Les articles de presse (commentaires autorisés)

Le résumé du match d'hier version Carton-Rouge :

https://www.carton-rouge.ch/2023/07/30/iliet-une-fois/

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/buteur-face-a-grasshopper-rares-ilie-ce-lausannois-qui-va-monter-en-puissance-id18794172.html

Merci Blick, honte à vous 24heurtes et le Malin

https://www.bluewin.ch/fr/sport/super-league/un-fc-sion-qui-manque-a-la-super-league-manquera-au-ls-1832480.html

Interview de Steinmann durant le match contre GC.

Première impression positive pour les quatre Romands de Super League
https://lematin.ch/story/premiere-impression-positive-pour-les-quatre-romands-de-super-league-254035333628

Football

Place au premier derby vaudois de Super League
Les derniers duels au sein de l’élite entre Yverdon et le LS remontent à la saison 2000-2001. Jean-Philippe Karlen et Steeve Devolz y étaient. Souvenirs avant les retrouvailles à la Tuilière dimanche.

André Boschetti

Les quelque 7000 spectateurs attendus à la Tuilière s’apprêtent à vivre un nouveau moment historique. Depuis 2003 et la création de la Super League, jamais en effet un choc entre clubs vaudois n’avait figuré à son calendrier. Un vide qui sera copieusement comblé cette saison où dix derbies cantonaux, au minimum, sont au programme. Dont le tout premier opposera, ce dimanche (14 h 15), le LS à Yverdon Sport.

Deux néopromus qui ne s’affronteront toutefois pas pour la première fois à un tel niveau. Entre 1993 et 2001, le LS et YS s’étaient défiés à neuf reprises déjà. Huit fois dans celle qui s’appelait alors la LNA et une lors d’une mémorable demi-finale de Coupe de Suisse. Avec un bilan équilibré de trois victoires chacun pour autant de nuls.

L’incroyable parcours d’YS

Des rendez-vous que Jean-Philippe Karlen et Steeve Devolz ont, à eux deux, presque tous honoré de leur présence. Le premier sous les couleurs des deux équipes, le second pour YS seulement. Et les trois derniers en tant qu’adversaires.

Un derby entre les deux plus importants clubs vaudois qu’aucun des deux n’imaginait denouveau possible à ce niveau. «C’est invraisemblable de retrouver Yverdon en Super League, s’étonne «Charly» Karlen. Je me souviens qu’il y a quelques années seulement on jouait contre cet adversaire, alors en grande souffrance, avec mon équipe de La Sarraz-Éclépens, en 1re ligue. Je suis admiratif du parcours effectué depuis par un club qui mérite d’être là où il est aujourd’hui.»

Lausanne favori

«Ce qu’ils ont fait est à peine croyable, appuie Steeve Devolz. Les exigences pour évoluer en Super League sont tellement plus élevées pour les clubs qu’à mon époque que leur mérite est d’autant plus grand. Lorsque nous étions montés, en 1999, notre budget atteignait à peine 3 millions. Quant à l’arrivée d’un groupe américain à la tête d’YS, elle m’étonne peut-être davantage encore. Attendons un peu pour voir ce que ça va donner, mais je dois reconnaître que ces personnes ont l’air de prendre tout ça très au sérieux et de connaître leur job. Et pour espérer que cette aventure en Super League se prolonge dans le temps, la présence de ce type de riches propriétaires est aujourd’hui un impératif pour un club comme Yverdon.»

Comme lors de tous les derbies disputés au cours de leur histoire commune, le LS sera le favori logique dimanche. Comment alors expliquer le grand équilibre, au niveau des résultats, entre deux clubs que tout sépare? «Pour avoir vécu ces matches dans les rangs des deux équipes, explique Karlen, je peux vous assurer qu’on ne les prépare pas de la même façon. À Lausanne, ce n’est pas le duel de l’année et, si on le gagne, c’est presque normal. À Yverdon, c’est au contraire la première date qu’on entoure quand sort le calendrier. Une victoire contre le grand voisin est un moment à part.»

Avantage aux locaux

«Dans le Nord vaudois, continue Devolz, on le vit de façon beaucoup plus intense, je pense. Jouer le LS, c’était un peu notre match de Coupe d’Europe à nous. Porté par le public, j’avais parfois l’impression de jouer à 120% de mes moyens. Sans cette débauche d’énergie, nous savions que nos chances de succès étaient très réduites. J’imagine que l’an dernier le même état d’esprit animait YS lors des deux derbies remportés à domicile. Mais, connaissant Ludo (Magnin), je suis certain qu’il saura parfaitement motiver son équipe pour gagner un match qu’il ne supporterait pas de perdre. Surtout en Super League, où ce derby prend une dimension supplémentaire.»

Pour les deux hommes, leur tout premier derby est aussi celui dont ils gardent le souvenir le plus fort. «Même s’il est lointain, je l’ai encore bien en tête, sourit Karlen. C’était en 1993 et, après avoir longtemps évolué en juniors au LS, j’avais rejoint Yverdon. Il y avait une ambiance incroyable (ndlr: plus que 7200 spectateurs annoncés) et nous avions longtemps tenu tête au LS avant que La Placa ne nous crucifie.» Pour ce qui reste toujours la seule victoire à l’extérieur de l’histoire de ces derbies. «Il était difficile pour tout le monde de venir gagner au Stade municipal, précise Karlen. Cette saison-là, et même si nous avions été relégués, seuls le LS et Lugano l’avaient emporté chez nous.»

Une première que Steeve Devolz n’a, lui non plus, pas oubliée. «Lors de la saison 1999-2000, alors que je jouais encore à Échallens un peu plus d’an plus tôt, je me suis tout à coup retrouvé sur le terrain en face d’Ohrel, Hottiger, Rehn et j’en passe. Des joueurs que j’admirais à la TV et qui avaient même disputé la Coupe du monde pour certains. Là encore, l’atmosphère exceptionnelle nous avait portés jusqu’à une inoubliable victoire.»

Un sentiment d’euphorie qu’YS n’a connu ni à la Pontaise ni à la Tuilière. Deux stades où il n’a jamais encore réussi à s’imposer. De bon augure pour le LS?

L’improbable penalty de Pape Thiaw
La toute dernière confrontation lorsque les deux clubs appartenaient encore à la défunte LNA n’a pas été un rendez-vous comme un autre, mais une mémorable demi-finale de Coupe de Suisse. Le 3 mai 2001, le Lausanne-Sports reçoit un Yverdon Sport déjà condamné à la relégation en LNB. Grands favoris malgré une deuxième partie de saison chaotique (6e rang final), les Lausannois comptent bien profiter de la venue de leur modeste voisin pour sauver leur saison en se qualifiant pour une quatrième finale de Coupe consécutive. Mais, devant seulement 3150 spectateurs très déçus par le jeu proposé (0-0), YS pousse le pensionnaire de la Pontaise jusqu’aux tirs au but. «L’un des rares souvenirs que j’ai de ce match, rappelle Karlen, c’est d’avoir été soulagé de sortir vers la 115e minute, tellement j’étais tendu rien qu’à l’idée de devoir tirer un penalty.» Une séance au cours de laquelle le LS a eu l’occasion de se qualifier, comme le rappelle le milieu du LS. «Pape Thiaw a eu sur son pied le tir au but qui aurait pu être décisif. Mais, juste avant de le tirer, il s’est approché de Florent Delay pour lui dire l’endroit où il allait placer le ballon. Le gardien yverdonnois a plongé du côté indiqué et a arrêté la frappe! Je ne sais pas si notre attaquant l’a fait pour provoquer l’adversaire, par jeu ou par arrogance, mais c’est un truc que je n’avais jamais vu. Toujours est-il que peu après, un de nos coéquipiers manquait son tir au but et permettait ainsi à Yverdon de se qualifier pour une finale qui nous tendait pourtant les bras.» Le début de la fin pour un LS qui était relégué sur le tapis vert un an plus tard avant d’être déclaré en faillite au printemps 2003.ABO

Anel Husic: < Évidemment, j'étais déçu de ne
pas aller à l'Euro avec les M21. ll a fallu oublier
rapidement cette déception. Regarder devant
me donne de la force. Prendre 3 points contre
Yverdon nous permettrait de lancer notre
saison et de regarder justement vers l'avant.>


Ludovic Magnin à propos d'Anel Husic : "C'est
quelqu'un d'intelligent. Dans les moments
difficiles, ce n'est pas un joueur qui est venu
pleurnicher vers moi pour jouer.
Malheureusement j'ai dû le mettre sur le banc
pour le piquer. Aujourd'hui il a mûri et j'en suis
heureux".

Je suis content de son développement. Avec
ses performances sur les 2 premiers matches
on ne peut plus l'enlever. Il a fait des progrès
dans ses choix. Ce sont des choix d'adultes.
Quand je suis arrivé il jouait encore comme un
jeune, aujourd'hui il joue comme un adulte

Ludovic Magnin sur la Tuilière : "Quand elle est
pleine elle nous pousse, elle nous transcende.
Les 12'000 spectateurs contre Yverdon la
saison passée c'est 'LE' match dont on se
souvient tous. On veut jouer de façon
attractive pour attirer et contenter notre public

D.Romano. Blus sport

https://www.24heures.ch/aliou-niang-a-trouve-une-famille-a-concordia-231605890611

Il a signer au ls il jouera avec les m21

Ça fait chaud au cœur

Nataniel a écrit:https://www.24heures.ch/aliou-niang-a-trouve-une-famille-a-concordia-231605890611

Il a signer au ls il jouera avec les m21

https://www.blick.ch/fr/video/story-immigre-senegalais-il-sort-de-la-rue-grace-au-foot-id16531170.html

Mesdames et messieurs,
Aucun article à se mettre sous la dent sur le LS dans la torchon vaudois de ce jour avant le derby… vaudois de demain. Bien sur que la majorité de la population vaudoise est interessée de savoir comment le grand SLO va battre Servette.

Malheureusement, c’est le prix à payer que d’avoir la chance de partager le maigre paysage mediatique vaudois et ses 2 reporters attitrés pour couvrir 3 clubs.

Je comprends le dilemne et que les ressources ne sont pas infinies mais ne faudrait-il pas prendre en compte l’interet de la vaste majorité des lecteurs? Perso, aucun interet à lire quoi que ce soit sur SLO et Yverdon.

Qu’est ce que ca va etre quand le SLO va jouer la ligue des champions?

LKK a écrit:Mesdames et messieurs,
Aucun article à se mettre sous la dent sur le LS dans la torchon vaudois de ce jour avant le derby… vaudois de demain. Bien sur que la majorité de la population vaudoise est interessée de savoir comment le grand SLO va battre Servette.

Malheureusement, c’est le prix à payer que d’avoir la chance de partager le maigre paysage mediatique vaudois et ses 2 reporters attitrés pour couvrir 3 clubs.

Je comprends le dilemne et que les ressources ne sont pas infinies mais ne faudrait-il pas prendre en compte l’interet de la vaste majorité des lecteurs? Perso, aucun interet à lire quoi que ce soit sur SLO et Yverdon.

Qu’est ce que ca va etre quand le SLO va jouer la ligue des champions?

Par contre pour faire des articles les lendemain de match est parler de l affluence de la tuilière ils sont au rendez vous,
Plus de 6000 billets vendu (sans code promo) ,

Ça ne changera jamais. Lausanne en challenge ligue, le vendredi sur blue c'est sans commentaire. Sion c'est 2 en français 2 en allemand.
Contre GC, lausanne à un penalty non donné, que ce soie au sport tsr, samedi ou dimanche, cette action est passée inaperçue (j'ai été la voir au retour du stade sur le match enregistré)
Heureusement qu'ont compte sur nous même. Allé lausanne, on fini au moin en Europa ligue et on ferme des bouches.

LKK a écrit:Mesdames et messieurs,
Aucun article à se mettre sous la dent sur le LS dans la torchon vaudois de ce jour avant le derby… vaudois de demain. Bien sur que la majorité de la population vaudoise est interessée de savoir comment le grand SLO va battre Servette.

Malheureusement, c’est le prix à payer que d’avoir la chance de partager le maigre paysage mediatique vaudois et ses 2 reporters attitrés pour couvrir 3 clubs.

Je comprends le dilemne et que les ressources ne sont pas infinies mais ne faudrait-il pas prendre en compte l’interet de la vaste majorité des lecteurs? Perso, aucun interet à lire quoi que ce soit sur SLO et Yverdon.

Qu’est ce que ca va etre quand le SLO va jouer la ligue des champions?

Vraiment c’est un pur scandale ! Je vous dis depuis le début que Boschetti ça lui fait chier d’écrire des articles sur le Ls

https://www.20min.ch/fr/video/derby-vaudois-au-sommet-du-foot-suisse-878598250957

Le Lausanne-Sport ne méritait sans doute pas de perdre une rencontre qu’il aura dominée sans toutefois témoigner du tranchant espéré dans les trente derniers mètres. Nul doute que Ludovic Magnin ne peut se satisfaire d’un tel résultat et d’une telle performance. Le pas de retrait effectué après l’ouverture du score d’Alvyn Sanchez à la 29e reste un mystère que l’entraîneur devra éclaircir. On s’explique mal comment le LS a pu perdre le fil de son football après avoir "marché" sur la tête d’un adversaire incapable de conduire une véritable action pendant de longues minutes.

Rts.ch

Nataniel a écrit:Le Lausanne-Sport ne méritait sans doute pas de perdre une rencontre qu’il aura dominée sans toutefois témoigner du tranchant espéré dans les trente derniers mètres. Nul doute que Ludovic Magnin ne peut se satisfaire d’un tel résultat et d’une telle performance. Le pas de retrait effectué après l’ouverture du score d’Alvyn Sanchez à la 29e reste un mystère que l’entraîneur devra éclaircir. On s’explique mal comment le LS a pu perdre le fil de son football après avoir "marché" sur la tête d’un adversaire incapable de conduire une véritable action pendant de longues minutes.

Rts.ch

Plus loin, le même article (RTS) dit que « La victoire de la formation de Marco Schällibaum n’a toutefois rien du hold-up. » ( https://www.rts.ch/sport/football/14222695-super-league-yverdon-fait-trebucher-le-lausannesport.html ). Ben dites donc, c’est quoi un hold-up si le coup d’hier n’en est pas un?

La saison passée, Yverdon était encensé même quand il perdait et faisait de la merde et le LS critiquer même quand on gagnait donc pas étonnant que cela continue.

https://www.instagram.com/p/CvpOLDbMpZj/?igshid=MzRlODBiNWFlZA==

Je savais pas où publier ça.
Par contre, lire ça ne fait aucun plaisir

Xis7 a écrit:https://www.instagram.com/p/CvpOLDbMpZj/?igshid=MzRlODBiNWFlZA==

Je savais pas où publier ça.
Par contre, lire ça ne fait aucun plaisir  

Si je comprend bien, le club aurait fait pression sur un compte bénévole d’un fan ? Si c’est le cas, c’est plus que pitoyable et on a aucune leçon à donner à CC

LsLover a écrit:

Xis7 a écrit:https://www.instagram.com/p/CvpOLDbMpZj/?igshid=MzRlODBiNWFlZA==

Je savais pas où publier ça.
Par contre, lire ça ne fait aucun plaisir  

Si je comprend bien, le club aurait fait pression sur un compte bénévole d’un fan ? Si c’est le cas, c’est plus que pitoyable et on a aucune leçon à donner à CC

Le LS s'est tiré une balle (encore) dans le pied.
On va bientôt être interdit de faire des photos et vidéos dans le stade...

Article de hier…

Un derby vaudois rebondissant

C’était jour de grâce pour Yverdon, qui punit le LS
Une victoire si précoce dans la saison vaut de l’or pour YS, à qui il ne pouvait rien arriver dimanche. Le résultat (2-1) est amer pour un bon Lausanne-Sport.

Florian Vaney

«Visiblement, il faudra qu’on se montre très gentil avec le Dieu du football cette semaine si l’on veut obtenir quelque chose à Bâle au prochain match.» Sous un sourire jaune, Ludovic Magnin n’avait pas envie de nuancer sa frustration dimanche. On peut comprendre. Son Lausanne-Sport a fait beaucoup de choses justes dans le premier derby de la saison qui l’opposait à Yverdon Sport, finalement perdu 2-1 à la dernière minute. À commencer par être la meilleure équipe sur le terrain. La première demi-heure des Lausannois a même été l’une des plus convaincantes de l’ère Magnin.

Au moment d’expliquer cette seconde période plus terne, «Ludo» a accusé le hasard, plutôt que ses joueurs. «Les éléments ne se trouvent simplement pas de notre côté», a martelé l’entraîneur lausannois. Au fond, oui: si cette rencontre se joue dix fois, le LS ne la perd probablement pas une seule fois de plus.

Tirer un bilan des trois premiers matches du Lausanne-Sport en Super League, c’est faire l’expérience du cocasse. Ça doit faire plus de deux ans que le club phare du canton n’a pas procuré autant d’émotions dans le jeu à ses suiveurs. Un frisson que le public, avide de jeu, réclamait à grands cris alors que son équipe préférée lui ramenait (souvent péniblement) des résultats. Et voilà que c’est en retrouvant l’élite du football suisse que le LS retrouve une partie de son jeu, sans que les résultats suivent. Trois matches, un seul point depuis la reprise.

La sensation Maurin

Pour l’heure, il est encore temps de se réjouir à la Tuilière, plutôt que de tirer la sonnette d’alarme. Dans son discours, Ludovic Magnin parle avec vigueur d’une volonté d’offensive. Sur le terrain, Olivier Custodio s’est libéré de ses chaînes pour oser se projeter davantage vers l’avant et tirer l’équipe dans son sillage.

Lorsque la machine Aliou Baldé se met en marche, c’est tout le bloc adverse qui tremble. Autant de signes qui démontrent que le Lausanne-Sport n’est pas seulement en train de se mettre au niveau de la première division, mais qu’il a aussi opéré une remise en question nécessaire. Ce qui ne signifie pas que les travers ont disparu pour autant, à l’image du faux rythme général entrevu en seconde période dimanche. Malgré les maigres résultats, il y a matière à saluer la direction prise par ce nouveau LS.

Dimanche à la Tuilière, à peu près tout a souri à Yverdon Sport. Insuffisant pour considérer que la victoire des Nord-Vaudois vaut uniquement comme la rançon de la chance. Ce serait même injuste de l’écrire. Si l’effectif lausannois détient plus de qualités, c’est bien YS qui possédait le meilleur gardien de ce derby vaudois. Et d’assez loin. Kevin Martin peut largement prétendre au trophée imaginaire d’homme du match, tandis que son homologue Thomas Castella portait une bonne partie de responsabilité sur le but décisif.

Un goal inscrit par Evans Maurin, qui a saisi sa chance en Super League comme personne. Le Français de 22 ans, inconnu du grand public, avait déjà signé le but décisif contre Young Boys. Ou comment frapper au bon moment dans deux matches à haute valeur. Dimanche, l’action de la victoire est, une fois encore, empreinte de réussite pour les Yverdonnois. L’attaquant providentiel en a bénéficié pour emmener le ballon avant de forcer la victoire d’YS. À force de provoquer la chance, ça dépasse le simple hasard.

Un succès inespéré qui ne cache pas une vérité: Yverdon Sport reste en phase de rodage et de mise à niveau. Ces quatre points grattés sur neuf possibles jusqu’ici constituent un petit miracle. Il fallait sans doute un jour de grâce pour qu’une victoire tombe si tôt dans une saison que les hommes de Marco Schällibaum ont lancée en retard. C’était le cas dimanche. Face à l’avalanche d’absents en défense, l’entraîneur d’YS a même dû demander à Boris Céspedes de prendre place en charnière centrale pour résister au LS.

Le Genevois, qui n’avait jamais évolué à ce poste dans sa carrière, se plaisait même dans un rôle d’attaquant avant de découvrir le football professionnel. Engagé cet été comme atout à mi-terrain, l’international bolivien (dix sélections) avait doublement le sourire au coup de sifflet final.

La revanche entre les deux rivaux vaudois aura lieu déjà lieu à la mi-novembre. Ça laisse le temps au Lausanne-Sport de faire passer cette défaite pour un accident de parcours. De son côté, Yverdon aura l’occasion de prouver qu’aux jours de grâce peuvent succéder les jours de gloire.

6ème article de Nicolas Jacquier sur son FC Sion depuis la démonstration contre Bellinzone (1-0). Chercher l'erreur..........

Tiens… tiens.. on apprend dans 24 H comme par hasard qu’il faudrait absolument un vrai buteur mais que sortir 2,5 millions c’est hors de question… Et une relégation ça ne coûterait pas plus cher ?!? Ce club est de plus en plus risible, surtout en regard à la richesse hors norme de son propriétaire…

Et pendant ce temps, on parle de frustration…

Quelle bande de rigolos ! 🤬

Quelle honte ! On s’est fait 6 millions sur Amdouni !!!! J’étais plein d’espoirs après YB mais ok c’est bon on va encore faire une saison de merde et continuer à faire l’ascenseur. Y en a marre.