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Football - Super League

Ludovic Magnin a la solution aux problèmes du LS
Le technicien lausannois se dit inquiet, mais pas trop, au moment où son équipe, en panne de résultats, s’apprête à défier Servette, ce samedi à Genève (18 h).

André Boschetti

Le premier Servette - Lausanne-Sport de la saison promet déjà son lot d’émotions, de tensions et, surtout, déjà de fâcheuses conséquences pour le vaincu. Si un derby lémanique programmé en septembre n’a bien entendu pas le côté dramatique des deux mémorables duels de juin 1999 - le titre de champion était jeu - ou de mai 2013 - avec une relégation en Challenge League à la clé -, celui de ce samedi sera tout de même d’une importance inhabituelle à ce stade de la saison. La faute aux entames de championnat manquées de deux clubs qui sont aujourd’hui très loin des ambitions - légitimes - affichées en juillet.

À deux points du SFC

Celles de Ludovic Magnin et de son président, Leen Heemskerk, sont (étaient?) de vivre un retour tranquille en Super League en se positionnant au milieu du tableau. Soit entre la 5e et la 8e place dans une compétition à douze équipes. Les plus optimistes diront que le LS n’en est finalement pas loin, lui qui ne pointe qu’à deux longueurs de Servette (8e). Et qu’une simple victoire samedi à la Praille, contre un adversaire en proie au doute, permettra de remettre très vite les choses dans le bon ordre.

La réalité lausannoise n’est toutefois pas aussi limpide. Loin de là même. Avec seulement cinq points pris en huit sorties, le club de la Tuilière fait, depuis le premier jour, partie de ce gruppetto en grande souffrance déjà engagé dans une âpre lutte pour éviter la culbute. «Bien sûr que notre situation actuelle m’inquiète, mais il n’y a pas de quoi paniquer non plus, tempère Ludovic Magnin. Personnellement, je reste très confiant, car le contenu proposé jusque-là par mon équipe est bon. Aujourd’hui, je sens qu’il ne nous manque pas grand-chose pour inverser la tendance. La qualité est là, même si les départs tardifs de Brown et de Baldé sont difficiles à compenser. Pour que Diabaté, Kalu et Poaty tournent à plein régime, il faut être patient, car ce sont des joueurs qui jouaient peu ou pas avant de débarquer ici. Mais du temps, nous n’en avons pas beaucoup non plus. Cela dit, il faut aussi savoir que des éléments de ce niveau régulièrement utilisés dans leur club ne viennent pas au LS!»

Le problème auquel est confronté Magnin est à la fois simple à cerner et compliqué à régler. «Si on finit par souvent perdre des matches que l’on peut gagner, il y a forcément une raison, analyse le coach lausannois. Si tout va plutôt bien jusqu’à 30 mètres du but adverse, il nous manque ensuite de la justesse dans nos derniers gestes et cette indispensable détermination offensive qui doivent permettre de transformer les nombreuses situations dangereuses que nous créons en véritables occasions de but.»

À ce niveau, le LS est donc en régression par rapport à des premiers matches où les opportunités de marquer ne manquaient pas mais étaient, plus souvent par maladresse que par malchance, régulièrement galvaudées. Sur leurs deux dernières sorties, contre Zurich et à Lugano, les Lausannois n’ont en effet réussi à cadrer que quatre frappes en plus de 190 minutes, temps additionnel inclus. Dont une seule au Tessin qui a d’ailleurs amené le but, presque involontaire, de Sanches.

Pas de buteur

Une lacune préoccupante que le supporter lausannois constate depuis l’an passé déjà et que la réussite exceptionnelle de Brighton Labeau durant les trois premiers quarts de la saison avait un peu masquée. Un problème flagrant qui n’a pourtant pas été réglé cet été malgré le recrutement de quatre (!) éléments offensifs, soit trois ailiers qui n’ont jamais marqué avec régularité et un authentique attaquant (Kaly Sène) dont les qualités ne semblent pas coïncider avec le système de jeu mis en place par son coach.

Comme le souligne justement Ludovic Magnin, «pour gagner à Genève, il faudra être bien meilleurs sur le plan offensif, ce dont nous sommes capables. Mais pas seulement. Par rapport à Lugano, nous avons encore d’autres points à améliorer. Mercredi, au fil du très long trajet de retour (ndlr: le car est arrivé à la Tuilière vers 4 h 30 jeudi matin), où j’ai eu le temps de revoir le match et de réfléchir à tout cela, j’ai fini par trouver des solutions pour inverser la tendance.»

Le technicien vaudois a eu ensuite deux jours pour les transmettre et les mettre en pratique au sein d’un groupe toujours pleinement à son écoute, selon lui. «Je n’ai aucun doute à ce sujet. L’état d’esprit de mes joueurs est bon. La situation ici n’est pas du tout la même que celle que j’avais connue à Zurich il y a trois ans, où je sentais que mon message ne passait plus et que le moment de nous séparer était arrivé. Quand un coach perd son vestiaire, il le sent et ce n’est pas du tout le cas à Lausanne.»

L’avant-match
Servette - LS, samedi 18 h

L’absent Grippo (blessé).

Aucune excuse En raison de la fermeture du tunnel du Gothard, le car du LS n’est rentré de Lugano que jeudi matin vers 4 h 30. «Servette peut dire qu’il a déjà joué plusieurs matches européens cette saison, précise Magnin.

«Aucune excuse: Les Lausannois» en nombre Le secteur réservé aux fans adverses sera bien garni. Plus de 500 fans du LS assisteront au derby.

Souvenir La dernière victoire lausannoise à la Praille est l’une des plus spectaculaires de l’histoire des derbies côté vaudois. En mai 2021, le LS de Contini s’était imposé 4-1.

Ludovic Magnin «Servette est clairement le favori de ce derby, mais l’outsider qu’est le LS se déplacera avec l’envie de le titiller.»

Le Lausanne-Sport vu par René Weiler
Pas plus que Ludo Magnin, il n’apprécie l’exercice: parler de l’adversaire. Alors René Weiler y va à reculons. La séance vidéo du matin a mis en scène des points positifs de Servette, des séquences à améliorer aussi. Mais également des informations sur Lausanne. «Mais ça, je ne veux pas en parler dans le détail, sourit l’entraîneur. C’est toujours compliqué de parler de l’adversaire. Je ne vais sûrement pas m’exprimer sur ses forces et ses faiblesses ici. Oui, comme nous, le LS a de la difficulté à gagner des matches. Oui, comme nous, ils vont jouer précisément dans l’espoir de gagner. Et oui, encore, la situation actuelle pour le LS et pour nous également est un élément à prendre en compte, puisqu’il y aura face à face deux équipes qui ne sont pas en pleine confiance Mais ce sont des évidences.» Le reste se jouera sur le terrain, ce samedi soir. Weiler a réservé ses intentions et ses analyses a ux siens. Rien de surprenant.DVI

Avec un éclairage sur la qualité/état de forme de nos renforts.

Premier scoop :
Ludovic Magnin a la solution aux problèmes du LS
Deuxième scoop :
Grippo blessé, c'est nouveau !
Troisième scoop :
LS n'a pas de ligne d'attaque ou de buteur.

TKP1 a écrit:Premier scoop :
Ludovic Magnin a la solution aux problèmes du LS
Deuxième scoop :
Grippo blessé, c'est nouveau !
Troisième scoop :
LS n'a pas de ligne d'attaque ou de buteur.

Le 3ème scoop a l'air assumé...
A part ça, il ne fallait pas imaginer que les 2 transferts last minute allaient casser la baraque tout de suite. On peut encore y croire pour la fin du 2ème tour.
Et vu le parcours de Sène, la bonne surprise était possible, mais pas garantie. Ça peut aussi tourner.
De toute façon, à part Gavra (qui aurait aussi besoin de temps), faudra faire avec.

Article de merde

https://www.watson.ch/fr/sport/humeur/364531076-servette-ls-alvyn-sanches-provoque-la-section-grenat

dudu a écrit:Article de merde

https://www.watson.ch/fr/sport/humeur/364531076-servette-ls-alvyn-sanches-provoque-la-section-grenat

J'aurai largement préféré qu'il traverse le terrain et vienne devant le Kop lausannois.
Mais peut-être qu'il a lu le forum...

Malgré tout le mal que je pense de ce blabla, j’ai pas pu m’empêcher d’écouter la partie qui nous concerne (après env 15 min): je crois qu’après ça plus personne ne pourra dire que Boschetti cire les pompes d’Ineos…
https://www.lematin.ch/story/football-podcast-servette-respire-un-peu-ls-ridiculise-et-qui-bosse-bien-gagne-868504634244

1/2 finale de coupe contre Serviette, Pantelic marque en face de la SG aucun carton et aucune polémique .
https://www.youtube.com/watch?v=ARPTUIL37ss&t=1426s

dudu a écrit:1/2 finale de coupe contre Serviette,  Pantelic marque en face de la SG aucun carton et aucune polémique .
https://www.youtube.com/watch?v=ARPTUIL37ss&t=1426s

ouais, et pareil quand l’abominable Reto Z***, alors à Lugano, vient célébrer devant notre Kop un penalty généreusement offert par la VAR, la saison de notre dernière relégation

Boschetti a raison à 100% : il faut (faudrait.....) un président charismatique (style De Preux au LHC) qui choisit un DS de qualité puis le DS choisit un entraineur et enfin concertation entre le DS et l'entraineur pour trouver des joueurs selon le manque au début de saison......malheureusement rien de tout cela ! et si LS prenait (en tout cas cette saison) exemple sur le SLO et YS. Est-ce trop demandé à un club qui se dit professionnel !!!!!!!!!!!

C’est vrai, il a raison, n’empêche c’est dingue de voir comme les journalistes excellent dans l’art de tirer sur l’ambulance…S’il y a un redressement de notre part (ne me demandez pas comment ça pourrait arriver…), il faudra qu’ils se contorsionnent pour rattraper le coup….

En même temps, ils ont raison (même si c'est le café du commerce). Au niveau du jeu, c'est cata depuis l'arrivée de Magnin. Il y a personne pour diriger et challenger Magnin. Et on va droit dans le mur !

fatpig a écrit:Malgré tout le mal que je pense de ce blabla, j’ai pas pu m’empêcher d’écouter la partie qui nous concerne (après env 15 min): je crois qu’après ça plus personne ne pourra dire que Boschetti cire les pompes d’Ineos…
https://www.lematin.ch/story/football-podcast-servette-respire-un-peu-ls-ridiculise-et-qui-bosse-bien-gagne-868504634244

Équipe pas construite de manière cohérente, manifestement mal préparée physiquement, entraîneur incapable de la remettre sur les rails quand ça ne va pas et qui décide quand il y aura un DS, Ineos qui n'apprend rien de ses erreurs, l'analyse de Boschetti est imparable, j'en arrive même à être d'accord avec ce que dit Visentini sur le LS, il faut vraiment que ça n'aille pas bien!

dudu a écrit:Article de merde

https://www.watson.ch/fr/sport/humeur/364531076-servette-ls-alvyn-sanches-provoque-la-section-grenat

Ah bon ?

Perso, son geste m'a mis hors de moi. Allez faire le kéké, à retardement avec la VAR, alors qu'on est très très loin d'être en confiance. Evidemment qu'on allait se la ramasser ! Tu fais (peut-être) ça si tu marches sur l'eau, si tu mets le 3-0 ou si tu marques à la 95ème mais sinon, dans la situation dans laquelle on est, tu fermes ta g***** et tu restes dans ton p***** de match.

Aussi débile que Poaty qui fait une rentrée de m**** (au niveau de l'équipe quoi) à quinze minutes de la fin, qui échange son maillot avec un genevois pour sa collection et qui court au vestiaire Un minimum d'humilité et de classe ferait du bien à certains !

Pour le reste, je vais pas m'épancher. Mes posts se font rares sur ce forum et c'est pas pour rien, je suis lessivé par ce club qui cultive la lose depuis bientôt vingt ans, avec de rares étincelles qui n'auront été que des feux de paille. Chaque été les mêmes discours, on s'auto-convainc que tout ira bien sans se donner les moyens de faire mieux, et on s'étonne d'être derniers en étant ridicules sur le terrain. Il manque de tout dans cette équipe, point.

Lausanne-Sports, 7 titres, 9 coupes, 700 types en déplacements, trois relégations en moins de dix ans et en route pour une probable quatrième

Il fait rien après un but à Lugano, ça gueule sur le forum. Il fait qqch face à la SG ça gueule aussi.
Bref j'en sais rien. Dans la situation qui était celle du LS jusqu'à la mi-temps, il y avait de quoi être content. La charnière centrale du SFC à l'infirmerie, un but d'avance avec des possibilités d'en avoir mis un autre.
Après, une fois de plus, la mi-temps n'est pas bénéficique, on ne rentre pas en mode guerrier, on se fait marcher dessus et on prend deux buts en deux minutes.

La saga continue :

https://www.24heures.ch/football-le-proprietaire-du-ls-vise-25-du-capital-actions-de-united-456000340533

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/dernier-apres-neuf-journees-quelle-solutions-pour-le-lausanne-sport-id19004272.html

Papier intéressant.
LS a aussi quelques centaines de petits actionnaires très minoritaires, pour la plupart perdus (6 personnes à l'AG).
La SFL exige que les clubs se structurent en SA, mais rien n'empêche une association de devenir actionnaire majoritaire ou minoritaire d'un club, si le capital s'ouvre à nouveau.
Et une AG avec 100 personnes qui râlent, c'est plus convaincant que s'il n'y en a qu'un.

In 24h de ce jour
Emmanuel Favre
Publié aujourd’hui à 09h02

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La gouvernance participative est-elle l'avenir du sport?
En Valais, le Collectif Tourbillon est convaincu qu’un FC Sion géré de manière participative est viable. Fribourg-Gottéron, qui a adopté ce modèle, est un exemple de réussite.

Est-ce que, dans une ère où de plus en plus de clubs sont la propriété d’un homme, d’une entreprise ou d’un État, où des équipes de renom sont rayées de la carte professionnelle après avoir été cédées à des investisseurs cupides, les organisations ancrées dans une histoire et un patrimoine doivent-elles changer de modèle?

Cette question, les jeunes initiants du Collectif Tourbillon, qui recense quelque 2000 supporters du FC Sion, l’ont abondamment et minutieusement traitée dans un rapport de 102 pages sur lequel ils s’étaient penchés quand le président du FC Sion avait fait part de son intention de se retirer. Leur conclusion: «Le Collectif Tourbillon est convaincu que l’avenir du club passe par une gouvernance participative.»
Dans le sport romand, un club est structuré selon le modèle participatif: le HC Fribourg-Gottéron, qui patine dans un nouvel écrin doté de 9009 sièges depuis 2020, qui compte 7500 abonnés et qui a généré un chiffre d’affaires de 28 millions de francs lors d’une campagne 2022-2023 décevante sur le plan sportif. Les hockeyeurs entraînés par Christian Dubé n'étaient pas parvenus à se qualifier pour les quarts de finale des play-off. «Nous avons deux actionnaires principaux et tous les autres sont des supporters, des gens qui aiment Gottéron», explique Hubert Waeber, le président des Dragons. Autant de personnes conviées aux assemblées générales, où elles ont le droit de vote pour approuver (ou pas) le travail du conseil d’administration et où elles reconduisent (ou pas) les dirigeants dans leur fonction.
«C’est la voie du futur, estime Jean-Loup Chappelet, professeur honoraire à l’Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP). Bien que les ligues suisses imposent que les clubs aient le statut juridique de société anonyme (SA), éloigné du modèle associatif, l’ouverture de l’actionnariat aux supporters permet de générer de nouvelles ressources en plus de la billetterie, du sponsoring et des droits de retransmission.» Mais, contrairement au modèle associatif, qui est notamment celui du FC Barcelone et du Real Madrid, l’actionnaire ne renouvelle pas sa contribution chaque saison.

À Barcelone, par exemple, 141'000 socios versent chaque année une cotisation de 208 euros pour conserver un statut qui les autorise à participer à l’élection du président et leur octroie des avantages, tels que la priorité pour l’achat de billets ou des rabais à la boutique officielle.

640 sponsors à Fribourg
Une réalité historique qui a titillé Fribourg-Gottéron, cette marque inscrite dans les racines de tout un canton et dont les résultats ont la puissance d’influencer le moral des citoyens. Dans quelques semaines, les Dragons – cette organisation forte de 640 partenaires commerciaux (!) – lanceront sur le marché la carte «MyGottéron». Moyennant un versement de 40 francs, ses titulaires bénéficieront de quelques avantages. «Il n’est cependant pas prévu que les fans puissent prendre part aux décisions liées à la gestion de l’équipe», ajoute Hubert Waeber. Comme désigner le capitaine, nommer les adjoints ou – à l’image de ce qu’il s’est passé chez les Girondins de Bordeaux l’été dernier – voter pour le graphisme du troisième maillot.

Le cas du club de football bordelais est d'ailleurs révélateur du risque encouru lorsqu’une société sportive est détenue par un actionnaire unique sans attache historique avec le produit et essentiellement motivé par le profit. Cédés par M6 à General American Capital Partners en 2018, puis vendus à un autre fonds spéculatif en 2019 (King Street), les Girondins se sont retrouvés sans projet, sans le sou et relégués en Ligue 2 lorsque les Américains se sont retirés.

Les réserves du FC Sion
Le modèle qui fonctionne à Fribourg n’est actuellement pas possible d’imiter au FC Sion, estime Christian Constantin. «En général, avance le président de l’équipe valaisanne de Challenge League, les modes participatifs sont mis en place une fois les problématiques des infrastructures réglées, de façon à ce que les débats ne portent plus que sur l'aspect sportif et le fonctionnement opérationnel du club.» Après avoir sondé ses membres, le Collectif Tourbillon prône pour la rénovation de l’actuel stade de Tourbillon.

Christian Constantin, lui, propose la construction d'une nouvelle enceinte à côté du stade actuel et «de consolider les recettes par un modèle qui n'a encore jamais été appliqué pour une entreprise footballistique». À savoir notamment par les revenus d’un parc immobilier attenant au stade et administré par une fondation. «Le discours de Christian Constantin est facile à décoder, glisse un juriste habitué à lire entre les lignes. Il n’a aucune intention de céder le FC Sion au Collectif Tourbillon.»

Des mentalités à changer
Pourtant, selon plusieurs experts, il y a une nécessité de changer les mentalités. Et par rapport au modèle de gouvernance participative, de mettre en place les ingrédients pour respecter l'ensemble des parties prenantes. «Ce qu'il faut retenir, c'est plutôt la question du respect des supporters, du respect de l'histoire du club, du respect des collectivités territoriales et de la mise en place d'un cercle vertueux, soulignait en 2022 à France Bleu Hubert Tuillier, Manager Sports Advisory chez KPMG. Le club qui aura une stratégie dite «fan centric» (ndlr: basée sur l'expérience du supporter) sera un club dont les résultats financiers seront plus durables.» Quand il se projette, Jean-Loup Chappelet peut imaginer que 100'000 actions d’une société FC Sion trouvent preneurs auprès du grand public valaisan.

Suffisant pour faire vivre un club professionnel? «Il faudra toujours s’adosser à des actionnaires majoritaires disposant de moyens que ne peuvent réunir des supporters», a affirmé au «Monde» Jean-François Brocard, économiste au Centre de droit et d’économie du sport de Limoges.

Une voie choisie par Fribourg-Gottéron et le FC Saint-Gall, deux sociétés resplendissantes dans ce modèle, qui présentent de bons bilans financiers et qui ont bien entamé leur saison 2023-2024.
>>

[quote="mic"]https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/dernier-apres-neuf-journees-quelle-solutions-pour-le-lausanne-sport-id19004272.html[/quote

Très bon article, tout en nuances, qui se concentre sur le jeu plutôt que crier avec les loups au sujet de notre gouvernance (effectivement) douteuse.

Je le trouve juste un peu sévère quand il écrit que « ni Brighton Labeau ni Kaly Sène n'ont réussi leur début de saison »: c’est vrai pour Labeau, mais pas pour Sène, qui a virtuellement marqué 3 buts (dont un refusé inexplicablement contre Bâle et un refusé pour quelques malheureux centimètres contre StGall). Et même si ça ne se reflète pas dans ses stats, il fait 80% du job sur le but de samedi dernier. Bref, il a pas de réussite, mais il est clairement dans le coup

[quote="fatpig"]

mic a écrit:https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/dernier-apres-neuf-journees-quelle-solutions-pour-le-lausanne-sport-id19004272.html[/quote

Très bon article, tout en nuances, qui se concentre sur le jeu plutôt que crier avec les loups au sujet de notre gouvernance (effectivement) douteuse.

Je le trouve juste un peu sévère quand il écrit que « ni Brighton Labeau ni Kaly Sène n'ont réussi leur début de saison »: c’est vrai pour Labeau, mais pas pour Sène, qui a virtuellement marqué 3 buts (dont un refusé inexplicablement contre Bâle et un refusé pour quelques malheureux centimètres contre StGall). Et même si ça ne se reflète pas dans ses stats, il fait 80% du job sur le but de samedi dernier. Bref, il a pas de réussite, mais il est clairement dans le coup

Article gentillet, ce que "Ct'equipe" dit de la situation du LS me semble (hélas) plus proche de la réalité.
Le point 1 n'est pas une option, le 2 est évident (chaque équipe doit être capable de s'adapter et de changer de système tactique, encore faut-il choisir le bon...), le 3 pourquoi pas mais il manquera toujours un attaquant capable de jouer en pivot et de remiser comme le faisait Turkes (quant aux buts virtuels, j'espère qu'on ne finira pas la saison en comptant les points virtuels...), sauf catastrophe industrielle lors des prochaines semaines, le point 4 n'interviendra de toute façon pas avant la pause hivernale et encore faudrait-il qu'un DS digne de ce nom soit nommé d'ici là...

Même pour les saucisses, on est au bas du classement, pffff….

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/cest-la-saucisse-qui-compte-dans-quel-stade-mange-t-on-le-mieux-id18998478.html

fatpig a écrit:Même pour les saucisses, on est au bas du classement, pffff….

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/cest-la-saucisse-qui-compte-dans-quel-stade-mange-t-on-le-mieux-id18998478.html

Et pourtant, le nouveau stade devait tout régler ... :-(

Je n'ai pas gouté la saucisse de volaille, sans intérêt pour moi , mais lors de mes derniers matchs, j'ai pris un hamburger qui était cru à l'intérieur, un hot dog minimaliste et une portion de frites qui n'était qu'à moitié remplie. Petite précision, c'était en tribune A.
Du coup, j'en ai marre d'être pris pour un pigeon, je vais malheureusement arrêté de manger au stade, c'est dommage parce que j'avais du plaisir à le faire.
le niveau à clairement baissé depuis quelques mois.