Un samedi soir à Genève, loin du monde
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AileS
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Un samedi soir à Genève, loin du monde
Bizarre.
Un magnifique article dans le 24heures du jour à propos du match Servette - LS de samedi dernier, et pas un seul commentaire sur ce forum...
Mais peut-être que le seul intérêt de passablement de rédacteurs sur ce forum est de se préparer à accueillir Valentin Stocker lors de sa prochaine visite à Lausanne. Alors qu'après le match de ce soir à Chelsea, c'est avec d'immenses applaudissements que cette grande équipe du FC Bâle devrait être reçue à Lausanne.
Que vive le football, qui nous donne parfois d'immenses émotions, même si ce n'est hélas pas encore le LS qui nous les donne.
Un magnifique article dans le 24heures du jour à propos du match Servette - LS de samedi dernier, et pas un seul commentaire sur ce forum...
Mais peut-être que le seul intérêt de passablement de rédacteurs sur ce forum est de se préparer à accueillir Valentin Stocker lors de sa prochaine visite à Lausanne. Alors qu'après le match de ce soir à Chelsea, c'est avec d'immenses applaudissements que cette grande équipe du FC Bâle devrait être reçue à Lausanne.
Que vive le football, qui nous donne parfois d'immenses émotions, même si ce n'est hélas pas encore le LS qui nous les donne.
AileS- Date d'inscription : 29/07/2007
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
La meilleure réponses à cet article nauséabond d'un journaliste dépassé est l'ignorance ABE
cailloux- Localisation : Morges
Date d'inscription : 03/07/2011
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
L'article de Dubath m'a bien fait rire! Il essaie de rendre les groupes ridicules mais au final c'est lui qui l'est! De plus son histoire des insulte. Il se croit au monde des bisounours ou bien? Laisse moi bien rire, y a eu bien moins d injures envers les frontaliers que les matchs précédents et il arrive quand même à pondre cette connerie! Après côté grenat, je ne les ai pas entendu du match donc dur de dire si c'était plus ou moins que d'habitude.
Concernant Bâle, j'en ai strictement rien à foutre de cette équipe de mafieux! Tant mieux pour eux qu'ils gagnent et ça ne m'empêchera jamais de toujours les détester quand à Stocker la ..... qu'il se pende!
Scheiss Fussballmafiasfv, sheiss modefan! Seulement LAUSANNE-SPORTS!
Concernant Bâle, j'en ai strictement rien à foutre de cette équipe de mafieux! Tant mieux pour eux qu'ils gagnent et ça ne m'empêchera jamais de toujours les détester quand à Stocker la ..... qu'il se pende!
Scheiss Fussballmafiasfv, sheiss modefan! Seulement LAUSANNE-SPORTS!
Thierrible- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
Effectivement Dubath devrait arrêter de penser aux années 60 et prendre sa retraite.
Quant aux égos démesurés des joueurs du FC Novartis, leur victoire d'hier contre Chelsea, qui n'est pour l'instant qu'un ensemble d'individualités ne jouant pas encore en équipe, va les rendrent encore un peu plus arrogants et détestables. Je me réjouis déjà du match retour lorsque l'effet Mourinho aura fait son oeuvre...
Quant à Valentine, il a beau être un excellent joueur cela ne pardonnera jamais son comportement inadmissible et son attitude hautaine. Il sera reçu comme il se doit.
Quant aux égos démesurés des joueurs du FC Novartis, leur victoire d'hier contre Chelsea, qui n'est pour l'instant qu'un ensemble d'individualités ne jouant pas encore en équipe, va les rendrent encore un peu plus arrogants et détestables. Je me réjouis déjà du match retour lorsque l'effet Mourinho aura fait son oeuvre...
Quant à Valentine, il a beau être un excellent joueur cela ne pardonnera jamais son comportement inadmissible et son attitude hautaine. Il sera reçu comme il se doit.
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
Je n'avais pas vu l'article de Dubath jusqu'ici. Qu'en dire? Dubath a fait du Dubath, c'est-à-dire de la philosophie à deux sous, du politiquement correct qui se prend pour de la mise en perspective, du défonçage de portes ouvertes qui se prend pour une élévation du point de vue. C'est le café du commerce, sa dimension de vulgarité en moins – un café du commerce élitaire, quoi.
Ce qui me trouble bien davantage: Dubath évoque, au sujet du langage des supporters, leur intention commune de "se faire subir oralement des supplices que la morale interdit de décrire". Je me souviens qu'il avait déjà évoqué la "morale" au sujet de ces mêmes insultes, dans un article datant d'il y a quelques mois – ce qui fait tomber la possibilité d'une coïncidence. Or, je crois assez fréquenter les stades pour avoir une idée assez précise de ces chants, et en fin de compte, après avoir terminé la lecture de cet article, je suis seulement choqué de la manifeste homophobie de Dubath. C'est une chose de condamner les chants d'insultes des supporters; c'en est une autre de condamner les pratiques décrites dans ces chants comme étant contraires à la morale.
Ce qui me trouble bien davantage: Dubath évoque, au sujet du langage des supporters, leur intention commune de "se faire subir oralement des supplices que la morale interdit de décrire". Je me souviens qu'il avait déjà évoqué la "morale" au sujet de ces mêmes insultes, dans un article datant d'il y a quelques mois – ce qui fait tomber la possibilité d'une coïncidence. Or, je crois assez fréquenter les stades pour avoir une idée assez précise de ces chants, et en fin de compte, après avoir terminé la lecture de cet article, je suis seulement choqué de la manifeste homophobie de Dubath. C'est une chose de condamner les chants d'insultes des supporters; c'en est une autre de condamner les pratiques décrites dans ces chants comme étant contraires à la morale.
Caml- Date d'inscription : 13/12/2010
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
Il n'y a eu quasiment aucunes insultes de notre côté à part 1-2x mais sinon c'était pour moi juste du petit chambrage quand on chantonnait pour leur équipe. Dubath devrait clairement aller visiter d'autres stades en europe pour peut-être se rendre compte (si il en était capable hein) que nous sommes tout gentil et que même nos "insultes" comme il l'appelle ne sont que du pipi de chant comparé à ce qui se passe lors d'autres derby!
Pour l'histoire du FCB mais tant miiieux qu'ils aient gagné mais on s'en contrefout royalement de cette équipe de millionnaires et de starlettes! Et Stocker sera accueillit comme il se doit quand il viendra à la pontaise le 6 octobre car malgré son beau jeu cela reste un personne plus que méprisé et il y a de bonnes raisons à cela le meilleur exemple avec ce qu'il s'est passé avec Chakhsi chez eux!
Pour l'histoire du FCB mais tant miiieux qu'ils aient gagné mais on s'en contrefout royalement de cette équipe de millionnaires et de starlettes! Et Stocker sera accueillit comme il se doit quand il viendra à la pontaise le 6 octobre car malgré son beau jeu cela reste un personne plus que méprisé et il y a de bonnes raisons à cela le meilleur exemple avec ce qu'il s'est passé avec Chakhsi chez eux!
Matt- Localisation : Loz
Date d'inscription : 10/12/2007
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
L'article en question pour ceux qui ont pas vu.
Un samedi soir à Genève, loin du monde
Ce 14 septembre au soir, autour du Stade de Genève, dans les conversations qui flottent ici et là une heure avant le match Servette-Lausanne, on entend parler d’Adeline, la jeune femme assassinée. Tout le monde sait. Il est impossible de ne pas savoir. On est à Genève, on va voir un match de football, on est là pour le football, mais c’est tout près d’ici qu’elle est morte. Elle était de ce monde, de ces routes, de ces immeubles, de ces foules qui sont d’ici. Alors on regarde autour de soi, on se dit qu’on a de la chance, qu’on va voir un match, qu’on a cette liberté, qu’on peut aller au stade, manger une pizza ou une saucisse avant, se payer le billet et tout ce qui va avec, s’asseoir dans les gradins, profiter de la température estivale. Vivre. On peut vivre. On est chanceux. On est vivant. Des pères tiennent la main de leur gosse. Ils vivent. Ils espèrent un bon match. Une femme offre un billet, comme ça, devant les caisses, à un môme qui passe avec son père. Parce qu’elle a un ticket de trop. Elle ne le vend pas, elle l’offre. La dame qui donne le billet ne reverra sans doute jamais le gosse qui le prend. Ils se sourient, ils sont vivants.
Plus vide que plein, le Stade de Genève. À gauche, beaucoup de supporters genevois. À droite une poignée de fans lausannois. Les deux clans aiment se parler, même de loin. Leur langage consiste essentiellement à se faire subir oralement des supplices que la morale interdit de décrire ici. Ils se cherchent. Ils existent pour provoquer et enquiquiner l’autre. Et l’autre est ravi d’être enquiquiné car il peut réagir, montrer qu’il en a. Car tous, ils en ont et veulent le montrer. Non mais! Hors du stade, les policiers étaient arrivés longtemps avant le match, ils savaient qu’ils auraient du travail avec quelques-uns de ces «supporters». Des heures à surveiller, à contenir, puis à affronter les crétins qui vivent dans un pays confortable et agréable mais qui fréquentent les stades pour y installer leur sale vocabulaire, leurs sales attitudes, leur vide, leur violence. Ils font semblant d’aimer une équipe, mais ils ne lui font que du mal. On a l’habitude, avec le temps. On sait que les supporters de tel et tel club vont forcément casser, injurier, provoquer, voler aussi si l’occasion se présente. Hockey, football, partout pareil ou presque.
Mais là, dans ce samedi soir genevois, on aurait pu croire à un peu de dignité, à quelque chose, à une réflexion d’une demi-seconde qui fasse que pour respecter le malheur qui a frappé Adeline, la ville où elle vivait, le ciel sous lequel elle vivait, le silence remplace les sales mots. Qu’il n’y aurait pas de bassesse. Que le calme remplacerait la provocation. Que pour cette fois le football ferait partie de la vie, qu’il ne serait pas à tout ignorer du monde, encore une fois. Mais rien à faire. Dans le stade, les supporters des deux camps crient et veulent que ça bastonne, injurient et humilient, s’humilient eux-mêmes d’ailleurs, semblent ne pas savoir qu’Adeline est morte et qu’en dehors du stade il y a le monde. Ils semblent ne plus rien savoir. Mais qui sont-ils, une fois rentrés chez eux, chacun bien seul devant sa glace et avec sa brosse à dents, qui sont-ils, séparés du groupe, que pensent-ils alors d’eux-mêmes? Regardent-ils les nouvelles à la télé? Ont-ils un avis sur les guerres et les mochetés que la provocation, la violence et le pouvoir engendrent?
J’ai appris que des supporters d’un club de hockey sur glace ont trouvé une bonne combine pour humilier les supporters de l’équipe adverse: ils pissent dans un gobelet de plastique et jettent ensuite le tout sur leurs cibles humaines. J’aimerais bien comprendre. S’il y en a un qui peut m’écrire, me dire pourquoi, promis, je lirai sa lettre. Chiche?
www.24heures.ch/
Un samedi soir à Genève, loin du monde
Ce 14 septembre au soir, autour du Stade de Genève, dans les conversations qui flottent ici et là une heure avant le match Servette-Lausanne, on entend parler d’Adeline, la jeune femme assassinée. Tout le monde sait. Il est impossible de ne pas savoir. On est à Genève, on va voir un match de football, on est là pour le football, mais c’est tout près d’ici qu’elle est morte. Elle était de ce monde, de ces routes, de ces immeubles, de ces foules qui sont d’ici. Alors on regarde autour de soi, on se dit qu’on a de la chance, qu’on va voir un match, qu’on a cette liberté, qu’on peut aller au stade, manger une pizza ou une saucisse avant, se payer le billet et tout ce qui va avec, s’asseoir dans les gradins, profiter de la température estivale. Vivre. On peut vivre. On est chanceux. On est vivant. Des pères tiennent la main de leur gosse. Ils vivent. Ils espèrent un bon match. Une femme offre un billet, comme ça, devant les caisses, à un môme qui passe avec son père. Parce qu’elle a un ticket de trop. Elle ne le vend pas, elle l’offre. La dame qui donne le billet ne reverra sans doute jamais le gosse qui le prend. Ils se sourient, ils sont vivants.
Plus vide que plein, le Stade de Genève. À gauche, beaucoup de supporters genevois. À droite une poignée de fans lausannois. Les deux clans aiment se parler, même de loin. Leur langage consiste essentiellement à se faire subir oralement des supplices que la morale interdit de décrire ici. Ils se cherchent. Ils existent pour provoquer et enquiquiner l’autre. Et l’autre est ravi d’être enquiquiné car il peut réagir, montrer qu’il en a. Car tous, ils en ont et veulent le montrer. Non mais! Hors du stade, les policiers étaient arrivés longtemps avant le match, ils savaient qu’ils auraient du travail avec quelques-uns de ces «supporters». Des heures à surveiller, à contenir, puis à affronter les crétins qui vivent dans un pays confortable et agréable mais qui fréquentent les stades pour y installer leur sale vocabulaire, leurs sales attitudes, leur vide, leur violence. Ils font semblant d’aimer une équipe, mais ils ne lui font que du mal. On a l’habitude, avec le temps. On sait que les supporters de tel et tel club vont forcément casser, injurier, provoquer, voler aussi si l’occasion se présente. Hockey, football, partout pareil ou presque.
Mais là, dans ce samedi soir genevois, on aurait pu croire à un peu de dignité, à quelque chose, à une réflexion d’une demi-seconde qui fasse que pour respecter le malheur qui a frappé Adeline, la ville où elle vivait, le ciel sous lequel elle vivait, le silence remplace les sales mots. Qu’il n’y aurait pas de bassesse. Que le calme remplacerait la provocation. Que pour cette fois le football ferait partie de la vie, qu’il ne serait pas à tout ignorer du monde, encore une fois. Mais rien à faire. Dans le stade, les supporters des deux camps crient et veulent que ça bastonne, injurient et humilient, s’humilient eux-mêmes d’ailleurs, semblent ne pas savoir qu’Adeline est morte et qu’en dehors du stade il y a le monde. Ils semblent ne plus rien savoir. Mais qui sont-ils, une fois rentrés chez eux, chacun bien seul devant sa glace et avec sa brosse à dents, qui sont-ils, séparés du groupe, que pensent-ils alors d’eux-mêmes? Regardent-ils les nouvelles à la télé? Ont-ils un avis sur les guerres et les mochetés que la provocation, la violence et le pouvoir engendrent?
J’ai appris que des supporters d’un club de hockey sur glace ont trouvé une bonne combine pour humilier les supporters de l’équipe adverse: ils pissent dans un gobelet de plastique et jettent ensuite le tout sur leurs cibles humaines. J’aimerais bien comprendre. S’il y en a un qui peut m’écrire, me dire pourquoi, promis, je lirai sa lettre. Chiche?
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LKK- Date d'inscription : 27/07/2007
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
C'est avec des gars comme lui que l'on se retrouve avec des club à la Chelsea, que des riches, aucun jeune, que des vieux. En suisse romande, beaucoup trop de honteux personnage qui, tout comme lui, chient sur les fidèle qui essaie de mettre un ambiance pour peut être un jour, en Suisse romande, avoir des derbis avec autant d'ambiance que lors d'un Dortmund Schalke. Pour la part j'ai 20'000 fois plus de respect pour des fidèle qui fond la gloire du foot, avec une vraie ambiance, pas comme lors d'un match du Quatar, bie. Qu'il y aie des joueurs valant plus cher que ceux de superligue. En bref, ce genre de message devrait être censuré au profil d'article réalisé par de vrai fidèle, ceux qui viennent par -30 comme par 40 degrés, quant il fait beau comme quand il pleut, ces fidèles qui donnent tout pour le club.
Alpha nord vaudois- Date d'inscription : 27/10/2012
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
AMEN Dubath ! prêche pour ta paroisse et lèche le bon peuple dans le sens du poil... après tout, si cela peut donner un sens à ta manière de voir les choses. Ah oui, dans ton article tu n'as pas pensé aux syriens persécutés. Non. trop affairé à aller au match de foot boire des coups avec tes confrères.
Et le soir, devant ton miroir et ta brosse à dents, tu as une pensée pour les syriens qui vivcent dans la boue et les africains qui meurent de faim ? .... quoi ? t'y a pas pensé.... ? pas bien Dubath ....
STOCKER : ON T'ATTEND !!! SCHEISS Fussball-business
Et le soir, devant ton miroir et ta brosse à dents, tu as une pensée pour les syriens qui vivcent dans la boue et les africains qui meurent de faim ? .... quoi ? t'y a pas pensé.... ? pas bien Dubath ....
STOCKER : ON T'ATTEND !!! SCHEISS Fussball-business
Scoopex- Date d'inscription : 31/08/2007
Re: Un samedi soir à Genève, loin du monde
Merci d'avoir publié cet "article" que j'avais raté. Un bon moment de rigolade.
Lamentable, mièvre, sans substance, juste .... stupide.
Et dire que ça se veut être du journalisme. Mon fils me présenterais un torchon pareil en guise de dissertation, je le renverrais à sa copie. 2/10 en étant gentil.
Heureusement que le ridicule ne tue pas.
Allez Lausanne, et même si ça n'a finalement rien à faire avec le sujet et juste pour le plaisir: scheiss Stocker, scheiss Blatter, Platini et ce putain de foot moderne asceptisé.
Fier d'être Lausannois et puis c'est tout ...
Lamentable, mièvre, sans substance, juste .... stupide.
Et dire que ça se veut être du journalisme. Mon fils me présenterais un torchon pareil en guise de dissertation, je le renverrais à sa copie. 2/10 en étant gentil.
Heureusement que le ridicule ne tue pas.
Allez Lausanne, et même si ça n'a finalement rien à faire avec le sujet et juste pour le plaisir: scheiss Stocker, scheiss Blatter, Platini et ce putain de foot moderne asceptisé.
Fier d'être Lausannois et puis c'est tout ...
1006- Date d'inscription : 28/08/2011
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