News d'anciens lausannois

Whaw ! Comment a-t-on pu lui proposer un tel salaire ?

Super League

Réunis au Tessin, deux Vaudois font le bonheur du FC Lugano
Numa Lavanchy etOlivier Custodio, qui ont grandi ensemble au Lausanne-Sport, font partie des joueurs clés du surprenant leader.

Les parcours de Numa Lavanchy (27ans) et d’Olivier Custodio (25ans) se sont souvent croisés, des M18 du Team Vaud à la première équipe du Lausanne-Sport. L’histoire commune de ces deux potes leur a permis de vivre ensemble l’ivresse d’une double ascension: celle en 1religue avec le Team Vaud M21 en 2014 puis une autre avec le LS deux ans plus tard dans l’élite suisse. Le hasard du foot les a réunis au bord d’un autre lac, à Lugano, club qui caracole en tête de la Super League pour la première fois depuis dix-neuf ans. Et qui n’a plus perdu depuis quatorze rencontres. Des retrouvailles aussi un peu provoquées par un certain Fabio Celestini, leur ancien mentor lausannois.

«À la base, Lugano n’est pas forcément le club qui fait le plus rêver, j’en suis conscient, lâche sans détour Numa Lavanchy. Mais quand Fabio (ndlr: Celestini) m’a écrit pour me dire qu’il cherchait un joueur évoluant dans ma position, je n’ai pas hésité longtemps. Le fait que GC m’ait laissé partir pour un concurrent direct dans la lutte contre la relégation prouve que le club zurichois ne comptait plus trop sur moi. Aujourd’hui, je pense que cela a été l’un des meilleurs choix de ma carrière!» Arrivé au Tessin en février 2019, le latéral de Grandvaux s’est qualifié pour l’Europa League avec Lugano, pendant que son ancien club culbutait en Challenge League.

Forteresse imprenable

Capitaine pendant deux saisons sous la direction de Celestini au LS, Olivier Custodio a rejoint le navire tessinois en juillet 2019, après deux années mouvementées à Lucerne, entre blessures et changements d’entraîneurs. Mais trois mois seulement après l’arrivée du natif de Montreux au Tessin, Fabio Celestini a pris la porte suite à une spirale de résultats négatifs. «Le nouveau coach (ndlr: Maurizio Jacobacci) a eu l’intelligence de ne pas tout révolutionner et de garder les bases amenées par Celestini, explique Olivier Custodio. Il laisse beaucoup de liberté à ses joueurs mais est intransigeant sur la rigueur défensive. Notre stade du Cornaredo est devenu une forteresse imprenable. Ici, on ne se pose pas 36’000questions: il faut surtout éviter d’encaisser des buts.»

À Lugano, le noyau dur de l’équipe est le même depuis plusieurs saisons et repose sur de vieux briscards, tels que Sabbatini (32ans), Maric (36ans) ou Gerndt (34ans). Cela lui vaut la moyenne d’âge la plus élevée de Super League (27,7ans). «Nous ne sommes pas une équipe magnifique ni spectaculaire à voir jouer, mais nous sommes terriblement efficaces collectivement, résume Numa Lavanchy. Peut-être aussi que la stabilité de notre groupe et son expérience nous permettent de gérer plus facilement cette période d’incertitudes, avec ces matches reportés et ces quarantaines.»

Excellente mentalité

Les deux anciens juniors du LS font partie des joueurs clés dans le onze du Lugano de Jacobacci et se sont parfaitement intégrés dans le club tessinois. La polyvalence du milieu défensif Custodio, qui évolue parfois en défense, et la solidité du latéral Lavanchy collent parfaitement à la philosophie de jeu de leur coach. «La mentalité dans l’équipe est excellente et j’ai parfois l’impression de retrouver l’ambiance du vestiaire du Lausanne-Sport à l’époque de notre promotion avec «Oli», ajoute Numa Lavanchy. À la différence que nous étions une bande de jeunes qui pour la plupart vivaient leur première véritable saison en Challenge League.»

Le latéral qui a tapé ses premiers ballons au FCVignoble - «dans le plus beau stade d’Europe situé en pleines vignes du Lavaux» - a pris trois mois de cours intensifs d’italien pour favoriser son insertion au Tessin. «En fait, le seul inconvénient, c’est d’être à l’autre bout de la Suisse et éloigné de ses proches, sourit Numa Lavanchy. Mais le soleil est un argument pour les attirer ici. Et la mentalité de la ville ressemble plus à celle de Lausanne que Zurich.»

Lavanchy et Custodio, qui partagent une chambre lors des déplacements de leur club, sont des joueurs accomplis au Tessin. Et ils ne demandent qu’à poursuivre leur belle série d’invincibilité. «Mais honnêtement, ce n’est pas un sujet de discussion pour nous, précise le latéral vaudois. On garde les pieds sur terre car seulement six matches ont été disputés et tout va très vite. La situation actuelle nous apporte un peu de sérénité. Ce serait idéal de pouvoir vivre une saison sans devoir compter les points qui nous séparent de la relégation et plutôt regarder vers le haut du tableau.» Sans prétendre au titre, les deux Vaudois qui ont trouvé le bonheur au Tessin sont en tout cas prêts à poursuivre leur belle aventure.

Quel plaisir cela a fait de revoir les anciens Frank Verlaat - que je n'aurais jamais reconnu - et Bertine Barberis surtout - toujours les mêmes tchatche et façon de parler ;-) - sur le site Internet dédié à la Pontaise !

P... Mais pourquoi Bertine s'était-il arrêter d'entraîner aussi vite . Un gars avec son franc-parler manque tellement à l'heure des discours ultra-stéréotypés. J'adorais sa manière de remettre les incompétents de journalistes en place . Bertine. Rajeunis et reviens ! Tu nous manque horriblement...

Super plaisir de revoir ces joueurs, et comme toi, particulièrement pour Barberis.

Bertine, que j'ai eu l'occasion de côtoyer également en-dehors du football au travers de mon amitié avec son fils, restera pour de nombreux supporters du LS celui qui aura permis au club de retrouver un "coup de jeune", un nouveau souffle. En tous les cas, lors de son premier et magnifique passage.

Je l'écouterais des heures parler de football. Il le sent, le vit, le comprend. Il l'aime et ça se sent. Sa passion est communicative.

Il n'a pas toujours fait tout juste, mais rien que ces "Une fois de plus, je vois que nous n'avons pas vu le même match!" bien sentis à l'égard de certains journalistes resteront aussi de grands moments.

Avec lui, nous étions écoutés et respectés.

Cette dernière vidéo me touche. Je le trouve émouvant. Profondément sincère. Il s'est retiré du football, nourrit certainement quelques aigreurs. Mais, là, il redevient ce passionné (certes adouci) aux propos pertinents. Il aime le beau jeu, les bosseurs et reconnait les talents.

J'espère sincèrement que le LS aura l'occasion de réunir un maximum de ces joueurs nommés lorsque nous inaugurerons enfin notre nouveau stade avec du public. Ils méritent tous une vraie ovation. Ils ont incarné le club. Ils l'ont fait briller. A nous de les remettre un peu en lumière pour leur montrer qu'on ne les a pas oubliés et qu'ils appartiennent pour toujours à la grande famille du LS.

Ah Bertine, un grand, lors de son 2ème passage après avoir passé la journée à la Pontaise pour bosser, il c'était encore arrêté au local du BWFK un moment pour discuter avec nous ... C'était la belle époque.

Un entraîneur, une direction et une équipe : un alignement de planètes rare; heureux d'avoir pu y assister, dans une Pontaise bien remplie en plus !
Les plus anciens ont eu les Seigneurs de la nuit, nous, on avait es Gamins de la nuit (et du dimanche). Il n'a manqué que le titre.

comme tu dis il a manqué le titre...
certes de belles années mais finalement peu de grand grand résultats...
des jolie épopée coupe-coupe d'europe ( qui n'ont pas marqué l'europe entière néanmoins...)
vivement du changement et j'espère des résultats probant qui arrivent à moyen terme!

Mais tellllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllement !

Old School a écrit: mais rien que ces "Une fois de plus, je vois que nous n'avons pas vu le même match!" bien sentis à l'égard de certains journalistes resteront aussi de grands moments.

Avec Collet, on avait les joueurs engagé via Youtube et avant il était engagé sur album Panini

dudu a écrit:Avec Collet, on avait les joueurs engagé via Youtube et avant il était engagé sur album Panini  

Avec Collet on a joué l'Europa League la dernière fois et on a rêvé à Prague entre autres... (peut être tu n'y étais pas?) et Moscou
et on a fêté une promotion historique en 2011 avec Katz, Avanzini, Pasche, Carrupt, Marazzi, Lavanchy, Tosi, Silvio, Roux....

Je veux bien que Jeff n'a pas fait tout juste mais bon ca casse les couilles au bout d'un moment ce genre de remarques. On peut changer de disque ?

«Et du jour au lendemain, plus rien»
Respectivement directeur sportif du Lausanne-Sport et coach de Stade-Lausanne-Ouchy, Pablo Iglesias et Andrea Binotto ont été licenciés au printemps. D’omniprésents, ils sont devenus absents. Confidences.

Florian Vaney florian.vaney@lematindimanche.ch

L’oubli

A. B. «Au début, on voit sa tête dans les médias. Ça flatte l’ego, c’est bien. Mais de plus en plus, je cherchais à me distancer de ce qui pouvait s’écrire sur l’équipe ou sur moi. Parce qu’au fond, le rôle des médias est d’informer la population. Un coach, il a vu le match, il sait ce qu’il se passe dans son équipe: alors à quoi bon lire un article qui risque de nous irriter? Il y a quelques jours, un papier sur l’histoire de Stade-Lausanne est paru. Mon nom n’y figurait nulle part. Et quelque part, je me dis que c’est normal. Le football, c’est l’instant présent. J’ai fêté trois promotions avec le SLO et je sais que, le matin suivant, tout le monde a déjà la tête tournée vers la suite. C’est comme ça. Je me dis que pour un entraîneur, l’oubli peut devenir problématique à partir d’une ou deux années. Pas avant.»

P. I. «Cette transition a été extrêmement difficile, sachant que je ne m’attendais pas à mon éviction. Je suis passé du jour au lendemain d’une activité passionnante exigeant un engagement quotidien de dix à onze heures de travail, sept jours sur sept, à rien. Malgré cela, je n’ai jamais ressenti ce sentiment d’oubli, au contraire. D’une part parce que je suis extrêmement bien entouré, d’autre part parce que durant toute la période du «restart», de juin à août, le «milieu», qu’il soit sportif, politique ou médiatique, lausannois, cantonal, national voire même étranger, a montré beaucoup de bienveillance à mon égard. Même si parfois, j’avoue avoir essayé de me détacher émotionnellement des événements. Peut-être pour mieux les comprendre»

Le chômage

Andrea Binotto «Il a fallu passer par-dessus la frustration. Parce qu’il y en a eu, bien sûr. Je pense à la façon dont cela s’est terminé. Je me dis que, moi aussi, j’aurais bien aimé bénéficier des moyens qui sont ceux de l’équipe aujourd’hui. Maintenant, je me souviens d’un entraîneur qui affirmait: «Un coach complet est un coach qui a connu le chômage.» Si je n’ai toujours pas retrouvé de club dans quinze ans, je changerai peut-être d’avis, mais c’est sans doute un mal pour un bien. Je ne dis pas que je ne souffre pas. Être tenu éloigné de sa passion, ça blesse. Mais j’ai compris certaines choses par rapport à ce milieu, ses codes, son langage. On nous reproche si vite un mot de travers Voilà plus de vingt ans que j’entraînais sans interruption. Cela crée un vide, forcément. Mais je le comble autrement. En apprenant, en enrichissant mes connaissances, en cherchant à revenir plus fort.»

Pablo Iglesias «Mais ça n’existe pas, une vie sans football! Quand ce sport représente depuis toujours ton oxygène et ton principal lien social et professionnel, il n’y a pas de place pour autre chose dans ta vie. La principale différence aujourd’hui est que je peux décider du rythme de mes journées, de leur contenu, et les rencontres que je souhaite faire. J’avais planifié deux stages à l’étranger, au sein de deux clubs de haut niveau, l’un en Angleterre, l’autre au Portugal. Malheureusement, les restrictions sanitaires en ont décidé autrement. J’ai la chance de continuer à entretenir et partager ma passion lorsque je suis appelé comme consultant à la RTS. Comme j’aime être très bien préparé et informé par respect envers les gens qui nous écoutent, cela demande un certain temps de préparation, que je peux m’offrir.»

Dans un an

A. B. «Depuis que je n’ai plus d’équipe, j’ai remplacé les entraînements de foot par des sessions de course à pied. Ça me permet de réfléchir. Le passé, l’avenir, ce dont j’ai envie. Aujourd’hui, ce que je souhaite, c’est de pouvoir m’inscrire dans un projet sur plusieurs saisons. À force, en Suisse, on connaît les adresses où cela semble possible et où il n’y a aucune chance que ça arrive. La Romandie offre assez peu de sécurité dans ce domaine? Je ne sais pas Mais je n’ai pas peur de la quitter si cela me permet de trouver des dirigeants prêts à m’accorder une vraie confiance. Je n’ai pas spécialement envie de faire un pas en arrière, je sais que l’étranger constitue une marche encore inatteignable, alors je pense vraiment que ma place est en Swiss Football League.»

P. I. «J’espère toujours que mon avenir se trouve dans le milieu du football, en Suisse ou à l’étranger. L’idée est de garder un lien, direct ou indirect, avec le terrain. Parce que pour être heureux, j’ai besoin de créer, développer un projet cohérent, qui place l’individu au centre. Prenez le Lausanne-Sport. Certains joueurs ont connu plus de succès sportif que d’autres, mais c’est leur personnalité qui a fait que je les ai recrutés. On peut discuter de leurs performances, bien sûr, mais parmi eux, il n’y a pas un sale type. À mes yeux, c’est la base lorsqu’on construit une équipe.»

Le rejet des Vaudois au LS et au SLO

A. B. «C’est un problème. Mais un problème qui n’est pas propre aux Vaudois et que je prendrais depuis le haut de la chaîne. J’ai le sentiment que de plus en plus de clubs suisses se retrouvent en mains étrangères. Et puisque ce sont eux, les dirigeants, qui décident, ils risquent d’avoir tendance à placer des gens qu’ils connaissent dans l’organigramme du club. Ce qui se reflétera plus bas: sur le banc, sur le terrain. Mais comment aller à l’encontre de ce phénomène? Ça me paraît utopique d’exiger, par exemple, un diplôme d’entraîneur suisse pour entraîner en Swiss Football League. Pourtant, sans même y réfléchir, je pourrais vous citer au moins dix coaches formés ici qui mériteraient un banc. Le fait est que l’identification à des figures locales me paraît essentielle. Il faut passer par là, nos championnats n’ont pas les moyens d’attirer des stars qui drainent un public énorme.»

P. I. «Ces évictions interpellent, car je suis convaincu qu’une figure locale reste l’un des principaux moteurs et garant de la culture régionale, voire nationale, comme de l’histoire et des valeurs d’une institution. Par expérience, je peux vous assurer que l’engagement d’une telle figure est total, tellement celle-ci se sent un devoir vis-à-vis de son lieu d’origine. Cela dit, il existe un paradoxe important dans le football actuel: celui de croire que l’on peut associer l’identité ou l’histoire d’un maillot avec les réalités économiques locales des clubs. Le football a changé d’ère en modifiant ses priorités. Aujourd’hui, le premier critère de performance est, et doit être, économique (trading de joueurs, droits TV, billetterie, sponsors). Le second doit être politique (exploitation des infrastructures, marketing, institutions), puis arrive seulement la performance sportive (le match, le jeu, l’équipe, le score, les supporters). Soit l’identité»

Scoopex a écrit:

dudu a écrit:Avec Collet, on avait les joueurs engagé via Youtube et avant il était engagé sur album Panini  

Avec Collet on a joué l'Europa League la dernière fois et on a rêvé à Prague entre autres... (peut être tu n'y étais pas?) et Moscou
et on a fêté une promotion historique en 2011 avec Katz, Avanzini, Pasche, Carrupt, Marazzi, Lavanchy, Tosi, Silvio, Roux....

Je veux bien que Jeff n'a pas fait tout juste mais bon ca casse les couilles au bout d'un moment ce genre de remarques. On peut changer de disque ?

C'est fou comme on a vite tendance à oublier les bons moments. Comme ils sont rares au LS, c'est d'autant plus surprenant !

kok9 a écrit:

Scoopex a écrit:

dudu a écrit:Avec Collet, on avait les joueurs engagé via Youtube et avant il était engagé sur album Panini  

Avec Collet on a joué l'Europa League la dernière fois et on a rêvé à Prague entre autres... (peut être tu n'y étais pas?) et Moscou
et on a fêté une promotion historique en 2011 avec Katz, Avanzini, Pasche, Carrupt, Marazzi, Lavanchy, Tosi, Silvio, Roux....

Je veux bien que Jeff n'a pas fait tout juste mais bon ca casse les couilles au bout d'un moment ce genre de remarques. On peut changer de disque ?

C'est fou comme on a vite tendance à oublier les bons moments. Comme ils sont rares au LS, c'est d'autant plus surprenant !

c’est surtout fou comme vous réagissiez, respirer un bon coup, si vous êtes incapable de comprendre que c'est juste en rapport à un joueur engagé à l’époque et à l’histoire du LS et de la Pontaise et rien contre Collet ....

Autant parler clairement, du coup, ça permet d'éviter les incompréhensions.

https://www.lematin.ch/story/philippe-hertig-veut-defendre-le-foot-et-la-romandie-644232841405

Whaaaaaaaaaaa... On ne le reconnaît vraiment pas. Par contre, geste toujours aussi précis ! Ils étaient chouettes aussi ces maillots. Lorsque le bleu primait encore... Un beau bleu ciel d'ailleurs.

LKK a écrit:https://www.lematin.ch/story/philippe-hertig-veut-defendre-le-foot-et-la-romandie-644232841405

Sans club depuis son départ cet été de GC, Nassim Ben Khalifa trouve de l'embauche à l'espérance de Tunis.
https://www.realites.com.tn/2020/11/nassim-ben-khelifa-deux-ans-a-lest/

Zeqiri toujours pas dans le groupe pour Brighton pour jouer Aston Villa... un pret en janvier?

C'est quand même incroyablement bizarre. Pourtant, en attaque Brighton ne sont pas top, top top. Même s'ils ont gagné samedi à l'arraché 2-1 contre Villa. Je ne sais pas quel tour de magie va devoir accomplir "Zeq" pour convaincre Graham Potter. Ou peut-être préserve-t-il Zeqiri pour une partie de... Quidisch (ortographe ?)... Un... coup de balai sur l'entraîneur pourrait-il aider Andi ?

Reckless One a écrit:Zeqiri toujours pas dans le groupe pour Brighton pour jouer Aston Villa... un pret en janvier?

Pour le moment, Zeqiri est 5eme dans la hierarchie des attaquants derriere Maupay, Welbeck, Trossard, Connolly voire MacAllister. Et les premiers cités ont un autre niveau de remunération.
A lui de faire ses preuves a l'entrainement et etre performant quand il aura sa chance. Autrement, un pret en janvier s'impose. Il doit jouer.

L ancien lausannois oliveira a signé dans un club de deuxième division portugaise Cova piedade

Ouais. Bonne chance à lui. Je l'aimais bien.

Nataniel a écrit:L ancien lausannois oliveira a signé dans un club de deuxième division portugaise Cova piedade

https://www.lfm.ch/loisirs/notrehistoire/lhistoire-du-lausanne-sport-par-marcel-parietti/

Zeqiri toujours pas dans le groupe pour Brighton contre Liverpool.
Par contre, la blessure de Maupay pourrait lui permettre de trouver place sur le banc pour le prochain match.