News d'anciens lausannois

fatpig a écrit:ah, c’est sûr qu’avec un club thaïlandais, on pouvait pas s’aligner…là, j’y comprends plus rien…

Il serait intéressant de connaître la ou les raisons qui ont poussé Cissé à ne pas activer l'option d'achat pour Bolingi. Si quelqu'un en sait davantage, c'est volontiers.

A l'époque, il a avait été dit "trop cher".

Parce qu'il fallait faire de la place pour son pote en surpoid que personne ne voulait.

Content pour lui, il le merite…

Dominguez a relancé sa carrière en Pologne
Après avoir évolué à Servette et au LS notamment, l’élégant gaucher a signé à Miedz Legnica. Il évoque son nouvel univers et ce qui a changé pour lui.

Nicolas Jacquier

Maxime Dominguez n’a que 25 ans mais il a déjà accumulé assez d’expériences et de clubs différents pour en faire, à ce niveau, un routinier des pelouses. En Suisse, où il a passablement bourlingué, le Genevois a joué à Servette, Zurich, Lausanne et Ne/Xamax. Après son passage frustrant à la Maladière («ma pire saison, c’était un calvaire»), le voici qui a rebondi en Pologne, une destination étonnante, pas forcément celle à laquelle on pouvait s’attendre.

Transféré le 10 juillet, Dominguez s’est engagé jusqu’en juin 2023 avec Miedz Legnica, actuel solide leader du championnat de Fortuna 1 Liga, l’équivalent de la 2e division. Avec 6 buts et 5 passes décisives obtenues en 19 matches, l’homme s’est rapidement imposé comme l’un des éléments clé de l’équipe.

Mais comment cet élégant milieu de terrain gaucher s’est-il décidé à relancer sa carrière en Pologne? «C’était le moment d’essayer autre chose, de tourner le dos à ce que j’avais connu en Suisse, où je tournais en rond sans avoir le sentiment de progresser. J’ai consenti énormément de sacrifices mais j’ai peu reçu en retour. J’avais l’impression de faire du surplace. À Neuchâtel, on s’était battu toute la saison pour le maintien, ce n’est plus ce que je voulais vivre.»

Ambiances de folie

Dominguez raconte la suite, notamment le choix de la destination. «Il y a eu de l’intérêt au Portugal, j’ai eu quelques touches aussi ailleurs Mais quand le coach de Miedz (ndlr: Wojciech Lobodzinski) m’a appelé directement pour me dire qu’il comptait vraiment sur moi, cela a fait la différence.»

L’ancien international M20 helvétique ne regrette nullement son choix. «J’ai l’impression de découvrir en Pologne ce que je n’ai jamais connu en Suisse. Je restais pourtant sur deux saisons pleines mais cela n’a pas débouché sur ce que j’espérais. C’est peut-être de la D2 polonaise mais on évolue régulièrement devant 20’000 spectateurs à l’extérieur, dans des ambiances de folie. Les gens vivent différemment la passion du football que chez nous et cela me plaît. Quand je me promène dans la rue, on me reconnaît. À Genève, Lausanne ou Zurich, je passais incognito.»

En comparant les affluences terriblement décevantes de la Praille, surtout en regard du spectacle présenté par Servette, son ancien milieu de terrain ne peut s’empêcher de faire une audacieuse comparaison. «Si Servette jouait en Pologne, la Praille afficherait guichets fermés à chaque match!»

En posant ses valises en Silésie, le Genevois d’origine espagnole a découvert Legnica (100’000 habitants), située à 350 kilomètres au sud-ouest de Varsovie. Il y vit paisiblement. Si son contrat a été négocié en euros, le salaire qui lui est versé l’est en zlotys. «Ici, la vie est incroyablement bon marché. Si l’on veut sortir pour aller boire un verre, on va à Wroclaw, à moins de 60 kilomètres.» Sa famille et sa fiancée, Joanna, qu’il épousera en 2023, lui rendent fréquemment visite.

À la pause, Miedz, bien parti pour rejoindre l’élite, compte cinq points d’avance sur Widzew Lodz et neuf sur Korona Kielce. Et Dominguez, à qui l’on reprochait de ne pas être suffisamment décisif sur les pelouses suisses, l’a déjà été à six reprises. Comme quoi

Depuis cet été, le No 10 du stade Orla Bialego (6200 places) a aussi découvert un nouveau rôle, celui de mercenaire. «Les gens me respectent plus qu’en Suisse, où je n’ai jamais été traité ainsi. Cela me donne vraiment envie de rester.» Plusieurs grosses écuries de 1re division ont ainsi déjà fait part de leur intérêt et un transfert l’été prochain, voire dès cet hiver, n’est pas exclu. «Depuis six mois, je revis. Dès l’instant où j’ai plus de plaisir, tout est plus facile»

Seule la maîtrise du polonais lui échappe encore. «Ça, c’est perdu d’avance. C’est impossible et imprononçable! Heureusement, il y a plusieurs Espagnols dans l’équipe et l’anglais est la langue du vestiaire.»

De retour à Genève pendant les Fêtes, le footballeur vacciné est attendu à Legnica le 5 janvier. Un camp d’entraînement en Turquie devrait suivre si les mesures sanitaires le permettent. «En Pologne, on voit rarement un masque. C’est comme si le Covid n’existait pas.»

Sans avoir pris un kilo, il fait cette fois le poids
Titularisé en première équipe du Servette à 17 ans, Dominguez a joué huit ans en Swiss Football League. Mais ce surdoué du ballon n’allait jamais obtenir le statut qu’il aurait pu revendiquer compte tenu du potentiel qu’on lui prête. «J’aurais pu espérer mieux, convient-il. Quand tu commences à Servette aussi tôt, tu n’imagines pas forcément signer à Xamax en Challenge League à 24 ans.»

Durant toutes ses années helvétiques, on a souvent pu reprocher au Genevois son manque d’impact physique. Ses différents coaches auraient aimé le voir prendre des kilos afin de muscler son jeu. Vaines démarches. «En Suisse, soupire l’intéressé, on m’avait collé une étiquette. J’étais le joueur qu’on aligne quand tout va bien, mais dès que l’on affrontait une équipe plus physique, j’étais le premier à sauter, au prétexte que je ne faisais pas le poids.»

Ce discours musclé, avec l’obligation de prendre du poids, Maxime Dominguez (63 kilos) ne l’a que trop entendu. «Au lieu de se concentrer sur mon poids et de vouloir me faire bouffer de la créatine comme à Zurich, on aurait mieux fait d’insister sur ce que je sais faire de bien. À Neuchâtel, le coach a même voulu me faire jouer comme Gattuso!»

C’est d’ailleurs pour ses qualités footballistiques, notamment sa vision du jeu et la magie de son pied gauche, qu’il a été accueilli à Legnica. «En Pologne, ils m’ont pris comme je suis, mettant en avant mes points forts. Personne ne me parle de mon physique. Alors que je n’ai pas pris un gramme, on ne me reproche pas d’être trop léger (rires).»NJA

Juste pour le classement de Gétaz !
https://www.lematin.ch/story/miroslav-stevanovic-est-un-magnifique-ballon-d-or-ange-830456425438

Da Cunha en prêt à Clermont… Nice a bien fait de le rappeler l’été passé et c'est pas comme si notre numéro 10 actuel était sur le départ

A mon avis, c'est aussi que le joueur se trouvait trop bon pour LS.

Benjamin Kololli a plongé dans une culture qui le fascine
Depuis six mois, l’ex-joueur du LS et du Mont évolue en J-League, sous les couleurs de Shimizu S-Pulse. Il raconte sa nouvelle vie entre mangas, traditions et culte du respect.

Nicolas Jacquier
Publié aujourd’hui à 08h30

De Sion à Zurich en passant par des étapes qui l’ont conduit au Mont, à Bienne, à YB ainsi qu’à Lausanne… Depuis ses débuts sous les couleurs du FC Monthey, Benjamin Kololli (29 ans) avait toujours évolué en Suisse.

Une progression linéaire qui en a fait l’un des meilleurs éléments créateurs et offensifs de Super League. Jusqu’à ce jour de juillet 2021 où l’attendait une offre de l’étranger, de celle que l’on ne refuse pas, émanant de Shimizu S-Pulse, pensionnaire de J-League, basé à Shizuoka (700’000 habitants), à quelque 180 km de Tokyo.

C’est là-bas, chez lui, dans l’appartement que le Vaudois occupe au centre-ville, que nous l’avons retrouvé par la magie des ondes. Avec le sentiment parfois troublant, devant la qualité de la liaison, que l’abonné mobile se trouve dans la pièce d’à côté. Il est 12 h 30 en Suisse, déjà 20 h 30 au Japon.

En mode respect
Depuis six mois, il y a découvert un football différent – «plus technique, plus rapide, plus zen», résume Benajmin – et quelques traditions propres à la culture nipponne

«À la fin de chaque match, pas question de filer aux vestiaires sans protocole. Il faut d’abord tous s’aligner pour saluer le public et l’arbitre, lequel fait l’objet d’un profond respect. Personne ne rouspète contre ses décisions, alors qu’il y aurait parfois lieu de le faire (rires.».).»

Empreints de bienséance, les fans semblent participer à ce modèle d’équilibre sociétal dans la vie communautaire. «Ils sont adorables et font preuve d’une gentillesse exquise. Certains viennent parfois à l’entraînement me donner de petits cadeaux.»

Voilà qui change des comportements parfois imbéciles et des ambiances délétères que l’on connaît trop souvent chez nous. «Ici, il y a zéro stress, les gens sont éduqués. Quelque part, un tel respect, c’est magnifique. En Europe, c’est sauvage en comparaison.»

Dans son stade de Nihondaira, où la jauge a été limitée en raison du Covid, Shimizu S-Pulse évolue en moyenne devant 15’000 spectateurs – «depuis le stade, la vue est splendide sur le mont Fuji», précise notre guide. Alors que la saison 2022 commencera le 19 février contre Sapporo, le club de Kololli a bouclé le précédent exercice au 14e rang.

«Le retour des équipes mal classées nous a fait parfois trembler. Malgré un risque de relégation, personne ne s’est excité. Dans une situation analogue à Sion ou à Zurich, le président serait déjà venu nous casser les pieds.»

Au Japon, les staffs sont énormes, aussi fournis que les contingents, et les moyens engagés considérables. «On dispose d’un centre d’entraînement magnifique, tout est nickel, très pro. Quand je vois les conditions dans lesquelles on devait s’entraîner avec Zurich, c’est le jour et la nuit.»

Pour l’ancien joueur du Letzigrund, le choix de vivre une première expérience dans l’Empire du Soleil levant n’est nullement fortuit tant il répondait à une attirance. «La culture japonaise me fascine autant qu’elle m’intrigue, cela m’a toujours intéressé. Dès l’instant où j’ai eu l’occasion de m’y plonger au quotidien, je n’ai pas hésité. On aime à répéter que la Suisse, c’est carré. Mais ici, c’est plus que carré.»
Et notre interlocuteur de citer l’exemple du Shinkansen, le TGV japonais, qu’il emprunte parfois pour se rendre à Tokyo. «Quand il y a une minute de retard, ils ouvrent une enquête.»

La fascination du Vaudois touche aussi l’univers des mangas. «Leur place est énorme dans la société japonaise. Dès mon arrivée, j’ai eu droit à mon personnage animé dans les médias. Chacun ou presque possède son double.»

Déçu par les sushis
Alors qu’il en raffole et s’en réjouissait, seuls les sushis l’ont quelque peu déçu. «Pour être franc, je préférais ceux que je mangeais en Suisse.»

À 9800 kilomètres d’Aigle, où il est né, Benjamin Kololli s’est glissé dans le rôle, nouveau pour lui, de mercenaire. Un rôle qu’il partage avec une impressionnante cohorte de Brésiliens (ils sont six).

«Étant l’étranger, je dois être celui qui amène un plus. Cela change la perception de mon métier.» Ennuyé par des blessures, Kololli n’a que peu joué jusque-là. Aussi espère-t-il se rattraper dès la reprise. «Tout le monde veut être champion! On serait déjà contents de figurer parmi le peloton de tête.»

Un traducteur en permanence
À défaut de maîtriser les subtilités du japonais – les kanjis demeurant indéchiffrables –, le Vaudois est accompagné d’un traducteur, qui le suit partout.

Alors que les frontières restent fermées aux étrangers en raison du Covid, Kololli a pu regagner Shizuoka en raison de son statut de résident permanent. Cela ne l’a pas dispensé pour autant de passer, cloîtré dans une chambre d’hôtel, par la case quarantaine.

«Les Japonais ne plaisantent pas avec les restrictions d’entrée. Ici, l’affaire Djokovic n’aurait jamais existé. Une fois sur place, par contre, il n’y a pas de pass sanitaire, la vie est libre.»

Sa fille porte un prénom japonais


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Depuis le 15 novembre, Benjamin Kololli est le papa d’une petite Aïna, née au Japon. «Cela signifie «amour» en japonais. J’ai pu choisir son prénom. Si cela avait été un garçon, c’est ma femme qui l’aurait choisi.»

Toute la famille a passé les Fêtes en Suisse. Des retrouvailles sur fond de Covid. «Ma fille l’a eu, tout le monde l’a chopé.» Dans un premier temps, le footballeur a préféré rentrer seul.

«Comme on s’apprête à partir en camp au sud du Japon, je ne voulais pas que ma femme se retrouve seule avec Aïna. Elles me rejoindront dans quelques semaines.» Les contraintes sanitaires ont aussi bousculé le calendrier des visites espérées. «Mes parents n’ont toujours pas pu venir me voir.»

S’il a provisoirement mis entre parenthèses sa carrière internationale, ce qui le privera en principe du match que le Kosovo disputera le 29 mars contre la Suisse à Zurich, le No 32 de Shimizu S-Pulse a pris soin de blinder son contrat en y ajoutant une étonnante clause. «Il est précisé que je serai payé ou continuerai à l’être même si je devais ne pas parvenir à rejoindre le Japon en raison de la pandémie.»

Da Cunha titulaire avec Clermont et auteur de l'égalisation lors de leur victoire  aujourd'hui
Guessand a joué 20 minutes avec Nice

https://www.watson.ch/fr/amp/!458766470

Article extrêmement sympa et intéressant. On note quelques petites similitudes mais aussi grosses différences entre nos deux clubs.

Parmi les similitudes la 1/2 Finale de Coupe des Villes de Foires - je crois qu'on était aussi arrivé à ce stade à l'époque -, le vieux stade avec une Tribune protégée au Patrimoine, la jeunesse de l'effectif, un de nos ex-jeune joueur qui pourrait éventuellement également passer par Brighton - on n'espère pas pour Puertas étant donné que le peu magicien coach Potter n'a pas trop l'air d'apprécier les Suisses, vu le temps de jeu famélique qu'il avait accordé à "Zeq'" alors que maintenant Min. 45 Min./match à Augsburg... -. Autres similitudes le dernier titre de Champion qui remonte à des lustres, le fait d'être une "possession" britannique. Les similitudes - ma fois pas mal nombreuses - s'arrêtent là. Car niveau supporters, amour du club et compétence de ceux qui le possèdent, juste l'opposé par rapport à nous.

Rolls a écrit:https://www.watson.ch/fr/amp/!458766470

Salut Go ls je t ai vu t exprimé  en réponse cissé sur Twitter sache que c est un faux compte

Pourtant y'a sa photo et suivi par Daniel Romano.

Nataniel a écrit:Salut Go ls je t ai vu t exprimé  en réponse cissé sur Twitter sache que c est un faux compte

Vu ça communication lunaire ça m étonnerait que c est lui en plus mets des cœurs lol

Oui et les fautes comme "existante" au lieu de "excitante" lol

GoLS a écrit:Pourtant y'a sa photo et suivi par Daniel Romano.

Nataniel a écrit:Salut Go ls je t ai vu t exprimé  en réponse cissé sur Twitter sache que c est un faux compte

T'es toujours aussi barré toi !

Scoopex est fâché et maintenant on est puni

Nataniel a écrit:Salut Go ls je t ai vu t exprimé  en réponse cissé sur Twitter sache que c est un faux compte

J'ai un doute quand même, il y a une photo de son fils par exemple

https://sportmagazine.levif.be/sport/foot-national/meilleur-tacleur-d-europe-un-permis-de-conduire-qui-le-prive-de-nationalite-suisse-cinq-choses-a-savoir-sur-cameron-puertas-le-nouveau-milieu-de-l-union-saint-gilloise/article-normal-1517873.html?cookie_check=1643325565

A part ca elle dechire la video de Puertas. Quel but contre Zurich! Un des plus beau de ces dernieres annees!

Merci Cameron et bonne chance.

Entré  à la 70 eme , Puertas à reçu son premier jaune lors du match brugge, union Saint gilloise

Guessand a marqué son penalty contre le PSG.
Nice élimine le PSG

Belle équipe de Nice rien a voir avec la saison passée,

Équipe très solide et qui possède un double contingent. Un entraîneur et un staff expérimenté également.

Meme remplaçant on peut comprendre le choix de Guessand de rester à l ogc.

Isaac Schmidt et Joël Monteiro titulaires ce WE 

Ça fait quand même mal au ventre.

Mais content pour eux.

Passe d'Isaac Schmidt sur l'égalisation. DS de Saint-Gall : Alain Sutter..........hum !