Les articles de presse (pas de commentaire !)
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Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/feindouno-suffit-juste-gagner-match/story/13693768
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/jeter-eponge-nest-nature/story/26584816
Homer- Date d'inscription : 31/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Yaya Banana porte avec fierté le nom de ses aïeuls
Le nouveau défenseur central du LS sait qu’on attend beaucoup de lui, déjà demain contre Servette. Cela ne fait pas peur au Camerounais
Ensemble, son prénom et son nom forment presque une chanson. Yaya Banana. Et quand il sourit, c’est toute sa passion pour le football qui apparaît. Le jeune footballeur camerounais – 22 ans le 27 juillet dernier – est le renfort défensif que le Lausanne-Sport espérait, attendait. Et que les supporters du club se réjouissent de voir vraiment à l’œuvre samedi soir, au stade de la Praille, contre Servette en seizième de finale de Coupe de Suisse.
En fin d’entraînement, hier matin, dans la salle de presse de la Pontaise, assis devant le vieil étendard du Club Hygiénique de Lausanne – ancêtre du Lausanne-Sport Athlétisme – l’ancien Sochalien évoquait l’origine de son nom magnifique: «En fait, Banana, au Cameroun, signifie grand, géant. Mes grands-pères étaient des géants costauds, alors moi on m’a appelé Banana, parce que je suis grand (ndlr: 1 m 92). Mais je ne me trouve pas vraiment costaud! Eux, ils étaient plus larges d’épaules. » Pourtant, il est déjà bien bâti, Yaya. Mais comment a-t-il commencé à jouer au football? «Dans la rue, après l’école, avec plein de copains. On n’avait que ça, là où je suis né, à l’extrême nord du Cameroun, l’école et le football. On jouait pendant des heures et des heures dans la rue, car le vrai terrain était réservé pour les grands frères. On leur devait le respect. Plus tard, en grandissant, on y a eu droit aussi. »
«Je crois en Dieu» Mais tiens, à propos, pourquoi est-il prénommé Yaya, Yaya Banana? «C’est un prénom musulman qui lui aussi signifie grand. Je suis catholique mais j’ai grandi dans une région musulmane. Je suis croyant, je fais ma prière tous les jours, même dans la rue, dans ma chambre. Dieu m’a aidé, sans lui je ne serais pas ici. » Ses parents, Djougal, le papa et Dividipoli, la maman, auraient bien voulu que le petit Yaya se consacre à autre chose que le foot, fasse des études, trouve un vrai métier. Mais les qualités de Yaya se sont révélées assez vite aux yeux des spécialistes et il passe par les Diables Rouges de Maroua, par l’Achille FC à Yaoundé, puis par des sélections nationales M17 et M20. Avant de s’en aller à l’Espérance Tunis puis à Sochaux et à Lausanne. «J’ai passé ces derniers mois par des moments difficiles, moralement parlant. On ne me faisait pas assez jouer à Sochaux, or il me semblait que j’aurais dû y avoir ma place. À mon âge, je veux, je dois jouer. Je veux être chaque week-end sur le terrain. Je suis plutôt quelqu’un de joyeux, mais je perdais ma bonne nature. Je suis heureux d’être à Lausanne, le club peut compter sur moi. Je ne peux pas gagner seul le match, mais nous allons jouer en équipe et remonter au classement. »
Si on demande à Yaya d’évoquer ses propres qualités, il lutte contre sa modestie pour se prêter au jeu: «Je suis rassurant pour les autres joueurs, j’anticipe, j’ai une très bonne lecture du jeu. Je suis présent physiquement. Et de la tête je suis là. » Oui, il est là, à Lausanne, et il n’est pas à Sion. Il aimerait bien d’ailleurs que les rumeurs se calment à ce sujet, elles qui attribuent trop de gourmandise à son agent, lequel aurait ainsi empêché le passage en Valais: «Sion ne m’a pas laissé assez de temps pour réfléchir. Ils voulaient que je me décide vite, vite, mais je devais me retrouver moralement, parler avec ma famille, mes agents, alors ça ne s’est pas fait. Mais pour moi c’est du passé. Le présent, c’est le match contre Servette, c’est ma vie actuelle avec Lausanne. »
Dès le 21 septembre, Yaya quittera l’hôtel pour emménager dans son appartement. Puis il pourra découvrir la région. «Je me réjouis, mais vous savez, moi, ce que j’aime c’est le calme, la musique avec des paroles, la musique africaine. De la musique qui parle de la vie, qui motive. Et j’aime lire. »
Laurent Roussey, le coach, termine l’entraînement. Ses nouveaux joueurs sont prêts. Sauf Feltscher, touché à un genou et pas qualifié. Blessés jusque-là Coly et Zambrella pourraient être sur le banc, enfin. De Yaya Banana, l’entraîneur dit, avec un vrai sourire optimiste: «Un bambou! Il ne casse jamais, il aime le contact, il ne craint pas la confrontation physique, il est bon de la tête, il saura je crois commander la défense. J’y crois!»
www.24heures.ch/
Le nouveau défenseur central du LS sait qu’on attend beaucoup de lui, déjà demain contre Servette. Cela ne fait pas peur au Camerounais
Ensemble, son prénom et son nom forment presque une chanson. Yaya Banana. Et quand il sourit, c’est toute sa passion pour le football qui apparaît. Le jeune footballeur camerounais – 22 ans le 27 juillet dernier – est le renfort défensif que le Lausanne-Sport espérait, attendait. Et que les supporters du club se réjouissent de voir vraiment à l’œuvre samedi soir, au stade de la Praille, contre Servette en seizième de finale de Coupe de Suisse.
En fin d’entraînement, hier matin, dans la salle de presse de la Pontaise, assis devant le vieil étendard du Club Hygiénique de Lausanne – ancêtre du Lausanne-Sport Athlétisme – l’ancien Sochalien évoquait l’origine de son nom magnifique: «En fait, Banana, au Cameroun, signifie grand, géant. Mes grands-pères étaient des géants costauds, alors moi on m’a appelé Banana, parce que je suis grand (ndlr: 1 m 92). Mais je ne me trouve pas vraiment costaud! Eux, ils étaient plus larges d’épaules. » Pourtant, il est déjà bien bâti, Yaya. Mais comment a-t-il commencé à jouer au football? «Dans la rue, après l’école, avec plein de copains. On n’avait que ça, là où je suis né, à l’extrême nord du Cameroun, l’école et le football. On jouait pendant des heures et des heures dans la rue, car le vrai terrain était réservé pour les grands frères. On leur devait le respect. Plus tard, en grandissant, on y a eu droit aussi. »
«Je crois en Dieu» Mais tiens, à propos, pourquoi est-il prénommé Yaya, Yaya Banana? «C’est un prénom musulman qui lui aussi signifie grand. Je suis catholique mais j’ai grandi dans une région musulmane. Je suis croyant, je fais ma prière tous les jours, même dans la rue, dans ma chambre. Dieu m’a aidé, sans lui je ne serais pas ici. » Ses parents, Djougal, le papa et Dividipoli, la maman, auraient bien voulu que le petit Yaya se consacre à autre chose que le foot, fasse des études, trouve un vrai métier. Mais les qualités de Yaya se sont révélées assez vite aux yeux des spécialistes et il passe par les Diables Rouges de Maroua, par l’Achille FC à Yaoundé, puis par des sélections nationales M17 et M20. Avant de s’en aller à l’Espérance Tunis puis à Sochaux et à Lausanne. «J’ai passé ces derniers mois par des moments difficiles, moralement parlant. On ne me faisait pas assez jouer à Sochaux, or il me semblait que j’aurais dû y avoir ma place. À mon âge, je veux, je dois jouer. Je veux être chaque week-end sur le terrain. Je suis plutôt quelqu’un de joyeux, mais je perdais ma bonne nature. Je suis heureux d’être à Lausanne, le club peut compter sur moi. Je ne peux pas gagner seul le match, mais nous allons jouer en équipe et remonter au classement. »
Si on demande à Yaya d’évoquer ses propres qualités, il lutte contre sa modestie pour se prêter au jeu: «Je suis rassurant pour les autres joueurs, j’anticipe, j’ai une très bonne lecture du jeu. Je suis présent physiquement. Et de la tête je suis là. » Oui, il est là, à Lausanne, et il n’est pas à Sion. Il aimerait bien d’ailleurs que les rumeurs se calment à ce sujet, elles qui attribuent trop de gourmandise à son agent, lequel aurait ainsi empêché le passage en Valais: «Sion ne m’a pas laissé assez de temps pour réfléchir. Ils voulaient que je me décide vite, vite, mais je devais me retrouver moralement, parler avec ma famille, mes agents, alors ça ne s’est pas fait. Mais pour moi c’est du passé. Le présent, c’est le match contre Servette, c’est ma vie actuelle avec Lausanne. »
Dès le 21 septembre, Yaya quittera l’hôtel pour emménager dans son appartement. Puis il pourra découvrir la région. «Je me réjouis, mais vous savez, moi, ce que j’aime c’est le calme, la musique avec des paroles, la musique africaine. De la musique qui parle de la vie, qui motive. Et j’aime lire. »
Laurent Roussey, le coach, termine l’entraînement. Ses nouveaux joueurs sont prêts. Sauf Feltscher, touché à un genou et pas qualifié. Blessés jusque-là Coly et Zambrella pourraient être sur le banc, enfin. De Yaya Banana, l’entraîneur dit, avec un vrai sourire optimiste: «Un bambou! Il ne casse jamais, il aime le contact, il ne craint pas la confrontation physique, il est bon de la tête, il saura je crois commander la défense. J’y crois!»
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2013/09/fc-lausanne-sport-lultime-chance-de-rebondir/
Article passe inapercu d'il y a une 10aine de jours.
L'equipe type propose dans l'article a une sacre gueule. A prouver des demain!
Article passe inapercu d'il y a une 10aine de jours.
L'equipe type propose dans l'article a une sacre gueule. A prouver des demain!
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.rts.ch/sport/football/5202515-servette-lausanne-un-derby-qui-court-apres-son-passe.html
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2013/09/lausanne-soulage-praille/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
LS, jours de chance
Les Vaudois se sont qualifiés sans bien jouer mais en s’appuyant sur les qualités de Yaya Banana, un véritable renfort
Lausanne-Sport aura, dans le fond, vécu un week-end positif: victoire à Genève en Coupe de Suisse, puis tirage au sort favorable, avec cette expédition programmée en novembre à Brühl (SG), où les Vaudois s’étaient déjà qualifiés l’an dernier. C’est un peu ce côté bienfaisant, favorable pour le climat général au sein du club, que retient le président Alain Joseph: «Au cours de la semaine dernière, j’avais dit et répété que si nous arrivions à gagner et à nous qualifier à Genève, nous entamerions une nouvelle période, avec un état d’esprit différent, plus solide, et une confiance plus vive. D’ailleurs dans les vestiaires à Genève, les joueurs étaient contents. Il faut dire qu’ils n’avaient plus eu de quoi l’être depuis pas mal de temps!»
Le LS s’en ira donc chercher à Brühl une qualification pour les quarts de finale, ce qui ne semble pas au-dessus de ses possibilités. Alain Joseph se montre serein: «Je suis déjà très soulagé de ne pas avoir à jouer contre une Super League. Là, franchement, sans jouer les prétentieux, je crois que nous devons passer. »
Encore du travail! La logique, effectivement, veut que le LS, début novembre, continue son chemin en Coupe. Mais d’ici là, et pour les prochains rendez-vous en championnat, l’équipe de Laurent Roussey devra présenter un autre football – et il ne s’agit pas seulement de spectacle – que celui dont elle s’est contentée contre Servette. Ce fut à vrai dire très pauvre et approximatif, techniquement et collectivement, même si cela s’avéra suffisant pour passer contre un Servette plus vif, plus cohérent, mais sans percussion offensive.
Côté lausannois, on attendait avec impatience les débuts des nouveaux joueurs du LS. Yaya Banana est nettement apparu comme le renfort le plus en forme, prenant de l’ampleur au fil des minutes, en s’affirmant comme le patron de la défense grâce à un jeu de tête efficace et à son sens de l’intervention, du placement. Il fut précieux, tout comme le gardien Fickentscher, en deuxième période, quand Servette haussa le rythme. Si Yoric Ravet a démarré à toute allure, au propre comme au figuré, en prenant de belles initiatives individuelles, en cherchant à animer le jeu en Kpremière mi-temps, il ne parvint plus par la suite à apparaître, noyé dans un groupe qui ne fit que défendre, et ne sut garder la balle. Quant à Pascal Feindouno, même si un ou deux gestes en disent le talent et la technique, il ne put jamais, parce qu’il est physiquement loin de l’idéal qu’il doit atteindre, influencer le jeu lausannois. Laurent Roussey et son équipe ont du travail avant d’affronter Zurich pour un match important, un de plus. Le petit plus qui fait du bien dans la tête, c’est la qualification. Sera-t-elle le renfort de plus?
Servette - Lausanne 0-1 (0-1) Stade de Genève. 4364 spect.Arbitre:M. Klosner. But:30e Tafer 0-1. Servette:Müller; Sauthier, Routis, Dams, Markovic; Doumbia, Mfuyi (57e Bua); Tréand, Pasche, Crettenand (77e Moutinho); Tadic (46e Placca). Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, Banana, Facchinetti; Ekeng; Tafer, Feindouno (76e Avanzini), Mevlja, Ravet (68e Khelifi); Pimenta (82e Sonnerat). U Voir tirage au sort en page 17.
www.24heures.ch/
Les Vaudois se sont qualifiés sans bien jouer mais en s’appuyant sur les qualités de Yaya Banana, un véritable renfort
Lausanne-Sport aura, dans le fond, vécu un week-end positif: victoire à Genève en Coupe de Suisse, puis tirage au sort favorable, avec cette expédition programmée en novembre à Brühl (SG), où les Vaudois s’étaient déjà qualifiés l’an dernier. C’est un peu ce côté bienfaisant, favorable pour le climat général au sein du club, que retient le président Alain Joseph: «Au cours de la semaine dernière, j’avais dit et répété que si nous arrivions à gagner et à nous qualifier à Genève, nous entamerions une nouvelle période, avec un état d’esprit différent, plus solide, et une confiance plus vive. D’ailleurs dans les vestiaires à Genève, les joueurs étaient contents. Il faut dire qu’ils n’avaient plus eu de quoi l’être depuis pas mal de temps!»
Le LS s’en ira donc chercher à Brühl une qualification pour les quarts de finale, ce qui ne semble pas au-dessus de ses possibilités. Alain Joseph se montre serein: «Je suis déjà très soulagé de ne pas avoir à jouer contre une Super League. Là, franchement, sans jouer les prétentieux, je crois que nous devons passer. »
Encore du travail! La logique, effectivement, veut que le LS, début novembre, continue son chemin en Coupe. Mais d’ici là, et pour les prochains rendez-vous en championnat, l’équipe de Laurent Roussey devra présenter un autre football – et il ne s’agit pas seulement de spectacle – que celui dont elle s’est contentée contre Servette. Ce fut à vrai dire très pauvre et approximatif, techniquement et collectivement, même si cela s’avéra suffisant pour passer contre un Servette plus vif, plus cohérent, mais sans percussion offensive.
Côté lausannois, on attendait avec impatience les débuts des nouveaux joueurs du LS. Yaya Banana est nettement apparu comme le renfort le plus en forme, prenant de l’ampleur au fil des minutes, en s’affirmant comme le patron de la défense grâce à un jeu de tête efficace et à son sens de l’intervention, du placement. Il fut précieux, tout comme le gardien Fickentscher, en deuxième période, quand Servette haussa le rythme. Si Yoric Ravet a démarré à toute allure, au propre comme au figuré, en prenant de belles initiatives individuelles, en cherchant à animer le jeu en Kpremière mi-temps, il ne parvint plus par la suite à apparaître, noyé dans un groupe qui ne fit que défendre, et ne sut garder la balle. Quant à Pascal Feindouno, même si un ou deux gestes en disent le talent et la technique, il ne put jamais, parce qu’il est physiquement loin de l’idéal qu’il doit atteindre, influencer le jeu lausannois. Laurent Roussey et son équipe ont du travail avant d’affronter Zurich pour un match important, un de plus. Le petit plus qui fait du bien dans la tête, c’est la qualification. Sera-t-elle le renfort de plus?
Servette - Lausanne 0-1 (0-1) Stade de Genève. 4364 spect.Arbitre:M. Klosner. But:30e Tafer 0-1. Servette:Müller; Sauthier, Routis, Dams, Markovic; Doumbia, Mfuyi (57e Bua); Tréand, Pasche, Crettenand (77e Moutinho); Tadic (46e Placca). Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, Banana, Facchinetti; Ekeng; Tafer, Feindouno (76e Avanzini), Mevlja, Ravet (68e Khelifi); Pimenta (82e Sonnerat). U Voir tirage au sort en page 17.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
La Coupe a redonné le goût de la victoire à Lausanne
La lanterne rouge accueillera le FC Zurich demain à 13 h 45, avant de jouer à Sion puis à Aarau. Guillaume Katz croit à une confiance revenue
Lausanne-Sport entamera demain à 13 h 45 contre Zurich une semaine qui pourrait avoir un impact très fort, voire décisif, sur la suite du championnat. Une sorte de quitte ou double, en fait. Premier rendez-vous contre Zurich, donc, deuxième sortie mercredi à Sion, puis troisième épisode dimanche dans huit jours à Aarau. Trois matches que Lausanne peut très bien gagner s’il retrouve son football et surtout un vrai dynamisme. Peut-être les images de la télévision de cette semaine, montrant successivement Bâle, Saint-Gall puis Thoune dans des duels difficiles dont ils surent pourtant sortir vainqueurs, peut-être ces images-là seront-elles utiles aux Lausannois pour se motiver encore davantage. Et se dire que tout est toujours possible. Ou peut-être leur suffira-t-il de se rappeler qu’ils ont bien de la chance d’être des footballeurs professionnels, et que faire de sa passion son métier est un privilège somme toute assez rare, qu’il vaut la peine de défendre à tout prix. Hier matin à l’entraînement, la bonne humeur des Lausannois encore portés par leur succès en Coupe de Suisse à Genève laissait penser que le plaisir de jouer, d’y croire, était revenu dans l’équipe.
Un vestiaire plus joyeux Laurent Roussey, l’entraîneur, commençait par annoncer le retour, dès le début du match, de Zambrella ou de Coly, qui seraient remis de leurs blessures, mais dont il est difficile de mesurer le taux de résistance physique en compétition. Roussey récupère des joueurs, mais il en perd (peut-être) d’autres, puisque Gabri est blessé et passait hier des examens médicaux, alors que Mivlaj est très incertain, car touché au genou. Cela dit, cette victoire à Genève, même au bout d’un match sans saveur ni émotions, a eu le mérite de remettre un peu de clarté dans l’esprit des Vaudois. Guillaume Katz, arrière central aux côtés de Yaya Banana, se disait «rassuré, remis en confiance, et au bénéfice d’une semaine de travail dans la sérénité. Cela nous a sortis du ras-le-bol de perdre, nous a redonné envie de victoire. » Quant à l’apport des nouveaux, ou disons leur arrivée, le capitaine du LS avouait: «Nous sommes dans une période où nous n’avons pas le choix, nous devons être unis, dans le vestiaire et sur le terrain. »
Que faudra-t-il pour battre Zurich? «Une bonne entame de match, de la rigueur, aller chercher l’adversaire dans son camp avec agressivité, en restant compact. Si on arrive à garder la balle devant, dans le camp adverse, on pourra jouer haut. » Quant à la semaine anglaise, avec trois matches? «Cela nous avait bien convenu la saison dernière, nous avions fait beaucoup de points, alors…»
Le plaisir d’être là De son côté, encore essoufflé de la séance de tirs au but, le gardien Kevin Fickentscher avoue que perdre et perdre, ce n’est pas facile. «Dans certains matches, il ne nous a pas manqué grand-chose pour faire un meilleur résultat. Mais il ne faut pas entrer sur le terrain avec la peur au ventre mais avec l’envie et le plaisir d’être là. Moi, je veux tout faire, tout, pour gagner. Je suis de nature enthousiaste, et je ne veux pas me laisser éteindre par les contre-performances. En Allemagne, au Werder Brême — où je suis arrivé à 16 ans — j’ai appris beaucoup au niveau de la volonté, de l’acharnement à l’entraînement. Ça m’a marqué. J’essaie de garder toujours en moi cet exemple quand ça ne tourne pas bien. Le gardien n’a pas une immense influence sur le jeu, mais il peut parler, rassurer, et je tente de le faire. mais je ne peux pas être content de moi: je le serai quand on aura plus de victoires. On ne peut que s’améliorer. »
Laurent Roussey confirme: «Avec la qualification en Coupe, le vestiaire est plus joyeux, mais bon, il faut progresser. Dans le jeu, dans les sorties de balle, dans les relais, dans la remontée du terrain en groupe. On est un bloc pour défendre mais pas pour attaquer. Là, on est faible. Matar Coly nous sera utile avec sa présence athlétique. On verra. Zurich? Une équipe moins forte sur l’engagement physique mais qui aime jouer au ballon, qui a des joueurs offensifs percutants. On va leur mettre la pression. »
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La lanterne rouge accueillera le FC Zurich demain à 13 h 45, avant de jouer à Sion puis à Aarau. Guillaume Katz croit à une confiance revenue
Lausanne-Sport entamera demain à 13 h 45 contre Zurich une semaine qui pourrait avoir un impact très fort, voire décisif, sur la suite du championnat. Une sorte de quitte ou double, en fait. Premier rendez-vous contre Zurich, donc, deuxième sortie mercredi à Sion, puis troisième épisode dimanche dans huit jours à Aarau. Trois matches que Lausanne peut très bien gagner s’il retrouve son football et surtout un vrai dynamisme. Peut-être les images de la télévision de cette semaine, montrant successivement Bâle, Saint-Gall puis Thoune dans des duels difficiles dont ils surent pourtant sortir vainqueurs, peut-être ces images-là seront-elles utiles aux Lausannois pour se motiver encore davantage. Et se dire que tout est toujours possible. Ou peut-être leur suffira-t-il de se rappeler qu’ils ont bien de la chance d’être des footballeurs professionnels, et que faire de sa passion son métier est un privilège somme toute assez rare, qu’il vaut la peine de défendre à tout prix. Hier matin à l’entraînement, la bonne humeur des Lausannois encore portés par leur succès en Coupe de Suisse à Genève laissait penser que le plaisir de jouer, d’y croire, était revenu dans l’équipe.
Un vestiaire plus joyeux Laurent Roussey, l’entraîneur, commençait par annoncer le retour, dès le début du match, de Zambrella ou de Coly, qui seraient remis de leurs blessures, mais dont il est difficile de mesurer le taux de résistance physique en compétition. Roussey récupère des joueurs, mais il en perd (peut-être) d’autres, puisque Gabri est blessé et passait hier des examens médicaux, alors que Mivlaj est très incertain, car touché au genou. Cela dit, cette victoire à Genève, même au bout d’un match sans saveur ni émotions, a eu le mérite de remettre un peu de clarté dans l’esprit des Vaudois. Guillaume Katz, arrière central aux côtés de Yaya Banana, se disait «rassuré, remis en confiance, et au bénéfice d’une semaine de travail dans la sérénité. Cela nous a sortis du ras-le-bol de perdre, nous a redonné envie de victoire. » Quant à l’apport des nouveaux, ou disons leur arrivée, le capitaine du LS avouait: «Nous sommes dans une période où nous n’avons pas le choix, nous devons être unis, dans le vestiaire et sur le terrain. »
Que faudra-t-il pour battre Zurich? «Une bonne entame de match, de la rigueur, aller chercher l’adversaire dans son camp avec agressivité, en restant compact. Si on arrive à garder la balle devant, dans le camp adverse, on pourra jouer haut. » Quant à la semaine anglaise, avec trois matches? «Cela nous avait bien convenu la saison dernière, nous avions fait beaucoup de points, alors…»
Le plaisir d’être là De son côté, encore essoufflé de la séance de tirs au but, le gardien Kevin Fickentscher avoue que perdre et perdre, ce n’est pas facile. «Dans certains matches, il ne nous a pas manqué grand-chose pour faire un meilleur résultat. Mais il ne faut pas entrer sur le terrain avec la peur au ventre mais avec l’envie et le plaisir d’être là. Moi, je veux tout faire, tout, pour gagner. Je suis de nature enthousiaste, et je ne veux pas me laisser éteindre par les contre-performances. En Allemagne, au Werder Brême — où je suis arrivé à 16 ans — j’ai appris beaucoup au niveau de la volonté, de l’acharnement à l’entraînement. Ça m’a marqué. J’essaie de garder toujours en moi cet exemple quand ça ne tourne pas bien. Le gardien n’a pas une immense influence sur le jeu, mais il peut parler, rassurer, et je tente de le faire. mais je ne peux pas être content de moi: je le serai quand on aura plus de victoires. On ne peut que s’améliorer. »
Laurent Roussey confirme: «Avec la qualification en Coupe, le vestiaire est plus joyeux, mais bon, il faut progresser. Dans le jeu, dans les sorties de balle, dans les relais, dans la remontée du terrain en groupe. On est un bloc pour défendre mais pas pour attaquer. Là, on est faible. Matar Coly nous sera utile avec sa présence athlétique. On verra. Zurich? Une équipe moins forte sur l’engagement physique mais qui aime jouer au ballon, qui a des joueurs offensifs percutants. On va leur mettre la pression. »
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Regardez bien, assez au début:
http://www.rts.ch/video/sport/sport-derniere/5230288-hockey-lna-4e-j-lausanne-berne-3-2-ap.html
Vous avez vu?
http://www.rts.ch/video/sport/sport-derniere/5230288-hockey-lna-4e-j-lausanne-berne-3-2-ap.html
Vous avez vu?
Mouais- Date d'inscription : 02/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le LS ne méritait pas de perdre le match et Banana
L’expulsion sévère du défenseur puis un but encaissé dans les dernières secondes terrassent une équipe en progrès
Quand le match s’est terminé, les Lausannois sont partis tout droit vers leurs vestiaires, muets, mâchoire serrée, et l’on sentait, enfermées en eux, une grande colère et une immense déception, de la tristesse aussi, qu’ils préféraient ne pas livrer comme ça, devant les journalistes attendant leurs déclarations.
Comment ne pas comprendre leurs sentiments? Ils sortaient d’un match bien meilleur que tous ceux livrés précédemment, ils étaient revenus joliment au score, ils avaient frôlé la victoire non pas en multipliant les occasions de but mais en se montrant vaillants, joueurs – grâce notamment à Coly, habile et costaud en pointe de l’attaque où avec lui le ballon peut enfin s’attarder un peu – et en affirmant ainsi sur la pelouse qu’ils valaient aussi bien que leurs adversaires. Tout était ainsi apparu possible jusqu’à dix minutes de la fin du match, Lausanne était dans le coup, Khelifi ne cessait pas de déborder la défense zurichoise, la défense vaudoise était bien présente, Katz et Yaya Banana étaient en phase de belle entente, tenaient la baraque et le stade y croyait. Lausanne pouvait, enfin, tout à coup, tenir par le cou sa première victoire. Elle semblait proche. Car Zurich somnolait, faisait le minimum (mais pouvait-il faire plus?).
Mais tout s’écroula brusquement lorsque Banana monta dans les seize mètres adverses pour tenter de placer sa tête sur un corner. Pourquoi n’imiterait-il pas Meoli qui avait réussi à égaliser de cette manière, superbement? Mais voilà, sur tous les coups francs, les corners, ces situations de coups de pied arrêtés où les attaquants et les défenseurs se frottent, les Zurichois avaient montré un certain sens du ceinturage et de la provocation. Nef en particulier. Toujours à la limite de la faute, ou largement fautif. Mais quel arbitre ose siffler penalty pour des mains qui ceinturent un attaquant, l’empêchent de s’extraire de la mêlée, de sauter, de jouer? Peu, trop peu. Ils préfèrent, à l’instar de l’arbitre d’hier, Patrick Graf, punir le joueur qui se dégage, réagit, en a marre, comme l’a fait Yaya Banana à la 80e minute du match. Carton rouge. On pourra toujours dire que Banana ne devait pas réagir, qu’il pouvait s’éloigner de Nef, qu’il s’est fait piéger, mais on n’est pas à sa place, à la 80e minute d’un match sous le soleil qui martèle, harcelé par un adversaire qui ne respecte pas le jeu. Et qui peut tout se permettre.
Lausanne-Sport se retrouvait à dix, un peu sur le flanc. Il lui fallait tenir, ce qu’il fit jusqu’à quelques secondes de la fin, quand un coup franc bêtement concédé amena une jolie action qui aboutit au tir victorieux de Koch. Lausanne était assommé, ce match qui devait, qui pouvait être celui de la confiance retrouvée s’avérait celui de tous les maux et de la malchance. La victoire était passée tout près, le match nul encore plus, et c’était une défaite de plus qui s’écrivait. Trop dur, tout ça.
La faute à la malchance Après le match, Laurent Roussey, ému, au bord des larmes, évoquait la tristesse du vestiaire, l’injustice qui lui semblait avoir frappé lors de l’expulsion de Banana. Et ce qu’il reste, au bout de ce match, avant d’aller à Sion mercredi: «Il faut se rappeler de ce que nous avons réussi aujourd’hui, le jeu qui a été produit par moments, l’apport important de Coly en attaque, les initiatives de Khelifi, de Ravet, cette défense qui fonctionnait bien… mais qu’il faudra refondre. Je ne sais pas encore qui jouera à la place de Yaya aux côtés de Katz, qui monte en puissance. On verra combien de matches de suspension devra subir Yaya. Nous devons y croire. Mais aujourd’hui, c’est la malchance, la vraie qui nous a battus…» Quant à savoir si Roussey se sent menacé, s’il estime sa place en danger: «Je ne sais pas, je ne pense pas à cela. »
Lausanne - Zurich 1-2 (0-1)La Pontaise. 3920 spectateurs.Arbitre:M. Graf.Buts:22e Teixeira 0-1. 50e Meoli 1-1. 92e Philippe Koch 1-2.Lausanne:Antonio; Chakhsi, Katz, Banana, Meoli; Yang Yang (59e Ekeng), Mevlja; Tafer (46e Feindouno), Khelifi, Ravet; Coly (53e Pimenta).Zurich:Da Costa; Philippe Koch, Nef, Raphael Koch, Brunner; Teixeira; Schönbächler (62e Etoundi), Chikhaoui, Chiumiento (88e Kukuruzovic), Pedro Henrique; Gavranovic.Notes:LS sans Fickentscher (blessé au coude) et Gabri (touché au genou). 55e tir sur le poteau de Chiumiento. 80e expulsion de Banana (voie de fait).Avertissements:39e Gavranovic. 56e Mevlja. 67e Meoli. 76e Brunner. 80e Nef.
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L’expulsion sévère du défenseur puis un but encaissé dans les dernières secondes terrassent une équipe en progrès
Quand le match s’est terminé, les Lausannois sont partis tout droit vers leurs vestiaires, muets, mâchoire serrée, et l’on sentait, enfermées en eux, une grande colère et une immense déception, de la tristesse aussi, qu’ils préféraient ne pas livrer comme ça, devant les journalistes attendant leurs déclarations.
Comment ne pas comprendre leurs sentiments? Ils sortaient d’un match bien meilleur que tous ceux livrés précédemment, ils étaient revenus joliment au score, ils avaient frôlé la victoire non pas en multipliant les occasions de but mais en se montrant vaillants, joueurs – grâce notamment à Coly, habile et costaud en pointe de l’attaque où avec lui le ballon peut enfin s’attarder un peu – et en affirmant ainsi sur la pelouse qu’ils valaient aussi bien que leurs adversaires. Tout était ainsi apparu possible jusqu’à dix minutes de la fin du match, Lausanne était dans le coup, Khelifi ne cessait pas de déborder la défense zurichoise, la défense vaudoise était bien présente, Katz et Yaya Banana étaient en phase de belle entente, tenaient la baraque et le stade y croyait. Lausanne pouvait, enfin, tout à coup, tenir par le cou sa première victoire. Elle semblait proche. Car Zurich somnolait, faisait le minimum (mais pouvait-il faire plus?).
Mais tout s’écroula brusquement lorsque Banana monta dans les seize mètres adverses pour tenter de placer sa tête sur un corner. Pourquoi n’imiterait-il pas Meoli qui avait réussi à égaliser de cette manière, superbement? Mais voilà, sur tous les coups francs, les corners, ces situations de coups de pied arrêtés où les attaquants et les défenseurs se frottent, les Zurichois avaient montré un certain sens du ceinturage et de la provocation. Nef en particulier. Toujours à la limite de la faute, ou largement fautif. Mais quel arbitre ose siffler penalty pour des mains qui ceinturent un attaquant, l’empêchent de s’extraire de la mêlée, de sauter, de jouer? Peu, trop peu. Ils préfèrent, à l’instar de l’arbitre d’hier, Patrick Graf, punir le joueur qui se dégage, réagit, en a marre, comme l’a fait Yaya Banana à la 80e minute du match. Carton rouge. On pourra toujours dire que Banana ne devait pas réagir, qu’il pouvait s’éloigner de Nef, qu’il s’est fait piéger, mais on n’est pas à sa place, à la 80e minute d’un match sous le soleil qui martèle, harcelé par un adversaire qui ne respecte pas le jeu. Et qui peut tout se permettre.
Lausanne-Sport se retrouvait à dix, un peu sur le flanc. Il lui fallait tenir, ce qu’il fit jusqu’à quelques secondes de la fin, quand un coup franc bêtement concédé amena une jolie action qui aboutit au tir victorieux de Koch. Lausanne était assommé, ce match qui devait, qui pouvait être celui de la confiance retrouvée s’avérait celui de tous les maux et de la malchance. La victoire était passée tout près, le match nul encore plus, et c’était une défaite de plus qui s’écrivait. Trop dur, tout ça.
La faute à la malchance Après le match, Laurent Roussey, ému, au bord des larmes, évoquait la tristesse du vestiaire, l’injustice qui lui semblait avoir frappé lors de l’expulsion de Banana. Et ce qu’il reste, au bout de ce match, avant d’aller à Sion mercredi: «Il faut se rappeler de ce que nous avons réussi aujourd’hui, le jeu qui a été produit par moments, l’apport important de Coly en attaque, les initiatives de Khelifi, de Ravet, cette défense qui fonctionnait bien… mais qu’il faudra refondre. Je ne sais pas encore qui jouera à la place de Yaya aux côtés de Katz, qui monte en puissance. On verra combien de matches de suspension devra subir Yaya. Nous devons y croire. Mais aujourd’hui, c’est la malchance, la vraie qui nous a battus…» Quant à savoir si Roussey se sent menacé, s’il estime sa place en danger: «Je ne sais pas, je ne pense pas à cela. »
Lausanne - Zurich 1-2 (0-1)La Pontaise. 3920 spectateurs.Arbitre:M. Graf.Buts:22e Teixeira 0-1. 50e Meoli 1-1. 92e Philippe Koch 1-2.Lausanne:Antonio; Chakhsi, Katz, Banana, Meoli; Yang Yang (59e Ekeng), Mevlja; Tafer (46e Feindouno), Khelifi, Ravet; Coly (53e Pimenta).Zurich:Da Costa; Philippe Koch, Nef, Raphael Koch, Brunner; Teixeira; Schönbächler (62e Etoundi), Chikhaoui, Chiumiento (88e Kukuruzovic), Pedro Henrique; Gavranovic.Notes:LS sans Fickentscher (blessé au coude) et Gabri (touché au genou). 55e tir sur le poteau de Chiumiento. 80e expulsion de Banana (voie de fait).Avertissements:39e Gavranovic. 56e Mevlja. 67e Meoli. 76e Brunner. 80e Nef.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/cc-veut-obtenir-annulation-lexpulsion-kouassi/story/24996416
Badeafan- Date d'inscription : 27/11/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sharkfoot.fr/2013/09/que-faire-pour-sauver-lausanne/
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.latele.ch/play?i=38438
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/Matar-Coly---J-ai-encore-besoin-d-un-peu-de-temps--29207259
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/yaya-banana-quatre-matches/story/20032769
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/13521659
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/13521659
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Ce soir à Sion, le Lausanne-Sport veut faire de sa colère un atout
La suspension pour 4 matches de Yaya Banana fait souffler un vent de révolte dans les rangs du LS, du président aux joueurs
Yaya Banana n’est pas un touriste: hier à l’entraînement, alors qu’il savait qu’il ne jouerait pas ce soir à Sion, le Camerounais soignait ses passes, ses efforts, son altruisme. Pendant les semaines à venir, il va devoir continuer comme ça: s’entraîner sans participer à la compétition, tenir bon moralement, puisque la commission de discipline l’a condamné à quatre matches de suspension pour «voies de fait après provocation».
Quatre matches, c’est énorme, et c’est un sale coup pour le LS qui avait trouvé en cet arrière central un patron pour sa défense. Le président Alain Joseph, sans crainte des représailles, affirmait clairement: «C’est un scandale. Nous pouvons nous lancer dans un recours pour espérer diminuer la peine, et faire que Yaya puisse jouer à Aarau sous l’effet suspensif. Mais je ne sais même pas si nous le ferons: il y a tant de malhonnêteté dans cette décision que, face à ce pouvoir des puissants, nous nous sentons tout petits et sans espoir. Je parle bien de malhonnêteté et je maintiens ce terme. Quand je pense que Stocker, du FC Bâle, qui a attrapé Chakhsi par le cou, a pris deux matches, je ne cherche plus à comprendre, je constate l’injustice. Et j’espère que la colère qu’elle suscite chez nous agira comme une motivation supplémentaire pour aller gagner à Sion. »
Une défense à revoir Les faits sont là: Laurent Roussey, qui n’en finit plus d’espérer sa première victoire en championnat, doit refondre sa défense. Hier, à la fin de l’entraînement, il ne l’avait encore pas choisie clairement: «J’ai défini l’organisation de la défense, mais pas encore vraiment les joueurs qui la formeront. Je ne sais pas si je pourrai compter sur Sébastien Meoli, incertain. Je peux composer avec De Piero et Katz, ou Katz et Sonnerat. Pour le reste, Gabri a essayé, mais il ne pourra pas jouer. Ming est victime de crampes à répétition et ne pourra pas être sur le terrain. Zambrella et le gardien Fikentscher pourraient être de la partie. »
Mais comment, avec quel esprit, Lausanne-Sport, sonné par la suspension de Yaya, par la défaite dans les ultimes minutes contre le FC Zurich, s’en va-t-il à Sion tenter sa chance? «L’équipe est consciente d’être passée à côté d’une victoire possible, elle ressent une vraie frustration. Mais elle est aussi en colère, face à l’arbitrage, alors pour Yaya, pour montrer que nous ne nous laissons pas faire, nous allons tenter de transformer cette colère en énergie conquérante, gagnante. Faire des résultats, je crois, nous permettrait d’être entendus. Pour le moment, avec un point, des défaites, nous avons le sentiment de ne pas exister loin de chez nous. » C’est là tout le défi que se proposent les Lausannois pour ce soir à Tourbillon: exister loin de chez eux, contre un club qui en principe devrait naviguer dans le haut du tableau, mais se retrouve avec ses soucis, ses angoisses, et ses quelques points.
24 heures.ch
La suspension pour 4 matches de Yaya Banana fait souffler un vent de révolte dans les rangs du LS, du président aux joueurs
Yaya Banana n’est pas un touriste: hier à l’entraînement, alors qu’il savait qu’il ne jouerait pas ce soir à Sion, le Camerounais soignait ses passes, ses efforts, son altruisme. Pendant les semaines à venir, il va devoir continuer comme ça: s’entraîner sans participer à la compétition, tenir bon moralement, puisque la commission de discipline l’a condamné à quatre matches de suspension pour «voies de fait après provocation».
Quatre matches, c’est énorme, et c’est un sale coup pour le LS qui avait trouvé en cet arrière central un patron pour sa défense. Le président Alain Joseph, sans crainte des représailles, affirmait clairement: «C’est un scandale. Nous pouvons nous lancer dans un recours pour espérer diminuer la peine, et faire que Yaya puisse jouer à Aarau sous l’effet suspensif. Mais je ne sais même pas si nous le ferons: il y a tant de malhonnêteté dans cette décision que, face à ce pouvoir des puissants, nous nous sentons tout petits et sans espoir. Je parle bien de malhonnêteté et je maintiens ce terme. Quand je pense que Stocker, du FC Bâle, qui a attrapé Chakhsi par le cou, a pris deux matches, je ne cherche plus à comprendre, je constate l’injustice. Et j’espère que la colère qu’elle suscite chez nous agira comme une motivation supplémentaire pour aller gagner à Sion. »
Une défense à revoir Les faits sont là: Laurent Roussey, qui n’en finit plus d’espérer sa première victoire en championnat, doit refondre sa défense. Hier, à la fin de l’entraînement, il ne l’avait encore pas choisie clairement: «J’ai défini l’organisation de la défense, mais pas encore vraiment les joueurs qui la formeront. Je ne sais pas si je pourrai compter sur Sébastien Meoli, incertain. Je peux composer avec De Piero et Katz, ou Katz et Sonnerat. Pour le reste, Gabri a essayé, mais il ne pourra pas jouer. Ming est victime de crampes à répétition et ne pourra pas être sur le terrain. Zambrella et le gardien Fikentscher pourraient être de la partie. »
Mais comment, avec quel esprit, Lausanne-Sport, sonné par la suspension de Yaya, par la défaite dans les ultimes minutes contre le FC Zurich, s’en va-t-il à Sion tenter sa chance? «L’équipe est consciente d’être passée à côté d’une victoire possible, elle ressent une vraie frustration. Mais elle est aussi en colère, face à l’arbitrage, alors pour Yaya, pour montrer que nous ne nous laissons pas faire, nous allons tenter de transformer cette colère en énergie conquérante, gagnante. Faire des résultats, je crois, nous permettrait d’être entendus. Pour le moment, avec un point, des défaites, nous avons le sentiment de ne pas exister loin de chez nous. » C’est là tout le défi que se proposent les Lausannois pour ce soir à Tourbillon: exister loin de chez eux, contre un club qui en principe devrait naviguer dans le haut du tableau, mais se retrouve avec ses soucis, ses angoisses, et ses quelques points.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Les députés se résignent à durcir la loi des stades
Presque unanime, le Grand Conseil adhère au concordat contre la violence lors de manifestations sportives
Pour cette fois, les divergences entre partis se sont pratiquement tues. A l’exception des rares députés à gauche de la gauche qui se sont abstenus, toute l’assemblée a ratifié la modification du Concordat intercantonal instituant des mesures contre la violence lors de manifestations sportives. Ce durcissement de la répression et le renforcement des mesures de contrôle ont reçu un accueil ambivalent mais identique. Le Vert Raphaël Mahaim, qui défendait le projet, a résumé l’état d’esprit: «Nous constatons avec amertume, avec regret qu’un petit groupe de supporters violents oblige à renforcer un arsenal qui touche tous les amateurs de foot ou de hockey. »
La convention modifiée permet notamment d’interdire de stade des hooligans pour 3 ans et dans toute la Suisse. Elle autorise l’interdiction de l’alcool dans les stades. Elle oblige les organisateurs de matches de ligues supérieures à décrocher une autorisation préalable. C’est le point central du dispositif, pour la conseillère d’Etat en charge de la Sécurité, Jacqueline de Quattro: «Le régime de l’autorisation nous permet d’imposer en amont des obligations pour assurer une meilleure sécurité. »
Jean-Michel Dolivo, de La Gauche, a appelé à l’abstention: «Nous regrettons que la révision du concordat n’institue aucune mesure de prévention et d’éducation contre la violence. » Il n’a pas été suivi hors de sa petite formation.
L’adhésion à ce concordat a nécessité des modifications légales vaudoises. Jean-Michel Dolivo est monté à nouveau au front. Il juge inacceptable que des employés d’entreprises de sécurité privées puissent fouiller «par palpations» les supporters à l’entrée des stades. Pour lui, seuls les policiers cantonaux ou communaux devraient avoir ce droit. Il n’a obtenu que de nombreuses abstentions à gauche, tandis que le vote de la droite a permis d’adopter cette mesure. Il semble donc que l’argument de l’UDC José Durussel a fait mouche: «Dans des concerts, les fouilles systématiques par des agents privés existent et se passent sans problème. »
Amendement Chagaev Un amendement proposé par la commission a été plébiscité. Cet ajout permet de sanctionner les clubs qui ne jouent pas le jeu du fair-play et de la sécurité. L’Etat peut supprimer partiellement ou totalement l’exonération accordée aux clubs des coûts de sécurité et les forcer de passer à la caisse.
Le député socialiste Jean Tschopp a suggéré: «On pourrait appeler cette mesure l’amendement Chagaev, du nom de l’homme qui distribuait au public des doigts d’honneur quand son équipe marquait un but. »
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Presque unanime, le Grand Conseil adhère au concordat contre la violence lors de manifestations sportives
Pour cette fois, les divergences entre partis se sont pratiquement tues. A l’exception des rares députés à gauche de la gauche qui se sont abstenus, toute l’assemblée a ratifié la modification du Concordat intercantonal instituant des mesures contre la violence lors de manifestations sportives. Ce durcissement de la répression et le renforcement des mesures de contrôle ont reçu un accueil ambivalent mais identique. Le Vert Raphaël Mahaim, qui défendait le projet, a résumé l’état d’esprit: «Nous constatons avec amertume, avec regret qu’un petit groupe de supporters violents oblige à renforcer un arsenal qui touche tous les amateurs de foot ou de hockey. »
La convention modifiée permet notamment d’interdire de stade des hooligans pour 3 ans et dans toute la Suisse. Elle autorise l’interdiction de l’alcool dans les stades. Elle oblige les organisateurs de matches de ligues supérieures à décrocher une autorisation préalable. C’est le point central du dispositif, pour la conseillère d’Etat en charge de la Sécurité, Jacqueline de Quattro: «Le régime de l’autorisation nous permet d’imposer en amont des obligations pour assurer une meilleure sécurité. »
Jean-Michel Dolivo, de La Gauche, a appelé à l’abstention: «Nous regrettons que la révision du concordat n’institue aucune mesure de prévention et d’éducation contre la violence. » Il n’a pas été suivi hors de sa petite formation.
L’adhésion à ce concordat a nécessité des modifications légales vaudoises. Jean-Michel Dolivo est monté à nouveau au front. Il juge inacceptable que des employés d’entreprises de sécurité privées puissent fouiller «par palpations» les supporters à l’entrée des stades. Pour lui, seuls les policiers cantonaux ou communaux devraient avoir ce droit. Il n’a obtenu que de nombreuses abstentions à gauche, tandis que le vote de la droite a permis d’adopter cette mesure. Il semble donc que l’argument de l’UDC José Durussel a fait mouche: «Dans des concerts, les fouilles systématiques par des agents privés existent et se passent sans problème. »
Amendement Chagaev Un amendement proposé par la commission a été plébiscité. Cet ajout permet de sanctionner les clubs qui ne jouent pas le jeu du fair-play et de la sécurité. L’Etat peut supprimer partiellement ou totalement l’exonération accordée aux clubs des coûts de sécurité et les forcer de passer à la caisse.
Le député socialiste Jean Tschopp a suggéré: «On pourrait appeler cette mesure l’amendement Chagaev, du nom de l’homme qui distribuait au public des doigts d’honneur quand son équipe marquait un but. »
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/-J-ai-dit-a-Alain-Joseph-de-faire-rejouer-ce-match--29120386
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/presidents-clubs-romands-creent-saintealliance/story/21485538
Homer- Date d'inscription : 31/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le LS n’y arrive décidément pas
Les Lausannois ont longtemps mené, à Sion, avant de tout perdre sur un penalty et un coup franc. Pourtant, la 1re mi-temps avait été prometteuse
Cette fois, il faut se rendre à l’évidence: même en étant valeureux et plein de bonnes intentions au départ, Lausanne ne parvient pas à battre les clubs présumés aussi peu solides que lui. Il ne lui manque pas grand-chose, au bout de ces matches perdus de justesse; ce petit quelque chose pour ne plus descendre échelon après échelon l’échelle de la confiance et pour ne plus stagner au classement. Comment imaginer aujourd’hui que le LS puisse s’en sortir?
Fatale métamorphose Hier à Sion, pendant près de 70 minutes, les joueurs de Laurent Roussey ont pu croire pourtant que le vent tournait enfin en leur faveur. Ils menaient 1-0, sur un but de Khelifi (27e minute) qui symbolisait deux évidences: l’extrême faiblesse du FC Sion d’une part, la cohérence du LS d’autre part. L’équipe valaisanne était si faible, si vide d’idées et apparemment d’envie de jouer, qu’elle avait offert à son adversaire la possibilité de prendre confiance, de croire en ses chances.
C’est ainsi qu’en s’appuyant sur une belle solidarité, sur une jouerie collective correcte, sur un travail défensif incessant et très respectable, et sur la présence précieuse de Matar Coly en attaque, Lausanne s’était créé des occasions et avait marqué. Côté valaisan, c’était tout le contraire: on imagina l’ambiance dans les vestiaires à la mi-temps, et le ton de Christian Constantin – descendu auprès de son (encore pour combien de temps?) entraîneur Michel Decastel au bord du terrain après moins d’une demi-heure de jeu.
Il aurait fallu que le LS n’ait pas, en quelque sorte, peur de sa victoire qui se dessinait pour qu’il la décroche enfin. En deuxième mi-temps, alors que les Vaudois avaient su jouer, construire, avancer auparavant, ils se mirent à perdre trop vite le ballon, à s’en débarrasser en laissant trop de place à la précipitation, au hasard. Et au FC Sion qui s’était donné du poids offensif avec la venue d’Assifuah, mobile et plein d’énergie. Sion n’était pas brillant, ni emballant, mais il finit par mettre une vraie pression sur un LS qui jouait trop peu. Et à trop se retrouver dans son propre camp, l’équipe vaudoise se retrouva plus souvent en danger. La grande fatigue de certains obligea Roussey à effectuer des changements imprévus. Les joueurs, mais c’est tellement normal quand on perd si souvent – et qu’on est si jeunes pour certains –, voulaient s’accrocher à la victoire mais c’est une défaite de plus qui survint. Penalty d’abord sur une sortie de Fickentscher (bon match par ailleurs) qui ramassa un peu tout (1-1 par Vidosic, 69e) et tête de l’inévitable Vanczak sur un coup franc de Vidosic encore (2-1, 77e). Lausanne reste dernier, a peut-être perdu plus qu’un match, en se disant encore une fois qu’une autre conclusion était possible. Mais tout de même, si ce match était la mise en lumière du football romand, on se dit que le chantier est énorme. A Sion, les choses vont sans doute bouger, et Descastel s’en aller (on reparle d’un retour de Fournier). Et à Lausanne, comment faire de cette saison une aventure encore passionnante?
Sion - Lausanne 2-1 (0-1)Tourbillon.5800 spectateurs.Arbitre:Bieri. Buts:27e Khelifi 0-1. 69e Vidosic (penalty) 1-1. 76e Vanczak 2-1.Sion:Vanins; Rüfli, Lacroix, Vanczak, Pa Modou; Ndoye (68e Christofi), Yartey (32e Fedele); Léo, Vidosic, Perrier; Cissé (46e Assifuah).Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, De Pierro, Facchinetti (46e Feltscher); Sonnerat; Dessarzin, Zambrella (80e Ravet), Mevlja (70e Ekeng), Khelifi; Coly. Avertissements:35e Perrier. 48e Dessarzin. 56e Vidosic. 68e Mevlja.Notes:Sion sans Mveng, Ferati, Herea (blessés) ni Kouassi (suspendu), le LS sans Tafer, Meoli, Gabri (blessés) ni Banana (suspendu).
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Les Lausannois ont longtemps mené, à Sion, avant de tout perdre sur un penalty et un coup franc. Pourtant, la 1re mi-temps avait été prometteuse
Cette fois, il faut se rendre à l’évidence: même en étant valeureux et plein de bonnes intentions au départ, Lausanne ne parvient pas à battre les clubs présumés aussi peu solides que lui. Il ne lui manque pas grand-chose, au bout de ces matches perdus de justesse; ce petit quelque chose pour ne plus descendre échelon après échelon l’échelle de la confiance et pour ne plus stagner au classement. Comment imaginer aujourd’hui que le LS puisse s’en sortir?
Fatale métamorphose Hier à Sion, pendant près de 70 minutes, les joueurs de Laurent Roussey ont pu croire pourtant que le vent tournait enfin en leur faveur. Ils menaient 1-0, sur un but de Khelifi (27e minute) qui symbolisait deux évidences: l’extrême faiblesse du FC Sion d’une part, la cohérence du LS d’autre part. L’équipe valaisanne était si faible, si vide d’idées et apparemment d’envie de jouer, qu’elle avait offert à son adversaire la possibilité de prendre confiance, de croire en ses chances.
C’est ainsi qu’en s’appuyant sur une belle solidarité, sur une jouerie collective correcte, sur un travail défensif incessant et très respectable, et sur la présence précieuse de Matar Coly en attaque, Lausanne s’était créé des occasions et avait marqué. Côté valaisan, c’était tout le contraire: on imagina l’ambiance dans les vestiaires à la mi-temps, et le ton de Christian Constantin – descendu auprès de son (encore pour combien de temps?) entraîneur Michel Decastel au bord du terrain après moins d’une demi-heure de jeu.
Il aurait fallu que le LS n’ait pas, en quelque sorte, peur de sa victoire qui se dessinait pour qu’il la décroche enfin. En deuxième mi-temps, alors que les Vaudois avaient su jouer, construire, avancer auparavant, ils se mirent à perdre trop vite le ballon, à s’en débarrasser en laissant trop de place à la précipitation, au hasard. Et au FC Sion qui s’était donné du poids offensif avec la venue d’Assifuah, mobile et plein d’énergie. Sion n’était pas brillant, ni emballant, mais il finit par mettre une vraie pression sur un LS qui jouait trop peu. Et à trop se retrouver dans son propre camp, l’équipe vaudoise se retrouva plus souvent en danger. La grande fatigue de certains obligea Roussey à effectuer des changements imprévus. Les joueurs, mais c’est tellement normal quand on perd si souvent – et qu’on est si jeunes pour certains –, voulaient s’accrocher à la victoire mais c’est une défaite de plus qui survint. Penalty d’abord sur une sortie de Fickentscher (bon match par ailleurs) qui ramassa un peu tout (1-1 par Vidosic, 69e) et tête de l’inévitable Vanczak sur un coup franc de Vidosic encore (2-1, 77e). Lausanne reste dernier, a peut-être perdu plus qu’un match, en se disant encore une fois qu’une autre conclusion était possible. Mais tout de même, si ce match était la mise en lumière du football romand, on se dit que le chantier est énorme. A Sion, les choses vont sans doute bouger, et Descastel s’en aller (on reparle d’un retour de Fournier). Et à Lausanne, comment faire de cette saison une aventure encore passionnante?
Sion - Lausanne 2-1 (0-1)Tourbillon.5800 spectateurs.Arbitre:Bieri. Buts:27e Khelifi 0-1. 69e Vidosic (penalty) 1-1. 76e Vanczak 2-1.Sion:Vanins; Rüfli, Lacroix, Vanczak, Pa Modou; Ndoye (68e Christofi), Yartey (32e Fedele); Léo, Vidosic, Perrier; Cissé (46e Assifuah).Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, De Pierro, Facchinetti (46e Feltscher); Sonnerat; Dessarzin, Zambrella (80e Ravet), Mevlja (70e Ekeng), Khelifi; Coly. Avertissements:35e Perrier. 48e Dessarzin. 56e Vidosic. 68e Mevlja.Notes:Sion sans Mveng, Ferati, Herea (blessés) ni Kouassi (suspendu), le LS sans Tafer, Meoli, Gabri (blessés) ni Banana (suspendu).
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Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
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PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Alain Joseph se sent responsable, Constantin attend encore
Après Sion - Lausanne-Sport, les deux présidents réagissent à leur manière
Football
«Je suis responsable et je le sais!» Alain Joseph, président du Lausanne-Sport, ne veut pas nier qu’il a opéré des choix qui font que le club dont il est le propriétaire reste bon dernier de Super League. «Mon bilan est lamentable, celui de Laurent Roussey aussi. » En se séparant de certains joueurs (notamment du gardien Anthony Favre qui brille avec Wil), le boss du LS savait qu’il prenait un risque. Il l’assume: «Je me remets en question, et pour retrouver mon énergie, pour sortir du moment de véritable abattement que je traverse, j’ai demandé à Jean-François Collet, qui a une tout autre façon de communiquer que moi, de me conseiller, de m’orienter. Il a eu une réussite folle avec ce club, j’ai besoin de lui. » Quant au poste d’entraîneur: «Je maintiens Laurent Roussey en fonctions. Mais aura-t-il envie de continuer dans de telles conditions? S’il en a le ressort, il reste! Et nous irons en commando à Aarau dimanche. »
Avant le match, Alain Joseph avait annoncé aux joueurs que même en cas de succès, ils ne toucheraient pas de primes. «Je leur ai dit que si c’est la perspective de toucher de l’argent qui les fait courir plus vite, alors j’aimerais autant tout plaquer. » Ils ont couru, mais pas gagné. Ni points ni argent, donc. Mais dans ses vestiaires à la mi-temps, après 45 minutes pitoyables, qu’a dit Christian Constantin aux Valaisans? «Je ne les ai pas engueulés, ils avaient déjà la tête si basse! Je leur ai dit de la relever, de jouer, qu’ils avaient perdu la première mi-temps mais qu’il en restait une et vingt-sept matches en championnat. Je leur ai rappelé qu’aller à Bâle en ayant perdu contre Lausanne, ça aurait été une autre histoire…» Quant à Michel Decastel, l’entraîneur: «On va à Bâle, on se prépare bien pour ça, et on verra. Michel est comme un homme qui nage au milieu d’une rivière puissante pour atteindre l’autre rive. L’autre rive, c’est un point ou trois points à Bâle. Si on se fait étriller, il a raté la rive, il part. » CC a appelé Alain Joseph vers minuit, après le match. «Pour lui dire de bien préparer Aarau, c’est là-bas que tout se décide. Moi aussi, des fois, je dis aux joueurs qu’il n’y aura pas de primes, mais je leur promets quand même un petit cadeau, un repas avec leur épouse, quelque chose…»
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Après Sion - Lausanne-Sport, les deux présidents réagissent à leur manière
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«Je suis responsable et je le sais!» Alain Joseph, président du Lausanne-Sport, ne veut pas nier qu’il a opéré des choix qui font que le club dont il est le propriétaire reste bon dernier de Super League. «Mon bilan est lamentable, celui de Laurent Roussey aussi. » En se séparant de certains joueurs (notamment du gardien Anthony Favre qui brille avec Wil), le boss du LS savait qu’il prenait un risque. Il l’assume: «Je me remets en question, et pour retrouver mon énergie, pour sortir du moment de véritable abattement que je traverse, j’ai demandé à Jean-François Collet, qui a une tout autre façon de communiquer que moi, de me conseiller, de m’orienter. Il a eu une réussite folle avec ce club, j’ai besoin de lui. » Quant au poste d’entraîneur: «Je maintiens Laurent Roussey en fonctions. Mais aura-t-il envie de continuer dans de telles conditions? S’il en a le ressort, il reste! Et nous irons en commando à Aarau dimanche. »
Avant le match, Alain Joseph avait annoncé aux joueurs que même en cas de succès, ils ne toucheraient pas de primes. «Je leur ai dit que si c’est la perspective de toucher de l’argent qui les fait courir plus vite, alors j’aimerais autant tout plaquer. » Ils ont couru, mais pas gagné. Ni points ni argent, donc. Mais dans ses vestiaires à la mi-temps, après 45 minutes pitoyables, qu’a dit Christian Constantin aux Valaisans? «Je ne les ai pas engueulés, ils avaient déjà la tête si basse! Je leur ai dit de la relever, de jouer, qu’ils avaient perdu la première mi-temps mais qu’il en restait une et vingt-sept matches en championnat. Je leur ai rappelé qu’aller à Bâle en ayant perdu contre Lausanne, ça aurait été une autre histoire…» Quant à Michel Decastel, l’entraîneur: «On va à Bâle, on se prépare bien pour ça, et on verra. Michel est comme un homme qui nage au milieu d’une rivière puissante pour atteindre l’autre rive. L’autre rive, c’est un point ou trois points à Bâle. Si on se fait étriller, il a raté la rive, il part. » CC a appelé Alain Joseph vers minuit, après le match. «Pour lui dire de bien préparer Aarau, c’est là-bas que tout se décide. Moi aussi, des fois, je dis aux joueurs qu’il n’y aura pas de primes, mais je leur promets quand même un petit cadeau, un repas avec leur épouse, quelque chose…»
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/sion-lausanne-voyage-au-bout-de-la-nuit/
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Mal en point, le Lausanne-Sport s’en va affronter Aarau
Pas question pour Laurent Roussey de démissionner. Son LS défiera ce dimanche (13 h 45) le récent vainqueur de Zurich
Football
«Non, je n’en ai pas marre, mais il est vrai que si ça pouvait changer, si on pouvait gagner les matches qu’on est tout près de gagner, ce serait bien, mais voilà, c’est le football…» Laurent Roussey est toujours l’entraîneur du Lausanne-Sport et entend bien le rester: «M’en aller? Non, je suis là, je connais les us et coutumes du football, mais je suis là. Je pense que tout le monde est responsable, donc moi aussi. Je ne suis pas homme à démissionner sur un échec, mais plutôt sur une réussite, comme je l’ai fait à Sion. Une telle série d’insuccès, c’est vrai, je n’ai jamais connu ça. Mes statistiques jusqu’à présent étaient plutôt du genre un match gagné sur deux, ou à peu près. Là, ça me les descend, mais ce n’est pas l’essentiel(rire). On est tous dans la même galère mais avec par moments des éclaircies, comme cette première mi-temps que mon équipe a réussie à Sion. Il faut s’accrocher à ces bons moments, pour y croire, pour continuer, même si sur le plan du classement la situation est ce qu’elle est… J’ai dit aux garçons que nous devons lutter contre cette spirale négative, même ce n’est pas facile de s’en sortir. Nous devons aller tout au bout de nous-mêmes pour prendre au moins un point à Aarau. »
Précisément, Aarau a gagné à Zurich, jeudi soir, et avec ce résultat la situation ne s’est pas arrangée pour le LS. «Dimanche, il va falloir être très fort mentalement pour affronter un adversaire qui a dû se sentir pousser des ailes après son succès à Zurich, avertit Roussey. On sait ce que ce sera, avec le public très nombreux, et très présent…»
Côté effectif, le LS devra se passer de Zambrella et de Mevlja, tous deux blessés lors du match à Tourbillon. Autre absent presque certain, Mickaël Facchinetti, qui s’est assez gravement ouvert entre la lèvre supérieure et le nez lors d’un choc avec Yartey mercredi soir. Il a sept points de suture. Le défenseur avait courageusement repris sa place avec un pansement spécial mais, hier, il avouait: «Je n’ai absolument aucun souvenir du quart d’heure que j’ai passé sur le terrain après le choc et les soins. » L’autre incertitude, c’est Yaya Banana: LS a fait recours contre la punition de quatre matches infligée au Camerounais. Il devrait donc pouvoir bénéficier de l’effet suspensif et jouer à Aarau, mais il semblait hier que rien n’était assuré.
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Pas question pour Laurent Roussey de démissionner. Son LS défiera ce dimanche (13 h 45) le récent vainqueur de Zurich
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«Non, je n’en ai pas marre, mais il est vrai que si ça pouvait changer, si on pouvait gagner les matches qu’on est tout près de gagner, ce serait bien, mais voilà, c’est le football…» Laurent Roussey est toujours l’entraîneur du Lausanne-Sport et entend bien le rester: «M’en aller? Non, je suis là, je connais les us et coutumes du football, mais je suis là. Je pense que tout le monde est responsable, donc moi aussi. Je ne suis pas homme à démissionner sur un échec, mais plutôt sur une réussite, comme je l’ai fait à Sion. Une telle série d’insuccès, c’est vrai, je n’ai jamais connu ça. Mes statistiques jusqu’à présent étaient plutôt du genre un match gagné sur deux, ou à peu près. Là, ça me les descend, mais ce n’est pas l’essentiel(rire). On est tous dans la même galère mais avec par moments des éclaircies, comme cette première mi-temps que mon équipe a réussie à Sion. Il faut s’accrocher à ces bons moments, pour y croire, pour continuer, même si sur le plan du classement la situation est ce qu’elle est… J’ai dit aux garçons que nous devons lutter contre cette spirale négative, même ce n’est pas facile de s’en sortir. Nous devons aller tout au bout de nous-mêmes pour prendre au moins un point à Aarau. »
Précisément, Aarau a gagné à Zurich, jeudi soir, et avec ce résultat la situation ne s’est pas arrangée pour le LS. «Dimanche, il va falloir être très fort mentalement pour affronter un adversaire qui a dû se sentir pousser des ailes après son succès à Zurich, avertit Roussey. On sait ce que ce sera, avec le public très nombreux, et très présent…»
Côté effectif, le LS devra se passer de Zambrella et de Mevlja, tous deux blessés lors du match à Tourbillon. Autre absent presque certain, Mickaël Facchinetti, qui s’est assez gravement ouvert entre la lèvre supérieure et le nez lors d’un choc avec Yartey mercredi soir. Il a sept points de suture. Le défenseur avait courageusement repris sa place avec un pansement spécial mais, hier, il avouait: «Je n’ai absolument aucun souvenir du quart d’heure que j’ai passé sur le terrain après le choc et les soins. » L’autre incertitude, c’est Yaya Banana: LS a fait recours contre la punition de quatre matches infligée au Camerounais. Il devrait donc pouvoir bénéficier de l’effet suspensif et jouer à Aarau, mais il semblait hier que rien n’était assuré.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Lausanne et l’arbitrage: le 14 juillet déjà…
L’histoire se passe le 14 juillet dernier. Le Lausanne-Sport joue son premier match de la saison à Lucerne. Alors qu’il y a 1-0 pour l’équipe alémanique, le joueur du LS Patrick Ekeng reste au sol. Il a mal. On ne saurait soupçonner un gars de jouer la comédie pour gagner du temps quand son équipe perd, mais l’arbitre, Sasha Kever, en décide autrement. Il avertit Ekeng.
A la fin du match, l’entraîneur des gardiens du LS, Florent Delay, un homme connu pour sa correction et son esprit constructif, demande posément à l’arbitre pourquoi il a sorti son carton jaune. Il se fait remballer. La surprise vient quelques jours plus tard, quand le Lausanne-Sport apprend que l’arbitre a rédigé un rapport très dur contre Delay, parce qu’il aurait quasi agressé Sasha Kever verbalement, claqué la porte de son bureau en ressortant, etc. Le Lausannois dément formellement tout cela, il assure être resté correct et être allé simplement demander une explication. Le LS a reçu, lié au rapport, une amende de près de mille francs.
Tout cela, ce n’est pas de la faute de l’arbitre, le coupable c’est Patrick Ekeng. Il doit savoir que sur certains terrains et avec certains arbitres, quand on a mal, on se lève et on court. On joue la comédie dans l’autre sens, on fait semblant de ne pas souffrir, c’est nouveau mais c’est comme ça.
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L’histoire se passe le 14 juillet dernier. Le Lausanne-Sport joue son premier match de la saison à Lucerne. Alors qu’il y a 1-0 pour l’équipe alémanique, le joueur du LS Patrick Ekeng reste au sol. Il a mal. On ne saurait soupçonner un gars de jouer la comédie pour gagner du temps quand son équipe perd, mais l’arbitre, Sasha Kever, en décide autrement. Il avertit Ekeng.
A la fin du match, l’entraîneur des gardiens du LS, Florent Delay, un homme connu pour sa correction et son esprit constructif, demande posément à l’arbitre pourquoi il a sorti son carton jaune. Il se fait remballer. La surprise vient quelques jours plus tard, quand le Lausanne-Sport apprend que l’arbitre a rédigé un rapport très dur contre Delay, parce qu’il aurait quasi agressé Sasha Kever verbalement, claqué la porte de son bureau en ressortant, etc. Le Lausannois dément formellement tout cela, il assure être resté correct et être allé simplement demander une explication. Le LS a reçu, lié au rapport, une amende de près de mille francs.
Tout cela, ce n’est pas de la faute de l’arbitre, le coupable c’est Patrick Ekeng. Il doit savoir que sur certains terrains et avec certains arbitres, quand on a mal, on se lève et on court. On joue la comédie dans l’autre sens, on fait semblant de ne pas souffrir, c’est nouveau mais c’est comme ça.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
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