Les articles de presse (pas de commentaire !)

Sur Sport.ch :

"Wechselt Stahel nach Lausanne?
Der 26-jährige rechte Aussenverteidiger des FC Zürich Florian Stahel ist beim FC Lausanne im Gespräch. Sein Vertrag bei den Zürchern würde noch ein Jahr weiterlaufen. In der abgelaufenen Saison kam er in 12 Spielen zum Einsatz."

http://www.football.ch/sfl/fr/start.aspx?vNews=1&newsID=2

On y apprend que ce n'est pas encore totalement mort pour Silvio, croisons les doigts.

Matin.ch

Survol du marché des abonnements en Romandie: Lausanne est le moins cher, Sion vend à tour de bras, NE Xamax n’a pas commencé et Servette augmente. Lausanne pratique des prix attractifs et a lancé une campagne de pub originale. De quoi attirer du monde à la Pontaise.

Lausanne pratique des prix attractifs et a lancé une campagne de pub originale. De quoi attirer du monde à la Pontaise.



En Suisse romande, la campagne d’abonnement dans les clubs de Super League a démarré – ou va bientôt commencer dans le cadre particulier de NE Xamax – mais elle n’a pas débuté partout au même rythme… Au secrétariat du FC Sion, c’est l’effervescence. La victoire en finale de la Coupe a dopé les ventes de cartes annuelles. «On sent aussi les retombées des promotions du LS et de Servette, c’est l’effet derbies», se réjouit Domenicangelo Massimo, directeur général de Tourbillon. Exemple de cet engouement sans précédent: les places du Club des 1000 Gold nouvellement créé se sont toutes arrachées en moins d’une semaine… La politique tarifaire, elle, n’a pas subi de hausse depuis deux ans. «On préfère augmenter le nombre de nos abonnés que nos prix», résume M. Massimo, confronté à un véritable boum en la matière.



A la Pontaise, le retour du LS dans l’élite s’accompagne d’un réel intérêt de la part de potentiels futurs abonnés. «Ça démarre assez fort. On sent une attente du public pour un spectacle qui en vaudra la peine», confirme Gianluca Sorrentino, directeur administratif du club vaudois.



Rueda tête d’affiche
Toujours attractifs en dépit d’une petite hausse (plus de matches et places désormais numérotées), les prix des abonnements – le néo-promu propose de loin le football le meilleur marché de Super League – ne sont pas étrangers à ce renouveau populaire. Dans une campagne publicitaire bientôt placardée sur les murs, le LS n’entend pas s’éloigner de son nouveau slogan – «Lausanne a retrouvé la Super League. Et vous?» – mettant en scène plusieurs de ses héros en autant de déclinaisons différentes.



Au bout du lac, la campagne de l’autre néo-promu a bien démarré également, en dépit d’une spectaculaire hausse des prix. Ainsi l’abonnement adulte en tribune principale, qui était encore de 420 fr. en Challenge League à la Praille, est-il passé à 780 fr. (+46%!), avec une offre certes enrichie de trois matches. Comparé à l’antique Pontaise, l’outil de travail de la Praille, offrant un tout autre confort, n’est bien sûr pas le même, ce qui peut aussi expliquer ce réajustement, Servette s’alignant désormais sur ce qui pratique dans les nouveaux stades. L’engouement demeure malgré tout élevé, indique-t-on du côté du secrétariat. «Après des années de frustration de voir Servette végéter à l’échelon inférieur, les supporters se réjouissent de retrouver le club à sa place», explique ainsi un habitué de la Praille.



Xamax: Des loges deux fois plus chères
Confirmation de Henda Comitre, responsable du sponsoring: «Historiquement, relève notre interlocuteur «grenat», on n’a jamais eu autant d’abonnés en si peu de temps. On en est presque surpris.»



Au secrétariat de NE Xamax, très silencieux, le visiteur est accueilli au téléphone par une bande sonore qui tourne désespérément en boucle. «Tous nos collaborateurs sont momentanément occupés. Veuillez rappeler ultérieurement…» Traduction: hormis une secrétaire débordée, il n’y a plus personne qui répond. A moins de trois semaines de la reprise, la campagne d’abonnement du club neuchâtelois n’a d’ailleurs toujours pas démarré. «On va tout changer, avec des prix qui feront le bonheur des familles, assure Andreï Rudakov. On est en train de fixer les détails. Personne ne va réclamer.» Sauf peut-être les personnes (ou entreprises) disposant d’une loge, dont le prix sera doublé pour atteindre 200 000 francs à l’année. «Nos prestations seront largement améliorées, et nous proposerons aussi en échange une belle équipe», se justifie le président. Si tout se passe comme les nouveaux maîtres du club l’espèrent, Xamax devrait lancer sa campagne le 1er juillet.



Vingt-cinq kilomètres plus loin, sur les hauteurs de La Chaux-de-Fonds, la campagne des hockeyeurs du HCC pour la saison 2011-2012 bat, elle, déjà son plein.

http://www.bz-berlin.de/archiv/traegt-brasi-silvio-bald-dieses-trikot-article1214082.html

Ce n'est pas un article récent ("Le temps" du 28 septembre 2009) mais il apporte un éclairage intéressant sur ce à quoi doivent être confrontés les dirigeants du LS en cette période.

LE TEMPS, LUNDI 28 SEPTEMBRE 09

Entre les 2500 francs mensuels d’un stagiaire du FC Aarau et les 2 millions par année qu’empoche Alexander Frei, il y a un monde

Les footballeurs n’aiment pas parler de leur salaire. Du coup, on se demande bien ce qu’ils gagnent. En Super League, la moyenne tarifaire n’atteint pas les sommets observés dans les grands championnats européens. Mais elle ne cesse de grimper. «Il y a eu une forte hausse des revenus avec les nouveaux stades, donc il y a une forte hausse des salaires», constate Edmond Isoz, directeur de la Swiss Football League (SFL). «En quatre ou cinq ans, je pense que le salaire moyen a doublé.»

Doublé, ça fait combien? Les experts tombent d’accord autour de 20'000 francs par mois. Avec, évidemment, des disparités abyssales entre le stagiaire du FC Aarau (environ 2500 francs) et Alexander Frei, de loin le joueur le mieux rémunéré de la première division helvétique – 2 millions par année. Tout en bas de l’échelle, on trouve donc le bleu qui tape à la porte, entre 2000 et 3000 francs. «Ça peut être 1500, et puis tu augmentes en fonction du nombre d’apparitions», précise Christian Constantin. Un cran plus haut, explique le président du FC Sion, on trouve «les joueurs qui commencent à s’installer dans la division, entre 100'000 et 150'000 francs par saison»; puis les «joueurs confirmés», entre 200'000 et 300'000. Christian Constantin n’évoque pas la catégorie au-dessus, celle des cas exceptionnels, comme le Français Olivier Monterrubio, parti l’été dernier. Combien coûtait-il? «Une fortune», répond avec pudeur un agent de la place.
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Une fortune, en Super League, c’est la fourchette des 80'000-100'000 par mois. On y trouve notamment les internationaux bâlois (Marco Streller, Benjamin Huggel) et zurichois (Johan Vonlanthen, Xavier Margairaz). Les «anciennes gloires» Boris Smiljanic et Ricardo Cabanas touchent aussi ce type de somme, alors que leur club, Grasshopper, est en souffrance. «Tout a augmenté», acquiesce John Dario, agent de joueurs. «Les étrangers, on n’arrive plus à avoir les bons, et ils sont très chers. Alors les Suisses s’adaptent aux prix pratiqués, ils ont raison.»

Dans cette inflation générale, chaque club fait avec les moyens du bord et selon sa philosophie. Au niveau de la puissance financière, il y a Bâle (40 millions de budget) et le reste du monde, même si Zurich commence à régater, boosté par la qualification en Ligue des champions. A l’autre extrémité, il y a Bellinzone (5 millions de budget) et Aarau (7,5), où un titulaire de base touche 15'000 francs par mois. Entre deux, on trouve un club comme Neuchâtel Xamax, doté de 11 millions pour sa première équipe. Quel est le plus bas salaire du côté de la Maladière? «C’est celui du président, il est gratuit!» dévoile Sylvio Bernasconi lui-même. Et le plus haut? «C’est 800'000 par année… J’étais inconscient, je ne le referais plus. Depuis, on a équilibré, il y a moins de différence entre les gros et les petits salaires. De toute façon, des clubs comme le nôtre sont condamnés à trouver des oiseaux rares aux quatre coins du monde.»

Avec le Sénégalais Ibrahima Niasse et le Nigérian Ideye Brown, le président neuchâtelois a vu juste. «Ils ont été payés une bouchée de pain et ils ne vont pas tarder à rapporter de l’argent», glisse un observateur. Mais le plus flamboyant des oiseaux rares de Super League évolue aux Young Boys, brillant leader. Seydou Doumbia, perle ivoirienne, a été transféré du Japon pour 250'000 dollars à l’été 2008. A la fin de la saison, il partira à l’étranger pour 10 millions de francs au minimum. En attendant, il gagne moins que son coéquipier Gilles Yapi, plus haut salaire du club d’après une source proche, avec 30'000 francs par mois.
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Brut, précisons-le. Car la différence est grande, avec les charges sociales (environ 12% selon Edmond Isoz) et l’indispensable assurance accident (entre 28 et 40%). «Un joueur qui reçoit 200'000 francs par année coûte 280'000 ou 290'000 francs à son club», chiffre le directeur de la Swiss Football League. «Si tu veux donner 100'000 francs par mois à un joueur, il faut en payer 140'000», corrobore Christian Constantin. «Des fois, c’est le joueur qui paie les charges, d’autres fois il partage avec le club, c’est au cas par cas», explique John Dario. «Les joueurs étrangers ont tendance à exiger du net. En général, ils bénéficient en plus d’un appartement, d’une voiture, voire de deux billets d’avion par an pour rentrer au pays.»

Pour compenser les taxes, heureusement, on a inventé les primes. «En moyenne, elles représentent 20% du salaire des joueurs», estime Edmond Isoz. Là aussi, les politiques et les barèmes sont variables selon les clubs. Aux Young Boys, tant que l’équipe est en tête du classement, une victoire vaut 4500 francs. A Sion, en fonction du classement, elle peut rapporter entre 2000 et 3000 francs. «Comme je ne veux pas payer des relégables, je donne une prime de victoire à partir de la sixième place», précise Christian Constantin. A Neuchâtel, les joueurs ne reçoivent qu’un «argent de poche, moins de 500 francs par point» pendant la saison. Mais le président Bernasconi a promis des sommes rondelettes à partir du cinquième rang final au classement. «Ça peut monter très haut», dit-il. «Et pour une victoire en Coupe de Suisse, je fais péter la timbale!»

Il fut un temps, dans les années 1980, où le meilleur joueur suisse – Heinz Hermann – préférait s’engager à Neuchâtel Xamax pour 600'000 francs nets par année, plutôt que de signer au Bayern Munich pour un million brut. Ce temps est révolu, et la Super League, avec son salaire moyen estimé à 20'000 francs par mois, évolue désormais à des années-lumière des grands Championnats européens.

D’après les chiffres publiés récemment par le quotidien français L’Equipe, le salaire moyen s’élèverait à 85'000 euros mensuels en Liga espagnole; à 80'000 en Premier League anglaise; et à 52'000 en Serie A italienne. En France, les pensionnaires de Ligue 1 touchent 45'000 euros. Et l’Allemagne? «En Bundesliga, on arrive vite à une somme comprise entre 1 et 1,5 million par saison pour un joueur moyen», affirme Edmond Isoz, directeur de la Swiss Football League.

«On est sur un marché mondial, à l’intérieur duquel il y a forcément des disparités énormes», note Christian Constantin. «Quand on affronte les Turcs de Fenerbahçe en Coupe d’Europe, on est face à des joueurs comme Roberto Carlos qui touchent 400'000 euros par mois.»
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Bref, entre la Super League et les ligues super, un fossé. Et des sommes qui permettent de mieux comprendre pourquoi les jeunes talents helvétiques, tout comme les mercenaires prometteurs, tournent le dos au pays dès qu’un club étranger s’intéresse à leurs aptitudes.

http://sharknews.fr/sharkfoot-le-mag/les-actualites-foot/2330-laxpo-super-league--plus-passionnante-que-jamais-

Courrier de Berlin, encore un texte sur Silvio

http://www.berliner-kurier.de/sport/1--fc-union/was-laeuft-da-mit-raffael-kumpel-silvio-/-/7168992/8605960/-/

Football.ch :

"Marin et Kulaksizoglu s’entraînent avec le LS
Laissé libre par le FC Sion, l’ailier Nicolas Marin (30) s’entraîne depuis ce mardi avec le FC Lausanne-Sport. «Nous lui avons soumis une proposition», précise le vice-président Alain Joseph. Le demi défensif Baykal Kulaksizoglu (28, Karsiyaka/2.D.), ancien international U21 et pensionnaire du FC Bâle, du BSC Young Boys et du FC Aarau, tente également sa chance chez le néo-promu tout comme l’attaquant danois Emil Lyng (21, Nordsjaelland). Les trois hommes seront probablement testés face au Servette FC samedi."

Quelques photos dans le Matin, 30 juin:

http://www.lematin.ch/images/sports/le-lausanne-sport-en-invite-dhonneur-chez-philippe-rochat

http://sharknews.fr/sharkfoot-le-mag/les-actualites-foot/2347-faute-de-commandant-un-marin-au-ls

http://www.lematin.ch/sports/football/tolochenaz-servette-etait-meilleur-que-ls

http://www.blick.ch/sport/fussball/international/transfer-ticker-sommer-2011-174573

http://www.lematin.ch/sports/football/le-ls-se-paie-le-qatar

http://www.24heures.ch/actu/sports/passe-vraiment-silvio-lausanne-sport-2011-07-05

http://www.lematin.ch/sports/football/fabio-celestini-%C2%ABje-n%E2%80%99ai-pas-un-ego-surdimensionne%C2%BB

http://www.lematin.ch/sports/football/super-league/le-ls-piste-ianu

http://sharknews.fr/sharkfoot-le-mag/les-actualites-foot/2371-lausanne-manque-dargent

J'ai hésite à le mettre dans "ancien lausannois"

http://sharknews.fr/sharkfoot-le-mag/les-actualites-foot/2373-quel-avenir-pour-jocelyn-roux-

Le président de Carouge en dit plus sur le cas Roux

Fredy Bickel dans le Blick: "Silvio geht zu Union Berlin […]."

"Ianu und Kukeli vor dem Abschied?" (Neue Luzerner Zeitung)

24 Heures sur le recrutement du LS et de Kamber en particulier :

http://www.24heures.ch/actu/sports/lausanne-sport-janick-kamber-symbole-recrutement-intelligent-2011-07-06

http://www.cartonrouge.ch/fr/actualite/article/le-lying-le-lang-et-les-autres/index.html

L'article de la Neue Luzerner Zeitung en entier, récupéré sur le forum des supporters lucernois (où, entre parenthèses, j'aime à croire que les administrateurs ne jouent pas trop les père-la-pudeur ultra-répressifs une semaine sur trois).

***

Ianu und Kukeli vor dem Abschied

Fussball

Lausanne ist an den FCL-Spielern Cristian Ianu und Burim Kukeli interessiert. Vieles deutet darauf hin, dass sie gehen: Denn der FCL macht ihnen die Tür weit auf.

«Ich habe noch einen Einjahresvertrag und fühle mich wohl.»

FCL-Spieler Burim Kukeli

Daniel Wyrsch

daniel.wyrsch@luzernerzeitung.ch

Im Fussballgeschäft kann es zuweilen hart zu und her gehen. Jedenfalls bekommt man diesen Eindruck, nachdem man gestern im Anschluss ans Nachmittagstraining auf der Allmend mit den beiden FCL-Spielern Cristian Ianu und Burim Kukeli gesprochen hat. Beide geben sich unwissend, was Gespräche mit Lausanne betrifft. Der FC Luzern hatte gestern Mittag eine «Blick»-Meldung bestätigt, wonach der Aufsteiger vom Genfersee Interesse an den beiden Spielern zeigt. Und dabei gleich via Pressesprecher Stefan Bucher offiziell erklärt, dass er den Waadtländern erlaubt, mit Stürmer Ianu und Mittelfeldspieler Kukeli zu sprechen. Der 27-jährige Kosovare Kukeli zeigt sich nach 17 Uhr völlig überrascht von dieser Meldung. «Mit mir hat bis jetzt niemand gesprochen. Auch nicht mit meinem Berater Agron Krasniqi.» Von Abwanderungsgelüsten keine Spur. Der laufstarke Defensivspezialist sagt mit trauriger Stimme: «Ich habe noch einen Einjahresvertrag und fühle mich wohl in Luzern.» Vor vier Jahren ist er via Olten und Schötz zum FCL gekommen. Zuletzt habe er «ganz gute zwei Jahre» hier gehabt. «Ich würde gerne bleiben», sagt er und fügt gleich hinzu, «niemand hat gesagt, dass ich gehen muss. Das muss jetzt der Verein entscheiden.»
Im Stolz getroffen

Ähnlich tönt es bei Cristian Ianu. Zuerst sagt er nur: «Ich will nicht viel sagen. Zuerst muss ich intern mit dem Präsidenten und dem Trainer reden.» Doch bei Ianu scheinen die Gedanken an einen Abschied fortgeschrittener als bei Kukeli. «Im Fussball ist alles möglich.» Nach ein paar Schritten in Richtung Kabine auf der Allmend Süd, die früher Fliegerschuppen hiess, verliert der 27-jährige Rumäne einen Augenblick die Selbstbeherrschung: «Wenn jemand behauptet, ich sei nicht 100-prozentig fit, dann stimmt das nicht. Ianu ist fit und hat körperlich keine Probleme», sagt er mit feuchten Augen. Im Stolz scheint der Stürmer verletzt zu sein. 21 Tore hatte er in seiner ersten Saison für den FCL noch geschossen, ehe er zu Beginn der letzten Saison beim 4:1-Auswärtssieg in Basel von Goalie Franco Costanzo getroffen wurde und einen Schienbeinbruch erlitt. Seither ist der mit der Schwester von Kubilay Türkyilmaz liierte Ianu nie mehr zu seiner Hochform aufgelaufen.
Yakin: «Vertragskonstellation»

Mit dem Trainerwechsel von Rolf Fringer zu Murat Yakin haben sich sowohl für Ianu wie für Kukeli die Karten verschlechtert. Murat Yakin beantwortet die Frage, ob er auf Ianu und Kukeli verzichten kann, recht deutlich: «Prinzipiell ist jeder Spieler ersetzbar. Beide verhalten sich professionell, aber sie spüren auch, dass jetzt ein anderer Wind weht. Reisende soll man nicht aufhalten.» Der neue FCL-Übungsleiter macht auf einen wichtigen Fakt aufmerksam: Beide Spieler besitzen noch einen Einjahreskontrakt. Diese Vertragskonstellation spreche für einen Wechsel. Bekanntlich können in einem Jahr, wenn ihre Verträge auslaufen, keine Transfersummen mehr generiert werden. Aus Sicht des FCL ist es offiziell eine Frage des Angebots aus Lausanne, ob er Ianu und Kukeli ziehen lässt.
Hakan Yakin vorne konkurrenzlos?

Könnte Murat Yakin mit dem Geld aus Lausanne bis zum Abschluss der Transferzeit Ende August noch einen Wunschspieler holen? «Das werden wir nicht tun. Es kommt niemand ausser Jahmir Hyka, mit dem wir schon seit längerem verhandeln.» Das heisst aber auch, dass mit dem Spielsystem 4-1-4-1 bei einem Abgang von Ianu der 34-jährige Bruder des Trainers, Hakan Yakin, vorne als einziger Stürmer so gut wie ohne Konkurrenz wäre. Diese These will Murat Yakin nicht gelten lassen: «Dort kann ich auch Gygax, Ferreira oder Siegrist einsetzen.»

Murat Yakin macht sich elf Tage vor dem Saisonstart auswärts gegen Xamax Sorgen um die Stimmung. «Ich hoffe jetzt nur, dass nicht zusätzlich Unruhe aufkommt.»

Daniel Wyrsch

Très bon article dans Carton Rouge ! tout à fait d'accord, même pour Marin ! Il a du talent mais il faudra qu'il se bouge le cul........

http://www.lematin.ch/sports/football/super-league/finalement-roux-reste

http://www.24heures.ch/toit-stade-effondre-pays-bas-blesses-2011-07-07

http://www.lematin.ch/sports/football/super-league/sion-et-ls-la-recherche-du-buteur