Les articles de presse (pas de commentaire !)

C'était dans le programme du match contre Palerme (et rien sur le site évidemment):

Les nouveaux partenaires du LS sont Remy Voyages, Oh!Box (pour le "lounge") et... l'Illustré comme partenaire presse...

Session de rattrapage pour ceux qui l'aurait raté

http://www.tsr.ch/video/sport/sport-dimanche/#id=2808609

Merci LKK pour le lien TSR, je n'avais pas vu le reportage...

cela m'a foutu un coup de blues... que de belles choses en 2010 pour le LS ! Certainement une des toute grande année vécue avec ce club de ma vie.

Petit article sur Bah (football.ch) => http://www.football.ch/sfl/fr/start.aspx?vNews=1&newsID=1

Interview du Matin de notre nouveau capitaine.. Meoli
http://www.lematin.ch/sports/football/sebastien-meoli-capitaine-374616

http://www.24heures.ch/entraineurs/celestini-retour-club-formateur-2011-01-18

Eh bien qu'il y reste puisqu'il se sent mieux dans la banlieue lausannoise. Mais avec quels objectifs ? Faire monter le FC Renens en Challenge League ?

Ridicule ton commentaire...

J'espère pour le FC Renens qu'il ne demandera pas le double de son salaire dans 6 mois (relllaaaxxx les gars on rigooollleeee)

Scoopex a écrit:J'espère pour le FC Renens qu'il ne demandera pas le double de son salaire dans 6 mois (relllaaaxxx les gars on rigooollleeee)

aucune chance c'est un clubiste, il aime le club, être à Renens c'est qqch de spécial pour lui, etc etc

C'est le club de son coeur, quoi...

Ca vole haut dites donc.

Vous faites vraiment de la peine avec vos reflexions dignes des commentaires sur le site du Matin.

On refait 10 pages de débat sur le sujet? Pas de problème pour moi, il semble que les seuls faits tangibles divulgués parlent en faveur de Celestini.

Enfin je pense que pour certains on devrait effectivement rester au niveau cour d'école.

En cette période de trêve hivernale, où très peu de commentaires sont postés sur ce forum, je ne vois pas le problème d'adresser encore deux-trois petites piques au déserteur Fabio C. suite à la nouvelle orientation qu'il a souhaité donné à sa carrière...

Faites comme vous le voulez, mais pas sur ce topic, qui ne devrait être qu'une liste de liens pointant sur des articles.

Petit article sur les suite du SFC - LS du 25 septembre dernier:
http://www.24heures.ch/debordements-match-contre-ls-servette-amende-2011-01-21

http://www.tsr.ch/video/sport/sport-dimanche/2956139-football-challenge-league-le-lausanne-sport-va-se-renforcer-suite-au-depart-de-celestini.html#id=2956139

http://www.lematin.ch/sports/football/ls-servette-montee-385435

http://www.cartonrouge.ch/fr/actualite/article/six-mois-pas-comme-les-autres/index.html

http://www.24heures.ch/actu/sports/ls-emporte-face-chiasso-2-1-2011-03-02

Ca date un peu... (tiré de http://wullschleger.bleublog.lematin.ch/ )
17.02.2011
Ellesse

Quelque part, 8h30



Pour n'avoir pas su garder Celestini, joueur au coeur LS et expert de la mise en valeur, les dirigeants ont placé le club qu'ils ont sauvé il y a quelques années en délicate posture aujourd'hui. Ont-ils eu peur de perdre, prématurément, un peu de leurs pouvoirs?

Des joueurs sont arrivés dernièrement. Coups de poker au casino olympique. L'entraîneur en souhaitait d'autres. Un bon défenseur central, notamment. A ce qui se dit sérieusement, c'est alors qu'il était en vacances que le coach fut mis au courant de l'arrivée de Bah.

Martin Rueda rencontre les mêmes problèmes que ceux vécus par Fabio Celestini, lequel a fini par ne plus s'entendre avec les décideurs du LS. Difficile de parler le même langage quand le monde du football - sa sensibilité et son côté technique, surtout, pour ne parler que de ses deux aspects - est perçu différemment; la connaissance des uns se heurtant à l'incompréhension et à la frilosité des autres.

Martin Rueda, homme réservé, un brin timide, qui réfléchit longtemps - trop - avant de taper du poing sur la table, était un homme content. Quand Fabio Celestini, son relayeur providentiel et au caractère bien trempé - que de gens l'ont mal jugé -, était là. Aujourd'hui, la mine est moins réjouie. Le coach est désormais seul face à ses supérieurs. Jusqu'à quand?

Au vu de la situation déjà existante, aurait-il dû quitter le LS en décembre dernier, en même temps que son capitaine?

Que de questions. Martin Rueda s'en pose d'autres.

Dimanche, le LS reçoit Wil. Déjà un tournant.

Jacques Wullschleger

Je trouve que la presse ne parle pas assez du LS, qui est pourtant le club le plus important du canton, et c'est inquiétant ! Rien sur le match de dimanche dans le torchon orange et quelques rares lignes dans le 24 heures du 07.03.2011, voir article ci-dessous.


LE LS N'A PLUS D'ALLURE D'UN SÉRIEUX PRÉTENDANT
Les Lausannois abandonnent à nouveau deux points à un mal classé. Pour Silvio, un but et une stupide expulsion

Lausanne a-t-il encore, en 2011, l’allure d’un prétendant aux deux premières places? D’abord incertaine, la réponse a clairement penché du côté du non après ce voyage au Tessin. Deux fois vainqueur à domicile (de Wil puis Chiasso) sans convaincre, Lausanne vient d’abandonner quatre points sur le terrain des deux derniers. Mais si le nul concédé à Yverdon ne semblait pas trop fâcheux, celui d’hier l’est bien davantage. D’une part parce que l’équipe vaudoise aurait pu, d’un strict point de vue technique, passer cet après-midi ensoleillé sans grand souci. D’autre part parce que l’attitude de certains joueurs ne laisse rien augurer de très bon.

Autant le dire d’emblée, Locarno n’avait pas grand-chose à proposer en termes de football. Même avec les coups de patte et la vista de l’Espagnol Hassell à mi-terrain, les joueurs du Lido auront toutes les peines du monde à éviter une fois encore la relégation. Malgré l’absence de Meoli et de Katz en défense centrale, le LS n’avait donc aucune inquiétude à nourrir. D’autant moins qu’il a très vite pris l’avantage, Silvio allongeant habilement sa foulée pour entrer en contact avec le gardien Mitrovic. Penalty et ouverture du score. Les bases semblaient idéales. A la 26e minute, idéalement placé, Avanzini avait le 2-0 dans les pieds, Mais sa maladresse - un constat hélas trop régulièrement renouvelé - ne permit pas de boucler l’affaire. Roux manqua également de tranchant une poignée de secondes plus tard.

Venu de nulle part
Et puis survint l’incident. A mi-terrain, Silvio commit une faute aussi grossière qu’inutile, qui incita l’arbitre à sortir un carton rouge. Pour ce LS réduit à dix, la vie se compliquait. Après la pause, les Lausannois s’efforcèrent de contrôler le match tout en plaçant quelques contres. Un programme qu’ils ne parvinrent pas à tenir. Même en se montrant avare de ses efforts, Moussilou se créa deux occasions, sans conclure. Et puis, Locarno inventa un but venu de nulle part. Ou plutôt issu d’une remise en touche qui permit à Alic de longer la ligne de fond puis de faire de Favre un complice inattendu pour le 1-1. «C’est une grande déception et une grosse frustration, admettait Nicolas Marazzi, capitaine du LS en l’absence de Meoli. Pas mal de choses ne vont pas. Il faut continuer à travailler en évitant de tout remettre en question.»

Locarno - LS 1-1 (0-1)

Lido . 640 spectateurs.

Arbitre: M. Winter.

Buts: 8e Silvio (penalty) 0-1, 81e Alic 1-1.

Avertissement: 42e Marchesano.

Expulsion: 39e Silvio (voie de fait).

Locarno: Mitrovic; Milosevic (78e Pusterla), De Carli, Diallo, Monighetti; Rapp (46e Toure), Marchesano (59e Alic), Maccoppi, Fermino, Hassell; Aguirre.

Lausanne: Favre; Rochat, Buntschu, Sonnerat, Gétaz; Avanzini (55e Traore), Bah, Marazzi, Pasche (70e Tosi); Silvio, Roux (59e Moussilou).

Notes: Locarno sans Ziccardi, Sulmoni (suspendus), Milani, Mijatovic (blessés). Lausanne sans Katz (suspendu), Meoli, Steuble (blessés).

François Ruffieux Locarno

Lausanne-Sport perd son âme et le contact avec les leaders

Après deux nuls peu glorieux, la troupe de Martin Rueda a sombré samedi à la Pontaise, essuyant un revers logique et désastreux contre Wohlen

Le Lausanne-Sport a du souci à se faire. Non pas qu’il soit en danger, son capital-points le laissant à l’abri de toute inquiétude cette saison. Mais il va certainement au-devant d’un long final sans saveur, loin de la bataille faisant rage pour la promotion directe en Super League ou l’accession au match de promotion/relégation.

Samedi, l’équipe de Rueda a perdu plus qu’une partie. Elle a aussi perdu son âme, sa créativité, incapable d’imposer son jeu à un adversaire tonique en ce 2e tour. Elle a aussi perdu l’estime d’une frange de ses supporters, déçue par la piètre prestation présentée, par l’absence de réaction après l’ouverture du score rapide de Wohlen, et qui ne s’est pas fait faute de le signaler par des sifflets.

Rageant de constater que la retouche apportée par Rueda pour redonner du punch à sa phalange n’a servi à rien (Traore au milieu pour Bah qui, blessé, n’a pu remplacer Rochat comme latéral). Ou que ceux appelés à remplacer Meoli et Silvio n’ont pas convaincu. Le LS était sans venin, abandonnant trop souvent le jeu à son rival, qui a su en profiter.

Bien plus tranchants, jouant en constance dans la verticalité, les visiteurs ont ainsi trouvé l’ouverture à la 9e déjà. Une erreur de Rochat et ce diable de Schultz, buteur patenté revenu après une expérience ratée à GC, de centrer pour l’ex-Yverdonnois Osmani, buteur de la tête. Statique, la défense l’était autant que le gardien Favre, donnant déjà des signes d’inquiétude.
Moussilou actif

Par chance, Moussilou connut alors son meilleur moment à la pointe de l’attaque. C’est lui qui glissait sur le flanc droit à Avanzini, dont le tir de la 14e était dévié du bras par un défenseur. C’est lui qui s’exécutait sur penalty, sa (trop?) violente frappe butant sur le poteau. Et c’est lui qui se rachetait à la 19e, impeccable à la conclusion, servi au millimètre par Marazzi.

Mais ce qui aurait permis de remettre une équipe sur les bons rails n’eut pas les répercussions escomptées dans l’esprit de Lausannois craintifs en défense, approximatifs à la relance et timorés à la construction. Ainsi, à la 21e, on put craindre le pire quand, sur une balle en rétro, Favre relançait sur l’Argovien Bijelic, dont le tir fut repoussé par le poteau.

Lausanne se métamorphosa ensuite, comme par enchantement, durant une grappe de minutes avant le repos. Une rémission, en fait, tant le spectacle présenté en 2e période fut indigent. A la 66e, Schultz, seul à se saisir d’un ballon fusant dans les 16 mètres, ajusta la lucarne, devant un gardien Favre pantois.

«On a essayé de les pousser. Mais ils étaient bien en place, mettant de l’agressivité dans ce qu’ils entreprenaient, résumait Jérôme Sonnerat, élogieux à l’égard de Wohlen, dont les qualités, pourtant, n’expliquent pas tout. C’est vrai. On avait pourtant tous envie de livrer un gros match. Il nous a manqué la rage d’aller de l’avant.»

Et si, à Lausanne, on oubliait aussi les rancœurs du passé, pour permettre le retour de Celestini? C’est ce dont doivent rêver certains inconditionnels…

24 Heures

TRES BONNE IDEE!

Pour une fois très bon article du 24h ET l'idée (que je mûrit depuis un moment d'ailleurs) de faire revenir Celestini, et la solution immédiate à adopter.

Celestini ne reviendra pas dans la situation actuelle. En cas de départ de Collet, je suis certain qu'il serait plus qu'intéressé à revenir. Je parle biensur du Celestini dirigeant car le joueur ne rechaussera probablement pas les crampons.