Les articles de presse (pas de commentaire !)

http://www.24heures.ch/sports/ls/doute-ls-2016-encore-meilleur/story/26005554

http://www.24heures.ch/sports/ls/ls-pak-versus-roux-jeu-cinq-differences/story/28462500

http://www.blick.ch/sport/fussball/challengeleague/sieg-in-wohlen-lausanne-behauptet-tabellenspitze-id4685451.html

http://www.24heures.ch/sports/ls/Wil-pense-au-LS-depuis-plusieurs-semaines/story/23840903?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

http://www.lematin.ch/sports/football/inler-m21-vacances-coequipiers/story/13338067

http://footvaud.ch/on-est-extremement-bien-prepares-a-chaque-fois/

http://www.24heures.ch/sports/lotomba-force-vive-lausannesport/story/27047170

http://www.sofoot.com/domenech-m-a-fait-jouer-un-an-lateral-droit-alors-que-j-etais-attaquant-217558.html

Articles du 24heures de ce jour.

Avis aux amateurs, le FC Wil se cherche un hymne. Le précédent – sobrement intitulé Hopp Wil – date de 2002. Aujourd’hui, les dirigeants promettent 5000 francs de récompense à celui ou celle qui, d’ici à fin mars, parviendra à coucher sur le papier la nouvelle «FC Wil 1900 Power-Song». Le ton a changé, l’allure aussi. Et bien sûr les ambitions qui caractérisent dés­ormais le club de Suisse orientale, engagé dans une course à la promotion qui met en émoi le petit monde de la Swiss Football League. Depuis quelques mois, les nouveaux propriétaires turcs ne sont pas restés inactifs. En automne, ils ont remplacé leur entraîneur et leur directeur sportif. Puis, durant la pause d’hiver, ils ont apporté des retouches à leur effectif en ouvrant largement les cordons d’une bourse qu’on dit considérable. Buteur du LS, Jocelyn Roux n’a pas résisté bien longtemps aux sirènes du Bosphore. Bientôt rejoint par Johann Vonlanthen, Dylan Stadelmann ou encore le jeune espoir offensif Marvin Spielmann. L’international M20 jouait à Aarau; Lucerne était intéressé; mais il se dit que Wil aurait déboursé 750 000 francs pour assurer sa venue.

Cette saison 2015-2016, le Lausanne-Sport occupe décidément une place de choix dans la vie des Saint-Gallois. Lesquels ont fait des offres à deux autres joueurs «bleu et blanc». Au défenseur Elton Monteiro (21 ans), ils ont proposé un contrat de quatre ans à 20'000 francs par mois, assorti d’une prime de 100'000 francs en cas de promotion en Super League. Des chiffres bien sûr extraordinaires dans cette catégorie de jeu. Le milieu de terrain Olivier Custodio (20 ans) a également été approché. Mais les deux joueurs ne sont pas entrés en matière, bien conscients que leur progression sportive gardait encore tout son sens à Lausanne.

Pak vs. Roux: le jeu des cinq différences

Cela dit, le LS n’a guère apprécié la manière choisie puisque des joueurs sous contrat ne doivent en principe pas être approchés directement, ce qui a été fait, et plutôt trois fois qu’une. De là à dire que Wil est prêt à tout pour atteindre son objectif et accélérer ainsi son rêve de grandeur…

Même récemment transformé et modernisé, le stade du Berg­holz – devenu l’IGP Arena – ne suffit pas pour briguer une place dans l’élite. Voilà qui pourrait représenter un réel problème. Mais pas pour les nouveaux investisseurs, qui assurent avoir un plan tout prêt pour un agrandissement qui pourrait être effectif dans les six mois si les travaux débutaient de suite. Seul hic, la Cille, guère habituée à ce que les choses ail­lent aussi vite, n’a pas encore donné son feu vert. De mê­me, l’idée d’un campus – autrement dit un centre d’entraînement – est bien avancée. Il comprendrait deux terrains sur 30 000 mètres carrés, de même qu’une piscine et une cinquantaine de chambres pour les joueurs.

Fabio Celestini après le match face à Wohlen

Voilà pour l’environnement. Mais qu’adviendrait-il si Kevin Cooper et ses joueurs ne parvenaient pas à aller chercher la première place d’ici au 27 mai (date d’un certain Wil - LS)? «Notre projet restera valable, même sans promotion cette saison», assurait voilà quelques jours Abdullah Cila, le directeur sportif, dans les colonnes du SonntagsBlick. La patience – et pour cause – n’a pourtant jamais constitué le point fort des gens pressés…

Pas le droit de perdre

Sur le terrain, depuis la reprise, Wil et le LS ont fait le plein. Les Saint-Gallois en battant successivement, sur leur terrain synthétique, Schaffhouse et Le Mont (3-0 et 3-0). Quant au LS, il a disposé du Mont (2-1) avant d’aller s’imposer 3-1 à Wohlen. Un parcours et des chiffres qui achèvent de faire du match de demain (17 h 45 à la Pontaise) le premier gros choc de l’année 2016.

Si un résultat négatif ne changerait pas grand-chose pour les joueurs de Fabio Celestini, qui conserveraient la main, il plongerait Wil dans l’embarras. Une défaite laisserait en effet le visiteur à 9 points, voire dix si l’on tient compte de la différence de buts, largement favorable au LS.

Musique d’avenir!

http://www.sfl.ch/fr/news/news/article/a-distance-spielmann-et-sessolo-ont-lance-le-show/

http://www.24heures.ch/sports/football/LS-un-succes-incontestable/story/12120501?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

http://www.24heures.ch/sports/football/LS-un-succes-incontestable/story/12120501?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/Lausanne-ne-renonce-jamais-18349889

http://footvaud.ch/et-a-la-fin-cest-toujours-lausanne-qui-gagne/

http://www.letemps.ch/sport/2016/02/21/lausanne-promotion-super-league-desormais-partie-projet

«Si nous montons, il faudra nous renforcer, c'est évident. Mais avec six mois de travail en plus, cette équipe sera capable de proposer du jeu contre n'importe quel adversaire. Même Bâle.»

http://www.tagesanzeiger.ch/sport/fussball/Celestinis-Comeback/story/11051297

Joli et poétique papier de Philippe Dubath dans 24heures (n'est pas disponible en ligne).

c'est pas lui qui enterrait le ls il y a quelques années et qui n'en pensait pas moins des supporters ?

Le vieil écriteau salue
le Lausanne-Sport
J’ai trouvé dans
une brocante un
vieil écriteau qui
s’ennuyait sur une
table, et attendait,
c’est une certitude, que je passe
par là. Quelques dizaines
de francs, une poignée de main,
et j’ai emporté sous le bras
cet orphelin bleu-blanc-rouge.
Depuis, je me demande
d’où il vient. Il a un certain âge,
largement celui de la retraite
paisible. Il a dû en voir passer,
des habitants du coin – un
village, une banlieue? – qui
allaient au match. Si on avait
intégré dans sa structure une
discrète caméra – en admettant
qu’elle eût existé à son époque –
l’écriteau nous raconterait
soixante bonnes années de
visages optimistes puis heureux,
optimistes puis déçus, serrés
par le froid, ruisselant de pluies
imprévues, de pères et de fils
main dans la main. Il nous dirait
l’histoire des matches, jamais
la même de l’un à l’autre. Comment
jouait l’équipe de ce lieu
inconnu? Le club dont l’écriteau
indiquait le stade défendait-il
certaines idées du football et
du spectacle, se souciait-il
du bonheur de son public?
Je pensais à mon écriteau –
que je ne prends pas partout
avec moi, quand même! –
samedi soir à la Pontaise
en regardant Lausanne-Sport
jouer contre Wil. J’ai beaucoup
d’affection pour l’équipe
de Fabio Celestini, pour son âme
offensive, pour le football
qu’elle construit avec patience
et intelligence. J’aurais envie,
un peu partout dans les rues de
Lausanne et même du canton,
d’afficher des répliques géantes
de mon écriteau «STADE», mon
chouchou bleu-blanc-rouge,
pour que les gens reprennent
massivement la direction de
la Pontaise. Ceux qui aiment le
football sont trop peu nombreux
à savoir que, dans ce stade,
une équipe à l’esprit magnifique
grandit et s’affirme. Elle est hors
norme parce qu’elle ose autre
chose: croire que la réussite
passe par le jeu. Elle casse
en quelque sorte cette croyance
barbante du monde footballistique
qui dit que, quand on veut
faire des résultats, il ne faut pas
penser au panache, à l’offensive,
au spectacle, mais se montrer
avare et austère, peu imaginatif
et peu créatif, sérieux. Mais
l’offensive, la création d’un jeu
collectif de qualité, ingénieux,
passionnant, qui allie efficacité
et spectacle, est quelque chose
de très sérieux et de très difficile,
exigeant, qui demande
un travail constant.
La Pontaise, avec Celestini
et ses joueurs, héberge des locataires
précieux et rares. Allons
au stade, comme le suggère
ma trouvaille antique, allons
au stade pour participer à la
naissance et à l’épanouissement
d’un esprit. C’est maintenant
que ça se passe. C’est maintenant
qu’il faut en être. Être
spectateur, c’est faire partie
de l’équipe. C’est adhérer
à cette originalité. De grands
événements, en football,
il y en a tout le temps à la télé.
Mais cette naissance de ce LS,
c’est ici, chez nous, à notre
porte. La Pontaise, qui retrouve
déjà un peu de vie, de souffle,
devrait être pleine, pas à moitié
vide, pour saluer cette aventure
que bien d’autres villes, bientôt,
vont nous envier. Le stade,
c’est par là-haut

Lausanne sans se retourner http://24heures.ch/19149963

http://www.24heures.ch/sports/ls/nourrissent-victoires-limites/story/13118100

http://footvaud.ch/numa-lavanchy-on-a-la-chance-de-vivre-quelque-chose-dexceptionnel/

Le Lausanne-Sport a trouvé les ingrédients nécessaires pour se refaire une santé

L’équipe poursuit  sa progression en suscitant un intérêt croissant. Elle reçoit Xamax dimanche à la Pontaise

Chaque club a son histoire. Et toutes les équipes connaissent l’alternance des temps forts et des périodes plus faibles. Depuis cinq ans, date de la dernière promotion en Super League, le Lausanne-Sport a vécu plusieurs vies en raccourci, entre euphorie et déprimes. L’été dernier, une nouvelle orientation sportive a été prise. En optant pour une identité régionale bien affirmée et enfin assumée, en mêlant avec bonheur les générations, le LS a bâti une équipe qui épate et suscite progressivement l’intérêt de tout le pays. Président et entraîneur, Alain Joseph et Fabio Celestini sont les principaux artisans de cette réussite. Après une période mouvementée assortie de choix pas toujours judicieux – notamment en termes de recrutement –, le premier a eu l’intelligence de confier les clés du sportif au second. Lequel, jeune entraîneur au caractère et aux idées affirmées, a mis beaucoup de passion dans son travail de tous les jours. Et ce dimanche, c’est un très beau leader qui accueille Neuchâtel Xamax.

«Nous vivons un moment privilégié, assure Pablo Iglesias. Dans une dimension certes différente de l’époque des Seigneurs de la nuit ou des victoires en Coupe de Suisse, le LS n’a pas souvent réuni autant d’arguments pour qu’on ait envie de venir assister à un match à la Pontaise. Surtout, à la baguette, on a un coach et un staff juste fantastiques en termes de compétence et d’engagement. »

Le directeur technique cantonal n’est pas seul à s’enthousiasmer pour ce qu’il voit. Président de Xamax, Christian Binggeli résume bien l’impression du moment: «Ils font tout juste. Travailler avec la richesse qu’on a tout près, c’est ce que nous essayons aussi de faire à Neuchâtel. Procéder par étapes, grandir, donner du temps de jeu aux jeunes, nous partageons la même philosophie. » La voie de la sagesse, en quelque sorte, qui n’exclut pourtant pas l’ambition. «Dans la vie d’un entrepreneur, il y a des moments pour la prise de risque. Ils sont parfois synonymes de succès, constate pour sa part Donato Mottini, ancien président de la Confrérie et soutien de longue date du LS. Je suis super-content pour Alain Joseph, pour les jeunes, ceux aussi qui n’ont pas voulu partir malgré les appels. Ce qui se passe correspond à une vraie vision, un vrai bonheur aussi. »

De Zeqiri à Margairaz Le LS s’est donc sorti des difficultés en se réinventant. Gardien attentif du projet lausannois, Fabio Celestini(voir l’interview ci-dessous)ne cache pas le plaisir qu’il a de voir grandir cette équipe. C’est d’ailleurs dans ce développement continu, cette justesse des choix effectués, cette liberté accordée aux joueurs dans un cadre imaginé pour cela qu’on prend la véritable dimension de l’aventure lausannoise. Entre les 16 ans de Zeqiri et les 32 ans de Margairaz, c’est beaucoup de promesses et d’expérience cumulées, une belle histoire collective comme le foot sait parfois les produire lorsque les éléments sont réunis. Si l’esprit de compétition est là, bien sûr, et si une promotion en Super League peut être envisagée dès le mois de mai, on aurait presque envie de dire qu’on s’en fiche. Quelque chose de bien s’est mis en route et il importe finalement assez peu de savoir à quel moment cela coïncidera avec un retour dans l’élite. Alorscarpe diem, vivons l’instant présent!

Avec Terre des hommesUne opération mise sur pied conjointement par les deux clubs est prévue dimanche au stade. Parmi les différentes actions organisées, signalons que 1 franc par billet vendu sera versé à la fondation.


www.24heures.ch/

http://www.24heures.ch/sports/ls/pyongyang-lausannesport-histoire-pak-buteur-liberte/story/21632920

Alors il ne jouera pas le match à rattraper à Schaffhouse vu qu'il doit jouer avec la Corée