[Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
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[Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Jeudi 5 août 2010, 19H30
Stade Olympique de la Pontaise, Lausanne
Billetterie :
- Bloc 8 : 9.- / gratuit jusqu'à 16 ans
- Tribune Sud (LMT) : 20.- adulte / 15.- étudiant/AVS/AI
- Tribune Nord (G. Dentan) : 30.-
Pour les abonnés, un billet acheté = un billet offert. Pour les acheter : mardi 3 août de de 18H à 19H30 puis le mercredi 4 août de 17H à 19H à une caisse devant la tribune nord. Le jour du match, ouverture des caisses à 18H.
Retransmission TV : pas de live, mais un résumé de 30mn à 22H45 sur TSR2.
Dernière édition par Gimli le Jeu 5 Aoû 2010 - 12:42, édité 2 fois
Gimli- Localisation : Entre Loom et le Montriond, team #SensibilitéLibéraleDeGauche
Date d'inscription : 31/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Randers a perdu 2-0 à domicile cet après-midi contre Nordsjaelland qui aussi en Europa League
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
A noter que sur l'équipe probable du teletext (page 227), Randers s'aligne sans Movsisyan, son principal atout (2 goals à l'aller).
Martin- Date d'inscription : 03/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Article dans le temps:
Fabio Celestini pour l’exemple
Mathieu Aeschmann
Le capitaine Fabio Celestini ne veut qu’une chose: montrer l’exemple par le geste. (Keystone)
Après dix années d’une fructueuse passées à l’étranger (Troyes, Marseille, Levante, Getafe), l’ex-international suisse, 35 ans, est de retour au bercail, en tant que capitaine et meneur de jeu du FC Lausanne-Sport, engagé jeudi soir en Europa League face aux Danois de Randers. Rencontre
Au bistrot du LS, un trio d’anciens vocifère des certitudes jusqu’à faire trembler les murs de la Pontaise. Fabio Celestini soupire puis suggère un coin tranquille. «Je n’ai jamais aimé les capitaines qui hurlent. Démontrer par l’exemple se révèle bien plus parlant.» Au fracas des slogans, le nouvel homme fort du FC Lausanne-Sport préfère le poids des actes. Et, lorsqu’on l’invite à manier les mots, il privilégie le sens à l’abondance. De ses dix années d’exil, l’ancien gamin de Renens est revenu marqué au fer de l’excellence. Sa mission, convaincre par contagion. Et transmettre ce qui ne s’explique pas. En coulisses, un peu. Sur le terrain, beaucoup. Comme ce soir en Europa League face aux Danois de Randers (19h30), que les Vaudois ont déjà battus 2-3 à l’aller.
L’image d’un consciencieux
De Troyes jusqu’à Madrid, Fabio Celestini a traversé une décennie du football européen. Sans faire de vagues, ni faiblir. Une longévité rare pour un joueur helvétique. «Probablement parce que j’ai su garder cette envie de gagner qui m’habitait quand j’étais môme. Et puis je ne m’amuse pas à tenter ce que je ne sais pas faire. Même en Challenge League, ne vous attendez pas à me voir dribbler ou lancer un appel en profondeur.» A bientôt 35 ans, le capitaine du LS renvoie l’image d’un footballeur consciencieux et lucide. Modeste aussi. Presque trop pour quelqu’un qui avait débuté à la Pontaise sous les traits d’un milieu de terrain excentré et percutant. «Peut-être suis-je trop conscient de mes qualités et de mes limites. C’est un sujet de discorde avec mon père, qui trouve que je ne me suis pas assez vendu durant ma carrière. Mais j’ai pris l’habitude de jouer utile sous les ordres d’Alain Perrin.» L’aveu suggère l’importance de la rencontre. A Troyes, le technicien français décide de replacer sa nouvelle recrue. Il veut voir Celestini évoluer seul devant la défense. Orienter le jeu, le réguler. Le Vaudois ne jouera plus jamais autrement. «Perrin, c’est le petit coup de pouce du destin. Avec lui, les défenseurs avaient une seule consigne: me donner le ballon. J’en touchais une centaine par match. Un vrai régal. Et, quand il m’a pris à l’OM, je me suis dit que je ne devais pas faire tout faux.»
Pas le profil «national»
Après Marseille, ses stars et ses exubérances, vient le temps de l’Espagne sous les ordres, entre autres, de l’ombrageux Bernd Schuster. L’ange blond fait connaissance du métronome helvétique à Levante. Il y prend goût et se l’offre dès sa prise de fonction à Getafe. Une reconnaissance de poids au cœur de cette Liga qui respire le beau jeu, mais dont les échos peinent bizarrement à atteindre l’entourage de l’équipe de Suisse. «Avec le temps, je me suis rendu compte à quel point mon profil était celui d’un joueur de club. J’ai trop besoin du quotidien. Avec moi, les petits matches n’existent pas. Je suis rarement le meilleur mais également rarement le moins bon. Un profil peu en phase avec les exigences d’une sélection qui joue huit fois par an et recherche l’étincelle.» Conséquence, son but salvateur de Lansdowne Road (2003) et l’Euro portugais qu’il a rendu possible demeurent ses seuls faits d’armes avec la Nati. «Même capitaine de l’OM, j’arrivais en équipe de Suisse avec le statut d’un joueur de Saint-Gall. Peut-être parce que je ne maîtrise pas l’allemand.»
Un déficit de statut dont ne souffre pas Fabio Celestini du côté de la Pontaise. Celui qui fait déjà partie de l’histoire du club (Coupes de Suisse 98 et 99) multiplie même les casquettes. Leader technique sur le terrain, il conseille le président Jean-François Collet et prépare l’avenir du club à travers sa politique de formation. «J’ai la chance d’avoir connu un grand club à Marseille, mais aussi des plus petites structures qui brillaient par la qualité de leur travail. J’en retire une vision assez globale des exigences d’un club de football.» L’homme a un projet, des convictions. Mais donner sa pleine mesure, la dimension politique, devra attendre que l’aura sportive s’essouffle. Car le LS brille, et Fabio Celestini distille encore son expérience en crampons. «Avant tout en montrant l’exemple. Car les mots ne prennent de la valeur qu’accompagnés d’actes. Je ne vais pas transmettre la rage de vaincre en invectivant mes partenaires. En revanche, en taclant trois fois de suite à l’entraînement pour récupérer un ballon, je sais que mon discours fera sens.» Démontrer toujours. Mais aussi observer et expliquer. «Quand les ­signes avant-coureurs du relâchement apparaissent, le dribble de trop, les mains qui se lèvent. Il faut alors parler au groupe et insister sur le fait que les plus grands ne s’enflamment jamais.»
«J’ai pris des gifles»
Dans le discours du capitaine se mêlent rigueur, humilité et élans pédagogiques. Des valeurs un rien désuètes au regard des dérives mégalomanes affichées par une partie de la profession. «Vous savez, il y a quinze ans, on disait déjà de la nouvelle génération qu’elle était irrespectueuse. Mais la tendance à diaboliser les footballeurs est nouvelle. Il ne faut pas oublier que l’explosion des revenus a transformé les joueurs en marionnettes du système.» La critique se veut vigoureuse mais étayée. Illustrée par l’imposant tatouage du Che qui orne son biceps gauche, elle invite à imaginer un Fabio Celestini «alterfooteux» militant. «Rien de politique dans ce choix. Plutôt de l’admiration pour sa détermination, sa faculté à défendre une cause jusqu’au bout. Mais il est vrai que, de par mon éducation, je n’étais pas préparé à évoluer dans le milieu du football.»
Il a donc fallu trouver un chemin, tracer une ligne à ne pas franchir. Pour rouler sa bosse sans vendre son âme. «J’ai mes idées et j’ai pris des gifles à refuser certaines concessions. Comme à Marseille, lorsque j’ai rendu mon brassard parce que je trouvais injuste que le Vélodrome nous siffle. C’était peut-être pas très malin mais, aujourd’hui, je peux regarder tous mes anciens partenaires dans les yeux.»
Pour rester fidèle à ses principes, Fabio Celestini a façonné sa carrière loin des paillettes et des sollicitations. Une autre forme de fidélité, presque organique, le pousse aujourd’hui à s’exposer en première ligne. «Parce que seul le Lausanne-Sport pouvait susciter en moi une telle implication. Et puis marquer à la Pontaise, c’est tellement beau.»
Fabio Celestini pour l’exemple
Mathieu Aeschmann
Le capitaine Fabio Celestini ne veut qu’une chose: montrer l’exemple par le geste. (Keystone)
Après dix années d’une fructueuse passées à l’étranger (Troyes, Marseille, Levante, Getafe), l’ex-international suisse, 35 ans, est de retour au bercail, en tant que capitaine et meneur de jeu du FC Lausanne-Sport, engagé jeudi soir en Europa League face aux Danois de Randers. Rencontre
Au bistrot du LS, un trio d’anciens vocifère des certitudes jusqu’à faire trembler les murs de la Pontaise. Fabio Celestini soupire puis suggère un coin tranquille. «Je n’ai jamais aimé les capitaines qui hurlent. Démontrer par l’exemple se révèle bien plus parlant.» Au fracas des slogans, le nouvel homme fort du FC Lausanne-Sport préfère le poids des actes. Et, lorsqu’on l’invite à manier les mots, il privilégie le sens à l’abondance. De ses dix années d’exil, l’ancien gamin de Renens est revenu marqué au fer de l’excellence. Sa mission, convaincre par contagion. Et transmettre ce qui ne s’explique pas. En coulisses, un peu. Sur le terrain, beaucoup. Comme ce soir en Europa League face aux Danois de Randers (19h30), que les Vaudois ont déjà battus 2-3 à l’aller.
L’image d’un consciencieux
De Troyes jusqu’à Madrid, Fabio Celestini a traversé une décennie du football européen. Sans faire de vagues, ni faiblir. Une longévité rare pour un joueur helvétique. «Probablement parce que j’ai su garder cette envie de gagner qui m’habitait quand j’étais môme. Et puis je ne m’amuse pas à tenter ce que je ne sais pas faire. Même en Challenge League, ne vous attendez pas à me voir dribbler ou lancer un appel en profondeur.» A bientôt 35 ans, le capitaine du LS renvoie l’image d’un footballeur consciencieux et lucide. Modeste aussi. Presque trop pour quelqu’un qui avait débuté à la Pontaise sous les traits d’un milieu de terrain excentré et percutant. «Peut-être suis-je trop conscient de mes qualités et de mes limites. C’est un sujet de discorde avec mon père, qui trouve que je ne me suis pas assez vendu durant ma carrière. Mais j’ai pris l’habitude de jouer utile sous les ordres d’Alain Perrin.» L’aveu suggère l’importance de la rencontre. A Troyes, le technicien français décide de replacer sa nouvelle recrue. Il veut voir Celestini évoluer seul devant la défense. Orienter le jeu, le réguler. Le Vaudois ne jouera plus jamais autrement. «Perrin, c’est le petit coup de pouce du destin. Avec lui, les défenseurs avaient une seule consigne: me donner le ballon. J’en touchais une centaine par match. Un vrai régal. Et, quand il m’a pris à l’OM, je me suis dit que je ne devais pas faire tout faux.»
Pas le profil «national»
Après Marseille, ses stars et ses exubérances, vient le temps de l’Espagne sous les ordres, entre autres, de l’ombrageux Bernd Schuster. L’ange blond fait connaissance du métronome helvétique à Levante. Il y prend goût et se l’offre dès sa prise de fonction à Getafe. Une reconnaissance de poids au cœur de cette Liga qui respire le beau jeu, mais dont les échos peinent bizarrement à atteindre l’entourage de l’équipe de Suisse. «Avec le temps, je me suis rendu compte à quel point mon profil était celui d’un joueur de club. J’ai trop besoin du quotidien. Avec moi, les petits matches n’existent pas. Je suis rarement le meilleur mais également rarement le moins bon. Un profil peu en phase avec les exigences d’une sélection qui joue huit fois par an et recherche l’étincelle.» Conséquence, son but salvateur de Lansdowne Road (2003) et l’Euro portugais qu’il a rendu possible demeurent ses seuls faits d’armes avec la Nati. «Même capitaine de l’OM, j’arrivais en équipe de Suisse avec le statut d’un joueur de Saint-Gall. Peut-être parce que je ne maîtrise pas l’allemand.»
Un déficit de statut dont ne souffre pas Fabio Celestini du côté de la Pontaise. Celui qui fait déjà partie de l’histoire du club (Coupes de Suisse 98 et 99) multiplie même les casquettes. Leader technique sur le terrain, il conseille le président Jean-François Collet et prépare l’avenir du club à travers sa politique de formation. «J’ai la chance d’avoir connu un grand club à Marseille, mais aussi des plus petites structures qui brillaient par la qualité de leur travail. J’en retire une vision assez globale des exigences d’un club de football.» L’homme a un projet, des convictions. Mais donner sa pleine mesure, la dimension politique, devra attendre que l’aura sportive s’essouffle. Car le LS brille, et Fabio Celestini distille encore son expérience en crampons. «Avant tout en montrant l’exemple. Car les mots ne prennent de la valeur qu’accompagnés d’actes. Je ne vais pas transmettre la rage de vaincre en invectivant mes partenaires. En revanche, en taclant trois fois de suite à l’entraînement pour récupérer un ballon, je sais que mon discours fera sens.» Démontrer toujours. Mais aussi observer et expliquer. «Quand les ­signes avant-coureurs du relâchement apparaissent, le dribble de trop, les mains qui se lèvent. Il faut alors parler au groupe et insister sur le fait que les plus grands ne s’enflamment jamais.»
«J’ai pris des gifles»
Dans le discours du capitaine se mêlent rigueur, humilité et élans pédagogiques. Des valeurs un rien désuètes au regard des dérives mégalomanes affichées par une partie de la profession. «Vous savez, il y a quinze ans, on disait déjà de la nouvelle génération qu’elle était irrespectueuse. Mais la tendance à diaboliser les footballeurs est nouvelle. Il ne faut pas oublier que l’explosion des revenus a transformé les joueurs en marionnettes du système.» La critique se veut vigoureuse mais étayée. Illustrée par l’imposant tatouage du Che qui orne son biceps gauche, elle invite à imaginer un Fabio Celestini «alterfooteux» militant. «Rien de politique dans ce choix. Plutôt de l’admiration pour sa détermination, sa faculté à défendre une cause jusqu’au bout. Mais il est vrai que, de par mon éducation, je n’étais pas préparé à évoluer dans le milieu du football.»
Il a donc fallu trouver un chemin, tracer une ligne à ne pas franchir. Pour rouler sa bosse sans vendre son âme. «J’ai mes idées et j’ai pris des gifles à refuser certaines concessions. Comme à Marseille, lorsque j’ai rendu mon brassard parce que je trouvais injuste que le Vélodrome nous siffle. C’était peut-être pas très malin mais, aujourd’hui, je peux regarder tous mes anciens partenaires dans les yeux.»
Pour rester fidèle à ses principes, Fabio Celestini a façonné sa carrière loin des paillettes et des sollicitations. Une autre forme de fidélité, presque organique, le pousse aujourd’hui à s’exposer en première ligne. «Parce que seul le Lausanne-Sport pouvait susciter en moi une telle implication. Et puis marquer à la Pontaise, c’est tellement beau.»
admin- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 02/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Selon le site de Randers, 6'000 spectateurs sont attendus ce soir au stade Olympique :-)
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
ça serait super, en tout cas j'ai l'impression d'entendre parler du LS partout depuis jeudi passé !
Dommage que la météo ne soit pas de la partie...
Dommage que la météo ne soit pas de la partie...
El Nino- Date d'inscription : 07/05/2009
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Espérons que ça s'améliore, en tout cas pour le moment il a arrêté de pleuvoir dans le coin, pourvu que ça dure!
Thierrible- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Prono: 2-2 (on va trembler... mais ça passera) devant 5'600 spectateurs.
Allez là en haut... on a assez vidé les tonneaux... Place au soleil maintenant ! ET que ça saute !
Allez là en haut... on a assez vidé les tonneaux... Place au soleil maintenant ! ET que ça saute !
lsboy- Date d'inscription : 07/12/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Avec ce temps, QQn sait-il s'il une chance infime pour que la pelouse soit jugée impraticable et que le match soit renvoyé ?
Bleu-Blanc- Date d'inscription : 01/08/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Si le ballon ne rebondit pas on a une chance on le saura pas avant au moins 30 min avant le début du match !!!
narco- Date d'inscription : 12/07/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
A part ça il me semble jamais avoir vu un match de Coupe d'Europe renvoyé ! C'est pas comme si c'était un match de championnat...
mic- Localisation : Broye
Date d'inscription : 29/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Transmission d'un lien vers match?
José Bebo- Date d'inscription : 17/06/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
ENORMMMMMMMMMMMMMMMME !!! 10 ans que j'avais pas vu la Pontaise aussi bien garnie...quelque chose est entrain de se passer pourvu que ça continue !!!
RES- Date d'inscription : 29/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Félicitations aux joueurs, c'est énorme!
Petite question: est-ce que la Pontaise sera éligible pour la suite, plus importante, de la compétition? Si on tombe sur un gros poisson, le match se jouera-t-il toujours à la Pontaise, ou comment?
Petite question: est-ce que la Pontaise sera éligible pour la suite, plus importante, de la compétition? Si on tombe sur un gros poisson, le match se jouera-t-il toujours à la Pontaise, ou comment?
sch91- Date d'inscription : 05/08/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
A en croire les infos des derniers jour, le LS a déposé une requête auprès de l'UEFA pour pouvoir jouer à la Pontaise.
Maintenant faut attendre la réponse de l'UEFA, sinon il faudra s'exiler à la Praille...
Maintenant faut attendre la réponse de l'UEFA, sinon il faudra s'exiler à la Praille...
Thierrible- Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Peu de chance de jouer à la Pontaise, malheureusement.
En attendant faites voir choix pour demain 13h30... Y a de quoi faire parmi ces têtes de séries. Bon la qualif, ca serait un exploit intersidéral cette fois... Je me demande presque si ca serait une bonne chose compte tenu de notre objectif de championnat et du fait qu'on devra jouer à la Praille de toute facon.
Mieux vaut tirer un Géant (Liverpool serait le rêve), et finir sur une belle note à Anfield!
En attendant faites voir choix pour demain 13h30... Y a de quoi faire parmi ces têtes de séries. Bon la qualif, ca serait un exploit intersidéral cette fois... Je me demande presque si ca serait une bonne chose compte tenu de notre objectif de championnat et du fait qu'on devra jouer à la Praille de toute facon.
Mieux vaut tirer un Géant (Liverpool serait le rêve), et finir sur une belle note à Anfield!
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thekid23- Date d'inscription : 05/08/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Extraordinaire!!!!
C'est quand la dernière fois qu'il y a eu plus de 8000 spectateurs à la Pontaise pour le LS? Et s'il n'avait pas plu, je pense que l'on aurait pas été loin de voir 10000 personnes!
Concernant l'égibilté ou homologation de la Pontaise, je trouverais surprenant voire incompréhensible que la Pontaise ne le soit pas, sachant que ce même stade accueille Athletissima membre de la "Diamond League", je ne vois pas pourquoi, pour un match de play-off de l'Europa League elle ne serait pas assez bien que ce soit Liverpool ou un autre club!
Petit point noir de la soirée, le rouge inutile de Katz...
Allez Lausanne!
C'est quand la dernière fois qu'il y a eu plus de 8000 spectateurs à la Pontaise pour le LS? Et s'il n'avait pas plu, je pense que l'on aurait pas été loin de voir 10000 personnes!
Concernant l'égibilté ou homologation de la Pontaise, je trouverais surprenant voire incompréhensible que la Pontaise ne le soit pas, sachant que ce même stade accueille Athletissima membre de la "Diamond League", je ne vois pas pourquoi, pour un match de play-off de l'Europa League elle ne serait pas assez bien que ce soit Liverpool ou un autre club!
Petit point noir de la soirée, le rouge inutile de Katz...
Allez Lausanne!
Jooles- Date d'inscription : 16/04/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Oui, alors je suis absolument incroyablement surpris: autant de spectateurs cela signifie que le club possède un potentiel publc très important.
Ce qui est génial est qu'en pareille situation de Coupe d'Europe face à Kork ou aux Arméniens, il y avait à peine 3'000 spectateurs...
Donc, il y a qqch qui passe de nouveau. Et si tout va bien (on peut rêver svp) en 2015 dans notre nouveau stade de 13'000 places ça va jeter...
Concernant le message plus haut, il y a effectivement qqch qui se prépare pour pouvoir jouer à la Pontaise. Mais attendons les prochains jours...
Ce qui est génial est qu'en pareille situation de Coupe d'Europe face à Kork ou aux Arméniens, il y avait à peine 3'000 spectateurs...
Donc, il y a qqch qui passe de nouveau. Et si tout va bien (on peut rêver svp) en 2015 dans notre nouveau stade de 13'000 places ça va jeter...
Concernant le message plus haut, il y a effectivement qqch qui se prépare pour pouvoir jouer à la Pontaise. Mais attendons les prochains jours...
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Sans faire le rabat-joie, je trouve le 8500 un poil surestimé, non? J'aurais plutôt dit dans les 6000, ce qui est déjà fantastique!
La meilleure affluence depuis le fameux LS-Sion de 2006.
La meilleure affluence depuis le fameux LS-Sion de 2006.
thekid23- Date d'inscription : 05/08/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Ceci dit, le LS a toujours eu un grand potentiel public. Tout le canton s'identifie au LS, et le foot reste le plus grand vecteur commun.
Par contre, le public n'est pas fanatique, il lui faut une équipe qui gagne. Un LS fort en SuperLeague aura une moyenne de 10'000 sans problème, surtout dans une nouveau stade, j'en suis convaincu.
(et je maintiens que 13'000, c'est un poil petit... 15-20'000 aurait été mieux)
Maintenant, le public reste événementiel. Si LS tient le haut du classement, on arrivera dans les 4-5'000 en championnat aussi sur certains matchs. Si le LS rentre dans le rang ca sera reparti pour les 1000, comme l'an passé...
Par contre, le public n'est pas fanatique, il lui faut une équipe qui gagne. Un LS fort en SuperLeague aura une moyenne de 10'000 sans problème, surtout dans une nouveau stade, j'en suis convaincu.
(et je maintiens que 13'000, c'est un poil petit... 15-20'000 aurait été mieux)
Maintenant, le public reste événementiel. Si LS tient le haut du classement, on arrivera dans les 4-5'000 en championnat aussi sur certains matchs. Si le LS rentre dans le rang ca sera reparti pour les 1000, comme l'an passé...
thekid23- Date d'inscription : 05/08/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Je pense, enfin j'espère, que déjà dimanche pour le derby face à Yverdon, on peut imaginer 4000-5000 si le temps est meilleur que ce soir!
Jooles- Date d'inscription : 16/04/2010
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Superbe La Pontaise pleine, les bouchons pour rentrer, les filles à la caisse ... Et un super match :-) Vivement la suite !
dudu- Localisation : Cossonay
Date d'inscription : 27/07/2007
Re: [Europa League] Lausanne-Sports - Randers FC
Le chiffre de 8'150 n'est pas du tout surrestimé, la tribune Sud était quasi pleine environ 5'000 sur une capacité de 6'000. Au Nord, il devait y avoir 3'000 sur une capacité de 5'000.
C'est vrai que c'est trompeur mais les deux tribunes pleines c'est 11'000 spectateurs environ.
C'est vrai que c'est trompeur mais les deux tribunes pleines c'est 11'000 spectateurs environ.
Lessing- Localisation :
Date d'inscription : 11/10/2007
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