Les articles de presse (commentaires autorisés)
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Wankdorf 1981 a écrit:https://www.rts.ch/sport/
Je viens de subir le "reportage télévisuel" d'Elodie Crausaz sur notre télévision.
Mais c'est quoi ce montage, ces commentaires pro-Sion, ces retours sur le plateau, cette absence totale de compétence et de finesse !!!
Vivement que la RTS perdent tous les droits du foot ....
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
SPORTS page 33
En Autriche, le gourou Ludovic Magnin a fait des miracles
Le SCR Altach a rempli son stade pour la première fois depuis quinze ans, vendredi lors de la victoire qui l’a maintenu en première division autrichienne. Cinq mois plus tôt, l’entraîneur vaudois se penchait au chevet d’un club aux soins intensifs.
Florian Vaney, Atlach florian.vaney@lematindimanche.ch Photos: René Ruis
Le match est terminé depuis plus d’une heure. Heure que Ludovic Magnin a passée dans la peau d’un ballon de rugby, tentant de traverser le terrain mais stoppé tous les deux pas par une nouvelle salve de fans en quête de selfie. Il se laisse faire, jusqu’à ce que le courant le porte à l’entrée des joueurs. «Je vais mettre un short, je reviens.» La promesse est tenue. Coach Magnin réapparaît en Ludo le joggeur. Il peut se lancer dans ce dont tout le monde parle à Altach: les tours de terrain.
Le pari dit tout de la relation entre le Vaudois et les gens qui font le petit club du Vorarlberg. «Il y a quelques semaines, des supporters m’ont demandé ce que j’étais prêt à faire si on gagnait le match du week-end.» La réponse prête à sourire, mais le technicien est un homme de parole. Altach s’impose une première fois contre Tirol en avril, Ludovic Magnin ira courir: quatre tours. Victoire face à l’Admira Wacker il y a une semaine? Encore quatre tours! Avec de plus en plus de joggeurs aux couleurs du club pour l’accompagner dans son effort.
L’histoire d’un contraste
Après avoir été entraîneur de football et ballon de rugby vendredi, Ludovic Magnin se mue en vague. À son passage, ceux qui ne sont pas descendus courir avec lui ou en train de boire la bière du maintien lèvent les bras pour faire vivre la ola. D’autres lancent un chant, tapent sur des panneaux métalliques en rythme ou lui proposent un verre qu’il refuse poliment à chaque fois. La communion est totale, le moment suspendu dans le temps. Le héros du SCRA fera durer le plaisir huit tours.
Cette histoire d’amour, c’est d’abord celle d’un contraste. La carte de droite est décrite plus haut. C’est l’allégresse, la proximité, le bonheur simple d’un exploit auquel personne n’osait croire. La carte de gauche est elle datée de février. Un mois plus tôt, Ludovic Magnin avait accepté de reprendre en main la destinée d’un condamné. «Il y a ce que te disent les gens du club, les rumeurs que t’entends. Puis il y a la réalité que tu finis par découvrir.» Le premier match officiel révèle un cimetière. Bien installée au fond du classement, l’équipe est mûre pour une septième défaite de suite. Suivront bientôt trois de plus.
Renforcer les corps, alléger les têtes
La lanterne rouge du championnat autrichien n’est pas seulement morte à l’intérieur. À peine plus de 2000 fans garnissent le Schnabelholz lors du match de reprise du 12 février face à l’Austria Vienne, sans avoir grand-chose auquel se raccrocher. Les ultras, eux, se lancent dans un boycott sanitaire qui fait une victime collatérale de taille. Le SCR serait bientôt rayé de la carte, et la nouvelle réjouit plus qu’elle n’attriste. «Ils veulent tous nous voir tomber. Tous les clubs de Vienne et de là-bas. Ils doivent se taper huit heures de route pour venir jouer chez nous. Vous pensez» pointait alors Ludovic Magnin dans une image de David contre Goliath. La première pierre du miracle qui allait suivre.
Le reste est un conte de fées. Mais aussi et surtout une ode au travail et à la chaleur humaine. «Le plan initial, c’était de dormir sur place, à l’hôtel, deux à trois nuits par semaine. Le reste du temps, je devais retrouver mon lit et ma famille, à Zurich.» L’urgence de la situation prend le Challensois aux tripes. «J’ai fini par passer six jours par semaine à Altach. Et aussi par comprendre que je n’avais pas les capacités pour tout résoudre tout seul.»
Alors le club choisit de s’approcher d’une équipe de psychologues. Plus que réparer les jambes, il faut réparer les têtes. Des thérapies individuelles sont organisées. «Le secret professionnel fait que je n’ai aucune idée des leviers qu’ils ont activés. De mon côté, il fallait surtout que je sois conforté dans mon idée que, mentalement, il y avait quelque chose de cassé.» Sur le terrain pendant ce temps, une structure et un système se mettent en place, un onze se dégage. La résurrection commence.
Elle reçoit le coup de pouce du modèle de championnat privilégié en Autriche. Les six dernières équipes partent pour un tour contre la relégation, après avoir vu leurs points divisés par deux. Sans rien faire, le retard d’Altach fond. Vendredi, il est devenu le premier club du pays à se sauver avec moins d’unités sur l’ensemble de la saison que ses concurrents.
«Si j’ai l’impression de voler quelque chose? À titre personnel, non. Mon bilan n’est pas celui d’un relégué. Maintenant, j’ai toujours appris à ne pas seulement parler pour moi, mais aussi pour le bien commun. Ce système est une connerie et je comprends la frustration autour de nous.» La coïncidence veut qu’Altach s’était positionné à l’époque en défaveur de la formule qui vient de le sauver.
Le sauvetage n’est encore qu’une vague illusion lorsque le bruit commence à grouiller qu’il se passe quelque chose au SCRA. La route est longue, mais à la lumière des premiers résultats positifs, le stade reprend des couleurs. Ce même stade qui n’avait plus affiché guichet fermé depuis 2006. L’annonce du match décisif de vendredi face à Tirol, à la vie à la mort, fait exploser la région. Mis à part celles du secteur visiteur, toutes les places trouvent preneurs. «Notre secrétariat a même appelé chaque propriétaire d’abonnement pour être certain qu’il se rendrait au stade, et revendre les places le cas échéant», sourit Magnin.
L’appel à Jürgen Klopp
Restent encore les dernières pierres à aligner. «Parce que crever au poteau ou crever avant, c’est exactement la même chose. C’est Jürgen Klopp qui le dit à ses joueurs dans un de ses discours. Alors cette semaine, l’équipe a eu droit à huit secondes de Jürgen Klopp tous les jours.» Pour être certain que le message s’enfonce bien dans leur crâne.
Et pour que les plus superstitieux restent sereins, Ludovic Magnin disposait d’une dernière carte à abattre. «De toute la saison, on avait gagné un seul match à domicile. Vendredi, on a tout fait comme si on se déplaçait, on a suivi le même rituel, les joueurs ont pu se reposer à l’hôtel. Jusqu’à recevoir Tirol dans notre maillot jaune extérieur.» Encore une fois, prendre soin de l’esprit d’abord.
Le verdict du jour de grâce est sans appel: en cinq petits mois, le Vaudois est parvenu à faire l’unanimité. Mais surtout à devenir un personnage que les habitués du club ont eu autant de plaisir à retrouver chaque week-end que leur équipe réanimée. La figure du miracle. Un homme habillé du maillot de Grasshopper se faufile en tribune. «Ludo Magnin, c’est le FC Zurich. Et je n’ai pas pour principe de dire du bien de ces gens-là. Mais il faut reconnaître qu’il a fait un sacré travail ici.»
Attendu au Lausanne-Sport
L’aveu a valeur de symbole. L’ancien coach et joueur du FCZ a réconcilié un club avec sa région. Lui livre le secret de son succès: «L’équipe avait simplement besoin de chaleur, d’amour, de quelqu’un qui comble ce manque.» Sauf que tout ça, il l’a propagé bien au-delà des frontières du vestiaire. «Cette tradition des tours de terrain, ça dit beaucoup de lui. Il a amené des valeurs humaines chez nous. Ça nous a tous touchés je crois. On a de la chance de l’avoir», lance Michael, croisé une bière à la main avant le match, puis au pas de course une heure après le coup de sifflet final.
Pour figer définitivement cette page dans l’histoire, la romance s’est peut-être achevée au terme du dernier tour de piste. En allant au bout de son improbable mission avec succès, Ludovic Magnin a vu son contrat dans le Vorarlberg se prolonger automatiquement d’une saison. Comme un gage de reconnaissance, qui prend le contrepied de ses futurs desseins. L’homme ne donne pas de nom, mais il est attendu au Lausanne-Sport, dans la peau du guide qui replacera le relégué en Challenge League sur le bon chemin et dans le cœur des Vaudois. «Je crois qu’après ce qu’on a vécu ensemble, les dirigeants ne me retiendront pas.» Pour que son image reste à jamais celle du sauveur.
En Autriche, le gourou Ludovic Magnin a fait des miracles
Le SCR Altach a rempli son stade pour la première fois depuis quinze ans, vendredi lors de la victoire qui l’a maintenu en première division autrichienne. Cinq mois plus tôt, l’entraîneur vaudois se penchait au chevet d’un club aux soins intensifs.
Florian Vaney, Atlach florian.vaney@lematindimanche.ch Photos: René Ruis
Le match est terminé depuis plus d’une heure. Heure que Ludovic Magnin a passée dans la peau d’un ballon de rugby, tentant de traverser le terrain mais stoppé tous les deux pas par une nouvelle salve de fans en quête de selfie. Il se laisse faire, jusqu’à ce que le courant le porte à l’entrée des joueurs. «Je vais mettre un short, je reviens.» La promesse est tenue. Coach Magnin réapparaît en Ludo le joggeur. Il peut se lancer dans ce dont tout le monde parle à Altach: les tours de terrain.
Le pari dit tout de la relation entre le Vaudois et les gens qui font le petit club du Vorarlberg. «Il y a quelques semaines, des supporters m’ont demandé ce que j’étais prêt à faire si on gagnait le match du week-end.» La réponse prête à sourire, mais le technicien est un homme de parole. Altach s’impose une première fois contre Tirol en avril, Ludovic Magnin ira courir: quatre tours. Victoire face à l’Admira Wacker il y a une semaine? Encore quatre tours! Avec de plus en plus de joggeurs aux couleurs du club pour l’accompagner dans son effort.
L’histoire d’un contraste
Après avoir été entraîneur de football et ballon de rugby vendredi, Ludovic Magnin se mue en vague. À son passage, ceux qui ne sont pas descendus courir avec lui ou en train de boire la bière du maintien lèvent les bras pour faire vivre la ola. D’autres lancent un chant, tapent sur des panneaux métalliques en rythme ou lui proposent un verre qu’il refuse poliment à chaque fois. La communion est totale, le moment suspendu dans le temps. Le héros du SCRA fera durer le plaisir huit tours.
Cette histoire d’amour, c’est d’abord celle d’un contraste. La carte de droite est décrite plus haut. C’est l’allégresse, la proximité, le bonheur simple d’un exploit auquel personne n’osait croire. La carte de gauche est elle datée de février. Un mois plus tôt, Ludovic Magnin avait accepté de reprendre en main la destinée d’un condamné. «Il y a ce que te disent les gens du club, les rumeurs que t’entends. Puis il y a la réalité que tu finis par découvrir.» Le premier match officiel révèle un cimetière. Bien installée au fond du classement, l’équipe est mûre pour une septième défaite de suite. Suivront bientôt trois de plus.
Renforcer les corps, alléger les têtes
La lanterne rouge du championnat autrichien n’est pas seulement morte à l’intérieur. À peine plus de 2000 fans garnissent le Schnabelholz lors du match de reprise du 12 février face à l’Austria Vienne, sans avoir grand-chose auquel se raccrocher. Les ultras, eux, se lancent dans un boycott sanitaire qui fait une victime collatérale de taille. Le SCR serait bientôt rayé de la carte, et la nouvelle réjouit plus qu’elle n’attriste. «Ils veulent tous nous voir tomber. Tous les clubs de Vienne et de là-bas. Ils doivent se taper huit heures de route pour venir jouer chez nous. Vous pensez» pointait alors Ludovic Magnin dans une image de David contre Goliath. La première pierre du miracle qui allait suivre.
Le reste est un conte de fées. Mais aussi et surtout une ode au travail et à la chaleur humaine. «Le plan initial, c’était de dormir sur place, à l’hôtel, deux à trois nuits par semaine. Le reste du temps, je devais retrouver mon lit et ma famille, à Zurich.» L’urgence de la situation prend le Challensois aux tripes. «J’ai fini par passer six jours par semaine à Altach. Et aussi par comprendre que je n’avais pas les capacités pour tout résoudre tout seul.»
Alors le club choisit de s’approcher d’une équipe de psychologues. Plus que réparer les jambes, il faut réparer les têtes. Des thérapies individuelles sont organisées. «Le secret professionnel fait que je n’ai aucune idée des leviers qu’ils ont activés. De mon côté, il fallait surtout que je sois conforté dans mon idée que, mentalement, il y avait quelque chose de cassé.» Sur le terrain pendant ce temps, une structure et un système se mettent en place, un onze se dégage. La résurrection commence.
Elle reçoit le coup de pouce du modèle de championnat privilégié en Autriche. Les six dernières équipes partent pour un tour contre la relégation, après avoir vu leurs points divisés par deux. Sans rien faire, le retard d’Altach fond. Vendredi, il est devenu le premier club du pays à se sauver avec moins d’unités sur l’ensemble de la saison que ses concurrents.
«Si j’ai l’impression de voler quelque chose? À titre personnel, non. Mon bilan n’est pas celui d’un relégué. Maintenant, j’ai toujours appris à ne pas seulement parler pour moi, mais aussi pour le bien commun. Ce système est une connerie et je comprends la frustration autour de nous.» La coïncidence veut qu’Altach s’était positionné à l’époque en défaveur de la formule qui vient de le sauver.
Le sauvetage n’est encore qu’une vague illusion lorsque le bruit commence à grouiller qu’il se passe quelque chose au SCRA. La route est longue, mais à la lumière des premiers résultats positifs, le stade reprend des couleurs. Ce même stade qui n’avait plus affiché guichet fermé depuis 2006. L’annonce du match décisif de vendredi face à Tirol, à la vie à la mort, fait exploser la région. Mis à part celles du secteur visiteur, toutes les places trouvent preneurs. «Notre secrétariat a même appelé chaque propriétaire d’abonnement pour être certain qu’il se rendrait au stade, et revendre les places le cas échéant», sourit Magnin.
L’appel à Jürgen Klopp
Restent encore les dernières pierres à aligner. «Parce que crever au poteau ou crever avant, c’est exactement la même chose. C’est Jürgen Klopp qui le dit à ses joueurs dans un de ses discours. Alors cette semaine, l’équipe a eu droit à huit secondes de Jürgen Klopp tous les jours.» Pour être certain que le message s’enfonce bien dans leur crâne.
Et pour que les plus superstitieux restent sereins, Ludovic Magnin disposait d’une dernière carte à abattre. «De toute la saison, on avait gagné un seul match à domicile. Vendredi, on a tout fait comme si on se déplaçait, on a suivi le même rituel, les joueurs ont pu se reposer à l’hôtel. Jusqu’à recevoir Tirol dans notre maillot jaune extérieur.» Encore une fois, prendre soin de l’esprit d’abord.
Le verdict du jour de grâce est sans appel: en cinq petits mois, le Vaudois est parvenu à faire l’unanimité. Mais surtout à devenir un personnage que les habitués du club ont eu autant de plaisir à retrouver chaque week-end que leur équipe réanimée. La figure du miracle. Un homme habillé du maillot de Grasshopper se faufile en tribune. «Ludo Magnin, c’est le FC Zurich. Et je n’ai pas pour principe de dire du bien de ces gens-là. Mais il faut reconnaître qu’il a fait un sacré travail ici.»
Attendu au Lausanne-Sport
L’aveu a valeur de symbole. L’ancien coach et joueur du FCZ a réconcilié un club avec sa région. Lui livre le secret de son succès: «L’équipe avait simplement besoin de chaleur, d’amour, de quelqu’un qui comble ce manque.» Sauf que tout ça, il l’a propagé bien au-delà des frontières du vestiaire. «Cette tradition des tours de terrain, ça dit beaucoup de lui. Il a amené des valeurs humaines chez nous. Ça nous a tous touchés je crois. On a de la chance de l’avoir», lance Michael, croisé une bière à la main avant le match, puis au pas de course une heure après le coup de sifflet final.
Pour figer définitivement cette page dans l’histoire, la romance s’est peut-être achevée au terme du dernier tour de piste. En allant au bout de son improbable mission avec succès, Ludovic Magnin a vu son contrat dans le Vorarlberg se prolonger automatiquement d’une saison. Comme un gage de reconnaissance, qui prend le contrepied de ses futurs desseins. L’homme ne donne pas de nom, mais il est attendu au Lausanne-Sport, dans la peau du guide qui replacera le relégué en Challenge League sur le bon chemin et dans le cœur des Vaudois. «Je crois qu’après ce qu’on a vécu ensemble, les dirigeants ne me retiendront pas.» Pour que son image reste à jamais celle du sauveur.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
J espère vraiment que Ludovic Magnin va signe chez nous. C'est exactement un entraîneur comme lui, que le LS à besoin.
Le Vaudois- Date d'inscription : 25/11/2009
dudu aime ce message
RES n'aime pas ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Les dernières phrases de l'article laisse penser que oui ....
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Le Vaudois aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Premier domino!
https://www.blick.ch/fr/sport/football/le-vaudois-sera-presente-lundi-ludovic-magnin-est-le-nouvel-entra-neur-du-lausanne-sport-id17513637.html
Bon vent a lui. Qu’il donne a ses futurs joueurs sa grinta et sa passion. Un tres bon choix.
https://www.blick.ch/fr/sport/football/le-vaudois-sera-presente-lundi-ludovic-magnin-est-le-nouvel-entra-neur-du-lausanne-sport-id17513637.html
Bon vent a lui. Qu’il donne a ses futurs joueurs sa grinta et sa passion. Un tres bon choix.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
plik, lausarme et Le Vaudois aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Un grand chantier attend Ludovic Magnin au Lausanne-Sport
Football
Nouvel entraîneur du club vaudois, le Challensois a pu constater, dimanche à St-Gall (0-4), l’ampleur de sa tâche s’il compte rejoindre la Super League dans un an.
Le Lausanne-Sport a terminé son pensum comme il l’avait commencé. Battu par Saint-Gall lors du premier match de la saison, il s’est incliné, dimanche, à l’occasion de la dernière ronde, face au même adversaire. Pour une 22e défaite en 36 sorties qui fait des Vaudois, du bas de leurs 22 points, le pire relégué de l’histoire de la Super League, à égalité avec le FC Vaduz de l’exercice 2008-2009.
Pour son ultime rencontre au sein de l’élite avant au moins un an, le LS ne méritait pas la sévère correction qu’il a subie au Kybunpark. Si la victoire saint-galloise ne souffre aucune discussion, les Vaudois ont longtemps fait jeu égal avec leurs adversaires. Après l’ouverture du score de Duah (23e), ils ont eu le mérite d’essayer de recoller. Ils ont même pensé y être parvenus lorsqu’une superbe ouverture dans l’axe de Coyle était parfaitement conclue par Mahou (50e). Malheureusement pour le LS, la VAR intervenait pour signaler une faute préalable de l’Anglais sur von Moos.
Peu après, Saint-Gall et son duo von Moos-Duah, profitait des habituelles errances défensives lausannoises pour prendre le large. Une déroute qui a au moins l’avantage de montrer à Ludovic Magnin, dont la venue à la Tuilière sera officialisée lundi, la patience et les gros efforts qu’il devra fournir pour remettre dans le bon chemin un groupe qui sort un brin traumatisé par cette succession d’échecs.
Football
Nouvel entraîneur du club vaudois, le Challensois a pu constater, dimanche à St-Gall (0-4), l’ampleur de sa tâche s’il compte rejoindre la Super League dans un an.
Le Lausanne-Sport a terminé son pensum comme il l’avait commencé. Battu par Saint-Gall lors du premier match de la saison, il s’est incliné, dimanche, à l’occasion de la dernière ronde, face au même adversaire. Pour une 22e défaite en 36 sorties qui fait des Vaudois, du bas de leurs 22 points, le pire relégué de l’histoire de la Super League, à égalité avec le FC Vaduz de l’exercice 2008-2009.
Pour son ultime rencontre au sein de l’élite avant au moins un an, le LS ne méritait pas la sévère correction qu’il a subie au Kybunpark. Si la victoire saint-galloise ne souffre aucune discussion, les Vaudois ont longtemps fait jeu égal avec leurs adversaires. Après l’ouverture du score de Duah (23e), ils ont eu le mérite d’essayer de recoller. Ils ont même pensé y être parvenus lorsqu’une superbe ouverture dans l’axe de Coyle était parfaitement conclue par Mahou (50e). Malheureusement pour le LS, la VAR intervenait pour signaler une faute préalable de l’Anglais sur von Moos.
Peu après, Saint-Gall et son duo von Moos-Duah, profitait des habituelles errances défensives lausannoises pour prendre le large. Une déroute qui a au moins l’avantage de montrer à Ludovic Magnin, dont la venue à la Tuilière sera officialisée lundi, la patience et les gros efforts qu’il devra fournir pour remettre dans le bon chemin un groupe qui sort un brin traumatisé par cette succession d’échecs.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Officiel pour Magnin et Steinmann a confirmé que Cissé ne faisait plus partie de l'organigramme du LS
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Thierrible, dudu, lausarme, Le Vaudois et Nataniel aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/un-vaudois-sur-le-banc-du-ls-ludovic-magnin-est-a-lausanne-pour-panser-les-cicatrices-id17515894.html
On en sait un poil plus, le chantier est conséquent.
Les joueurs plus en vues vont partir, 10 joueurs en fin de contrat et ceux qui veulent rester ou partir. Y a de quoi faire.
On en sait un poil plus, le chantier est conséquent.
Les joueurs plus en vues vont partir, 10 joueurs en fin de contrat et ceux qui veulent rester ou partir. Y a de quoi faire.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://fb.watch/dbFobcRkEO/
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Le LS a choisi son nouveau coach
Magnin va relever le défi le plus délicat et grisant de sa carrière
Intronisé lundi à la tête du LS, le technicien vaudois est conscient de l’ampleur de la tâche qui l’attend mais se réjouit d’être enfin de retour dans «son club de cœur».
André Boschetti
Publié: 23.05.2022, 19h59
Ludovic Magnin est le nouvel entraîneur du FC Lausanne-Sport
keystone-sda.ch
Quelques heures seulement après une 22e défaite, en 36 matches, qui ne fait que confirmer combien cette relégation en Challenge League est logique, le Lausanne-Sport a vite voulu tourner la page de cette triste saison. Et, surtout, rassurer des supporters et des sponsors extrêmement frustrés et déçus en annonçant, ce lundi déjà, l’arrivée de Ludovic Magnin. Cela juste après avoir officialisé les départs d’Alain Casanova et de Souleymane Cissé.
Pour ébaucher ce rapprochement avec son public qui nécessitera à la fois du temps et des résultats, le choix d’un authentique Vaudois à la forte personnalité n’est certes qu’un premier mais crucial pas dans la bonne direction. «C’est un jour très spécial pour moi, commence Ludovic Magnin non sans une pointe d’émotion dans la voix. Gamin, je rêvais de porter le maillot du LS qui est depuis toujours mon club de cœur. Pour différentes raisons, cela ne s’est jamais fait et j’en ai toujours gardé une cicatrice. J’ai maintenant l’occasion de refermer cette blessure en tant que coach et je remercie le club de me l’offrir.»
Convaincu par le projet
Une décision qui n’a pourtant pas été simple à prendre. D’une part parce que le Challensois était encore lié contractuellement et sentimentalement à Altach, un club «qui m’a tendu la main à un moment difficile de ma carrière» et avec lequel il vient de réaliser un petit exploit en arrachant son maintien en Bundesliga autrichienne lors de l’ultime journée de championnat. Et d’autre part parce qu’il a toujours dit et répété qu’il n’accepterait jamais un projet dans lequel il ne se reconnaîtrait pas.
«Je suis une personne qui marche beaucoup au feeling et dès les premières discussions avec Leen (Heemskerk) le courant est très bien passé entre nous. Nous partageons les mêmes valeurs et, comme moi, il a envie de ramener le club le plus haut possible. Avec cet état d’esprit, de l’enthousiasme, un magnifique stade que je découvre aujourd’hui pour la première fois et, surtout, beaucoup de travail, je suis persuadé que nous y arriverons.»
«La promotion? Dès le printemps prochain si possible. Mais pour cela, il faut d’abord que tous les joueurs se mettent bien dans la tête qu’ils ne sont plus en Super League.»
Ludovic Magnin, nouveau coach du LS
Le premier objectif avoué sera de rejoindre la Super League au plus vite. «Dès le printemps prochain si possible, prévient l’ancien coach du FC Zurich. Mais pour cela, il faut d’abord que tous les joueurs se mettent bien dans la tête qu’ils ne sont plus en Super League. Et que notre tâche s’annonce d’autant plus compliquée que le LS sera chaque week-end l’équipe à battre. Mais mon expérience m’a aussi appris que si tu travailles dur et honnêtement, le succès arrivera tôt ou tard.»
Pour que les joueurs donnent la pleine mesure de leur potentiel, ils auront aussi besoin de l’appui de leurs supporters dans un stade qui risque de sonner un peu creux au début. «Rien n’est encore prévu, mais s’il faut aller discuter avec eux, ce ne sera jamais un problème pour moi, assure Ludovic Magnin. Cela dit, je suis bien conscient que pour ramener les gens à la Tuilière, il faudra des résultats et une équipe qui joue bien au ballon. Après, un bon entraîneur doit surtout savoir s’adapter aux qualités des joueurs dont il dispose.» L’avantage en prenant si tôt les rênes de son équipe, c’est que l’ex-international suisse aura la possibilité de définir le profil des quelques éléments qui viendront renforcer «une ossature qui est déjà de très bonne valeur».
Reprise le 15 juin
Une indispensable campagne de recrutement qui, dans un monde idéal, devra être terminée bien avant le coup d’envoi du championnat. Et même, pour la majeure partie, avant la reprise d’une préparation fixée au 15 juin prochain. Pour que le nouveau coach lausannois puisse commencer dans les meilleures conditions son travail de fond et ainsi augmenter ses chances de briguer cette promotion que tout le monde espère et attend à Lausanne. «Je n’ai pas encore pu rencontrer mes joueurs, conclut Ludovic Magnin, mais ces prochains jours j’appellerai ceux que je considère comme importants pour l’avenir. En premier lieu pour vérifier s’ils sont, malgré la déception, toujours très motivés à l’idée de s’investir pleinement dans le nouveau projet qui nous attend.»
Comme il en a pris la (mauvaise) habitude, le LS n’a en revanche pas voulu communiquer la durée du contrat qui le lie à son nouveau coach. Mais, selon certaines sources bien informées, le Challensois se serait engagé pour deux saisons avec une option pour une troisième. De quoi envisager l’avenir avec une certaine sérénité.
Magnin va relever le défi le plus délicat et grisant de sa carrière
Intronisé lundi à la tête du LS, le technicien vaudois est conscient de l’ampleur de la tâche qui l’attend mais se réjouit d’être enfin de retour dans «son club de cœur».
André Boschetti
Publié: 23.05.2022, 19h59
Ludovic Magnin est le nouvel entraîneur du FC Lausanne-Sport
keystone-sda.ch
Quelques heures seulement après une 22e défaite, en 36 matches, qui ne fait que confirmer combien cette relégation en Challenge League est logique, le Lausanne-Sport a vite voulu tourner la page de cette triste saison. Et, surtout, rassurer des supporters et des sponsors extrêmement frustrés et déçus en annonçant, ce lundi déjà, l’arrivée de Ludovic Magnin. Cela juste après avoir officialisé les départs d’Alain Casanova et de Souleymane Cissé.
Pour ébaucher ce rapprochement avec son public qui nécessitera à la fois du temps et des résultats, le choix d’un authentique Vaudois à la forte personnalité n’est certes qu’un premier mais crucial pas dans la bonne direction. «C’est un jour très spécial pour moi, commence Ludovic Magnin non sans une pointe d’émotion dans la voix. Gamin, je rêvais de porter le maillot du LS qui est depuis toujours mon club de cœur. Pour différentes raisons, cela ne s’est jamais fait et j’en ai toujours gardé une cicatrice. J’ai maintenant l’occasion de refermer cette blessure en tant que coach et je remercie le club de me l’offrir.»
Convaincu par le projet
Une décision qui n’a pourtant pas été simple à prendre. D’une part parce que le Challensois était encore lié contractuellement et sentimentalement à Altach, un club «qui m’a tendu la main à un moment difficile de ma carrière» et avec lequel il vient de réaliser un petit exploit en arrachant son maintien en Bundesliga autrichienne lors de l’ultime journée de championnat. Et d’autre part parce qu’il a toujours dit et répété qu’il n’accepterait jamais un projet dans lequel il ne se reconnaîtrait pas.
«Je suis une personne qui marche beaucoup au feeling et dès les premières discussions avec Leen (Heemskerk) le courant est très bien passé entre nous. Nous partageons les mêmes valeurs et, comme moi, il a envie de ramener le club le plus haut possible. Avec cet état d’esprit, de l’enthousiasme, un magnifique stade que je découvre aujourd’hui pour la première fois et, surtout, beaucoup de travail, je suis persuadé que nous y arriverons.»
«La promotion? Dès le printemps prochain si possible. Mais pour cela, il faut d’abord que tous les joueurs se mettent bien dans la tête qu’ils ne sont plus en Super League.»
Ludovic Magnin, nouveau coach du LS
Le premier objectif avoué sera de rejoindre la Super League au plus vite. «Dès le printemps prochain si possible, prévient l’ancien coach du FC Zurich. Mais pour cela, il faut d’abord que tous les joueurs se mettent bien dans la tête qu’ils ne sont plus en Super League. Et que notre tâche s’annonce d’autant plus compliquée que le LS sera chaque week-end l’équipe à battre. Mais mon expérience m’a aussi appris que si tu travailles dur et honnêtement, le succès arrivera tôt ou tard.»
Pour que les joueurs donnent la pleine mesure de leur potentiel, ils auront aussi besoin de l’appui de leurs supporters dans un stade qui risque de sonner un peu creux au début. «Rien n’est encore prévu, mais s’il faut aller discuter avec eux, ce ne sera jamais un problème pour moi, assure Ludovic Magnin. Cela dit, je suis bien conscient que pour ramener les gens à la Tuilière, il faudra des résultats et une équipe qui joue bien au ballon. Après, un bon entraîneur doit surtout savoir s’adapter aux qualités des joueurs dont il dispose.» L’avantage en prenant si tôt les rênes de son équipe, c’est que l’ex-international suisse aura la possibilité de définir le profil des quelques éléments qui viendront renforcer «une ossature qui est déjà de très bonne valeur».
Reprise le 15 juin
Une indispensable campagne de recrutement qui, dans un monde idéal, devra être terminée bien avant le coup d’envoi du championnat. Et même, pour la majeure partie, avant la reprise d’une préparation fixée au 15 juin prochain. Pour que le nouveau coach lausannois puisse commencer dans les meilleures conditions son travail de fond et ainsi augmenter ses chances de briguer cette promotion que tout le monde espère et attend à Lausanne. «Je n’ai pas encore pu rencontrer mes joueurs, conclut Ludovic Magnin, mais ces prochains jours j’appellerai ceux que je considère comme importants pour l’avenir. En premier lieu pour vérifier s’ils sont, malgré la déception, toujours très motivés à l’idée de s’investir pleinement dans le nouveau projet qui nous attend.»
Comme il en a pris la (mauvaise) habitude, le LS n’a en revanche pas voulu communiquer la durée du contrat qui le lie à son nouveau coach. Mais, selon certaines sources bien informées, le Challensois se serait engagé pour deux saisons avec une option pour une troisième. De quoi envisager l’avenir avec une certaine sérénité.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.watson.ch/fr/Lausanne-Sport/
Nataniel- Localisation : 1022
Date d'inscription : 12/05/2019
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.bluewin.ch/fr/sport/super-league/essayer-de-redorer-cette-etoile-du-lausanne-sport-1230988.html
Nataniel- Localisation : 1022
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Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Un gars qui dit "jouer au fotte" est forcément sympathique !Nataniel a écrit:https://www.bluewin.ch/fr/sport/super-league/essayer-de-redorer-cette-etoile-du-lausanne-sport-1230988.html
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Scoopex aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Football vaudois
Le Team Vaud M21 est lui aussi relégué
La saison du Lausanne-Sport sera cauchemardesque jusqu’au bout. Sa réserve a encaissé à la 93e minute du dernier match le but qui l’envoie en 2e ligue inter.
Florian Vaney
Florian Vaney
Publié aujourd’hui à 15h17
2
Rien n’est allé dans le bon sens pour le Lausanne-Sport cette saison.
Rien n’est allé dans le bon sens pour le Lausanne-Sport cette saison.
PATRICK MARTIN/24HEURES
Tout aurait dû s’arrêter dimanche dernier. Le car qui tombe en panne sur l’autoroute, une claque à l’autre extrémité du pays (4-0 face à Saint-Gall), la fin d’une saison indigeste. Mais non. Le Lausanne-Sport souffrira jusque tout au bout et payera au prix fort l’ensemble de ses mauvais choix. Sa relégation en Challenge League a été imitée par le Team Vaud M21, qui n’évoluera plus en 1re ligue à la reprise.
À LIRE AUSSI
AboLe LS a choisi son nouveau coach
Magnin va relever le défi le plus délicat et grisant de sa carrière
AboCommentaire à propos de Magnin au LS
Avec Magnin, le LS a fait le bon choix
Les jeunes Vaudois étaient embarqués dans un drôle de grand écart ces dernières semaines. En cas de maintien, la possibilité d’être promu sur tapis vert en Promotion League existait. Elle était même raisonnablement élevée. Sauf que le premier critère à respecter était, justement, de ne pas couler en 2e ligue inter. Un défi qui paraissait largement réalisable depuis quelque temps, et qui s’est transformé en catastrophe samedi.
SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
Un coup dur pour la politique de surclassement
La troupe de Pedro Neto avait besoin d’un point à Chênois, lors de l’ultime ronde de championnat, pour s’assurer de finir du bon côté de la barre. Avalanche de soulagement à la 82e, quand Florian Hysenaj égalise (1-1). La fin du calvaire, enfin? Les Genevois ne jouent plus rien. Et pourtant. 93e minute, le 2-1 tombe. Le Team Vaud aussi: en 2e ligue inter. Condamné par sa défaite et les victoires de La Sarraz/Éclépens et Martigny.
Il s’agira, définitivement, de repartir d’une feuille blanche à la Tuilière. En marge du cas du LS, celui des M21 devra être réfléchi. Que faire de la politique de surclassement amenée par un Souleymane Cissé qui n’est plus là? Il y avait un vrai risque de confier cette équipe à des espoirs de 18 et 19 ans et, vu que rien n’est allé dans le bon sens cette saison, celui-ci n’a pas payé. Remonter en 1re ligue ne sera pas une mince affaire et l’on peut déjà imaginer les tensions cantonales que risque de créer cette relégation. Le calvaire a un nom.
Le Team Vaud M21 est lui aussi relégué
La saison du Lausanne-Sport sera cauchemardesque jusqu’au bout. Sa réserve a encaissé à la 93e minute du dernier match le but qui l’envoie en 2e ligue inter.
Florian Vaney
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2
Rien n’est allé dans le bon sens pour le Lausanne-Sport cette saison.
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Il s’agira, définitivement, de repartir d’une feuille blanche à la Tuilière. En marge du cas du LS, celui des M21 devra être réfléchi. Que faire de la politique de surclassement amenée par un Souleymane Cissé qui n’est plus là? Il y avait un vrai risque de confier cette équipe à des espoirs de 18 et 19 ans et, vu que rien n’est allé dans le bon sens cette saison, celui-ci n’a pas payé. Remonter en 1re ligue ne sera pas une mince affaire et l’on peut déjà imaginer les tensions cantonales que risque de créer cette relégation. Le calvaire a un nom.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Ce qui m’énerve le plus , c’est que Cissé sort par la petite porte et y’a même pas un article qui dénonce ses magouilles et intérêts je trouve ça aberrant
LKK a écrit:Football vaudois
Le Team Vaud M21 est lui aussi relégué
La saison du Lausanne-Sport sera cauchemardesque jusqu’au bout. Sa réserve a encaissé à la 93e minute du dernier match le but qui l’envoie en 2e ligue inter.
Florian Vaney
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Un coup dur pour la politique de surclassement
La troupe de Pedro Neto avait besoin d’un point à Chênois, lors de l’ultime ronde de championnat, pour s’assurer de finir du bon côté de la barre. Avalanche de soulagement à la 82e, quand Florian Hysenaj égalise (1-1). La fin du calvaire, enfin? Les Genevois ne jouent plus rien. Et pourtant. 93e minute, le 2-1 tombe. Le Team Vaud aussi: en 2e ligue inter. Condamné par sa défaite et les victoires de La Sarraz/Éclépens et Martigny.
Il s’agira, définitivement, de repartir d’une feuille blanche à la Tuilière. En marge du cas du LS, celui des M21 devra être réfléchi. Que faire de la politique de surclassement amenée par un Souleymane Cissé qui n’est plus là? Il y avait un vrai risque de confier cette équipe à des espoirs de 18 et 19 ans et, vu que rien n’est allé dans le bon sens cette saison, celui-ci n’a pas payé. Remonter en 1re ligue ne sera pas une mince affaire et l’on peut déjà imaginer les tensions cantonales que risque de créer cette relégation. Le calvaire a un nom.
Rolls- Date d'inscription : 13/08/2020
dudu, dadniny, kok9 et Mange-gazon IV aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Lausanne renonce à la gratuité
Une relégation s’accompagne forcément d’une chute des affluences. Lausanne, dont la moyenne s’élevait à 5066 spectateurs par match à domicile lors de la saison qui vient de s’achever, n’échappera pas au phénomène. Cette baisse s’accompagnera d’une inévitable nouvelle grille tarifaire, adaptée à la Challenge League et donc fortement revue à la baisse.
Comment endiguer et combiner au mieux les deux facteurs? En cassant les prix? Les dirigeants de la Tuilière ont tout imaginé, y compris la gratuité avant d’y renoncer. «Ce qui n’a pas de prix n’a pas de valeur, estime le vice-président Vincent Steinmann. Les gens sont très réceptifs aux actions, mais pas à ce qui est gratuit» La nouvelle campagne doit démarrer la semaine prochaine. On sait déjà que les premiers prix, en entrée de gamme, seront attractifs, notamment pour les anciens abonnés, qui se verront proposer une offre à prix discount (jusqu’à -50%).
Sur un plan purement stratégique, l’objectif vise à restaurer le lien distendu, voire cassé, entre l’équipe et son public. Ce qui suppose aussi d’investir dans la proximité, avec un ancrage plus régional. Afin de compenser la baisse des affluences à la Tuilière et de regrouper les spectateurs dans trois secteurs, la fermeture d’une tribune est également envisagée (sauf pour les grosses affiches). NJR
Ludovic Magnin prend ses marques
«Il faut du bonheur au centre du projet»
Le nouveau coach s’active pour mettre en place toutes les pièces du Lausanne-Sport 2022-2023. Il évoque sa manière de fonctionner et sa volonté de changer un environnement pesant.
Nicolas Jacquier
Il n’a plus une minute à lui, ou si peu. Pour Ludovic Magnin (43 ans), tout affairé à la construction de son LS, les vacances attendront. Les rendez-vous s’enchaînent, les téléphones se multiplient, il faut aller vite, tout presse.
Porteur de plusieurs casquettes, le Vaudois apprend à jongler. Avant tout le reste, la priorité est au seul recrutement. «C’est maintenant que cela se joue, j’ai la tête dans le guidon», lâche-t-il entre deux portes.
Mixte de deux mentalités
Apporter son expertise, c’est aussi ce qu’il désirait. «Je découvre une autre facette de mon métier. Jusqu’à présent, il y avait toujours un directeur sportif, j’étais une voix parmi d’autres. Cette fois, ma voix comptera plus» Au moins cinq renforts devraient débarquer sous peu, des transferts réalisés de concert avec Leen Heemskerk, son nouveau président.
Au moment du coup d’envoi du mercato d’été, comment Magnin imagine-t-il l’équipe appelée à retrouver l’élite dans douze mois? «J’ai envie d’avoir un mixte entre deux mentalités, celle, plus joueuse, des Romands, et celle, plus combative, des Alémaniques. Si l’on se borne à vouloir pratiquer du beau jeu ou à faire du tiki-taka, on ne s’en sortira pas. Le plaisir de la possession devra s’accompagner de dureté physique»
Le successeur d’Alain Casanova le sait: rien ne sera offert au LS et à son statut d’équipe à battre. «Ce championnat promet d’être une bataille, on sera attendu partout.»
À la Tuilière, il y a aussi un environnement à changer, un climat anxiogène et parfois malsain dont il faudra se départir. Tant une relégation, au-delà de ses conséquences sportives, n’est jamais anodine à vivre; cela laisse des cicatrices.
Insuffler une énergie positive, plus de légèreté loin de la pesanteur ambiante, voilà ce qui attend aussi l’ancien international helvétique. «Il faut remettre du bonheur au centre du projet. Rigoler ne doit pas être interdit au LS.»
De par sa personnalité rayonnante, Ludovic Magnin devrait y contribuer. «Je ne suis pas là pour jouer un rôle. Je vais rester moi-même.» Aller à la rencontre d’autrui l’a toujours enrichi. «Je me fie davantage à mon feeling qu’à un GPS ou à des données. Dans les relations humaines, je fais confiance à mon ventre et à mes yeux. Mes convictions ne m’ont jamais trahi.»
Ambitions et humilité
L’ex-gamin du Gros-de-Vaud, qui, petit, rêvait de jouer un jour dans le club phare de son canton, redonnera-t-il au LS sa grandeur passée? «Il n’y a jamais de certitude sportive. Mais ce que je peux promettre, c’est que je vais tout mettre en œuvre pour y arriver. Je rêve de revoir des gamins portant le maillot du LS.»
Il lui faudra avant cela transformer des losers de Super League en dominateurs de Challenge League. «Si Lausanne en est là aujourd’hui, c’est que des fautes ont été commises. On n’est pas plus forts que les autres. Il serait présomptueux de se croire plus beaux que la réalité. Il faudra s’entraîner plus que les autres. Le succès vient aussi avec l’humilité.»
Le travail de l’ex-défenseur ne fait que commencer. En attendant les premières recrues, il a déjà mis sa griffe dans les travées de la Tuilière, en réorganisant les bureaux du staff, qu’il a préféré décloisonner. «Je ne suis pas le big boss et je déteste être seul. Il faut que les infos circulent. Avec moi, on peut discuter de tout. Quand tu fais les choses en équipe, tu as plus de chances de les réussir.»
Dans tout le canton, et peut-être au-delà, l’arrivée du «magicien» d’Altach (club autrichien qu’il vient de sauver d’une relégation certaine) provoque déjà une attente énorme, suscitant des espoirs légitimes qu’il faudra concrétiser sur la pelouse.
Lausanne bénéficiera-t-il en cela de l’effet Magnin? «Le seul vrai effet qui compte, conclut l’intéressé, c’est celui des points.» Et il en faudra tout de suite
Une relégation s’accompagne forcément d’une chute des affluences. Lausanne, dont la moyenne s’élevait à 5066 spectateurs par match à domicile lors de la saison qui vient de s’achever, n’échappera pas au phénomène. Cette baisse s’accompagnera d’une inévitable nouvelle grille tarifaire, adaptée à la Challenge League et donc fortement revue à la baisse.
Comment endiguer et combiner au mieux les deux facteurs? En cassant les prix? Les dirigeants de la Tuilière ont tout imaginé, y compris la gratuité avant d’y renoncer. «Ce qui n’a pas de prix n’a pas de valeur, estime le vice-président Vincent Steinmann. Les gens sont très réceptifs aux actions, mais pas à ce qui est gratuit» La nouvelle campagne doit démarrer la semaine prochaine. On sait déjà que les premiers prix, en entrée de gamme, seront attractifs, notamment pour les anciens abonnés, qui se verront proposer une offre à prix discount (jusqu’à -50%).
Sur un plan purement stratégique, l’objectif vise à restaurer le lien distendu, voire cassé, entre l’équipe et son public. Ce qui suppose aussi d’investir dans la proximité, avec un ancrage plus régional. Afin de compenser la baisse des affluences à la Tuilière et de regrouper les spectateurs dans trois secteurs, la fermeture d’une tribune est également envisagée (sauf pour les grosses affiches). NJR
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Le nouveau coach s’active pour mettre en place toutes les pièces du Lausanne-Sport 2022-2023. Il évoque sa manière de fonctionner et sa volonté de changer un environnement pesant.
Nicolas Jacquier
Il n’a plus une minute à lui, ou si peu. Pour Ludovic Magnin (43 ans), tout affairé à la construction de son LS, les vacances attendront. Les rendez-vous s’enchaînent, les téléphones se multiplient, il faut aller vite, tout presse.
Porteur de plusieurs casquettes, le Vaudois apprend à jongler. Avant tout le reste, la priorité est au seul recrutement. «C’est maintenant que cela se joue, j’ai la tête dans le guidon», lâche-t-il entre deux portes.
Mixte de deux mentalités
Apporter son expertise, c’est aussi ce qu’il désirait. «Je découvre une autre facette de mon métier. Jusqu’à présent, il y avait toujours un directeur sportif, j’étais une voix parmi d’autres. Cette fois, ma voix comptera plus» Au moins cinq renforts devraient débarquer sous peu, des transferts réalisés de concert avec Leen Heemskerk, son nouveau président.
Au moment du coup d’envoi du mercato d’été, comment Magnin imagine-t-il l’équipe appelée à retrouver l’élite dans douze mois? «J’ai envie d’avoir un mixte entre deux mentalités, celle, plus joueuse, des Romands, et celle, plus combative, des Alémaniques. Si l’on se borne à vouloir pratiquer du beau jeu ou à faire du tiki-taka, on ne s’en sortira pas. Le plaisir de la possession devra s’accompagner de dureté physique»
Le successeur d’Alain Casanova le sait: rien ne sera offert au LS et à son statut d’équipe à battre. «Ce championnat promet d’être une bataille, on sera attendu partout.»
À la Tuilière, il y a aussi un environnement à changer, un climat anxiogène et parfois malsain dont il faudra se départir. Tant une relégation, au-delà de ses conséquences sportives, n’est jamais anodine à vivre; cela laisse des cicatrices.
Insuffler une énergie positive, plus de légèreté loin de la pesanteur ambiante, voilà ce qui attend aussi l’ancien international helvétique. «Il faut remettre du bonheur au centre du projet. Rigoler ne doit pas être interdit au LS.»
De par sa personnalité rayonnante, Ludovic Magnin devrait y contribuer. «Je ne suis pas là pour jouer un rôle. Je vais rester moi-même.» Aller à la rencontre d’autrui l’a toujours enrichi. «Je me fie davantage à mon feeling qu’à un GPS ou à des données. Dans les relations humaines, je fais confiance à mon ventre et à mes yeux. Mes convictions ne m’ont jamais trahi.»
Ambitions et humilité
L’ex-gamin du Gros-de-Vaud, qui, petit, rêvait de jouer un jour dans le club phare de son canton, redonnera-t-il au LS sa grandeur passée? «Il n’y a jamais de certitude sportive. Mais ce que je peux promettre, c’est que je vais tout mettre en œuvre pour y arriver. Je rêve de revoir des gamins portant le maillot du LS.»
Il lui faudra avant cela transformer des losers de Super League en dominateurs de Challenge League. «Si Lausanne en est là aujourd’hui, c’est que des fautes ont été commises. On n’est pas plus forts que les autres. Il serait présomptueux de se croire plus beaux que la réalité. Il faudra s’entraîner plus que les autres. Le succès vient aussi avec l’humilité.»
Le travail de l’ex-défenseur ne fait que commencer. En attendant les premières recrues, il a déjà mis sa griffe dans les travées de la Tuilière, en réorganisant les bureaux du staff, qu’il a préféré décloisonner. «Je ne suis pas le big boss et je déteste être seul. Il faut que les infos circulent. Avec moi, on peut discuter de tout. Quand tu fais les choses en équipe, tu as plus de chances de les réussir.»
Dans tout le canton, et peut-être au-delà, l’arrivée du «magicien» d’Altach (club autrichien qu’il vient de sauver d’une relégation certaine) provoque déjà une attente énorme, suscitant des espoirs légitimes qu’il faudra concrétiser sur la pelouse.
Lausanne bénéficiera-t-il en cela de l’effet Magnin? «Le seul vrai effet qui compte, conclut l’intéressé, c’est celui des points.» Et il en faudra tout de suite
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
En terme de mentalité l'apport de Magnin est énorme.
Rien qu'avec une interview on comprend le projet, sa philosophie et ses idées.
Rien qu'avec une interview on comprend le projet, sa philosophie et ses idées.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Le Vaudois, kok9 et Mange-gazon IV aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
lausarme a écrit:En terme de mentalité l'apport de Magnin est énorme.
Rien qu'avec une interview on comprend le projet, sa philosophie et ses idées.
Complètement, ça rallume la flamme que Cissé and Co ont réussi à quasi éteindre
Thierrible- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Oui, et niveau charisme, c’est autre chose que ce qu’on a eu l’année dernière (en première moitié de saison en tout cas). Ça aussi, c’est important.
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Place maintenant aux actes et SURTOUT aux résultats IMMÉDIATS.
Après le calvaire et le fiasco vécu, rien ne sera toléré cette saison. La promotion est l’unique objectif !
Après le calvaire et le fiasco vécu, rien ne sera toléré cette saison. La promotion est l’unique objectif !
Mange-gazon IV aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Cette fois, Boschetti fait le job, avec quelques infos de première main:
Les grandes manœuvres ont commencé au LS
La première recrue de l’ère Heemskerk-Magnin a pour nom Dominik Schwizer. L’ex-joueur de couloir du FC Thoune s’est engagé sur le long terme.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 18h15
Dominik Schwizer, qui aura 26 ans le 25 juin, s’est engagé pour plusieurs saisons du côté de la Tuilière.
Dominik Schwizer, qui aura 26 ans le 25 juin, s’est engagé pour plusieurs saisons du côté de la Tuilière.
DR
Le 15 juin prochain, à la reprise des entraînements, l’effectif du Lausanne-Sport comptera au moins un nouveau visage, celui de Dominik Schwizer. En fin de contrat au FC Thoune, ce joueur de couloir gauche de bientôt 26 ans a inscrit sept buts et délivré onze passes décisives la saison dernière.
Prêté par Thoune au FC Vaduz lors de la saison 2019-2020, Schwizer avait terminé le championnat juste derrière le LS de Giorgio Contini pour ensuite obtenir la promotion en Super League au terme d’un barrage contre son club propriétaire. Bien que titulaire indiscutable sur le côté gauche dans le 3-5-2 de Mario Frick, Dominik Schwizer avait été rapatrié dans l’Oberland bernois. Au LS, il comblera un gros vide sur le flanc gauche.
Custodio de retour?
L’ex-Thounois ne sera certainement pas la seule recrue lausannoise d’ici au 15 juin. L’objectif de Ludovic Magnin est de combler au plus vite le vide que laissent Chafik et Alakouch sur le côté opposé. L’élu pourrait bien être un autre Suisse alémanique en provenance de Challenge League. Depuis de longues semaines, des discussions ont été entamées avec Raoul Giger (24 ans), le véloce latéral droit du FC Aarau. Le verdict ne saurait tarder.
Même petite incertitude pour celui qui serait incontestablement l’un des gros renforts de l’entre-saison. Ancien Lausannois, Olivier Custodio, en fin de bail à Lugano – avec lequel il vient de remporter la Coupe de Suisse –, pourrait lui aussi relever le défi de ramener son club formateur en Super League. Sur le plan offensif, le LS serait en revanche sur les traces d’un attaquant néerlandais. Affaires à suivre.
Les grandes manœuvres ont commencé au LS
La première recrue de l’ère Heemskerk-Magnin a pour nom Dominik Schwizer. L’ex-joueur de couloir du FC Thoune s’est engagé sur le long terme.
André Boschetti
Publié aujourd’hui à 18h15
Dominik Schwizer, qui aura 26 ans le 25 juin, s’est engagé pour plusieurs saisons du côté de la Tuilière.
Dominik Schwizer, qui aura 26 ans le 25 juin, s’est engagé pour plusieurs saisons du côté de la Tuilière.
DR
Le 15 juin prochain, à la reprise des entraînements, l’effectif du Lausanne-Sport comptera au moins un nouveau visage, celui de Dominik Schwizer. En fin de contrat au FC Thoune, ce joueur de couloir gauche de bientôt 26 ans a inscrit sept buts et délivré onze passes décisives la saison dernière.
Prêté par Thoune au FC Vaduz lors de la saison 2019-2020, Schwizer avait terminé le championnat juste derrière le LS de Giorgio Contini pour ensuite obtenir la promotion en Super League au terme d’un barrage contre son club propriétaire. Bien que titulaire indiscutable sur le côté gauche dans le 3-5-2 de Mario Frick, Dominik Schwizer avait été rapatrié dans l’Oberland bernois. Au LS, il comblera un gros vide sur le flanc gauche.
Custodio de retour?
L’ex-Thounois ne sera certainement pas la seule recrue lausannoise d’ici au 15 juin. L’objectif de Ludovic Magnin est de combler au plus vite le vide que laissent Chafik et Alakouch sur le côté opposé. L’élu pourrait bien être un autre Suisse alémanique en provenance de Challenge League. Depuis de longues semaines, des discussions ont été entamées avec Raoul Giger (24 ans), le véloce latéral droit du FC Aarau. Le verdict ne saurait tarder.
Même petite incertitude pour celui qui serait incontestablement l’un des gros renforts de l’entre-saison. Ancien Lausannois, Olivier Custodio, en fin de bail à Lugano – avec lequel il vient de remporter la Coupe de Suisse –, pourrait lui aussi relever le défi de ramener son club formateur en Super League. Sur le plan offensif, le LS serait en revanche sur les traces d’un attaquant néerlandais. Affaires à suivre.
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Le Vaudois et kok9 aiment ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.blick.ch/fr/sport/football/mory-diaw-a-signe-en-ligue-1-lausanne-restera-a-jamais-grave-dans-mon-c-ur-id17577798.html
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
fatpig aime ce message
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.lematin.ch/story/ludovic-magnin-je-ne-joue-pas-un-role-je-suis-moi-meme-574662196607
bonzai- Date d'inscription : 03/11/2009
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
https://www.kmedia-ch.ch/post/la-reconstruction-du-ls-est-en-marche?fbclid=IwAR0s0ZtIgkm647ah37dbaXpWSVr1W0o4sm3MAY51xLFbWFog8H8Kt8M9cek
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (commentaires autorisés)
Olivier Custodio: «Il y a quelque chose de beau à construire au LS»
Le milieu de terrain évoque les raisons qui l’ont conduit à revenir à la maison, dans le club qui a lancé sa carrière. Au moment où le club vaudois retrouve ce mercredi le terrain. Interview d’un homme très attendu.
Nicolas Jacquier
Nicolas Jacquier
Publié aujourd’hui à 08h27
5
Olivier Custodio a hâte d’enfiler ce maillot d’un club qui lui est cher et qu’il avait quitté en 2017.
FC LAUSANNE-SPORT
Le symbole est fort. Après l’engagement d’un technicien vaudois d’Échallens, voilà le rapatriement d’un meneur de jeu vaudois. En convainquant Olivier Custodio (27 ans) de retrouver un club qu’il avait quitté à l’été 2017, les dirigeants de la Tuilière ont mis la main sur un homme appelé à personnifier autant le nouvel ancrage régional du LS que le projet «remontée».
Après des étapes à la Swissporarena lucernoise et au Cornaredo tessinois, Custodio, fort de ses 330 matches de Swiss Football League (dont 87 sous le maillot lausannois), incarne cette voie du changement. Il en parle entre Lugano, où il bouclait mardi ses valises, et son nouveau port d’attache au bord du Léman.
Vous avez accepté de quitter la Super League pour un club relégué. Qu’est-ce qui vous a séduit dans le projet lausannois? La présence de Magnin? Le salaire?
C’est un tout. Même relégué, Lausanne demeure un grand club dans le paysage helvétique. Quand j’ai discuté avec le coach, son discours m’a séduit. J’ai senti que j’étais un joueur désiré et qu’à l’intérieur du club, on misait sur moi. Je reste bien sûr un joueur professionnel, mais l’argument financier n’a aucunement motivé mon retour. Revenir un jour à la maison, dans mon club de cœur, a toujours été inscrit dans un coin de ma tête. Je savais que ça allait se faire, sans savoir précisément quand. C’est aussi une question de timing. Il y a 12 mois, je n’aurais peut-être pas accepté.
Dans leur communication, les dirigeants misent beaucoup sur le symbole que représente votre retour. Vous serez très attendu. C’est aussi une responsabilité supplémentaire?
En même temps, apporter un plus, c’est aussi ce que je recherche. Je sais que l’on attend beaucoup de moi. C’est sur le terrain que l’on me jugera. J’aurais pu rester en Super League mais à quoi bon n’être qu’un joueur de passage parmi d’autres? J’ai préféré m’investir dans un vrai projet. Il y a quelque chose de beau à construire avec Lausanne.
«Mon bagage est un peu plus lourd! J’ai mûri en tant qu’homme et je suis devenu un footballeur plus complet et plus expérimenté.»
Olivier Custodio, milieu de terrain du nouveau LS
En quoi le Custodio de 2022 est-il différent de celui de 2017?
Personne n’est jamais la même personne cinq ans plus tard. Mon bagage est un peu plus lourd! J’ai mûri en tant qu’homme et je suis devenu un footballeur plus complet et plus expérimenté. Au final, je suis encore le même sans être toujours le même.
Entre la Pontaise qui était votre jardin et votre nouvelle maison de la Tuilière, Lausanne aussi a changé…
Avec un outil de travail aussi magnifique, le club a carrément changé d’époque. Il y a vraiment tout pour bien faire, voire réussir quelque chose de grand même s’il importe d’avancer étape après étape. Comme partout, il faudra des résultats pour que les gens adhérent au projet. Pour que les supporters s’identifient à l’équipe, il faudra leur proposer un spectacle. Avant de penser à nos futurs concurrents, pensons d’abord à nous-même. La dynamique et l’état d’esprit du groupe vont se créer durant la préparation.
On va vous retrouver porteur du No 10. À quoi ce choix fort correspond-il?
Pour moi, ce numéro n’est pas plus lourd à porter que les autres, sauf pour celui qui a succédé à Zidane en équipe de France! (Rires) Pour être franc, tous les numéros que je convoitais (ndlr: le 20, le 7 et le 17) étaient déjà pris. Quant au No 10, je ne l’ai plus porté depuis les juniors.
Les joueurs courtisés, à l’image de Kylian Mbappé au PSG, posent généralement leurs conditions pour rester. À un autre niveau, avez-vous posé les vôtres pour revenir? Récupérer «votre» brassard de capitaine par exemple?
En aucun cas, jamais de la vie. J’ai trop d’admiration pour Kukuruzovic pour revendiquer son brassard. C’est un joueur que j’adore. Je suis content de bientôt pouvoir évoluer à ses côtés. Au risque d’en étonner certains peut-être, je me considère comme une pièce du nouveau puzzle parmi d’autres.
«Les choses sont plus simples à mettre en place quand chacun connaît le poids de l’histoire du club dans lequel il évolue.»
Olivier Custodio, milieu de terrain du nouveau LS
Après avoir recruté tous azimuts et sans discernement, Lausanne a pris un virage à 180 degrés en ciblant des éléments incarnant davantage son ADN historique, tout en apportant parfois une touche alémanique…
Le visage du LS est effectivement en train de changer mais je suis mal placé pour parler de ce que je n’ai pas connu auparavant. Le coach entend s’appuyer sur des joueurs connaissant déjà l’environnement de la Swiss Football League et dans lesquels chacun puisse s’identifier. Il est important que les renforts sachent où ils arrivent et ce que l’on attend d’eux.
Depuis 2003, seuls trois clubs sont remontés directement
Dans un football sans frontière ni loi, soumis au seul diktat de l’argent, l’identification à des couleurs, ça compte encore vraiment?
En tout cas, ça devrait. Les choses sont plus simples à mettre en place quand chacun connaît le poids de l’histoire du club dans lequel il évolue. Une équipe n’est rien d’autre qu’une addition de mentalités différentes provenant d’horizons qui le sont tout autant. C’est ce mélange qui fait précisément la beauté de notre métier.
Trois clubs sont remontés directement
Aucune promotion n’est acquise d’avance. Lausanne est bien placé pour le savoir, lui qui n’est jamais parvenu à fêter une ascension directement après une relégation en Challenge League. Tant en 2015 (Lugano) qu’en 2019 (Servette), les Vaudois avaient chaque fois dû passer leur tour avant de remonter la saison suivante. Depuis la création de la SFL en 2003, seuls trois clubs ont réussi l’enchaînement «relégation-promotion» en 12 mois: Xamaxen 2006, Saint-Gall (aussi bien en 2009 qu’en 2012), ainsi que le FC Zurich en 2017. Le relégué de la Tuilière n’a d’autre choix que de rejoindre au printemps prochain ce cercle fermé. Unique favori d’un championnat qui reprendra à mi-juillet, le LS serait cette fois impardonnable s’il devait échouer une troisième fois. D’autant plus que la formule transitoire - avec deux promus directs et possiblement un troisième issu des barrages - sert ses intérêts.
Les joueurs de Ludovic Magnin seront certes attendus partout, rien ne leur sera donné. De cela aussi, Olivier Custodio, qui avait décroché la promotion avec Lausanne en 2016, est conscient. «On ne nous fera aucun cadeau, convient le revenant. Personne n’imagine que cela va être facile. Il faudra que l’on soit prêt pour assurer. Et on le sera»
À la veille de la reprise de l’entraînement, Lausanne a poursuivi son mercato en engageant comme pressenti Raoul Giger, homme de couloir. gé de 24 ans, le latéral droit du FC Aarau a fait toutes ses classes au Brügglifeld (150 matches de Challenge League). NJR
Le milieu de terrain évoque les raisons qui l’ont conduit à revenir à la maison, dans le club qui a lancé sa carrière. Au moment où le club vaudois retrouve ce mercredi le terrain. Interview d’un homme très attendu.
Nicolas Jacquier
Nicolas Jacquier
Publié aujourd’hui à 08h27
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Olivier Custodio a hâte d’enfiler ce maillot d’un club qui lui est cher et qu’il avait quitté en 2017.
FC LAUSANNE-SPORT
Le symbole est fort. Après l’engagement d’un technicien vaudois d’Échallens, voilà le rapatriement d’un meneur de jeu vaudois. En convainquant Olivier Custodio (27 ans) de retrouver un club qu’il avait quitté à l’été 2017, les dirigeants de la Tuilière ont mis la main sur un homme appelé à personnifier autant le nouvel ancrage régional du LS que le projet «remontée».
Après des étapes à la Swissporarena lucernoise et au Cornaredo tessinois, Custodio, fort de ses 330 matches de Swiss Football League (dont 87 sous le maillot lausannois), incarne cette voie du changement. Il en parle entre Lugano, où il bouclait mardi ses valises, et son nouveau port d’attache au bord du Léman.
Vous avez accepté de quitter la Super League pour un club relégué. Qu’est-ce qui vous a séduit dans le projet lausannois? La présence de Magnin? Le salaire?
C’est un tout. Même relégué, Lausanne demeure un grand club dans le paysage helvétique. Quand j’ai discuté avec le coach, son discours m’a séduit. J’ai senti que j’étais un joueur désiré et qu’à l’intérieur du club, on misait sur moi. Je reste bien sûr un joueur professionnel, mais l’argument financier n’a aucunement motivé mon retour. Revenir un jour à la maison, dans mon club de cœur, a toujours été inscrit dans un coin de ma tête. Je savais que ça allait se faire, sans savoir précisément quand. C’est aussi une question de timing. Il y a 12 mois, je n’aurais peut-être pas accepté.
Dans leur communication, les dirigeants misent beaucoup sur le symbole que représente votre retour. Vous serez très attendu. C’est aussi une responsabilité supplémentaire?
En même temps, apporter un plus, c’est aussi ce que je recherche. Je sais que l’on attend beaucoup de moi. C’est sur le terrain que l’on me jugera. J’aurais pu rester en Super League mais à quoi bon n’être qu’un joueur de passage parmi d’autres? J’ai préféré m’investir dans un vrai projet. Il y a quelque chose de beau à construire avec Lausanne.
«Mon bagage est un peu plus lourd! J’ai mûri en tant qu’homme et je suis devenu un footballeur plus complet et plus expérimenté.»
Olivier Custodio, milieu de terrain du nouveau LS
En quoi le Custodio de 2022 est-il différent de celui de 2017?
Personne n’est jamais la même personne cinq ans plus tard. Mon bagage est un peu plus lourd! J’ai mûri en tant qu’homme et je suis devenu un footballeur plus complet et plus expérimenté. Au final, je suis encore le même sans être toujours le même.
Entre la Pontaise qui était votre jardin et votre nouvelle maison de la Tuilière, Lausanne aussi a changé…
Avec un outil de travail aussi magnifique, le club a carrément changé d’époque. Il y a vraiment tout pour bien faire, voire réussir quelque chose de grand même s’il importe d’avancer étape après étape. Comme partout, il faudra des résultats pour que les gens adhérent au projet. Pour que les supporters s’identifient à l’équipe, il faudra leur proposer un spectacle. Avant de penser à nos futurs concurrents, pensons d’abord à nous-même. La dynamique et l’état d’esprit du groupe vont se créer durant la préparation.
On va vous retrouver porteur du No 10. À quoi ce choix fort correspond-il?
Pour moi, ce numéro n’est pas plus lourd à porter que les autres, sauf pour celui qui a succédé à Zidane en équipe de France! (Rires) Pour être franc, tous les numéros que je convoitais (ndlr: le 20, le 7 et le 17) étaient déjà pris. Quant au No 10, je ne l’ai plus porté depuis les juniors.
Les joueurs courtisés, à l’image de Kylian Mbappé au PSG, posent généralement leurs conditions pour rester. À un autre niveau, avez-vous posé les vôtres pour revenir? Récupérer «votre» brassard de capitaine par exemple?
En aucun cas, jamais de la vie. J’ai trop d’admiration pour Kukuruzovic pour revendiquer son brassard. C’est un joueur que j’adore. Je suis content de bientôt pouvoir évoluer à ses côtés. Au risque d’en étonner certains peut-être, je me considère comme une pièce du nouveau puzzle parmi d’autres.
«Les choses sont plus simples à mettre en place quand chacun connaît le poids de l’histoire du club dans lequel il évolue.»
Olivier Custodio, milieu de terrain du nouveau LS
Après avoir recruté tous azimuts et sans discernement, Lausanne a pris un virage à 180 degrés en ciblant des éléments incarnant davantage son ADN historique, tout en apportant parfois une touche alémanique…
Le visage du LS est effectivement en train de changer mais je suis mal placé pour parler de ce que je n’ai pas connu auparavant. Le coach entend s’appuyer sur des joueurs connaissant déjà l’environnement de la Swiss Football League et dans lesquels chacun puisse s’identifier. Il est important que les renforts sachent où ils arrivent et ce que l’on attend d’eux.
Depuis 2003, seuls trois clubs sont remontés directement
Dans un football sans frontière ni loi, soumis au seul diktat de l’argent, l’identification à des couleurs, ça compte encore vraiment?
En tout cas, ça devrait. Les choses sont plus simples à mettre en place quand chacun connaît le poids de l’histoire du club dans lequel il évolue. Une équipe n’est rien d’autre qu’une addition de mentalités différentes provenant d’horizons qui le sont tout autant. C’est ce mélange qui fait précisément la beauté de notre métier.
Trois clubs sont remontés directement
Aucune promotion n’est acquise d’avance. Lausanne est bien placé pour le savoir, lui qui n’est jamais parvenu à fêter une ascension directement après une relégation en Challenge League. Tant en 2015 (Lugano) qu’en 2019 (Servette), les Vaudois avaient chaque fois dû passer leur tour avant de remonter la saison suivante. Depuis la création de la SFL en 2003, seuls trois clubs ont réussi l’enchaînement «relégation-promotion» en 12 mois: Xamaxen 2006, Saint-Gall (aussi bien en 2009 qu’en 2012), ainsi que le FC Zurich en 2017. Le relégué de la Tuilière n’a d’autre choix que de rejoindre au printemps prochain ce cercle fermé. Unique favori d’un championnat qui reprendra à mi-juillet, le LS serait cette fois impardonnable s’il devait échouer une troisième fois. D’autant plus que la formule transitoire - avec deux promus directs et possiblement un troisième issu des barrages - sert ses intérêts.
Les joueurs de Ludovic Magnin seront certes attendus partout, rien ne leur sera donné. De cela aussi, Olivier Custodio, qui avait décroché la promotion avec Lausanne en 2016, est conscient. «On ne nous fera aucun cadeau, convient le revenant. Personne n’imagine que cela va être facile. Il faudra que l’on soit prêt pour assurer. Et on le sera»
À la veille de la reprise de l’entraînement, Lausanne a poursuivi son mercato en engageant comme pressenti Raoul Giger, homme de couloir. gé de 24 ans, le latéral droit du FC Aarau a fait toutes ses classes au Brügglifeld (150 matches de Challenge League). NJR
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
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