Les articles de presse (pas de commentaire !)

Fabio Coltorti im Interview: http://sport.ch.sportalsports.com/sportch/generated/article/fussball/2011/07/07/15786800000.html

http://sport.ch.sportalsports.com/sportch/generated/article/fussball/2011/07/09/15762100000.html

Ils racontent un peu n'importe quoi mais c'est bien sympa ! Finalement, tout le monde nous voit nous sauver lol.

La vérité sera sur le terrain.........le reste c'est du pipo !

24 heures aujourd'hui

A Nyon et au LS, on peaufine son contingent

Football Les deux formations vaudoises s'affrontent ce soir à Colovray (17 h 30). Le LS testera le jeune défenseur De Pierro (YB).

A deux semaines de la reprise en Challenge League, face à Etoile Carouge, le Stade Nyonnais fignole les derniers ajustements de son contingent. Dans son stade, le club de La Côte reçoit ce soir le Lausanne- Sport, qui disputera à cette occasion son avant-dernier match de préparation.

Cette rencontre permettra au nouvel entraîneur nyonnais, Jean- Michel Aeby, de tester le jeune défenseur central Adriano De Pierro (20 ans), actuellement sous contrat avec Young Boys. «Christian Gross nous le prête pour ce match, rapporte le président du club, Didier Henriod. Nous sommes à la recherche d'un défenseur central pour remplacer Stéphane Sarni. Nous explorons également la piste Oliver Maric (Servette). »

Le club de Colovray était très intéressé par Mustafa Sejmenovic, défenseur d'Yverdon, mais les demandes du président Cornu ont eu raison des discussions. «Nous étions tombés d'accord avec le joueur, confie Didier Henriod. Seulement le président Cornu, avec qui nous entretenons de très bons rapports, voulait chaque fois quelque chose en plus et je n'avais pas envie de jouer à l'épicier. »

Satisfait du recrutement effectué jusqu'ici, le président nyonnais ne cache pas son envie de renforcer le flanc gauche de son milieu de terrain: «Nous observons la situation de Berisha à Sion et celle de Moutinho à Servette. » Côté lausannois, Cristian Ianu (27 ans), l'attaquant roumain du FC Lucerne, ne posera pas ses crampons à la Pontaise. «Nous lui avons demandé plusieurs fois une réponse et, comme il ne s'est pas manifesté, nous sommes partis sur une autre piste, commente le vice-président Alain Joseph. Le joueur que nous suivons a joué et marqué des buts la saison dernière dans un championnat européen. Il nous a tout de suite plu, mais nous ne sommes pas les seuls sur les rangs. J'espère que nous pourrons boucler ce dossier lundi ou mardi. » Quant à la piste menant à l'autre Lucernois, Burim Kukeli, elle s'est refroidie, Martin Rueda hésitant à recruter un nouveau milieu de terrain axial.

Le Temps, 9 juillet 2011

«Chez nous, chaque franc est compté»;
Jean-François Collet, Président du Lausanne-Sport

AUTEUR: Propos recueillis par Sébastien Dubas

Le Temps: Le football est-il un business comme les autres?

Jean-François Collet: Tout à fait. Un club se gère comme toute entreprise, l'émotion en plus et la possibilité de gagner de l'argent en moins. Jean-Michel Aulas, président de l'Olympique Lyonnais, a réussi à faire de son équipe l'une des meilleures d'Europe tout en développant une certaine approche économique. C'est exactement ce que nous essayons de faire, à plus petite échelle bien sûr, avec le Lausanne-Sport. Bien évidemment, il a fallu apprendre les rouages du football. Mais à quelques détails près, le travail au quotidien correspond à ce que je fais lorsque j'organise n'importe quel autre événement sportif avec mon agence, Grand Chelem Management. Je pense que cette façon de faire explique en grande partie notre succès actuel.

- Une promotion en Super League est-elle une bonne affaire?

- En tout cas pas la première année. On sait déjà qu'en fin de saison nous serons dans les chiffres rouges. Les réserves d'un million de francs accumulées l'année dernière, grce à nos parcours en Coupe de Suisse et en Coupe d'Europe, vont nous permettre d'amortir au maximum une saison qui s'annonce difficile. Contrairement aux autres équipes, nous n'avons ni mécène ni stade digne de ce nom. Pouvoir disposer d'un nouveau stade dès aujourd'hui - il est prévu pour 2016 et devrait pouvoir accueillir jusqu'à 13 000 spectateurs - nous aurait été d'une grande aide. Des buvettes et des restaurants sont autant de revenus supplémentaires. Une loge peut rapporter, à elle seule, jusqu'à 40 000 francs par saison. Au total, c'est quasiment un demi-million voire un million de plus par année dans le budget. Sans oublier qu'avec un stade neuf, un plus grand nombre de spectateurs se rendrait aux matches et les billets pourraient être vendus plus chers.

- Quel est votre budget actuel?

- Il avoisine les 6,5 millions de francs alors qu'il était de 3,5 millions l'année passée. La grande différence se situe au niveau des salaires qui s'élèvent maintenant à environ 3,8 millions de francs. Il y a aussi les frais de sécurité qui coûtent très chers. Pour l'instant, on a provisionné 350 000 francs - contre moins du tiers en Challenge League. Le hooliganisme provoque non seulement des dégts dans le stade et ses alentours mais aussi en ville et dans les gares. Nous sommes actuellement en discussion avec la Ville et le canton pour réfléchir à la répartition des frais de sécurité générés par certains matches. Mais il est évident, pour l'instant, qu'ils souhaiteraient nous en faire payer une partie.

- Comment avez-vous réussi à doubler votre budget en quelques semaines seulement?

- On a la chance de bénéficier d'une bonne image auprès du public vaudois. Les gens croient en notre projet et se sont rendu compte qu'on essaie de gérer notre argent le plus intelligemment possible. Mon bras droit, Alain Joseph, et moi dépensons l'argent du club comme si c'était le nôtre: chaque franc est compté. Cette méthode a l'avantage de plaire aux Vaudois qui apprécient cette «gestion à la grand-papa» (rires). En plus de nos anciens partenaires qui ont accepté de rester et de faire un effort au niveau financier, deux nouveaux sponsors vont nous rejoindre - l'arrivée de deux grands institutionnels vaudois sera annoncée lors d'une conférence de presse le 11 juillet. En comptant le sponsoring et les clubs de soutien, on arrive à un peu plus de 3 millions de francs. Rien qu'à elle, la valeur totale du maillot représente environ un million et demi par année. Pour les sponsors, avoir son nom sur l'équipement apporte une grande visibilité. De plus, ils peuvent inviter des gens aux matches et participer à la vie sportive et sociale de la région. Le fait qu'Alain et moi soyons originaires du canton de Vaud représente d'ailleurs un avantage certain. Mais au final, avec un budget de 6,5 millions de francs, on sera de loin le plus petit de Super League. Pour vous donner une idée, le FC Ble tourne avec 40 millions par année et le FC Zurich avec 26 millions.

- D'où proviennent les 3,5 millions de francs restants?

- On espère que les revenus liés à la billetterie seront plus importants en Super League. Un million est demi de francs serait un bon résultat sachant que nos prix vont rester les plus attractifs de la League. Une promotion entraîne inévitablement une augmentation. Comme nous n'avions pas anticipé une pareille hausse des coûts liés à la sécurité, on va devoir majorer de 4,50 francs le prix de chaque billet [ndlr: les prix de base seront de 15 francs]. Cette taxe sera ensuite reversée à la Ville et au canton pour couvrir les frais de sécurité cantonaux et communaux. Et puis, outre les billets pour chaque match, il y a tous les abonnements annuels. Nous en avons déjà vendu 1800 à l'heure actuelle contre 700 l'année passée. Pour finir, on reçoit près de 750 000 francs par saison pour la retransmission des matches à la télévision et les droits de sponsoring de la Swiss Football League. Si c'est bien mieux que les 75 000 francs perçus en Challenge League, c'est nettement moins que les 15 millions d'euros engrangés la saison dernière par Arles-Avignon, bon dernier du championnat français.

- Il reste la vente de joueurs formés au club?

- Exactement, la formation est essentielle pour le futur du club. Le centre de formation, dans lequel on investit chaque année plus d'un million de francs, représente une source de revenu importante pour un club comme le nôtre. Non seulement il nous évite d'aller acheter des joueurs ailleurs, mais une partie non négligeable de nos revenus proviennent de la vente de joueurs formés au club. A ce titre, la montée en Super League va nous aider à garder les jeunes le plus longtemps possible. On peut leur offrir du temps de jeu au meilleur niveau ainsi qu'une structure de formation qu'ils ne trouveront pas forcément au sein des autres clubs. On a d'ailleurs presque plus perdu de jeunes joueurs ces derniers temps. L'épisode Ben Khalifa [ndlr: parti aux Grasshopper de Zurich en 2006 pour 50 000 francs, il a été revendu 4 ans plus tard au VfL Woflsburg pour une somme estimée à 4 millions de francs] n'est plus qu'un mauvais souvenir. Aujourd'hui, nos jeunes talents sont tous sous contrat et ont accepté de s'engager avec le club sur plusieurs saisons.

- Est-il difficile de rivaliser face aux dizaines de millions des grandes équipes?

- Le gros souci vient de certains agents et des parents qui commettent l'erreur d'envoyer leurs enfants à des kilomètres de chez eux, loin de la famille et des amis, pour encaisser quelques centaines de francs en plus. En ce moment, on a un jeune de 13 ans, certainement l'un des plus grands talents du club, qui a été proposé par un agent lausannois... au FC Zurich. Que voulez-vous qu'il aille faire à Zurich à cet ge-là? Il ne va pas devenir meilleur en s'entraînant à Zurich plutôt qu'à Lausanne dans une structure reconnue par l'ASF comme l'une des meilleures en Suisse. L'attitude de certains parents me dégoûte, c'est tout simplement irresponsable de leur part. Quand ces mêmes agents viennent nous proposer des jeunes joueurs français de 13 ou 14 ans, comme cela arrive fréquemment, nous refusons catégoriquement d'entrer en matière. Au Lausanne-Sport, mis à part deux ou trois Genevois et Fribourgeois, tous les jeunes proviennent de la région. C'est aussi une fierté pour les clubs vaudois de participer à l'éclosion d'un jeune talent.

- Les agents de joueurs sont-ils tous des vautours?

- Je ne critique pas tous les agents, loin de là. Les joueurs ont aussi besoin d'être protégés face à certains dirigeants de clubs qui s'apparentent à des voyous. Ce qui me gène, ce sont les agents qui touchent de l'argent sans rien faire, lors d'une prolongation de contrats par exemple, ou alors ceux qui gagnent des deux côtés: en prenant un pourcentage sur le salaire du joueur et en demandant une commission aux clubs suite à la signature d'un contrat. L'exemple du Brésilien Silvio est emblématique. Alors qu'il voulait rester au Lausanne-Sport et que nous lui avions fait une proposition financière plus que correcte, c'est son agent qui l'a fait signer avec l'Union Berlin, un club de deuxième division allemande. Comme nous nous étions arrangés directement avec le FC Zurich, à qui appartenait Silvio, l'agent n'aurait touché aucune commission s'il avait signé chez nous. Par contre, étant donné que c'est lui qui a arrangé le transfert avec Union Berlin, l'agent va très probablement toucher une commission de la part du club allemand et une autre de la part du FC Zurich. En fin de compte, c'est l'agent qui décide de la carrière de son joueur.

- Qui gère les transferts au Lausanne-Sport?

- Alain Joseph et moi sommes un véritable binôme. Toutes les décisions sont prises à deux, ce qui nous permet d'éviter certains risques. Heureusement, tous ne sont pas aussi compliqués que dans le cas de Silvio. Le récent recrutement de Janick Kamber, international M19 ans qui évoluait au FC Ble, est l'exemple d'un bon transfert. Il y a six mois, son agent nous avait contactés pour nous proposer les services d'un jeune talent qui, malheureusement, ne jouait pas dans son club. Le joueur nous intéressait mais on ne le voyait pas avoir sa place dans l'équipe. A la fin du championnat, lorsque la promotion était acquise, l'agent nous a rappelés. Cette fois-ci, nous le voulions. On en a donc parlé avec notre entraîneur et commencé à négocier les conditions financières avec l'agent. Le joueur est venu avec ses parents et il a senti qu'on croyait en lui. Il a choisi de venir pour l'aspect sportif, ses prétentions financières sont donc restées très correctes. Il aurait très bien pu partir à l'étranger et gagner deux fois plus d'argent mais, à l'image de Ben Khalifa, il aurait pris le risque de ne pas jouer. Il a encore fallu régler l'affaire avec le FC Ble puisque, même si le joueur était en fin de contrat, il y a des indemnités de formation à payer lorsque le joueur a moins de 21 ans. Heureusement pour nous, il y a des gens intelligents au FC Ble et nous avons pu trouver un arrangement pour ne pas payer les 250 000 francs d'indemnités de formation. En échange de sa venue au Lausanne-Sport pour deux saisons, le FC Ble garde des droits sur le joueur et touchera une prime lorsque celui-ci sera revendu.

Le Temps, 8 juillet 2011

«Le club était en faillite virtuelle»;
Le président a investi plus d'un million

AUTEUR: Propos recueillis par S. D.

Le Temps: Comment êtes-vous devenu président du Lausanne-Sport?

Jean-François Collet: Par hasard. En 2007, le club avait de gros problèmes financiers. Comme je travaillais souvent avec le Service des sports de la Ville de Lausanne, leur chef, Patrice Iseli, m'a demandé si j'étais disposé à reprendre le club. Même si j'adore le foot et que je suis un fan du Lausanne-Sport depuis toujours, je n'avais jamais imaginé reprendre un jour la présidence de l'équipe.

- A-t-il fallu agir dans l'urgence?

- Oui, le club était en faillite virtuelle. Il n'y avait plus de présidence, la situation au niveau de l'organisation était dramatique et la reprise du championnat approchait à grands pas. Nous avons dû nous décider en moins d'une semaine. Puis tout s'est enchaîné: il a fallu combler un déficit de 800 000 francs, recruter des joueurs et leur faire signer des contrats.

- Pourquoi tous ces efforts?

- Si nous n'avions rien fait, le club aurait très certainement disparu. Notre objectif initial n'était pas forcément de faire remonter l'équipe en Super League. On voulait surtout changer la gestion du club pour éviter qu'il ne retombe dans ses errements du passé. Une fois remis sur pied et consolidé, l'idée était de le laisser à quelqu'un qui ait les moyens de l'emmener plus loin. Avec la promotion, le problème a quelque peu évolué. Maintenant que nous sommes en Super League, pourquoi aller chercher quelqu'un d'autre pour gérer le club?

- Mettez-vous de l'argent de votre poche dans le club?

- J'en ai mis pas mal au début. Il a fallu boucher le trou en arrivant et combler le déficit à la fin de la première saison. Au total, Grand Chelem Management, mon agence d'événementiel, a dû mettre entre 1,2 et 1,3 million de francs. Rien à voir avec les millions de Gigi Oeri à Ble ni avec les 500 000 francs mensuels que Majid Pishyar disait injecter dans le Servette FC la saison dernière. Mais nous n'allons pas continuer à payer de notre poche. Si le projet du Lausanne-Sport n'arrive pas à s'autofinancer maintenant, c'est qu'il n'a pas d'avenir dans sa structure actuelle.

Quel est ce projet, c'est la grande question non ?

super article du temps et pour certains, un bref retour à la réalité des choses quand à la situation du LS en 2007, avant que GCM ait repris le club.

Scoopex a écrit:super article du temps et pour certains, un bref retour à la réalité des choses quand à la situation du LS en 2007, avant que GCM ait repris le club.

Oui, très bon article, mais pas super rassurant pour l'avenir je trouve. Quand je pense qu'ils ont du "apprendre les rouages du foot" sur le tas...

Est-ce possible qu'un club de foot dans une ville comme Lausanne n'intéresse aucun investisseur?

Et surtout, le staff des dirigeants ne peut-il pas s’étoffer de quelques éléments qui soient reconnus pour leurs grandes compétences et leurs connaissances du monde du foot?

http://www.24heures.ch/actu/sports/colovray-nyonnais-surprennent-ls-rodage-2011-07-09

http://sharknews.fr/sharkfoot-le-mag/les-actualites-foot/2400-junior-negrao-remplace-silvio

Communiqué de presse

Des partenaires de choix aux côtés du FC Lausanne-Sport
Pour son grand retour en Axpo Super League, le FC Lausanne-Sport peut compter sur le soutien d’entreprises représentant le fleuron de l’économie vaudoise. Certaines étaient présentes lors de la montée, d’autres ont rejoint l’aventure en cours de route.

Lausanne, le 11 juillet 2011 – Suite à l’ascension du LS en première division, les dirigeants du FC Lausanne-Sport lançaient un appel aux principaux acteurs économiques vaudois. Le maintien du LS parmi l’élite passe par le soutien financier de ces derniers. La Direction du club est reconnaissante aux dirigeants qui ont répondu positivement à leur demande en s’engageant à ses côtés.

Le FC Lausanne-Sport est le seul club de Super League à avoir deux dirigeants à sa tête. Il semblait donc naturel que deux partenaires principaux les épaulent dans ce fantastique projet. Le Club a pu compter, lors de sa remontée vers le sommet, sur le soutien sans faille du plus grand employeur du Canton de Vaud, la société coopérative Migros Vaud par l’intermédiaire des magasins Sport Xx. Il peut désormais également s’appuyer sur le principal acteur institutionnel vaudois, la Banque Cantonale Vaudoise, ceci pour les prochaines saisons. Jean-François Collet, Président du FC Lausanne-Sport, revient sur l’importance de ces partenariats : « Notre club ne dépendant pas d’un mécène, notre seule chance de continuer notre fantastique aventure est de pouvoir nous appuyer sur des partenaires de qualité qui croient aux valeurs véhiculées par le FC Lausanne-Sport. L’engagement sur le long terme de la Banque Cantonale Vaudoise et la décision de Migros Vaud de continuer à nous soutenir nous fait chaud au cœur et nous permet d’envisager un avenir serein »
Suite à un partenariat conclu avec le groupe Interiman, via sa filiale Interibat, la Tribune Nord a une nouvelle appellation. Précédemment dénommée "Tribune G. Dentan", elle devient la "Tribune Interibat" pour les cinq prochaines saisons. La société G. Dentan continuera à soutenir le FC Lausanne-Sport. Il en est de même du Groupe Boas par l’intermédiaire de son service de restauration « Le Petit Manoir ». De son côté, le groupe AMAG continuera à fournir les véhicules officiels des joueurs du FC Lausanne-Sport en collaboration avec son partenaire Volkswagen.

Depuis plusieurs années, les Retraites Populaires oeuvrent en compagnie de la Banque Cantonale Vaudoise et l’ECA pour le financement de la formation des jeunes footballeurs vaudois par l’intermédiaire de l’Association Team Vaud Foot Espoir. Les Retraites Populaires soutiennent également depuis deux saisons le projet de préformation LFA (Lausanne Foot Academy). La Direction de cet établissement a décidé de s’impliquer encore davantage dans la vie du club en soutenant directement le FC Lausanne-Sport. Le logo RP Vie sera désormais visibles sur les équipements de la première équipe. Dans le cadre de son retour au plus haut niveau, les dirigeants du FC Lausanne-Sport sont également heureux de pouvoir bénéficier du soutien de la société Mac Donalds Restauration.

Au niveau sportif, le club a le plaisir d’annoncer les joueurs qui ont rejoint le club cette saison soit : Fabio Coltorti, Mathieu Débonnaire, Janick Kamber, Frédéric Page, Marko Muslin, Nicolas Marin, Steven Lang et Emil Lyng. La Direction du FC Lausanne-Sport est impatiente de vivre le début de la nouvelle saison avec ses fidèles partenaires ainsi qu’avec ses supporters.

Le FC Lausanne-Sport
Aurélie Fontanellaz Responsable Presse

Article de ce jour du matin.ch

http://www.lematin.ch/sports/football/super-league/ls-une-mi-temps-par-sponsor

http://www.24heures.ch/actu/sports/ls-innove-changement-maillot-mi-temps-satisfaire-sponsors-2011-07-11

Interview de Marc Hottiger sur sa vision du LS:

http://www.football.ch/sfl/fr/Regards.aspx?vNews=1&newsID=1

http://www.blick.ch/sport/fussball/superleague/wetten-dass-fabio-coltorti-die-schiessbudenfigur-der-liga-wird-176496

http://www.bcv.ch/fr/la_bcv/actualites_et_medias/actualite_bcv/2011/la_bcv_aux_cotes_du_fc_lausanne_sport

Bon article dans le 24Heures du jour, où on nous parle notamment du Campus Pelé, qui pourrait se terminer devant le tribunal. Je recopie juste la fin de l'article, le début expliquant en quoi consiste ce partenariat.

"Notre collaboration a ensuite officiellement repris en janvier dernier (après la demande de supension en juin 2009 par les fonds de placement du Campus Pelé), explique Alain Joseph. Et après de nombreuses sollicitations de notre part, ils nous ont envoyé Fabrizzio..." Lequel ne fit que quelques apparitions en match officiel de Challenge League avant de retourner au Brésil, le mois dernier. "Depuis, nos nombreux e-mails sont restés sans réponse, continue le vice-président lausannois. Du coup, notre avocat s'est saisi de l'affaire. Pour que nos intérêts soient protégés. Je ne vois pas pourquoi les Brésiliens pourraient d'un jour à l'autre mettre un terme à un contrat qui court sur plusieurs années encore."
En résumé, si les responsables de ce fonds de placement ne se manifestent pas ces prochaines semaines, le LS saisira la justice pour faire valoirs ses droits. Et, à la clé, il pourrait réclamer les quelques 4 millions de dollars que les Brésiliens doivent encore lui verser d'ici à la fin du partenariat, soit en décembre 2018.

ouaip, ont-il vraiment les moyens ? On risque de se retrouver avec 1000 tonnes de cannes à sucres ou un tutu dans le c...

http://www.lematin.ch/sports/football/super-league/%C2%ABmes-meilleures-annees-sont-devant-moi%C2%BB

Dix ans que les Romands n'étaient pas 4 dans l'élite...

http://sharknews.fr/sharkfoot-le-mag/les-actualites-foot/2404-dix-ans-deja

http://www.swissinfo.ch/fre/nouvelles_agence/international/Football:_un_stade_de_10000_places_bientot_construit_a_Schaffhouse.html?cid=30678468

1e page du Lausanne Cités... bleu pour l'occasion

J'aime vraiment la mentalite de notre Rueda! C'est avec son approche que nous ferons des resultats! J'espere que nos joueurs adopte la meme envie

http://www.bernerzeitung.ch/sport/fussball/Weshalb-Rueda-Yakin-lobt/story/28217949

Article sur Junior Negrao dans le 24h papier du jour. Ce journal se bouge enfin pour le LS... c'est pas trop tôt (je sais pas de commentaire mais je pouvais pas m'empêcher...)