Super League 2024-2025

Par contre bloquer un weekend pour deux matchs concernant 3 équipes sur 12, c'est ridicule surtout au vu calendrier démentiel qui va suivre.
La challenge league jouant en parallèle dommage de pas faire de même.

Mike21 a écrit:Par contre bloquer un weekend pour deux matchs concernant 3 équipes sur 12, c'est ridicule surtout au vu calendrier démentiel qui va suivre.
La challenge league jouant en parallèle dommage de pas faire de même.

C'est la ou je voulais en venir, 1 week-end pour 2 match et le championnat en semaine cela n'a pas de sens.

Ceux qui viendront à Lausanne, ce sera certainement aussi en car en semaine pour le championnat. Donc ça change pas grand chose.
Je pense que notre championnat doit finir plus tôt à cause des JO et surtout de l'Euro. Et c'est pour cette raison qu'on a droit à des semaines anglaises pour la fin.
Pour ma part je trouve dommage qu'on joue qu'en semaine à Lausanne. Le bon côté pour ceux qui se déplacent est que les matchs à l'extérieur sont le week-end. Bon là Yverdon et SLO, c'est pas le gros déplacement...

lausarme a écrit:

Matt a écrit:

lausarme a écrit:

Matt a écrit:Week-end prochain 1/2 finale de la coupe.
Cela peut jouer un rôle d'après toi?

Donc tout le monde s'arrête de jouer le week-end pour regarder les demi-finale de coupe ?
Le championnat doit être prioritaire et les demi-finales de coupes le mercredi soir. C'est mon avis en tout cas.

Facile de dire ça quand tu ne te déplaces pas^^

Quel est le rapport ? Parce que vous allez supporter Winterthour contre Servette peut-être ?

Pas mal vont y aller oui perso je trouve ça bien de faire jouer ces matchs le week-end, mais je comprends pas trop pourquoi les autres ne jouent pas (comme en Angleterre ce week-end).
Ca va me permettre d'aller voir un autre match sans rater le LS du coup

https://www.blick.ch/fr/sport/football/super_league/deux-alemaniques-recales-tous-les-clubs-romands-ont-obtenu-la-licence-id19664738.html

Sûrement un problème de chasse d'eau ou de hauteur des tireuses à bières, pour Winti. La SFL a encore frappé.

Le résumé des buts de cette saison :

https://m.youtube.com/watch?v=cwHO38MmI1U

Et dire que l'on va retrouver ces sales moineaux la saison prochaine......

https://www.blick.ch/fr/news/suisse/erreur-aussi-flagrante-que-le-penalty-le-nouvelliste-envoie-par-erreur-le-fc-sion-en-finale-de-coupe-suisse-id19689302.html

Poisson d'avril

Je préfére 1000x jouer Sion que SLO...

Pour le plaisir des yeux !

In 24h en ligne.Valentin Schnorhk

Il y avait près de 650 supporters lausannois au Municipal
Que s’est-il passé à Yverdon dimanche, aux abords du Municipal, après la victoire 3-1 des Nord-Vaudois sur le Lausanne-Sport? Des escarmouches, relativise-t-on de part et d’autre.

À sa sortie de l’enceinte, le cortège composé de 650 Lausannois s’est arrêté à hauteur du pont qui fait le lien entre les deux enceintes sportives yverdonnoises: la patinoire d’un côté, le stade de l’autre. Là où les supporters filent habituellement directement vers la gare, une vingtaine de Lausannois se seraient arrêtés pour injurier des supporters classiques, pas forcément reconnus comme ultras.

«Selon les éléments en notre connaissance, les supporters lausannois, alors sur le chemin de la gare, ont répondu à des insultes des supporters adverses, communique le Lausanne-Sport. Les supporters lausannois et yverdonnois ont été repoussés par les agents du maintien de l’ordre.»


En effet, selon nos informations, les délégués à la sécurité d’Yverdon Sport se sont interposés, aidés en recours par les forces de police qui ont dû faire usage de gaz lacrymogènes. Un camion lanceur d’eau était également présent, mais uniquement posté en retrait à titre préventif. Sans devoir être actionné. Aucun blessé n’a été recensé. Et pas davantage d’arrestations, indique la police vaudoise.

«Il n’y a pas eu de guérilla urbaine, détaille Billy Warpelin, responsable de la sécurité du club nord-vaudois. Une partie des ultras du Lausanne-Sport a voulu en découdre. Mais le dispositif policier a bien fonctionné, les forces de l’ordre ayant tout fait dans le bon timing. Ce qui me navre le plus, c’est le manque de respect envers les supporters locaux, il y avait des enfants de 7 ou 8 ans qui étaient là.» Les ultras yverdonnois, eux, en revanche, étaient a priori encore dans leur tribune au moment des faits.

«Pas verser dans le tout sécuritaire»
Pour Yverdon Sport, ces débordements font cependant un peu tache. Depuis le début de saison, le club nord-vaudois a détonné dans le paysage du football suisse avec un concept d’accueil des supporters adverses essentiellement basé sur le dialogue et la prévention, plutôt que sur la répression. Avec, il faut le relever, un véritable succès, puisque les problèmes ont été très rares aux abords du Municipal.

Dimanche, l’approche était identique. Billy Warpelin avait eu un contact en amont avec les leaders des groupes lausannois, et cela a permis un échange constant. La police n’était pas plus présente que d’habitude. Qu’en tirer comme conclusions? «Lors de certains matches, nous devrons sans doute repenser une partie du dispositif, tout en restant dans le même concept, insiste le patron de la sécurité. Nous n’allons pas bazarder ce qui a été fait pour verser dans le tout sécuritaire.»

Yverdon aura un dernier match à domicile à disputer le 18 mai prochain. Ce sera contre Lucerne. Avec un enjeu moindre, normalement.

C'est sûrement le journaliste qui raconte n'importe quoi, mais on parle quand même d'agités qui s'en sont pris à des supporters lambdas, dont des enfants.
Si ça s'avère exacte, le KSL devrait faire une sérieuse mise au point avec leurs cagoulés de service.

Il y a rien eu qui mérite 2 articles. Les supporters yverdonnois provoquent les lausannois qui passent devant et forcément certains s'énervent vu le match. Finalement c'est le même problème qu'à Lausanne ou le cortège passe devant le secteur domicile. J'imagine qu'il y a beaucoup moins de provocations et de monde quand c'est Zürich ou Bâle qui débarque.

Je suis passé avant les événements, je ne peux rien affirmer.

Le "forcément certains s'énervent" n'est quand même pas une fatalité (on parle à priori de gens doués de raison) !

Mon observation : il y a dans le KSL un groupe de guignols systématiquement cagoulés, visiblement en charge des pyros et pour qui le match semble le dernier de leurs soucis : ils sont là pour se la jouer commando (je mettrai ça sur le compte de l'âge).

L'article parle de gars cagoulés : je fais le lien.

Même s'il ne s'est rien passé qui mérite un article, je ne suis pas sûr que de devoir utiliser des gaz lacrymogènes soit "rien", ni normal à la fin d'un match.

Comme déjà dit, le KSL n'est pas à l'abri d'un vrai dérapage, et ça serait dommage vu le travail accompli.

C'est normal d'être cagoulé pour la pyro si tu veux éviter une interdiction de stade...

ouais, on tourne en rond, là...

Ben ouais on tourne en rond vu qu'y a rien à dire sur un incident généré par les racaillons d'Yverdon. Un incident comme il y en a chaque week-end autour des stades alémaniques ou régulièrement parmi les noceurs du Flon.

Dans le train (pas le spécial), il y avait un gars qui avait pris du spray au poivre dans la gueule.
Ça ne me paraît ni normal, ni rien : on ne peut pas banaliser la violence (bien sûr que les racaillont sont yverdonnois et que nos cagoulés sont des anges, ça va de soi).

Je lis souvent l'expression "spectateur lambda" et j'avoue ne pas véritablement comprendre cette volonté de catégoriser les gens qui viennent au stade.

Tout simplement parce que les "spectateurs lambdas" aiment aussi souvent se mélanger aux amateurs de doigt d'honneur, gestes obscènes, provocations verbales et physiques, jets d'objets, etc...

Il ne faut pas s'étonner que le boomerang reviennent parfois en pleine "poire".

Pour les parents accompagnés de leurs enfants qui sont assez stupides de vouloir se mélanger aux moments chauds ou regarder défiler les supporters adverses en y ajoutant des provocations, je n'ai finalement aucune empathie. On peut toujours chercher à minimiser les risques par sa propre attitude.

Yverdon a aussi ses "habitants à problèmes". Des jeunes qui attendent le derby, sans forcément y assister, comme ils attendent le 31 décembre ou le 1er août... Ceux qui s'intéressent un peu aux choses sociales comprendront.

Les clés de lecture des faits, assez naïves de la part de certains, m'étonnent toujours.

Et comme le disait un de mes camarades suiveurs du sport lausannois depuis plus de 40 ans : "Si tu es assez grand pour faire des doigts d'honneur et balancer des insultes, tu l'es également pour prendre une baffe en retour!". CQFD.

ALLEZ LAUSANNE !

Bien sûr, mais ça revient à banaliser la violence et à considérer que, ma foi, il y a des lieux où il vaut mieux ne pas passer, et qu'entre bas de plafond c'est normal de se taper dessus. Que ce soit pire ailleurs ne change rien à l'affaire.

Je ne me retrouve pas dans cette philosophie (y compris les doigts d'honneur, c'est mon côté ...old school).
Les non-événements de dimanche ont eu lieu sur le chemin de la gare: je suis passé juste avant, parce que je n'ai pas traîné au stade; ça veut dire qu'à l'avenir, je dois faire le tour de la ville ?

Je n'arrive décidemment pas à trouver normal qu'un soutien à une équipe de foot ne puisse pas juste être bruyant et joyeux, et qu'une certaine forme de violence verbale ou physique fasse nécessairement partie du concept.
C'est d'autant plus dommage, encore une fois, que le KSL fait par ailleurs du super boulot au niveau de l'animation et du soutien à l'équipe.

Si on élargit le propos, il faut être conscients que les débordements donnent des arguments à ceux qui désirent limiter les déplacements de supporters.

Si on élargit le propos, il faut être conscients que les débordements donnent des arguments à ceux qui désirent limiter les déplacements de supporters.[/quote]

C'est bien ça le problème. Les journalistes (il faut l'écrire vite...) font effectivement le jeu de ceux qui pensent que seul le football d'élite est le théâtre de violences dans le canton.

En suivant cette logique, on pourra bientôt aussi interdire toutes les discothèques, le Luna Park, les piscines publiques, les écoles de certains quartiers, etc...

A la police et à la justice de faire correctement leur travail : arrestation en cas de violence avérée, jugement et sanction à la hauteur de l'infraction. Au cas par cas et en agissant individuellement. Les multi-récidivistes courent le soir les rues et ne risquent au final pas grand chose. Pourquoi devrait-il en être autrement dans et aux abords d'un stade ? Que l'on arrête de focaliser sur le KSL et/ou la Tuilière ! Ce problème de société est bien plus profond et (très) mal géré par nos autorités.

Tout ça me fait penser à Amnesty International qui vient régulièrement nous pondre des rapports sur les "conditions inhumaines des prisons suisses" en oubliant d'évoquer celles en Afghanistan, Turquie, Albanie, etc... Ou lorsque la Suisse est condamnée pour ne pas faire assez dans son combat en faveur de la planète.

Toujours ce malin plaisir à taper fort là où de nombreux efforts sont déjà consentis pour faire au mieux. Prendre Lausanne pour en faire ses choux gras en insistant sur la violence dans les stades, c'est quand même prendre les gens pour des imbéciles. Ce sensationnalisme local prêterait à sourire si personne ne lui faisait écho.

Les voyages sont bons pour la culture. Quelle qu'elle soit. Partez et observez !

Sur ce, j'abandonne personnellement et définitivement ce débat et pars me préparer pour le match de vendredi : casque, masque à gaz, tenue ignifuge, protections de combat. On reçoit Bâle à la Tuilière. Le monde du football aura les yeux rivés sur nous. Comment le club va-t-il gérer la guérilla urbaine provoquée par le KSL, dont la majorité des membres sont sortis illégalement des prisons les plus dangereuses de cette planète. J'ai interdit à mes enfants de sortir ce jour-là. Mais, par contre, nous irons bientôt assister au derby stambouliote. C'est plus safe. On y respire le football. Pas les fumigènes.

L'argument du "c'est pire ailleurs" (en effet, il y a des guerres un peu partout), c'est un peu court, et ne justifie pas la bêtise et la violence locale.
Bref.