Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/un-club-fonde-en-2002-limprobable-histoire-du-lausanne-sport-camerounais-id17777042.html
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Scoopex, fatpig et lamadechine aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Avant Ne/Xamax - LS
Jeff Collet: «J’ai la chance de faire ce qui me plaît»
Le propriétaire et président de Ne/Xamax retrouve ce vendredi ce LS dont il fut aussi l’homme fort, il y a quelques années.
André Boschetti
Un derby entre Ne/Xamax et le LS est toujours un moment spécial. Cette année davantage encore car les deux équipes ne se sont plus affrontées en championnat depuis le 17 mai 2016. Ce jour-là, les Neuchâtelois s’étaient imposés 3-1 à la Maladière face à un LS déjà assuré de retrouver la Super League. Septante-cinq mois plus tard, ces retrouvailles auront une saveur particulière pour Jean-François Collet. Chacun se souvient que celui qui est le propriétaire et président de Xamax depuis près de trois ans avait occupé les mêmes fonctions entre 2007 et 2013 au LS. Jamais une telle situation ne s’était présentée dans le football suisse jusque-là. Entretien.
Quel sentiment vous anime à quelques heures de ces retrouvailles avec le LS?
C’est très particulier et agréable même si j’aurais bien sûr préféré que ce match se déroule dans un contexte un peu moins tendu pour nous. Les années passent mais je reste toujours très attaché au LS, où j’ai connu de magnifiques années. Cela dit, ce ne sera pas non plus une vraie première pour moi. (Avec le sourire) Personne ne le sait, mais le matin du huitième de finale de Coupe entre LS et Xamax, en octobre 2019, nous étions chez le notaire avec Christian Binggeli pour entériner mon rachat du club. Le soir, j’étais donc déjà propriétaire de Xamax même si l’annonce officielle n’a été faite que quelques jours plus tard. Et sur le terrain, ce baptême n’avait pas été trop réussi puisque nous avions perdu 6-0!
Ces deux expériences se ressemblent-elles?
En partie seulement. En fait, tout avait été un peu plus simple au LS. Le club était proche de la faillite, n’avait plus de président depuis six mois et aucun joueur sous contrat. Il était donc difficile de faire pire. À Neuchâtel, j’ai repris un club dont la situation n’était certes pas très stable mais qui reposait quand même sur de bonnes structures. J’avais donc plus à perdre qu’au LS.
Ce sont aussi deux clubs à la recherche de leur glorieux passé
Oui, mais beaucoup de choses ont changé depuis. Ce qui était possible il y a vingt ou trente ans ne l’est plus aujourd’hui.
Est-ce que les gens le comprennent?
Pas toujours malheureusement. Mais ce décalage ne concerne pas que le foot. Le monde du tennis, que je connais bien, vit la même chose. À Gstaad, Edberg et quelques-uns parmi les meilleurs mondiaux venaient y disputer le tournoi dans les années 90. Proposer une affiche aussi prestigieuse n’est plus possible de nos jours car la concurrence est beaucoup plus féroce et les possibilités de jouer plus nombreuses.
On a un peu l’impression que le public neuchâtelois a parfois du mal à voir un Vaudois à la tête de son club.
À mon arrivée ici, c’était aussi mon ressenti, mais ce n’est plus le cas. J’ose croire que les gens m’ont accepté en se rendant peu à peu compte que je ne suis pas venu pour réaliser une juteuse opération financière en revendant dès que possible le club au plus offrant. Ils voient que je m’implique pleinement pour Xamax.
Ne montrent-ils pas parfois un peu trop leur impatience de revoir leur club en Super League?
Pas plus qu’ailleurs, je crois. Ils ont bien entendu une grande envie que Xamax monte, mais ils comprennent aussi la difficulté du moment, qu’il faut encore un peu de temps et de patience pour y arriver. Cela dit, je reconnais sans peine que nous n’avons pas eu beaucoup de succès depuis mon arrivée et j’en suis certainement en partie responsable. Mais, à l’exception du côté sportif, Xamax repose aujourd’hui sur des bases solides à tous les niveaux.
L’augmentation du nombre de clubs en SL ne met-elle pas une pression supplémentaire sur les équipes de Challenge League? Tous estiment, à tort ou pas, que c’est l’occasion à ne pas rater.
Probablement, mais en ce qui me concerne j’ai toujours dit que l’objectif de Xamax était une place parmi les cinq premiers. Je suis conscient que nous n’avons pas une équipe qui peut prétendre à la promotion, mais elle peut certainement faire bien mieux que ce qu’elle a montré jusque-là. Quant à l’éventuelle pression que mettraient la presse ou les supporters, elle me laisse indifférent. J’ai une ligne directrice claire et je m’y tiendrai.
Ce début de saison manqué vous inquiète-t-il?
Bien sûr. Je reste convaincu que Xamax a une meilleure équipe que l’an passé et qu’elle a encore assez de temps pour le démontrer sur le terrain. Mais pour cela, il faut qu’elle commence enfin son championnat!
La place d’Andrea Binotto est-elle en danger?
Non, mais chacun sait quelles sont les exigences au sein de tous les clubs. Il faut inverser cette tendance négative et je reste persuadé que notre coach peut y parvenir. Un premier point vendredi contre LS nous ferait déjà beaucoup de bien.
Dans votre situation, le LS est-il le meilleur ou le pire adversaire?
Les deux. Contre le grand favori, la pression ne sera pas sur nous. Mais d’un autre côté, si les choses devaient vraiment mal se passer, une lourde défaite pourrait aussi avoir de fâcheuses conséquences sur le moral.
Quel genre de relations avez-vous avec votre ancien club?
Ni meilleures ni pires qu’avec les autres clubs. Récemment, il y a eu quelques petites tensions mais rien de très grave car, globalement, je m’entends bien avec les gens d’Ineos. J’ai beaucoup de respect pour eux. Comme nous tous, ils ont certainement commis des erreurs par le passé, mais ils les assument et les corrigent. Je trouve par exemple intelligent d’avoir construit une équipe avec de bons joueurs de Challenge League pour tenter de remonter.
Après toutes ces années, qu’est-ce qui vous motive encore?
Le plaisir! J’aime vraiment ce job. Jeune joueur, j’espérais devenir professionnel et comme je n’avais pas les qualités, mon rêve suivant était de diriger un club. J’ai eu la chance d’y parvenir et à deux reprises. Après six ans au LS, je suis parti parce que je me sentais usé. Il fallait aussi insuffler une dynamique différente au club. Ensuite j’ai vendu ma société Grand Chelem, je me suis reposé et lorsque la proposition de Christian Binggeli est arrivée, je n’ai pas hésité longtemps. Et tant que j’aurai ce même plaisir, je continuerai.
Vendredi 19 h 30 à la Maladière
Les absents Kukuruzovic, Grippo, Spielmann et Turkes sont blessés. Nanizayamo est de retour après sa suspension. Turkes s’entraîne désormais à 100%, mais il ne refera pas son apparition sur un terrain avant le mois de septembre.
L’info Durant la prochaine pause internationale, le LS se mesurera à nouveau au SLO. Un match amical qui se déroulera le 22 septembre sur le terrain de Bois-Gentil (10 h 30).
Ludovic Magnin: «Xamax est un adversaire à prendre très au sérieux. J’ai vu ses quatre matches perdus et cette équipe a à chaque fois été mal récompensée de ses efforts. Elle vaut beaucoup mieux que son classement.»
Jeff Collet: «J’ai la chance de faire ce qui me plaît»
Le propriétaire et président de Ne/Xamax retrouve ce vendredi ce LS dont il fut aussi l’homme fort, il y a quelques années.
André Boschetti
Un derby entre Ne/Xamax et le LS est toujours un moment spécial. Cette année davantage encore car les deux équipes ne se sont plus affrontées en championnat depuis le 17 mai 2016. Ce jour-là, les Neuchâtelois s’étaient imposés 3-1 à la Maladière face à un LS déjà assuré de retrouver la Super League. Septante-cinq mois plus tard, ces retrouvailles auront une saveur particulière pour Jean-François Collet. Chacun se souvient que celui qui est le propriétaire et président de Xamax depuis près de trois ans avait occupé les mêmes fonctions entre 2007 et 2013 au LS. Jamais une telle situation ne s’était présentée dans le football suisse jusque-là. Entretien.
Quel sentiment vous anime à quelques heures de ces retrouvailles avec le LS?
C’est très particulier et agréable même si j’aurais bien sûr préféré que ce match se déroule dans un contexte un peu moins tendu pour nous. Les années passent mais je reste toujours très attaché au LS, où j’ai connu de magnifiques années. Cela dit, ce ne sera pas non plus une vraie première pour moi. (Avec le sourire) Personne ne le sait, mais le matin du huitième de finale de Coupe entre LS et Xamax, en octobre 2019, nous étions chez le notaire avec Christian Binggeli pour entériner mon rachat du club. Le soir, j’étais donc déjà propriétaire de Xamax même si l’annonce officielle n’a été faite que quelques jours plus tard. Et sur le terrain, ce baptême n’avait pas été trop réussi puisque nous avions perdu 6-0!
Ces deux expériences se ressemblent-elles?
En partie seulement. En fait, tout avait été un peu plus simple au LS. Le club était proche de la faillite, n’avait plus de président depuis six mois et aucun joueur sous contrat. Il était donc difficile de faire pire. À Neuchâtel, j’ai repris un club dont la situation n’était certes pas très stable mais qui reposait quand même sur de bonnes structures. J’avais donc plus à perdre qu’au LS.
Ce sont aussi deux clubs à la recherche de leur glorieux passé
Oui, mais beaucoup de choses ont changé depuis. Ce qui était possible il y a vingt ou trente ans ne l’est plus aujourd’hui.
Est-ce que les gens le comprennent?
Pas toujours malheureusement. Mais ce décalage ne concerne pas que le foot. Le monde du tennis, que je connais bien, vit la même chose. À Gstaad, Edberg et quelques-uns parmi les meilleurs mondiaux venaient y disputer le tournoi dans les années 90. Proposer une affiche aussi prestigieuse n’est plus possible de nos jours car la concurrence est beaucoup plus féroce et les possibilités de jouer plus nombreuses.
On a un peu l’impression que le public neuchâtelois a parfois du mal à voir un Vaudois à la tête de son club.
À mon arrivée ici, c’était aussi mon ressenti, mais ce n’est plus le cas. J’ose croire que les gens m’ont accepté en se rendant peu à peu compte que je ne suis pas venu pour réaliser une juteuse opération financière en revendant dès que possible le club au plus offrant. Ils voient que je m’implique pleinement pour Xamax.
Ne montrent-ils pas parfois un peu trop leur impatience de revoir leur club en Super League?
Pas plus qu’ailleurs, je crois. Ils ont bien entendu une grande envie que Xamax monte, mais ils comprennent aussi la difficulté du moment, qu’il faut encore un peu de temps et de patience pour y arriver. Cela dit, je reconnais sans peine que nous n’avons pas eu beaucoup de succès depuis mon arrivée et j’en suis certainement en partie responsable. Mais, à l’exception du côté sportif, Xamax repose aujourd’hui sur des bases solides à tous les niveaux.
L’augmentation du nombre de clubs en SL ne met-elle pas une pression supplémentaire sur les équipes de Challenge League? Tous estiment, à tort ou pas, que c’est l’occasion à ne pas rater.
Probablement, mais en ce qui me concerne j’ai toujours dit que l’objectif de Xamax était une place parmi les cinq premiers. Je suis conscient que nous n’avons pas une équipe qui peut prétendre à la promotion, mais elle peut certainement faire bien mieux que ce qu’elle a montré jusque-là. Quant à l’éventuelle pression que mettraient la presse ou les supporters, elle me laisse indifférent. J’ai une ligne directrice claire et je m’y tiendrai.
Ce début de saison manqué vous inquiète-t-il?
Bien sûr. Je reste convaincu que Xamax a une meilleure équipe que l’an passé et qu’elle a encore assez de temps pour le démontrer sur le terrain. Mais pour cela, il faut qu’elle commence enfin son championnat!
La place d’Andrea Binotto est-elle en danger?
Non, mais chacun sait quelles sont les exigences au sein de tous les clubs. Il faut inverser cette tendance négative et je reste persuadé que notre coach peut y parvenir. Un premier point vendredi contre LS nous ferait déjà beaucoup de bien.
Dans votre situation, le LS est-il le meilleur ou le pire adversaire?
Les deux. Contre le grand favori, la pression ne sera pas sur nous. Mais d’un autre côté, si les choses devaient vraiment mal se passer, une lourde défaite pourrait aussi avoir de fâcheuses conséquences sur le moral.
Quel genre de relations avez-vous avec votre ancien club?
Ni meilleures ni pires qu’avec les autres clubs. Récemment, il y a eu quelques petites tensions mais rien de très grave car, globalement, je m’entends bien avec les gens d’Ineos. J’ai beaucoup de respect pour eux. Comme nous tous, ils ont certainement commis des erreurs par le passé, mais ils les assument et les corrigent. Je trouve par exemple intelligent d’avoir construit une équipe avec de bons joueurs de Challenge League pour tenter de remonter.
Après toutes ces années, qu’est-ce qui vous motive encore?
Le plaisir! J’aime vraiment ce job. Jeune joueur, j’espérais devenir professionnel et comme je n’avais pas les qualités, mon rêve suivant était de diriger un club. J’ai eu la chance d’y parvenir et à deux reprises. Après six ans au LS, je suis parti parce que je me sentais usé. Il fallait aussi insuffler une dynamique différente au club. Ensuite j’ai vendu ma société Grand Chelem, je me suis reposé et lorsque la proposition de Christian Binggeli est arrivée, je n’ai pas hésité longtemps. Et tant que j’aurai ce même plaisir, je continuerai.
Vendredi 19 h 30 à la Maladière
Les absents Kukuruzovic, Grippo, Spielmann et Turkes sont blessés. Nanizayamo est de retour après sa suspension. Turkes s’entraîne désormais à 100%, mais il ne refera pas son apparition sur un terrain avant le mois de septembre.
L’info Durant la prochaine pause internationale, le LS se mesurera à nouveau au SLO. Un match amical qui se déroulera le 22 septembre sur le terrain de Bois-Gentil (10 h 30).
Ludovic Magnin: «Xamax est un adversaire à prendre très au sérieux. J’ai vu ses quatre matches perdus et cette équipe a à chaque fois été mal récompensée de ses efforts. Elle vaut beaucoup mieux que son classement.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/face-a-xamax-le-ls-aura-un-atout-supplementaire-627589850399
Qwertz- Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le LS dompte Xamax grâce à un coup du sortUn penalty transformé par Trae Coyle suite à une faute de main du Neuchâtelois Fatkic permet aux Vaudois de renouer avec la victoire.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 22h31
Trae Coyle a transformé imparablement le penalty qui a permis au LS de remporter son premier derby de la saison.
keystone-sda.ch
Au terme d’un derby haché et tendu, le Lausanne-Sport a renoué avec la victoire après son petit accroc du week-end dernier contre le SLO. Trois points un brin heureux qui récompensent surtout une performance défensive très solide de Lausannois qui profitent aussi du faux pas d’Yverdon pour reprendre la deuxième place au classement de Challenge League. À deux longueurs de ce toujours plus étonnant FC Wil.
Pour que le public assiste à un bon match, la contribution de l’arbitre joue souvent un rôle important. Vendredi, la prestation de Sven Wolfensberger n’a malheureusement pas été à la hauteur d’un derby qui avait pourtant commencé dans un bon état d’esprit. Sans complexe et plutôt serein malgré ses quatre défaites initiales, Xamax tenait tête sans souffrir à un LS certes dominateur mais qui ne parvenait pas à trouver le moindre espace dans une défense neuchâteloise compacte et attentive.
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
L’erreur de Koyalipou
Au cours d’une première demi-heure avare en émotions, il aura fallu deux erreurs, en quelques secondes seulement, de Castella d’abord - ballon relâché sur une frappe sèche mais plein axe de Saiz - puis, surtout, de Guivarch qui déposait la balle sur la tête de Koyalipou, seul sur la ligne des 18 mètres face au but vide, pour que l’atmosphère monte d’un cran. Un incroyable cadeau dont le Français ne profitait toutefois pas (13e).
Les esprits s’échauffent
C’est peu après que l’arbitre contribuait à ce que les esprits s’échauffent sérieusement suite une série de mauvaises décisions qui ont eu le don d’irriter les acteurs des deux équipes. Une tension qui atteignait son paroxysme lorsqu’une remise de la tête de Dabanli sur un long corner de Custodio finissait sur le bras décollé de Fatkic (44e). Justement, M. Wolfensberger accordait un penalty venu de nulle part aux Vaudois qui déclenchait une colère un brin exagérée des Xamaxiens. Et notamment d’Andrea Binotto que l’arbitre renvoyait au vestiaire. Le coach neuchâtelois quittait le terrain sous une bruyante ovation de ses supporters. Coyle, lui, transformait imparablement la sanction suprême.
La suite, avec 22 acteurs un peu plus calmes même si la tension restait palpable, a autant mis en évidence l’incapacité des Neuchâtelois à prendre en défaut une défense adverse très solide et concentrée que celle des Lausannois de profiter des espaces que leur laissait un Xamax qui prenait logiquement des risques pour tenter d’égaliser.
«Bonne assise défensive»
Malgré une pression adverse de plus en plus forte mais maladroite, le LS ne courait finalement que peu de risques avant de fêter une troisième victoire en cinq sorties qui satisfaisait Ludovic Magnin. «Même si la situation de Xamax me touche, je suis très heureux que nous ayons réussi à nous en sortir dans un contexte très compliqué et face à un bon adversaire. La bonne assise défensive de mon équipe a été le principal point positif aujourd’hui.»
Les mines étaient beaucoup plus sombres du côté de Xamax malgré une performance collective de qualité qui montre que l’équipe reste soudée malgré ce cinquième revers d’affilée. «Nous ne méritions pas de perdre, résumait Jean-François Collet. Et après une petite discussion avec mon coach et mes joueurs, j’ai décidé de confirmer Andrea Binotto dans ses fonctions.»
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
Logique au vu d’une première partie de saison pas aussi mauvaise, dans le jeu, que les résultats obtenus par Xamax jusque-là.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 22h31
Trae Coyle a transformé imparablement le penalty qui a permis au LS de remporter son premier derby de la saison.
keystone-sda.ch
Au terme d’un derby haché et tendu, le Lausanne-Sport a renoué avec la victoire après son petit accroc du week-end dernier contre le SLO. Trois points un brin heureux qui récompensent surtout une performance défensive très solide de Lausannois qui profitent aussi du faux pas d’Yverdon pour reprendre la deuxième place au classement de Challenge League. À deux longueurs de ce toujours plus étonnant FC Wil.
Pour que le public assiste à un bon match, la contribution de l’arbitre joue souvent un rôle important. Vendredi, la prestation de Sven Wolfensberger n’a malheureusement pas été à la hauteur d’un derby qui avait pourtant commencé dans un bon état d’esprit. Sans complexe et plutôt serein malgré ses quatre défaites initiales, Xamax tenait tête sans souffrir à un LS certes dominateur mais qui ne parvenait pas à trouver le moindre espace dans une défense neuchâteloise compacte et attentive.
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
L’erreur de Koyalipou
Au cours d’une première demi-heure avare en émotions, il aura fallu deux erreurs, en quelques secondes seulement, de Castella d’abord - ballon relâché sur une frappe sèche mais plein axe de Saiz - puis, surtout, de Guivarch qui déposait la balle sur la tête de Koyalipou, seul sur la ligne des 18 mètres face au but vide, pour que l’atmosphère monte d’un cran. Un incroyable cadeau dont le Français ne profitait toutefois pas (13e).
Les esprits s’échauffent
C’est peu après que l’arbitre contribuait à ce que les esprits s’échauffent sérieusement suite une série de mauvaises décisions qui ont eu le don d’irriter les acteurs des deux équipes. Une tension qui atteignait son paroxysme lorsqu’une remise de la tête de Dabanli sur un long corner de Custodio finissait sur le bras décollé de Fatkic (44e). Justement, M. Wolfensberger accordait un penalty venu de nulle part aux Vaudois qui déclenchait une colère un brin exagérée des Xamaxiens. Et notamment d’Andrea Binotto que l’arbitre renvoyait au vestiaire. Le coach neuchâtelois quittait le terrain sous une bruyante ovation de ses supporters. Coyle, lui, transformait imparablement la sanction suprême.
La suite, avec 22 acteurs un peu plus calmes même si la tension restait palpable, a autant mis en évidence l’incapacité des Neuchâtelois à prendre en défaut une défense adverse très solide et concentrée que celle des Lausannois de profiter des espaces que leur laissait un Xamax qui prenait logiquement des risques pour tenter d’égaliser.
«Bonne assise défensive»
Malgré une pression adverse de plus en plus forte mais maladroite, le LS ne courait finalement que peu de risques avant de fêter une troisième victoire en cinq sorties qui satisfaisait Ludovic Magnin. «Même si la situation de Xamax me touche, je suis très heureux que nous ayons réussi à nous en sortir dans un contexte très compliqué et face à un bon adversaire. La bonne assise défensive de mon équipe a été le principal point positif aujourd’hui.»
Les mines étaient beaucoup plus sombres du côté de Xamax malgré une performance collective de qualité qui montre que l’équipe reste soudée malgré ce cinquième revers d’affilée. «Nous ne méritions pas de perdre, résumait Jean-François Collet. Et après une petite discussion avec mon coach et mes joueurs, j’ai décidé de confirmer Andrea Binotto dans ses fonctions.»
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
Logique au vu d’une première partie de saison pas aussi mauvaise, dans le jeu, que les résultats obtenus par Xamax jusque-là.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/le-secteur-offensif-reste-le-maillon-faible-du-ls-798964604113
Je crois que tout est dit dans cet article......
Je crois que tout est dit dans cet article......
TKP1- Date d'inscription : 16/06/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.rts.ch/video/sport/sport-dimanche/
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Proprietaire-de-l-ogc-nice-jim-ratcliffe-pourrait-investir-a-manchester-united/1348766
lamadechine- Date d'inscription : 23/07/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Investir, investir, investir........sans oublier notre LS !!! surtout concernant l'effectif !
TKP1- Date d'inscription : 16/06/2022
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football: les ex-Lausannois du FC Gland ont les crocs avant la coupe de Suisse
Passés par les équipes juniors du LS, le gardien Noé Rapo et l’attaquant Themis Velasco tenteront de s’offrir le scalp de leurs anciennes couleurs, dimanche, à En Bord (15h)
Jouer le Lausanne-Sport au premier tour de coupe de Suisse, voilà le joli défi réservé aux joueurs du FC Gland, dimanche. Ce match sera encore plus spécial pour deux d’entre eux, Noé Rapo et Themis Velasco, qui ont porté le chandail «bleu et blanc» durant leurs années juniors.
«On avait fait un petit sondage dans l’équipe avant le tirage et beaucoup voulaient jouer le FC Bâle. Mais il y a eu cette histoire de pots (ndlr: le tirage a été réparti en quatre zones géographiques). A partir de là, Lausanne et Servette étaient clairement les préférés», relève Themis Velasco, qui a joué une année en M16 au LS.
Quand je vois les sacrifices qu’ont faits ceux qui ont réussi, je me dis que ce n’était pas pour moi.
THEMIS VELASCON ATTAQUANT FC GLAND
«J’étais très content qu’on tombe sur Lausanne, histoire d’avoir une petite revanche, sourit le portier Noé Rapo, 17 ans, formé à Forward-Morges et passé par l’équipe lausannoise. La manière dont on m’a fait partir, ce n’était pas très cool. Ils ont essayé de cacher un peu la vérité et ça m’avait un peu déçu.»
Ce match tombe donc à pic. «C’est l’occasion de montrer ce qu’on vaut, même si je suis parfaitement conscient que je n’ai pas le niveau pour jouer au Lausanne-Sport», ajoute l’attaquant de pointe de 22 ans.
Pas que des bons souvenirs
Il faut dire que les deux «orange» ne gardent pas que des bons souvenirs de leur passage à la Pontaise. «L’expérience était sympa, c’était un train de vie différent, mais au niveau du foot, ce n’était pas vraiment l’ambiance qu’on peut trouver dans des clubs régionaux», révèle Themis Velasco.
«A Lausanne, c’était très compétitif et je n’étais pas trop habitué à ça. Quand je vois les sacrifices qu’ont faits ceux qui ont réussi, je me dis que ce n’était pas pour moi. Je n’aurais pas fait le pari de tout miser sur le foot et risquer de me retrouver sans rien», accorde l’étudiant en science du sport, qui a retrouvé son club formateur et ses amis il y a six ans.
Noé Rapo a, lui aussi, connu des moments compliqués au LS. «A partir des M15, je n’ai plus joué pour Lausanne, mais pour le Team Vaud La Côte. Ce n’était pas facile de devoir jongler entre deux équipes», concède le dernier rempart, qui travaille dans une crèche.
Dans ces conditions, le Morgien a finalement décidé de rejoindre En Bord, il y a un an. «Je ne me sentais pas très bien intégré dans le groupe, comme je jouais souvent avec une autre équipe, et le projet glandois m’a beaucoup plu», confie-t-il.
«Garder notre philosophie de jeu»
Finalement, le destin a remis le LS sur leur route. Et les deux Glandois veulent croire à l’exploit: «On doit être une des plus petites équipes contre lesquelles ils pouvaient jouer, donc ils pourraient se dire que ça va être simple. Mais on sait ce qu’on vaut et on va tout faire pour gagner.»
Si je suis titulaire, c’est sûr qu’il va y avoir du boulot.
NOÉ RAPO, GARDIEN FC GLAND
Une chose est certaine: les hommes de Yannick Tachet ne vont pas changer leur manière de jouer. «Pendant la prépa, on a essayé de s’adapter et de jouer différemment, mais on s’est rendu compte que ça ne marchait pas du tout, glisse le numéro neuf. On va garder notre philosophie de jeu.»
Quitte, peut-être, à laisser quelques brèches aux Lausannois. «Si je suis titulaire, c’est sûr qu’il va y avoir du boulot», sourit Noé Rapo. De quoi lui mettre la pression? «Un peu, mais c’est de la bonne pression. Il faut juste que je joue comme je sais le faire», répond le fils de l’ancien gardien Eric Rapo, vainqueur de la coupe de Suisse en 1999 avec… Lausanne.
Le souvenir lucernois
Au petit jeu des pronostics, Themis Velasco espère une victoire des hôtes sur le score de 3-1, alors que Noé Rapo verrait bien un succès 3-2 des Glandois, pourtant classés quatre ligues plus bas que le LS.
«On rentre toujours sur le terrain pour gagner, même si ça sera dur, affirme le citoyen de Gland. On sait que dans certains aspects, on est en dessous. Il faudra qu’on mette plus d’envie, qu’on soit mentalement meilleurs et prêts au combat. On espère les faire douter le plus possible.»
Plus que les trois minutes que les «orange» avaient tenues face à Lucerne, en 2018, lors de la défaite 1-9. «C’était encore plus impressionnant parce que c’était une équipe de Super League, avec Ruben Vargas, se remémore Themis Velasco, entré en cours de match ce jour-là. Dimanche, il y aura l’aspect derby. Je pense que les gens de la région vont se déplacer en nombre.»
Passés par les équipes juniors du LS, le gardien Noé Rapo et l’attaquant Themis Velasco tenteront de s’offrir le scalp de leurs anciennes couleurs, dimanche, à En Bord (15h)
Jouer le Lausanne-Sport au premier tour de coupe de Suisse, voilà le joli défi réservé aux joueurs du FC Gland, dimanche. Ce match sera encore plus spécial pour deux d’entre eux, Noé Rapo et Themis Velasco, qui ont porté le chandail «bleu et blanc» durant leurs années juniors.
«On avait fait un petit sondage dans l’équipe avant le tirage et beaucoup voulaient jouer le FC Bâle. Mais il y a eu cette histoire de pots (ndlr: le tirage a été réparti en quatre zones géographiques). A partir de là, Lausanne et Servette étaient clairement les préférés», relève Themis Velasco, qui a joué une année en M16 au LS.
Quand je vois les sacrifices qu’ont faits ceux qui ont réussi, je me dis que ce n’était pas pour moi.
THEMIS VELASCON ATTAQUANT FC GLAND
«J’étais très content qu’on tombe sur Lausanne, histoire d’avoir une petite revanche, sourit le portier Noé Rapo, 17 ans, formé à Forward-Morges et passé par l’équipe lausannoise. La manière dont on m’a fait partir, ce n’était pas très cool. Ils ont essayé de cacher un peu la vérité et ça m’avait un peu déçu.»
Ce match tombe donc à pic. «C’est l’occasion de montrer ce qu’on vaut, même si je suis parfaitement conscient que je n’ai pas le niveau pour jouer au Lausanne-Sport», ajoute l’attaquant de pointe de 22 ans.
Pas que des bons souvenirs
Il faut dire que les deux «orange» ne gardent pas que des bons souvenirs de leur passage à la Pontaise. «L’expérience était sympa, c’était un train de vie différent, mais au niveau du foot, ce n’était pas vraiment l’ambiance qu’on peut trouver dans des clubs régionaux», révèle Themis Velasco.
«A Lausanne, c’était très compétitif et je n’étais pas trop habitué à ça. Quand je vois les sacrifices qu’ont faits ceux qui ont réussi, je me dis que ce n’était pas pour moi. Je n’aurais pas fait le pari de tout miser sur le foot et risquer de me retrouver sans rien», accorde l’étudiant en science du sport, qui a retrouvé son club formateur et ses amis il y a six ans.
Noé Rapo a, lui aussi, connu des moments compliqués au LS. «A partir des M15, je n’ai plus joué pour Lausanne, mais pour le Team Vaud La Côte. Ce n’était pas facile de devoir jongler entre deux équipes», concède le dernier rempart, qui travaille dans une crèche.
Dans ces conditions, le Morgien a finalement décidé de rejoindre En Bord, il y a un an. «Je ne me sentais pas très bien intégré dans le groupe, comme je jouais souvent avec une autre équipe, et le projet glandois m’a beaucoup plu», confie-t-il.
«Garder notre philosophie de jeu»
Finalement, le destin a remis le LS sur leur route. Et les deux Glandois veulent croire à l’exploit: «On doit être une des plus petites équipes contre lesquelles ils pouvaient jouer, donc ils pourraient se dire que ça va être simple. Mais on sait ce qu’on vaut et on va tout faire pour gagner.»
Si je suis titulaire, c’est sûr qu’il va y avoir du boulot.
NOÉ RAPO, GARDIEN FC GLAND
Une chose est certaine: les hommes de Yannick Tachet ne vont pas changer leur manière de jouer. «Pendant la prépa, on a essayé de s’adapter et de jouer différemment, mais on s’est rendu compte que ça ne marchait pas du tout, glisse le numéro neuf. On va garder notre philosophie de jeu.»
Quitte, peut-être, à laisser quelques brèches aux Lausannois. «Si je suis titulaire, c’est sûr qu’il va y avoir du boulot», sourit Noé Rapo. De quoi lui mettre la pression? «Un peu, mais c’est de la bonne pression. Il faut juste que je joue comme je sais le faire», répond le fils de l’ancien gardien Eric Rapo, vainqueur de la coupe de Suisse en 1999 avec… Lausanne.
Le souvenir lucernois
Au petit jeu des pronostics, Themis Velasco espère une victoire des hôtes sur le score de 3-1, alors que Noé Rapo verrait bien un succès 3-2 des Glandois, pourtant classés quatre ligues plus bas que le LS.
«On rentre toujours sur le terrain pour gagner, même si ça sera dur, affirme le citoyen de Gland. On sait que dans certains aspects, on est en dessous. Il faudra qu’on mette plus d’envie, qu’on soit mentalement meilleurs et prêts au combat. On espère les faire douter le plus possible.»
Plus que les trois minutes que les «orange» avaient tenues face à Lucerne, en 2018, lors de la défaite 1-9. «C’était encore plus impressionnant parce que c’était une équipe de Super League, avec Ruben Vargas, se remémore Themis Velasco, entré en cours de match ce jour-là. Dimanche, il y aura l’aspect derby. Je pense que les gens de la région vont se déplacer en nombre.»
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
24HEURES
Le match d’une vie: Avant la venue du LS, Gland a troqué les ballons contre les boules
Puisque l’équipe de la Côte (2e ligue) est déjà surmotivée à l’idée de recevoir le Lausanne-Sport au premier tour de la Coupe de Suisse dimanche, elle a fait le choix de la décompression.
À Gland, on évacue la pression à la pétanque.
«S’il y a un seul secteur dans lequel on peut être meilleur que Lausanne, c’est l’état d’esprit. Alors… on l’entretient.» La devise pourrait être accrochée sur une banderole à l’entrée du terrain de pétanque où le FC Gland a délocalisé son entraînement mardi soir. Sur le gravier qui a remplacé la pelouse, ça se charrie, ça se marre, ça cherche par tous les moyens (même les plus vicieux) à passer au tour suivant du tournoi de boules organisé pour l’occasion. Et vu qu’aucune banderole n’existe, c’est le capitaine Jérémy Cela qui se fait porte-parole d’un slogan que les Glandois mettent beaucoup de cœur à appliquer.
Dimanche, l’équipe de la Côte dispute le match d’une vie contre le Grand-Lausanne-Sport. Et le pensionnaire de 2e ligue ne veut surtout, mais alors surtout pas revivre le demi-cauchemar d’il y a quatre ans. «On avait tiré Lucerne, qui nous en avait enfilé neuf (1-9). Le problème, c’est qu’on avait joué le match dans nos têtes bien avant le coup d’envoi», lance le défenseur au cours d’un des rares moments de sérieux de la soirée, entre deux gorgées de sa «boisson de récup’». Étrangement, elle est décorée d’une étiquette «Super Bock».
Dérouler le tapis vert
En réalité, le tournoi de pétanque découle plus d’une tradition que d’une soudaine idée de team building. Mais le fait qu’il ait été maintenu au programme à cinq jours d’un historique premier tour de Coupe de Suisse dit beaucoup de l’approche adoptée par le FCG. On décompresse plus qu’on ne cherche à se mettre dedans. Compréhensible, sachant que la majorité des joueurs entretiennent un lien particulier, souvent affectif avec le club phare du canton. Et au regard de l’épisode de 2018 contre Lucerne.
«Tu vas pas en mettre beaucoup si tu tires comme ça dimanche.»
La réplique réservée à Joan Londono, joueur du FC Gland, lorsque ses boules étaient trop courtes mardi soir
Alors mardi, tous les prétextes étaient bons pour évoquer le match de manière légère. Les lancers trop courts de Joan Londono subissaient aussitôt une attaque. «Tu vas pas en mettre beaucoup si tu tires comme ça dimanche.» Les menaces du coach Yannick Tachet pleuvaient lorsque sa place dans le tournoi était menacée. «Nathan (Osih, un attaquant), ça te dérange pas de jouer central gauche contre Lausanne?» Et le mot «protêt» a été prononcé une quantité astronomique de fois, notamment quand une manche se disputait avec le cochonnet un peu trop proche du bord. Clin d’œil plein d’autodérision à la manière dont le FC Gland s’est retrouvé au premier tour de la Coupe de Suisse, à savoir en remportant la finale de la Coupe vaudoise sur tapis vert.
Revanche aux boules?
«D’ailleurs, le LS nous a demandé de lui réserver quatre ou cinq vestiaires. Je ne sais pas à combien ils vont arriver, mais j’espère qu’ils sont au courant du nombre de joueurs qu’ils ont le droit d’avoir sur le banc», sourit Yannick Tachet, qui a bien conscience que les scénarios dans lesquels son équipe crée l’exploit ne sont pas légion.
Il y a bien l’exemple Echichens, qui n’avait rompu que 2-0 l’année dernière contre ce même Lausanne-Sport. «Et Cameron Puertas n’est plus là pour nous mettre une bicyclette. Tout le monde nous parle déjà des échanges avec les joueurs du LS, de la chance de pouvoir partager un moment avec des pros après le match. OK, c’est super, on se réjouit. Mais d’abord, il y a un match à jouer», recadre le technicien.
L’occasion d’apprendre des meilleurs à l’aube d’un championnat de 2e ligue que Gland, finaliste malheureux pour la promotion en juin dernier, se verrait bien remporter. L’opportunité, aussi, de réunir une foule record En Bord (coup d’envoi à 15 h). Et si ça devait vraiment mal se passer sur le terrain? «On espère qu’ils accepteront de prendre la revanche à la pétanque.»
Le Lausanne-Sport viendra avec sa meilleure équipe
Afficher moins
Au FC Gland, on nourrit un vrai respect pour l’adversaire. Certains évoquent même volontiers de l’admiration. Tant pour l’institution LS que pour Ludovic Magnin, son coach. «Je ne ratais pas un de ses matches avec l’équipe de Suisse quand j’étais plus jeune», glisse Yannick Tachet, qui lui fera face sur l’autre banc.
Sans doute n’y a-t-il qu’un moyen pour être digne de cette image à Lausanne: prendre ce match comme un autre. 100% de sérieux, 0% de facilité. «Il n’y aura aucun cadeau, aucun passe-droit pour mon équipe parce que c’est un premier tour de Coupe. Les meilleurs joueront. Point, promet Ludovic Magnin. On s’attend à vivre un beau dimanche, dans l’atmosphère d’un derby cantonal. Mais on vient à Gland pour passer au tour suivant, avec tout le sérieux que ça implique.»
La théorie qui voulait que ce match constitue un retour idéal pour Aldin Turkes est elle aussi balayée. «Le retour d’Aldin, ça se précise. Mais on attend encore les résultats de plusieurs tests qu’il a passés cette semaine.»
Le match d’une vie: Avant la venue du LS, Gland a troqué les ballons contre les boules
Puisque l’équipe de la Côte (2e ligue) est déjà surmotivée à l’idée de recevoir le Lausanne-Sport au premier tour de la Coupe de Suisse dimanche, elle a fait le choix de la décompression.
À Gland, on évacue la pression à la pétanque.
«S’il y a un seul secteur dans lequel on peut être meilleur que Lausanne, c’est l’état d’esprit. Alors… on l’entretient.» La devise pourrait être accrochée sur une banderole à l’entrée du terrain de pétanque où le FC Gland a délocalisé son entraînement mardi soir. Sur le gravier qui a remplacé la pelouse, ça se charrie, ça se marre, ça cherche par tous les moyens (même les plus vicieux) à passer au tour suivant du tournoi de boules organisé pour l’occasion. Et vu qu’aucune banderole n’existe, c’est le capitaine Jérémy Cela qui se fait porte-parole d’un slogan que les Glandois mettent beaucoup de cœur à appliquer.
Dimanche, l’équipe de la Côte dispute le match d’une vie contre le Grand-Lausanne-Sport. Et le pensionnaire de 2e ligue ne veut surtout, mais alors surtout pas revivre le demi-cauchemar d’il y a quatre ans. «On avait tiré Lucerne, qui nous en avait enfilé neuf (1-9). Le problème, c’est qu’on avait joué le match dans nos têtes bien avant le coup d’envoi», lance le défenseur au cours d’un des rares moments de sérieux de la soirée, entre deux gorgées de sa «boisson de récup’». Étrangement, elle est décorée d’une étiquette «Super Bock».
Dérouler le tapis vert
En réalité, le tournoi de pétanque découle plus d’une tradition que d’une soudaine idée de team building. Mais le fait qu’il ait été maintenu au programme à cinq jours d’un historique premier tour de Coupe de Suisse dit beaucoup de l’approche adoptée par le FCG. On décompresse plus qu’on ne cherche à se mettre dedans. Compréhensible, sachant que la majorité des joueurs entretiennent un lien particulier, souvent affectif avec le club phare du canton. Et au regard de l’épisode de 2018 contre Lucerne.
«Tu vas pas en mettre beaucoup si tu tires comme ça dimanche.»
La réplique réservée à Joan Londono, joueur du FC Gland, lorsque ses boules étaient trop courtes mardi soir
Alors mardi, tous les prétextes étaient bons pour évoquer le match de manière légère. Les lancers trop courts de Joan Londono subissaient aussitôt une attaque. «Tu vas pas en mettre beaucoup si tu tires comme ça dimanche.» Les menaces du coach Yannick Tachet pleuvaient lorsque sa place dans le tournoi était menacée. «Nathan (Osih, un attaquant), ça te dérange pas de jouer central gauche contre Lausanne?» Et le mot «protêt» a été prononcé une quantité astronomique de fois, notamment quand une manche se disputait avec le cochonnet un peu trop proche du bord. Clin d’œil plein d’autodérision à la manière dont le FC Gland s’est retrouvé au premier tour de la Coupe de Suisse, à savoir en remportant la finale de la Coupe vaudoise sur tapis vert.
Revanche aux boules?
«D’ailleurs, le LS nous a demandé de lui réserver quatre ou cinq vestiaires. Je ne sais pas à combien ils vont arriver, mais j’espère qu’ils sont au courant du nombre de joueurs qu’ils ont le droit d’avoir sur le banc», sourit Yannick Tachet, qui a bien conscience que les scénarios dans lesquels son équipe crée l’exploit ne sont pas légion.
Il y a bien l’exemple Echichens, qui n’avait rompu que 2-0 l’année dernière contre ce même Lausanne-Sport. «Et Cameron Puertas n’est plus là pour nous mettre une bicyclette. Tout le monde nous parle déjà des échanges avec les joueurs du LS, de la chance de pouvoir partager un moment avec des pros après le match. OK, c’est super, on se réjouit. Mais d’abord, il y a un match à jouer», recadre le technicien.
L’occasion d’apprendre des meilleurs à l’aube d’un championnat de 2e ligue que Gland, finaliste malheureux pour la promotion en juin dernier, se verrait bien remporter. L’opportunité, aussi, de réunir une foule record En Bord (coup d’envoi à 15 h). Et si ça devait vraiment mal se passer sur le terrain? «On espère qu’ils accepteront de prendre la revanche à la pétanque.»
Le Lausanne-Sport viendra avec sa meilleure équipe
Afficher moins
Au FC Gland, on nourrit un vrai respect pour l’adversaire. Certains évoquent même volontiers de l’admiration. Tant pour l’institution LS que pour Ludovic Magnin, son coach. «Je ne ratais pas un de ses matches avec l’équipe de Suisse quand j’étais plus jeune», glisse Yannick Tachet, qui lui fera face sur l’autre banc.
Sans doute n’y a-t-il qu’un moyen pour être digne de cette image à Lausanne: prendre ce match comme un autre. 100% de sérieux, 0% de facilité. «Il n’y aura aucun cadeau, aucun passe-droit pour mon équipe parce que c’est un premier tour de Coupe. Les meilleurs joueront. Point, promet Ludovic Magnin. On s’attend à vivre un beau dimanche, dans l’atmosphère d’un derby cantonal. Mais on vient à Gland pour passer au tour suivant, avec tout le sérieux que ça implique.»
La théorie qui voulait que ce match constitue un retour idéal pour Aldin Turkes est elle aussi balayée. «Le retour d’Aldin, ça se précise. Mais on attend encore les résultats de plusieurs tests qu’il a passés cette semaine.»
Qwertz- Date d'inscription : 29/07/2007
radio_global- Date d'inscription : 28/06/2022
dudu, Homer, lausarme, Nataniel et LSDyl aiment ce message
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
fatpig et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/a-nice-lucien-favre-simpatiente-740743750853
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Bon, si c'est la bouteille à encre à Nice (chacun son tour...), ça ne présage quand même rien de bon pour nous, car on fait toujours partie d'"Ineos sport".
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
fatpig aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Nicolas Pepe a Nice. 650000 euros mensuels. Ineos couvrirait que une partie. Ce salaire seul doit couvrir la masse mensuelle de toute l’equipe du LS actuelle.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le FC Lausanne-Sport doit se passer d'Aldin Turkes depuis fin 2020. Aujourd'hui, l'attaquant de 26 ans est de retour.
En décembre 2020, l'attaquant bosno-suisse a subi une rupture des ligaments croisés lors d'un match contre Lugano. Depuis, il ne peut plus jouer à aucun match. Après plus d'un an et demi, Turkes est maintenant sur le point de faire son grand retour. Contre Vaduz, il pourrait être de retour sur le terrain pour la première fois en 613 jours lors du match à domicile des Romands contre Vaduz
En décembre 2020, l'attaquant bosno-suisse a subi une rupture des ligaments croisés lors d'un match contre Lugano. Depuis, il ne peut plus jouer à aucun match. Après plus d'un an et demi, Turkes est maintenant sur le point de faire son grand retour. Contre Vaduz, il pourrait être de retour sur le terrain pour la première fois en 613 jours lors du match à domicile des Romands contre Vaduz
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
intéressant, mais on lit des infos contradictoires sur Turkes…C’est dans 24 Heures (pas trouvé)?
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.sfl.ch/fr/matchdetail/detail/fc-lausanne-sport-fc-vaduz-942/#tab-chart-live-1
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Dans le Matin :
Gravement blessé à un genou le 23 décembre 2020 à Lugano, le Lausannois Aldin Turkes a enfin reçu le feu vert des médecins pour reprendre la compétition. Mais, après une très longue période d’inactivité de plus de vingt mois, ce retour se fera par étapes, selon Ludovic Magnin.
“Il ne s’entraîne tout à fait normalement avec l’équipe que depuis trois semaines seulement, explique l’entraîneur du LS. Dans ce genre de circonstances, il faut être très prudent. Je ne sais pas encore si je prendrai Aldin sur le banc, dimanche contre Vaduz, ou s’il est préférable qu’il aille jouer avec le Team Vaud M21. Je prendrai la décision d’entente avec lui.”
Gravement blessé à un genou le 23 décembre 2020 à Lugano, le Lausannois Aldin Turkes a enfin reçu le feu vert des médecins pour reprendre la compétition. Mais, après une très longue période d’inactivité de plus de vingt mois, ce retour se fera par étapes, selon Ludovic Magnin.
“Il ne s’entraîne tout à fait normalement avec l’équipe que depuis trois semaines seulement, explique l’entraîneur du LS. Dans ce genre de circonstances, il faut être très prudent. Je ne sais pas encore si je prendrai Aldin sur le banc, dimanche contre Vaduz, ou s’il est préférable qu’il aille jouer avec le Team Vaud M21. Je prendrai la décision d’entente avec lui.”
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
C’est quand même un peu bizarre qu’on ait un communiqué sur les sites de l’ASF et de le matin, mais rien sur le site du LS…
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
24 heures
La Tuilière retrouve son buteur: Aldin Turkes est prêt à faire son retour avec le LS
Aldin Turkes est prêt à faire son retour avec le LS
Absent depuis plus de vingt mois, le buteur lausannois a enfin reçu le feu vert des médecins pour reprendre la compétition.
Le 2 décembre 2020, au stade de la Tuiliere, Aldin Turkes marquait, contre Vaduz, son dernier but sur action avant sa grave blessure. C’est contre ces mêmes Liechtensteinois que le buteur lausannois pourrait faire son retour dimanche.
Le 2 décembre 2020, au stade de la Tuiliere, Aldin Turkes marquait, contre Vaduz, son dernier but sur action avant sa grave blessure. C’est contre ces mêmes Liechtensteinois que le buteur lausannois pourrait faire son retour dimanche.
La date du mercredi 23 décembre 2020 restera à jamais gravée dans la mémoire d’Aldin Turkes. Ce soir-là, au stade du Cornaredo, le serial buteur du LS retombait mal après une élévation et voyait son genou droit «exploser». Suivront plusieurs opérations et des complications qui le priveront de terrain jusqu’en juin dernier. Ce dimanche 28 août pourrait bien être un autre jour mémorable pour Turkes. Dans le sens positif cette fois.
Après une reprise progressive et en douceur, l’Helvético-bosnien peut en effet à nouveau s’entraîner normalement avec ses coéquipiers depuis trois semaines. Mais, après une telle blessure, un retour à la compétition est toujours accompagné d’une multitude de précautions.
«En fin de semaine dernière, explique Ludovic Magnin, Aldin a passé une série de tests qui se sont tous avérés positifs. Il a donc reçu le feu vert des médecins pour reprendre la compétition.»
«Deux scénarios s’offrent à nous. Ou je prends Aldin avec moi sur le banc (dimanche), avec la possibilité de le faire entrer quelques minutes en fin de match, ou il rejoindra le Team Vaud M21 (2e ligue inter) pour accumuler un peu plus de temps de jeu.»
Ludovic Magnin, à propos du retour d’Aldin Turkes
Une nouvelle qui ravit naturellement l’intéressé mais aussi le coach lausannois. «Je suis bien sûr très content mais il est important de ne rien précipiter. Je sais, par expérience, qu’après une blessure qui te laisse un an sur le flanc, tu as besoin d’une autre année pour recouvrer ton meilleur niveau. Alors, avec ce qu’a vécu Aldin, il faudra être à la fois très prudent et patient. J’en ai déjà longuement parlé avec lui et il en est bien conscient.»
Raison pour laquelle rien n’a encore été décidé pour dimanche et la venue de Vaduz à la Tuilière. «Deux scénarios s’offrent à nous, continue Ludovic Magnin. Ou je prends Aldin avec moi sur le banc, avec la possibilité de le faire entrer quelques minutes en fin de match, ou il rejoindra le Team Vaud M21 (2e ligue inter) pour accumuler un peu plus de temps de jeu. La décision sera prise ce vendredi soir après une discussion avec lui et le médecin.»
Lausanne doit apprendre à vivre sans Turkes
Quoi qu’il en soit, un long processus de remise en condition attend Aldin Turkes. «Au niveau de la Challenge League, précise le technicien, il n’a guère plus d’un quart d’heure dans les jambes. Personnellement, je n’ai d’ailleurs aucune attente particulière le concernant. Je ne lui mets donc aucune pression. Et j’ose espérer que le public non plus. Les supporters lausannois doivent simplement être heureux de retrouver Aldin mais sans attendre de lui qu’il marque des buts.»
Un dernier renfort?
Pour cela, Magnin n’a pas écarté l’idée d’engager un attaquant supplémentaire d’ici au 31 août. «Comme je l’espérais, les choses sont en train de bouger dans le bon sens en cette fin de mercato. Nous suivons actuellement deux ou trois pistes intéressantes mais nous n’allons pas non plus nous précipiter. Le LS ne recrutera qu’un joueur à même d’apporter une vraie valeur ajoutée à ce groupe très uni et solidaire.»
Autrement dit, si aucune des pistes actuelles ne devait se concrétiser, l’hypothèse que personne ne rejoigne la Tuilière en début de semaine prochaine serait elle aussi envisageable. Même si elle n’est pas la plus vraisemblable aujourd’hui.
La Tuilière retrouve son buteur: Aldin Turkes est prêt à faire son retour avec le LS
Aldin Turkes est prêt à faire son retour avec le LS
Absent depuis plus de vingt mois, le buteur lausannois a enfin reçu le feu vert des médecins pour reprendre la compétition.
Le 2 décembre 2020, au stade de la Tuiliere, Aldin Turkes marquait, contre Vaduz, son dernier but sur action avant sa grave blessure. C’est contre ces mêmes Liechtensteinois que le buteur lausannois pourrait faire son retour dimanche.
Le 2 décembre 2020, au stade de la Tuiliere, Aldin Turkes marquait, contre Vaduz, son dernier but sur action avant sa grave blessure. C’est contre ces mêmes Liechtensteinois que le buteur lausannois pourrait faire son retour dimanche.
La date du mercredi 23 décembre 2020 restera à jamais gravée dans la mémoire d’Aldin Turkes. Ce soir-là, au stade du Cornaredo, le serial buteur du LS retombait mal après une élévation et voyait son genou droit «exploser». Suivront plusieurs opérations et des complications qui le priveront de terrain jusqu’en juin dernier. Ce dimanche 28 août pourrait bien être un autre jour mémorable pour Turkes. Dans le sens positif cette fois.
Après une reprise progressive et en douceur, l’Helvético-bosnien peut en effet à nouveau s’entraîner normalement avec ses coéquipiers depuis trois semaines. Mais, après une telle blessure, un retour à la compétition est toujours accompagné d’une multitude de précautions.
«En fin de semaine dernière, explique Ludovic Magnin, Aldin a passé une série de tests qui se sont tous avérés positifs. Il a donc reçu le feu vert des médecins pour reprendre la compétition.»
«Deux scénarios s’offrent à nous. Ou je prends Aldin avec moi sur le banc (dimanche), avec la possibilité de le faire entrer quelques minutes en fin de match, ou il rejoindra le Team Vaud M21 (2e ligue inter) pour accumuler un peu plus de temps de jeu.»
Ludovic Magnin, à propos du retour d’Aldin Turkes
Une nouvelle qui ravit naturellement l’intéressé mais aussi le coach lausannois. «Je suis bien sûr très content mais il est important de ne rien précipiter. Je sais, par expérience, qu’après une blessure qui te laisse un an sur le flanc, tu as besoin d’une autre année pour recouvrer ton meilleur niveau. Alors, avec ce qu’a vécu Aldin, il faudra être à la fois très prudent et patient. J’en ai déjà longuement parlé avec lui et il en est bien conscient.»
Raison pour laquelle rien n’a encore été décidé pour dimanche et la venue de Vaduz à la Tuilière. «Deux scénarios s’offrent à nous, continue Ludovic Magnin. Ou je prends Aldin avec moi sur le banc, avec la possibilité de le faire entrer quelques minutes en fin de match, ou il rejoindra le Team Vaud M21 (2e ligue inter) pour accumuler un peu plus de temps de jeu. La décision sera prise ce vendredi soir après une discussion avec lui et le médecin.»
Lausanne doit apprendre à vivre sans Turkes
Quoi qu’il en soit, un long processus de remise en condition attend Aldin Turkes. «Au niveau de la Challenge League, précise le technicien, il n’a guère plus d’un quart d’heure dans les jambes. Personnellement, je n’ai d’ailleurs aucune attente particulière le concernant. Je ne lui mets donc aucune pression. Et j’ose espérer que le public non plus. Les supporters lausannois doivent simplement être heureux de retrouver Aldin mais sans attendre de lui qu’il marque des buts.»
Un dernier renfort?
Pour cela, Magnin n’a pas écarté l’idée d’engager un attaquant supplémentaire d’ici au 31 août. «Comme je l’espérais, les choses sont en train de bouger dans le bon sens en cette fin de mercato. Nous suivons actuellement deux ou trois pistes intéressantes mais nous n’allons pas non plus nous précipiter. Le LS ne recrutera qu’un joueur à même d’apporter une vraie valeur ajoutée à ce groupe très uni et solidaire.»
Autrement dit, si aucune des pistes actuelles ne devait se concrétiser, l’hypothèse que personne ne rejoigne la Tuilière en début de semaine prochaine serait elle aussi envisageable. Même si elle n’est pas la plus vraisemblable aujourd’hui.
Qwertz- Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le nouveau podcast du FC Lausanne-Sport
Voici le replay de notre nouvelle émission sur Global Sport
Voici le replay de notre nouvelle émission sur Global Sport
radio_global- Date d'inscription : 28/06/2022
kok9 et LsLover aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football - Avant LS - Vaduz
À gauche, Schwizer a tout pour s’imposer
Avant la réception de l’Européen Vaduz, ce dimanche (16h30), l’homme de couloir du LS est conscient qu’il peut, et doit, mieux faire.
André Boschetti
Sans saveur particulière à l’origine, le duel de ce dimanche entre le Lausanne-Sport et Vaduz s’annonce bien plus pimenté que prévu. Le mérite de ce net regain d’intérêt d’une banale rencontre de Challenge League revient un peu au capital sympathie qu’est en train de se forger la troupe de Ludovic Magnin et beaucoup à la formidable épopée européenne que nous proposent les Liechtensteinois depuis un mois.
Pensionnaire du Rheinpark Stadion lors de l’exercice 2019/2020, le néo-Lausannois Dominik Schwizer n’est pas avare en compliments lorsqu’il évoque l’improbable et historique qualification de son ancien club pour la phase de poule de la Conference League. «Ce que Vaduz a réussi contre Konyaspor d’abord puis, jeudi, face au Rapid Vienne est fantastique. Je dois avouer que jamais je n’y aurais cru. Même s’il est évident qu’il y aura de la fatigue dans les jambes et les têtes des joueurs, dimanche, ils seront aussi portés par une belle euphorie et énormément de confiance. Comme prévu, ce match sera très difficile pour nous car Vaduz vaut bien entendu beaucoup mieux que son classement actuel.»
Un super pied gauche
Un départ décevant que Schwizer explique d’autant plus facilement qu’il a lui-même connu ce contexte particulier lors de son passage à Vaduz. «Lors de cette année au Liechtenstein, nous avions vécu à peu près la même situation en franchissant les deux premiers tours de qualification avant d’échouer en barrage contre l’Eintracht Francfort. Tant sur le plan mental que physique, il n’est pas évident de jouer tous les trois jours. Et puis, je me souviens de ce «choc» de nous retrouver dans un stade presque vide, à Chiasso, moins de 72 heures après avoir joué devant plus de 50’000 personnes à Francfort.»
La différence d’atmosphère ne sera pas aussi flagrante dimanche entre les 15’000 spectateurs présents jeudi à Vienne et les quelque 5000 attendus à la Tuilière. Mais ce qui est certain, c’est que les Lausannois devront proposer leur meilleur visage pour venir à bout d’un adversaire qui sera encore sur son petit nuage. À commencer par Dominik Schwizer. Ciblé dès son arrivée par Ludovic Magnin pour combler le vide de la saison passée sur le flanc gauche, l’ancien joueur de Thoune (26 ans) n’a pas hésité longtemps avant d’accepter de rejoindre le LS. «J’ai eu quelques autres propositions, notamment de Super League, raconte-t-il, mais le discours de Magnin a été très direct et convaincant. Comme le projet sportif que l’on m’a proposé. Ici, tout est plus grand et plus moderne qu’à Vaduz et Thoune, mais la pression y est aussi plus forte. Le club a, comme moi, l’ambition de remonter tout de suite en Super League.»
Pour y parvenir, et avoir ensuite un rôle en vue à y jouer, Dominik Schwizer sait qu’il a encore quelques paliers à franchir. «Sur le plan physique, surtout, concède-t-il sans peine. Et puis, même si le changement entre Thoune et Lausanne a été plus simple que prévu malgré la barrière de la langue, je ne suis pas encore tout à fait satisfait de mes performances jusque-là. Offensivement, je dois apporter beaucoup plus. Et aussi gagner davantage de duels.»
Des progrès que Ludovic Magnin l’estime capable d’effectuer très vite. «Dominik est un joueur que je suis depuis des années déjà. En 2018, j’avais même hésité à le prendre avec moi, au FC Zurich. Il a un magnifique pied gauche qu’il n’a pas encore pleinement réussi à montrer avec le LS, assure le coach lausannois. Avec beaucoup de travail et un peu plus d’agressivité dans les duels, il a le potentiel pour s’établir en Super League.»
Une élite à laquelle le Saint-Gallois n’a fait que goûter jusque-là. Avec le FC Thoune, entre janvier 2018 et juin 2019 (18 présences), avant d’être prêté douze mois en Challenge League, à Vaduz, un club avec lequel il a même obtenu la promotion à l’échelon supérieur grâce à une victoire en barrage contre Thoune. «Ces deux matches étaient très spéciaux pour moi car j’allais, très probablement, devoir ensuite retourner à Thoune où j’avais encore un contrat de deux ans à honorer.»
Un échec mortifiant
Un an plus tard, avec les Bernois de l’Oberland cette fois, Schwizer n’avait à nouveau pu que frôler son rêve de retenter sa chance en Super League puisque Thoune avait fini par s’incliner de justesse, en barrage, face au FC Sion. Une raison de plus pour ne pas laisser échapper cette nouvelle opportunité de fouler les pelouses de l’élite du football suisse la saison prochaine.
L’avant-match-
LS - Thoune, dimanche à 16h30
Les absents LS sans Giger (suspendu), Kukuruzovic, Spielmann ni Grippo (blessés). Koyalipou devrait prendre la place de Giger sur le côté droit.
Des stats favorables Lors de la saison 2020-2021, le LS avait remporté ses quatre confrontations contre Vaduz.
Animation Le rappeur lausannois Arma Jackson se produira dimanche après-midi à l’occasion de l’inauguration de l’LSplanade à la Tuilière. Les festivités démarreront dès midi.
Ludovic Magnin «Après avoir éliminé les Turcs de Konyaspor, Vaduz a réalisé un deuxième incroyable exploit en sortant Rapid Vienne, jeudi. C’est un groupe en pleine confiance que nous accueillerons dimanche. Pour l’emporter, nous devrons mettre d’entrée beaucoup de rythme face à un adversaire qui aura peut-être quelques difficultés à se remettre en route trois jours après avoir beaucoup donné à Vienne.»
À gauche, Schwizer a tout pour s’imposer
Avant la réception de l’Européen Vaduz, ce dimanche (16h30), l’homme de couloir du LS est conscient qu’il peut, et doit, mieux faire.
André Boschetti
Sans saveur particulière à l’origine, le duel de ce dimanche entre le Lausanne-Sport et Vaduz s’annonce bien plus pimenté que prévu. Le mérite de ce net regain d’intérêt d’une banale rencontre de Challenge League revient un peu au capital sympathie qu’est en train de se forger la troupe de Ludovic Magnin et beaucoup à la formidable épopée européenne que nous proposent les Liechtensteinois depuis un mois.
Pensionnaire du Rheinpark Stadion lors de l’exercice 2019/2020, le néo-Lausannois Dominik Schwizer n’est pas avare en compliments lorsqu’il évoque l’improbable et historique qualification de son ancien club pour la phase de poule de la Conference League. «Ce que Vaduz a réussi contre Konyaspor d’abord puis, jeudi, face au Rapid Vienne est fantastique. Je dois avouer que jamais je n’y aurais cru. Même s’il est évident qu’il y aura de la fatigue dans les jambes et les têtes des joueurs, dimanche, ils seront aussi portés par une belle euphorie et énormément de confiance. Comme prévu, ce match sera très difficile pour nous car Vaduz vaut bien entendu beaucoup mieux que son classement actuel.»
Un super pied gauche
Un départ décevant que Schwizer explique d’autant plus facilement qu’il a lui-même connu ce contexte particulier lors de son passage à Vaduz. «Lors de cette année au Liechtenstein, nous avions vécu à peu près la même situation en franchissant les deux premiers tours de qualification avant d’échouer en barrage contre l’Eintracht Francfort. Tant sur le plan mental que physique, il n’est pas évident de jouer tous les trois jours. Et puis, je me souviens de ce «choc» de nous retrouver dans un stade presque vide, à Chiasso, moins de 72 heures après avoir joué devant plus de 50’000 personnes à Francfort.»
La différence d’atmosphère ne sera pas aussi flagrante dimanche entre les 15’000 spectateurs présents jeudi à Vienne et les quelque 5000 attendus à la Tuilière. Mais ce qui est certain, c’est que les Lausannois devront proposer leur meilleur visage pour venir à bout d’un adversaire qui sera encore sur son petit nuage. À commencer par Dominik Schwizer. Ciblé dès son arrivée par Ludovic Magnin pour combler le vide de la saison passée sur le flanc gauche, l’ancien joueur de Thoune (26 ans) n’a pas hésité longtemps avant d’accepter de rejoindre le LS. «J’ai eu quelques autres propositions, notamment de Super League, raconte-t-il, mais le discours de Magnin a été très direct et convaincant. Comme le projet sportif que l’on m’a proposé. Ici, tout est plus grand et plus moderne qu’à Vaduz et Thoune, mais la pression y est aussi plus forte. Le club a, comme moi, l’ambition de remonter tout de suite en Super League.»
Pour y parvenir, et avoir ensuite un rôle en vue à y jouer, Dominik Schwizer sait qu’il a encore quelques paliers à franchir. «Sur le plan physique, surtout, concède-t-il sans peine. Et puis, même si le changement entre Thoune et Lausanne a été plus simple que prévu malgré la barrière de la langue, je ne suis pas encore tout à fait satisfait de mes performances jusque-là. Offensivement, je dois apporter beaucoup plus. Et aussi gagner davantage de duels.»
Des progrès que Ludovic Magnin l’estime capable d’effectuer très vite. «Dominik est un joueur que je suis depuis des années déjà. En 2018, j’avais même hésité à le prendre avec moi, au FC Zurich. Il a un magnifique pied gauche qu’il n’a pas encore pleinement réussi à montrer avec le LS, assure le coach lausannois. Avec beaucoup de travail et un peu plus d’agressivité dans les duels, il a le potentiel pour s’établir en Super League.»
Une élite à laquelle le Saint-Gallois n’a fait que goûter jusque-là. Avec le FC Thoune, entre janvier 2018 et juin 2019 (18 présences), avant d’être prêté douze mois en Challenge League, à Vaduz, un club avec lequel il a même obtenu la promotion à l’échelon supérieur grâce à une victoire en barrage contre Thoune. «Ces deux matches étaient très spéciaux pour moi car j’allais, très probablement, devoir ensuite retourner à Thoune où j’avais encore un contrat de deux ans à honorer.»
Un échec mortifiant
Un an plus tard, avec les Bernois de l’Oberland cette fois, Schwizer n’avait à nouveau pu que frôler son rêve de retenter sa chance en Super League puisque Thoune avait fini par s’incliner de justesse, en barrage, face au FC Sion. Une raison de plus pour ne pas laisser échapper cette nouvelle opportunité de fouler les pelouses de l’élite du football suisse la saison prochaine.
L’avant-match-
LS - Thoune, dimanche à 16h30
Les absents LS sans Giger (suspendu), Kukuruzovic, Spielmann ni Grippo (blessés). Koyalipou devrait prendre la place de Giger sur le côté droit.
Des stats favorables Lors de la saison 2020-2021, le LS avait remporté ses quatre confrontations contre Vaduz.
Animation Le rappeur lausannois Arma Jackson se produira dimanche après-midi à l’occasion de l’inauguration de l’LSplanade à la Tuilière. Les festivités démarreront dès midi.
Ludovic Magnin «Après avoir éliminé les Turcs de Konyaspor, Vaduz a réalisé un deuxième incroyable exploit en sortant Rapid Vienne, jeudi. C’est un groupe en pleine confiance que nous accueillerons dimanche. Pour l’emporter, nous devrons mettre d’entrée beaucoup de rythme face à un adversaire qui aura peut-être quelques difficultés à se remettre en route trois jours après avoir beaucoup donné à Vienne.»
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Quel Vaduz face au LS?
https://lematin.ch/story/quel-vaduz-face-au-ls-402763672791
https://lematin.ch/story/quel-vaduz-face-au-ls-402763672791
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
613 jours plus tard, 495 secondes au goût d’avant pour Aldin Turkes
https://lematin.ch/story/613-jours-plus-tard-495-secondes-au-gout-davant-pour-aldin-turkes-385651314460
https://lematin.ch/story/613-jours-plus-tard-495-secondes-au-gout-davant-pour-aldin-turkes-385651314460
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
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