Les articles de presse (pas de commentaire !)
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Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Article très très intéressant : http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/31079105
PS au modo : ne pourrait-on pas supprimer la rubrique "Commentaires sur les articles de presse" ? Je trouve très fatiguant de devoir stupidement poster le lien d'un article à un endroit et les commentaires découlant de ce même article sur un autre. Quelle en est la raison ? C'est illogique.
PS au modo : ne pourrait-on pas supprimer la rubrique "Commentaires sur les articles de presse" ? Je trouve très fatiguant de devoir stupidement poster le lien d'un article à un endroit et les commentaires découlant de ce même article sur un autre. Quelle en est la raison ? C'est illogique.
Badeafan- Date d'inscription : 27/11/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Ben voilà quoi. Pour juste env. 150 % de notre budget... :
http://www.teletext.ch/RTSUn/189-00.html
Le FCB est vraiment devenu un autre monde pour les autres dans notre championnat...
http://www.teletext.ch/RTSUn/189-00.html
Le FCB est vraiment devenu un autre monde pour les autres dans notre championnat...
Badeafan- Date d'inscription : 27/11/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
C'est toi qui est fatiguant.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.sfl.ch/fr/news-features/news/article/?tx_news_pi1[news]=423&tx_news_pi1[controller]=News&tx_news_pi1[action]=detail&cHash=a03583a61067db7ffbc02456ec309185
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
C’est un LS en version «light» qui se frotte au champion de Suisse
Pas mal d’absents encore dans l’effectif lausannois pour le difficile voyage à Bâle
L’été est plutôt compliqué pour le Lausanne-Sport. Après deux revers initiaux (face à Lucerne puis Young Boys), les Vaudois s’attaquent aux deux meilleures formations du championnat, Bâle ce soir puis Grasshopper samedi prochain. Un calendrier d’autant plus redoutable que le groupe à disposition de Laurent Roussey reste largement incomplet. Il suffit de dresser la liste des absents pour mieux s’en rendre compte: Gabri, Zambrella, Moussilou, Coly, Bouazzi, De Pierro sont tous convalescents, alors que Mevlja et Cruyff ne sont pas encore qualifiés. Difficile, dans ces conditions, d’aligner l’équipe «idéale» imaginée pour 2013-2014. C’est donc avec un onze sensiblement identique et plutôt «light» que le LS va se frotter à Bâle. «Plusieurs joueurs vont découvrir le Parc Saint-Jacques. C’est toujours un moment spécial, pas évident, souligne Guillaume Katz. Ce qui ne nous empêche pas de vouloir revenir avec quelque chose, enchaîne le capitaine. Ce serait bon de prendre un point pour enfin lancer cette saison. » A condition d’être plus rigoureux et plus réaliste un peu partout sur le terrain. «C’est vrai! Les conditions de base sont donc une bonne entame, un minimum d’erreurs, beaucoup de générosité et une envie de jouer à fond chaque coup offensif. »Mais l’équipe du moment a-t-elle les moyens de tenir un tel programme? «Il est clair que, aujourd’hui, nous ne pouvons pas rivaliser avec une équipe comme Bâle en termes de jouerie ou de maîtrise technique, admet Laurent Roussey. Nous tenterons donc de gêner notre adversaire sur ses points forts, avec une organisation un peu plus défensive. Il fera très chaud. Et Bâle, qui pense déjà à la Coupe d’Europe, cherchera sûrement à entrer très vite dans le match pour faire la différence et économiser ensuite quelques forces. »Dragovic est parti Côté lausannois, Ming (18 ans depuis quelques jours) symbolisera une fois encore la jeunesse et une certaine insouciance. Deux caractéristiques qui peuvent représenter un atout mais aussi, bien sûr, une limite évidente. «On espère passer le mieux possible ces deux rendez-vous et avoir plus de possibilités d’ici au 11 août et le match contre Saint-Gall», note encore Roussey. Cela dit, Bâle a également ses soucis. Alors que les Rhénans s’apprêtent à disputer le 3e tour qualificatif pour les poules de Ligue des champions – dès mardi à domicile face à Maccabi Tel-Aviv –, ils viennent de perdre le patron de leur défense. Courtisé par plusieurs clubs, Dragovic (22 ans) a finalement opté pour Dynamo Kiev, où il vient de signer un contrat de cinq ans. Arrivé d’Austria Vienne en 2011, pour à peine plus d’un million de francs, il rapporte aujourd’hui près de 11 millions de francs au FCB. Mais il laisse aussi un trou important en défense. Cette semaine, Bobadilla s’est fait pincer au volant de sa Maserati, flashé à 111 km/h dans une zone où la vitesse était limitée à 50 km/h. Retrait de permis immédiat et voiture saisie pour un attaquant loin de justifier l’argent dépensé l’hiver dernier pour son arrivée d’YB et qui risque entre un et quatre ans de prison… Ses difficultés sportives pourraient expliquer son comportement hors terrain. Quoi qu’il en soit, le club a décidé sans délai de le suspendre. A chacun ses soucis, grands ou petits.
www.24heures.ch/
Pas mal d’absents encore dans l’effectif lausannois pour le difficile voyage à Bâle
L’été est plutôt compliqué pour le Lausanne-Sport. Après deux revers initiaux (face à Lucerne puis Young Boys), les Vaudois s’attaquent aux deux meilleures formations du championnat, Bâle ce soir puis Grasshopper samedi prochain. Un calendrier d’autant plus redoutable que le groupe à disposition de Laurent Roussey reste largement incomplet. Il suffit de dresser la liste des absents pour mieux s’en rendre compte: Gabri, Zambrella, Moussilou, Coly, Bouazzi, De Pierro sont tous convalescents, alors que Mevlja et Cruyff ne sont pas encore qualifiés. Difficile, dans ces conditions, d’aligner l’équipe «idéale» imaginée pour 2013-2014. C’est donc avec un onze sensiblement identique et plutôt «light» que le LS va se frotter à Bâle. «Plusieurs joueurs vont découvrir le Parc Saint-Jacques. C’est toujours un moment spécial, pas évident, souligne Guillaume Katz. Ce qui ne nous empêche pas de vouloir revenir avec quelque chose, enchaîne le capitaine. Ce serait bon de prendre un point pour enfin lancer cette saison. » A condition d’être plus rigoureux et plus réaliste un peu partout sur le terrain. «C’est vrai! Les conditions de base sont donc une bonne entame, un minimum d’erreurs, beaucoup de générosité et une envie de jouer à fond chaque coup offensif. »Mais l’équipe du moment a-t-elle les moyens de tenir un tel programme? «Il est clair que, aujourd’hui, nous ne pouvons pas rivaliser avec une équipe comme Bâle en termes de jouerie ou de maîtrise technique, admet Laurent Roussey. Nous tenterons donc de gêner notre adversaire sur ses points forts, avec une organisation un peu plus défensive. Il fera très chaud. Et Bâle, qui pense déjà à la Coupe d’Europe, cherchera sûrement à entrer très vite dans le match pour faire la différence et économiser ensuite quelques forces. »Dragovic est parti Côté lausannois, Ming (18 ans depuis quelques jours) symbolisera une fois encore la jeunesse et une certaine insouciance. Deux caractéristiques qui peuvent représenter un atout mais aussi, bien sûr, une limite évidente. «On espère passer le mieux possible ces deux rendez-vous et avoir plus de possibilités d’ici au 11 août et le match contre Saint-Gall», note encore Roussey. Cela dit, Bâle a également ses soucis. Alors que les Rhénans s’apprêtent à disputer le 3e tour qualificatif pour les poules de Ligue des champions – dès mardi à domicile face à Maccabi Tel-Aviv –, ils viennent de perdre le patron de leur défense. Courtisé par plusieurs clubs, Dragovic (22 ans) a finalement opté pour Dynamo Kiev, où il vient de signer un contrat de cinq ans. Arrivé d’Austria Vienne en 2011, pour à peine plus d’un million de francs, il rapporte aujourd’hui près de 11 millions de francs au FCB. Mais il laisse aussi un trou important en défense. Cette semaine, Bobadilla s’est fait pincer au volant de sa Maserati, flashé à 111 km/h dans une zone où la vitesse était limitée à 50 km/h. Retrait de permis immédiat et voiture saisie pour un attaquant loin de justifier l’argent dépensé l’hiver dernier pour son arrivée d’YB et qui risque entre un et quatre ans de prison… Ses difficultés sportives pourraient expliquer son comportement hors terrain. Quoi qu’il en soit, le club a décidé sans délai de le suspendre. A chacun ses soucis, grands ou petits.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le «petit» LS et son coach restent muets à Bâle
Malchance, maladresse et grosse frustration pour Lausanne et Laurent Roussey. Quant à l’arbitre…
«Je suis venu devant vous car je respecte les journalistes. Le football en a besoin pour vivre. Mais ce soir je n’ai rien à dire. Ma seule interrogation est la suivante: vais-je continuer à entraîner le petit Lausanne?» Samedi soir, sur le coup de 22 heures, Laurent Roussey résistait tant bien que mal à l’agacement puis à la franche colère qui l’avaient envahi. Son bref passage en conférence de presse, précédé d’une interdiction de s’exprimer pour ses joueurs, tenait moins de la frustration liée au jeu proprement dit qu’à la piètre prestation arbitrale, symbolisée par l’incompréhensible expulsion de Chakhsi (en même temps que Stocker pour voie de fait), qui privait le LS, alors mené 1-0, d’une dernière demi-heure en supériorité numérique. Fin de soirée agitée, donc, au Parc Saint-Jacques, alors que rien ne laissait supposer qu’il en serait ainsi après 45 minutes initiales plutôt insipides. Mais voyons d’un peu plus près comment on en est arrivé là. On distinguera ainsi deux thèmes: d’abord le jeu globalement proposé par Lausanne face au champion de Suisse, puis les influences extérieures, en l’occurrence la performance de Nikolaj Hänni. On le sait, on l’a déjà dit dans ces colonnes, le LS actuel - privé de plusieurs titulaires potentiels - est encore assez loin de l’équipe imaginée par le coach et les dirigeants du club. Dans ces conditions, il était difficile d’imaginer le visiteur repartir avec autre chose qu’une défaite. Et pourtant! De la première période, avec une organisation défensive renforcée, on retiendra que Bâle, s’il a souvent mollement dominé, a dû attendre la 31e minute pour trouver l’ouverture sur penalty (faute évitable de Katz sur Streller à l’angle de la surface). Un avantage qui pouvait sembler décisif tant Lausanne paraissait limité, voire insignifiant, sur le plan offensif. Trop de ballons trop vite rendus à l’adversaire, trop d’imprécisions techniques, trop de limites athlétiques, bref, pas grand-chose à espérer. Réaction du LS Mais Bâle, qui venait de vivre une semaine difficile - départ de Dragovic à Kiev; suspension interne de Bobadilla - et qui avait sans doute un peu la tête à la Ligue des champions (mardi face à Maccabi Tel-Aviv), entra dans la seconde mi-temps avec un brin de suffisance. Ce qui permit à Lausanne d’esquisser une réaction intéressante, concrétisée par deux occasions énormes qui auraient dû lui valoir de revenir à 1-1. La première fut pour Meoli sur coup de coin, avec une tête piquée venue frapper la transversale d’un Sommer battu (72e), la seconde pour Khelifi, bénéficiant d’une mauvaise passe de Frei pour se présenter seul, une conduite de balle défaillante l’empêchant alors de battre le gardien rhénan. Une poignée de secondes plus tard, sur un service en retrait de Salah, Streller trouva la faille pour le 2-0. Différence de classe et d’efficacité manifeste et surtout affaire pliée au plan du résultat. C’est là qu’on en vient aux influences «extérieures», autrement dit une décision d’arbitrage que les Lausannois contestèrent avec véhémence, mais bien sûr sans effet. N’importe quoi! Retour donc à la 61e minute, avec une intervention fougueuse - et fautive - de Chakhsi sur Stocker. Les deux hommes s’étaient déjà «frottés» quelquefois auparavant. Mais là, le Bâlois revient vivement vers le défenseur lausannois, le prenant à la gorge avec vigueur et à deux mains. Chakhsi s’écroule, en rajoute… et prend le premier carton rouge, avant d’être rejoint par Stocker. A-t-il commis une faute répréhensible? Si oui, c’est alors coup franc. Mais l’arbitre indique au contraire le point de corner. Alors quoi? Alors n’importe quoi! Des faits de jeu et surtout un événement particulier qui renvoient directement au courroux de Laurent Roussey. La boucle est ainsi bouclée et Lausanne à la fois déçu et frustré. Dans l’absolu, le FCB est bien sûr largement supérieur à Lausanne. Mais voilà, dans le contexte qui est le sien présentement, le «petit» LS aurait pu obtenir un point qui lui aurait sans doute fait le plus grand bien. Bâle - Lausanne 2-0 (1-0)Parc Saint-Jacques,24 951 spectateurs.Arbitre:M. Hänni.Buts:32e Schär (penalty) 1-0, 82e Streller 2-0.Bâle:Sommer; Philipp Degen, Schär, Ajeti, Safari (91e David Degen); Elneny; Salah (86e Diaz), Xhaka, Frei (88e Voser), Stocker; Streller.Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, Sonnerat, Meoli, Facchinetti; Yang Yang (86e Ozcan); Ekeng, Avanzini (68e Lavanchy), Tafer; Kadusi (46e Khelifi).Notes:Bâle sans Bobadilla (suspendu à l’interne) et Serey Die (blessé). Lausanne sans Coly, De Pierro, Gabri, Moussilou et Zambrella (blessés). 37e, tir de Frei sur le poteau extérieur. 72e, tête de Meoli sur la transversale. Avertissements:60e Chakhsi, 69e Ekeng, 74e Sonnerat.Expulsions:62e Stocker (voie de fait) et Chakhsi (2e avertissement).
www.24heures.ch/
Malchance, maladresse et grosse frustration pour Lausanne et Laurent Roussey. Quant à l’arbitre…
«Je suis venu devant vous car je respecte les journalistes. Le football en a besoin pour vivre. Mais ce soir je n’ai rien à dire. Ma seule interrogation est la suivante: vais-je continuer à entraîner le petit Lausanne?» Samedi soir, sur le coup de 22 heures, Laurent Roussey résistait tant bien que mal à l’agacement puis à la franche colère qui l’avaient envahi. Son bref passage en conférence de presse, précédé d’une interdiction de s’exprimer pour ses joueurs, tenait moins de la frustration liée au jeu proprement dit qu’à la piètre prestation arbitrale, symbolisée par l’incompréhensible expulsion de Chakhsi (en même temps que Stocker pour voie de fait), qui privait le LS, alors mené 1-0, d’une dernière demi-heure en supériorité numérique. Fin de soirée agitée, donc, au Parc Saint-Jacques, alors que rien ne laissait supposer qu’il en serait ainsi après 45 minutes initiales plutôt insipides. Mais voyons d’un peu plus près comment on en est arrivé là. On distinguera ainsi deux thèmes: d’abord le jeu globalement proposé par Lausanne face au champion de Suisse, puis les influences extérieures, en l’occurrence la performance de Nikolaj Hänni. On le sait, on l’a déjà dit dans ces colonnes, le LS actuel - privé de plusieurs titulaires potentiels - est encore assez loin de l’équipe imaginée par le coach et les dirigeants du club. Dans ces conditions, il était difficile d’imaginer le visiteur repartir avec autre chose qu’une défaite. Et pourtant! De la première période, avec une organisation défensive renforcée, on retiendra que Bâle, s’il a souvent mollement dominé, a dû attendre la 31e minute pour trouver l’ouverture sur penalty (faute évitable de Katz sur Streller à l’angle de la surface). Un avantage qui pouvait sembler décisif tant Lausanne paraissait limité, voire insignifiant, sur le plan offensif. Trop de ballons trop vite rendus à l’adversaire, trop d’imprécisions techniques, trop de limites athlétiques, bref, pas grand-chose à espérer. Réaction du LS Mais Bâle, qui venait de vivre une semaine difficile - départ de Dragovic à Kiev; suspension interne de Bobadilla - et qui avait sans doute un peu la tête à la Ligue des champions (mardi face à Maccabi Tel-Aviv), entra dans la seconde mi-temps avec un brin de suffisance. Ce qui permit à Lausanne d’esquisser une réaction intéressante, concrétisée par deux occasions énormes qui auraient dû lui valoir de revenir à 1-1. La première fut pour Meoli sur coup de coin, avec une tête piquée venue frapper la transversale d’un Sommer battu (72e), la seconde pour Khelifi, bénéficiant d’une mauvaise passe de Frei pour se présenter seul, une conduite de balle défaillante l’empêchant alors de battre le gardien rhénan. Une poignée de secondes plus tard, sur un service en retrait de Salah, Streller trouva la faille pour le 2-0. Différence de classe et d’efficacité manifeste et surtout affaire pliée au plan du résultat. C’est là qu’on en vient aux influences «extérieures», autrement dit une décision d’arbitrage que les Lausannois contestèrent avec véhémence, mais bien sûr sans effet. N’importe quoi! Retour donc à la 61e minute, avec une intervention fougueuse - et fautive - de Chakhsi sur Stocker. Les deux hommes s’étaient déjà «frottés» quelquefois auparavant. Mais là, le Bâlois revient vivement vers le défenseur lausannois, le prenant à la gorge avec vigueur et à deux mains. Chakhsi s’écroule, en rajoute… et prend le premier carton rouge, avant d’être rejoint par Stocker. A-t-il commis une faute répréhensible? Si oui, c’est alors coup franc. Mais l’arbitre indique au contraire le point de corner. Alors quoi? Alors n’importe quoi! Des faits de jeu et surtout un événement particulier qui renvoient directement au courroux de Laurent Roussey. La boucle est ainsi bouclée et Lausanne à la fois déçu et frustré. Dans l’absolu, le FCB est bien sûr largement supérieur à Lausanne. Mais voilà, dans le contexte qui est le sien présentement, le «petit» LS aurait pu obtenir un point qui lui aurait sans doute fait le plus grand bien. Bâle - Lausanne 2-0 (1-0)Parc Saint-Jacques,24 951 spectateurs.Arbitre:M. Hänni.Buts:32e Schär (penalty) 1-0, 82e Streller 2-0.Bâle:Sommer; Philipp Degen, Schär, Ajeti, Safari (91e David Degen); Elneny; Salah (86e Diaz), Xhaka, Frei (88e Voser), Stocker; Streller.Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, Sonnerat, Meoli, Facchinetti; Yang Yang (86e Ozcan); Ekeng, Avanzini (68e Lavanchy), Tafer; Kadusi (46e Khelifi).Notes:Bâle sans Bobadilla (suspendu à l’interne) et Serey Die (blessé). Lausanne sans Coly, De Pierro, Gabri, Moussilou et Zambrella (blessés). 37e, tir de Frei sur le poteau extérieur. 72e, tête de Meoli sur la transversale. Avertissements:60e Chakhsi, 69e Ekeng, 74e Sonnerat.Expulsions:62e Stocker (voie de fait) et Chakhsi (2e avertissement).
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/joseph-niveau-c-malhonnetete/story/10714027
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.tageswoche.ch/de/2013_30/sport/564054/das-war-doof-von-mir.htm
Flee- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Après-match de Teleclub, avec Gabet Chapuisat comme consultant:
http://web.tvonline.swisscom.ch/#fr/Clips/Sport/Category/Highlights/Watch/Clip/158643
http://web.tvonline.swisscom.ch/#fr/Clips/Sport/Category/Highlights/Watch/Clip/158643
Flee- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.24heures.ch/sports/ls/arbitre-dit-quil-setait-trompe/story/19651520
Flee- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
L’arbitre Hänni admet son erreur et la SFL blanchit Chakhsi
Injustement expulsé à Bâle, le défenseur du LS ne sera pas suspendu. La Swiss Football League a très vite réagi
Qu’ils soient dirigeants, coach ou joueurs, les Lausannois n’ont pas digéré l’épisode de l’expulsion de Chakhsi, samedi à Bâle. «Il faut que les choses soient justes pour tout le monde. Or elles ne semblent pas l’être lorsqu’on s’appelle LS. » Président du club, Alain Joseph ne décolérait pas hier matin. Le club était d’ailleurs en train de rédiger une réclamation adressée à la Commission de discipline, dans laquelle il expliquait «ce qui s’était passé et, surtout, ce qui ne s’était pas passé». Objectif: obtenir l’annulation pure et simple de ce carton rouge. Ce qui, au vu des éléments récoltés, et de l’aveu de l’arbitre concerné, paraissait réaliste. Et qui s’est d’ailleurs confirmé en début de soirée déjà, via un communiqué faisant état d’une «erreur d’interprétation». Pour rappel, la scène se situe à la 61e minute du match entre Bâle et Lausanne. Chakhsi intervient sur Stocker. L’arbitre indique le point de corner, estimant ainsi qu’aucune faute n’a été commise. Mais l’attaquant bâlois se relève, fond sur le défenseur lausannois et le saisit à la gorge. Attroupement, palabres, expulsion logique de Stocker pour voie de fait, mais aussi de Chakhsi pour… on n’en sait trop rien. Si Nikolaj Hänni avait sifflé une faute et donné un carton jaune à Chakhsi (qui avait déjà été averti auparavant), le rouge aurait pu se comprendre. Mais, en l’occurrence, il a commis au moins deux erreurs grossières sur la même action. «L’arbitre a admis qu’il s’était trompé. » Contacté hier en milieu de journée, Carlo Bertolini comprenait parfaitement le courroux lausannois. Le patron des arbitres de Swiss Football League expliquait: «M. Hänni a mentionné dans son rapport que le carton rouge donné à Chakhsi était excessif. Je ne veux pas présager de ce que la commission décidera. Mais les images sont assez claires. » Autrement dit, le LS avait de bonnes chances d’être entendu. Médiocre dans plusieurs situations de jeu samedi soir, M. Hänni avait de surcroît adopté une attitude fâcheuse à l’endroit des Lausannois. «Je suis allé calmement lui demander une explication, racontait pour sa part Guillaume Katz, capitaine du LS. Mais il ne m’a pas adressé la parole. Il a dialogué en allemand avec Streller(ndlr: le capitaine du FCB), sans me regarder. »A la fin du match, Alain Joseph avait lui aussi tenté d’approcher l’arbitre. Sans plus de succès. Seul le mépris était au rendez-vous. «On ne veut pas jouer les Calimero. Et les arbitres n’y sont pas pour grand-chose si le LS n’a aucun point après trois matches. Mais il faudrait vraiment qu’ils arrêtent de nous prendre de haut. Je comprends donc tout à fait la réaction de Laurent Roussey(qui, samedi soir, n’a pas voulu s’exprimer publiquement, s’interrogeant sur la suite à donner à cet incident). D’autant mieux que ce n’est pas la première fois que cela arrive. Et il est très inconfortable de vivre ainsi. »Aucune pression Au-delà de cet épisode fâcheux, les petits clubs ont souvent le sentiment qu’ils ne sont pas traités d’égal à égal avec les plus riches. «C’est un débat qui revient régulièrement, pas seulement dans notre pays, admet Carlo Bertolini. Ce que je peux dire nous concernant, c’est que nous cherchons toujours à prendre des décisions basées sur des faits objectifs. Lorsqu’un arbitre est bien dans son match, il juge entre l’équipe A et l’équipe B, entre les «bleu» ou les «vert», mais sûrement pas entre les plus puissants et les autres. De toute façon, dans le feu de l’action, il n’aurait pas le temps de considérer les conséquences éventuelles de son coup de sifflet. Je peux vous assurer d’une chose: en tant que responsable, je ne subis aucune pression des clubs. Le fait que je n’occupe pas un poste à la fédération(ndlr: Bertolini est employé à temps plein chez Swisscom)représente aussi un avantage. » On peut tout de même se demander si la sanction infligée à Stocker – deux matches de suspension pour un geste qui à notre sens en aurait mérité au moins quatre – est réellement objective ou si elle prend en compte le pouvoir du FC Bâle au plan national. Par ailleurs, voilà dix ou vingt ans, les arbitres n’étaient pas aussi inaccessibles. «C’est vrai, mais il n’y avait pas la même pression médiatique, rétorque Bertolini. Aujourd’hui, on regarde dix fois les images, sous tous les angles, et on décrète que l’arbitre s’est trompé. La pression financière n’était pas la même non plus. Sur le principe, une possibilité de dialogue doit exister. Et c’est normalement au capitaine de l’équipe que revient ce rôle». Encore faut-il que les deux parties puissent se comprendre. «Il y aura toujours une part d’incompréhension dans notre suisse civile. Chez nous, l’arbitre doit maîtriser au moins deux langues, sa langue maternelle et une des autres langues nationales. A cela s’ajoute l’anglais pour les arbitres internationaux. Pendant nos cours d’arbitre, nous utilisons en alternance l’allemand et le français, sans traduction simultanée». Pas d’excuse, donc, n’est-ce pas M. Hänni?AmicalLe LS joue ce soir à Chavannes (19 h), face à Azzurri.
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Injustement expulsé à Bâle, le défenseur du LS ne sera pas suspendu. La Swiss Football League a très vite réagi
Qu’ils soient dirigeants, coach ou joueurs, les Lausannois n’ont pas digéré l’épisode de l’expulsion de Chakhsi, samedi à Bâle. «Il faut que les choses soient justes pour tout le monde. Or elles ne semblent pas l’être lorsqu’on s’appelle LS. » Président du club, Alain Joseph ne décolérait pas hier matin. Le club était d’ailleurs en train de rédiger une réclamation adressée à la Commission de discipline, dans laquelle il expliquait «ce qui s’était passé et, surtout, ce qui ne s’était pas passé». Objectif: obtenir l’annulation pure et simple de ce carton rouge. Ce qui, au vu des éléments récoltés, et de l’aveu de l’arbitre concerné, paraissait réaliste. Et qui s’est d’ailleurs confirmé en début de soirée déjà, via un communiqué faisant état d’une «erreur d’interprétation». Pour rappel, la scène se situe à la 61e minute du match entre Bâle et Lausanne. Chakhsi intervient sur Stocker. L’arbitre indique le point de corner, estimant ainsi qu’aucune faute n’a été commise. Mais l’attaquant bâlois se relève, fond sur le défenseur lausannois et le saisit à la gorge. Attroupement, palabres, expulsion logique de Stocker pour voie de fait, mais aussi de Chakhsi pour… on n’en sait trop rien. Si Nikolaj Hänni avait sifflé une faute et donné un carton jaune à Chakhsi (qui avait déjà été averti auparavant), le rouge aurait pu se comprendre. Mais, en l’occurrence, il a commis au moins deux erreurs grossières sur la même action. «L’arbitre a admis qu’il s’était trompé. » Contacté hier en milieu de journée, Carlo Bertolini comprenait parfaitement le courroux lausannois. Le patron des arbitres de Swiss Football League expliquait: «M. Hänni a mentionné dans son rapport que le carton rouge donné à Chakhsi était excessif. Je ne veux pas présager de ce que la commission décidera. Mais les images sont assez claires. » Autrement dit, le LS avait de bonnes chances d’être entendu. Médiocre dans plusieurs situations de jeu samedi soir, M. Hänni avait de surcroît adopté une attitude fâcheuse à l’endroit des Lausannois. «Je suis allé calmement lui demander une explication, racontait pour sa part Guillaume Katz, capitaine du LS. Mais il ne m’a pas adressé la parole. Il a dialogué en allemand avec Streller(ndlr: le capitaine du FCB), sans me regarder. »A la fin du match, Alain Joseph avait lui aussi tenté d’approcher l’arbitre. Sans plus de succès. Seul le mépris était au rendez-vous. «On ne veut pas jouer les Calimero. Et les arbitres n’y sont pas pour grand-chose si le LS n’a aucun point après trois matches. Mais il faudrait vraiment qu’ils arrêtent de nous prendre de haut. Je comprends donc tout à fait la réaction de Laurent Roussey(qui, samedi soir, n’a pas voulu s’exprimer publiquement, s’interrogeant sur la suite à donner à cet incident). D’autant mieux que ce n’est pas la première fois que cela arrive. Et il est très inconfortable de vivre ainsi. »Aucune pression Au-delà de cet épisode fâcheux, les petits clubs ont souvent le sentiment qu’ils ne sont pas traités d’égal à égal avec les plus riches. «C’est un débat qui revient régulièrement, pas seulement dans notre pays, admet Carlo Bertolini. Ce que je peux dire nous concernant, c’est que nous cherchons toujours à prendre des décisions basées sur des faits objectifs. Lorsqu’un arbitre est bien dans son match, il juge entre l’équipe A et l’équipe B, entre les «bleu» ou les «vert», mais sûrement pas entre les plus puissants et les autres. De toute façon, dans le feu de l’action, il n’aurait pas le temps de considérer les conséquences éventuelles de son coup de sifflet. Je peux vous assurer d’une chose: en tant que responsable, je ne subis aucune pression des clubs. Le fait que je n’occupe pas un poste à la fédération(ndlr: Bertolini est employé à temps plein chez Swisscom)représente aussi un avantage. » On peut tout de même se demander si la sanction infligée à Stocker – deux matches de suspension pour un geste qui à notre sens en aurait mérité au moins quatre – est réellement objective ou si elle prend en compte le pouvoir du FC Bâle au plan national. Par ailleurs, voilà dix ou vingt ans, les arbitres n’étaient pas aussi inaccessibles. «C’est vrai, mais il n’y avait pas la même pression médiatique, rétorque Bertolini. Aujourd’hui, on regarde dix fois les images, sous tous les angles, et on décrète que l’arbitre s’est trompé. La pression financière n’était pas la même non plus. Sur le principe, une possibilité de dialogue doit exister. Et c’est normalement au capitaine de l’équipe que revient ce rôle». Encore faut-il que les deux parties puissent se comprendre. «Il y aura toujours une part d’incompréhension dans notre suisse civile. Chez nous, l’arbitre doit maîtriser au moins deux langues, sa langue maternelle et une des autres langues nationales. A cela s’ajoute l’anglais pour les arbitres internationaux. Pendant nos cours d’arbitre, nous utilisons en alternance l’allemand et le français, sans traduction simultanée». Pas d’excuse, donc, n’est-ce pas M. Hänni?AmicalLe LS joue ce soir à Chavannes (19 h), face à Azzurri.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
«L’équipe n’est pas assez orientée vers la perfection et l’efficacité»
Entraîneur du LS, Laurent Roussey revient sur le match de Bâle et, surtout, sur les progrès qu’il attend de ses joueurs
Samedi soir, à Bâle, il a pris congé de façon abrupte. Fâché, déçu, Laurent Roussey ne souhaitait pas s’épancher. Une défaite de plus, et surtout l’impression d’avoir été lésé par l’arbitrage douteux de M. Hänni. Depuis, Chakhsi – injustement expulsé – a été blanchi(voir 24 heures d’hier). Puis le coach a retrouvé le terrain, hier, et son équipe s’est remise au travail. Le matin à l’entraînement et le soir à Chavannes, à l’occasion d’un match amical face à Azzurri, histoire de donner du temps de jeu à tout le monde. Entre les deux, Roussey est revenu sur les incidents de samedi, sur certains manques et certaines attentes, en espérant un premier résultat positif pour bientôt en championnat.
Un match tronqué «Il y avait une double colère. D’abord celle liée à l’arbitrage, avec beaucoup de décisions qui nous étaient défavorables, puis l’épisode avec Chakhsi, la goutte qui a fait déborder le vase. J’étais aussi fâché contre l’équipe, car je crois vraiment qu’on pouvait obtenir un résultat positif sur ce match, face à ce FCB-là. » Avec la frustration qui va de pair. «Effectivement, je suis frustré de ne pas avoir pu jouer ces 30 dernières minutes en supériorité numérique. Mon métier, c’est de rendre l’équipe la meilleure possible et, bien sûr, de gagner des matches. Celui-là ne me convient donc pas du tout. »
Laurent Roussey respire, puis: «Dans la grande famille du foot, on a besoin de tout le monde. Comme coach, j’ai le job le plus aléatoire. Je dois pouvoir penser que je suis traité comme les autres, avec la même honnêteté et la même justesse. »
Une qualité insuffisante Même particulières, les circonstances de ce match n’occultent pas les difficultés et les manques du LS. L’entraîneur en convient volontiers. «Nous avions mis en place une équipe pour faire courir les Rhénans, les user, sachant que ça pouvait ensuite tourner dans notre sens. C’est d’ailleurs à peu près ce qui est arrivé. Tant qu’ils ne faisaient pas le break (ndlr: Bâle avait ouvert le score sur penalty après une demi-heure), nous pouvions revenir. Mais nous connaissons encore trop de déchet, qu’il s’agisse des derniers centres, des prises de balle dans la course (allusion à la possibilité échue à Khelifi en fin de match), tout ce qu’on travaille au quotidien. Nous sommes là pour apprendre, bien sûr, d’autant plus que l’équipe est jeune. Mais je trouve qu’il n’y a pas suffisamment de progrès sur cette exigence que les joueurs doivent avoir avec eux-mêmes. Un garçon comme Khelifi symbolise cet état de fait; à mon sens, il n’est plus depuis quelque temps en phase de progression. Plus globalement, l’équipe n’est pas assez orientée sur la perfection et l’efficacité; elle ne vit pas la réalité du haut niveau et de l’investissement que ça demande. J’aimerais qu’on démontre une volonté permanente de faire plus et mieux. »
Mevlja enfin qualifié Plusieurs joueurs sont encore en phase de guérison ou de préparation, tels Coly, Moussilou, Zambrella, Bouazzi ou encore Gabri, revenu d’Espagne et qui va tester son genou récalcitrant ces prochains jours. «Lorsque les éléments plus expérimentés, ceux qui ont davantage de qualités techniques aussi seront là, nous aurons plus de variété et, je l’espère, plus d’efficacité. »
Dans ce contexte fait de patience et d’impatience, une bonne nouvelle est tout de même tombée ces dernières heures, dans l’optique de la venue de Grasshopper, samedi à la Pontaise (19 h 45). Milieu de terrain venu de Slovénie, Miha Mevlja est enfin qualifié et devrait être aligné face aux Zurichois. De quoi réorganiser le milieu de terrain tout en apportant une touche de fraîcheur. En attendant de pouvoir s’occuper plus directement du secteur offensif. Un chantier important, voire décisif, car il faudra bien se mettre à marquer des buts…
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Entraîneur du LS, Laurent Roussey revient sur le match de Bâle et, surtout, sur les progrès qu’il attend de ses joueurs
Samedi soir, à Bâle, il a pris congé de façon abrupte. Fâché, déçu, Laurent Roussey ne souhaitait pas s’épancher. Une défaite de plus, et surtout l’impression d’avoir été lésé par l’arbitrage douteux de M. Hänni. Depuis, Chakhsi – injustement expulsé – a été blanchi(voir 24 heures d’hier). Puis le coach a retrouvé le terrain, hier, et son équipe s’est remise au travail. Le matin à l’entraînement et le soir à Chavannes, à l’occasion d’un match amical face à Azzurri, histoire de donner du temps de jeu à tout le monde. Entre les deux, Roussey est revenu sur les incidents de samedi, sur certains manques et certaines attentes, en espérant un premier résultat positif pour bientôt en championnat.
Un match tronqué «Il y avait une double colère. D’abord celle liée à l’arbitrage, avec beaucoup de décisions qui nous étaient défavorables, puis l’épisode avec Chakhsi, la goutte qui a fait déborder le vase. J’étais aussi fâché contre l’équipe, car je crois vraiment qu’on pouvait obtenir un résultat positif sur ce match, face à ce FCB-là. » Avec la frustration qui va de pair. «Effectivement, je suis frustré de ne pas avoir pu jouer ces 30 dernières minutes en supériorité numérique. Mon métier, c’est de rendre l’équipe la meilleure possible et, bien sûr, de gagner des matches. Celui-là ne me convient donc pas du tout. »
Laurent Roussey respire, puis: «Dans la grande famille du foot, on a besoin de tout le monde. Comme coach, j’ai le job le plus aléatoire. Je dois pouvoir penser que je suis traité comme les autres, avec la même honnêteté et la même justesse. »
Une qualité insuffisante Même particulières, les circonstances de ce match n’occultent pas les difficultés et les manques du LS. L’entraîneur en convient volontiers. «Nous avions mis en place une équipe pour faire courir les Rhénans, les user, sachant que ça pouvait ensuite tourner dans notre sens. C’est d’ailleurs à peu près ce qui est arrivé. Tant qu’ils ne faisaient pas le break (ndlr: Bâle avait ouvert le score sur penalty après une demi-heure), nous pouvions revenir. Mais nous connaissons encore trop de déchet, qu’il s’agisse des derniers centres, des prises de balle dans la course (allusion à la possibilité échue à Khelifi en fin de match), tout ce qu’on travaille au quotidien. Nous sommes là pour apprendre, bien sûr, d’autant plus que l’équipe est jeune. Mais je trouve qu’il n’y a pas suffisamment de progrès sur cette exigence que les joueurs doivent avoir avec eux-mêmes. Un garçon comme Khelifi symbolise cet état de fait; à mon sens, il n’est plus depuis quelque temps en phase de progression. Plus globalement, l’équipe n’est pas assez orientée sur la perfection et l’efficacité; elle ne vit pas la réalité du haut niveau et de l’investissement que ça demande. J’aimerais qu’on démontre une volonté permanente de faire plus et mieux. »
Mevlja enfin qualifié Plusieurs joueurs sont encore en phase de guérison ou de préparation, tels Coly, Moussilou, Zambrella, Bouazzi ou encore Gabri, revenu d’Espagne et qui va tester son genou récalcitrant ces prochains jours. «Lorsque les éléments plus expérimentés, ceux qui ont davantage de qualités techniques aussi seront là, nous aurons plus de variété et, je l’espère, plus d’efficacité. »
Dans ce contexte fait de patience et d’impatience, une bonne nouvelle est tout de même tombée ces dernières heures, dans l’optique de la venue de Grasshopper, samedi à la Pontaise (19 h 45). Milieu de terrain venu de Slovénie, Miha Mevlja est enfin qualifié et devrait être aligné face aux Zurichois. De quoi réorganiser le milieu de terrain tout en apportant une touche de fraîcheur. En attendant de pouvoir s’occuper plus directement du secteur offensif. Un chantier important, voire décisif, car il faudra bien se mettre à marquer des buts…
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/football-fiction-le-grand-jour-est-arrive/
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Article paru aujourd'hui dans Le Matin sur Fickentscher à télécharger : http://pdfcast.org/pdf/kfickentscher
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Content d'avoir de (bonnes) nouvelles de Pierre Hegg, agresse lors d'un voyage dela confrerie du LS en Allemagne.
«J’étais une plante verte, aujourd’hui je ressuscite»
Témoignage Agressé en 2012, l’ancien homme fort du LHC Pierre Hegg était considéré comme perdu. Jusqu’à ce qu’un neurologue banni de la médecine publique ne s’occupe de lui
«Je prendrai un café, s’il vous plaît, Madame. Pouvez-vous aussi m’apporter un cendrier?» Soleil radieux en cette fin d’après-midi d’été sur la terrasse de l’Hôtel Bristol à Montreux. Bonheur visible aussi dans le regard malicieux de l’homme qui vient de passer cette commande en apparence bien banale. Pierre Hegg, les gestes hésitants et les traits encore marqués par la longue épreuve qu’il a traversée, savoure son retour à la vie normale après des mois de souffrance muette.
L’ancien patron haut en couleur et fort en gueule du Lausanne Hockey Club avait été sauvagement agressé l’an passé en Allemagne. «Il parait que j’étais devenu une plante verte. Aujourd’hui, je ressuscite…». De son agression et de son parcours hospitalier, il ne garde aucun souvenir. C’est son épouse, Myriam, qui raconte, la voix chargée d’émotion. «S’il est à nouveau parmi nous, c’est grâce au neurologue Julien Bogousslavsky», souligne-t-elle.
Etat désespéré Un soir de mars 2012, dans une rue de Mönchengladbach, Pierre Hegg et un ami regagnent leur hôtel après être allés boire un verre. Ils sont venus en Rhénanie-du-Nord-Westphalie avec une délégation de la Confrérie du Lausanne-Sport pour assister à un match de Bundesliga entre le Borussia de Lucien Favre et Hoffenheim. Sans raison apparente – on parle d’une histoire de cigarette –, Pierre Hegg est frappé à la tête par un inconnu. Avec une violence telle qu’il tombe, lui qui n’est pourtant pas un gringalet. Son crâne heurte le sol.
Conduit à l’hôpital de Düsseldorf dans un état gravissime, l’homme est victime d’une hémorragie, et y subit une trépanation. «Il est resté presque trois semaines dans le coma, se souvient son épouse, qui avait accouru auprès de lui. Puis il a été décidé de le rapatrier en Suisse, à Genève, par la Rega. Moi, je l’accompagnais, avec dans une glacière un morceau de sa calotte crânienne qui n’avait pas encore été remise en place. » Myriam ne peut s’empêcher de dire sa déception face à l’attitude des autorités suisses dans cette affaire: «Nous avons été totalement livrés à nous-mêmes. J’ai dû tout organiser de la prise en charge de mon mari. »
Son crâne refermé aux HUG à Genève, Pierre Hegg y restera deux mois. «Il n’était plus dans le coma, mais il se trouvait dans un état végétatif. Il restait inerte dans un fauteuil, éveillé, sans parler, sans réaction. Il ne reconnaissait personne, dit sa femme. Pour moi, c’est pire que le coma, car là on peut au moins se dire que la personne va se réveiller un jour. J’aimerais bien me souvenir des noms des gens qui m’ont dit «on va le laisser partir». J’ai d’abord pensé que cela signifiait un départ pour Lausanne, puis quelqu’un m’a soufflé qu’il s’agissait de le laisser mourir plutôt que de rester comme un légume, et que de toute façon il avait signé avec Exit. Ça m’a fait froid dans le dos. »
Après deux mois à Genève, Pierre Hegg est transféré au CHUV, toujours dans le même état. Il est admis aux soins continus. Jusqu’à ce qu’un jour il soit décidé que plus rien ne peut être fait pour lui. On le transfère en rééducation neurologique à l’Hôpital Nestlé, à côté du CHUV. «C’était terrible. On était en plein été. Il faisait très chaud. Parfois, j’arrivais à 10 heures le matin et c’est moi qui devais lui faire sa toilette. Il fallait le nourrir à la cuillère. Il avait des crises d’épilepsie. Il était transporté dans une sorte de hamac pour le conduire à la douche. J’avais l’impression qu’on l’avait abandonné. »
L’idée de Bogousslavsky Myriam Hegg ne baisse pas les bras. Elle ne peut se résoudre à voir son mari passer ainsi le reste de son existence. «J’avais entendu parler du professeur Bogousslavsky. Je l’avais appelé dès le lendemain de l’agression. Je savais qu’il travaillait désormais à la Clinique Valmont. Il m’a demandé de lui envoyer le dossier médical de Pierre. » Elle fait des pieds et des mains pour qu’il soit admis à la clinique: «J’avais l’impression que le CHUV ne voulait pas le lâcher. On lui a fait une ponction lombaire. Son état a empiré. »
Madame Hegg insiste tant que son mari est finalement transféré à Valmont, en octobre. «Le professeur Bogousslavsky a dit qu’il allait faire un essai. Il a conseillé à un de ses confrères du CHUV de poser un drain dans la tête de Pierre afin d’éliminer de l’eau qui comprimait son cerveau. Ce qui fut fait. L’Hôpital Necker à Paris, où j’avais envoyé son dossier, avait préconisé un traitement similaire. »
Une fois le drain mis en place, le patient Hegg est à nouveau transféré à Valmont. Et c’est le miracle. «Un jour, j’arrive, je frappe à la porte de sa chambre comme d’habitude. Pour la première fois, il me dit «Bonjour Myriam. » Il était revenu à la vie. C’était incroyable. Je pensais qu’on ne pouvait voir cela que dans les films!»
Sur la terrasse du Bristol, Pierre Hegg écoute son épouse avec un regard admiratif. «C’est grâce au professeur Bogousslavsky que je suis là, oui, mais c’est d’abord grâce à l’entêtement de mon épouse!» Il est toujours équipé d’un drain. Il va de mieux en mieux, même si la lecture qu’il affectionne tant ne lui est plus aussi facile, en raison de l’ablation, à Düsseldorf, d’une partie d’un lobe du cerveau. «Je tombais sur le côté. J’ai dû réapprendre à marcher. J’utilise encore une canne pour assurer mon équilibre, mais je pourrai bientôt m’en passer. Je vois la vie différemment. J’apprécie davantage les plaisirs simples. »
Un regret quand même, celui de constater combien la foule des amis d’ici s’est clairsemée. «Il ne reste presque plus personne, à part quelques fidèles de toujours. » Les Hegg ont trois enfants, un garçon et deux filles. La vie de famille a gagné en importance. L’aîné attend de pied ferme le procès de l’agresseur de son père (il a été arrêté quelques jours après l’agression) pour lui demander des explications.
L’amertume de Myriam Hegg Myriam Hegg se félicite d’avoir eu l’idée de s’adresser au professeur Bogousslavsky. Mais elle ne peut s’empêcher de déplorer combien la mise à l’écart de ce neurologue est préjudiciable aux malades qui ne sont pas assurés en privé. «Ce médecin qui a su prescrire le bon geste médical devrait pouvoir rester dans un hôpital universitaire. Bien sûr, il a fauté, mais par passion de l’art. Et il a payé pour ses malversations. Il a tout remboursé. Maintenant, on a l’impression que c’est la société qui s’autosanctionne. »
Interpellé sur le reproche d’inefficacité de la prise en charge de Pierre Hegg au CHUV, Darcy Christen, porte-parole de l’institution, s’étonne. «Nous regrettons que Madame Hegg ait ce sentiment. Nous sommes tout à fait ouverts à en parler avec elle si elle le souhaite. Ce n’est vraiment pas dans les habitudes du CHUV de négliger un patient, mais plutôt de tout entreprendre. Tant mieux si les indications du neurologue de Valmont ont permis à son mari de prendre le chemin de la guérison. Il ne faut tout de même pas oublier qu’en médecine, il y a parfois une part de chance dans la réussite d’un traitement plutôt qu’un autre. »
L’épouse de Pierre Hegg n’est pas seule à regretter le bannissement de l’ancien patron de la neurologie du CHUV. De source bien informée, ce départ a créé un vide que l’institution n’est toujours pas parvenue à combler. Et les observateurs s’accordent à dire qu’à l’époque où cette sommité mondiale de la neurologie dirigeait le service, il aurait été impensable de voir Pierre Hegg transféré de Düsseldorf à Genève plutôt qu’à Lausanne.
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Témoignage Agressé en 2012, l’ancien homme fort du LHC Pierre Hegg était considéré comme perdu. Jusqu’à ce qu’un neurologue banni de la médecine publique ne s’occupe de lui
«Je prendrai un café, s’il vous plaît, Madame. Pouvez-vous aussi m’apporter un cendrier?» Soleil radieux en cette fin d’après-midi d’été sur la terrasse de l’Hôtel Bristol à Montreux. Bonheur visible aussi dans le regard malicieux de l’homme qui vient de passer cette commande en apparence bien banale. Pierre Hegg, les gestes hésitants et les traits encore marqués par la longue épreuve qu’il a traversée, savoure son retour à la vie normale après des mois de souffrance muette.
L’ancien patron haut en couleur et fort en gueule du Lausanne Hockey Club avait été sauvagement agressé l’an passé en Allemagne. «Il parait que j’étais devenu une plante verte. Aujourd’hui, je ressuscite…». De son agression et de son parcours hospitalier, il ne garde aucun souvenir. C’est son épouse, Myriam, qui raconte, la voix chargée d’émotion. «S’il est à nouveau parmi nous, c’est grâce au neurologue Julien Bogousslavsky», souligne-t-elle.
Etat désespéré Un soir de mars 2012, dans une rue de Mönchengladbach, Pierre Hegg et un ami regagnent leur hôtel après être allés boire un verre. Ils sont venus en Rhénanie-du-Nord-Westphalie avec une délégation de la Confrérie du Lausanne-Sport pour assister à un match de Bundesliga entre le Borussia de Lucien Favre et Hoffenheim. Sans raison apparente – on parle d’une histoire de cigarette –, Pierre Hegg est frappé à la tête par un inconnu. Avec une violence telle qu’il tombe, lui qui n’est pourtant pas un gringalet. Son crâne heurte le sol.
Conduit à l’hôpital de Düsseldorf dans un état gravissime, l’homme est victime d’une hémorragie, et y subit une trépanation. «Il est resté presque trois semaines dans le coma, se souvient son épouse, qui avait accouru auprès de lui. Puis il a été décidé de le rapatrier en Suisse, à Genève, par la Rega. Moi, je l’accompagnais, avec dans une glacière un morceau de sa calotte crânienne qui n’avait pas encore été remise en place. » Myriam ne peut s’empêcher de dire sa déception face à l’attitude des autorités suisses dans cette affaire: «Nous avons été totalement livrés à nous-mêmes. J’ai dû tout organiser de la prise en charge de mon mari. »
Son crâne refermé aux HUG à Genève, Pierre Hegg y restera deux mois. «Il n’était plus dans le coma, mais il se trouvait dans un état végétatif. Il restait inerte dans un fauteuil, éveillé, sans parler, sans réaction. Il ne reconnaissait personne, dit sa femme. Pour moi, c’est pire que le coma, car là on peut au moins se dire que la personne va se réveiller un jour. J’aimerais bien me souvenir des noms des gens qui m’ont dit «on va le laisser partir». J’ai d’abord pensé que cela signifiait un départ pour Lausanne, puis quelqu’un m’a soufflé qu’il s’agissait de le laisser mourir plutôt que de rester comme un légume, et que de toute façon il avait signé avec Exit. Ça m’a fait froid dans le dos. »
Après deux mois à Genève, Pierre Hegg est transféré au CHUV, toujours dans le même état. Il est admis aux soins continus. Jusqu’à ce qu’un jour il soit décidé que plus rien ne peut être fait pour lui. On le transfère en rééducation neurologique à l’Hôpital Nestlé, à côté du CHUV. «C’était terrible. On était en plein été. Il faisait très chaud. Parfois, j’arrivais à 10 heures le matin et c’est moi qui devais lui faire sa toilette. Il fallait le nourrir à la cuillère. Il avait des crises d’épilepsie. Il était transporté dans une sorte de hamac pour le conduire à la douche. J’avais l’impression qu’on l’avait abandonné. »
L’idée de Bogousslavsky Myriam Hegg ne baisse pas les bras. Elle ne peut se résoudre à voir son mari passer ainsi le reste de son existence. «J’avais entendu parler du professeur Bogousslavsky. Je l’avais appelé dès le lendemain de l’agression. Je savais qu’il travaillait désormais à la Clinique Valmont. Il m’a demandé de lui envoyer le dossier médical de Pierre. » Elle fait des pieds et des mains pour qu’il soit admis à la clinique: «J’avais l’impression que le CHUV ne voulait pas le lâcher. On lui a fait une ponction lombaire. Son état a empiré. »
Madame Hegg insiste tant que son mari est finalement transféré à Valmont, en octobre. «Le professeur Bogousslavsky a dit qu’il allait faire un essai. Il a conseillé à un de ses confrères du CHUV de poser un drain dans la tête de Pierre afin d’éliminer de l’eau qui comprimait son cerveau. Ce qui fut fait. L’Hôpital Necker à Paris, où j’avais envoyé son dossier, avait préconisé un traitement similaire. »
Une fois le drain mis en place, le patient Hegg est à nouveau transféré à Valmont. Et c’est le miracle. «Un jour, j’arrive, je frappe à la porte de sa chambre comme d’habitude. Pour la première fois, il me dit «Bonjour Myriam. » Il était revenu à la vie. C’était incroyable. Je pensais qu’on ne pouvait voir cela que dans les films!»
Sur la terrasse du Bristol, Pierre Hegg écoute son épouse avec un regard admiratif. «C’est grâce au professeur Bogousslavsky que je suis là, oui, mais c’est d’abord grâce à l’entêtement de mon épouse!» Il est toujours équipé d’un drain. Il va de mieux en mieux, même si la lecture qu’il affectionne tant ne lui est plus aussi facile, en raison de l’ablation, à Düsseldorf, d’une partie d’un lobe du cerveau. «Je tombais sur le côté. J’ai dû réapprendre à marcher. J’utilise encore une canne pour assurer mon équilibre, mais je pourrai bientôt m’en passer. Je vois la vie différemment. J’apprécie davantage les plaisirs simples. »
Un regret quand même, celui de constater combien la foule des amis d’ici s’est clairsemée. «Il ne reste presque plus personne, à part quelques fidèles de toujours. » Les Hegg ont trois enfants, un garçon et deux filles. La vie de famille a gagné en importance. L’aîné attend de pied ferme le procès de l’agresseur de son père (il a été arrêté quelques jours après l’agression) pour lui demander des explications.
L’amertume de Myriam Hegg Myriam Hegg se félicite d’avoir eu l’idée de s’adresser au professeur Bogousslavsky. Mais elle ne peut s’empêcher de déplorer combien la mise à l’écart de ce neurologue est préjudiciable aux malades qui ne sont pas assurés en privé. «Ce médecin qui a su prescrire le bon geste médical devrait pouvoir rester dans un hôpital universitaire. Bien sûr, il a fauté, mais par passion de l’art. Et il a payé pour ses malversations. Il a tout remboursé. Maintenant, on a l’impression que c’est la société qui s’autosanctionne. »
Interpellé sur le reproche d’inefficacité de la prise en charge de Pierre Hegg au CHUV, Darcy Christen, porte-parole de l’institution, s’étonne. «Nous regrettons que Madame Hegg ait ce sentiment. Nous sommes tout à fait ouverts à en parler avec elle si elle le souhaite. Ce n’est vraiment pas dans les habitudes du CHUV de négliger un patient, mais plutôt de tout entreprendre. Tant mieux si les indications du neurologue de Valmont ont permis à son mari de prendre le chemin de la guérison. Il ne faut tout de même pas oublier qu’en médecine, il y a parfois une part de chance dans la réussite d’un traitement plutôt qu’un autre. »
L’épouse de Pierre Hegg n’est pas seule à regretter le bannissement de l’ancien patron de la neurologie du CHUV. De source bien informée, ce départ a créé un vide que l’institution n’est toujours pas parvenue à combler. Et les observateurs s’accordent à dire qu’à l’époque où cette sommité mondiale de la neurologie dirigeait le service, il aurait été impensable de voir Pierre Hegg transféré de Düsseldorf à Genève plutôt qu’à Lausanne.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le LS balaie le doute au moment - de recevoir les costauds de GC
Malgré un début de saison difficile, Jérôme Sonnerat et les Lausannois sont persuadés que le premier résultat positif est pour bientôt. Dès ce soir?
Battu à trois reprises consécutives (par Lucerne, YB et Bâle), le Lausanne-Sport connaît une mise en route laborieuse. Même si les circonstances n’ont pas toujours été favorables – on ne reviendra pas ici, par exemple, sur les incidents d’arbitrage qui ont marqué la rencontre disputée au Parc Saint-Jacques –, il ne viendrait à personne l’idée de mettre en doute ce constat. Jérôme Sonnerat refuse pourtant de broyer du noir, assurant qu’il ne manque pas grand-chose à l’équipe pour qu’elle prenne enfin ses premiers points.
A 28 ans, Sonnerat (originaire d’Annecy) entame sa 7e saison sous le maillot bleu et blanc, ce qui en fait le plus fidèle des joueurs, mais aussi un leader légitime du vestiaire. Nous avons donc rencontré le défenseur central avant la venue du redoutable Grasshopper, ce soir à la Pontaise.
A l’aise au LS «Quand on se sent bien dans un club, que la famille est bien installée et que la région vous plaît, pourquoi changer?» Poser la question, c’est semble-t-il y répondre, surtout par les temps qui courent. «Il existe encore d’autres raisons, liées à la sécurité par exemple, notamment celle d’être payé régulièrement. Et puis j’ai connu pas mal de moments forts avec le LS: la promotion, l’aventure en Europa League, la première division… J’ai pu grandir, apprendre. J’ai aussi mes repères dans cette équipe et, surtout, je sens que je progresse chaque année. Le groupe est agréable, on travaille bien ensemble, je ne ressens donc aucune lassitude. Bien sûr, je préférerais gagner des titres chaque année, mais avec Lausanne c’est difficile. Tout comme il est compliqué, pour les dirigeants et pour les joueurs, de se projeter dans le long terme. Nous sommes en phase d’apprentissage et puis il y a, bien sûr, les limites imposées par le budget. Cela dit, cravacher pour obtenir le maintien en Super League, ça donne aussi de belles satisfactions. »
Pas d’inquiétude L’entraîneur l’a dit ouvertement: jusque-là, il est plutôt déçu par la défense, un secteur sur lequel il pensait pouvoir s’appuyer. Or, le LS vient d’encaisser 7 buts en 3 matches. «Pas mal d’erreurs se sont payées cash. On aurait en effet pu se montrer plus solides, plus sereins aussi. La défense n’a pas encore évolué au niveau qui devrait être le sien. »
«Au-delà des défenseurs proprement dits, il faut parler d’un véritable bloc défensif, avec une cohésion et des automatismes à trouver. Lesquels demandent un peu de temps, surtout avec pas mal de nouveaux joueurs et quelques blessés importants. On y travaille; et ça va venir. Je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet. Les matches se jouent souvent sur quelques détails. On a vu la saison passée ce que l’équipe pouvait faire quand elle était au complet. Or, ce n’est pas le cas pour l’instant».
Provoquer la réussite Lorsqu’une équipe n’est momentanément pas en mesure de donner toutes les garanties sur le plan du jeu, elle doit savoir s’en remettre à d’autres valeurs. «Nous devons montrer davantage d’agressivité, être solides, bien en place. »
«Pour Grasshopper, cette rencontre vient entre deux matches de Coupe d’Europe hyperimportants (ndlr: 3e tour qualificatif de Ligue des champions, face à Lyon). Peut-être les Zurichois choisiront-ils de lever un peu le pied en y songeant. A Bâle, le LS était dans le juste par rapport au plan de jeu choisi. On aurait dû revenir à Lausanne avec un nul. On doit maintenant chercher à provoquer la réussite. Et en tout cas ne pas douter, ce qui est vraiment la pire des choses pour un sportif. »
Mvelja et aussi Gabri
Enfin qualifié, le Slovène Mevlja devrait être titularisé à mi-terrain face à Grasshopper. Au chapitre des bonnes nouvelles, Gabri s’est entraîné apparemment sans douleur (genou) et fera partie du groupe retenu par Laurent Roussey. Tout comme le Tunisien Bouazzi. En revanche, Zambrella, Moussilou, Coly et Cruyff manquent encore à l’appel.
«GC est vraiment une très belle équipe, note le coach. Surtout quand on la laisse jouer. Nous devrons donc être réguliers, faire moins d’erreurs et surtout mieux défendre. Et aussi nous montrer créatifs quand nous aurons la balle. En mettant de l’intensité, de la densité et de la vitesse. » Un très joli programme, vraiment!
www.24heures.ch/
Malgré un début de saison difficile, Jérôme Sonnerat et les Lausannois sont persuadés que le premier résultat positif est pour bientôt. Dès ce soir?
Battu à trois reprises consécutives (par Lucerne, YB et Bâle), le Lausanne-Sport connaît une mise en route laborieuse. Même si les circonstances n’ont pas toujours été favorables – on ne reviendra pas ici, par exemple, sur les incidents d’arbitrage qui ont marqué la rencontre disputée au Parc Saint-Jacques –, il ne viendrait à personne l’idée de mettre en doute ce constat. Jérôme Sonnerat refuse pourtant de broyer du noir, assurant qu’il ne manque pas grand-chose à l’équipe pour qu’elle prenne enfin ses premiers points.
A 28 ans, Sonnerat (originaire d’Annecy) entame sa 7e saison sous le maillot bleu et blanc, ce qui en fait le plus fidèle des joueurs, mais aussi un leader légitime du vestiaire. Nous avons donc rencontré le défenseur central avant la venue du redoutable Grasshopper, ce soir à la Pontaise.
A l’aise au LS «Quand on se sent bien dans un club, que la famille est bien installée et que la région vous plaît, pourquoi changer?» Poser la question, c’est semble-t-il y répondre, surtout par les temps qui courent. «Il existe encore d’autres raisons, liées à la sécurité par exemple, notamment celle d’être payé régulièrement. Et puis j’ai connu pas mal de moments forts avec le LS: la promotion, l’aventure en Europa League, la première division… J’ai pu grandir, apprendre. J’ai aussi mes repères dans cette équipe et, surtout, je sens que je progresse chaque année. Le groupe est agréable, on travaille bien ensemble, je ne ressens donc aucune lassitude. Bien sûr, je préférerais gagner des titres chaque année, mais avec Lausanne c’est difficile. Tout comme il est compliqué, pour les dirigeants et pour les joueurs, de se projeter dans le long terme. Nous sommes en phase d’apprentissage et puis il y a, bien sûr, les limites imposées par le budget. Cela dit, cravacher pour obtenir le maintien en Super League, ça donne aussi de belles satisfactions. »
Pas d’inquiétude L’entraîneur l’a dit ouvertement: jusque-là, il est plutôt déçu par la défense, un secteur sur lequel il pensait pouvoir s’appuyer. Or, le LS vient d’encaisser 7 buts en 3 matches. «Pas mal d’erreurs se sont payées cash. On aurait en effet pu se montrer plus solides, plus sereins aussi. La défense n’a pas encore évolué au niveau qui devrait être le sien. »
«Au-delà des défenseurs proprement dits, il faut parler d’un véritable bloc défensif, avec une cohésion et des automatismes à trouver. Lesquels demandent un peu de temps, surtout avec pas mal de nouveaux joueurs et quelques blessés importants. On y travaille; et ça va venir. Je n’ai pas d’inquiétude à ce sujet. Les matches se jouent souvent sur quelques détails. On a vu la saison passée ce que l’équipe pouvait faire quand elle était au complet. Or, ce n’est pas le cas pour l’instant».
Provoquer la réussite Lorsqu’une équipe n’est momentanément pas en mesure de donner toutes les garanties sur le plan du jeu, elle doit savoir s’en remettre à d’autres valeurs. «Nous devons montrer davantage d’agressivité, être solides, bien en place. »
«Pour Grasshopper, cette rencontre vient entre deux matches de Coupe d’Europe hyperimportants (ndlr: 3e tour qualificatif de Ligue des champions, face à Lyon). Peut-être les Zurichois choisiront-ils de lever un peu le pied en y songeant. A Bâle, le LS était dans le juste par rapport au plan de jeu choisi. On aurait dû revenir à Lausanne avec un nul. On doit maintenant chercher à provoquer la réussite. Et en tout cas ne pas douter, ce qui est vraiment la pire des choses pour un sportif. »
Mvelja et aussi Gabri
Enfin qualifié, le Slovène Mevlja devrait être titularisé à mi-terrain face à Grasshopper. Au chapitre des bonnes nouvelles, Gabri s’est entraîné apparemment sans douleur (genou) et fera partie du groupe retenu par Laurent Roussey. Tout comme le Tunisien Bouazzi. En revanche, Zambrella, Moussilou, Coly et Cruyff manquent encore à l’appel.
«GC est vraiment une très belle équipe, note le coach. Surtout quand on la laisse jouer. Nous devrons donc être réguliers, faire moins d’erreurs et surtout mieux défendre. Et aussi nous montrer créatifs quand nous aurons la balle. En mettant de l’intensité, de la densité et de la vitesse. » Un très joli programme, vraiment!
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Le Matin Dimanche du jour :
Le LS prouve qu’il peut exister par lui-même
Les joueurs de la Pontaise ont su accrocher GC pour – enfin – lancer leur saison. Le match qu’ils ont livré hier soir est riche de promesses.
Marqué par trois revers et autant de désillusions, le début de championnat raté du LS n’avait pas permis de lever les doutes liés à son exact potentiel ni de montrer ce dont il était capable. Et surtout s’il possédait les moyens de faire taire les sceptiques le désignant déjà comme le favori à la culbute. Intervenue à la quatrième tentative, la réponse apportée par les hommes de Laurent Roussey fut aussi séduisante qu’éloquente, balayant une partie des interrogations que l’on pouvait légitimement se poser. Oui, ce LS-là, fêtant hier son premier point de la saison en faisant jeu égal avec GC, possède une intelligence de jeu tactique lui permettant d’accrocher les cadors. Voilà de quoi apaiser quelque peu les inquiétudes d’Alain Joseph, dont les premières semaines présidentielles avaient jusque-là provoqué plus de questions qu’elles n’avaient su amener de réponses.
Le point de la solidarité
A défaut de goûter à la saveur d’une première victoire qui aurait pu se dessiner lorsqu’un essai d’Ekeng frôla la lucarne (avant que le même Ekeng oublie de lâcher son ballon lors d’un ultime contre qui arracha des regrets à son coach), Lausanne se contentera d’un point illustrant son exemplaire solidarité, sachant qu’il aurait aussi pu perdre lors de l’interminable prolongation de cinq minutes, accordée en raison des fréquentes «pause boisson». Hier soir, la courageuse partition rendue par les Vaudois valut surtout par l’état d’esprit affiché, n’occultant pas toujours une cohésion encore lacunaire. «On est allé chercher ce point mentalement. On était là les uns pour les autres», résumera Meoli. Ne pas encaisser de but, c’est déjà une victoire pour le LS.
Alors que GC avait logiquement choisi de faire tourner son effectif en prévision de son rendez-vous en Ligue des champions, le retour du capitaine Gabri associé à l’intéressant Mevlja au cœur du jeu offrit des solutions aux Lausannois. A la timide mainmise orchestrée par le visiteur dès le coup d’envoi, matérialisé par des frappes lointaines et un essai du slalomeur Ben Khalifa dans le temps additionnel, l’hôte répondit par Ekeng – mais celui-ci, en servant un partenaire moins bien placé que lui, privilégia la mauvaise option (16e) –, puis un essai travaillé de Khelifi qui devait faire transpirer Bürki, le ballon lui échappant pour rouler en corner. Tafer eut aussi de quoi croire au bonheur.
Après avoir rendu en première période une copie correcte face à un ensemble zurichois drôlement remanié, Lausanne allait ensuite devoir faire face au meilleur de GC; arrivé lorsque Skibbe se résolut à lancer ses stars. Un dangereux duo Gashi-Hajrovic que les défenseurs réussirent à contrôler sans trop trembler. Si LS tint parfaitement le choc dans ses propres seize mètres, sa prestation offensive se révéla autrement plus insipide. Hormis le poids des absents, c’est son peu d’implication et de punch athlétique que l’on regrettera. D’où plusieurs excellents ballons de contres que LS négocia mal. «On n’a pas pris de but, se réjouissait Roussey. Dans notre situation, c’est déjà bien. Mais j’aurais souhaité que l’on aille davantage au bout de nos intentions.» C’est en dispensant ce supplément offensif que Lausanne devra aller confirmer ses intentions à St-Gall. Une perspective facilitée par le retour programmé de Moussilou, dont l’explosivité ne pourra que faire du bien. Peut-être même contribuer à marquer des buts.
Nicolas Jacquier
Le LS prouve qu’il peut exister par lui-même
Les joueurs de la Pontaise ont su accrocher GC pour – enfin – lancer leur saison. Le match qu’ils ont livré hier soir est riche de promesses.
Marqué par trois revers et autant de désillusions, le début de championnat raté du LS n’avait pas permis de lever les doutes liés à son exact potentiel ni de montrer ce dont il était capable. Et surtout s’il possédait les moyens de faire taire les sceptiques le désignant déjà comme le favori à la culbute. Intervenue à la quatrième tentative, la réponse apportée par les hommes de Laurent Roussey fut aussi séduisante qu’éloquente, balayant une partie des interrogations que l’on pouvait légitimement se poser. Oui, ce LS-là, fêtant hier son premier point de la saison en faisant jeu égal avec GC, possède une intelligence de jeu tactique lui permettant d’accrocher les cadors. Voilà de quoi apaiser quelque peu les inquiétudes d’Alain Joseph, dont les premières semaines présidentielles avaient jusque-là provoqué plus de questions qu’elles n’avaient su amener de réponses.
Le point de la solidarité
A défaut de goûter à la saveur d’une première victoire qui aurait pu se dessiner lorsqu’un essai d’Ekeng frôla la lucarne (avant que le même Ekeng oublie de lâcher son ballon lors d’un ultime contre qui arracha des regrets à son coach), Lausanne se contentera d’un point illustrant son exemplaire solidarité, sachant qu’il aurait aussi pu perdre lors de l’interminable prolongation de cinq minutes, accordée en raison des fréquentes «pause boisson». Hier soir, la courageuse partition rendue par les Vaudois valut surtout par l’état d’esprit affiché, n’occultant pas toujours une cohésion encore lacunaire. «On est allé chercher ce point mentalement. On était là les uns pour les autres», résumera Meoli. Ne pas encaisser de but, c’est déjà une victoire pour le LS.
Alors que GC avait logiquement choisi de faire tourner son effectif en prévision de son rendez-vous en Ligue des champions, le retour du capitaine Gabri associé à l’intéressant Mevlja au cœur du jeu offrit des solutions aux Lausannois. A la timide mainmise orchestrée par le visiteur dès le coup d’envoi, matérialisé par des frappes lointaines et un essai du slalomeur Ben Khalifa dans le temps additionnel, l’hôte répondit par Ekeng – mais celui-ci, en servant un partenaire moins bien placé que lui, privilégia la mauvaise option (16e) –, puis un essai travaillé de Khelifi qui devait faire transpirer Bürki, le ballon lui échappant pour rouler en corner. Tafer eut aussi de quoi croire au bonheur.
Après avoir rendu en première période une copie correcte face à un ensemble zurichois drôlement remanié, Lausanne allait ensuite devoir faire face au meilleur de GC; arrivé lorsque Skibbe se résolut à lancer ses stars. Un dangereux duo Gashi-Hajrovic que les défenseurs réussirent à contrôler sans trop trembler. Si LS tint parfaitement le choc dans ses propres seize mètres, sa prestation offensive se révéla autrement plus insipide. Hormis le poids des absents, c’est son peu d’implication et de punch athlétique que l’on regrettera. D’où plusieurs excellents ballons de contres que LS négocia mal. «On n’a pas pris de but, se réjouissait Roussey. Dans notre situation, c’est déjà bien. Mais j’aurais souhaité que l’on aille davantage au bout de nos intentions.» C’est en dispensant ce supplément offensif que Lausanne devra aller confirmer ses intentions à St-Gall. Une perspective facilitée par le retour programmé de Moussilou, dont l’explosivité ne pourra que faire du bien. Peut-être même contribuer à marquer des buts.
Nicolas Jacquier
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Article du 24Heures.ch et article du 20minutes.ch
Invité- Invité
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/ramadan-c-difficile/story/28043225
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Pour le LS, quelques regrets mais aussi d’intéressantes perspectives
Lausanne a su tenir tête à GC. Avec une bonne performance de Mevlja et Gabri en ligne médiane. Prochaine étape, la victoire
L’histoire d’un 0-0 peut être assez riche. C’est le cas de ce LS - Grasshopper, d’un point de vue lausannois en tout cas. Pour les progrès entrevus, la bonne tenue générale de l’équipe, mais aussi parce que cette rencontre donne une idée de ce qui reste à améliorer pour aller chercher une première victoire cette saison. «On a su contrecarrer Grasshopper, qui nous est supérieur, sans prendre de buts et c’est une bonne chose, fait remarquer Laurent Roussey. Mais on peut avoir des regrets sur quelques situations où il nous a manqué la précision nécessaire. Il reste aussi pas mal à faire en termes de cohésion, de complicité, de complémentarité. » Autant de termes qui renvoient à la présence de nouveaux joueurs et d’une équipe toujours en phase de construction.
Ainsi, Mevlja a livré samedi son premier match sous le maillot bleu et blanc. Le longiligne milieu de terrain a fait preuve de sobriété tout en démontrant son goût pour le jeu vers l’avant. Avec Gabri - dont c’était le retour - et Ekeng, le Slovène forme un trio capable de stabiliser le milieu de terrain et de mettre de la vie dans le jeu du LS. «C’était un plaisir de disputer ce premier match, note Mevlja», tout sourire malgré les crampes dont il a souffert dans les dernières minutes.
Gabri épatant Mais le plus épatant a sans doute été Gabri, pour sa première apparition de l’exercice 2013-2014, après avoir, espère-t-on, écarté quelques soucis de genou. Avec l’énergie et l’envie d’un jeune homme, le Catalan a apporté toute l’expérience de ses 34 ans. «J’ose espérer que les jeunes sauront s’en inspirer. Gabri, c’est la classe», lâche un Roussey admiratif.
Mais si la défense retrouve une certaine imperméabilité, si le jeu prend forme à mi-terrain avec d’intéressantes perspectives, il reste sans doute à trouver une animation et une efficacité dignes de ce nom sur les postes offensifs. C’est le plus gros chantier du LS, sachant que les absences de Coly et de Moussilou, voire de Zambrella, freinent pour l’instant cet objectif. Pour Lavanchy et Khelifi - qui avait débuté dans l’axe, en soutien de Tafer, avant de revenir sur le côté -, il y avait samedi un défi athlétique qui a semble-t-il limité leurs ardeurs. En pointe, Tafer a connu de bonnes séquences, sans parvenir à terminer ses actions. Kadusi et Bouazzi, apparus en seconde période, laissent entrevoir des qualités sans parvenir encore à les exprimer pleinement. Ce qui donne, au final, l’impression d’une équipe encore largement perfectible.
«Nous dépensons beaucoup d’énergie pour l’instant. Il faut que nous ayons une exigence accrue dans le mouvement ou la dernière passe. Il faut aussi que certains joueurs - je pense à Bouazzi ou à Kadusi par exemple - prennent une dimension athlétique supérieure», constate Laurent Roussey.
Peu d’occasions Dans une autre dynamique que celle du LS, avec d’autres ambitions bien sûr, Grasshopper a livré le genre de match qu’on pouvait attendre entre deux rendez-vous européens importants. Défaits quatre jours plus tôt à Lyon (1-0), malgré un très bon match, les Zurichois conservent toutes leurs chances (3e tour qualificatif de la Ligue des champions) pour le retour, demain au Letzi.
Michael Skibbe a donc laissé au repos certains titulaires, comme Hajrovic, Gashi, Toko ou encore Anatole. Mais le visiteur, si l’on excepte les toutes dernières minutes de la partie, n’a jamais pris l’ascendant sur son hôte. Ce qui a donné un match intéressant mais sans grosses possibilités devant le but.
Reste que ce premier point du LS est le bienvenu. «Pour le moral de tout le monde, dans le club, ce résultat est important, estime Chakhsi. Surtout obtenu contre la très belle équipe de GC. » Depuis plusieurs semaines, le défenseur marocain souffre particulièrement de la chaleur. Et pour cause: «Pour moi, il est difficile de jouer sans boire ni manger. Mais le ramadan se termine dans cinq jours. » Dimanche, suite logique, le LS se déplacera à Saint-Gall avec l’idée d’une première victoire.
Lausanne - Grasshopper 0-0La Pontaise. 4900 spectateurs.Arbitre:M. San.Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, Sonnerat, Meoli; Mevlja (85e Facchinetti), Gabri; Ekeng, Khelifi (73e Bouazzi), Lavanchy (56e Kadusi); Tafer.Grasshopper:Bürki; Michael Lang, Vilotic, Grichting, Bauer; Abrashi, Salatic; Feltscher (59e Hajrovic), Caio (83e Toko), Vonlanthen (59e Gashi); Ben Khalifa.Notes:Lausanne sans Coly, De Pierro, Moussilou ni Zambrella (blessés). GC sans Pavlovic (blessé).Avertissement:9e Katz.
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Lausanne a su tenir tête à GC. Avec une bonne performance de Mevlja et Gabri en ligne médiane. Prochaine étape, la victoire
L’histoire d’un 0-0 peut être assez riche. C’est le cas de ce LS - Grasshopper, d’un point de vue lausannois en tout cas. Pour les progrès entrevus, la bonne tenue générale de l’équipe, mais aussi parce que cette rencontre donne une idée de ce qui reste à améliorer pour aller chercher une première victoire cette saison. «On a su contrecarrer Grasshopper, qui nous est supérieur, sans prendre de buts et c’est une bonne chose, fait remarquer Laurent Roussey. Mais on peut avoir des regrets sur quelques situations où il nous a manqué la précision nécessaire. Il reste aussi pas mal à faire en termes de cohésion, de complicité, de complémentarité. » Autant de termes qui renvoient à la présence de nouveaux joueurs et d’une équipe toujours en phase de construction.
Ainsi, Mevlja a livré samedi son premier match sous le maillot bleu et blanc. Le longiligne milieu de terrain a fait preuve de sobriété tout en démontrant son goût pour le jeu vers l’avant. Avec Gabri - dont c’était le retour - et Ekeng, le Slovène forme un trio capable de stabiliser le milieu de terrain et de mettre de la vie dans le jeu du LS. «C’était un plaisir de disputer ce premier match, note Mevlja», tout sourire malgré les crampes dont il a souffert dans les dernières minutes.
Gabri épatant Mais le plus épatant a sans doute été Gabri, pour sa première apparition de l’exercice 2013-2014, après avoir, espère-t-on, écarté quelques soucis de genou. Avec l’énergie et l’envie d’un jeune homme, le Catalan a apporté toute l’expérience de ses 34 ans. «J’ose espérer que les jeunes sauront s’en inspirer. Gabri, c’est la classe», lâche un Roussey admiratif.
Mais si la défense retrouve une certaine imperméabilité, si le jeu prend forme à mi-terrain avec d’intéressantes perspectives, il reste sans doute à trouver une animation et une efficacité dignes de ce nom sur les postes offensifs. C’est le plus gros chantier du LS, sachant que les absences de Coly et de Moussilou, voire de Zambrella, freinent pour l’instant cet objectif. Pour Lavanchy et Khelifi - qui avait débuté dans l’axe, en soutien de Tafer, avant de revenir sur le côté -, il y avait samedi un défi athlétique qui a semble-t-il limité leurs ardeurs. En pointe, Tafer a connu de bonnes séquences, sans parvenir à terminer ses actions. Kadusi et Bouazzi, apparus en seconde période, laissent entrevoir des qualités sans parvenir encore à les exprimer pleinement. Ce qui donne, au final, l’impression d’une équipe encore largement perfectible.
«Nous dépensons beaucoup d’énergie pour l’instant. Il faut que nous ayons une exigence accrue dans le mouvement ou la dernière passe. Il faut aussi que certains joueurs - je pense à Bouazzi ou à Kadusi par exemple - prennent une dimension athlétique supérieure», constate Laurent Roussey.
Peu d’occasions Dans une autre dynamique que celle du LS, avec d’autres ambitions bien sûr, Grasshopper a livré le genre de match qu’on pouvait attendre entre deux rendez-vous européens importants. Défaits quatre jours plus tôt à Lyon (1-0), malgré un très bon match, les Zurichois conservent toutes leurs chances (3e tour qualificatif de la Ligue des champions) pour le retour, demain au Letzi.
Michael Skibbe a donc laissé au repos certains titulaires, comme Hajrovic, Gashi, Toko ou encore Anatole. Mais le visiteur, si l’on excepte les toutes dernières minutes de la partie, n’a jamais pris l’ascendant sur son hôte. Ce qui a donné un match intéressant mais sans grosses possibilités devant le but.
Reste que ce premier point du LS est le bienvenu. «Pour le moral de tout le monde, dans le club, ce résultat est important, estime Chakhsi. Surtout obtenu contre la très belle équipe de GC. » Depuis plusieurs semaines, le défenseur marocain souffre particulièrement de la chaleur. Et pour cause: «Pour moi, il est difficile de jouer sans boire ni manger. Mais le ramadan se termine dans cinq jours. » Dimanche, suite logique, le LS se déplacera à Saint-Gall avec l’idée d’une première victoire.
Lausanne - Grasshopper 0-0La Pontaise. 4900 spectateurs.Arbitre:M. San.Lausanne:Fickentscher; Chakhsi, Katz, Sonnerat, Meoli; Mevlja (85e Facchinetti), Gabri; Ekeng, Khelifi (73e Bouazzi), Lavanchy (56e Kadusi); Tafer.Grasshopper:Bürki; Michael Lang, Vilotic, Grichting, Bauer; Abrashi, Salatic; Feltscher (59e Hajrovic), Caio (83e Toko), Vonlanthen (59e Gashi); Ben Khalifa.Notes:Lausanne sans Coly, De Pierro, Moussilou ni Zambrella (blessés). GC sans Pavlovic (blessé).Avertissement:9e Katz.
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.lematin.ch/sports/football/jocelyn-roux-s-entraine-servette-fc/story/21750673
PatoCojo- Date d'inscription : 21/02/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/pas-de-goal-pour-commencer/
Shogun- Date d'inscription : 21/06/2011
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.cartonrouge.ch/actualite/le-fc-wil-et-anthony-favre-pourraient-bien-vivre-une-tres-belle-saison/
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
http://www.20min.ch/ro/sports/football/story/-Le-Lausanne-Sport---c-est-mon-club--ma-vie--14439723
dadniny- Date d'inscription : 20/09/2012
Re: Les articles de presse (pas de commentaire !)
Gabri, la voie à suivre en termes - de justesse et d’engagement
Le retour au jeu du milieu de terrain espagnol a bonifié le LS. Confirmation attendue dimanche à Saint-Gall
A l’exception de sa défense, le LS ressemble, aujourd’hui encore, à un chantier à ciel ouvert. Autrement dit une équipe qui n’a pas encore pu – du moins l’espère-t-on – s’exprimer pleinement. Plusieurs titulaires potentiels sont en effet toujours indisponibles (Coly, Zambrella) ou alors viennent d’entrer en jeu, tels Mevlja ou encore Gabri. Samedi dernier, face à Grasshopper, l’Espagnol a d’ailleurs fait un match épatant pour sa première apparition de la saison, après plusieurs semaines d’un traitement conservateur pour un genou douloureux (ménisque). Sa présence à mi-terrain a stabilisé l’équipe. Elle a aussi donné une idée de ce qu’on peut faire de bien en termes de justesse (technique ou tactique) ou d’engagement. A 34 ans, Gabri ainsi demeure un joueur-clé pour le LS.
«On a effectivement vu ce qu’il représentait pour nous», acquiesce Laurent Roussey. Avec un jeu qui est rarement spectaculaire, mais un vécu de footballeur de haut niveau qu’on perçoit dans chacune de ses interventions. «C’est surtout dans le jeu de passes que sa présence est précieuse, souligne le coach lausannois. Avec lui, on peut tenir le ballon, le sortir correctement. Parce qu’il est sûr de sa technique, sait s’orienter et joue simplement. » Reste encore à trouver, bien sûr, les bonnes complémentarités et une animation optimale, notamment sur les côtés, de façon à donner à l’équipe davantage de poids sur le plan offensif.
Modeste, le capitaine du LS accepte l’importance de son rôle, tout en la relativisant. «La bonne attitude, tu l’as ou tu ne l’as pas. Je ne crois pas que l’âge y fasse grand-chose. Cela dit, je me sens bien dans cette équipe et j’aime le rôle qui m’est confié. L’entraîneur m’accorde une large confiance que j’ai simplement envie de retourner. »
Le dernier geste Samedi, il a joué l’intégralité de la rencontre, ce qui n’était pas forcément prévu. Cette semaine, il a limité ses apparitions à l’entraînement, portant une attention accrue à la récupération. «J’ai bien sûr un peu de retard au niveau physique, reconnaît l’Espagnol. J’ai d’ailleurs terminé le match avec une petite contracture. Mais j’espère être en mesure de tenir ma place à Saint-Gall. Jusque-là, le calendrier nous a proposé les grosses équipes du championnat, comme YB, Bâle ou GC. Les matches qui viennent, avec des adversaires plus proches de nous, seront très importants. »
A l’AFG Arena, Lausanne tentera de confirmer les progrès entrevus et, surtout, d’obtenir ce premier succès si important dans une saison. «Nous avons utilisé la vidéo pour montrer à l’équipe ce qui était bien dans le jeu, note Laurent Roussey. On s’aperçoit que, jusqu’à 30 mètres du but adverse, on a tout ce qu’il faut pour se mettre en bonne situation. Après, on pèche sur la dernière passe, le dernier contrôle, le dernier enchaînement. On y travaille donc, mais c’est ce qu’il y a de plus difficile à maîtriser. »
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Moussilou de retour et Cruyff avec les M21
Le retour au jeu du milieu de terrain espagnol a bonifié le LS. Confirmation attendue dimanche à Saint-Gall
A l’exception de sa défense, le LS ressemble, aujourd’hui encore, à un chantier à ciel ouvert. Autrement dit une équipe qui n’a pas encore pu – du moins l’espère-t-on – s’exprimer pleinement. Plusieurs titulaires potentiels sont en effet toujours indisponibles (Coly, Zambrella) ou alors viennent d’entrer en jeu, tels Mevlja ou encore Gabri. Samedi dernier, face à Grasshopper, l’Espagnol a d’ailleurs fait un match épatant pour sa première apparition de la saison, après plusieurs semaines d’un traitement conservateur pour un genou douloureux (ménisque). Sa présence à mi-terrain a stabilisé l’équipe. Elle a aussi donné une idée de ce qu’on peut faire de bien en termes de justesse (technique ou tactique) ou d’engagement. A 34 ans, Gabri ainsi demeure un joueur-clé pour le LS.
«On a effectivement vu ce qu’il représentait pour nous», acquiesce Laurent Roussey. Avec un jeu qui est rarement spectaculaire, mais un vécu de footballeur de haut niveau qu’on perçoit dans chacune de ses interventions. «C’est surtout dans le jeu de passes que sa présence est précieuse, souligne le coach lausannois. Avec lui, on peut tenir le ballon, le sortir correctement. Parce qu’il est sûr de sa technique, sait s’orienter et joue simplement. » Reste encore à trouver, bien sûr, les bonnes complémentarités et une animation optimale, notamment sur les côtés, de façon à donner à l’équipe davantage de poids sur le plan offensif.
Modeste, le capitaine du LS accepte l’importance de son rôle, tout en la relativisant. «La bonne attitude, tu l’as ou tu ne l’as pas. Je ne crois pas que l’âge y fasse grand-chose. Cela dit, je me sens bien dans cette équipe et j’aime le rôle qui m’est confié. L’entraîneur m’accorde une large confiance que j’ai simplement envie de retourner. »
Le dernier geste Samedi, il a joué l’intégralité de la rencontre, ce qui n’était pas forcément prévu. Cette semaine, il a limité ses apparitions à l’entraînement, portant une attention accrue à la récupération. «J’ai bien sûr un peu de retard au niveau physique, reconnaît l’Espagnol. J’ai d’ailleurs terminé le match avec une petite contracture. Mais j’espère être en mesure de tenir ma place à Saint-Gall. Jusque-là, le calendrier nous a proposé les grosses équipes du championnat, comme YB, Bâle ou GC. Les matches qui viennent, avec des adversaires plus proches de nous, seront très importants. »
A l’AFG Arena, Lausanne tentera de confirmer les progrès entrevus et, surtout, d’obtenir ce premier succès si important dans une saison. «Nous avons utilisé la vidéo pour montrer à l’équipe ce qui était bien dans le jeu, note Laurent Roussey. On s’aperçoit que, jusqu’à 30 mètres du but adverse, on a tout ce qu’il faut pour se mettre en bonne situation. Après, on pèche sur la dernière passe, le dernier contrôle, le dernier enchaînement. On y travaille donc, mais c’est ce qu’il y a de plus difficile à maîtriser. »
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Moussilou de retour et Cruyff avec les M21
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
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