Quelle belle nostalgie :-)
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Quelle belle nostalgie :-)
Lu dans le LS Omnisport (écrit par Jean-François PAHUD, Président du LS Omnisport,) l'article suivant que je retransmets ici.
Quelle belle nostalgie, c'est très joli mais en suivant tous ces beaux commentaires, on risque sérieusement de très bientôt s'enterrer... Je comprends Brélaz lorsqu'il avait dit plus ou moins: "Il s'agit d'un groupe de nostalgiques voulant absolument conserver leur monument du moyen-âge...".
POUR UNE VILLE MODERNE ET DYNAMIQUE, VOTEZ NON LE 27 SEPTEMBRE A L'INITIATIVE EXIGEANT LE(S) STADE(S) DE FOOTBALL ET D'ATHLETISME DANS LE QUARTIER DE LA PONTAISE.
Il y a une soixantaine d’années, en famille, nous habitions un petit immeuble résidentiel de deux étages situé au numéro 39 de l’avenue Beaulieu. Le rez-de-chaussée était occupé par les propriétaires, le pasteur Pas quier et son épouse. Au premier étage ma grand-mère paternelle, mes parents et ma soeur logions au second étage. Quelques chambres de bonnes se trouvaient dans les combles. Ma grand-mère avait une manière toute particulière, mais immuable, d’occuper ses dimanches après-midi, les matins étant consacrés à l’écoute du culte puis à la préparation du repas de midi. L’après-midi après avoir fait une petite «reposée» sur son canapé, elle s’installait devant son poste de radio, un Philipps en bakélite brun, pour écouter le reportage du match de football diffusé par Radio Lausanne. Elle retrouvait son reporter favori,
Maître Suez, alias «Squibs» qui la passionnait et la faisait rire par son commentaire imagé et haut en couleurs. Elle ne connaissait absolument rien au football, n’ayant jamais assisté à une rencontre. Elle ignorait complètement la signification des termes utilisés: corner kick-off, dribble, linesman, fault coup franc remise en touche, penalty ou off side, autant de termes qui n’évoquaient absolument rien pour elle. Par contre elle connaissait parfaitement le nom de pratiquement tous les joueurs, les Cocolet Morand, Kiki Antenen, «Petit Bout», Bocquet, Jacky Fatton, Olive Eggimann et surtout celui du jeune gardien de l’équipe des «Bleu et Blanc» surnommé «Le Chat», Georges Stuber Il faut dire qu’elle avait la possibilité de surveiller ses allées et venues quotidiennes puisque depuis son arrivée à Lausanne comme jeune employé de banque, il occupait l’une des chambres de bonne des combles de sa demeure.
Le reportage terminé, elle tournait le bouton, quittait son fauteuil pour aller s’installer sur une chaise derrière une fenêtre avec vue sur l’avenue Beaulieu. Et là, elle restait de longues minutes à observer le flot des spectateurs qui redescendaient de la Pontaise par groupes animés. Si la partie qui s’y était déroulée était très importante, notamment le derby contre les «Grenats» du bout du lac, de nombreux bus, bondés, circulaient au pas au milieu de la foule. La voiture n’étant pas encore omniprésente, tous ces spectateurs allaient prendre leur train, soit à Chauderon terminus de la «Brouette» pour les nombreux supporters du Gros de Vaud soit à la gare pour ceux qui étaient venus de plus loin. Au bas de l’avenue de Beaulieu ces fidèles s’arrêtaient brièvement devant l’impri merie du «Soir», journal dominical vendu à la criée, qui venait de sortir de presse et qui pour quelques vingt centimes apportait les principaux résultats sportifs du week-end. Parmi ces spectateurs, un garagiste de Paudex et son fils qui quelques décennies plus tard, après avoir été syndic de Lausanne assuma la charge de Conseiller fédéral, le populaire Jean-Pascal Delamuraz. Beaucoup plus tard, en 1996, à l’occasion du centenaire du Lausanne-Sports omnisports. En tant que Président de la Confédération, il se remémorait ces moments privilégiés où avec son papa tous deux montaient à la Ponta ise pour aller au match. Des générations de Lausannois et de Vaudois, jeunes et moins jeunes, sont ainsi montés le dimanche après-midi, d’abord au Parc des sports de la Pontaise puis dès 1954 au Stade olympique, pour applaudir et s’enthousiasmer aux exploits de nos footballeurs «Bleu et Blanc».
Au cours des années, après les footballeurs, les athlètes, les basketteurs, les handballeurs, les tennismen, les rameurs, les joueurs de hockey sur gazon, les tireurs, les joueurs de rinkhockey, les curleurs, les joueurs de golf sur piste puis plus récemment les joueurs de bowling ont rejoint le club omnisports du Lausanne-Sports. Pour différentes raisons, certaines de ces sections sportives allaient disparaître. Mais le Parc des Sports de la Pontaise même si depuis 1954 il s’est appelé Stade olympique, est toujours resté le centre névralgique de toutes les activités des «Bleu et Blanc».
Voilà pourquoi je ne comprends pas pourquoi nos autorités, ignorant plus de cent ans d’activités sportives ont décidé unilatéralement et de manière intransigeante la destruction du Stade olympique et proposé après beaucoup d’hésitations la reconstruction d’un stade identique à l’existant à quelques centaines de mètres de celui qu’elles ont décidé de condamner Le Stade olympique mérite-t-il d’être livré à la démolition alors que l’année passée l’une des meilleures équipes de football d’Europe, celle des Pays-Bas, a particulièrement été impressionnée par la qualité de sa pelouse et que le triple champion olympique de Pékin et recordman du monde, le Jamaïcain Usain Boit, a déclaré se réjouir de venir une fois encore courir à Lausanne, sur l’une des meilleures pistes du monde.
Le Stade olympique fait partie des bâtiments emblématiques de la ville de Lausanne et plus particulièrement du quartier de la Pontaise. J’ai beaucoup de peine à croire que son état actuel ne permette pas une remise à jour générale aux normes actuelles. Ayant le plaisir de le fréquenter et d’y travailler avec des sportifs de haut niveau presque quotidiennement, je me permets d’en douter...
Jean-François PAHUD
Président du LS Omnisports
Quelle belle nostalgie, c'est très joli mais en suivant tous ces beaux commentaires, on risque sérieusement de très bientôt s'enterrer... Je comprends Brélaz lorsqu'il avait dit plus ou moins: "Il s'agit d'un groupe de nostalgiques voulant absolument conserver leur monument du moyen-âge...".
POUR UNE VILLE MODERNE ET DYNAMIQUE, VOTEZ NON LE 27 SEPTEMBRE A L'INITIATIVE EXIGEANT LE(S) STADE(S) DE FOOTBALL ET D'ATHLETISME DANS LE QUARTIER DE LA PONTAISE.
Il y a une soixantaine d’années, en famille, nous habitions un petit immeuble résidentiel de deux étages situé au numéro 39 de l’avenue Beaulieu. Le rez-de-chaussée était occupé par les propriétaires, le pasteur Pas quier et son épouse. Au premier étage ma grand-mère paternelle, mes parents et ma soeur logions au second étage. Quelques chambres de bonnes se trouvaient dans les combles. Ma grand-mère avait une manière toute particulière, mais immuable, d’occuper ses dimanches après-midi, les matins étant consacrés à l’écoute du culte puis à la préparation du repas de midi. L’après-midi après avoir fait une petite «reposée» sur son canapé, elle s’installait devant son poste de radio, un Philipps en bakélite brun, pour écouter le reportage du match de football diffusé par Radio Lausanne. Elle retrouvait son reporter favori,
Maître Suez, alias «Squibs» qui la passionnait et la faisait rire par son commentaire imagé et haut en couleurs. Elle ne connaissait absolument rien au football, n’ayant jamais assisté à une rencontre. Elle ignorait complètement la signification des termes utilisés: corner kick-off, dribble, linesman, fault coup franc remise en touche, penalty ou off side, autant de termes qui n’évoquaient absolument rien pour elle. Par contre elle connaissait parfaitement le nom de pratiquement tous les joueurs, les Cocolet Morand, Kiki Antenen, «Petit Bout», Bocquet, Jacky Fatton, Olive Eggimann et surtout celui du jeune gardien de l’équipe des «Bleu et Blanc» surnommé «Le Chat», Georges Stuber Il faut dire qu’elle avait la possibilité de surveiller ses allées et venues quotidiennes puisque depuis son arrivée à Lausanne comme jeune employé de banque, il occupait l’une des chambres de bonne des combles de sa demeure.
Le reportage terminé, elle tournait le bouton, quittait son fauteuil pour aller s’installer sur une chaise derrière une fenêtre avec vue sur l’avenue Beaulieu. Et là, elle restait de longues minutes à observer le flot des spectateurs qui redescendaient de la Pontaise par groupes animés. Si la partie qui s’y était déroulée était très importante, notamment le derby contre les «Grenats» du bout du lac, de nombreux bus, bondés, circulaient au pas au milieu de la foule. La voiture n’étant pas encore omniprésente, tous ces spectateurs allaient prendre leur train, soit à Chauderon terminus de la «Brouette» pour les nombreux supporters du Gros de Vaud soit à la gare pour ceux qui étaient venus de plus loin. Au bas de l’avenue de Beaulieu ces fidèles s’arrêtaient brièvement devant l’impri merie du «Soir», journal dominical vendu à la criée, qui venait de sortir de presse et qui pour quelques vingt centimes apportait les principaux résultats sportifs du week-end. Parmi ces spectateurs, un garagiste de Paudex et son fils qui quelques décennies plus tard, après avoir été syndic de Lausanne assuma la charge de Conseiller fédéral, le populaire Jean-Pascal Delamuraz. Beaucoup plus tard, en 1996, à l’occasion du centenaire du Lausanne-Sports omnisports. En tant que Président de la Confédération, il se remémorait ces moments privilégiés où avec son papa tous deux montaient à la Ponta ise pour aller au match. Des générations de Lausannois et de Vaudois, jeunes et moins jeunes, sont ainsi montés le dimanche après-midi, d’abord au Parc des sports de la Pontaise puis dès 1954 au Stade olympique, pour applaudir et s’enthousiasmer aux exploits de nos footballeurs «Bleu et Blanc».
Au cours des années, après les footballeurs, les athlètes, les basketteurs, les handballeurs, les tennismen, les rameurs, les joueurs de hockey sur gazon, les tireurs, les joueurs de rinkhockey, les curleurs, les joueurs de golf sur piste puis plus récemment les joueurs de bowling ont rejoint le club omnisports du Lausanne-Sports. Pour différentes raisons, certaines de ces sections sportives allaient disparaître. Mais le Parc des Sports de la Pontaise même si depuis 1954 il s’est appelé Stade olympique, est toujours resté le centre névralgique de toutes les activités des «Bleu et Blanc».
Voilà pourquoi je ne comprends pas pourquoi nos autorités, ignorant plus de cent ans d’activités sportives ont décidé unilatéralement et de manière intransigeante la destruction du Stade olympique et proposé après beaucoup d’hésitations la reconstruction d’un stade identique à l’existant à quelques centaines de mètres de celui qu’elles ont décidé de condamner Le Stade olympique mérite-t-il d’être livré à la démolition alors que l’année passée l’une des meilleures équipes de football d’Europe, celle des Pays-Bas, a particulièrement été impressionnée par la qualité de sa pelouse et que le triple champion olympique de Pékin et recordman du monde, le Jamaïcain Usain Boit, a déclaré se réjouir de venir une fois encore courir à Lausanne, sur l’une des meilleures pistes du monde.
Le Stade olympique fait partie des bâtiments emblématiques de la ville de Lausanne et plus particulièrement du quartier de la Pontaise. J’ai beaucoup de peine à croire que son état actuel ne permette pas une remise à jour générale aux normes actuelles. Ayant le plaisir de le fréquenter et d’y travailler avec des sportifs de haut niveau presque quotidiennement, je me permets d’en douter...
Jean-François PAHUD
Président du LS Omnisports
Re: Quelle belle nostalgie :-)
Evidemment lorsque l'on a un certain âge on peut comprendre que l'on souffre de nostalgie et qu'il est difficile de se séparer de bâtiments qui nous rappellent d'excellents souvenirs d'enfance. Moi-même, qui ne suit pas vieux, cela me fera très certainement bizarre, le jour où l'on détruira la Pontaise. Mais ne vivre que sur nos souvenirs ne mène à rien et ne fait pas avancer. Alors autant ouvrir son esprit et s'en fabriquer de nouveaux dans un nouveau stade, dans un nouveau lieu.
En plus, M. Pahud fait de nombreuses erreurs dans ses deux derniers paragraphes. Tout d'abord, les autorités n'ont pas décidé "unilatéralement" la destruction de la Pontaise, vu qu'il y a eu de nombreuses séances où chacun a pu donner son point de vue. Et surtout la quasi-totalité des clubs sportifs lausannois, à part son LS-Omnisports, sont d'accord pour cela.
Ensuite, s'ils ont décidé de reconstruire - mais cela n'est même pas encore définitif ! - un nouveau stade d'athlétisme quelques centaines de mètres plus loin, c'est bien à cause du comité référendaire dont M. Pahud fait partie, puisque ceux-ci voulaient conserver si ce n'est les 2, en tous les cas 1 stade au Nord et qu'ON NE PEUT PLUS CONSERVER LA PONTAISE, car, et on n'en vient au 3ème point que M. Pahud ne maîtrise pas non-plus, alors que pourtant il dit qu'il se rend, selon ses termes, "presque quotidiennement" sur les lieux, c'est que la Pontaise, DEVIENT DANGEREUSE, PUISQUE DES PANS DE MURS COMMENCENT A S'EFFRITER, du côté Promenade des Molasses. Ce qui montre que M. Pahud n'a jamais pris la peine de faire ne serait-ce que le tour du stade qu'il fréquente quotidiennement...
Pourant, il n'y a pas à douter que le nouveau stade, plus moderne, sera doté d'une piste d'athlétisme tout aussi belle et performante que celle de la Pontaise et que les successeurs d'Usain Bolt - celui-ci sera certainement retraité lorsque le nouveau stade sera construit et sera très certainement déjà revenu dans cette bonne VIEIILLE PONTAISE depuis - pourront également y battre des records.
Quand à l'Equipe des Pays-Bas, elle sera elle aussi contente de pouvoir disposer d'une pelouse flambant neuve dans un nouveau stade dans lequel ils pourront à la limite même se rendre à pieds depuis l'Hôtel Mövenpick où ils ont l'habitude de descendre, après un footing le long des rives du bord du lac et ainsi économiser des frais d'essence de bus qui devaient -> présent les monter -> la Pontaise.
Voilà, donc, tout cela pour constater qu'une nouvelle fois les OPPOSANTS N'ONT ABSOLUMENT RIEN DE CREDIBLE A OPPOSER AU PROJET METAMORPHOSE ET QU'ILS NOUS OFFRENT DES ARGUMENTS A CHACUNE DE LEURS PARUTIONS DANS LES MEDIAS.
POUR UNE VILLE MODERNE ET DYNAMIQUE, VOTEZ NON LE 27 SEPTEMBRE.
En plus, M. Pahud fait de nombreuses erreurs dans ses deux derniers paragraphes. Tout d'abord, les autorités n'ont pas décidé "unilatéralement" la destruction de la Pontaise, vu qu'il y a eu de nombreuses séances où chacun a pu donner son point de vue. Et surtout la quasi-totalité des clubs sportifs lausannois, à part son LS-Omnisports, sont d'accord pour cela.
Ensuite, s'ils ont décidé de reconstruire - mais cela n'est même pas encore définitif ! - un nouveau stade d'athlétisme quelques centaines de mètres plus loin, c'est bien à cause du comité référendaire dont M. Pahud fait partie, puisque ceux-ci voulaient conserver si ce n'est les 2, en tous les cas 1 stade au Nord et qu'ON NE PEUT PLUS CONSERVER LA PONTAISE, car, et on n'en vient au 3ème point que M. Pahud ne maîtrise pas non-plus, alors que pourtant il dit qu'il se rend, selon ses termes, "presque quotidiennement" sur les lieux, c'est que la Pontaise, DEVIENT DANGEREUSE, PUISQUE DES PANS DE MURS COMMENCENT A S'EFFRITER, du côté Promenade des Molasses. Ce qui montre que M. Pahud n'a jamais pris la peine de faire ne serait-ce que le tour du stade qu'il fréquente quotidiennement...
Pourant, il n'y a pas à douter que le nouveau stade, plus moderne, sera doté d'une piste d'athlétisme tout aussi belle et performante que celle de la Pontaise et que les successeurs d'Usain Bolt - celui-ci sera certainement retraité lorsque le nouveau stade sera construit et sera très certainement déjà revenu dans cette bonne VIEIILLE PONTAISE depuis - pourront également y battre des records.
Quand à l'Equipe des Pays-Bas, elle sera elle aussi contente de pouvoir disposer d'une pelouse flambant neuve dans un nouveau stade dans lequel ils pourront à la limite même se rendre à pieds depuis l'Hôtel Mövenpick où ils ont l'habitude de descendre, après un footing le long des rives du bord du lac et ainsi économiser des frais d'essence de bus qui devaient -> présent les monter -> la Pontaise.
Voilà, donc, tout cela pour constater qu'une nouvelle fois les OPPOSANTS N'ONT ABSOLUMENT RIEN DE CREDIBLE A OPPOSER AU PROJET METAMORPHOSE ET QU'ILS NOUS OFFRENT DES ARGUMENTS A CHACUNE DE LEURS PARUTIONS DANS LES MEDIAS.
POUR UNE VILLE MODERNE ET DYNAMIQUE, VOTEZ NON LE 27 SEPTEMBRE.
Bleu-Blanc- Date d'inscription : 01/08/2007
Re: Quelle belle nostalgie :-)
Moi aussi je me souviens des grosses affluences à la Pontaise, des embouteillages dans le quartier, de la fanfare avant les matches, des cortèges de bagnoles jusque dans le Gros-de-Vaud et de la coupe de tifs à la valaisanne de Stéph Chapuisat.
Ce que Monsieur Pahud ne semble par réaliser, c'est que cette époque-là est révolue. La réalité d'aujourd'hui, c'est 400 pelés frigorifiés dans un couloir à bise, une équipe inconsistante, des dirigeants qui font avec les moyens du bord (merci à eux) et un Chapuisat qui perd ses tifs.
Et puisque Monsieur Pahud évoque le centenaire du club, il serait judicieux de rappeler que le match du LS s'était joué devant quelques milliers de pékins (3000?), contre une équipe champêtre. Et que quatre ans plus tard, on n'a même pas réussi à remplir le stade contre l'Ajax. La baisse dramatique d'engouement populaire, d'identification au club, ne date pas d'hier ni d'avant-hier.
On aurait tous voulu vivre la période des Seigneurs de la nuit, les stades pleins, les titres. J'en connais même du côté de Gland qui se couperaient sans doute une couille pour revivre ça.
Mais cette époque est révolue, regardons devant nous. Et l'avenir d'un club de foot décent à Lausanne passe par un nouveau stade dédié au foot.
Ce que Monsieur Pahud ne semble par réaliser, c'est que cette époque-là est révolue. La réalité d'aujourd'hui, c'est 400 pelés frigorifiés dans un couloir à bise, une équipe inconsistante, des dirigeants qui font avec les moyens du bord (merci à eux) et un Chapuisat qui perd ses tifs.
Et puisque Monsieur Pahud évoque le centenaire du club, il serait judicieux de rappeler que le match du LS s'était joué devant quelques milliers de pékins (3000?), contre une équipe champêtre. Et que quatre ans plus tard, on n'a même pas réussi à remplir le stade contre l'Ajax. La baisse dramatique d'engouement populaire, d'identification au club, ne date pas d'hier ni d'avant-hier.
On aurait tous voulu vivre la période des Seigneurs de la nuit, les stades pleins, les titres. J'en connais même du côté de Gland qui se couperaient sans doute une couille pour revivre ça.
Mais cette époque est révolue, regardons devant nous. Et l'avenir d'un club de foot décent à Lausanne passe par un nouveau stade dédié au foot.
Blue Raph- Localisation : Montreux
Date d'inscription : 31/07/2007
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