ES Malley

Pas besoin de louer la Pontaise a des prix monstreux pour Malley, c'est un club Lausannois contrairement au Mont !

Didier Mann (ES Malley)
Ce soir au Bois-Gentil, L’ES Malley va se retrouver face au club d’origine de Richard Dürr. «Quand j’ai su qu’on allait affronter Brühl Saint-Gall, j’ai téléphoné à Richard Dürr pour lui demander de venir donner le coup d’envoi. Et il a accepté», se réjouit Didier Mann. Le directeur technique de l’ES Malley aborde ces deux matches avec réalisme et ambition. «Quand on joue au foot, on veut aller le plus loin possible, dit-il. Pour un club comme le nôtre, cette Challenge League n’est pas très viable, à plus forte raison qu’il n’y aura plus Lausanne, Servette et Yverdon, souligne-t-il. Mais c’est l’année idéale pour monter. Et si on y parvient, on assumera avec nos moyens.» Et de préciser: «Dans un projet régional, une promotion peut être une bonne chose. En évoluant en Challenge League – ou en première ligue promotion plus tard – on peut être une «deux» pour Lausanne-Sport.»

Didier Mann croit à la réforme récemment votée. «Pour les jeunes, c’est une bonne chose.» S’il monte, Malley devra quitter son vieux stade du Bois-Gentil pour la Pontaise. «Ce n’est pas un problème car, contrairement au FC Le Mont, nous sommes un club de la ville.»
B. M.