News d'anciens lausannois
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Re: News d'anciens lausannois
Ce sera la partie insolite du jour (mais aussi l’occasion de prendre des nouvelles de Trebel):
https://www.footnews.be/news/390738/surprise-trebel-est-preselectionne-avec-madagascar-
https://www.footnews.be/news/390738/surprise-trebel-est-preselectionne-avec-madagascar-
fatpig- Date d'inscription : 18/06/2013
Re: News d'anciens lausannois
Diaw va mieux, mais l'histoire des pyros est peut-être à méditer.
https://lematin.ch/story/football-jet-de-petard-sur-mory-diaw-montpellier-senerve-901161314924
https://lematin.ch/story/football-jet-de-petard-sur-mory-diaw-montpellier-senerve-901161314924
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
dudu aime ce message
Re: News d'anciens lausannois
https://www.lematin.ch/story/football-puertas-roi-des-passeurs-en-belgique-564731223023
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
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Re: News d'anciens lausannois
Content pour lui.dudu a écrit:https://www.lematin.ch/story/football-puertas-roi-des-passeurs-en-belgique-564731223023
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: News d'anciens lausannois
Guessand seul buteur de OGC Nice contre l'OM.
Nice en tête de la L1.
Ps : Balde ne joue pas.
Nice en tête de la L1.
Ps : Balde ne joue pas.
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
Re: News d'anciens lausannois
lausarme a écrit:Ps : Balde ne joue pas.
Que dire.... On avait un joueur qui apportait une plus value chez nous.
On le laisse partir ou on se le fait piquer (à chacun sa vision) par Nice pour le voir faire... du banc
Franchement, cela fou les boules.
Cc1974- Date d'inscription : 21/06/2022
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Re: News d'anciens lausannois
Balde qui ne joue pas à Nice ! Je peine vraiment a comprendre le délire d’aller nous le piquer et ne pas le faire jouer ! Vraiment triste j’espère que INEOS laissera le club a des gens bien attentionnés ! Pour qu’on puisse enfin vivre quelque chose
Minime- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 30/11/2008
Qwertz, Scoopex, Matt, kok9, TKP1 et Cc1974 aiment ce message
Re: News d'anciens lausannois
Turkes buteur hier lors de la victoire de Winti sur St-Gall, il en est à 4 buts cette saison soit autant que le duo Sene - Labeau, pas mal pour un joueur que Magnin estimait fini...
neLSon- Date d'inscription : 21/03/2022
kok9, Max2, Ls81 et Cc1974 aiment ce message
Re: News d'anciens lausannois
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/zinedine-zidane-croit-au-nouveau-coach-du-fc-bale-celestini-fait-des-miracles-id19106715.html
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
fatpig aime ce message
Re: News d'anciens lausannois
https://youtu.be/Zh5b3SB5IK0?feature=shared
Joël Geissmann, sympa
Joël Geissmann, sympa
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
dudu, Le Vaudois, neLSon et TKP1 aiment ce message
Re: News d'anciens lausannois
À Burnley, Zeki Amdouni goûte au «vrai» football anglais
Le Genevois de 22 ans, passé notamment par le LS et le SLO, a rejoint le meilleur championnat du monde cet été, dans un endroit pas comme les autres. Découverte.
Robin Carrel, Burnley robin.carrel@lematindimanche.ch
Et si aller voir Zeki Amdouni à Turf Moor était finalement plus simple qu’aller, à l’époque, l’admirer en transports publics sur les hauts de Lausanne? Parce qu’on rejoint assez vite le stade de Burnley au départ de la Suisse. Un avion pour Manchester, deux trains, quelques minutes à pied et le tour est joué. Allez, trois ou quatre heures, montre en main, en tout, alors que personne n’a encore compris comment rejoindre les enceintes des Plaines-du-Loup en transports publics un soir de match.
Burnley, c’est là que le Genevois de 22 ans a décidé de continuer sa carrière, après Étoile Carouge, le Stade Lausanne Ouchy, le LS et Bâle. Son ascension météorique lui a ouvert les portes de la Premier League, mais pas la première division anglaise en mode Disneyland comme dans les deux clubs de Manchester, à Liverpool ou chez les mastodontes londoniens.
Dans cette ville d’un peu plus de 70’000 habitants coincée entre les jolies collines du Lancashire, on peut encore acheter des billets de match quelques jours avant la rencontre pour une quarantaine de livres, sans devoir vider son compte en banque pour s’offrir des tickets à la revente. Burnley, c’est un de ces endroits où on sait qu’il y a un club de foot, et on est bien davantage capable de situer cette équipe dans le classement du championnat anglais que sur une carte de la Grande-Bretagne. D’ailleurs, tentez de mettre le nom de cette ville dans votre moteur de recherche préféré, qui est fait comme nous: le Burnley FC sort avant la ville de Burnley. À la descente de l’avion et des trains, imaginez la ville anglaise typique, et c’est exactement ce qui est proposé au groundhopper(ndlr: personne dont le passe-temps consiste à assister à des matches dans autant de stades que possible) ou au journaliste en reportage.
Des maisons en briques rouges comme d’hab, un charmant petit centre-ville avec une zone piétonne où un commerce sur trois est fermé, un marché couvert qui ne respire pas la prospérité et qui sent bon le gras (on vous recommande la boule de Berlin fourrée à la crème). C’est aussi ce magasin improbable appelé «CHF», qui n’a rien à voir avec le franc suisse et qui tente d’écouler auprès des passants des maillots de football du monde entier, mais aussi des sofas. Allez comprendre. Plus loin, deux autres incongruités encore. À un carrefour, il y a comme un container qu’on utiliserait en Suisse pour mettre les bouteilles en PET. Stupeur en le croisant: il s’agit d’un endroit où se débarrasser de ses couteaux, de son épée ou de sa machette. Engageant! Pas forcément moins dangereux, quelques mètres en direction du stade plus loin, le Royal Dyche, soit le pub nommé il y a cinq ans en l’honneur de Sean Dyche, aujourd’hui coach d’Everton, ancien entraîneur du Burnley FC pendant dix ans et véritable légende des lieux.
Pas encore très demandé à la boutique
Et puis, forcément, ce samedi, Burnley, c’était ce match contre le Crystal Palace de Roy Hodgson (76 ans). L’entraîneur n’a presque pas bougé depuis qu’il est passé par la Suisse, c’est dingue! Avec Zeki Amdouni encore et toujours titulaire pour Burnley. Le Suisse ne fait pas vendre des tas de maillots autour de Turf Moor; c’est plutôt son compère Luca Koleosho, un ailier gauche, qui a les faveurs des jeunes Burnliens à la boutique du club ou dans la sympathique fan zone couverte située juste à côté du stade. Mais l’Américain ne fait pas gagner de matches non plus.
Car sur le pré, ça n’a pas rigolé samedi. Burnley a été battu par Crystal Palace (0-2) et se retrouve à égalité avec la lanterne rouge, Sheffield United. Zeki Amdouni s’est démené sur le front de l’attaque, avant de sortir à un quart d’heure de la fin. Le public a applaudi, comme il a fait une ovation ensuite à sa troupe, malgré la morosité ambiante. La Premier League, ça s’apprécie, et ça aussi, c’était une belle découverte.
Le Genevois de 22 ans, passé notamment par le LS et le SLO, a rejoint le meilleur championnat du monde cet été, dans un endroit pas comme les autres. Découverte.
Robin Carrel, Burnley robin.carrel@lematindimanche.ch
Et si aller voir Zeki Amdouni à Turf Moor était finalement plus simple qu’aller, à l’époque, l’admirer en transports publics sur les hauts de Lausanne? Parce qu’on rejoint assez vite le stade de Burnley au départ de la Suisse. Un avion pour Manchester, deux trains, quelques minutes à pied et le tour est joué. Allez, trois ou quatre heures, montre en main, en tout, alors que personne n’a encore compris comment rejoindre les enceintes des Plaines-du-Loup en transports publics un soir de match.
Burnley, c’est là que le Genevois de 22 ans a décidé de continuer sa carrière, après Étoile Carouge, le Stade Lausanne Ouchy, le LS et Bâle. Son ascension météorique lui a ouvert les portes de la Premier League, mais pas la première division anglaise en mode Disneyland comme dans les deux clubs de Manchester, à Liverpool ou chez les mastodontes londoniens.
Dans cette ville d’un peu plus de 70’000 habitants coincée entre les jolies collines du Lancashire, on peut encore acheter des billets de match quelques jours avant la rencontre pour une quarantaine de livres, sans devoir vider son compte en banque pour s’offrir des tickets à la revente. Burnley, c’est un de ces endroits où on sait qu’il y a un club de foot, et on est bien davantage capable de situer cette équipe dans le classement du championnat anglais que sur une carte de la Grande-Bretagne. D’ailleurs, tentez de mettre le nom de cette ville dans votre moteur de recherche préféré, qui est fait comme nous: le Burnley FC sort avant la ville de Burnley. À la descente de l’avion et des trains, imaginez la ville anglaise typique, et c’est exactement ce qui est proposé au groundhopper(ndlr: personne dont le passe-temps consiste à assister à des matches dans autant de stades que possible) ou au journaliste en reportage.
Des maisons en briques rouges comme d’hab, un charmant petit centre-ville avec une zone piétonne où un commerce sur trois est fermé, un marché couvert qui ne respire pas la prospérité et qui sent bon le gras (on vous recommande la boule de Berlin fourrée à la crème). C’est aussi ce magasin improbable appelé «CHF», qui n’a rien à voir avec le franc suisse et qui tente d’écouler auprès des passants des maillots de football du monde entier, mais aussi des sofas. Allez comprendre. Plus loin, deux autres incongruités encore. À un carrefour, il y a comme un container qu’on utiliserait en Suisse pour mettre les bouteilles en PET. Stupeur en le croisant: il s’agit d’un endroit où se débarrasser de ses couteaux, de son épée ou de sa machette. Engageant! Pas forcément moins dangereux, quelques mètres en direction du stade plus loin, le Royal Dyche, soit le pub nommé il y a cinq ans en l’honneur de Sean Dyche, aujourd’hui coach d’Everton, ancien entraîneur du Burnley FC pendant dix ans et véritable légende des lieux.
Pas encore très demandé à la boutique
Et puis, forcément, ce samedi, Burnley, c’était ce match contre le Crystal Palace de Roy Hodgson (76 ans). L’entraîneur n’a presque pas bougé depuis qu’il est passé par la Suisse, c’est dingue! Avec Zeki Amdouni encore et toujours titulaire pour Burnley. Le Suisse ne fait pas vendre des tas de maillots autour de Turf Moor; c’est plutôt son compère Luca Koleosho, un ailier gauche, qui a les faveurs des jeunes Burnliens à la boutique du club ou dans la sympathique fan zone couverte située juste à côté du stade. Mais l’Américain ne fait pas gagner de matches non plus.
Car sur le pré, ça n’a pas rigolé samedi. Burnley a été battu par Crystal Palace (0-2) et se retrouve à égalité avec la lanterne rouge, Sheffield United. Zeki Amdouni s’est démené sur le front de l’attaque, avant de sortir à un quart d’heure de la fin. Le public a applaudi, comme il a fait une ovation ensuite à sa troupe, malgré la morosité ambiante. La Premier League, ça s’apprécie, et ça aussi, c’était une belle découverte.
LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
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Re: News d'anciens lausannois
Excellent début d'article !LKK a écrit:À Burnley, Zeki Amdouni goûte au «vrai» football anglais
Le Genevois de 22 ans, passé notamment par le LS et le SLO, a rejoint le meilleur championnat du monde cet été, dans un endroit pas comme les autres. Découverte.
Robin Carrel, Burnley robin.carrel@lematindimanche.ch
Et si aller voir Zeki Amdouni à Turf Moor était finalement plus simple qu’aller, à l’époque, l’admirer en transports publics sur les hauts de Lausanne? Parce qu’on rejoint assez vite le stade de Burnley au départ de la Suisse. Un avion pour Manchester, deux trains, quelques minutes à pied et le tour est joué. Allez, trois ou quatre heures, montre en main, en tout, alors que personne n’a encore compris comment rejoindre les enceintes des Plaines-du-Loup en transports publics un soir de match.
Burnley, c’est là que le Genevois de 22 ans a décidé de continuer sa carrière, après Étoile Carouge, le Stade Lausanne Ouchy, le LS et Bâle. Son ascension météorique lui a ouvert les portes de la Premier League, mais pas la première division anglaise en mode Disneyland comme dans les deux clubs de Manchester, à Liverpool ou chez les mastodontes londoniens.
Dans cette ville d’un peu plus de 70’000 habitants coincée entre les jolies collines du Lancashire, on peut encore acheter des billets de match quelques jours avant la rencontre pour une quarantaine de livres, sans devoir vider son compte en banque pour s’offrir des tickets à la revente. Burnley, c’est un de ces endroits où on sait qu’il y a un club de foot, et on est bien davantage capable de situer cette équipe dans le classement du championnat anglais que sur une carte de la Grande-Bretagne. D’ailleurs, tentez de mettre le nom de cette ville dans votre moteur de recherche préféré, qui est fait comme nous: le Burnley FC sort avant la ville de Burnley. À la descente de l’avion et des trains, imaginez la ville anglaise typique, et c’est exactement ce qui est proposé au groundhopper(ndlr: personne dont le passe-temps consiste à assister à des matches dans autant de stades que possible) ou au journaliste en reportage.
Des maisons en briques rouges comme d’hab, un charmant petit centre-ville avec une zone piétonne où un commerce sur trois est fermé, un marché couvert qui ne respire pas la prospérité et qui sent bon le gras (on vous recommande la boule de Berlin fourrée à la crème). C’est aussi ce magasin improbable appelé «CHF», qui n’a rien à voir avec le franc suisse et qui tente d’écouler auprès des passants des maillots de football du monde entier, mais aussi des sofas. Allez comprendre. Plus loin, deux autres incongruités encore. À un carrefour, il y a comme un container qu’on utiliserait en Suisse pour mettre les bouteilles en PET. Stupeur en le croisant: il s’agit d’un endroit où se débarrasser de ses couteaux, de son épée ou de sa machette. Engageant! Pas forcément moins dangereux, quelques mètres en direction du stade plus loin, le Royal Dyche, soit le pub nommé il y a cinq ans en l’honneur de Sean Dyche, aujourd’hui coach d’Everton, ancien entraîneur du Burnley FC pendant dix ans et véritable légende des lieux.
Pas encore très demandé à la boutique
Et puis, forcément, ce samedi, Burnley, c’était ce match contre le Crystal Palace de Roy Hodgson (76 ans). L’entraîneur n’a presque pas bougé depuis qu’il est passé par la Suisse, c’est dingue! Avec Zeki Amdouni encore et toujours titulaire pour Burnley. Le Suisse ne fait pas vendre des tas de maillots autour de Turf Moor; c’est plutôt son compère Luca Koleosho, un ailier gauche, qui a les faveurs des jeunes Burnliens à la boutique du club ou dans la sympathique fan zone couverte située juste à côté du stade. Mais l’Américain ne fait pas gagner de matches non plus.
Car sur le pré, ça n’a pas rigolé samedi. Burnley a été battu par Crystal Palace (0-2) et se retrouve à égalité avec la lanterne rouge, Sheffield United. Zeki Amdouni s’est démené sur le front de l’attaque, avant de sortir à un quart d’heure de la fin. Le public a applaudi, comme il a fait une ovation ensuite à sa troupe, malgré la morosité ambiante. La Premier League, ça s’apprécie, et ça aussi, c’était une belle découverte.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Donegal38 aime ce message
Re: News d'anciens lausannois
Kololli va quitter son club au Japon
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Re: News d'anciens lausannois
Benjamin Kololli quitte le Shimizu S-Pulse
Après deux ans passé au Shimizu S-Pulse, Benjamin Kololli quitte la formation japonaise comme il l'a annoncé sur Instagram.
C'est en 2021, après trois saisons passées au FC Zurich que l'international kosovar a décidé de traverser le glober pour tenter l'expérience en première division japonaise. Avec Shimizu, le Bellerin a disputé 49 matches pour sept buts et deux passes décisives. Où la carrière de l'ancien lausannois se poursuivra-t-elle? Réponse dans les prochaines semaines.
Après deux ans passé au Shimizu S-Pulse, Benjamin Kololli quitte la formation japonaise comme il l'a annoncé sur Instagram.
C'est en 2021, après trois saisons passées au FC Zurich que l'international kosovar a décidé de traverser le glober pour tenter l'expérience en première division japonaise. Avec Shimizu, le Bellerin a disputé 49 matches pour sept buts et deux passes décisives. Où la carrière de l'ancien lausannois se poursuivra-t-elle? Réponse dans les prochaines semaines.
zodov- Date d'inscription : 23/06/2009
Re: News d'anciens lausannois
Si "la maison" c'est le FC Monthey, pourquoi pas?kok9 a écrit:hé, un retour à la maison !?
neLSon- Date d'inscription : 21/03/2022
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Re: News d'anciens lausannois
https://www.24heures.ch/le-genevois-brille-au-portugal-le-pari-risque-de-maxime-dominguez-est-un-coup-de-maitre-909269578360
Le pari risqué de Maxime Dominguez est un coup de maître
Le meneur de jeu de 27 ans s'éclate à Gil Vicente. En dix matchs, il a inscrit cinq buts et donné trois passes décisives.
Valentin Schnorhk
Publié: 08.11.2023, 11h00
À la base, ce n'était pas le plan. Mais l'imprévu a du bon. Maxime Dominguez brille, et plus grand monde ne le rate. Le destin, dans ce cas-là, aura été un sacré allié. Il lui permet d'être un des joueurs en vogue de la Liga portugaise, l'un des sept meilleurs championnats européens. Parce qu'avec Gil Vicente, le Genevois cartonne en ce début de saison, avec cinq buts inscrits et trois passes décisives en dix matches. Surtout, il vient de marquer à chacune de ses trois dernières sorties.
«Je me sens vraiment bien, je me plais ici, je ne pensais pas m'intégrer aussi vite», sourit le milieu offensif, formé à Servette. Il fallait avoir le nez fin pour sortir des lieux communs, faire ce qu'aucun joueur ne fait normalement et prendre ce risque qui, après coup, en était tout sauf un: enchaîner deux transferts en quelques semaines.
On rembobine. Au début de l'été, le Genevois avait quitté son club de Legnica (où il était depuis deux saisons, après avoir quitté la Suisse) pour s'engager avec le Rakow Czestochowa, champion de Pologne en titre. Puis, fin juillet, il avait choisi de signer finalement à Gil Vicente, dans la ville de Barcelos, au Portugal.
Un style qui convient
Maxime Dominguez a 27 ans, et que son talent soit reconnu ne surprend pas. C'est plus le temps que cela a pris pour qu'on lui accorde une réelle crédibilité qui interpelle. À Servette, à Zurich, à Lausanne, à Neuchâtel Xamax, les observateurs lui ont toujours admis un talent, une technique hors du commun, un pied gauche à la finesse délicieuse. Ce qu'on lui reprochait, à tort ou à raison, c'était son manque de gabarit, sa légèreté supposée.
Au Portugal, la carrure de Dominguez n'a pas changé. Mais peut-être que la façon dont on appréhende le football là-bas colle plus à ses qualités. «Clairement, il y a un style qui me convient parfaitement, décrit-il. Tout y est plus ouvert, il y a beaucoup d'actions, peu de calcul.» Une conception du jeu où la technique est au centre, où le geste bien réalisé vaut un peu plus que le duel plus agressif.
«Plus complet»
Défensivement, d'ailleurs, le meneur de jeu affiche des statistiques qui le placent parmi les meilleurs du championnat portugais à son poste. Cela découle d'une affirmation sur le terrain, d'une capacité à enchaîner les matchs (il a toujours été titulaire depuis le début de saison) et, donc, d'une régularité dans les performances.
«Avec le temps, je suis devenu un joueur plus complet, admet Dominguez. Je connais l'importance prise par les statistiques. Alors, j'essaie de jouer plus simplement, en deux touches de balle, et de me projeter ensuite dans la surface. Et ici, mon adaptation s'est faite vachement rapidement, avec un groupe qui vit bien, et un coach qui me voulait. Ça m'aide à être décisif.»
Le destin de Dominguez tient beaucoup d'un seul homme: Vitor Campelos, l'entraîneur de Gil Vicente. Il y a quelques années, celui-ci avait repéré le milieu de terrain. Avant de tenter plusieurs fois sa chance pour le recruter, pour finalement le signer fin juillet. «Il me suivait depuis longtemps, confirme celui qui porte le numéro 8 dans son nouveau club. Il me met en avant, il me fait sentir que je suis important. Ce sont des choses qui m'aident à être en confiance, à être décisif. Les buts viennent ensuite.» Dans le jeu, sur coup franc (contre Benfica fin août), sur penalty (il y a deux semaines contre Braga). Bref, le sentiment d'un joueur qui s'accomplit totalement.
Au défi des plus grands
Ça ne vient pas tout seul. C'est un contexte global qui facilite l'épanouissement. C'est un confort de vie, une culture locale qui rappelle ses racines galiciennes. «Ici, je ne suis qu'à deux heures et demie de La Corogne, en face de chez moi, il y a la plage, les gens sont ouverts», liste-t-il.
Et puis, il y a des affiches qui stimulent l'intéressé, autant qu'elles attirent le regard des autres. Avec Gil Vicente, Maxime Dominguez a déjà affronté Benfica, Braga et Porto. Il ira défier le leader Sporting chez lui après la trêve internationale. «Contre Benfica, notre stade était déjà plein une heure et demie avant le match, revoit-il. À Porto, l'ambiance était incroyable, la pelouse exceptionnelle. Quand tu joues contre ces gros clubs, tu fais face à des joueurs de classe mondiale. Le niveau est impressionnant. Je prends vraiment beaucoup de plaisir.» Cela se voit.
Un championnat qui attire
En Pologne, où il a évolué deux saisons (une en D2, puis une en D1), Maxime Dominguez s'était fait un petit nom grâce à ses prestations. D'où son transfert chez le champion Rakow Czestochowa. S’il n'était pas parti pour Gil Vicente quelques semaines plus tard, il y aurait sans doute joué l'Europa League, mais au quotidien, pas simple de suivre le championnat polonais, loin d'être exposé.
Tout le contraire du football portugais. Là, les recruteurs de toute l'Europe posent leurs yeux. Ils suivent ce qu'il s'y passe, prêts à dégainer une offre. Performer en Liga, c'est l'opportunité de s'ouvrir des portes. Et pour Dominguez, cela ne manque pas: «On m'a déjà un peu contacté», confirme-t-il.
Tout en gardant la tête sur les épaules: «Ça ne s'arrête pas à dix matchs, disserte le Genevois. Je dois rester constant, afin que cela m'ouvre des portes sur le long terme.» Parce que, tout de même, c'est un objectif. Histoire de s'offrir un bout de la carrière qui était un temps destinée à cet ancien international suisse chez les juniors.
Le pari risqué de Maxime Dominguez est un coup de maître
Le meneur de jeu de 27 ans s'éclate à Gil Vicente. En dix matchs, il a inscrit cinq buts et donné trois passes décisives.
Valentin Schnorhk
Publié: 08.11.2023, 11h00
À la base, ce n'était pas le plan. Mais l'imprévu a du bon. Maxime Dominguez brille, et plus grand monde ne le rate. Le destin, dans ce cas-là, aura été un sacré allié. Il lui permet d'être un des joueurs en vogue de la Liga portugaise, l'un des sept meilleurs championnats européens. Parce qu'avec Gil Vicente, le Genevois cartonne en ce début de saison, avec cinq buts inscrits et trois passes décisives en dix matches. Surtout, il vient de marquer à chacune de ses trois dernières sorties.
«Je me sens vraiment bien, je me plais ici, je ne pensais pas m'intégrer aussi vite», sourit le milieu offensif, formé à Servette. Il fallait avoir le nez fin pour sortir des lieux communs, faire ce qu'aucun joueur ne fait normalement et prendre ce risque qui, après coup, en était tout sauf un: enchaîner deux transferts en quelques semaines.
On rembobine. Au début de l'été, le Genevois avait quitté son club de Legnica (où il était depuis deux saisons, après avoir quitté la Suisse) pour s'engager avec le Rakow Czestochowa, champion de Pologne en titre. Puis, fin juillet, il avait choisi de signer finalement à Gil Vicente, dans la ville de Barcelos, au Portugal.
Un style qui convient
Maxime Dominguez a 27 ans, et que son talent soit reconnu ne surprend pas. C'est plus le temps que cela a pris pour qu'on lui accorde une réelle crédibilité qui interpelle. À Servette, à Zurich, à Lausanne, à Neuchâtel Xamax, les observateurs lui ont toujours admis un talent, une technique hors du commun, un pied gauche à la finesse délicieuse. Ce qu'on lui reprochait, à tort ou à raison, c'était son manque de gabarit, sa légèreté supposée.
Au Portugal, la carrure de Dominguez n'a pas changé. Mais peut-être que la façon dont on appréhende le football là-bas colle plus à ses qualités. «Clairement, il y a un style qui me convient parfaitement, décrit-il. Tout y est plus ouvert, il y a beaucoup d'actions, peu de calcul.» Une conception du jeu où la technique est au centre, où le geste bien réalisé vaut un peu plus que le duel plus agressif.
«Plus complet»
Défensivement, d'ailleurs, le meneur de jeu affiche des statistiques qui le placent parmi les meilleurs du championnat portugais à son poste. Cela découle d'une affirmation sur le terrain, d'une capacité à enchaîner les matchs (il a toujours été titulaire depuis le début de saison) et, donc, d'une régularité dans les performances.
«Avec le temps, je suis devenu un joueur plus complet, admet Dominguez. Je connais l'importance prise par les statistiques. Alors, j'essaie de jouer plus simplement, en deux touches de balle, et de me projeter ensuite dans la surface. Et ici, mon adaptation s'est faite vachement rapidement, avec un groupe qui vit bien, et un coach qui me voulait. Ça m'aide à être décisif.»
Le destin de Dominguez tient beaucoup d'un seul homme: Vitor Campelos, l'entraîneur de Gil Vicente. Il y a quelques années, celui-ci avait repéré le milieu de terrain. Avant de tenter plusieurs fois sa chance pour le recruter, pour finalement le signer fin juillet. «Il me suivait depuis longtemps, confirme celui qui porte le numéro 8 dans son nouveau club. Il me met en avant, il me fait sentir que je suis important. Ce sont des choses qui m'aident à être en confiance, à être décisif. Les buts viennent ensuite.» Dans le jeu, sur coup franc (contre Benfica fin août), sur penalty (il y a deux semaines contre Braga). Bref, le sentiment d'un joueur qui s'accomplit totalement.
Au défi des plus grands
Ça ne vient pas tout seul. C'est un contexte global qui facilite l'épanouissement. C'est un confort de vie, une culture locale qui rappelle ses racines galiciennes. «Ici, je ne suis qu'à deux heures et demie de La Corogne, en face de chez moi, il y a la plage, les gens sont ouverts», liste-t-il.
Et puis, il y a des affiches qui stimulent l'intéressé, autant qu'elles attirent le regard des autres. Avec Gil Vicente, Maxime Dominguez a déjà affronté Benfica, Braga et Porto. Il ira défier le leader Sporting chez lui après la trêve internationale. «Contre Benfica, notre stade était déjà plein une heure et demie avant le match, revoit-il. À Porto, l'ambiance était incroyable, la pelouse exceptionnelle. Quand tu joues contre ces gros clubs, tu fais face à des joueurs de classe mondiale. Le niveau est impressionnant. Je prends vraiment beaucoup de plaisir.» Cela se voit.
Un championnat qui attire
En Pologne, où il a évolué deux saisons (une en D2, puis une en D1), Maxime Dominguez s'était fait un petit nom grâce à ses prestations. D'où son transfert chez le champion Rakow Czestochowa. S’il n'était pas parti pour Gil Vicente quelques semaines plus tard, il y aurait sans doute joué l'Europa League, mais au quotidien, pas simple de suivre le championnat polonais, loin d'être exposé.
Tout le contraire du football portugais. Là, les recruteurs de toute l'Europe posent leurs yeux. Ils suivent ce qu'il s'y passe, prêts à dégainer une offre. Performer en Liga, c'est l'opportunité de s'ouvrir des portes. Et pour Dominguez, cela ne manque pas: «On m'a déjà un peu contacté», confirme-t-il.
Tout en gardant la tête sur les épaules: «Ça ne s'arrête pas à dix matchs, disserte le Genevois. Je dois rester constant, afin que cela m'ouvre des portes sur le long terme.» Parce que, tout de même, c'est un objectif. Histoire de s'offrir un bout de la carrière qui était un temps destinée à cet ancien international suisse chez les juniors.
centvingt- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 01/09/2008
kok9 aime ce message
Re: News d'anciens lausannois
Puertas est en train de faire sa place : encore 2 passes de but ce weekend.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: News d'anciens lausannois
Reto Gertschen entraîneur des Suissesses A. En tout cas par interim.
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: News d'anciens lausannois
"Il melon" Celestini dans le blick à propos de ses différentes expériences en tant qu'entraîneur :
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/fabio-celestini-a-c-ur-ouvert-jai-achete-des-slips-a-certains-joueurs-id19164226.html
"Pour le cosmopolite Celestini, qui a beaucoup voyagé, c'est une première épreuve compliquée. «C'était difficile, il n'y avait pas de maillots, pas de cônes pour l'entraînement. A certains joueurs, j'ai acheté des slips pour jouer au foot». Peu après l'arrivée d'Ineos à Lausanne, il est licencié. Sans force. Proche du burnout".
Il faut quand même. à la lecture de cet article, replacer quelque peu l'église au milieu du village.
Selon lui, tous les présidents et tous les clubs sont merveilleux (Constantin, Renzetti etc.) sauf le LS pour lequel, son passage se résume à une une seule et unique anecdote ridicule en dessous de la ceinture.
Quel merveilleux clubiste... à la mémoire courte. Faut il rappeler ce que devrait représenter aussi le LS pour "le Maître" ?
- Un club qui l'a cherché en 3ème division italienne, alors qu'il avait été remercié pour insuffisance de résultats (11 points en 9 matchs, 2 victoires pour 5 matchs nuls et 2 défaites)
- Un club qui lui a laissé les quasi-pleins pouvoirs pour façonner l'équipe à sa façon (joueurs, style)
- Un club qui l'a conservé et soutenu malgré une série record de 14 (sauf erreur) matchs sans victoires en 2016-2017
- Un président (Alain Joseph) qui a remit les clés du LS à INEOS en ventant les mérites de cet entraîneur - en Super league et avec une 5ème place au classement
Et la suite ?
- Un club sous la présidence de Monsieur Thomson qui le laisse faire des achats faramineux et "plutôt ratés" pour la bagatelle de 2 millions (Rapp et Margiotta entre autres)
- Un club qui (re)plongera pour finir le LS en Challenge league et qui provoquera le début d'une certaine méfiance (ou un certain regard plus marqué) d'Ineos
- Un rapport avec les supporters plus que limite. Bon nombre se rappellent qu'on ne devait pas déranger Fabio - pardon Monsieur Celestini.
Il faut dire qu'il était passé par Marseille et la Ligua Espagnole. Pardon !
Il serait bon que Fabio n'oublie pas non plus que le LS a été le tremplin de sa vie d'entraîneur et de joueur.
Sur ce, on lui souhaite quand même tout de bon au FC Bâle - avec plus de 6 mois à la clé.
https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/fabio-celestini-a-c-ur-ouvert-jai-achete-des-slips-a-certains-joueurs-id19164226.html
"Pour le cosmopolite Celestini, qui a beaucoup voyagé, c'est une première épreuve compliquée. «C'était difficile, il n'y avait pas de maillots, pas de cônes pour l'entraînement. A certains joueurs, j'ai acheté des slips pour jouer au foot». Peu après l'arrivée d'Ineos à Lausanne, il est licencié. Sans force. Proche du burnout".
Il faut quand même. à la lecture de cet article, replacer quelque peu l'église au milieu du village.
Selon lui, tous les présidents et tous les clubs sont merveilleux (Constantin, Renzetti etc.) sauf le LS pour lequel, son passage se résume à une une seule et unique anecdote ridicule en dessous de la ceinture.
Quel merveilleux clubiste... à la mémoire courte. Faut il rappeler ce que devrait représenter aussi le LS pour "le Maître" ?
- Un club qui l'a cherché en 3ème division italienne, alors qu'il avait été remercié pour insuffisance de résultats (11 points en 9 matchs, 2 victoires pour 5 matchs nuls et 2 défaites)
- Un club qui lui a laissé les quasi-pleins pouvoirs pour façonner l'équipe à sa façon (joueurs, style)
- Un club qui l'a conservé et soutenu malgré une série record de 14 (sauf erreur) matchs sans victoires en 2016-2017
- Un président (Alain Joseph) qui a remit les clés du LS à INEOS en ventant les mérites de cet entraîneur - en Super league et avec une 5ème place au classement
Et la suite ?
- Un club sous la présidence de Monsieur Thomson qui le laisse faire des achats faramineux et "plutôt ratés" pour la bagatelle de 2 millions (Rapp et Margiotta entre autres)
- Un club qui (re)plongera pour finir le LS en Challenge league et qui provoquera le début d'une certaine méfiance (ou un certain regard plus marqué) d'Ineos
- Un rapport avec les supporters plus que limite. Bon nombre se rappellent qu'on ne devait pas déranger Fabio - pardon Monsieur Celestini.
Il faut dire qu'il était passé par Marseille et la Ligua Espagnole. Pardon !
Il serait bon que Fabio n'oublie pas non plus que le LS a été le tremplin de sa vie d'entraîneur et de joueur.
Sur ce, on lui souhaite quand même tout de bon au FC Bâle - avec plus de 6 mois à la clé.
Dernière édition par Scoopex le Ven 24 Nov 2023 - 18:28, édité 1 fois
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
dudu, mic, Blue Raph, Old School, Fabienne, Lessing, lausarme et aiment ce message
kok9 n'aime pas ce message
Re: News d'anciens lausannois
Joël Monteiro prolongé à YB jusqu'en 2026 !
kok9- Date d'inscription : 29/08/2013
Re: News d'anciens lausannois
Puertas buteur contre Liverpool
lausarme- Date d'inscription : 18/10/2007
dudu et kok9 aiment ce message
Re: News d'anciens lausannois
[quote="lausarme"]Puertas buteur contre Liverpool [/quote
Et meilleur joueur sur le terrain. Il commence à avoir une sacrée cote en Europe...
Et meilleur joueur sur le terrain. Il commence à avoir une sacrée cote en Europe...
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: News d'anciens lausannois
Ndoye dans les 10 meilleurs dribleurs d’Europe selon wyscout/insta LS academy.
Puertas 2ème meilleur passeur ! https://www.transfermarkt.fr/statistik/topvorlagengeber
Fier de nos boys
Même si toutes les stats ne coïncident pas, c’est flatteur pour notre formation!
Puertas 2ème meilleur passeur ! https://www.transfermarkt.fr/statistik/topvorlagengeber
Fier de nos boys
Même si toutes les stats ne coïncident pas, c’est flatteur pour notre formation!
LSDyl- Date d'inscription : 06/07/2021
kok9 aime ce message
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