Super League 2023-2024

Bonnnnnn... Bennnnnnn... On a à nouveau une chance ahurissante avec les résultats d'hier soir.

Le pourcentage de maintien a encore augmenté ?

Situation inquiétante pour Xamax en grand risque de relégation en PL.
Binotto ne semble pas arriver a redresser la barre et ils vont jouer les trois premiers du classement a la suite. Comme quoi, poser certains noms sur le papier ne fait pas forcement un équipe et que directeur sportif n'est pas un poste superflu.

Xamax : Collet ! tout et dit ! idem pour Sion : CC !

Reckless One a écrit:Situation inquiétante pour Xamax en grand risque de relégation en PL.
Binotto ne semble pas arriver a redresser la barre et ils vont jouer les trois premiers du classement a la suite. Comme quoi, poser certains noms sur le papier ne fait pas forcement un équipe et que directeur sportif n'est pas un poste superflu.

Quand je vois que certains enviaient presque Xamax avec leur recrutement ( Domingez, Koura, etc....)
Ces noms réchauffés... les niçois sont pas si mal tout comptes fait

Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Mais n'oublions pas que rien est joué. Et que la saison prochaine, avec les prêts et éventuels départs, sera peut-être crispante, également.
Ce post pour réitérer mon opinion que la SL devrait être à 12 ou 14, la CHL également. En dessous la première ligue promotion devrait disparaître (vu le nombre plus élevé d'équipes en CHL et SL).

Une relégation de Xamax serait quand meme néfaste pour le football romand. Le public aura toujours plus d'intéret a nous voir jouer Neuch que Aarau ou Thoune.

Pour moi, une SL a 16 serait l'idéal pour un format simple a 30 matchs. GC, Xamax, Thoune, Schaffhouse, Winthi, Aarau on tous les infrastructures pour y figurer. Et un CHL semi-pro a 16 également avec les meilleurs de PL Promotion qui disparaitrait.

dudu a écrit:

Reckless One a écrit:Une relégation de Xamax serait quand meme néfaste pour le football romand. Le public aura toujours plus d'intéret a nous voir jouer Neuch que Aarau ou Thoune.

Pour moi, une SL a 16 serait l'idéal pour un format simple a 30 matchs. GC, Xamax, Thoune, Schaffhouse, Winthi, Aarau on tous les infrastructures pour y figurer. Et un CHL semi-pro a 16 également avec les meilleurs de PL Promotion qui disparaitrait.

Sauf que nous ne jouons pas dans la même ligue . . .  

On est bien d'accord. Je parle d'une future SL élargie pour laquelle ils devraient normalement etre un prétendant. Si ils se maintiennent en CL...

Je vous rejoins complètement
Ce format est absurde! Lausanne vient de faire 4m 10pts et si tu perds le prochain tu es de nouveau dans la mouise....
il faut absolument un ventre mou ....

Un match nul entre St Gall et FCZ qui nous arrange bien. On se detache...

D’ailleurs en regardant les 10 dernieres saisons, l’avant dernier n’a jamais depassé 38 points (sauf Aarau avec 42 points en 2014). Autant dire qu’il nous faut encore 3-4 points sur les 9 derniers matches pour dire adieu a la relegation et serainement se battre pour une place en Europa League

Les problèmes du FC Sion
Constantin au cœur de l’équaSion
Dernière place au classement, match de la peur à Vaduz ce dimanche, menace de relégation directe en Challenge League: gros plan sur les problèmes du FC Sion et de son président.

Daniel Visentini
Publié aujourd’hui à 08h21


À la mi-mars, Christian Constantin s’était propulsé entraîneur du FC Sion ad interim, avant l’arrivée de Marco Walker. Cela n’avait pas suffi pour éviter une défaite sans appel face à Servette.

Quatre années déjà que le FC Sion joue avec le feu. Quatre saisons à compter les points dans la fébrilité, au printemps. Les mêmes tourments, les mêmes erreurs, toujours le mélodrame en toile de fond et un homme pour incarner tout cela: Christian Constantin. On aurait tort d’habiller l’omnipotent président de tous les maux; on aurait tort aussi d’ignorer un management dépassé et ses conséquences. Sion est aujourd’hui la lanterne rouge du championnat avec trois points de retard sur la neuvième place, il s’apprête à disputer un match de la peur à Vaduz (9e justement) ce dimanche et même si les Valaisans devaient arracher au Liechtenstein l’idée d’un espoir, les dysfonctionnements chroniques disent une douleur permanente depuis trop longtemps.

Constantin est à la fois celui par qui le FC Sion peut exister et celui qui l’étouffe. Il est celui qui éponge le passif de ses budgets qui dépassent les 20 millions de francs; à ce titre, il prend la main sur toutes les décisions ou presque. Depuis la Porte d’Octodure, il est président, recruteur, entraîneur, coach mental, négociateur. Tout Constantin est dans sa choucroute royale: sous les hourras, il se présente par exemple en Napoléon, sans redouter Waterloo. Si le formidable succès populaire du gala est le sien, alors les problèmes sportifs et structurels aussi.


Impossible de remettre en cause sa passion: Christian Constantin aime Sion, il porte son club, il lui dessine des destins magiques, nationaux et européens. Depuis quatre ans, le club lutte pourtant contre la relégation en dépit des considérables moyens financiers investis. Et aujourd’hui, son équipe est dernière, plus menacé que jamais par une relégation directe en Challenge League. Il faut voir pourquoi.

La gestion sportive

Une équipe, ce sont des joueurs, un contingent constitué autour d’un entraîneur et de son staff technique. En amont, il doit y avoir une ligne directrice précise. Pour définir un projet, une philosophie de jeu, pour anticiper les arrivées et les départs, en accord avec le projet sportif. C’est le travail d’une cellule de recrutement.

À Sion? Il n’y a pas de cellule de recrutement, telle que formée dans la plupart des clubs qui veulent fonctionner professionnellement. À la place, il y a des agents qui gravitent autour du FC Sion et donc de son président, pour proposer des joueurs. On pense par exemple à Jean-Luc Witzel, agent de joueurs. Sur son compte LinkedIn, il stipule qu’il est «responsable recrutement joueurs pro chez FC Sion». Mais il n’apparaît nulle part dans l’organigramme du club.

Le regard désabusé sur la pelouse d’entraînement du FC Sion, Christian Constantin procède à une revue d’effectif: un contingent pléthorique et déséquilibré.
Le regard désabusé sur la pelouse d’entraînement du FC Sion, Christian Constantin procède à une revue d’effectif: un contingent pléthorique et déséquilibré.
Yvain Genevay
Il y a un directeur sportif. C’est le fils du président, Barthélémy Constantin. Difficile de se faire un prénom dans l’ombre du père. Celui qui décide reste Christian Constantin. L’homme aime les «coups» sur les marchés des transferts, des sortes de paris qui flattent surtout l’ego. La méthode a ses limites. S’offrir Seydou Doumbia, c’est joli sur le papier, ça l’est moins sur le terrain avec un buteur en bout de course. Une erreur de casting qui coûte cher. Et que Sion a reproduit cette saison avec Guillaume Hoarau. À la liste des paris coûteux et perdus, on peut ajouter Djourou et, cette saison, Lacroix pour lui faire écho. Ou, bien sûr, Valon Behrami. À l’arrivée, il y a un contingent pléthorique, déséquilibré.

Il y a un contre-exemple. Qui apparaît comme un bonheur tombé du ciel: Matheus Cunha. Le coup de chance, un jeune Brésilien, arrivé à l’été 2017, qui a filé la saison suivante à Leipzig pour près de 17 millions de francs. L’arbre qui cache la forêt?

Pour le reste, il existe à Sion énormément de joueurs qui naviguent entre la première équipe et la deuxième. Le matin, en arrivant à l’entraînement, nombre d’entre eux ne sait d’ailleurs pas avec quelle équipe ils vont s’entraîner: vestiaire de gauche, vestiaire de droite? Pas évident à vivre.

Ce mode de fonctionnement est au final très coûteux. Mais cela ne fait pas que des malheureux. Sur le site du FC Sion, on peut voir les comptes du club. Il y a un chapitre intitulé: «Montants versés aux agents et intermédiaires». Sur les seuls six derniers mois de l’année 2020 (de juillet à décembre), il est souligné que le FC Sion a versé aux agents, intermédiaires et en commissions de transferts un total qui avoisine les 2,2 millions de francs. Soit 10% du budget sur seulement six mois!

La gestion des hommes

«Ce n’est pas moi qui décide, c’est le Totomat.» Répété en boucle, le mantra du patron amuse. Sauf que cette pensée s’impose comme un couperet jamais démenti: des résultats chancelants, l’entraîneur saute. Cette fragilité est peut-être une conséquence de la gestion des hommes.

C’est un peu l’histoire de la poule et de l’œuf, mais qui ne tourne que dans un sens. Constantin vire ses entraîneurs parce qu’ils n’obtiennent pas les résultats voulus. Ou sinon, Sion est-il en déficit de résultats parce que ses entraîneurs sont limogés à une cadence infernale? Tiens: Marco Walker, le nouvel entraîneur qui vient à peine d’arriver, résisterait-il à une défaite à Vaduz ce dimanche? On peut déjà en douter.

La gestion des émotions

L’interventionnisme du président est aussi source de questionnement. Sous le coup de l’impulsion, Christian Constantin, gagné par l’émotion, dépasse volontiers les frontières de son rôle de dirigeant. Il est souvent arrivé qu’à la mi-temps d’un match, quand les choses se passent mal pour Sion, le président débarque dans le vestiaire, furieux. Là, il peut crier sur les joueurs et sur l’entraîneur, il peut même demander (doit-on dire exiger?) un changement et lequel.

La saison passée, cela ne s’est pas produit sous l’ère Tramezzani. Mais cela a été le cas avec Henchoz, Zermatten et Dionisio (quatre techniciens usés en une saison, presque la norme…). Résultat: l’entraîneur, à son corps défendant, se plie souvent au diktat. Corollaire: sa position et son autorité s’en trouvent d’autant fragilisées. Comment créer une dynamique de groupe autour d’un entraîneur, quand celui-ci est sous la pression constante de son président, devant les joueurs, témoins? Comment forger un esprit d’équipe quand les joueurs eux-mêmes vivent sous la même pression ou dans la crainte?

On devrait croire que les joueurs et l’entraîneur, privilégiés et très bien rémunérés par Constantin, doivent accepter cela. Que celui qui paie, précisément, a le droit de se montrer exigeant et d’imposer ses volontés. C’est faire peu de cas de la fragile alchimie interne, entre des joueurs et leur entraîneur, qui exige un climat serein et un respect des rôles des uns et des autres.

La gestion de la solitude

À Sion, il y a un homme tout-puissant, c’est une évidence. Cette position a longtemps été un avantage pour un club qui a bien besoin d’une direction capable d’assumer les charges. Christian Constantin a déjà englouti personnellement plusieurs dizaines de millions de francs pour tenter d’assouvir ses ambitions, année après année, et il aime souligner à qui veut l’entendre que sans lui, le club retomberait dans les ligues inférieures. Il y a sans doute du vrai dans sa version. Cela raconte un ego, bien sûr, mais un sentiment de solitude, aussi.

Le président rêve de lendemains meilleurs, mais en appliquant toujours la même grille de réponses aux écueils qu’il rencontre. Ou qu’il provoque malgré lui?

Est-ce là le paradoxe final pour Christian Constantin, seul devant ses choix: être à la fois la solution et le problème?

Constantin nous ramène un drogué dépressif

le club valaisan se serait attaché les services de Gonzalo Carneiro. Ce grand attaquant d’1,94 mètres a notamment remporté un titre avec Sao Paulo, au Brésil, où il évoluait depuis 2018. Il se serait engagé pour trois ans. Reste à savoir quand est-ce que l’Uruguayen pourra faire ses débuts en Valais. Il était sans club depuis le début du mois. Par le passé, il a souffert de dépression, de blessures récalcitrantes et a déjà été contrôlé positif à la cocaïne. Il s’agit de sa première expérience en Europe.

stefvs10 a écrit:Constantin nous ramène un drogué dépressif

le club valaisan se serait attaché les services de Gonzalo Carneiro. Ce grand attaquant d’1,94 mètres a notamment remporté un titre avec Sao Paulo, au Brésil, où il évoluait depuis 2018. Il se serait engagé pour trois ans. Reste à savoir quand est-ce que l’Uruguayen pourra faire ses débuts en Valais. Il était sans club depuis le début du mois. Par le passé, il a souffert de dépression, de blessures récalcitrantes et a déjà été contrôlé positif à la cocaïne. Il s’agit de sa première expérience en Europe.

Encore un agent qui profite de la gestion catastrophique de CC. Ca panique sec chez les Constantin, cette saison a tout pour être enfin la bonne.

Reckless One a écrit:

stefvs10 a écrit:Constantin nous ramène un drogué dépressif

le club valaisan se serait attaché les services de Gonzalo Carneiro. Ce grand attaquant d’1,94 mètres a notamment remporté un titre avec Sao Paulo, au Brésil, où il évoluait depuis 2018. Il se serait engagé pour trois ans. Reste à savoir quand est-ce que l’Uruguayen pourra faire ses débuts en Valais. Il était sans club depuis le début du mois. Par le passé, il a souffert de dépression, de blessures récalcitrantes et a déjà été contrôlé positif à la cocaïne. Il s’agit de sa première expérience en Europe.

Encore un agent qui profite de la gestion catastrophique de CC. Ca panique sec chez les Constantin, cette saison a tout pour être enfin la bonne.  

Il lui manquait le coté alcoolique des valaisans

"Football
Une procédure a été ouverte contre Vincent Rüfli, annonce la Swiss Football League lundi. Le défenseur genevois de Stade-Lausanne-Ouchy s’est fait l’auteur d’un geste douteux sur l’attaquant de Thoune Gabriel Kyeremateng vendredi après la rencontre perdue par le SLO (3-2)."

Le beau Vincent Rüfli, aussi fairplay que Varela et Petrov réunis se fait à nouveau distinguer sous les couleurs due l'immense SLO.
Moussilou, il y a pas quelques baffes à distribuer ?

il est rigolo notre ami CC, à sa place il faudrait miser sur les jeunes du FC Sion donc de la formation....mais bon lui il aime jouer la carte de grands noms du foot.
sans vouloirêtre méchant on a vu le résultat avec guillaume H.   champion avec YB.
Allez Cc  un petit tour en CL,  avec des jeunes du VS.   et non de l'AVS.

J espere au moins pour sion que si il ne marque pas de but il remonte l equipe mentalement parce qu il sont au fond du trou cpour moi c est les etrangers (vaduz) qui doivent etre relegue est personne d autre

il faudrait un miracle pour que Vaduz finisse en CL

dudu a écrit:Vaduz n'a rien à faire en LNA mais si c'est pour virer quelques saisons Sion en LNB ...

Que les 2 descendent et ça arrangera tout le monde.

Personnellement, alors que les clubs suisses-allemands se sont ligués contre la réforme de la SL à 12 équipes, je rêverais d'en voir un ou deux végéter quelques années en division inférieure...