Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Clash a écrit:En 2018 CC a décidé de boycotter Le Nouvelliste, Jacquier a alors saisi sa chance de réaliser son rêve, devenir le porte-parole et le lêche-bottes de CC. Il a juste oublié que le FC Sion en-dehors de la vallée du Rhône n’intéresse personne.
CC achète ces articles ça me parait de plus en plus évident
LSDyl- Date d'inscription : 06/07/2021
dudu aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
LSDyl a écrit:Clash a écrit:En 2018 CC a décidé de boycotter Le Nouvelliste, Jacquier a alors saisi sa chance de réaliser son rêve, devenir le porte-parole et le lêche-bottes de CC. Il a juste oublié que le FC Sion en-dehors de la vallée du Rhône n’intéresse personne.
CC achète ces articles ça me parait de plus en plus évident
Comme le disait une bâche lors du leur dernier match : Sion a pas besoin des Constantin mais les Constantin ont besoin de Sion
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
LSDyl aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football - Trop faible contre les faibles
Lausanne a un problème à régler au plus vite
Des trois premiers de Challenge League, les Lausannois sont ceux qui ont égaré le plus de points contre les quatre derniers. Dont Schaffhouse, leur prochain adversaire.
André Boschetti
Cinq jours après avoir raté, à domicile contre Vaduz (0-0), une première occasion de dépasser Yverdon-Sport et de se rapprocher à une longueur seulement du FC Wil, le Lausanne-Sport en aura déjà une deuxième, ce vendredi, de goûter à nouveau l’agréable ivresse des sommets. En cas de victoire à Schaffhouse, le club de la capitale vaudoise partagera en effet - et même si ce ne sera que provisoirement peut-être - la tête du classement de Challenge League avec son rival saint-gallois.
Pour occuper une position dominante qu’ils n’ont plus fréquentée depuis près de cinq mois, les pensionnaires de la Tuilière devront donc s’imposer face à un modeste adversaire (7e) qui n’a d’ores et déjà plus rien à craindre ni à espérer de cette saison.
Sur le papier, le long déplacement jusqu’à la pelouse synthétique d’une équipe qui vient tout juste d’y encaisser un sec et sonnant 0-5 contre le FC Thoune dimanche dernier ne devrait pas causer trop de soucis à un LS qui voyage beaucoup mieux depuis janvier (trois victoires en autant de matches). «J’ai l’impression, sourit Ludovic Magnin, que notre victoire à la Pontaise contre SLO lors du match de reprise en janvier a servi de déclic dans la tête de mes joueurs. Ce jour-là, ils avaient remporté un duel important contre le coleader après être passés par tous les états d’âme.»
De simples chiffres montrent pourtant que cette nouvelle réalité risque d’être mise à mal, vendredi. Lors des confrontations qui les ont opposés aux quatre moins bonnes équipes de Challenge League, les bilans de Wil, d’YS et du LS ne se ressemblent pas. Si les Yverdonnois n’ont, jusque-là, perdu que sept unités contre Schaffhouse, Bellinzone, Vaduz et Xamax, et le FC Wil deux de plus, les Lausannois en ont, eux, dilapidé le double (14).
Deux nuls différents
«Ces points perdus contre des équipes largement à notre portée font mal, soupire Ludovic Magnin, mais il faut aussi savoir parfois les accepter. Comme je le dis depuis le début de la saison, chaque adversaire redouble d’efforts lorsqu’il doit affronter le favori du championnat. Les équipes de bas de classement, surtout, se déplacent donc à la Tuilière avec un bloc très bas et comme principal objectif de ne pas encaisser de but. Un contexte jamais simple, pour quelque équipe que ce soit. Cela dit, je comprends parfaitement leur choix de défendre à onze pour tenter de grappiller un point précieux pour eux dans l’optique du maintien direct.»
Sans remonter à l’automne dernier, les deux nuls récemment concédés contre Bellinzone et Vaduz n’ont toutefois pas grand-chose en commun. «Si nous avions connu pas mal de problèmes pour nous créer des occasions contre les Tessinois, explique le technicien vaudois, tel n’a pas été le cas face à Vaduz. J’estime que le contenu a été bon dimanche passé, que nous avons bien géré la rencontre en accordant très peu d’opportunités aux Liechtensteinois. Il nous a surtout manqué un brin de réussite pour faire la différence. Ce que nous nous devons en revanche de bien améliorer, c’est notre très faible taux d’efficacité sur les balles arrêtées.»
Un avis global que partage Brighton Labeau, l’attaquant le plus prolifique de Challenge League. «Croyez-moi, il ne s’agit pas d’un manque d’envie ou de motivation de notre part face à ces équipes moins bien classées. Ces deux récents matches, nous aurions d’ailleurs largement mérité de les gagner. Si mes souvenirs sont bons, nous avons touché à quatre ou cinq reprises les montants en 180 minutes. C’est juste une question de détails qui parfois sont en ta faveur et parfois non.»
Schaffhouse sans pression
Un contexte qui ne sera heureusement pas le même pour le LS vendredi soir, selon Ludo Magnin. «Schaffhouse est une équipe qui ressemble à Hakan [Yakin], son entraîneur. À domicile surtout, elle est joueuse, portée vers l’offensive. Devant son public et libéré de tout souci de relégation, Schaffhouse aura aussi à cœur d’effacer la lourde défaite enregistrée contre Thoune le week-end passé, en cherchant à gagner en marquant des buts. Il devrait donc y avoir davantage d’espaces que face à Bellinzone et Vaduz.»
Une occasion parfaite pour ajouter une cinquième victoire en sept sorties et enjoliver ainsi un peu plus le très bon bilan lausannois en 2023. Sans oublier que trois nouveaux points auraient aussi l’avantage de mettre la pression sur Wil et YS, tous deux face à de périlleux déplacements, respectivement à Thoune et à Neuchâtel ce dimanche.
L’avant-match-
Schaffhouse - LS, vendredi 20 h 15
Les absents Dabanli (suspendu). Geiger (problème musculaire) est incertain. Remis de ses interminables soucis physiques, Grippo devrait être titularisé pour la 2e fois de la saison à Schaffhouse.
Les précédents Cela fait dix matches (cinq victoires et autant de nuls) que le LS n’a plus perdu contre Schaffhouse. Le dernier revers remonte au 13 mai 2016 à la Pontaise (0-1). Cette saison, les Vaudois l’ont emporté 5-1 à la Tuilière avant de partager l’enjeu à la wefox Arena (0-0).
Zohouri Peu convaincant latéral droit du LS entre 2020 et 2022, puis laissé libre par Nice en août dernier, Armel Zohouri a retrouvé de l’embauche au Sheriff Tiraspol. Un meilleur club moldave avec lequel il a justement défié les Niçois, jeudi en huitièmes de finale de la Conference League.
Ludovic Magnin «J’aimerais que mes joueurs se concentrent sur eux-mêmes et sur ce qu’ils ont à faire sur le terrain lors de chaque rencontre. Et surtout pas sur ce classement qu’on regardera seulement au terme de la 36e et dernière journée. Avant, cela ne sert à rien.» ABO
Lausanne a un problème à régler au plus vite
Des trois premiers de Challenge League, les Lausannois sont ceux qui ont égaré le plus de points contre les quatre derniers. Dont Schaffhouse, leur prochain adversaire.
André Boschetti
Cinq jours après avoir raté, à domicile contre Vaduz (0-0), une première occasion de dépasser Yverdon-Sport et de se rapprocher à une longueur seulement du FC Wil, le Lausanne-Sport en aura déjà une deuxième, ce vendredi, de goûter à nouveau l’agréable ivresse des sommets. En cas de victoire à Schaffhouse, le club de la capitale vaudoise partagera en effet - et même si ce ne sera que provisoirement peut-être - la tête du classement de Challenge League avec son rival saint-gallois.
Pour occuper une position dominante qu’ils n’ont plus fréquentée depuis près de cinq mois, les pensionnaires de la Tuilière devront donc s’imposer face à un modeste adversaire (7e) qui n’a d’ores et déjà plus rien à craindre ni à espérer de cette saison.
Sur le papier, le long déplacement jusqu’à la pelouse synthétique d’une équipe qui vient tout juste d’y encaisser un sec et sonnant 0-5 contre le FC Thoune dimanche dernier ne devrait pas causer trop de soucis à un LS qui voyage beaucoup mieux depuis janvier (trois victoires en autant de matches). «J’ai l’impression, sourit Ludovic Magnin, que notre victoire à la Pontaise contre SLO lors du match de reprise en janvier a servi de déclic dans la tête de mes joueurs. Ce jour-là, ils avaient remporté un duel important contre le coleader après être passés par tous les états d’âme.»
De simples chiffres montrent pourtant que cette nouvelle réalité risque d’être mise à mal, vendredi. Lors des confrontations qui les ont opposés aux quatre moins bonnes équipes de Challenge League, les bilans de Wil, d’YS et du LS ne se ressemblent pas. Si les Yverdonnois n’ont, jusque-là, perdu que sept unités contre Schaffhouse, Bellinzone, Vaduz et Xamax, et le FC Wil deux de plus, les Lausannois en ont, eux, dilapidé le double (14).
Deux nuls différents
«Ces points perdus contre des équipes largement à notre portée font mal, soupire Ludovic Magnin, mais il faut aussi savoir parfois les accepter. Comme je le dis depuis le début de la saison, chaque adversaire redouble d’efforts lorsqu’il doit affronter le favori du championnat. Les équipes de bas de classement, surtout, se déplacent donc à la Tuilière avec un bloc très bas et comme principal objectif de ne pas encaisser de but. Un contexte jamais simple, pour quelque équipe que ce soit. Cela dit, je comprends parfaitement leur choix de défendre à onze pour tenter de grappiller un point précieux pour eux dans l’optique du maintien direct.»
Sans remonter à l’automne dernier, les deux nuls récemment concédés contre Bellinzone et Vaduz n’ont toutefois pas grand-chose en commun. «Si nous avions connu pas mal de problèmes pour nous créer des occasions contre les Tessinois, explique le technicien vaudois, tel n’a pas été le cas face à Vaduz. J’estime que le contenu a été bon dimanche passé, que nous avons bien géré la rencontre en accordant très peu d’opportunités aux Liechtensteinois. Il nous a surtout manqué un brin de réussite pour faire la différence. Ce que nous nous devons en revanche de bien améliorer, c’est notre très faible taux d’efficacité sur les balles arrêtées.»
Un avis global que partage Brighton Labeau, l’attaquant le plus prolifique de Challenge League. «Croyez-moi, il ne s’agit pas d’un manque d’envie ou de motivation de notre part face à ces équipes moins bien classées. Ces deux récents matches, nous aurions d’ailleurs largement mérité de les gagner. Si mes souvenirs sont bons, nous avons touché à quatre ou cinq reprises les montants en 180 minutes. C’est juste une question de détails qui parfois sont en ta faveur et parfois non.»
Schaffhouse sans pression
Un contexte qui ne sera heureusement pas le même pour le LS vendredi soir, selon Ludo Magnin. «Schaffhouse est une équipe qui ressemble à Hakan [Yakin], son entraîneur. À domicile surtout, elle est joueuse, portée vers l’offensive. Devant son public et libéré de tout souci de relégation, Schaffhouse aura aussi à cœur d’effacer la lourde défaite enregistrée contre Thoune le week-end passé, en cherchant à gagner en marquant des buts. Il devrait donc y avoir davantage d’espaces que face à Bellinzone et Vaduz.»
Une occasion parfaite pour ajouter une cinquième victoire en sept sorties et enjoliver ainsi un peu plus le très bon bilan lausannois en 2023. Sans oublier que trois nouveaux points auraient aussi l’avantage de mettre la pression sur Wil et YS, tous deux face à de périlleux déplacements, respectivement à Thoune et à Neuchâtel ce dimanche.
L’avant-match-
Schaffhouse - LS, vendredi 20 h 15
Les absents Dabanli (suspendu). Geiger (problème musculaire) est incertain. Remis de ses interminables soucis physiques, Grippo devrait être titularisé pour la 2e fois de la saison à Schaffhouse.
Les précédents Cela fait dix matches (cinq victoires et autant de nuls) que le LS n’a plus perdu contre Schaffhouse. Le dernier revers remonte au 13 mai 2016 à la Pontaise (0-1). Cette saison, les Vaudois l’ont emporté 5-1 à la Tuilière avant de partager l’enjeu à la wefox Arena (0-0).
Zohouri Peu convaincant latéral droit du LS entre 2020 et 2022, puis laissé libre par Nice en août dernier, Armel Zohouri a retrouvé de l’embauche au Sheriff Tiraspol. Un meilleur club moldave avec lequel il a justement défié les Niçois, jeudi en huitièmes de finale de la Conference League.
Ludovic Magnin «J’aimerais que mes joueurs se concentrent sur eux-mêmes et sur ce qu’ils ont à faire sur le terrain lors de chaque rencontre. Et surtout pas sur ce classement qu’on regardera seulement au terme de la 36e et dernière journée. Avant, cela ne sert à rien.» ABO
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/brighton-labeau-je-vis-la-meilleure-saison-de-ma-carriere-772654318887
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
JEAN-CLAUDE BLANC EN VISITE À LA TUILIÈRE
14 Mars 2023 13:03
Nouveau Directeur général d’INEOS Sport en poste depuis février, Jean-Claude Blanc était à Lausanne jeudi dernier.
Il s’est rendu au Stade de la Tuilière où il a rencontré et échangé avec les dirigeants et collaborateurs du club. En compagnie de notre président Leen Heemskerk, il a notamment assisté à l’entraînement de la première équipe à quelques heures de son déplacement à Schaffhouse.
Pour le LS, la visite de Jean-Claude Blanc quelques jours après sa prise de fonction est un signe fort, très apprécié par l’ensemble des collaborateurs du club. Les échanges ont été riches et divers sur l’ensemble des défis et objectifs du LS.
Jean-Claude Blanc est un dirigeant connu et reconnu dans le sport international. Il aura en effet durant sa carrière dirigé le développement du PSG et de la Juventus après avoir participé aux succès de Roland-Garros, du Tour de France et des Jeux Olympiques d’Albertville notamment.
L’ensemble du club lui souhaite un plein succès dans ses nouvelles fonctions et se réjouit des échanges à venir.
14 Mars 2023 13:03
Nouveau Directeur général d’INEOS Sport en poste depuis février, Jean-Claude Blanc était à Lausanne jeudi dernier.
Il s’est rendu au Stade de la Tuilière où il a rencontré et échangé avec les dirigeants et collaborateurs du club. En compagnie de notre président Leen Heemskerk, il a notamment assisté à l’entraînement de la première équipe à quelques heures de son déplacement à Schaffhouse.
Pour le LS, la visite de Jean-Claude Blanc quelques jours après sa prise de fonction est un signe fort, très apprécié par l’ensemble des collaborateurs du club. Les échanges ont été riches et divers sur l’ensemble des défis et objectifs du LS.
Jean-Claude Blanc est un dirigeant connu et reconnu dans le sport international. Il aura en effet durant sa carrière dirigé le développement du PSG et de la Juventus après avoir participé aux succès de Roland-Garros, du Tour de France et des Jeux Olympiques d’Albertville notamment.
L’ensemble du club lui souhaite un plein succès dans ses nouvelles fonctions et se réjouit des échanges à venir.
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://youtu.be/s5qPi7JM-uE
Vidéo du camp de préparation en Tunisie
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Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
De retour à la Tuilière
Gabriel Barès: «Quitter le LS n’a pas été ma décision»
Quinze mois après un départ brutal, l’international M21 se retrouvera pour la première fois, ce dimanche, face à son club formateur à la Tuilière. Avec ce FC Thoune où il a été prêté par Montpellier. Interview.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 09h14
Gabriel Barès a trouvé à Thoune un contexte idéal pour continuer de progresser.
JEAN-PAUL GUINNARD
Gabriel Barès, comment envisagez-vous ce premier retour à la Tuilière?
Avec beaucoup de plaisir et aucune appréhension. Même si j’y étais déjà revenu avec la Suisse M21, puis avec Thoune en automne, mais seulement en tant que spectateur (ndlr: il était blessé), ce ne sera pas la même chose dimanche. Je ne vais d’ailleurs pas mentir en disant que c’est un match comme un autre pour moi. Je me réjouis simplement d’y être.
Il sera aussi presque décisif pour Thoune dans l’optique de la promotion, non?
Une défaite à la Tuilière nous compliquerait en effet pas mal les choses. Alors qu’une victoire nous rapprocherait encore des meilleurs, tout en nous confortant dans l’idée que nous avons encore notre mot à dire pour figurer sur le podium final. Cela dit, dimanche soir, il restera encore dix matches à jouer, et dans un championnat aussi atypique que l’est cette Challenge League, tout sera encore possible.
Avant un tel rendez-vous, sentez-vous une pression particulière?
Pas du tout. La semaine s’est déroulée comme n’importe quelle autre chez nous. Il faut savoir que personne n’a jamais parlé de promotion ici. Même dans le vestiaire, entre nous, le sujet n’est pas abordé. À Thoune, on vit les choses de façon très tranquille, sans se monter la tête après une bonne série ni trop se la prendre lorsque ça se passe un peu moins bien. Le contexte y est idéal pour grandir et progresser.
Pourtant le FC Thoune semble avoir été bâti pour monter, non?
Je ne cache pas que, sur le papier, l’équipe a belle allure avec plusieurs joueurs qui ont évolué en Super League. Mais il ne faut pas oublier que beaucoup de choses ont changé ici l’été dernier avec l’arrivée d’un nouveau coach qui prône un autre style de jeu et une façon de travailler différente. Il a fallu du temps pour que tout cela se mette bien en place.
En 2023, Thoune est d’ailleurs la meilleure équipe de CL avec le LS…
En ce qui nous concerne, je pense que cela a déjà commencé à changer un peu avant la pause hivernale. On a alors pu constater, grâce à de meilleurs résultats, que tout le travail effectué depuis l’été finissait par payer. Et puis il y a aussi eu cette belle qualification contre Lucerne en Coupe, en février, qui nous a donné davantage de confiance.
L’avant-match LS – Thoune, Tuilière dimanche 16 h 30
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Êtes-vous, vous aussi, étonné de voir les incroyables parcours de Wil, YS et SLO?
Comme presque tout le monde, je pense. Au début, je me disais qu’ils allaient bien finir par craquer, mais ils tiennent tous parfaitement le coup. Au sein de ces trois équipes, je sens peut-être une forme d’insouciance qui les aide certainement, mais surtout une formidable mentalité de gagneurs et une grande force de caractère sur le terrain. Comme l’an passé, la lutte pour le podium va être très serrée jusqu’au bout.
Dans un monde normal, vous auriez dû jouer le match de dimanche en bleu et blanc.
C’est vrai, mais tout ne se passe pas toujours comme on le souhaite.
N’est-ce donc pas vous qui aviez demandé à partir en janvier 2022?
Pas du tout. Quitter le LS n’a été ni mon choix ni ma décision. Je n’ai jamais voulu que les choses se passent de cette manière. Malheureusement, des gens qui étaient alors à la tête du club ont pensé différemment et m’ont demandé de me chercher un nouveau club durant la trêve hivernale.
N’avez-vous rien tenté pour leur faire changer d’avis?
Bien sûr. Lorsque l’on m’a annoncé brutalement après un match, fin 2021, que je devais aller voir ailleurs, je ne me suis pas découragé. À la reprise des entraînements, en janvier, j’étais déterminé à tout donner pour rester. Mais dès le début, j’ai été mis à l’écart du groupe, sans possibilité de rebondir. Tout cela alors que j’avais prolongé de trois ans et demi mon contrat quelques mois plus tôt. Cette période a été très douloureuse pour moi.
Comment votre choix s’est-il porté sur Montpellier?
C’est un club qui me suivait depuis quelque temps déjà et, vu ma situation avec le LS, l’affaire s’est assez vite réglée. Il y avait d’autres clubs intéressés, mais Montpellier est le seul à avoir formulé une offre concrète.
Était-ce un bon choix, sachant que vous n’avez pas joué la moindre minute en Ligue 1 en six mois?
Oui, car à Noël Montpellier était sixième de Ligue 1. La perspective de se développer dans un bon contexte, sans stress, où je pourrais avoir un peu de temps de jeu semblait idéale. Malheureusement, les résultats n’ont ensuite pas été bons du tout et la situation de plus en plus délicate de l’équipe a incité le coach à miser essentiellement sur ses hommes de confiance pour éviter le pire.
Avez-vous le sentiment d’y avoir perdu votre temps?
Pas du tout. Au contraire. Même si je n’ai pas eu l’occasion de jouer, lors des entraînements j’ai pu côtoyer de très bons joueurs, voir les progrès que j’avais encore à faire.
Le fossé entre la Super League et la Ligue 1 est-il si grand?
Cela peut paraître un peu prétentieux de la part d’un gars qui n’a pas foulé les pelouses de Ligue 1 mais je ne pense pas que la différence soit gigantesque. Au niveau physique, il en existe certainement une, mais pas trop sur le plan technique.
Est-ce justement le domaine où vous avez le plus progressé là-bas?
Non, c’est à Thoune, grâce aux exigences de Mauro Lustrinelli et au fait d’enchaîner les matches, que j’ai bien progressé physiquement. À Montpellier, c’est plutôt au niveau mental, dans la force de caractère, que j’ai franchi un ou deux paliers. Comme lors des six derniers mois au LS, j’ai appris à gérer la frustration de ne pas jouer et à ne surtout jamais baisser les bras.
Gabriel Barès ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait après la fin de son prêt au FC Thoune en juin prochain.
JEAN-PAUL GUINNARD
Pourquoi avoir choisi Thoune pour rebondir?
Passer de la Ligue 1 à la Challenge League peut en effet sembler être un grand pas en arrière. Il n’en est pourtant rien. Après une dernière saison sans beaucoup de temps de jeu, ma priorité était d’être sur le terrain le week-end. Et à Thoune le contexte est parfait avec un entraîneur qui me connaît bien, m’apprécie et compte beaucoup sur moi. Je n’ai d’ailleurs pas hésité avant d’accepter ce défi important pour la suite de ma carrière.
Comment voyez-vous la suite?
Pour l’instant, je me concentre sur le présent sans penser à ce qui se passera ensuite. Je veux tout donner pour que la saison se termine le mieux possible avec Thoune avant, j’espère, de réussir un bon Euro avec l’équipe de Suisse M21. La seule chose dont je suis certain, c’est qu’il me faudra trouver, ici ou ailleurs, un club au sein duquel je pourrai jouer et poursuivre ma progression. Mais tout cela dépend aussi de Montpellier où j’ai encore un contrat de plusieurs années.
Et un retour au LS, où les personnes ne sont plus les mêmes, est-il envisageable?
En football plus que dans tout autre domaine, il ne faut jamais dire jamais, même si la chose semble un peu compliquée aujourd’hui avec ce qui s’est passé il y a quinze mois. Cela dit, je n’en veux à personne. Au contraire, je me dis que cette rupture avec un club qui me reste cher aura peut-être finalement été une bonne chose pour moi et ma carrière.
Gabriel Barès: «Quitter le LS n’a pas été ma décision»
Quinze mois après un départ brutal, l’international M21 se retrouvera pour la première fois, ce dimanche, face à son club formateur à la Tuilière. Avec ce FC Thoune où il a été prêté par Montpellier. Interview.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 09h14
Gabriel Barès a trouvé à Thoune un contexte idéal pour continuer de progresser.
JEAN-PAUL GUINNARD
Gabriel Barès, comment envisagez-vous ce premier retour à la Tuilière?
Avec beaucoup de plaisir et aucune appréhension. Même si j’y étais déjà revenu avec la Suisse M21, puis avec Thoune en automne, mais seulement en tant que spectateur (ndlr: il était blessé), ce ne sera pas la même chose dimanche. Je ne vais d’ailleurs pas mentir en disant que c’est un match comme un autre pour moi. Je me réjouis simplement d’y être.
Il sera aussi presque décisif pour Thoune dans l’optique de la promotion, non?
Une défaite à la Tuilière nous compliquerait en effet pas mal les choses. Alors qu’une victoire nous rapprocherait encore des meilleurs, tout en nous confortant dans l’idée que nous avons encore notre mot à dire pour figurer sur le podium final. Cela dit, dimanche soir, il restera encore dix matches à jouer, et dans un championnat aussi atypique que l’est cette Challenge League, tout sera encore possible.
Avant un tel rendez-vous, sentez-vous une pression particulière?
Pas du tout. La semaine s’est déroulée comme n’importe quelle autre chez nous. Il faut savoir que personne n’a jamais parlé de promotion ici. Même dans le vestiaire, entre nous, le sujet n’est pas abordé. À Thoune, on vit les choses de façon très tranquille, sans se monter la tête après une bonne série ni trop se la prendre lorsque ça se passe un peu moins bien. Le contexte y est idéal pour grandir et progresser.
Pourtant le FC Thoune semble avoir été bâti pour monter, non?
Je ne cache pas que, sur le papier, l’équipe a belle allure avec plusieurs joueurs qui ont évolué en Super League. Mais il ne faut pas oublier que beaucoup de choses ont changé ici l’été dernier avec l’arrivée d’un nouveau coach qui prône un autre style de jeu et une façon de travailler différente. Il a fallu du temps pour que tout cela se mette bien en place.
En 2023, Thoune est d’ailleurs la meilleure équipe de CL avec le LS…
En ce qui nous concerne, je pense que cela a déjà commencé à changer un peu avant la pause hivernale. On a alors pu constater, grâce à de meilleurs résultats, que tout le travail effectué depuis l’été finissait par payer. Et puis il y a aussi eu cette belle qualification contre Lucerne en Coupe, en février, qui nous a donné davantage de confiance.
L’avant-match LS – Thoune, Tuilière dimanche 16 h 30
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Êtes-vous, vous aussi, étonné de voir les incroyables parcours de Wil, YS et SLO?
Comme presque tout le monde, je pense. Au début, je me disais qu’ils allaient bien finir par craquer, mais ils tiennent tous parfaitement le coup. Au sein de ces trois équipes, je sens peut-être une forme d’insouciance qui les aide certainement, mais surtout une formidable mentalité de gagneurs et une grande force de caractère sur le terrain. Comme l’an passé, la lutte pour le podium va être très serrée jusqu’au bout.
Dans un monde normal, vous auriez dû jouer le match de dimanche en bleu et blanc.
C’est vrai, mais tout ne se passe pas toujours comme on le souhaite.
N’est-ce donc pas vous qui aviez demandé à partir en janvier 2022?
Pas du tout. Quitter le LS n’a été ni mon choix ni ma décision. Je n’ai jamais voulu que les choses se passent de cette manière. Malheureusement, des gens qui étaient alors à la tête du club ont pensé différemment et m’ont demandé de me chercher un nouveau club durant la trêve hivernale.
N’avez-vous rien tenté pour leur faire changer d’avis?
Bien sûr. Lorsque l’on m’a annoncé brutalement après un match, fin 2021, que je devais aller voir ailleurs, je ne me suis pas découragé. À la reprise des entraînements, en janvier, j’étais déterminé à tout donner pour rester. Mais dès le début, j’ai été mis à l’écart du groupe, sans possibilité de rebondir. Tout cela alors que j’avais prolongé de trois ans et demi mon contrat quelques mois plus tôt. Cette période a été très douloureuse pour moi.
Comment votre choix s’est-il porté sur Montpellier?
C’est un club qui me suivait depuis quelque temps déjà et, vu ma situation avec le LS, l’affaire s’est assez vite réglée. Il y avait d’autres clubs intéressés, mais Montpellier est le seul à avoir formulé une offre concrète.
Était-ce un bon choix, sachant que vous n’avez pas joué la moindre minute en Ligue 1 en six mois?
Oui, car à Noël Montpellier était sixième de Ligue 1. La perspective de se développer dans un bon contexte, sans stress, où je pourrais avoir un peu de temps de jeu semblait idéale. Malheureusement, les résultats n’ont ensuite pas été bons du tout et la situation de plus en plus délicate de l’équipe a incité le coach à miser essentiellement sur ses hommes de confiance pour éviter le pire.
Avez-vous le sentiment d’y avoir perdu votre temps?
Pas du tout. Au contraire. Même si je n’ai pas eu l’occasion de jouer, lors des entraînements j’ai pu côtoyer de très bons joueurs, voir les progrès que j’avais encore à faire.
Le fossé entre la Super League et la Ligue 1 est-il si grand?
Cela peut paraître un peu prétentieux de la part d’un gars qui n’a pas foulé les pelouses de Ligue 1 mais je ne pense pas que la différence soit gigantesque. Au niveau physique, il en existe certainement une, mais pas trop sur le plan technique.
Est-ce justement le domaine où vous avez le plus progressé là-bas?
Non, c’est à Thoune, grâce aux exigences de Mauro Lustrinelli et au fait d’enchaîner les matches, que j’ai bien progressé physiquement. À Montpellier, c’est plutôt au niveau mental, dans la force de caractère, que j’ai franchi un ou deux paliers. Comme lors des six derniers mois au LS, j’ai appris à gérer la frustration de ne pas jouer et à ne surtout jamais baisser les bras.
Gabriel Barès ne sait pas encore de quoi son avenir sera fait après la fin de son prêt au FC Thoune en juin prochain.
JEAN-PAUL GUINNARD
Pourquoi avoir choisi Thoune pour rebondir?
Passer de la Ligue 1 à la Challenge League peut en effet sembler être un grand pas en arrière. Il n’en est pourtant rien. Après une dernière saison sans beaucoup de temps de jeu, ma priorité était d’être sur le terrain le week-end. Et à Thoune le contexte est parfait avec un entraîneur qui me connaît bien, m’apprécie et compte beaucoup sur moi. Je n’ai d’ailleurs pas hésité avant d’accepter ce défi important pour la suite de ma carrière.
Comment voyez-vous la suite?
Pour l’instant, je me concentre sur le présent sans penser à ce qui se passera ensuite. Je veux tout donner pour que la saison se termine le mieux possible avec Thoune avant, j’espère, de réussir un bon Euro avec l’équipe de Suisse M21. La seule chose dont je suis certain, c’est qu’il me faudra trouver, ici ou ailleurs, un club au sein duquel je pourrai jouer et poursuivre ma progression. Mais tout cela dépend aussi de Montpellier où j’ai encore un contrat de plusieurs années.
Et un retour au LS, où les personnes ne sont plus les mêmes, est-il envisageable?
En football plus que dans tout autre domaine, il ne faut jamais dire jamais, même si la chose semble un peu compliquée aujourd’hui avec ce qui s’est passé il y a quinze mois. Cela dit, je n’en veux à personne. Au contraire, je me dis que cette rupture avec un club qui me reste cher aura peut-être finalement été une bonne chose pour moi et ma carrière.
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Quel gachis !
fritz.k- Date d'inscription : 23/06/2013
kok9 aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Si il y avait que çà..........
TKP1- Date d'inscription : 16/06/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
fritz.k a écrit:Quel gachis !
On peut parler de gâchis pour Lukembila, Monteiro et peut-être Schmid, mais pour Bares je suis moins sûr
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Joueur élégant avec du talent, en tout cas.fatpig a écrit:fritz.k a écrit:Quel gachis !
On peut parler de gâchis pour Lukembila, Monteiro et peut-être Schmid, mais pour Bares je suis moins sûr
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Oui élégant un superbe pied gauche mais physiquement très faible on lui souffle dessus, il tombe comme sancheskok9 a écrit:Joueur élégant avec du talent, en tout cas.fatpig a écrit:fritz.k a écrit:Quel gachis !
On peut parler de gâchis pour Lukembila, Monteiro et peut-être Schmid, mais pour Bares je suis moins sûr
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le résumé du match :
https://www.carton-rouge.ch/2023/03/19/tristhounet/
https://www.carton-rouge.ch/2023/03/19/tristhounet/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Blue Raph aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
In 24h en ligne de ce soir. Florian Vaney
Malade, le LS court toujours à la recherche du feu sacré
Frappé par un virus cette semaine, surclassé par Thoune dimanche à la Tuilière (1-3), le Lausanne-Sport n’arrive pas à se dresser au-dessus de la mêlée.
Un coup de tête sous la latte, le début d’un soupçon de pression dans le camp adverse, un public qui réagit au quart de tour. C’étaient les prémices de ce feu que le Lausanne-Sport recherche tant bien que mal sous ses crampons depuis le début de la saison. Quelques brèves minutes de partage et d’union pour ouvrir la seconde mi-temps du duel de dimanche face à Thoune. Ça pouvait ressembler au lancement d’un sprint final vers la promotion, ce moment béni dans une vie de footballeur et de supporters où les émotions positives s’enchaînent dans un parfait cercle vertueux. Mais non. Ce n’était qu’une parenthèse dans un match lors duquel le LS n’a pas eu grand-chose à proposer. Les Bernois ont vite repris le large (3-1 au final). Le sprint final débute au petit trot.
L’horizon actuel des Lausannois, c’est un duel contre Yverdon Sport dans deux semaines qui promet de remplir la Tuilière (on évoque 6000 billets déjà vendus) et dix petits matches encore à disputer d’ici au dénouement de l’exercice. Alors oui, les temps sont importants. Et les diverses inaugurations du nouveau stade de la ville jouées dans un passé récent peuvent en témoigner: ces épisodes charnières ont rarement coïncidé avec les performances sportives les plus enthousiasmantes du LS depuis qu’il vit dans son nouvel antre. Il y a là une statistique à faire mentir plus qu’une fatalité pour l’équipe de Ludovic Magnin. Reste qu’en amuse-bouche, le défi représenté par le FC Thoune ce week-end valait comme un moyen de s’affirmer, d’annoncer la couleur. Ce que le Lausanne-Sport n’a pas su faire.
Entraînement annulé vendredi
Avoir assisté à cette rencontre, c’est être obligé d’en extrapoler la substance. À observer la formation de l’Oberland lui tourner autour, Lausanne n’est pas la meilleure équipe de Challenge League. Ça pourrait être une vérité, dans un monde où le court terme et les apparences font la loi. Parce que oui, dimanche, les Bernois valaient largement plus que leurs adversaires, dans chaque domaine, quand bien même l’existence de leurs neuf (désormais six) points de retard. Et ça, tout le monde l’a vu, rendant le verdict des apparences implacables.
Maintenant, il faut ajouter à ce constat une dimension, que Ludovic Magnin a présentée une fois les deux équipes rentrées au vestiaire. «On a fait face à un épisode de gastro cette semaine. Ça concerne plusieurs joueurs. Pour ne pas risquer de propager le virus, on a annulé l’entraînement de vendredi.» Dans la foulée, le technicien dira aussi ceci: «Certains de nos résultats cette saison m’ont frustré. Pas la défaite de ce soir. C’est un match qu’on ne pouvait pas gagner. Pour beaucoup de raisons.»
Il appartient à chacun de considérer cette explication comme il le souhaite. Dans les faits, le LS a paru étrangement fébrile dans les duels et timide lorsqu’il s’agissait de contester les conduites de balle des attaquants bernois. Ce qui donne un poids certain à l’excuse des microbes. À l’inverse, trois ou quatre joueurs «seulement» semblent avoir été atteints par la maladie et une seule journée d’entraînement a fini par tomber à l’eau. Sans doute serait-il exagéré d’en faire l’unique bouc émissaire de la différence d’intensité apparue dimanche.
Pour l’instant, ce que le supporter lausannois peut faire, c’est s’accrocher. S’accrocher aux souvenirs des oppositions abouties lorsque le LS a croisé la route d’une équipe de Super League cette saison. S’y accrocher jusqu’à se convaincre que ce groupe se veut davantage taillé pour l’élite que pour la Challenge League. Que même au milieu de performances moyennes, même dominé par le FC Thoune, même toujours scotché à la 3e place, il reste l’un des mieux placés pour monter. Et surtout, qu’à tout moment, comme le Lausanne-Sport de la saison 2010-2011 l’avait appelé en enchaînant sept succès lors des sept derniers matches pour retrouver la première division, le feu sacré peut apparaître. Le cadre du choc face à Yverdon ferait un excellent combustible.
Malade, le LS court toujours à la recherche du feu sacré
Frappé par un virus cette semaine, surclassé par Thoune dimanche à la Tuilière (1-3), le Lausanne-Sport n’arrive pas à se dresser au-dessus de la mêlée.
Un coup de tête sous la latte, le début d’un soupçon de pression dans le camp adverse, un public qui réagit au quart de tour. C’étaient les prémices de ce feu que le Lausanne-Sport recherche tant bien que mal sous ses crampons depuis le début de la saison. Quelques brèves minutes de partage et d’union pour ouvrir la seconde mi-temps du duel de dimanche face à Thoune. Ça pouvait ressembler au lancement d’un sprint final vers la promotion, ce moment béni dans une vie de footballeur et de supporters où les émotions positives s’enchaînent dans un parfait cercle vertueux. Mais non. Ce n’était qu’une parenthèse dans un match lors duquel le LS n’a pas eu grand-chose à proposer. Les Bernois ont vite repris le large (3-1 au final). Le sprint final débute au petit trot.
L’horizon actuel des Lausannois, c’est un duel contre Yverdon Sport dans deux semaines qui promet de remplir la Tuilière (on évoque 6000 billets déjà vendus) et dix petits matches encore à disputer d’ici au dénouement de l’exercice. Alors oui, les temps sont importants. Et les diverses inaugurations du nouveau stade de la ville jouées dans un passé récent peuvent en témoigner: ces épisodes charnières ont rarement coïncidé avec les performances sportives les plus enthousiasmantes du LS depuis qu’il vit dans son nouvel antre. Il y a là une statistique à faire mentir plus qu’une fatalité pour l’équipe de Ludovic Magnin. Reste qu’en amuse-bouche, le défi représenté par le FC Thoune ce week-end valait comme un moyen de s’affirmer, d’annoncer la couleur. Ce que le Lausanne-Sport n’a pas su faire.
Entraînement annulé vendredi
Avoir assisté à cette rencontre, c’est être obligé d’en extrapoler la substance. À observer la formation de l’Oberland lui tourner autour, Lausanne n’est pas la meilleure équipe de Challenge League. Ça pourrait être une vérité, dans un monde où le court terme et les apparences font la loi. Parce que oui, dimanche, les Bernois valaient largement plus que leurs adversaires, dans chaque domaine, quand bien même l’existence de leurs neuf (désormais six) points de retard. Et ça, tout le monde l’a vu, rendant le verdict des apparences implacables.
Maintenant, il faut ajouter à ce constat une dimension, que Ludovic Magnin a présentée une fois les deux équipes rentrées au vestiaire. «On a fait face à un épisode de gastro cette semaine. Ça concerne plusieurs joueurs. Pour ne pas risquer de propager le virus, on a annulé l’entraînement de vendredi.» Dans la foulée, le technicien dira aussi ceci: «Certains de nos résultats cette saison m’ont frustré. Pas la défaite de ce soir. C’est un match qu’on ne pouvait pas gagner. Pour beaucoup de raisons.»
Il appartient à chacun de considérer cette explication comme il le souhaite. Dans les faits, le LS a paru étrangement fébrile dans les duels et timide lorsqu’il s’agissait de contester les conduites de balle des attaquants bernois. Ce qui donne un poids certain à l’excuse des microbes. À l’inverse, trois ou quatre joueurs «seulement» semblent avoir été atteints par la maladie et une seule journée d’entraînement a fini par tomber à l’eau. Sans doute serait-il exagéré d’en faire l’unique bouc émissaire de la différence d’intensité apparue dimanche.
Pour l’instant, ce que le supporter lausannois peut faire, c’est s’accrocher. S’accrocher aux souvenirs des oppositions abouties lorsque le LS a croisé la route d’une équipe de Super League cette saison. S’y accrocher jusqu’à se convaincre que ce groupe se veut davantage taillé pour l’élite que pour la Challenge League. Que même au milieu de performances moyennes, même dominé par le FC Thoune, même toujours scotché à la 3e place, il reste l’un des mieux placés pour monter. Et surtout, qu’à tout moment, comme le Lausanne-Sport de la saison 2010-2011 l’avait appelé en enchaînant sept succès lors des sept derniers matches pour retrouver la première division, le feu sacré peut apparaître. Le cadre du choc face à Yverdon ferait un excellent combustible.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
kok9 a écrit:In 24h en ligne de ce soir. Florian Vaney
Maintenant, il faut ajouter à ce constat une dimension, que Ludovic Magnin a présentée une fois les deux équipes rentrées au vestiaire. «On a fait face à un épisode de gastro cette semaine. Ça concerne plusieurs joueurs. Pour ne pas risquer de propager le virus, on a annulé l’entraînement de vendredi.» Dans la foulée, le technicien dira aussi ceci: «Certains de nos résultats cette saison m’ont frustré. Pas la défaite de ce soir. C’est un match qu’on ne pouvait pas gagner. Pour beaucoup de raisons.»
Il appartient à chacun de considérer cette explication comme il le souhaite.
Puisque chacun peut « considérer cette explication comme il le souhaite », permettez-moi de considérer que là, on (« on » désignant Magnin) se paie notre tête. Ou alors, quand on cherche des excuses à la c…, faut au moins veiller à être cohérent dans la communication: voici ce qu’on pouvait lire dans l’article paru dimanche juste avant le match sur le Matin (https://www.lematin.ch/story/le-luxueux-casse-tete-de-ludovic-magnin-207031323929): « Pour la première fois de la saison, se réjouit Ludo Magnin, j’ai l’embarras du choix avec un groupe au complet. Désigner ces joueurs - qui s’impliquent tous de façon irréprochable durant la semaine - que je devrai mettre sur le banc, voire même d’envoyer en tribune, est un vrai casse-tête. Mais je préfère avoir ce problème plutôt que celui que nous avions trop souvent connu l’automne passé avec des titulaires qui savaient déjà le lundi qu’ils joueraient le week-end en raison des nombreux blessés.»
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
mic et Old School aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Entièrement d'accord; après les équipes adverses qui jouent trop haut ou trop bas et qui ne conviennent pas ni les unes ni les autres, voilà le double discours quant à la disponibilité des joueurs, ces explications/excuses bidon destinées à éviter de se confronter à la réalité deviennent pénibles.
neLSon- Date d'inscription : 21/03/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/challenge-league/stjepan-kukuruzovic-se-confie-le-ls-est-la-meilleure-equipe-de-la-ligue-et-on-va-le-montrer-contre-yverdon-id18415068.html
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Le Vaudois, fatpig et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Magnifique Kuki que les dieux puissent t'entendre.
En tout cas hier on a eu un aperçu de son magnifique pied gauche.
En tout cas hier on a eu un aperçu de son magnifique pied gauche.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Le Vaudois et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://frapp.ch/fr/articles/stories/le-paolo-maldini-fribourgeois?fbclid=PAAaYGmQtK-lDzOlJf_m-V_c_0aW89xSv3-3c4Thx0re8VHElN8LZdUfpifkg
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Le Vaudois et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
cord est attendue ce dimanche à la Tuilière
Le derby vaudois, et match au sommet de Challenge League, entre le LS et Yverdon devrait permettre au stade de la Tuilière d’afficher complet, ou presque.
par
André Boschetti
Le record de spectateurs (12 150) du stade de la Tuilière a été établi le 12 septembre 2021 à l’occasion du match entre le LS et le FC Sion. Sera-t-il battu ce dimanche lors du derby vaudois?
Pascal Muller/freshfocus
Un match de Challenge League peut aussi attirer la grande foule en Suisse romande. Mais pour cela, il est indispensable que l’événement soit exceptionnel. Ce qui sera le cas du grand derby vaudois qui mettra aux prises, ce dimanche (16h30), le Lausanne-Sport, club phare du canton et actuel troisième au classement, à Yverdon Sport, l’étonnant et séduisant leader du championnat.
Publicité
«Mardi, nous avions d’ores et déjà vendu plus de 8000 billets, se réjouit Vincent Steinmann. A ce rythme, je pense que nous atteindrons sans trop de problème la barre des 10000 spectateurs. Et si les gens continuent de se mobiliser comme ils le font depuis quelques jours, on peut rêver d’un stade de la Tuilière qui affichera complet ou presque. Notre ambition est que quelque 12000 personnes, sur les 12500 que peut accueillir l’enceinte, soient présentes pour ce qui sera la grande fête du football vaudois. En fait, seul le secteur de 700 places réservé aux supporters yverdonnois risque de ne pas être complet.»
Un engouement auquel a participé l’un des partenaires du LS. «Il y a quelques semaines, continue le vice-président lausannois, Realdeals.ch, une société d’e-commerce, nous a approchés en nous proposant d’acheter les quelque 1600 places de la tribune B pour en faire une offre promotionnelle à leurs clients. Et, je crois, cette initiative a plutôt bien été accueillie.»
Directeur de cette société spécialisée dans les bons plans à prix cassés dans le domaine du bien-être des loisirs, et accessoirement membre de la Confrérie du LS, Gabriel Burger. «L’idée était de contribuer à aider le club phare du canton à faire de ce derby une vraie fête du football vaudois. Pour cela, nous avons proposé ces quelque 1600 billets aux habitués de Realdeals.ch au prix cassé de 10 frs. En plus, chaque acquéreur d’une place a reçu un T-shirt spécialement conçu pour cet événement ainsi que des bons d’une valeur de 200 frs.»
«Tous nos billets (1600) ont été écoulés en moins de 24 heures ce qui, selon moi, n’a rien d’étonnant. Même s’il est récemment passé par des moments difficiles, le LS reste une belle marque, grâce aussi à son magnifique stade.»
Gabriel Burger, directeur de Realdeals.ch, partenaire du LS
Une initiative qui a connu un grand succès si l’on en croit Gabriel Burger. «Tous nos billets ont été écoulés en moins de 24 heures ce qui, selon moi, n’a rien d’étonnant. Même s’il est récemment passé par des moments difficiles, le LS reste une belle marque, grâce aussi à son magnifique stade. Cette opération nous a bien entendu coûté de l’argent et nous analyserons tout cela un peu plus tard, mais je peux déjà vous dire que nous n’écartons pas la possibilité de répéter à l’avenir. Sous cette forme ou une autre. Peut-être en nous associant avec d’autres partenaires aussi.»
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Plus de 7000 spectateurs lors du 1er LS-YS
Ce dimanche, en collaboration avec le LS, Realdeals.ch mettra au concours une loge pour une dizaine de personnes, d’une valeur de 3500 frs, pour le match entre le LS et Schaffhouse du 28 avril prochain. «Le gagnant sera impérativement une personne présente à la Tuilière dimanche», précise Gabriel Burger.
Quoi qu’il arrive d’ici à dimanche, le stade de la Tuilière connaîtra l’une de ses trois meilleures affluences depuis son ouverture à… huis clos en novembre 2020. Pour mémoire, le record actuel de 12 150 spectateurs remonte au 12 septembre 2021, jour de l’inauguration officielle de l’enceinte, à l’occasion du derby romand contre le FC Sion (1-1). Quant à la deuxième, elle avait rassemblé 10 037 personnes, le 28 novembre de la même année, pour la venue de Servette (0-3). Cette saison, le «record», qui sera pulvérisé dimanche, a été établi lors du premier derby vaudois face à Yverdon. Le 11 septembre dernier, 7105 personnes avaient assisté à un spectaculaire duel remporté 3-2 par le LS.
Le derby vaudois, et match au sommet de Challenge League, entre le LS et Yverdon devrait permettre au stade de la Tuilière d’afficher complet, ou presque.
par
André Boschetti
Le record de spectateurs (12 150) du stade de la Tuilière a été établi le 12 septembre 2021 à l’occasion du match entre le LS et le FC Sion. Sera-t-il battu ce dimanche lors du derby vaudois?
Pascal Muller/freshfocus
Un match de Challenge League peut aussi attirer la grande foule en Suisse romande. Mais pour cela, il est indispensable que l’événement soit exceptionnel. Ce qui sera le cas du grand derby vaudois qui mettra aux prises, ce dimanche (16h30), le Lausanne-Sport, club phare du canton et actuel troisième au classement, à Yverdon Sport, l’étonnant et séduisant leader du championnat.
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«Mardi, nous avions d’ores et déjà vendu plus de 8000 billets, se réjouit Vincent Steinmann. A ce rythme, je pense que nous atteindrons sans trop de problème la barre des 10000 spectateurs. Et si les gens continuent de se mobiliser comme ils le font depuis quelques jours, on peut rêver d’un stade de la Tuilière qui affichera complet ou presque. Notre ambition est que quelque 12000 personnes, sur les 12500 que peut accueillir l’enceinte, soient présentes pour ce qui sera la grande fête du football vaudois. En fait, seul le secteur de 700 places réservé aux supporters yverdonnois risque de ne pas être complet.»
Un engouement auquel a participé l’un des partenaires du LS. «Il y a quelques semaines, continue le vice-président lausannois, Realdeals.ch, une société d’e-commerce, nous a approchés en nous proposant d’acheter les quelque 1600 places de la tribune B pour en faire une offre promotionnelle à leurs clients. Et, je crois, cette initiative a plutôt bien été accueillie.»
Directeur de cette société spécialisée dans les bons plans à prix cassés dans le domaine du bien-être des loisirs, et accessoirement membre de la Confrérie du LS, Gabriel Burger. «L’idée était de contribuer à aider le club phare du canton à faire de ce derby une vraie fête du football vaudois. Pour cela, nous avons proposé ces quelque 1600 billets aux habitués de Realdeals.ch au prix cassé de 10 frs. En plus, chaque acquéreur d’une place a reçu un T-shirt spécialement conçu pour cet événement ainsi que des bons d’une valeur de 200 frs.»
«Tous nos billets (1600) ont été écoulés en moins de 24 heures ce qui, selon moi, n’a rien d’étonnant. Même s’il est récemment passé par des moments difficiles, le LS reste une belle marque, grâce aussi à son magnifique stade.»
Gabriel Burger, directeur de Realdeals.ch, partenaire du LS
Une initiative qui a connu un grand succès si l’on en croit Gabriel Burger. «Tous nos billets ont été écoulés en moins de 24 heures ce qui, selon moi, n’a rien d’étonnant. Même s’il est récemment passé par des moments difficiles, le LS reste une belle marque, grâce aussi à son magnifique stade. Cette opération nous a bien entendu coûté de l’argent et nous analyserons tout cela un peu plus tard, mais je peux déjà vous dire que nous n’écartons pas la possibilité de répéter à l’avenir. Sous cette forme ou une autre. Peut-être en nous associant avec d’autres partenaires aussi.»
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Plus de 7000 spectateurs lors du 1er LS-YS
Ce dimanche, en collaboration avec le LS, Realdeals.ch mettra au concours une loge pour une dizaine de personnes, d’une valeur de 3500 frs, pour le match entre le LS et Schaffhouse du 28 avril prochain. «Le gagnant sera impérativement une personne présente à la Tuilière dimanche», précise Gabriel Burger.
Quoi qu’il arrive d’ici à dimanche, le stade de la Tuilière connaîtra l’une de ses trois meilleures affluences depuis son ouverture à… huis clos en novembre 2020. Pour mémoire, le record actuel de 12 150 spectateurs remonte au 12 septembre 2021, jour de l’inauguration officielle de l’enceinte, à l’occasion du derby romand contre le FC Sion (1-1). Quant à la deuxième, elle avait rassemblé 10 037 personnes, le 28 novembre de la même année, pour la venue de Servette (0-3). Cette saison, le «record», qui sera pulvérisé dimanche, a été établi lors du premier derby vaudois face à Yverdon. Le 11 septembre dernier, 7105 personnes avaient assisté à un spectaculaire duel remporté 3-2 par le LS.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Si un joueur n'arrive pas à tout donner (et même davantage...) quand l'enjeu est capital et que le stade est (très) bien garni, qu'il aille voir ailleurs ou change de sport !
Nous avons beaucoup accepté et pardonné jusque-là. Certainement trop.
Aucune excuse dimanche ! La victoire !
Nous serons là.
Allez Lausanne !
Nous avons beaucoup accepté et pardonné jusque-là. Certainement trop.
Aucune excuse dimanche ! La victoire !
Nous serons là.
Allez Lausanne !
Old School- Localisation : Echandens
Date d'inscription : 07/08/2007
Blue Raph, Matt, kok9, NPLS et neLSon aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Nicolas Lefèvre n’a pas pu suivre la même voie que son ancien coéquipier et ami de longue date, Ludovic Magnin. Ils évoquent pour la première fois ensemble une histoire qui les lie depuis près de 28 ans.
https://www.paraplegie.ch/fr/blog/au-plus-pres-de-son-reve/
https://www.paraplegie.ch/fr/blog/au-plus-pres-de-son-reve/
LsLover- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 26/09/2017
dudu, Old School et lausarme aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
LsLover a écrit:Nicolas Lefèvre n’a pas pu suivre la même voie que son ancien coéquipier et ami de longue date, Ludovic Magnin. Ils évoquent pour la première fois ensemble une histoire qui les lie depuis près de 28 ans.
https://www.paraplegie.ch/fr/blog/au-plus-pres-de-son-reve/
Article extrêmement touchant et plein d'humanité.
Deux gars animés de (très) belles valeurs.
Je ne connais pas personnellement Nicolas, mais l'ai bien entendu très souvent croisé. Nous avons échangé parfois quelques mots lors des matchs du LS.
La prochaine fois, au lieu de "tourner en rond" avant le début de la partie, je prendrai plus de temps pour échanger sur ces passions que nous avons tous en commun ici : le football et le LS. Les émotions partagées sont certainement les meilleures.
Bonne fin de semaine et vivement dimanche...
Allez Lausanne !
Old School- Localisation : Echandens
Date d'inscription : 07/08/2007
lausarme, LsLover et neLSon aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
L’homme qui se cache derrière la mythique voix de la Tuilière
Les générations se succèdent, Patrick Rochat, le speaker du Lausanne-Sport, reste. Avec ses intonations reconnaissables entre mille et ses phrases signature.
Florian Vaney
Un «Adieu, bonne!» et il raccroche le téléphone. Comment aurait-il pu en être autrement que ces deux mots, enrobés dans son accent vaudois de velours? La conversation avait été courte, mais efficace. Un rendez-vous pris, devant la Tuilière, sa Tuilière, où aucune voix n’est plus célèbre que la sienne. Mais surtout, ce qui ressemble à un défi. «Je ne comprends pas d’où vient l’enthousiasme des gens pour ma voix. Peut-être que vous avez une idée On cherchera ensemble, d’accord?» D’accord.
Patrick Rochat a beau incarner une voix plus qu’un visage, on le connaît comme le loup blanc dans l’antre du Lausanne-Sport. Une poignée de main avec Vincent Steinmann, le vice-président du club, et il apprend que le derby de dimanche face à Yverdon devrait flirter avec la barre des 10’000 spectateurs. «Parfait. Ce sont les meilleurs matches. Ceux où les mots d’un speaker résonnent, où ils rebondissent sur la foule.»
Le speaker à Lausanne, c’est lui. Mais faut-il vraiment le souligner? Sa popularité dans le coin se coupe au couteau aussi bien que son accent. «S’il faut le définir, je dirais qu’il a des sonorités de la vallée de Joux. Mais je n’ai pas de famille là-bas.»
Son caractère déborde au micro
Voilà qui entretiendra le mythe, rendu célèbre par ses «temps additionnel minimoum», imités dans toute la Suisse romande, ou par ses non moins fameux «Bitte, kein Pyro!» à chaque fois qu’un groupe de supporters alémaniques craque quelques engins pyrotechniques dans la tribune. «Je sais que ça ne sert à rien de le leur dire. Mais si je ne le fais pas, le club reçoit une amende. À vrai dire, je trouve même ça plutôt sympa, lorsque ça a lieu avant le coup d’envoi. Ça colore un stade! Pendant la partie par contre, ça n’a pas sa place. Et je ne parle même pas des pétards et des fusées»
Revenons-en au défi initial. Patrick Rochat reste perplexe quant à ce succès, qui lui vaut parfois d’être reconnu dès qu’il ouvre la bouche, même bien loin du stade. Il ne l’a jamais cherché. Mais ce qu’on note, c’est qu’il est indissociable de ses phrases signature. «C’est vrai que quand arrive le moment du minimoum, j’en joue un peu, j’en rajoute. Je sais que les gens l’attendent. Mais en bon vaudois, minimum, ça se dit minimoum, j’y peux rien.»
Voilà peut-être le début d’une explication. Loin du carcan parfois strict qui régit les lois des speakers, Patrick Rochat incarne la générosité. Comme si l’on pouvait sentir son caractère déborder au micro. D’ailleurs, lui n’est que bénévole. Et il n’aspire à rien d’autre. Ancien président de jeunesse, ancien boss du FC Le Mont (avant l’ère Serge Duperret), le jeune retraité connaît la valeur du temps qu’on préfère offrir que compter.
C’est naturellement ainsi que l’histoire a commencé. «Au Mont, c’est au président que revient le rôle de speaker. Serge a toujours refusé de s’y mettre, alors je le remplaçais.» L’écho a dû résonner jusqu’aux Plaines-du-Loup, où le LS en a fait sa voix en 2009 et où il «donne un coup de main» au micro de Stade Lausanne Ouchy depuis trois ans. Tantôt à Échallens pour un match de Coupe de Suisse, tantôt à Poliez-Pittet pour les finales de 4e ligue, l’homme sait se multiplier. «Si je peux représenter une porte d’entrée, un vecteur vers le Lausanne-Sport en donnant de la voix çà et là»
Aucun match manqué en quatorze ans
On avance. C’est à ce moment, attablé dans la salle habituellement réservée au club de soutien La Confrérie, que Patrick Rochat lâche la bombe. «Depuis que j’occupe le rôle de speaker, je n’ai jamais manqué un match officiel du LS.» Aucune fanfaronnade dans l’anecdote. Plutôt un hommage à cette éducation paysanne qu’il a reçue, «où l’on pense au collectif, où l’on va au bout des choses». Même lorsqu’une extinction de voix menace au réveil, un jour de match. «C’est le plus grand coup de chaud que j’ai connu. À la pharmacie, on m’a prescrit des pilules pour la gorge. Vous savez, de celles qu’on donne aux chanteurs, se marre le jeune retraité. C’est parti en un rien de temps.»
À la générosité se greffe donc l’exigence. Cela peut prêter à sourire, mais «Monsieur Minimoum», comme certains le surnomment, prête une attention très particulière à la prononciation des choses. «J’y ajoute une couche d’accent vaudois derrière, mais la base doit être juste. C’est le moindre des respects.» Il faut ainsi l’imaginer, l’été dernier lors d’un charity game à la Tuilière, se renseigner auprès d’un membre du staff du Dynamo Kiev sur la phonétique de la vingtaine de joueurs ukrainiens. Ou faire relire ses interventions traduites en anglais lors d’un match de l’équipe de Suisse M21, langue dans laquelle il aurait sans doute de la peine à commander un café au bistrot.
Reste un dernier point notable à aborder ensemble. Dans un Lausanne-Sport qui s’est souvent cherché une identité ces dernières saisons, Patrick Rochat représente une valeur fixe, une inusable couverture régionale. Il ne confirme ni n’infirme cette idée. Mais son sourire est toujours là. «C’est peut-être pour ça que le club me garde.» Assurément pour un tas d’autres raisons aussi.
À Yverdon Sport, le terrain et les coulisses
Mario Di Pietrantonio a entendu que la tribune visiteurs pourrait faire un peu tache dimanche, bloc clairsemé au milieu d’un stade qu’on promet quasi plein pour le troisième derby entre le Lausanne-Sport et Yverdon cette saison. «Elle sera pleine», promet le président d’YS. L’homme se prononce-t-il avec une idée derrière la tête pour combler les quelque 700 places réservées aux Nord-Vaudois? «Je vous dis juste que la tribune sera pleine, c’est tout. Par chez nous, on met toujours du temps à se décider à aller au stade.» Si les Yverdonnois l’emportent, ils prendront sept points d’avance sur leurs voisins. Un succès sportif impressionnant qu’il convient de mettre en parallèle du dossier chaud du moment au Stade municipal: la demande de licence pour évoluer en Super League la saison prochaine.
Celle-ci met directement en exergue trois défis auxquels doivent se soumettre les Verts.
Le volet sportif De ce côté-ci, on l’a dit, tout baigne. Yverdon Sport est un leader provisoire de Challenge League surprenant, mais pas indigne de son rang. Un succès dimanche lui donnerait un élan fou vers une ascension sportive.
Le volet financier Mario Di Pietrantonio cherche toujours et encore un repreneur pour le club. Si passation il devait ne pas y avoir avant le terme de la saison, le boss d’YS l’a assuré: le club assumera financièrement la montée. «Ce n’est pas Mario Di Pietrantonio tout seul qui comblera le futur budget. Il faut imaginer un plan de sponsoring clair qui permettra à l’équipe de vivre en Super League.»
Le volet des infrastructures En l’état actuel, il n’est vraiment pas certain que le Stade municipal soit homologué pour accueillir des rencontres de Super League. Imaginer YS viser l’obtention de sa licence en deuxième instance n’a d’ailleurs rien d’illusoire. Ici, le président renvoie la balle en direction de la Municipalité d’Yverdon-les-Bains. «C’est principalement sur ses épaules que reposent les deux ou trois détails liés au stade qui me font souci et qu’il faudra régler. Mais nous avons de très bonnes relations.» De très bonnes relations qui n’ont pas empêché l’abandon du projet culturel et sportif Sports 5, dans lequel les deux parties étaient impliquées, notamment en raison des oppositions reçues de la part de certains acteurs du milieu de la culture. FVA
Les générations se succèdent, Patrick Rochat, le speaker du Lausanne-Sport, reste. Avec ses intonations reconnaissables entre mille et ses phrases signature.
Florian Vaney
Un «Adieu, bonne!» et il raccroche le téléphone. Comment aurait-il pu en être autrement que ces deux mots, enrobés dans son accent vaudois de velours? La conversation avait été courte, mais efficace. Un rendez-vous pris, devant la Tuilière, sa Tuilière, où aucune voix n’est plus célèbre que la sienne. Mais surtout, ce qui ressemble à un défi. «Je ne comprends pas d’où vient l’enthousiasme des gens pour ma voix. Peut-être que vous avez une idée On cherchera ensemble, d’accord?» D’accord.
Patrick Rochat a beau incarner une voix plus qu’un visage, on le connaît comme le loup blanc dans l’antre du Lausanne-Sport. Une poignée de main avec Vincent Steinmann, le vice-président du club, et il apprend que le derby de dimanche face à Yverdon devrait flirter avec la barre des 10’000 spectateurs. «Parfait. Ce sont les meilleurs matches. Ceux où les mots d’un speaker résonnent, où ils rebondissent sur la foule.»
Le speaker à Lausanne, c’est lui. Mais faut-il vraiment le souligner? Sa popularité dans le coin se coupe au couteau aussi bien que son accent. «S’il faut le définir, je dirais qu’il a des sonorités de la vallée de Joux. Mais je n’ai pas de famille là-bas.»
Son caractère déborde au micro
Voilà qui entretiendra le mythe, rendu célèbre par ses «temps additionnel minimoum», imités dans toute la Suisse romande, ou par ses non moins fameux «Bitte, kein Pyro!» à chaque fois qu’un groupe de supporters alémaniques craque quelques engins pyrotechniques dans la tribune. «Je sais que ça ne sert à rien de le leur dire. Mais si je ne le fais pas, le club reçoit une amende. À vrai dire, je trouve même ça plutôt sympa, lorsque ça a lieu avant le coup d’envoi. Ça colore un stade! Pendant la partie par contre, ça n’a pas sa place. Et je ne parle même pas des pétards et des fusées»
Revenons-en au défi initial. Patrick Rochat reste perplexe quant à ce succès, qui lui vaut parfois d’être reconnu dès qu’il ouvre la bouche, même bien loin du stade. Il ne l’a jamais cherché. Mais ce qu’on note, c’est qu’il est indissociable de ses phrases signature. «C’est vrai que quand arrive le moment du minimoum, j’en joue un peu, j’en rajoute. Je sais que les gens l’attendent. Mais en bon vaudois, minimum, ça se dit minimoum, j’y peux rien.»
Voilà peut-être le début d’une explication. Loin du carcan parfois strict qui régit les lois des speakers, Patrick Rochat incarne la générosité. Comme si l’on pouvait sentir son caractère déborder au micro. D’ailleurs, lui n’est que bénévole. Et il n’aspire à rien d’autre. Ancien président de jeunesse, ancien boss du FC Le Mont (avant l’ère Serge Duperret), le jeune retraité connaît la valeur du temps qu’on préfère offrir que compter.
C’est naturellement ainsi que l’histoire a commencé. «Au Mont, c’est au président que revient le rôle de speaker. Serge a toujours refusé de s’y mettre, alors je le remplaçais.» L’écho a dû résonner jusqu’aux Plaines-du-Loup, où le LS en a fait sa voix en 2009 et où il «donne un coup de main» au micro de Stade Lausanne Ouchy depuis trois ans. Tantôt à Échallens pour un match de Coupe de Suisse, tantôt à Poliez-Pittet pour les finales de 4e ligue, l’homme sait se multiplier. «Si je peux représenter une porte d’entrée, un vecteur vers le Lausanne-Sport en donnant de la voix çà et là»
Aucun match manqué en quatorze ans
On avance. C’est à ce moment, attablé dans la salle habituellement réservée au club de soutien La Confrérie, que Patrick Rochat lâche la bombe. «Depuis que j’occupe le rôle de speaker, je n’ai jamais manqué un match officiel du LS.» Aucune fanfaronnade dans l’anecdote. Plutôt un hommage à cette éducation paysanne qu’il a reçue, «où l’on pense au collectif, où l’on va au bout des choses». Même lorsqu’une extinction de voix menace au réveil, un jour de match. «C’est le plus grand coup de chaud que j’ai connu. À la pharmacie, on m’a prescrit des pilules pour la gorge. Vous savez, de celles qu’on donne aux chanteurs, se marre le jeune retraité. C’est parti en un rien de temps.»
À la générosité se greffe donc l’exigence. Cela peut prêter à sourire, mais «Monsieur Minimoum», comme certains le surnomment, prête une attention très particulière à la prononciation des choses. «J’y ajoute une couche d’accent vaudois derrière, mais la base doit être juste. C’est le moindre des respects.» Il faut ainsi l’imaginer, l’été dernier lors d’un charity game à la Tuilière, se renseigner auprès d’un membre du staff du Dynamo Kiev sur la phonétique de la vingtaine de joueurs ukrainiens. Ou faire relire ses interventions traduites en anglais lors d’un match de l’équipe de Suisse M21, langue dans laquelle il aurait sans doute de la peine à commander un café au bistrot.
Reste un dernier point notable à aborder ensemble. Dans un Lausanne-Sport qui s’est souvent cherché une identité ces dernières saisons, Patrick Rochat représente une valeur fixe, une inusable couverture régionale. Il ne confirme ni n’infirme cette idée. Mais son sourire est toujours là. «C’est peut-être pour ça que le club me garde.» Assurément pour un tas d’autres raisons aussi.
À Yverdon Sport, le terrain et les coulisses
Mario Di Pietrantonio a entendu que la tribune visiteurs pourrait faire un peu tache dimanche, bloc clairsemé au milieu d’un stade qu’on promet quasi plein pour le troisième derby entre le Lausanne-Sport et Yverdon cette saison. «Elle sera pleine», promet le président d’YS. L’homme se prononce-t-il avec une idée derrière la tête pour combler les quelque 700 places réservées aux Nord-Vaudois? «Je vous dis juste que la tribune sera pleine, c’est tout. Par chez nous, on met toujours du temps à se décider à aller au stade.» Si les Yverdonnois l’emportent, ils prendront sept points d’avance sur leurs voisins. Un succès sportif impressionnant qu’il convient de mettre en parallèle du dossier chaud du moment au Stade municipal: la demande de licence pour évoluer en Super League la saison prochaine.
Celle-ci met directement en exergue trois défis auxquels doivent se soumettre les Verts.
Le volet sportif De ce côté-ci, on l’a dit, tout baigne. Yverdon Sport est un leader provisoire de Challenge League surprenant, mais pas indigne de son rang. Un succès dimanche lui donnerait un élan fou vers une ascension sportive.
Le volet financier Mario Di Pietrantonio cherche toujours et encore un repreneur pour le club. Si passation il devait ne pas y avoir avant le terme de la saison, le boss d’YS l’a assuré: le club assumera financièrement la montée. «Ce n’est pas Mario Di Pietrantonio tout seul qui comblera le futur budget. Il faut imaginer un plan de sponsoring clair qui permettra à l’équipe de vivre en Super League.»
Le volet des infrastructures En l’état actuel, il n’est vraiment pas certain que le Stade municipal soit homologué pour accueillir des rencontres de Super League. Imaginer YS viser l’obtention de sa licence en deuxième instance n’a d’ailleurs rien d’illusoire. Ici, le président renvoie la balle en direction de la Municipalité d’Yverdon-les-Bains. «C’est principalement sur ses épaules que reposent les deux ou trois détails liés au stade qui me font souci et qu’il faudra régler. Mais nous avons de très bonnes relations.» De très bonnes relations qui n’ont pas empêché l’abandon du projet culturel et sportif Sports 5, dans lequel les deux parties étaient impliquées, notamment en raison des oppositions reçues de la part de certains acteurs du milieu de la culture. FVA
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Je ne comprends pas que la veille d'un match pareil, le "grand quotidien vaudois" écrit un papier sur ce type (le speaker), plutôt que de débattre sur la situation du LS, son contingent, le cas Turkes, la motivation des gars à gagner ce "derby" ou l'engouement qu'il y a autour de cette rencontre.
Non, à la place, 24 Heures essaie de mettre en avant notre ... speaker qui, de ce que j'entends autour de moi est loin de faire l'unanimité auprès du public du LS (en tous les cas, le public des tribunes populaires et gradins). Navré, mais personnellement, il me colle la honte sur ses envolées lyriques. Il a beau être sympathique, à mon sens, il est en décalage avec le stade et l'image du LS plus moderne que le club essaie à juste titre de véhiculer.
D'ailleurs, je trouve que le LS devrait reconsidérer la question du speaker de manière sérieuse, pour offrir enfin à la nouvelle génération (et même à l'ancienne dont je fait partie) un speaker plus moderne qui ne fait pas rougir ou rire 60% du stade avec ses minimoums, qui n'hurle pas sur les buts du SLO quand il joue contre le LS, et qui sent un peu moins les entraves de la Pontaise.
Sur ce, demain, ALLEZ LAUSANNE
Non, à la place, 24 Heures essaie de mettre en avant notre ... speaker qui, de ce que j'entends autour de moi est loin de faire l'unanimité auprès du public du LS (en tous les cas, le public des tribunes populaires et gradins). Navré, mais personnellement, il me colle la honte sur ses envolées lyriques. Il a beau être sympathique, à mon sens, il est en décalage avec le stade et l'image du LS plus moderne que le club essaie à juste titre de véhiculer.
D'ailleurs, je trouve que le LS devrait reconsidérer la question du speaker de manière sérieuse, pour offrir enfin à la nouvelle génération (et même à l'ancienne dont je fait partie) un speaker plus moderne qui ne fait pas rougir ou rire 60% du stade avec ses minimoums, qui n'hurle pas sur les buts du SLO quand il joue contre le LS, et qui sent un peu moins les entraves de la Pontaise.
Sur ce, demain, ALLEZ LAUSANNE
Scoopex- Date d'inscription : 01/09/2007
dudu, LKK, Blue Raph, Old School, lausarme, Matt, Le Vaudois et aiment ce message
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