voudrait dire etre plus patient avant d’encaisser:
- il aurait fallu garder Baldé cette saison au minimum
- il aurait fallu garder Brown egalement cette saison au minimum.
J’espere qu’il y a des gens intelligents qui gerent ce club et qu’ils auront appris.
Pour que cette stratégie fonctionne, et pour attirer les meilleures jeunes, il faut un LS solide qui joue les 3 premieres places chaque années.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
lausarme, Matt, Le Vaudois, kok9 et neLSon aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Vers une longue absence pour Cameron Puertas?
https://lematin.ch/story/football-vers-une-longue-absence-pour-cameron-puertas-278400236237
https://lematin.ch/story/football-vers-une-longue-absence-pour-cameron-puertas-278400236237
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
dudu et kok9 n'aiment pas ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.20min.ch/fr/story/football-des-supporters-zurichois-attaquent-la-police-apres-un-match-103026103
Comment les supporters bâlois ont-ils pu tomber nez à nez avec les zurichois en regoignant la gare apparemment?
Les policiers ont pris des pierres, pétards,...
Si on compare à ce qui s'est passé à Lausanne, ce serait 3 match à huis clos, quel sera le traitement en Suisse allemande? Me réjouis de voir
Comment les supporters bâlois ont-ils pu tomber nez à nez avec les zurichois en regoignant la gare apparemment?
Les policiers ont pris des pierres, pétards,...
Si on compare à ce qui s'est passé à Lausanne, ce serait 3 match à huis clos, quel sera le traitement en Suisse allemande? Me réjouis de voir
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Scoopex aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Quand on est allé à GC en décembre on a dû marcher 15-20 minutes à travers Zürich accompagné de disons 10 policiers... Si GC avait été motivé à venir nous chercher il se serait passé la même chose
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
lausarme a écrit:https://www.20min.ch/fr/story/football-des-supporters-zurichois-attaquent-la-police-apres-un-match-103026103
Comment les supporters bâlois ont-ils pu tomber nez à nez avec les zurichois en regoignant la gare apparemment?
Les policiers ont pris des pierres, pétards,...
Si on compare à ce qui s'est passé à Lausanne, ce serait 3 match à huis clos, quel sera le traitement en Suisse allemande? Me réjouis de voir
Les journaleux qui renvoient à un match entre Aarau et Xamax qui s'est passé en août 2023 et qui n'a absolument rien à voir.
Shogun- Date d'inscription : 21/06/2011
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
lausarme a écrit:https://www.20min.ch/fr/story/football-des-supporters-zurichois-attaquent-la-police-apres-un-match-103026103
Comment les supporters bâlois ont-ils pu tomber nez à nez avec les zurichois en regoignant la gare apparemment?
Les policiers ont pris des pierres, pétards,...
Si on compare à ce qui s'est passé à Lausanne, ce serait 3 match à huis clos, quel sera le traitement en Suisse allemande? Me réjouis de voir
Südkurve fermée pour le match contre nous... ça va être la norme à chaque problèmes
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Georgie aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://fr.football-italia.net/video-pafundi-arrive-en-suisse-avant-son-d%C3%A9m%C3%A9nagement-%C3%A0-lausanne/
RES- Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24h en ligne de ce jour. Pablo Laville.
Servette FC: un recours contre le match à huis clos
Selon un avocat genevois, les sanctions suite aux événements à Lausanne lors du derby ne reposeraient sur aucune base légale.
Un recours va être déposé à la Cour de justice contre les sanctions qui ont suivi les événements en marge du match de football entre Lausanne-Sport et le Servette FC le 9 décembre, a appris la «Tribune de Genève». «On ne peut pas prendre une décision si elle ne repose pas sur un texte de loi. C’est illégal», estime le recourant Christian van Gessel, avocat genevois. Il appelle les abonnés du Servette FC à le suivre.
Des tribunes fermées
Pour rappel, des heurts entre policiers et supporters du Lausanne-Sport et du Servette FC ont éclaté après le derby au stade de la Tuilière, à Lausanne, le 9 décembre autour de 23 h. Trois jours plus tard, le Département des institutions et du numérique de Genève (DIN) a publié des sanctions, avec le Canton de Vaud et la Ville de Lausanne.
Dans son communiqué, le DIN a annoncé la fermeture des secteurs «réservés aux supporters ultras»: la tribune Nord à Genève et le secteur D à Lausanne.
De plus, le Servette FC s’est vu privé des recettes du prochain derby contre Lausanne-Sport: il devra se tenir à huis clos. Ce match est prévu le 10 mars au stade de la Praille, à Genève.
«Illégale, arbitraire et disproportionnée»
Pour Christian Gessel, cette décision n’a pas de base légale. Il ajoute que, «même si ces mesures étaient fondées, elles seraient disproportionnées». En déposant un recours groupé, il représentera tous les abonnés qui, comme lui, s’estiment lésés par la décision du DIN. «Je dénonce une sanction illégale, disproportionnée et aussi arbitraire, précise l’avocat. Pourquoi c’est le Servette qui est privé de public à domicile? Où est la cohérence?»
L’avocat estime que, juridiquement, les abonnés ont la qualité pour recourir. Il estime que, puisqu’ils ont déjà acheté leur place, ils seraient lésés si le match se tenait à huis clos.
Une réunion avec le Servette FC
Contacté, le DIN affirme que les bases légales existent et qu’elles ont été transmises aux principaux concernés. Le département refuse de communiquer davantage sur les sanctions avant d’avoir «trouvé une réponse commune à cette problématique avec le Servette FC».
Si le recours de Me van Gessel aboutit, le huis clos devrait être suspendu et le public pourrait assister librement au derby du lac de toutes les tensions.
Une réunion est prévue ces prochains jours entre le Servette FC et le DIN, pour discuter du huis clos du match contre Lausanne-Sport et de la gestion de la violence en marge des matchs.
Servette FC: un recours contre le match à huis clos
Selon un avocat genevois, les sanctions suite aux événements à Lausanne lors du derby ne reposeraient sur aucune base légale.
Un recours va être déposé à la Cour de justice contre les sanctions qui ont suivi les événements en marge du match de football entre Lausanne-Sport et le Servette FC le 9 décembre, a appris la «Tribune de Genève». «On ne peut pas prendre une décision si elle ne repose pas sur un texte de loi. C’est illégal», estime le recourant Christian van Gessel, avocat genevois. Il appelle les abonnés du Servette FC à le suivre.
Des tribunes fermées
Pour rappel, des heurts entre policiers et supporters du Lausanne-Sport et du Servette FC ont éclaté après le derby au stade de la Tuilière, à Lausanne, le 9 décembre autour de 23 h. Trois jours plus tard, le Département des institutions et du numérique de Genève (DIN) a publié des sanctions, avec le Canton de Vaud et la Ville de Lausanne.
Dans son communiqué, le DIN a annoncé la fermeture des secteurs «réservés aux supporters ultras»: la tribune Nord à Genève et le secteur D à Lausanne.
De plus, le Servette FC s’est vu privé des recettes du prochain derby contre Lausanne-Sport: il devra se tenir à huis clos. Ce match est prévu le 10 mars au stade de la Praille, à Genève.
«Illégale, arbitraire et disproportionnée»
Pour Christian Gessel, cette décision n’a pas de base légale. Il ajoute que, «même si ces mesures étaient fondées, elles seraient disproportionnées». En déposant un recours groupé, il représentera tous les abonnés qui, comme lui, s’estiment lésés par la décision du DIN. «Je dénonce une sanction illégale, disproportionnée et aussi arbitraire, précise l’avocat. Pourquoi c’est le Servette qui est privé de public à domicile? Où est la cohérence?»
L’avocat estime que, juridiquement, les abonnés ont la qualité pour recourir. Il estime que, puisqu’ils ont déjà acheté leur place, ils seraient lésés si le match se tenait à huis clos.
Une réunion avec le Servette FC
Contacté, le DIN affirme que les bases légales existent et qu’elles ont été transmises aux principaux concernés. Le département refuse de communiquer davantage sur les sanctions avant d’avoir «trouvé une réponse commune à cette problématique avec le Servette FC».
Si le recours de Me van Gessel aboutit, le huis clos devrait être suspendu et le public pourrait assister librement au derby du lac de toutes les tensions.
Une réunion est prévue ces prochains jours entre le Servette FC et le DIN, pour discuter du huis clos du match contre Lausanne-Sport et de la gestion de la violence en marge des matchs.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
mic, Old School, Rolls et Beaulieu aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/commentaire-de-tim-guillemin-loperation-repression-dans-les-stades-est-un-flop-total-id19371982.html
Tim Guillemin, bon papier, comme d'hab.
Tim Guillemin, bon papier, comme d'hab.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Blue Raph, Old School, Scoopex, Matt, Le Vaudois, Lousonna, Shogun et aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
kok9 a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/commentaire-de-tim-guillemin-loperation-repression-dans-les-stades-est-un-flop-total-id19371982.html
Tim Guillemin, bon papier, comme d'hab.
Merci Tim !
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
mic, Blue Raph, Old School, lausarme, zodov, Le Vaudois, Lousonna et Nataniel aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football - Un grand espoir à la Tuilière
Voilà ce que ce crack vient faire à Lausanne
La pépite du football italien Simone Pafundi a débarqué jeudi en prêt au LS, porte d’entrée vers la galaxie Ineos. Sur son dos, une option d’achat monumentale.
Florian Vaney
En un chiffre, le football suisse prend le pouls du caractère irréel de l’annonce. Quatorze millions de francs. Lorsqu’un nombre à huit chiffres s’articule autour d’un joueur de Super League, ça ne peut être qu’en cas de vente. Et encore. Les occurrences se comptent sur les doigts des mains. Sans compter que, généralement, il faut que l’influent FC Bâle se trouve dans le deal. Pas cette fois.
Symbole d’une discipline qui évolue, Simone Pafundi a signé mercredi au Lausanne-Sport un contrat à contresens des habitudes helvétiques. Le jeune Italien n’est qu’un prêt de l’Udinese pour les douze prochains mois. Les 14 millions, c’est la somme à débourser pour s’offrir définitivement celui que les médias transalpins n’ont pas tardé à appeler le nouveau Messi.
Le vertige des chiffres s’arrête ici pour les fans lausannois. Il n’y a que dans un univers fictif que le club de la Tuilière lâcherait une telle somme pour enrôler un seul joueur, tout crack soit-il. Pour ceux qui ont connu la Challenge League en bleu et blanc au goût de Pontaise, la fiction amène à une réflexion presque cocasse. Le LS tomberait-il sous le coup du fair-play financier, ce garde-fou qui combat les excès des mastodontes du ballon rond, s’il activait lui-même la clause de son nouveau joyau?
La réglementation prévoit qu’un club ne peut dépenser plus qu’il ne gagne. Avec un passif à 14 millions, difficile d’équilibrer la balance. La consigne mise en place par l’UEFA concernant uniquement les équipes prenant part aux compétitions européennes, le Lausanne actuel (10e de Super League) serait sans doute tranquille. Reste qu’en novembre dernier, le président Leen Heemskerk évoquait les aspirations de Coupe d’Europe du LS.
Un plan A et des plans B
Trêve de rêverie, pour de vrai cette fois. Le Lausanne-Sport a obtenu le prêt du plus jeune international italien de l’histoire moderne (Roberto Mancini l’avait lancé à 16 ans et 8 mois en novembre 2022). Avant même de l’avoir vu jouer, sa venue possède une qualité notable: elle permet de mieux situer le club de la Blécherette dans la nébuleuse Ineos.
Plus qu’à Lausanne, Simone Pafundi a débarqué cette semaine dans le giron du géant de la pétrochimie. À tel point qu’un scénario lui est déjà associé. Six à douze mois en Super League pour se faire les dents, son option d’achat à 14 millions levée par l’OGC Nice ou Manchester United, un passage par la Ligue 1 pour s’endurcir avant la station terminus à Old Trafford, où les Red Devils accueilleront un élément de classe mondiale prêt à faire leurs beaux jours sur le terrain ou se transformer en jackpot à la revente. Voilà pour le plan A, qui occulte 25 scénarios moins fructueux.
À double tranchant
Le Lausanne-Sport joue un rôle à double tranchant sur cette feuille de route. À court terme, l’équipe trouve en son nouveau crack une doublure reluisante à Alvyn Sanches, blessé, au poste de milieu offensif. Le club peut se vanter de prêter son maillot à un joueur qui appartient à la caste de ceux qui n’auraient jamais posé leurs bagages dans la capitale olympique sans la présence d’Ineos. Quelque part, le cas Pafundi participe à offrir un rôle au LS dans ce football moderne qui assume sa fuite en avant.
Le grand espoir du foot italien peut-il devenir la nouvelle idole de la Tuilière? La configuration est délicate. S’il brille, il quittera Lausanne pour le niveau supérieur sans doute avant même d’avoir eu le temps d’être adopté par le public. Une étoile filante ne ralentit pas sa course. S’il se rate, son statut ne le protégera pas de la critique. En 2021, le FC Bâle avait fait venir à Saint-Jacques Sebastiano Esposito, 18 ans, en provenance de l’Inter, entouré des plus belles promesses d’avenir. Son aventure rhénane avait oscillé entre gestes magiques, écarts de conduite et volonté de ne pas prendre racine en Suisse.
En parlant de Simone Pafundi, l’ancien sélectionneur de la Squadra Roberto Mancini a un jour dit qu’il était «le premier nom qui me vient à l’esprit quand je dresse une sélection». Aujourd’hui, son défi est de convaincre Ludovic Magnin d’agir de la même manière. Le nouveau No 30 lausannois pourrait être aidé dans sa quête. Il se dit qu’une clause dans son contrat permettrait d’interrompre le prêt si le LS ne lui offre pas suffisamment de temps de jeu.
Lucerne-Lausanne dimanche 16 h 30
Patience Simone Pafundi n’est pas qualifié pour le match du week-end à Lucerne. Il faudra probablement attendre mercredi et un déplacement à Zurich pour le voir à l’œuvre.
Défense La défense centrale lausannoise est touchée. Aux blessures d’Husic et Grippo s’ajoute la suspension de Dussenne. Logiquement, Dabanli ou Nanizayamo commencera à côté de Szalai.
CAN Tant que le Mali est en course à la Coupe d’Afrique, le LS est privé de son ailier Diabaté. Les Aigles affrontent le Burkina Faso en 8es, mardi prochain. FVA
Voilà ce que ce crack vient faire à Lausanne
La pépite du football italien Simone Pafundi a débarqué jeudi en prêt au LS, porte d’entrée vers la galaxie Ineos. Sur son dos, une option d’achat monumentale.
Florian Vaney
En un chiffre, le football suisse prend le pouls du caractère irréel de l’annonce. Quatorze millions de francs. Lorsqu’un nombre à huit chiffres s’articule autour d’un joueur de Super League, ça ne peut être qu’en cas de vente. Et encore. Les occurrences se comptent sur les doigts des mains. Sans compter que, généralement, il faut que l’influent FC Bâle se trouve dans le deal. Pas cette fois.
Symbole d’une discipline qui évolue, Simone Pafundi a signé mercredi au Lausanne-Sport un contrat à contresens des habitudes helvétiques. Le jeune Italien n’est qu’un prêt de l’Udinese pour les douze prochains mois. Les 14 millions, c’est la somme à débourser pour s’offrir définitivement celui que les médias transalpins n’ont pas tardé à appeler le nouveau Messi.
Le vertige des chiffres s’arrête ici pour les fans lausannois. Il n’y a que dans un univers fictif que le club de la Tuilière lâcherait une telle somme pour enrôler un seul joueur, tout crack soit-il. Pour ceux qui ont connu la Challenge League en bleu et blanc au goût de Pontaise, la fiction amène à une réflexion presque cocasse. Le LS tomberait-il sous le coup du fair-play financier, ce garde-fou qui combat les excès des mastodontes du ballon rond, s’il activait lui-même la clause de son nouveau joyau?
La réglementation prévoit qu’un club ne peut dépenser plus qu’il ne gagne. Avec un passif à 14 millions, difficile d’équilibrer la balance. La consigne mise en place par l’UEFA concernant uniquement les équipes prenant part aux compétitions européennes, le Lausanne actuel (10e de Super League) serait sans doute tranquille. Reste qu’en novembre dernier, le président Leen Heemskerk évoquait les aspirations de Coupe d’Europe du LS.
Un plan A et des plans B
Trêve de rêverie, pour de vrai cette fois. Le Lausanne-Sport a obtenu le prêt du plus jeune international italien de l’histoire moderne (Roberto Mancini l’avait lancé à 16 ans et 8 mois en novembre 2022). Avant même de l’avoir vu jouer, sa venue possède une qualité notable: elle permet de mieux situer le club de la Blécherette dans la nébuleuse Ineos.
Plus qu’à Lausanne, Simone Pafundi a débarqué cette semaine dans le giron du géant de la pétrochimie. À tel point qu’un scénario lui est déjà associé. Six à douze mois en Super League pour se faire les dents, son option d’achat à 14 millions levée par l’OGC Nice ou Manchester United, un passage par la Ligue 1 pour s’endurcir avant la station terminus à Old Trafford, où les Red Devils accueilleront un élément de classe mondiale prêt à faire leurs beaux jours sur le terrain ou se transformer en jackpot à la revente. Voilà pour le plan A, qui occulte 25 scénarios moins fructueux.
À double tranchant
Le Lausanne-Sport joue un rôle à double tranchant sur cette feuille de route. À court terme, l’équipe trouve en son nouveau crack une doublure reluisante à Alvyn Sanches, blessé, au poste de milieu offensif. Le club peut se vanter de prêter son maillot à un joueur qui appartient à la caste de ceux qui n’auraient jamais posé leurs bagages dans la capitale olympique sans la présence d’Ineos. Quelque part, le cas Pafundi participe à offrir un rôle au LS dans ce football moderne qui assume sa fuite en avant.
Le grand espoir du foot italien peut-il devenir la nouvelle idole de la Tuilière? La configuration est délicate. S’il brille, il quittera Lausanne pour le niveau supérieur sans doute avant même d’avoir eu le temps d’être adopté par le public. Une étoile filante ne ralentit pas sa course. S’il se rate, son statut ne le protégera pas de la critique. En 2021, le FC Bâle avait fait venir à Saint-Jacques Sebastiano Esposito, 18 ans, en provenance de l’Inter, entouré des plus belles promesses d’avenir. Son aventure rhénane avait oscillé entre gestes magiques, écarts de conduite et volonté de ne pas prendre racine en Suisse.
En parlant de Simone Pafundi, l’ancien sélectionneur de la Squadra Roberto Mancini a un jour dit qu’il était «le premier nom qui me vient à l’esprit quand je dresse une sélection». Aujourd’hui, son défi est de convaincre Ludovic Magnin d’agir de la même manière. Le nouveau No 30 lausannois pourrait être aidé dans sa quête. Il se dit qu’une clause dans son contrat permettrait d’interrompre le prêt si le LS ne lui offre pas suffisamment de temps de jeu.
Lucerne-Lausanne dimanche 16 h 30
Patience Simone Pafundi n’est pas qualifié pour le match du week-end à Lucerne. Il faudra probablement attendre mercredi et un déplacement à Zurich pour le voir à l’œuvre.
Défense La défense centrale lausannoise est touchée. Aux blessures d’Husic et Grippo s’ajoute la suspension de Dussenne. Logiquement, Dabanli ou Nanizayamo commencera à côté de Szalai.
CAN Tant que le Mali est en course à la Coupe d’Afrique, le LS est privé de son ailier Diabaté. Les Aigles affrontent le Burkina Faso en 8es, mardi prochain. FVA
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24 heures en ligne de de ce jour, Florent Vaney.
Bon article.
Pendant que la Super League se questionne, le LS panique
Lausanne a profité d’une des nombreuses scènes ayant suscité le débat ce week-end pour affronter Lucerne à 11 contre 10. Il a pourtant fini par s’incliner (2-1).
Les matches flanqués d’une expulsion dès leurs premiers instants sont rarement les plus savoureux. Sans doute que, par la compacte prudence de l’équipe à dix et l’épreuve de la patience infligée à celle à onze, ils ont tendance à glisser vers une configuration convenue et peu spectaculaire. Surprise! La Super League a proposé dimanche deux rencontres de cet ordre-là. Re-surprise! En fait, il s’agissait de matches particulièrement émotifs et spectaculaires. Et cette réalité a fait très mal au Lausanne-Sport.
Les Lausannois se sont pourtant retrouvés dans le camp des épargnés. Il n’est pas ici question d’erreur d'arbitrage. En fin de semaine, trois scènes ont défrayé la chronique en Suisse, et les trois ont été jugées avec justesse selon le règlement. À Servette et à Saint-Gall, les pieds de Jérémy Guillemenot et Lukas Görtler ont tapé dans le ballon avant d’atterrir respectivement sur la cheville et le tibia d’un adversaire. Carton jaune (et but annulé) dans le premier cas, carton rouge (dès la 5e minute…) dans le second. En ce qui concerne le Lausanne-Sport, la troupe de Ludovic Magnin a passé l’après-midi avec un homme de plus sur le terrain parce que les crampons de Nicky Beloko ont maladroitement frotté le mollet d’Antoine Bernede (7e minute).
Règlement et philosophie
Trois situations qui se croisent telle une coïncidence. Trois cas de figure qui se mêlent pour ouvrir le débat. Quelle place reste-t-il dans le football placé sous la loupe de la VAR pour l’intentionnalité d’un geste? À Saint-Gall, Lukas Görtler n’avait d’autre volonté que celle de centrer. Faut-il revoir le sens de la formule «aller dans/contre le sens du jeu»? À Genève, Jérémy Guillemenot a quelque part été puni d’avoir tiré au but. Les arbitres, qui ont pour mission première de protéger les joueurs, peuvent-ils encore s’offrir le luxe du flair et de l'interprétation? Dans les rangs du LS, pas grand monde ne se serait plaint si Nicky Beloko avait reçu un avertissement plutôt qu’une expulsion. Réglementairement, les décisions des arbitres tendent à devenir binaires. Philosophiquement, elles n’ont pas fini de mener à un océan d’opinions.
Pas sûr en revanche que la philosophie ait su trouver sa place dans le trajet du retour du Lausanne-Sport. Sur 200 km et deux heures et demie, Olivier Custodio et ses partenaires ont surtout dû voir défiler dans leur esprit les occasions ratées. Celles de dimanche doivent en plus être avalées avec un goût de 11e place. Celle de barragiste. Celle que le LS ne mérite sans doute pas, mais avec laquelle il va bien falloir composer.
La panique a précédé l’urgence
Dans un championnat à peine arrivé dans sa seconde moitié, Lausanne n’a pas à vivre dans l’urgence. Pourtant, à la Swissporarena, il a paniqué. La panique dans le dernier geste, il connaissait déjà. Elle n’a pas manqué au rendez-vous quand Kaly Sène a galvaudé deux face-à-face avec le gardien lucernois. Le LS se cherche un attaquant sur le marché des transferts. Au regard de leur réussite actuelle, Kaly Sène et Brighton Labeau ne sauraient s’en formaliser.
Reste
Défaite à Lucerne
Pendant que la Super League se questionne, le LS panique
Lausanne a profité d’une des nombreuses scènes ayant suscité le débat ce week-end pour affronter Lucerne à 11 contre 10. Il a pourtant fini par s’incliner (2-1).
Florian Vaney
Florian Vaney
Publié aujourd’hui à 21h20
À l’image de Brighton Labeau (à droite), Lausanne a trébuché à Lucerne dans des circonstances pourtant favorables.
À l’image de Brighton Labeau (à droite), Lausanne a trébuché à Lucerne dans des circonstances pourtant favorables.
KEYSTONE/Urs Flueeler
Les matches flanqués d’une expulsion dès leurs premiers instants sont rarement les plus savoureux. Sans doute que, par la compacte prudence de l’équipe à dix et l’épreuve de la patience infligée à celle à onze, ils ont tendance à glisser vers une configuration convenue et peu spectaculaire. Surprise! La Super League a proposé dimanche deux rencontres de cet ordre-là. Re-surprise! En fait, il s’agissait de matches particulièrement émotifs et spectaculaires. Et cette réalité a fait très mal au Lausanne-Sport.
Les Lausannois se sont pourtant retrouvés dans le camp des épargnés. Il n’est pas ici question d’erreur d'arbitrage. En fin de semaine, trois scènes ont défrayé la chronique en Suisse, et les trois ont été jugées avec justesse selon le règlement. À Servette et à Saint-Gall, les pieds de Jérémy Guillemenot et Lukas Görtler ont tapé dans le ballon avant d’atterrir respectivement sur la cheville et le tibia d’un adversaire. Carton jaune (et but annulé) dans le premier cas, carton rouge (dès la 5e minute…) dans le second. En ce qui concerne le Lausanne-Sport, la troupe de Ludovic Magnin a passé l’après-midi avec un homme de plus sur le terrain parce que les crampons de Nicky Beloko ont maladroitement frotté le mollet d’Antoine Bernede (7e minute).
Règlement et philosophie
Trois situations qui se croisent telle une coïncidence. Trois cas de figure qui se mêlent pour ouvrir le débat. Quelle place reste-t-il dans le football placé sous la loupe de la VAR pour l’intentionnalité d’un geste? À Saint-Gall, Lukas Görtler n’avait d’autre volonté que celle de centrer. Faut-il revoir le sens de la formule «aller dans/contre le sens du jeu»? À Genève, Jérémy Guillemenot a quelque part été puni d’avoir tiré au but. Les arbitres, qui ont pour mission première de protéger les joueurs, peuvent-ils encore s’offrir le luxe du flair et de l'interprétation? Dans les rangs du LS, pas grand monde ne se serait plaint si Nicky Beloko avait reçu un avertissement plutôt qu’une expulsion. Réglementairement, les décisions des arbitres tendent à devenir binaires. Philosophiquement, elles n’ont pas fini de mener à un océan d’opinions.
Pas sûr en revanche que la philosophie ait su trouver sa place dans le trajet du retour du Lausanne-Sport. Sur 200 km et deux heures et demie, Olivier Custodio et ses partenaires ont surtout dû voir défiler dans leur esprit les occasions ratées. Celles de dimanche doivent en plus être avalées avec un goût de 11e place. Celle de barragiste. Celle que le LS ne mérite sans doute pas, mais avec laquelle il va bien falloir composer.
La panique a précédé l’urgence
Dans un championnat à peine arrivé dans sa seconde moitié, Lausanne n’a pas à vivre dans l’urgence. Pourtant, à la Swissporarena, il a paniqué. La panique dans le dernier geste, il connaissait déjà. Elle n’a pas manqué au rendez-vous quand Kaly Sène a galvaudé deux face-à-face avec le gardien lucernois. Le LS se cherche un attaquant sur le marché des transferts. Au regard de leur réussite actuelle, Kaly Sène et Brighton Labeau ne sauraient s’en formaliser.
«Simone Pafundi n’a encore jamais enchaîné deux matches complets chez les pros.»
Reste que dimanche, ce n’est pas un secteur de jeu qui a perdu ses moyens. Durant la dernière demi-heure, les dix Lucernois ont occupé infiniment plus d’espace que les onze Lausannois. Il y avait 1-0 et une histoire quasi réglée pour les visiteurs à la 60e. Il y avait 1-2 et une bonne affaire amèrement regrettée à la fin du match.
Sans voix ni réaction, Lausanne ne nourrit à présent que davantage d’espoir envers Simone Pafundi. L’homme qui doit remplacer un Alvyn Sanches sans qui le LS n’avance plus. Le crack qui doit justifier une option d’achat à 14 millions de francs.
Avec l’idée de calmer le jeu et de retirer un peu de pression à son nouveau milieu de terrain (non qualifié dimanche), Ludovic Magnin a rappelé qu’il s’agissait «d’un jeune de 17 ans qui n’a encore jamais enchaîné deux matches complets chez les pros». Une précision de circonstances. Qui se marie néanmoins plutôt mal avec cette prétendue clause obligeant le LS à accorder un minimum de temps de jeu à l’Italien. Ne pas lui brûler les ailes, mais répondre aux exigences contractuelles; la quête du bon équilibre sera intéressante à suivre. Surtout si Simone Pafundi devait avoir la réponse aux maux de sa nouvelle équipe.
Bon article.
Pendant que la Super League se questionne, le LS panique
Lausanne a profité d’une des nombreuses scènes ayant suscité le débat ce week-end pour affronter Lucerne à 11 contre 10. Il a pourtant fini par s’incliner (2-1).
Les matches flanqués d’une expulsion dès leurs premiers instants sont rarement les plus savoureux. Sans doute que, par la compacte prudence de l’équipe à dix et l’épreuve de la patience infligée à celle à onze, ils ont tendance à glisser vers une configuration convenue et peu spectaculaire. Surprise! La Super League a proposé dimanche deux rencontres de cet ordre-là. Re-surprise! En fait, il s’agissait de matches particulièrement émotifs et spectaculaires. Et cette réalité a fait très mal au Lausanne-Sport.
Les Lausannois se sont pourtant retrouvés dans le camp des épargnés. Il n’est pas ici question d’erreur d'arbitrage. En fin de semaine, trois scènes ont défrayé la chronique en Suisse, et les trois ont été jugées avec justesse selon le règlement. À Servette et à Saint-Gall, les pieds de Jérémy Guillemenot et Lukas Görtler ont tapé dans le ballon avant d’atterrir respectivement sur la cheville et le tibia d’un adversaire. Carton jaune (et but annulé) dans le premier cas, carton rouge (dès la 5e minute…) dans le second. En ce qui concerne le Lausanne-Sport, la troupe de Ludovic Magnin a passé l’après-midi avec un homme de plus sur le terrain parce que les crampons de Nicky Beloko ont maladroitement frotté le mollet d’Antoine Bernede (7e minute).
Règlement et philosophie
Trois situations qui se croisent telle une coïncidence. Trois cas de figure qui se mêlent pour ouvrir le débat. Quelle place reste-t-il dans le football placé sous la loupe de la VAR pour l’intentionnalité d’un geste? À Saint-Gall, Lukas Görtler n’avait d’autre volonté que celle de centrer. Faut-il revoir le sens de la formule «aller dans/contre le sens du jeu»? À Genève, Jérémy Guillemenot a quelque part été puni d’avoir tiré au but. Les arbitres, qui ont pour mission première de protéger les joueurs, peuvent-ils encore s’offrir le luxe du flair et de l'interprétation? Dans les rangs du LS, pas grand monde ne se serait plaint si Nicky Beloko avait reçu un avertissement plutôt qu’une expulsion. Réglementairement, les décisions des arbitres tendent à devenir binaires. Philosophiquement, elles n’ont pas fini de mener à un océan d’opinions.
Pas sûr en revanche que la philosophie ait su trouver sa place dans le trajet du retour du Lausanne-Sport. Sur 200 km et deux heures et demie, Olivier Custodio et ses partenaires ont surtout dû voir défiler dans leur esprit les occasions ratées. Celles de dimanche doivent en plus être avalées avec un goût de 11e place. Celle de barragiste. Celle que le LS ne mérite sans doute pas, mais avec laquelle il va bien falloir composer.
La panique a précédé l’urgence
Dans un championnat à peine arrivé dans sa seconde moitié, Lausanne n’a pas à vivre dans l’urgence. Pourtant, à la Swissporarena, il a paniqué. La panique dans le dernier geste, il connaissait déjà. Elle n’a pas manqué au rendez-vous quand Kaly Sène a galvaudé deux face-à-face avec le gardien lucernois. Le LS se cherche un attaquant sur le marché des transferts. Au regard de leur réussite actuelle, Kaly Sène et Brighton Labeau ne sauraient s’en formaliser.
Reste
Défaite à Lucerne
Pendant que la Super League se questionne, le LS panique
Lausanne a profité d’une des nombreuses scènes ayant suscité le débat ce week-end pour affronter Lucerne à 11 contre 10. Il a pourtant fini par s’incliner (2-1).
Florian Vaney
Florian Vaney
Publié aujourd’hui à 21h20
À l’image de Brighton Labeau (à droite), Lausanne a trébuché à Lucerne dans des circonstances pourtant favorables.
À l’image de Brighton Labeau (à droite), Lausanne a trébuché à Lucerne dans des circonstances pourtant favorables.
KEYSTONE/Urs Flueeler
Les matches flanqués d’une expulsion dès leurs premiers instants sont rarement les plus savoureux. Sans doute que, par la compacte prudence de l’équipe à dix et l’épreuve de la patience infligée à celle à onze, ils ont tendance à glisser vers une configuration convenue et peu spectaculaire. Surprise! La Super League a proposé dimanche deux rencontres de cet ordre-là. Re-surprise! En fait, il s’agissait de matches particulièrement émotifs et spectaculaires. Et cette réalité a fait très mal au Lausanne-Sport.
Les Lausannois se sont pourtant retrouvés dans le camp des épargnés. Il n’est pas ici question d’erreur d'arbitrage. En fin de semaine, trois scènes ont défrayé la chronique en Suisse, et les trois ont été jugées avec justesse selon le règlement. À Servette et à Saint-Gall, les pieds de Jérémy Guillemenot et Lukas Görtler ont tapé dans le ballon avant d’atterrir respectivement sur la cheville et le tibia d’un adversaire. Carton jaune (et but annulé) dans le premier cas, carton rouge (dès la 5e minute…) dans le second. En ce qui concerne le Lausanne-Sport, la troupe de Ludovic Magnin a passé l’après-midi avec un homme de plus sur le terrain parce que les crampons de Nicky Beloko ont maladroitement frotté le mollet d’Antoine Bernede (7e minute).
Règlement et philosophie
Trois situations qui se croisent telle une coïncidence. Trois cas de figure qui se mêlent pour ouvrir le débat. Quelle place reste-t-il dans le football placé sous la loupe de la VAR pour l’intentionnalité d’un geste? À Saint-Gall, Lukas Görtler n’avait d’autre volonté que celle de centrer. Faut-il revoir le sens de la formule «aller dans/contre le sens du jeu»? À Genève, Jérémy Guillemenot a quelque part été puni d’avoir tiré au but. Les arbitres, qui ont pour mission première de protéger les joueurs, peuvent-ils encore s’offrir le luxe du flair et de l'interprétation? Dans les rangs du LS, pas grand monde ne se serait plaint si Nicky Beloko avait reçu un avertissement plutôt qu’une expulsion. Réglementairement, les décisions des arbitres tendent à devenir binaires. Philosophiquement, elles n’ont pas fini de mener à un océan d’opinions.
Pas sûr en revanche que la philosophie ait su trouver sa place dans le trajet du retour du Lausanne-Sport. Sur 200 km et deux heures et demie, Olivier Custodio et ses partenaires ont surtout dû voir défiler dans leur esprit les occasions ratées. Celles de dimanche doivent en plus être avalées avec un goût de 11e place. Celle de barragiste. Celle que le LS ne mérite sans doute pas, mais avec laquelle il va bien falloir composer.
La panique a précédé l’urgence
Dans un championnat à peine arrivé dans sa seconde moitié, Lausanne n’a pas à vivre dans l’urgence. Pourtant, à la Swissporarena, il a paniqué. La panique dans le dernier geste, il connaissait déjà. Elle n’a pas manqué au rendez-vous quand Kaly Sène a galvaudé deux face-à-face avec le gardien lucernois. Le LS se cherche un attaquant sur le marché des transferts. Au regard de leur réussite actuelle, Kaly Sène et Brighton Labeau ne sauraient s’en formaliser.
«Simone Pafundi n’a encore jamais enchaîné deux matches complets chez les pros.»
Reste que dimanche, ce n’est pas un secteur de jeu qui a perdu ses moyens. Durant la dernière demi-heure, les dix Lucernois ont occupé infiniment plus d’espace que les onze Lausannois. Il y avait 1-0 et une histoire quasi réglée pour les visiteurs à la 60e. Il y avait 1-2 et une bonne affaire amèrement regrettée à la fin du match.
Sans voix ni réaction, Lausanne ne nourrit à présent que davantage d’espoir envers Simone Pafundi. L’homme qui doit remplacer un Alvyn Sanches sans qui le LS n’avance plus. Le crack qui doit justifier une option d’achat à 14 millions de francs.
Avec l’idée de calmer le jeu et de retirer un peu de pression à son nouveau milieu de terrain (non qualifié dimanche), Ludovic Magnin a rappelé qu’il s’agissait «d’un jeune de 17 ans qui n’a encore jamais enchaîné deux matches complets chez les pros». Une précision de circonstances. Qui se marie néanmoins plutôt mal avec cette prétendue clause obligeant le LS à accorder un minimum de temps de jeu à l’Italien. Ne pas lui brûler les ailes, mais répondre aux exigences contractuelles; la quête du bon équilibre sera intéressante à suivre. Surtout si Simone Pafundi devait avoir la réponse aux maux de sa nouvelle équipe.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/le-ls-est-onzieme-de-super-league-ludovic-magnin-on-va-devoir-se-battre-contre-la-relegation-id19378330.html
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/ludovic-magnin-tempere-simone-pafundi-nest-pas-jesus-id19386597.html
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
kok9 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Si Pafundi n'est évidemment pas Jesus, on en connaît un autre qui est loin d'être Dieu!lausarme a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/ludovic-magnin-tempere-simone-pafundi-nest-pas-jesus-id19386597.html
neLSon- Date d'inscription : 21/03/2022
Scoopex aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Faut savoir Ludo ! Alors Pafundi ? On doit rien en espérer ?
Pourtant les médias l'annoncent comme un Dieu :
"La nouvelle pépite du Lausanne-Sport fait même de l'ombre à Messi"
Le club l'encense à coup de vidéos et de posts sur les réseaux sociaux comme étant une DIVA qui débarque en Suisse
Sur le site web du LS, On annonce :
"le FC Lausanne-Sport annonce et confirme l’arrivée en prêt de l’international italien Simone Pafundi (...) À tout juste 16 ans, Simone Pafundi a fait ses débuts professionnels sous les couleurs de l’Udinese Calcio. Il devenait ce jour-là le premier joueur de sa génération à jouer en Serie A. Il compte une dizaine de matches de Serie A avec son club formateur. Convoqué par Roberto Mancini, il a fait ses débuts avec la Squadra Azzura le 16 novembre 2022 à seulement 16 ans et 247 jours. Il devient ainsi le plus jeune joueur de l’équipe nationale d’Italie depuis plus de 100 ans! Dans son pays, Simone Pafundi est considéré comme le plus grand espoir du football".
Et ensuite, arrive Magnin :
«On parle ici d'un jeune joueur de 17 ans qui n'a encore jamais joué deux matches d'affilée dans le football professionnel. Et on l'attend comme Jésus. Mais Pafundi ne sera pas Jésus.»
Bravo c'téquipe !
A l'image du LS et de la saison : pas de synchronisation. D'un côté le marketing bling-bling - de l'autre la (triste) réalité du terrain
Pourtant les médias l'annoncent comme un Dieu :
"La nouvelle pépite du Lausanne-Sport fait même de l'ombre à Messi"
Le club l'encense à coup de vidéos et de posts sur les réseaux sociaux comme étant une DIVA qui débarque en Suisse
Sur le site web du LS, On annonce :
"le FC Lausanne-Sport annonce et confirme l’arrivée en prêt de l’international italien Simone Pafundi (...) À tout juste 16 ans, Simone Pafundi a fait ses débuts professionnels sous les couleurs de l’Udinese Calcio. Il devenait ce jour-là le premier joueur de sa génération à jouer en Serie A. Il compte une dizaine de matches de Serie A avec son club formateur. Convoqué par Roberto Mancini, il a fait ses débuts avec la Squadra Azzura le 16 novembre 2022 à seulement 16 ans et 247 jours. Il devient ainsi le plus jeune joueur de l’équipe nationale d’Italie depuis plus de 100 ans! Dans son pays, Simone Pafundi est considéré comme le plus grand espoir du football".
Et ensuite, arrive Magnin :
«On parle ici d'un jeune joueur de 17 ans qui n'a encore jamais joué deux matches d'affilée dans le football professionnel. Et on l'attend comme Jésus. Mais Pafundi ne sera pas Jésus.»
Bravo c'téquipe !
A l'image du LS et de la saison : pas de synchronisation. D'un côté le marketing bling-bling - de l'autre la (triste) réalité du terrain
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
mic, kok9, FF-LS et Georgie aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le rôle de Magnin est aussi de protéger le joueur, notamment de la pression. Le gars n'a pas 18 ans ! Et on ne peut pas lui donner tort, sur ce coup.
Et que le club en fasse un (trop gros) paquet, on est bien d'accord.
(on a dit beaucoup de bien du marketing du LS ces dernières années, mais bon ...)
Et que le club en fasse un (trop gros) paquet, on est bien d'accord.
(on a dit beaucoup de bien du marketing du LS ces dernières années, mais bon ...)
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Le Vaudois et Georgie aiment ce message
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